« La France soutient notre proposition », affirme Natasha Bertaud, porte-parole de la Commission européenne : « nous avons parlé avec le gouvernement français mardi, après les déclarations de Manuel Valls et de Bernard Cazeneuve, et il nous a répété qu’il était d’accord avec notre mécanisme contraignant de relocalisation des demandeurs d’asile afin de répartir l’effort entre les 28 États membres ». À Bruxelles, on est sidéré et inquiet de la tournure prise par le débat hexagonal alors même que la proposition de l’exécutif européen répond justement à une demande française : « c’est manifestement le mot « quota » qui pose problème alors même qu’il ne figure pas dans nos propositions. Il y a aussi une confusion avec l’immigration de travail », se rassure Natasha Bertaud.
De fait, la Commission a soigneusement évité d’utiliser le mot « quota », qui évoque par trop le système américain ou canadien d’immigration économique, lui préférant celui de « relocalisation ». Néanmoins, la réalité est la même : il s’agit de répartir de façon automatique l’effort du traitement des demandes d’asile entre les États européens afin de soulager les pays qui sont sur la « ligne de front » actuelle, en clair l’Italie et la Grèce (lire par ailleurs). Il faut le préciser, il ne s’agit en aucun cas d’obliger les États à accorder l’asile, cette prérogative relevant des seules autorités nationales, mais simplement de leur demander d’instruire un certain nombre de dossiers. Surtout, ce mécanisme ne s’appliquerait en aucun cas aux étrangers qui viennent en Europe pour chercher du travail.
Jean-Claude Juncker, le président de l’exécutif européen, a fait preuve de courage politique dans cette affaire. Lassé des larmes de crocodiles versés par les États à la suite de chaque naufrage mortel en Méditerranée, il les place devant leur responsabilité : vous voulez de la solidarité, vous voulez faire front en commun, hé bien assumez, leur dit-il en substance. Il s’attaque ainsi aux égoïsmes nationaux qui se sont encore manifestés lors du conseil européen du 23 avril dernier : si les chefs d’État et de gouvernement ont certes réclamé une « répartition d’urgence » des demandeurs d’asile, c’est seulement sur une « base volontaire ». Vu l’état des opinions publiques chauffées à blanc par les populistes, c’était là la garantie que rien ne changerait. Or, actuellement, seuls quelques pays assument le traitement de l’essentiel de la vague actuelle : l’Allemagne (de 77 650 demandes en 2012 à 202.815 en 2014), le Danemark (de 6075 à 14 715), l’Italie (de 17 350 à 64 625), la Hongrie (de 2155 à 42 775), les Pays-Bas (de 13 100 à 24 535), l’Autriche (de 17 450 à 28 065) et la Suède (de 43 945 à 81 325). En comparaison, la France (de 61 455 à 64 310), l’Espagne (de 2565 à 5615), la Pologne (de 10 755 à 8025), la République tchèque (de 755 à 1155) ou encore le Royaume-Uni (de 28 895 à 31 945) font pâle figure.
Dès lors, il n’est pas étonnant que la Grande-Bretagne, l’Espagne, la Pologne et la République tchèque aient d’ores et déjà fait savoir qu’ils étaient opposés à tout système contraignant. Plus curieusement, la Hongrie, qui bénéficierait pourtant de ces « quotas », s’y est aussi opposée au nom de la souveraineté nationale. Ce qui ne constitue pas une minorité de blocage suffisante, sachant que Londres, Dublin et Copenhague, qui ne participent qu’au coup par coup à la politique européenne d’immigration et d’asile, n’ont pas de droit de vote. Une opposition de la France permettrait cependant aux opposants d’atteindre la minorité de blocage nécessaire (soit 35 % des États, soit 35 % de la population). D’où l’inquiétude de la Commission devant le dérapage du débat français.
