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Kolozsváron az 5. Ünnepi Könyvhét „Egy korty könyv” jelmondattal június 4-én kezdődik a Fogoly (Potaissa) utcában, ahol négy napig bőven lesz mit kortyolgatniuk a könyvbarátoknak. Amint H. Szabó Gyula, a Romániai Magyar Könyves Céh alelnöke a Hangolóban elmondta: „Mivel a szervezők jóvoltából idén n...

Túllépte a kétezret az Indiában hetek óta tomboló hőséghullám halálos áldozatainak száma - közölték szombaton a helyi hatóságok.

Az indiai meteorológiai hivatal közlése szerint szombaton záporesők és zivatarok enyhítettek valamelyest a két hete tartó rendkívüli kánikulán, a hőmérő higanyszála azonban így sem ereszkedett 40-45 Celsius-fok alá, és a hőség a szakemberek szerint még legalább egy napig kitart.
Indiában évről évre sokan esnek áldozatul a hőségnek - különösen a legszegényebbek közül. Az ideit felülmúló, gyilkos hőhullám azonban csak 1998-ban tombolt, amikor 2451 halálos áldozata volt a kánikulának a természeti katasztrófákat nyilvántartó nemzetközi EM-DAT adatbázis szerint.
Jelenleg továbbra is a délkeleti Ándra Prades és Telagana szövetségi államokban a legsúlyosabb a helyzet, a két szomszédos államban 1979 áldozatot szedett már a forró idő. További 17 ember a keleti Orisszában és kilenc további államban halt bele a hőségbe.
Ándra Pradesben és Teleganában a kormányzat kiterjedt ismeretterjesztő kampánnyal igyekezett a leginkább veszélyeztetettek figyelmét felhívni a hőséggel szembeni védekezés fogásaira.
Az esők hozta szombati enyhülés nyomán az Ándra Prades-i kataszrófa-elhárítási hatóságok egyik illetékese, J.V. Subbarao derűlátóan nyilatkozott, reményét fejezve ki, hogy a következő napokban csökkenni fog a hőség okozta halálozások száma.
Az előrejelzések szerint a jövő héten már elérik India déli részét a monszunesők, fokozatosan előretörve észak felé. A csapadékos monszunévszak szeptember végéig tart.

Il y a près de trois semaines, les pays de la région se retrouvaient à Dar es-Salaam pour tenter de trouver une solution à la crise burundaise, une réunion renvoyée à plus tard en raison d'une tentative de coup d'état qui avait failli renverser le chef de l'état burundais. Depuis, les choses ont changé sur le terrain avec un durcissement du conflit et de la répression. Sur le terrain ce dimanche la situation est à la mi-journée calme.

En décidant d’enquêter sur le déroulement des trilogues, la médiatrice se place au cœur du processus démocratique qui consiste à fabriquer les lois européennes avec des députés européens que nous avons élus. La situation n’est pas satisfaisante : l’audition organisée par le Parlement européen en mars dernier (cf. le compte rendu détaillé de Annalisa Salvati «Pour en savoir plus ») « vers un niveau élevé de responsabilité, de transparence et d’intégrité au sein ses Institutions européennes », et tout particulièrement le représentant de Transparency International en avait souligné les défaillances. Le trilogue représentait la face obscure, cachée, les participants à l’audition, dont la médiatrice, ont repris ce point que le représentant de Transparency International était le premier à souligner : le processus de négociations interinstitutionnelles, le plus souvent au cours de réunions informelles entre le Parlement européen, le Conseil de l’UE et la Commission européenne reste insaisissables même pour l’observateur vigilant. La connaissance du déroulement du trilogue se dérobe à son attention.

« Aucun compte rendu n’est publié après ces réunions. On ne sait jamais vraiment quand les réunions ont lieu, comment les décisions sont prises » a déclaré Emily O’ Relly »Une loi entre dans le pourparler du trilogue et en ressort, mais que se passe-t-il entretemps » ? Pour illustrer son propos la médiatrice a pris l’exemple récent des frais d’itinérance (« roaming ») pour les appels depuis un téléphone portable effectué à l’étranger. Le Parlement s’est exprimé en faveur de réductions tarifaires beaucoup plus élevées que ce que la majorité des gouvernements souhaitait. « Ce sujet a été très problématique, a poursuivi la Médiatrice, »le Conseil a dit non, et le Parlement et la Commission ont dit oui. Je pense qu’on peut s’interroger sur la manière dont la décision finale a été prise et sur la manière dont la public a été informé ».

