Diplomacy & Defense Think Tank News

Le lundi 11 janvier 2021, le premier sommet européen sur la radicalisation islamiste et la menace terroriste a eu lieu, organisé par l’European Leadership Network en partenariat avec la Fondation pour l’innovation politique et la Fondation Jean Jaurès. Dominique Reynié est intervenu sur la thématique « L’islamisme une crise politique pan-européenne ? » et est […]

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Dominique Reynié, directeur général de la Fondation pour l’innovation politique, était l’invité de Yves Calvi dans l’émission L’info du vrai sur Canal+, sur le thème de la destitution envisagée pour Trump dans un premier temps et ensuite sur le thème de la démocratie et de Twitter dans un second temps. Retrouvez l’intégralité de l’émission du 11 janvier […]

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Emmanuel Combe, Professeur d’économie et Vice-President de l’Autorité de la concurrence, était l’invité de Stéphane Soumier sur la chaîne B Smart, sur le thème du transport aérien. Retrouvez l’intégralité de l’émission sur Bsmart.fr La vitesse du virage vers le middle cost (sur les vols intra Europe) sera un facteur clé du rebond des compagnies historiques, face […]

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Des agences de voyages ont saisi l’Autorité de la concurrence afin d’obtenir la condamnation de nombreuses compagnies aériennes pour s’être entendues pour ne plus rembourser les vols « secs » annulés en raison de la crise sanitaire de la covid-19. Leur demande est rejetée faute d’éléments probants. Le transport aérien a incontestablement fait partie des […]

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Des propos contestataires aux attaques terroristes, l’institution scolaire est visée en priorité. L’école est depuis toujours une cible du terrorisme islamiste. À l’étranger, avec des attaques depuis de longues années en Afrique, en Afghanistan, au Pakistan et ailleurs. Et en France avec deux attentats, combinant l’antisémitisme et la haine du savoir, contre des écoles juives […]

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La réalité sportive précède parfois les symboles politiques : le 6 janvier, le qatari Nasser al Attiyah remportait pour la troisième fois consécutive la victoire d’étape de la compétition automobile Dakar 2021, qui se déroule cette année - ironie de l’Histoire - en Arabie saoudite. La veille, l’émir Tamim al Thani assistait au 41e Sommet du Conseil de Coopération des États Arabes du Golfe (CCEAG), et se retrouvait pour la première fois depuis trois ans et demi sur…

Le Brexit laissera des traces des deux côtés de la Manche. Nous n’oublierons pas les éternels rebondissements au Parlement britannique, le post Instagram du président du Conseil européen, ni les négociations intenses de dernière minute qui ont finalement abouti à un accord, annoncé la veille de Noël. Quels que soient les mérites (ou les imperfections) de l’Accord de commerce et de coopération conclu entre…

Le Capitole pris d'assaut par des partisans fanatiques du président Trump : le symbole est fort, et l'événement traumatique pour beaucoup d'Américains. Mais c'est surtout le symptôme visible d'une maladie qui se répand bien au-delà des États-Unis : l'échec de nos démocraties à satisfaire l'ensemble des citoyens.

"La roche Tarpéienne est proche du Capitole", disaient les Romains pour évoquer la fragilité du pouvoir.…

Le 24 novembre dernier, les autorités portugaises annonçaient que la prochaine élection présidentielle portugaise serait organisée le 24 janvier 2021. Le chef de l'Etat sortant, Marcelo Rebelo De Sousa, est le grand favori de ce scrutin. Toutes les enquêtes d'opinion le donnent largement gagnant dès...

The signing of the Regional Comprehensive Economic Partnership (RCEP) on 15 Novem­ber 2020 establishes the world’s largest free trade area. The agreement was hailed as an important step forward for the international trade system: protectionism is no longer the only visible option for the third decade of the twenty-first century. But RCEP is a relatively weak instrument. It consolidates existing trade agreements in the region, but does not represent a breakthrough to a liberal economic space. It lacks the potential to make the Asia-Pacific region into a monolithic trading bloc, nor does it contribute to overcoming growing political tensions in the Indo-Pacific.

