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Diplomacy & Defense Think Tank News

Vaccination contre le Covid-19 : inspirons-nous des stratégies des autres pays

Institut Montaigne - mer, 06/01/2021 - 13:59

L’Institut Montaigne a publié en décembre dernier une note intitulée Vaccination en France : l’enjeu de la confiance dans laquelle les auteurs détaillaient les différentes stratégies vaccinales possibles mais aussi les acteurs à impliquer très directement pour faire de la campagne de vaccination contre le Covid-19 une réussite. Alors que la France…

Test sur quelques modèles phares de bouilloire

RMES - mer, 06/01/2021 - 13:45

Thé, café ou autres boissons chaudes, la bouilloire est un équipement de cuisine efficace pour mettre l’eau à ébullition quelle que soit la préparation. Face à l’affluence des modèles, nous avons préparé pour vous un petit comparatif sur une sélection de produits vedettes sur le marché.

Russell Hobbs Bouilloire Compacte Adventure

Cette bouilloire fait preuve d’élégance et de praticité. Elle détient un design ergonomique et des fonctionnalités novatrices qui octroient un temps de chauffe de moins d’une minute pour une économie d’énergie de 66 % à chaque service. Sa capacité de 1 litre se conforme bien à la compacité de l’appareil.

Cet équipement de cuisine de 2 400 W se particularise par son rapport qualité-prix séduisant. Il agrée aussi :

  • une utilisation facile et intuitive,
  • un niveau d’eau visible pour le dénombrement de tasses,
  • un système de filtrage anticalcaire lavable,
  • un range-cordon et un bouton de marche muni de voyants lumineux.
Bouilloire sifflante ProCook

Ce mélange de modernité et classique séduit par sa poignée ergonomique en bakélite qui fournit une manipulation agréable. Son couvercle principal est escamotable et admet une facilité d’ouverture du bec verseur ainsi qu’une activation de l’ébullition via l’assistance d’un clapet.

Cette bouilloire ProCook émet un doux sifflement comme les bouilloires d’antan quand le liquide bouillit. En outre, elle délivre une bonne solidité et une durée de vie prolongée. De plus, c’est un modèle à grande capacité (2 litres) et compatible à tous les types de feu.

Bouilloire électrique Tefal Smart N’ Light

Un des produits innovants de Tefal, la bouilloire Smart N’Light combine parfaitement design et performance. Avec son look moderne et stylé, ce modèle expose un système de protection à double paroi composé de thermoplastique en intérieur et d’inox en extérieur.

 

Ergonomique et pratique, l’accessoire comporte une poignée maniable avec interface de réglage de température à 5 niveaux. De même, il offre une capacité de 1,7 litre pour une puissance de 1 800 W. Sans dire de l’écran LCD incorporé qui correspond à un usage facile à assimiler.

 

A partir de ces modèles testés, vous pouvez vous lancer dans la quête d’une bouilloire de votre choix. Faites seulement en sorte que l’article soit de meilleure qualité et à un prix qui le vaut bien pour le mieux profiter à long terme.

Lire aussi : Quels sont les avantages d’un grille pain ?/ Combien coûte une théière ?/ Les différents types de multicuiseur

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Quels sont les avantages d’un grille pain ?

RMES - mer, 06/01/2021 - 08:32

Si le petit déjeuner est composé en général de tartines et de pains grillés, le mieux, c’est d’investir dans l’achat d’un grille pain. Les avantages de ce genre d’appareil sont nombreux.

Un appareil multifonction

Un grille pain est considéré comme étant un appareil à multiple usage. Il est différent du four électrique et peut griller toutes sortes d’aliments. On peut y griller du pain, mais aussi, pour certains modèles, y griller de la viennoiserie. La majorité des grille-pains disposent entre temps de plusieurs niveaux de thermostat. Il est donc possible de choisir la dorure suivant les goûts et les besoins.

Gain de temps et d’énergie

Un grille pain, comparé aux autres appareils en cuisine, ne dépense pas trop d’énergie vu sa taille. Les modèles fonctionnent en général avec un rayonnement infrarouge et non une résistance. Cela permet de limiter considérablement la dépense énergétique du foyer. Pour gagner du temps également, le grille-pain est l’appareil idéal. Il prépare le petit déjeuner en quelques minutes voire même en quelques secondes seulement. De plus, l’appareil est autonome, il éjecte le pain tout seul après cuisson.