Depuis sa prise de fonction il y a 18 mois, Emily O’ Reilly a adopté une stratégie d’enquêtes systémiques, par exemple les négociations sur le TTIP. Elle se démarque ainsi de ses prédécesseurs, qui avaient recours plus rarement aux enquêtes d’initiatives propre, se concentrant sur le traitement des plaintes qui lui sont adressées. Pour la Médiatrice, cette approche ciblée lui permet d’obtenir le maximum de résultats malgré des ressources administratives limitées. Pour elle, un des avantages du système actuel est qu’il est efficace : le travail est accompli et dans les temps. Personne n’oserait proposer un mécanisme qui ralentirait le processus fait remarquer la Médiatrice. « J’ai pourtant le sentiment qu’une pièce manque au tableau : la transparence. »

La Médiatrice a donc demandé aux trois institution participant eu Trilogue des informations sur leurs politiques de divulgation des documents du trilogue, y compris les détails des réunions, des documents concernant des trilogues en cours, des comptes-rendus ou des notes élaborés après de telles réunions, ainsi que des listes de participants. Elle attend une réponse d’ici au 30 septembre 2015.

Afin d’avoir une vue globale des documents échangés pendant les négociations en trilogue, la Médiatrice examinera les deux mêmes dossiers échangés pendant les négociations dans chacune des trois institutions. Elle a choisi les dossiers concernant le règlement sur les essais cliniques et la directive sur le crédit hypothécaire. Pour Emily O’Reilly, les citoyens européens, les entreprise s et les diverses organisations devraient pouvoir « suivre chaque étape du processus législatif et comprendre comment les négociateurs arrivent à un accord ».

Alors que la procédure peut nécessiter jusqu’à trois lectures, l’utilisation régulière des trilogues montre qu’un accord est trouvé lors de la première lecture ce sui s’est réalisé dans environ 80% des lois européennes ; 1500 réunions du trilogue ont eu lieu au cours des cours dernières années. Ces dire qu’une masse importante d’informations se dérobe à notre attention et ce ne sont pas les quelques petites minutes que, par exemple la Commisssion Libe consacre de façon aléatoire au déroulement du trilogue, qui peut pallier ces insuffisances, pas plus que, sauf à de rares exceptions, les débats en plénière. Le mouvement européen ne s’est pas trompé sur l’enjeu, il a salué l’enquête car selon lui, cela vise à renforcer la démocratie.

Il faut ajouter que le Parlement européen par sa passivité et son indifférence est largement complice de cette situation. Eulogos continuera comme par le passé à donner le maximum possible d’informations sur les activités de la Médiatrice pour les domaines qui le concernent plus directement : le prochain dossier retenu concernera le trilogue sur la présomption d’innocence actuellement en cours de trilogue.

Pour en savoir plus :

     -. Compte rendu de l’audition du Parlement européen du 26 mars 2015 : « Vers un niveau élevé de responsabilité, de transparence et d’intégrité au sein des institutions européennes »(http://europe-liberte-securite-justice.org/2015/04/19/vers-un-niveau-eleve-de-responsabilite-de-transparence-et-dintegrite-au-sein-des-institutions-europeennes-compte-rendu-de-laudition-commune-du-26-mars-2015/

     -. Communiqué de presse de la médiatrice http://www.ombudsman.europa.eu/press/release.faces/fr/59975/html.bookmark

     -.Lettre au Conseil européen ouvrant la procédure d’enquête http://www.ombudsman.europa.eu/en/cases/correspondence.faces/en/59978/html.bookmark

     -. Lettre au Parlement européen ouvrant la procédure d’enquête http://www.ombudsman.europa.eu/en/cases/correspondence.faces/en/59976/html.bookmark

     -. Lettre à la Commission européenne http://www.ombudsman.europa.eu/en/cases/correspondence.faces/en/59977/html.bookmark

     -. Rapport annuel 2014 de la médiatrice (EN) http://www.ombudsman.europa.eu/en/cases/correspondence.faces/en/59977/html.bookmark