En tant que sportif, vous ne pouvez pas vous entraîner sans faire recours à un dispositif comme une chaise romaine. Composée de poignées, d’une barre de traction, d’un post à dips et aussi de coussins pour plus de confort, ce dispositif à tout pour satisfaire un sportif professionnel. Mais est-il performant au même titre qu’une station de musculation ?

En effet, pour votre homegym, vous pouvez installer une chaise romaine ainsi qu’une station de musculation. Mais s’il vous est demandé de choisir un équipement entre les deux, vous aurez souhaité prendre le meilleur. Et pour distinguer la machine la plus performante, voici les informations qu’il vous faut.

Chaise romaine

· Caractéristiques

La chaise romaine est un équipement sportif utilisé pour la musculation. Il est constitué de plusieurs matériels comme la tour et le post à dips qui servent à travailler les abdominaux, et le banc à lombaire qui à travers les relevés de buste muscle le bas du dos. Il est équipé d’une barre de traction pour le développé couché. De même, plusieurs autres outils peuvent être associés à une chaise romaine. Les compléments dépendent des programmes à exécuter. Cette machine vous offre une large polyvalence, surtout en ce qui concerne la musculation du haut de votre corps. Cet appareil vous permet de travailler vos dorsaux, vos biceps et triceps, vos pectoraux, vos épaules, etc.

· Avantages

Avec cet appareil, vous pouvez travailler un grand nombre de muscles de votre corps. Cependant, il faut savoir choisir les éléments à associer pour vos entraînements. Vous pouvez exécuter plusieurs exercices avec une chaise romaine. Comme exemple d’exercices, vous pouvez pratiquer les abdos, le développé couché, les tractions, des pompes, etc. Cet appareil est très efficace et fait observer rapidement les effets.

· Inconvénients

En dehors de ses nombreux avantages qui ne sont pas tous cités, la chaise romaine est bien limitée. Cet appareil n’est pas recommandé à tout le monde. Il n’y a que les sportifs professionnels ou les habitués qui peuvent l’utiliser. De même, il ne travaille que le haut du corps.

Station de musculation

· Caractéristiques

Une station de musculation est un appareil plus complet qu’une chaise romaine. Elle offre plus de marge de manœuvre pour son utilisateur. Avec cette machine, vous pouvez pratiquer jusqu’à 100 différents exercices sportifs. Une station de musculation vous offre un entraînement plus complet. Son usage travaille tous les muscles de votre corps. Vous pouvez vous en servir en tant que débutant et de même en tant que professionnel. Vous avez la possibilité de la régler à votre guise et de l’utiliser selon la fréquence voulue. Ses effets sont remarquables seulement en quelques semaines à cause de son efficacité.

Lire aussi : Comment utiliser une cage à squat ?

· Avantages

Une station de musculation est très simple à utiliser et avec elle, les exercices sont faciles à exécuter. Cet appareil vous épargne des blessures. Si vous souhaitez prendre du poids ou perdre du poids, cette machine vous propose des programmes adéquats. Elle vous réduit les risques de maladies.

· Inconvénients

Avec une station de musculation, le corps reste un peu agité lors des mouvements. La grandeur de cet appareil nécessite un endroit bien spacieux surtout s’il n’est pas pliable. Par conséquent, le dispositif devient parfois encombrant. Son coût reste inaccessible à tous les budgets.

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Federico Steinberg. Comentario Elcano 4/2021 - 8/1/2021

Aunque muchos soñemos con que en el futuro los británicos rectifiquen y vuelvan a la Unión, esto no va a pasar en los próximos años, por lo que es mejor centrarnos en lo que hay: un acuerdo de mínimos que evita el caos a corto plazo.

The development of the Future Combat Air System (FCAS) is Europe’s most important defence project. Both technologically and militarily, the project has the potential to set new standards and revolutionise the use of air power. Politically, the multinational project is a litmus test for the extent to which Europe is capable of cooperating on security policy, developing its own capabilities and putting national interests to one side for this purpose. The success of the project rides to a great extent on Germany and France. However, the different perspectives and procedures of these two coun­tries place FCAS at risk of collapse – a failure that would have serious disadvantages for all involved.