Plusieurs fentes possibles

Un grille pain, suivant le modèle choisi, peut disposer de plusieurs fentes. Cela permet de griller plusieurs pains à la fois. Il y a même des modèles dotés de 4 fentes. Pour une famille de quatre personnes ou plus donc, le nombre de fentes peut d’accélérer encore plus les choses. D’autres modèles possèdent même une partie pour les viennoiseries, ce qui permet de griller le pain, mais aussi de réchauffer les croissants, les pains au chocolat, et bien d’autres encore.

Plusieurs marques, prix et accessoires complémentaires

Un grille pain est facile à trouver. Plusieurs marques en proposent, de ce fait, plusieurs prix sont disponibles sur le marché. Il y a donc un grille-pain qui correspond à chaque budget. En plus, vu la concurrence entre les marques, de nouveaux modèles avec des accessoires et fonctionnalités complémentaires sortent fréquemment. Il est par exemple possible de trouver un modèle avec un ramasse-miette pour un entretien facile ou sinon un appareil intelligent.

Pour résumer, un grille pain est un appareil pratique que tout le monde peut adopter en cuisine. Les avantages sont nombreux, donc, il ne reste plus qu’à en choisir un.

Lire aussi :Les différents types d’autocuiseurs /Les différents types de multicuiseur / Le budget à prévoir pour l’achat d’un batteur mixeur

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Beyond ‘donor-recipient relations’? A historical-institutionalist perspective on recent efforts to modernise EU partnerships with third countries

This paper presents a historical-institutionalist perspective on the EU’s current efforts to modernise its development policy and reform its various relationships with third countries. Applying concepts that endogenise institutional change, the analysis looks into the origin and basis of the policy and describes the various types of development partnership that the EU pursues with third countries. The paper subsequently analyses the 2007 Joint Africa-EU Strategy and the negotiations on EU-ACP post-2020, with a specific focus on how the development of these partnerships over time affects current EU efforts to seek to move beyond donor-recipient relations. It observes a gap between the reform-oriented discourse and the relative continuity in relationships over time, which serves to secure both the support of reform-oriented actors and those seeking to preserve the status quo. Repetition of this strategy over time combined with the need to launch new initiatives as well as changing circumstances affect this broad-based consensus and the legitimacy of the partnerships concerned.

Beyond ‘donor-recipient relations’? A historical-institutionalist perspective on recent efforts to modernise EU partnerships with third countries

This paper presents a historical-institutionalist perspective on the EU’s current efforts to modernise its development policy and reform its various relationships with third countries. Applying concepts that endogenise institutional change, the analysis looks into the origin and basis of the policy and describes the various types of development partnership that the EU pursues with third countries. The paper subsequently analyses the 2007 Joint Africa-EU Strategy and the negotiations on EU-ACP post-2020, with a specific focus on how the development of these partnerships over time affects current EU efforts to seek to move beyond donor-recipient relations. It observes a gap between the reform-oriented discourse and the relative continuity in relationships over time, which serves to secure both the support of reform-oriented actors and those seeking to preserve the status quo. Repetition of this strategy over time combined with the need to launch new initiatives as well as changing circumstances affect this broad-based consensus and the legitimacy of the partnerships concerned.

Beyond ‘donor-recipient relations’? A historical-institutionalist perspective on recent efforts to modernise EU partnerships with third countries

This paper presents a historical-institutionalist perspective on the EU’s current efforts to modernise its development policy and reform its various relationships with third countries. Applying concepts that endogenise institutional change, the analysis looks into the origin and basis of the policy and describes the various types of development partnership that the EU pursues with third countries. The paper subsequently analyses the 2007 Joint Africa-EU Strategy and the negotiations on EU-ACP post-2020, with a specific focus on how the development of these partnerships over time affects current EU efforts to seek to move beyond donor-recipient relations. It observes a gap between the reform-oriented discourse and the relative continuity in relationships over time, which serves to secure both the support of reform-oriented actors and those seeking to preserve the status quo. Repetition of this strategy over time combined with the need to launch new initiatives as well as changing circumstances affect this broad-based consensus and the legitimacy of the partnerships concerned.

Faut-il une alliance globale des démocraties ?