     -. Description de la procédure législative ordinaire http://www.europarl.europa.eu/aboutparliament/fr/20150201PVL00004/Pouvoir-l%C3%A9gislatif

     -. Description du déroulement de la procédure et accès aux Textes juridiques , dossiers en cours, dossiers conclus http://ec.europa.eu/codecision/stepbystep/text/index5_fr.htm

       – . Glossaire de la Commission européenne http://ec.europa.eu/codecision/stepbystep/glossary_fr.htm

-. Mouvement européen International : ”Promoting transparency in EU legislation is the right way”» http://europeanmovement.eu/news/promoting-transparency-in-eu-legislation-is-the-right-way/

 

 

 

 

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BUDAPEST. Egy telitalálatos szelvény volt az e heti ötös lottón, vagyis elvitték az ötmilliárd forintos főnyereményt.

May 31, 2015 (ADDIS ABABA) – South Sudan' armed opposition faction of the Sudan Peoples' Liberation Movement (SPLM-IO) under the leadership of the country's former vice president, Riek Machar, said they doubted intentions of members of former detainees, sometimes referred to as G-10 led by the former ruling party's secretary general, Pagan Amum.

Former South Sudanese political detainees hold a press conference in the Ethiopian capital, Addis Ababa, on 13 February 2014 (Photo: IGAD)

“Yes, we have learnt that members of former detainees want to return to Juba. Our leadership is not however sure about their intentions,” said James Gatdet Dak, spokesman of the opposition leader, Riek Machar.

Dak was reacting to the news coming out from the South Sudanese capital, Juba, as well as from the Kenyan capital, Nairobi, in which the soon return of former detainees to Juba was announced.

It was not clear under what circumstances the former detainees will return to Juba for the first time since their freedom last year. The ruling party (SPLM) acting secretary-general, Ann Itto, last week announced that the former political detainees would return in implementation of the reunification of the SPLM party per the Arusha intra-party dialogue.

But Amum was quoted in the media as dismissing allegations that his group was returning to Juba as alleged by the SPLM-Juba acting secretary general.

SPLM-IO which has been the main opposition faction and actively fighting the government would not take part in the current ongoing return process to Juba.

However, on Friday, members of former detainees led by former cabinet minister, Deng Alor, met with Kenyan president Uhuru Kenyatta and discussed their return to Juba to try to “reconcile” between president Kiir's faction and that of his former deputy, Machar. Former secretary-general Amum was however not featured in the group that met the Kenyan president.

They said their role would be to try to reconcile between president Salva Kiir's government and the opposition faction led by former vice-president Riek Machar. However the acting secretary-general, Ann Itto, stressed that the members of former detainees were returning in implementation of the SPLM agreement on reunification.

She earlier pointed that the returnees would be reinstated into their former positions in the party, while other sources adding that a new cabinet reshuffle would also see many of them appointed to government positions.

Machar's opposition faction in reaction said they were committed to the Arusha intra-party dialogue as the “three factions” including the former detainees, questioning how the SPLM faction of former detainees had now dropped the initial process and turned into a “neutral reconciling team between warring parties.”

“We know them as party to the conflict whether in Arusha or in Addis Ababa. They have their own grievances and position papers that they present at negotiating tables. We have no idea how they have suddenly become a neutral body which sole role now is to reconcile between us and the government,” Dak told Sudan Tribune on Saturday.

“Have they abandoned their position papers at the negotiating table as a party to the conflict?” he inquired.

He said they were detained in 2013 in Juba because they were never neutral whether as former government officials or party leaders, adding they also actively led in the “SPLM reform initiative with the former first deputy chairperson of the party which president Kiir turned into violence.”

The former detainees, he said, however had the right to pursue their interests separately as they liked including a separate “premature” reunification with president Kiir's government.

He said the SPLM-IO leadership was not against reconciliation between the factions of the party but added this should come as a result of a negotiated peace agreement that shall be reached between the “three SPLM factions” per the initiated intra-party dialogue and in the Addis Ababa peace process.

Dak further explained there were many issues pending which were highlighted in the October 2013 ‘Arusha roadmap agreement on reunification' of the SPLM which should be tackled including a joint mechanism for reconciliation process within the ruling party.