Es war eine Einigung in fast letzter Minute: Das am 30. Dezember 2020 unterzeichnete »Handels- und Kooperationsabkommen« zwischen EU und Vereinigtem Königreich hat den No-Deal-Brexit nur einen Tag vor Ende der Übergangsphase verhindert. Viereinhalb Jahre nach dem Austrittsreferendum werden die Beziehungen zwischen der EU und ihrem ehemaligen Mitgliedstaat damit auf eine neue Basis gestellt. Es ist ein beachtliches Verdienst der Verhandlungsführer auf beiden Seiten, dass trotz der widrigen Bedingungen ein solch komplexes Vertragswerk zustande gekommen ist.

Und doch steht am Ende des Prozesses ein weitgehend harter Brexit, der dem britische Streben nach Souveränität geschuldet ist. Zwar läuft der Warenverkehr weiterhin zollfrei und ohne quantitative Beschränkungen, dennoch entstehen im Vergleich zur Binnenmarktmitgliedschaft viele neue nicht-tarifäre Handelsschranken. Die (Finanz-)Dienstleistungen sind weitgehend aus dem Vertrag ausgeklammert, mit wenigen Ausnahmen verabschieden sich die Briten aus europäischen Projekten wie Erasmus, und auch die Außen- und Sicherheitspolitik wurde von London ganz ausgenommen. Die EU kann für sich verbuchen, trotz des nun beschränkten Marktzugangs weitreichende Instrumente für die Sicherung fairer Wettbewerbsbedingungen (»Level Playing Field«) durchgesetzt zu haben. Hierzu gehört auch die Möglichkeit zur Wiedereinführung von Zöllen und anderen Handelsbeschränkungen, sollte es in Zukunft zu einer maßgeblichen Divergenz von Arbeitsrechts- oder Umweltstandards kommen. Und so haben beide Seiten ihre bemerkenswert defensiven Ziele erreicht: Boris Johnson bekommt seinen harten Brexit, die EU kann ihren Binnenmarkt und ihre Standards verteidigen.

Das Auseinanderdriften ist nicht programmiert

Auf der Strecke geblieben ist die ursprüngliche Idee einer britisch-europäischen Partnerschaft. Dennoch ist ein weiteres Auseinanderdriften nicht programmiert. Vielmehr gibt es fünf Gründe, warum aus dem Handelsvertrag trotz des Rosenkriegs um den Brexit eine stabile langfristige Beziehung entstehen kann.

Erstens markiert der Handelsvertrag nicht das Ende der Verhandlungen zwischen London und Brüssel. Das Abkommen selbst sieht eine Überprüfung nach fünf Jahren vor – also ein knappes halbes Jahr nach den nächsten britischen Parlamentswahlen – in deren Zuge die Beziehungen auch wieder vertieft werden können. Darüber hinaus gibt es eine Klausel, die die Überprüfung des Nordirland-Protokolls im Jahr 2024, Übergangsfristen für die Energiekooperation und die Fischerei sowie noch 2021 Gespräche zu Datenaustausch und Finanzmarktdienstleistungen vorsieht. Ähnlich wie mit der Schweiz wird es also laufend Verhandlungen zwischen der EU und Großbritannien geben, wenn auch auf einem politisch weniger dramatischen Niveau als zuletzt. Gerade diese Entdramatisierung der Beziehungen bietet eine Chance auf Wiederherstellung von Vertrauen und Verbesserung der Kooperation.

Zweitens ist das Abkommen auf eine Erweiterung ausgelegt. Es begründet eine institutionalisierte Kooperation zwischen London und Brüssel mit einem EU-UK-Partnerschaftsrat und einer Reihe spezialisierter Fachausschüsse etwa zum Güterhandel, zur Energiekooperation oder zur britischen Beteiligung an EU-Programmen. Dabei ist es explizit als »Dachabkommen« angelegt, in dessen institutionellen Gesamtrahmen sich weitere »Zusatzabkommen« einfügen können.