Institut Montaigne - mar, 05/01/2021 - 10:34

La convocation d’un "sommet pour la démocratie", avatar du projet classique aux États-Unis d’une "alliance des démocraties", sera l’un des points forts du programme de politique étrangère de l’administration Biden. Michel Duclos, conseiller spécial géopolitique, et Bruno Tertrais, Senior Fellow sur les affaires stratégiques, examinent ici quelles pourraient être les positions de la France et de l’Europe face à cette initiative, y compris dans le…

Grönlands Projekt Unabhängigkeit

SWP - mar, 05/01/2021 - 00:00

Im Königreich Dänemark steht 2021 ein wichtiges Jubiläum an: Am 12. Mai 1721 ist der evangelische Pfarrer Hans Egede mit dem Segen des dänischen Monarchen auf­gebrochen, um die Insel Grönland zu missionieren. Für manche Grönländer markiert das Datum den Anfang der Fremdherrschaft über ihre Insel. Sie sehen in der 300-jäh­rigen Wiederkehr des Ereignisses weniger einen Anlass zu feiern als einen Anstoß, sich unabhängig vom Königreich zu erklären, dem sie seit 2009 als autonomes Gebiet an­gehören. Ähnlich kontroverse Aufmerksamkeit wie die Statue Egedes in der grön­län­dischen Haupt­stadt Nuuk findet immer noch die Idee von US-Präsident Donald Trump, seinem Nato-Ver­bündeten die Insel in einer Art Immobilienhandel abzukaufen. Die arrogante Attitüde hat die Grönländer verärgert, aber auch verunsichert, weil sie die prekäre Grund­lage ihres Projekts Unabhängigkeit offenbart hat. Denn angesichts feh­lender staatlicher und wirtschaftlicher Voraussetzungen erscheint eine Loslösung von Däne­mark nur auf lange Sicht realisierbar. Ein neuer ehrgeiziger Premierminister in Nuuk könnte dem Unabhängigkeitsprozess aber 2021 eine neue Dynamik verleihen.

Joe Biden doit franchir une dernière marche avant le pouvoir

Institut Montaigne - lun, 04/01/2021 - 16:37

L'élection qui se joue ce mardi 5 janvier aux États-Unis décidera de la majorité au Sénat et de la capacité de Joe Biden, le nouveau président élu, à engager son programme de réformes. Au-delà, elle transformerait le futur de la vie politique américaine écrit Dominique Moïsi.

Le 5 janvier 2021 les électeurs de Géorgie aux États-Unis ne choisiront pas seulement les deux personnes qui représenteront leur État au Sénat. Ils…

La Presidencia portuguesa: encontrando el equilibrio entre atender asuntos pendientes y dejar su propia huella

Real Instituto Elcano - lun, 04/01/2021 - 13:33
Nicoletta Pirozzi, Funda Tekin e Ilke Toygür. Comentario Elcano 1/2021 - 4/1/2021

Portugal ha tomado el relevo de Alemania para asumir la Presidencia del Consejo de la UE el 1 de enero de 2021.

Marcel Fratzscher: „Verlängerung des Lockdowns ist aus wirtschaftlichen und gesundheitlichen Gründen unvermeidbar“

Morgen entscheidet die Kanzlerin gemeinsam mit den Ministerpräsidentinnen und -präsidenten auf dem Bund-Länder-Treffen über eine Verlängerung des Lockdowns. Viele Länder haben sich bereits dafür ausgesprochen. Marcel Fratzscher, Präsident des Deutschen Instituts für Wirtschaftsforschung (DIW Berlin), kommentiert die anstehende Entscheidung:

Eine Verlängerung des harten Lockdown ist unvermeidbar und richtig, auch aus wirtschaftspolitischer Perspektive. Für die Wirtschaft gilt, was für die Gesundheit richtig ist: Oberste Priorität muss eine möglichst schnelle Kontrolle und Eindämmung der zweiten Infektionswelle haben. Die Restriktionen sind für die betroffenen Branchen natürlich schmerzhaft und mit hohen Kosten verbunden. Ohne Lockdown-Verlängerung wären die wirtschaftlichen Kosten einer lang anhaltenden zweiten Infektionswelle jedoch deutlich höher. Ich befürchte, deutliche Restriktionen werden auch weit über Ende Januar hinaus notwendig sein. Aus wirtschaftlicher Perspektive sollte die Öffnung von Schulen und Kitas bei Lockerungen oberste Priorität haben, denn die wirtschaftlichen Kosten sind durch die verlorene Arbeitszeit enorm und belasten vor allem junge Familien und Mütter.