He said that even if there were to be a final agreement on reunification of the SPLM party, full implementation of such an agreement would still be anchored to a final peace agreement in Addis Ababa mediated by the East African regional bloc, the Intergovernmental Authority on Development (IGAD).

The rebel official further pointed that issues such as system of governance, security arrangements during the would-be transitional period, accountability, compensation and reparation and reconciliation as well as reforms in various sectors will be tackled in the IGAD-mediated peace process.

He concluded that the leadership of the SPLM-IO was committed to the intra-party dialogue in Arusha, which he said was complementing the Addis Ababa peace process in addressing the root causes of the conflict so as to reach a final peace agreement.

(ST)

Május 30-án egész Ukrajnában kerékpáros napot tartottak. Az évente megrendezett kerékpáros futam vonzza a sportág szerelmeseit, akik így kívánják népszerűsíteni az egészséges és aktív életmódot.

Idén – első ízben – Beregszász is csatlakozott ehhez a sportrendezvényhez. 57 sportszerető vett részt a kerékpáros körversenyben. A versenyzők a Széchenyi utcában rajtoltak el, s az Állomás utcán, valamint a B. Hmelnickij úton keresztül a beregdédai buszmegállóig haladtak, onnan pedig ugyanezen az útvonalon vissza a kiindulási pontig.

A rendezvény a Beregszászi Polgármesteri Hivatal és a Beregszászi Kerékpáros Klub szervezésében valósult meg. Egy mobiltelefonnal gazdagodott Pavlo Beda, az akadályverseny győztese, míg a legidősebb résztvevő, az 53 éves Zoja Kucnak egy Csizaj borkollekciót vihetett haza.

Sorsolás döntött a fődíj, a helyi kerékpáros klub által felajánlott sportkerékpár gazdájáról. A rendezvény legfiatalabb résztvevőjének, Nagyijka Ratusnának jutott a lehetőség, hogy kihúzza a sorsjegyet a szerencsés nyertes nevével. A kerékpárt Olekszandr Vorosilov vihette haza.

Kárpátalja.ma

Au terme d'une visite de deux jours au Burundi, le Conseiller Spécial du Secrétaire général de l'ONU pour la prévention du génocide, Adama Dieng, a appelé les parties à s'engager en faveur d'un dialogue constructif en vue de résoudre la crise actuelle et à adopter un ensemble de mesures consensuelles pour calmer les tensions.

Le Conseil de sécurité de l'ONU a déploré la fusillade qui a eu lieu à Bamako le 25 mai dernier, faisant un mort et un blessé parmi les Casques bleus de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation au Mali (MINUSMA).

The United Nations human rights chief has urged several States to intensify their efforts to investigate long-standing allegations that soldiers in their forces sent to keep the peace in the Central African Republic (CAR) may have committed very serious violations, including killing of civilians and sexual exploitation of local women.

At the conclusion of his two-day visit to Burundi, Adama Dieng, the United Nations Special Adviser on the Prevention of Genocide, warned of increased tensions and the risk of further violence, unless all parties engage in open dialogue to resolve the crisis and calm tensions.

The United Nations Special Envoy for Syria, Staffan de Mistura, has strongly condemned the death of at least 70 civilians in Syria&#39s northern Aleppo province by barrel bombs dropped from government helicopters.

The elimination of the world&#39s illicit tobacco trade will not only save millions of lives but also generate billions of dollars in windfall for governments, the United Nations World Health Organization (WHO) announced today as it marked the 2015 edition of World No Tobacco Day.

The United Nations human rights chief has urged several States to intensify their efforts to investigate long-standing allegations that soldiers in their forces sent to keep the peace in the Central African Republic (CAR) may have committed very serious violations, including killing of civilians and sexual exploitation of local women.

At the conclusion of his two-day visit to Burundi, Adama Dieng, the United Nations Special Adviser on the Prevention of Genocide, warned of increased tensions and the risk of further violence, unless all parties engage in open dialogue to resolve the crisis and calm tensions.

May 30, 2015 (JUBA) – The governor of South Sudan's Upper Nile state, Simon Kun Puoc has returned to the oil-rich region after government troops gained its control from rebels.

Governor Simon Kun Pouch (FILE)

The state information minister, Peter Hoth Tuach said the governor landed in Paloch, the main oilfield, which presently has heavy military presence.