Cela étant, elle a une part de responsabilité dans la tournure prise par les évènements : en publiant ses propositions le mercredi 13 mai, la veille du très long week-end de l’Ascension, elle n’a pas pu expliquer ce qu’elle voulait. Durant quatre longs jours, la Commission a observé un silence assourdissant et c’est encore une fois Marine Le Pen, la présidente du FN, qui a donné le « la » du débat en dénonçant, dimanche, une « politique d’immigration massive » organisée par « Bruxelles ». Un amateurisme sidérant qui risque de torpiller les efforts de la Commission pour exister à nouveau politiquement en incarnant l’intérêt général européen.
N.B.: version longue de mon analyse parue dans Libération du 19 mai.
Le gouvernement français n’a manifestement pas bien compris les propositions que la Commission européenne a rendu publique le 13 mai pour faire face à l’afflux d’immigrés et de réfugiés en Europe (lire aussi: «le gouvernement à quota de la plaque») en s’opposant à ce que justement elle ne propose pas... Quelques faits.
QUE PROPOSE LA COMMISSION EUROPÉENNE ?
Une partie importante des étrangers qui pénètrent illégalement sur le territoire de l’UE, parfois au risque de leur vie, le fait pour fuir des persécutions ou la guerre et non pour chercher du travail. Ce n’est pas un hasard si le nombre de demandes d’asile a explosé en 2014 avec 626 065 dossiers (+ 45% par rapport à 2013), la situation internationale se dégradant. Or, la charge est actuellement supportée pour l’essentiel par les pays frontaliers de l’Union, la Grèce et l’Italie au premier chef. Bruxelles propose donc de répartir le traitement des demandes d’asile entre les pays européens.
Ce mécanisme d’urgence, qui sera finalisé mercredi prochain, ne s’appliquera qu’aux étrangers qui «ont manifestement besoin d’une protection internationale». L’exécutif européen va établir une liste de nationalités qui seront réputées être dans ce cas et dont feront sans doute partie les Syriens, les Erythréens, voire les Somaliens. Dans le pays de premier accueil, des représentants de Frontex (l’agence européenne des migrations), d’Europol (agence de coordination policière) et des autorités nationales chargées d’accorder l’asile procéderont à un premier examen des dossiers pour écarter les demandes manifestement infondées. Ensuite, ces personnes seront réparties entre les Vingt-Huit selon une clé basée sur la démographie, la richesse, les efforts précédents, etc. Ainsi, l’Allemagne devra en accueillir 18,42%, la France 14,17%, l’Italie, 11,84%, etc. Soit, en se basant sur les chiffres de 2014, un «surplus» de 26 000 demandeurs d’asile dans l’Hexagone, et de 7 000 régularisés. Ce sont les autorités nationales qui, au final, accorderont ou non le statut de réfugiés. A charge pour elles, aussi, de reconduire à la frontière les déboutés. En outre, la Commission demande aux Etats d’accueillir 20 000 Syriens qui ont déjà obtenu le statut de réfugié et qui se trouvent actuellement dans des pays tiers (Turquie, Jordanie, Liban).Pour entrer en vigueur, cette réglementation devra être adoptée par une majorité qualifiée d’Etats, le Royaume-Uni, l’Irlande et le Danemark ne participant pas au vote puisqu’ils bénéficient d’un opt-out (une option de retrait) sur la politique d’immigration.
LA FRANCE EST-ELLE SPÉCIALEMENT GÉNÉREUSE ?