Falsch wäre eine bevorzugte Behandlung derer, die nun bereits eine Impfung erhalten konnten. Ein hohes Maß an Fairness, Nachvollziehbarkeit und Transparenz der Maßnahmen ist essenziell für deren Akzeptanz und damit deren Erfolg. Ich hoffe, dass die Ministerpräsidentinnen und -präsidenten den Fehler vom September und Oktober, als sie zu spät, zu zögerlich und widersprüchlich kommuniziert und gehandelt haben, nicht wiederholen werden. Diesmal sollten sie mit aller Entschiedenheit einen klaren Kurs vorgeben und politische Streitigkeiten beiseite legen.

Die Politik wird zudem die Unterstützung für die Wirtschaft verlängern und ausbauen müssen, denn Unternehmen kommen zunehmend in Schieflage. Bei den wirtschaftspolitischen Maßnahmen wird die Politik in diesem Jahr noch nach mal nachjustieren müssen, damit sie zielgenauer diejenigen erreicht, die diese Hilfe besonders stark benötigen.

Umweltrechte und Rohstoffkonflikte in Lateinamerika

SWP - lun, 04/01/2021 - 00:00

Am 5. November 2020 ratifizierte Mexiko als elfter Staat das sogenannte Escazú-Abkom­men, eine Vereinbarung der Staaten Lateinamerikas und der Karibik zur Etablierung regionaler Transparenz- und Umweltstandards. Da somit die vorgegebene Mindestzahl an Ratifikationen erreicht worden ist, kann das Abkommen im Jahr 2021 in Kraft treten. Dadurch wurde ein innovatives multilaterales Instrument geschaffen, das für mehr Bürgerbeteiligung und eine bessere Durchsetzung von Bürgerrechten in Umwelt­belangen sorgen soll. In Lateinamerika sind wirtschaftliche Interessen an der Aus­beutung von Rohstoffen dominant, außerdem gibt es eine hohe Zahl an Ressourcen­konflikten. Vor diesem Hintergrund eröffnet das Abkommen betroffenen indigenen Völkern und Verteidigern von Menschenrechten in Umweltbelangen neue Möglich­keiten der Information, Partizipation und des Zugangs zum Justizwesen. Trotz dieses ersten verbindlichen Schritts nach vorne fehlen noch die Ratifizierungen maßgeb­licher Staaten der Region. Viele von ihnen wollen dem Abkommen gegenwärtig nicht beitreten, da sie ihre nationale Souveränität und Entscheidungsfreiheit durch Ver­tragsbestimmungen verletzt sehen. Deutschland und Europa bietet das Abkommen neue Ansatzpunkte bei der Formulierung von Lieferkettengesetzen.

Marcel Fratzscher: „Brexit-Handelsabkommen ist eine Enttäuschung“

Die EU-Führung hat heute das Handelsabkommen zwischen der Europäischen Union und Großbritannien unterzeichnet, das ab 1. Januar vorläufig in Kraft tritt. Das Abkommen und die künftigen wirtschaftlichen Beziehungen kommentiert Marcel Fratzscher, Präsident des Deutschen Instituts für Wirtschaftsforschung (DIW Berlin):

Dass es einen Brexit-Deal gibt, ist einerseits eine Erleichterung, auch für Wirtschaft und Unternehmen. Andererseits ist das Abkommen jedoch eine Enttäuschung: Zwar konnte man in der Kürze der Zeit nicht viel von einem solchen Handelsabkommen erwarten, doch es bleiben viele wichtige Fragen unbeantwortet. Es ist ein defensives Abkommen, das lediglich versucht, für die EU die Integrität des Binnenmarktes zu sichern und für die Briten zumindest formal mehr Souveränität zu ermöglichen. Beide Hoffnungen könnten enttäuscht werden. Konflikte werden unweigerlich entstehen, wenn beide Seiten unterschiedliche Regeln und wirtschaftspolitische Maßnahmen umsetzen wollen.

Somit dürfte dieses Abkommen nicht das Ende der Verhandlungen sein, sondern nur der Auftakt zu vielen weiteren Verhandlungsrunden um festzulegen, wie beide Volkswirtschaften in Zukunft miteinander kooperieren wollen und voneinander profitieren können. Für die deutsche Wirtschaft ist der Brexit-Deal kurzfristig eine gute Botschaft, denn Zölle und andere Handelshürden werden erst einmal vermieden. Langfristig jedoch wird es unweigerlich zu Schwierigkeiten im Handel mit Großbritannien kommen, wenn sich Regeln in beiden Volkswirtschaften unterscheiden. Die Unsicherheit für Unternehmen wird daher hoch bleiben und dazu führen, dass der Handel zwischen Deutschland und Großbritannien weiter schrumpft, so wie dies in den vergangenen Jahren bereits der Fall war. Dies wird auch wirtschaftlichen Schaden in Deutschland anrichten, wenngleich diesen nur einzelne Unternehmen spüren werden, während sich andere langfristig von Großbritannien weg orientieren dürften.