Eine fortgesetzte Verflechtung

Drittens werden die wirtschaftlichen Beziehungen für beide Seiten trotz neuer Handelsbeschränkungen wichtig bleiben. Dafür sprechen die geographische Nähe, die enge Verflechtung vieler Wirtschaftszweige und die gegenseitige Bedeutung mit der EU als bei weitem wichtigster Handelspartner der Briten sowie Großbritannien als zweitgrößte Volkswirtschaft Europas. Hinzukommen die Level-Playing-Field-Bestimmungen des neuen Handelsvertrags, mit denen sich beide Partner verpflichten, geltende EU-Standards, soweit sie den Handel betreffen, aufrechtzuerhalten – und Anreize geschaffen wurden, bei neuen Standards Schritt zu halten.

Viertens wurde bei den gegenseitigen Drohungen mit dem No-Deal-Brexit auch deutlich, wo trotz schwieriger Trennung die gemeinsamen Interessen liegen. So räumt das Handels- und Partnerschaftsabkommen der Klimapolitik eine wichtige Stellung ein, in der das Vereinigte Königreich 2021 mit der Ausrichtung des nächsten Klimagipfels – gemeinsam mit Italien – eine zentrale Rolle einnimmt. Hier bietet sich auch eine trilaterale Zusammenarbeit mit der neuen US-Administration an. Stärker als erwartet fällt auch die fortgesetzte Beteiligung der Briten an EU-Programmen wie dem EU-Erdbeobachtungsprogramm Copernicus sowie Teilen des Datenaustausches in der Innen- und Justizpolitik aus.

Nordirland als gemeinsame Aufgabe

Fünftens ist Nordirland in der Kombination von Austritts- und Handelsvertrag endgültig zur gemeinsamen Aufgabe von Großbritannien und der EU geworden. Um die Grenze zum EU-Mitglied Republik Irland offen zu halten, gelten in Nordirland nunmehr weiterhin die Regeln des EU-Binnenmarkts; in der Irischen See ist zwischen Nordirland und dem Rest des Vereinigten Königreichs eine Handelsgrenze entstanden. Bei jeder Abweichung von EU-Standards wird die britische Regierung nunmehr nicht nur abwägen müssen, ob dies die Level-Playing-Field-Regeln bricht – und die EU somit Handelsschranken errichten könnte –, sondern auch, ob neue innerbritische Handelsschranken zu Nordirland entstehen. Die EU hat gleichsam auch im Interesse ihres Mitglieds Irlands die Verantwortung, gemeinsam mit der britischen Regierung dafür zu sorgen, dass diese komplexen Regelungen möglichst reibungslos funktionieren, um den Frieden in Nordirland nicht zu gefährden.

Der unter hohem Zeit- und politischem Druck entstandene Handelsvertrag legt damit vor allem eines – ein Fundament, auf dem die britisch-europäischen Beziehungen neu entstehen können. Der harte Brexit ist nun Tatsache, der Schritt von der EU-Mitgliedschaft zu einem Drittstaat mit reinem Handelsvertrag vollzogen. Es obliegt nun der politischen Ausgestaltung, wie dieses Fundament genutzt wird. Die EU und Deutschland sollten offen dafür sein, auf diesem Fundament eine stabile europäisch-britische Partnerschaft zu bauen.

Tous les mois, l'Institut Elabe interroge les Français pour Les Echos, l'Institut Montaigne et Radio Classique, ce mois-ci les Français et les perspectives économiques 2021.

Marqués par l’inquiétude et la lassitude, les Français abordent 2021 avec un état d’esprit négatif

Après une année 2020 difficile, marquée par la crise du coronavirus, la majorité des…

Gonzalo Escribano, Lara Lázaro y Naomi Moreno. Comentario Elcano 3/2021 - 7/1/2021

El futuro de la agenda de descarbonización global tras la pandemia dependerá de la combinación adoptada de multilateralismo y políticas climáticas, y del papel de los actores implicados.

Is it not ironic that the Coronavirus pandemic, which arguably began in a Wuhan ani­mal market in late 2019, has accelerated China’s rise? Indeed, early interim assess­ments show that Beijing’s draconian, sometimes inhumane, disease control measures have proven highly successful. China’s containment of Covid-19 domestically has enabled a return to normality and laid the foundation for a strong economic up­swing. Party and state leaders are using these achievements for political advancement at home and abroad. China’s effective crisis management – epidemiological, economic, and politi­cal – reveal that the country is winning this crisis in the end of 2020. Nonetheless, the sustainability of these economic and political successes is debatable.