A en croire le gouvernement, Manuel Valls et Bernard Cazeneuve en tête, la France assumerait plus que sa part dans la prise en charge des migrants, notamment ceux relevant de l’asile. «Sur 28 pays de l’UE, 5 seulement accueillent 75% des demandeurs d’asile», a expliqué lundi le ministre de l’Intérieur. En valeur absolue, il n’a pas tort. L’an passé, la France a enregistré 62 735 demandes d’asile selon Eurostat, ce qui la place au quatrième rang européen derrière l’Allemagne, la Suède et l’Italie.Mais alors que l’UE a enregistré une hausse globale des demandes de 44%, la France, elle, a vu le nombre de dossiers déposés diminuer de 5%. Certes, la tendance est à la hausse quasi continue depuis 2007. Mais les besoins de protection sont moins élevés qu’en 1989 (Turquie, Zaïre) ou en 2003 (ex-Yougoslavie, Algérie, Tchétchénie). «On est incapable de reconnaître que l’asile est phénomène éternel, note Jean-François Dubost, juriste à Amnesty International. Les demandes oscillent de manière récurrente entre 45 000 et 65 000 par an.»Surtout, quand on rapporte le nombre de requérants à la population du pays d’accueil, on se rend compte que la France est loin d’être «submergée», comme voudrait le faire croire l’extrême droite. En 2014, la France comptait un demandeur pour un millier d’habitants. Très loin de la Suède (8,4 pour 1 000), de la Hongrie (4,3) ou de l’Allemagne (2,5).«Notre pays se targue d’être important sur la scène économique et diplomatique et de défendre l’asile, remarque Eve Shahshahani, responsable du dossier pour l’Action des chrétiens pour l’abolition de la torture (Acat). Or, la France n’est pas bonne élève. Elle a été condamnée à près de dix reprises ces dernières années par la Cour européenne des droits de l’homme sur ce dossier.»Le taux de protection est à cet égard révélateur. En 2013, 18% des dossiers aboutissaient à une issue positive, quand la moyenne européenne s’élevait à 35%, selon l’Acat. Les choses se sont améliorées en 2014, selon Pascal Brice, le directeur de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra). « L’an passé, le taux de protection global était de 28%.»Au crédit de l’Ofpra, la France reçoit peu de demandes d’asile syriennes (3 154 en 2014), alors que l’Allemagne en a enregistré 41 000 et la Suède 31 000. Or, les Syriens bénéficient d’un taux de protection très élevé, plus de 90%. Mécaniquement, ils font donc monter le niveau du taux de protection. Pour Pascal Brice, c’est autant la situation économique, plus favorable en Allemagne ou en Suède, que les communautés implantées là-bas qui expliquent que ces deux pays soient privilégiés par les Syriens. A contrario, il est indéniable que la France se montre très peu généreuse envers les migrants originaires de la Corne de l’Afrique (Erythrée, Soudan), dont les dossiers sont rejetés dans près de 90% des cas.
LE SYSTÈME D’ASILE EST-IL DÉVOYÉ ?
C’est devenu un des leitmotivs de la droite et de l’extrême droite : puisqu’un quart des demandeurs d’asile seulement voient leurs demandes aboutir, c’est que les trois quarts seraient des «fraudeurs», des migrants économiques «déguisés». Un rapport provisoire de la Cour des comptes, qui a fuité dans la presse au mois d’avril, avait accrédité cette thèse : «La demande d’asile est utilisée par certaines personnes comme une nouvelle filière d’immigration, notamment économique.» La Cour des comptes pointait aussi le faible nombre de déboutés quittant effectivement le territoire français (1% selon elle, 10% selon le ministère de l’Intérieur). Cette machine à fabriquer des sans papiers coûterait, selon l’institution de la rue Cambon, 2 milliards d’euros par an.Faux, répond le gouvernement, qui chiffre le budget de l’asile à un peu moins de 600 millions. «Cette rhétorique est trompeuse», dénonce Eve Shahshahani, qui estime que les déboutés sont avant tout des personnes «n’ayant pas eu la chance d’être pleinement entendues». Mylène Stambouli, de la Ligue des droits de l’homme, précise : «Une personne dont la famille a été massacrée peut mettre longtemps avant de réussir à faire le récit de son expérience.» Pascal Brice, le directeur de l’Ofpra, balaie lui aussi cette idée d’un droit d’asile dévoyé : «Penser qu’il y aurait un comportement conscient et massif de détournement, c’est une erreur sur la nature de ce droit.» Un coup d’œil aux nationalités les plus présentes parmi les demandeurs d’asile est instructif : les personnes originaires de zones de conflits (République démocratique du Congo, Russie, Syrie) côtoient celles venues du Bangladesh et d’Albanie.