Claus Michelsen: „Nach Mehrwertsteuersenkung schiebt auch Soli-Abschaffung den Konsum an“

Zum Jahreswechsel wird die Mehrwertsteuersenkung aus dem Sommer des Jahres 2020 wieder zurückgenommen. Die Kosten für die zeitweise Absenkung der Steuer beliefen sich auf rund 20 Milliarden Euro. Gleichzeitig fällt für große Teile der Bevölkerung der Solidaritätszuschlag dauerhaft weg – immerhin rund zehn Milliarden Euro haben die Haushalte damit pro Jahr mehr in der Tasche. Hierzu ein Statement von Claus Michelsen, Konjunkturchef des Deutschen Instituts für Wirtschaftsforschung (DIW Berlin):

Die zeitweise Absenkung der Mehrwertsteuer hat den Konsum in Deutschland spürbar angeschoben. Für Haushalte mit geringen Einkommen hat dies die Kaufkraft gestärkt – die vorliegenden Zahlen zeigen, dass die Steuersenkung in vielen Bereichen nahezu vollständig, zumindest aber in größeren Teilen weitergegeben wurde. Gerade die Produkte des täglichen Bedarfs sind günstiger geworden, was Raum für zusätzliche Anschaffungen eröffnet hat. Zudem hat die Steuersenkung wahrscheinlich dazu geführt, dass Anschaffungen und Investitionen vorgezogen wurden, insbesondere langlebige Konsumgüter wie Möbel oder Autos. All das dürfte die Konjunktur stabilisiert haben. Zum Jahreswechsel steigen die Preise wieder – allerdings wird auch der Solidaritätszuschlag für die meisten Steuerzahlerinnen und Steuerzahler abgeschafft, was die Kaufkraft unter dem Strich um gut zehn Milliarden Euro stützen wird. Der Konsum dürfte aber erst dann wieder kräftig anspringen, wenn die Corona-Pandemie unter Kontrolle ist und die damit verbundenen Einschränkungen des gesellschaftlichen Lebens wieder aufgehoben werden können.

El balance sobre igualdad de género “Pekín +25”: la ayuda influye

Real Instituto Elcano - lun, 28/12/2020 - 05:34
Aitor Pérez. Comentario Elcano 42/2020 - 28/12/2020

¿Cómo influye la ayuda al desarrollo mundial en materia de igualdad de género?

Afrique de l’Ouest : deux investitures présidentielles et les préparatifs d’un enterrement, celui de l’État de droit

IRIS - dim, 27/12/2020 - 10:52

Plusieurs dizaines de morts avant, pendant et après les élections en Côte d’Ivoire et en Guinée. Des responsables politiques de l’opposition arrêtés et toujours en prison dans les deux pays. En Guinée, dans la nuit du 16 au 17 décembre, Roger Bamba, âgé d’une quarantaine d’années, en détention depuis le mois de septembre à Conakry, est mort quelques heures après son transfert à l’hôpital. Il était membre de la cellule de communication et responsable des jeunes de l’Union des forces démocratiques de Guinée (UFDG), le parti d’opposition dirigé par Cellou Dalein Diallo.

Quelles que soient les causes précises de son décès, qui ne seront peut-être jamais élucidées, les conditions exécrables de détention en Guinée n’ont pu que contribuer à ce funeste sort. Au demeurant, les motifs de sa détention ne sont pas connus. Contrairement à des dizaines d’auteurs de violences meurtrières au cours des derniers mois pendant la répression de manifestations politiques, ni identifiés, ni poursuivis en justice, Roger Bamba n’avait jamais tué personne.

Lors de son discours d’investiture pour un troisième mandat le 15 décembre, le président Alpha Condé, 82 ans, a invité ses compatriotes à « oublier le passé qui divise au profit d’un avenir d’unité et d’espérance ». Il faudrait sans doute qu’il appelle les Guinéens qui ne sont pas de son camp à oublier aussi les exactions du présent et, par anticipation, celles du futur, puisque des jeunes continuent à mourir ou à dépérir en prison parce qu’ils estiment son troisième mandat inconstitutionnel.