“The governor returned today [Friday]. He was accompanied by several officials, including the minister of finance and was received on arrival by the deputy governor and number of officials, including myself”, Tuach told Sudan Tribune by phone.

Military confrontations between Pouc's bodyguards and forces under the command of Johnson Olony, a former government-allied militia leader forced the former to vacate the state capital, Malakal as opposition forces briefly occupied the area a week ago.

Olony was a militia commander between 2010 and 2012, when he fought under the banner of South Sudan Democratic Movement led by late George Athor Deng, who rebelled in protest of the result of 2010 elections in which he contested as an independent candidate for Jonglei state. He later decided with several other militia groups to abandon rebellion in response to the 2012 presidential amnesty.

Governor Puoc, the information minister said, will be in Paloch for at least three days while assessing the security situation in the region.

“He [governor] will visit the internally displaced persons and hold talks with local communities and commanding officers of our gallant SPLA forces in the area, personally congratulate them on behalf of Upper Nile state government for defeating the rebels and demonstrating strong commitment, allegiance and determination to defend the constitution, resources and citizens of South Sudan from physical threat and harm,” said Tuach.

The United Nations expressed concerns over the serious violations and abuses of international human rights and humanitarian law have taken place and are ongoing, as fighting intensifies between forces of the Sudan People's Liberation Army (SPLA) and Sudan People's Liberation Army–In Opposition in Unity and Upper Nile states.

There are 30,410 people at the protection of civilians sites in Malakal, the UN said.

(ST)

May 30, 2015 (KHARTOUM) – The Democratic Unionist Party (DUP) led by Mohamed Osman al-Mirghani announced that it rejected the offer submitted by the National Congress Party (NCP) to join the new cabinet that will be formed after president Omer Hassan al-Bashir is sworn in to a new term.

Mohamed Osman Al-Mirghani (file photo)

Osama Hassoun, a DUP leading figure, told Sudan Tribune that the party held a meeting on Saturday evening in which the decision was made to reject the proposal and focus on building the party.

“We want partnership in the homeland not participation in the government,” Hassoun said.

But other government sources dismissed these remarks saying that the DUP completed consultations with the NCP on its allocated posts in the cabinet.

It is understood that the NCP offered the DUP the same posts it currently holds in the cabinet which includes three federal ministries, two state ministers and other posts on the state level.

The NCP said it will look into the DUP's request for an additional post without committing to it which aggravated al-Hassan al-Mirghani who is currently running the party as his father is still out of the country.

But Ali al-Sayed, a long-time DUP figure, dismissed this decision as a manoeuvre by al-Hassan to secure more concessions from the NCP.

He noted that al-Hassan agreed to participate in the elections in order for the party to be able to remain in the cabinet.

President Bashir has warned earlier this year that only parties which contested in April's general elections will be offered posts in the government.

Al-Sayed was dismissed by al-Hassan from the DUP along with other top party figures who challenged his decision to participate in the elections and sought unsuccessfully a court ruling declaring him ineligible to represent the party before the National Elections Commission (NEC).

The DUP left opposition ranks and joined the “broad-based” government of the NCP in December 2011, citing the “need to save the country” in the words of al-Mirghani himself.

(ST)

Le pays attend l'avis de la Haute Cour constitutionnelle sur la destitution du président de la République. Une destitution réclamée par une majorité de députés à l'Assemblée nationale mais qui doit encore être validée ou bien rejetée par la HCC. Face à la crise institutionnelle que traverse le pays, l'armée affiche sa neutralité et son attachement au respect de la Constitution. Les chefs des forces de l'ordre affirment qu'ils se soumettront au verdict de la Cour.

Le sommet de Dar es Saalam qui s'ouvre ce dimanche 31 mai autour de la question d'une sortie de crise au Burundi suscite de nombreuses attentes au sein de l'opposition et de la société civile burundaise. Les uns comme les autres appellent les chefs d'Etat d'Afrique de l'Est à trancher la question du troisième mandat du président Nkurunziza.

IBK: 77% des suffrages exprimés, Raz de marée électoral ou pire usurpation d'un pouvoir ramassé par terre? Je sais qu'aujourd'hui il est très difficile d'être serein