N.B.: Article cosigné avec Sylvain Mouillard et paru dans Libération du 19 mai
Budapesten, a Polgárok Házában a Keskenyúton Alapítvány szervezésében mutatkozott be a minap Zombor a magyar főváros érdeklődő közönségének. A történelmi Magyarország jeles városainak hagyományos világát idéző ciklus részeként került sor a hajdani Bács-Bodrog vármegye, és közigazgatási központja emlékének megidézésére, s mert az előadók a múlt elmondható és megnevezhető lényegét keresték, hát szó esett tragédiákról és újra éledő reményekről egyaránt. Fekete J. József író, Zombor lelkének kiváló ismerője Rencsényi Hajnal Elvira Ártatlanok igazsága című új könyvéről beszélgetett a szerzővel, jelezve valamit abból az 1944 őszén bekövetkezett mérhetetlen tragédiából, amely ma is elevenen kísérti a délvidéki magyarságot. Virág István újságíró, fotóriporter pedig fényképeken elevenítette meg a város mai valóságát, utcáinak, tereinek, erkélyeinek és boltíveinek rejtett szépségeit.
Moszkva még mindig nem kapott konkrét választ a Misztrál hajókkal kapcsolatban, de a megbeszélések nem álltak le, és a közös döntést már a jövő héten meghozhatják – írja a Zvezda TV.
Első alkalommal rendeztek családi napot Palágykomorócon. Május 17-én a helyi és környékbeli falvakból érkező családok igen változatos és sokszínű programon vehettek részt. A rendezvény a Palágykomoróci Kultúrház területén zajlott.
A családi nap elején Illár József helyi polgármester köszöntötte az egybegyűlteket. Ezt követően Andrejcsák-Tóth Anetta, a KMKSZ Palágykomoróci Alapszervezetének elnöke, járási képviselő mondott beszédet, aki hangsúlyozta, hogy a család az élet központja és az örökkévaló boldogság kulcsa. Szkoropádszky Péter helyi görögkatolikus paróchus áldást kért a megjelent családokra, majd Illár Viktória, a rendezvény szervezője, a Palágykomoróci Kultúrház igazgatója ismertette a programot.
A palágykomoróci óvoda és az általános iskola növendékei színvonalas műsorral kedveskedtek az idelátogatók számára, majd a helyi Örökzöld Nyugdíjasklub kórusának műsorával folytatódott az előadás. A koncertek után a családok különböző ügyességi vetélkedőkön vehettek részt. A nyertesek jegyeket kaptak, amelyeket beválthattak értékes ajándékokra vagy felhasználhatták trambulinozásra, fodrászatra, arcfestésre.
A palágykomoróci egészségügyi rendelő munkatársai is jelen voltak, akiktől a gyermekek megtanulhatták, hogyan kell helyesen fogat mosni, valamint az idősebbek megmérethették vérnyomásukat.
A helyi tehetségek kiállítását is megtekinthették az idelátogatók: Kisszelmencről Szakács Roland, Palágykomorócról pedig Kiss Tímea és Danicskó Márk rajzaiban gyönyörködhettek az érdeklődők. A nap zárásaként táncházra került sor, amely során a Csipkés együttes húzta a talpalávalót.
A rendezvény célja az volt, hogy a családokat közelebb hozzák egymáshoz – mondta Illár Viktória, a program főszervezője.
A nap támogatói a Kárpátaljai Magyar Kulturális Szövetség, a Dorcas Segélyszervezet, a helyi egyházközségek, Béres Ágnes hitoktató, valamint a Palágykomoróci Polgármesteri Hivatal voltak.
Váradi Enikő
Beregszász polgármestere, Babják Zoltán és Mikola Kuricja alezredes szerint felelősségre kell vonni a parkolási szabályokat megsértőket.
Babják Zoltán megbeszélést folytatott Mikola Kuricjával, a belügyi hivatal vezetőjével — olvashattuk Beregszász polgármesterének, Babják Zoltán közösségi oldalán.
Az alezredessel arról beszéltek, hogy ellenőrző szemléket kellene tartani annak érdekében, hogy felelősségre vonják azokat, akik megsértik a parkolási szabályokat a város központjában.