Les services de sécurité de l’État guinéen font à peu près ce qu’ils veulent en matière de restriction des libertés. Plusieurs acteurs politiques affiliés à l’opposition ont été bloqués à l’aéroport, empêchés de voyager, sans qu’aucune raison ne leur ait été notifiée. Le dernier à en avoir fait l’expérience ce 17 décembre est l’ancien ministre Mohamed Tall de l’Union des forces républicaines (UFR), le parti dirigé par la deuxième personnalité de l’opposition, Sydia Touré.

De l’autre côté de la frontière, un journal ivoirien a titré le 14 décembre, jour de l’investiture du président Alassane Ouattara pour son troisième mandat, sur l’arrivée de nombreux chefs d’État venus participer « aux funérailles de la démocratie ». Ce que cette année 2020 a donné à voir en Afrique de l’Ouest, ce sont en effet les préparatifs avancés d’un enterrement en grande pompe de processus laborieux, tortueux, mais prometteurs, de construction d’un espace régional en Afrique où les principes de la démocratie et de l’État de droit seraient respectés.

Ce n’est pas seulement la démocratie – qui ne s’est en réalité jamais installée en Côte d’Ivoire et en Guinée – qui est menacée. C’est l’État de droit qui est en danger. C’est la protection des citoyens même face à la puissance des moyens de leurs États, mis au service exclusif de ceux qui les contrôlent.

On envoie en garde à vue et on jette en prison bien plus vite et pour peu de choses qu’on ne le faisait au cours des dernières années, en Côte d’Ivoire, en Guinée, mais aussi au Togo, au Niger, et même au Sénégal et au Bénin, longtemps érigés en modèles de délicatesse démocratique aux côtés du Ghana et du Cap-Vert, qui préservent encore leur réputation.

Au Nigeria, ce sont des jeunes qui ont été tués il y a quelques mois en plein Lagos au cours de manifestations contre les abus parfois meurtriers des forces de police. Dans une Afrique de l’Ouest où la vie des populations est déjà gravement menacée par une multitude de groupes armés, djihadistes, communautaires, criminels, et par les conditions économiques, sanitaires et sociales entretenues par la corruption et le mépris des plus pauvres, il faut désormais craindre aussi les abus de pouvoir des gouvernants censés être au service de leurs citoyens.

En l’absence d’une dénonciation collective explicite des préparatifs des funérailles, l’année 2021 à venir pourrait bien être celle de l’enterrement effectif de l’État de droit et des libertés.

 

Mental Health in UN Peace Operations: Addressing Stress, Trauma, and PTSD among Field Personnel

European Peace Institute / News - mer, 23/12/2020 - 18:32

The challenging environments where many contemporary UN peace operations are deployed can take a toll on the mental health of both uniformed and civilian personnel. This has led to increased attention to questions around mental health in peace operations, and in 2018, the UN made mental health and well-being a system-wide priority. Yet two years later, much remains to be done to improve mental health in UN missions.

This paper looks at the prevalence of post-traumatic stress disorder (PTSD) and other mental health issues among the military, police, and civilian personnel of UN peace operations. It analyzes the types of stressors and psychological factors affecting personnel in the field, explores the political and institutional challenges to instilling change, and reviews the UN’s response to the mental healthcare needs of field personnel. It concludes with recommendations for the UN to ensure its duty of care for field personnel:

  • Raising the profile of mental health in UN peace operations: The Secretariat and member states should shed light on the difficult conditions facing peacekeeping personnel and better assess the prevalence of mental health issues among staff; strive to reduce the stigma associated with mental health; and come to a clear understanding of their roles and responsibilities in supporting mental health needs.
  • Providing more pre-deployment support: There is a need to train and sensitize personnel on how to recognize mental health issues, symptoms, and coping mechanisms. Preparedness and pre-deployment training on PTSD, trauma, and mental health should be based on minimum standards so that all contingents are equally prepared and equipped.
  • Strengthening support during deployment: Both the Secretariat and member states should uphold their duty of care for personnel in missions, including by fostering a culture of care, offering adequate psychosocial support, and improving human resources arrangements.
  • Continuing to provide support post-deployment: The UN and member states should recognize that their duty of care does not end after field personnel return from deployment. They should continue following up with former personnel to ensure they are receiving the psychosocial support they need through dedicated structures and resources.

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