Elsősorban a gyalogosok számára fenntartott területekre, ezen belül a terekre és járdákra vonatkozik ez. Az autósok főleg a délelőtti órákban sértik meg a parkolás szabályait, amikor különösen sok a jármű Beregszászban.
Des organisations internationales ont dénoncé le manque de pluralisme politique et les atteintes à la liberté de la presse avant les élections générales de
Environ un demi-millier de personnes ont manifesté samedi à Ouagadougou contre la production des organismes génétiquement modifiés (OGM)
L'armée nigériane a affirmé
Az iraki hadsereg ellentámadást indított szombaton az Iszlám Állam (IÁ) nevű terrorszervezet ellen a stratégiai jelentőségű nyugat-iraki Ramádi városnál, el-Anbár tartomány székhelyénél.
A síita milíciák és törzsi egységek által támogatott hadseregnek ez az első támadása azóta, hogy az Iszlám Állam fegyveresei hat nappal ezelőtt elfoglalták Ramádit.
Május 17. óta az Iszlám Állam ismét győzelmek sorozatát arathatta le Irakban és Szíriában is, ugyanis újabb területeket vont ellenőrzése alá a két országban, és elfoglalt egy határátkelőt is. Az iraki kormány attól tart, hogy az el-Anbár tartomány nagy részét ellenőrző dzsihadisták a főváros, Bagdad felé vagy dél-iraki területek felé fordulnak.
A szombaton kezdődött műveletben a helyi és szövetségi rendőrség, az iraki belügyminisztérium gyorsreagálású egységei, a reguláris hadsereg katonái, valamint síita milíciák vesznek részt - közölte egy iraki rendőrezredes.
Haider al-Abádi iraki síita miniszterelnök a napokban döntött arról, hogy további síita milíciákat küld a többségében szunniták lakta tartományba, miután Ramádi ostromakor az iraki vezetésnek ismét szembesülnie kellett az iraki hadsereg hasznavehetetlenségével.
Dzsafar Huszeini, a Kataib Hezbollah nevű síita milícia szóvivője azt mondta, több mint kétezren állomásoznak a térségben, és sikerült biztosítaniuk a környékbeli Halidíját és a települést Habbaníjával összekötő utat.
A térségben tartózkodó ezredes az AFP francia hírügynökségnek úgy nyilatkozott, hogy a csapatok megkezdték a Ramáditól hét kilométerre fekvő, előző nap a dzsihadisták kezére került Huszejba városának visszafoglalását.
El-Anbár székhelyének eleste az iraki erők számára az utóbbi egy év legnagyobb vereségét jelenti, és árnyékot vet az Egyesült Államok vezette terrorellenes koalíció tevékenységére. A szövetség repülőgépei péntek óta 22 alkalommal mértek légicsapást az Iszlám Állam iraki állásaira, s ezek közül négyszer bombázták Ramádi környékét, míg Szíriában öt támadást intéztek a dzsihadisták ellen - derül ki a helyi amerikai erők közleményéből.
By tklaura
Öt településről érkeztek gyerekek Szenttamásra, az Aranycitera versenyre. A repertoáron főleg dél-alföldi és vajdasági népdalok szerepeltek.
Citera hangja járta be a szenttamási Jovan Jovanović Zmaj Általános Iskolát. Az oktatási intézményben tartották az Aranycitera nevű rendezvényt. Az eseményen gyakorlott muzsikusok mellett olyan gyerekek is részt vettek, akik csak néhány hónapja pengetik a A cikk folytatása …
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By tklaura
61 éves korában pénteken elhunyt Szabadkán Đorđe Mutić tornász, Jugoszláv válogatott, edző. A sportoló 1963-tól foglalkozott gimnasztikával. Több sikert is aratott, jugoszláv bajnok is volt, 1972-ben pedig részt vett a müncheni olimpián. A 80-as évek elejétől edzőként dolgozott. 1992-ben a jugoszláv férfiválogatottat irányította a budapesti Európa-bajnokságon. 2009-ben a legjobb szakvezető A cikk folytatása …
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