Az esős, egyben meleg időnek köszönhetően egyre több gomba jelenik meg. Ezt azok is tapasztalhatják, akik nem látogatják gyakran a környező erdőket vagy ligeteket, ugyanis a piaci árusok standjai szebbnél szebb gombákat kínálnak a vásárlóknak. Az erdei utak mentén szintén egyre több gombaárust láthatunk. A gombák növekvő gyakorisága a vásárlóknak kedvez igazán, hiszen néhány héttel ezelőtt akár 130 hrivnyát is elkértek a tinóru gomba kilójáért a Beregszász vagy Nagyszőlős környéki településeken, ma már megvehetjük 50-80 hrivnyáért is. Szerkesztőségi munkatársunk érdekes megfigyelést tett: míg a városi piacokon 50-60 hrivnyáért értékesítik a sokak által kedvelt tinórut, addig például Gut község kivezető útja és a Munkácsi út kereszteződésénél, az erdő szélén 80 hrivnyát is kérhetnek érte. A galambgomba és az őzlábgomba ára alacsonyabb a tinóruénál, 10-20 hrivnyáért már hozzájuthatunk egy-egy kilóhoz. A sokak által kedvelt erdei gombák gyűjtését csak olyanoknak ajánljuk, akik megfelelő gombaismerettel rendelkeznek, a tájékozatlan gombázók életveszélyes mérgezést kaphatnak. Csak olyan gombát szedjünk, melyet ismerünk, és a begyűjtött gombákat tapasztalt gombaszedőkkel vizsgáltassuk át!
Kárpátalja.ma
Nedavno je u centru Novog Bečeja započeta obnova crkve Svete Klare. Tokom radova će se izvršiti spoljašnja i unutrašnja izolacija zidova, a nakon potpunog sušenja vlažnih zidova, nakon 4 ili 5 godina, može na red doći malterisanje i krečenje.
Vojvođanski savet za pomaganje talenata je dobio priznanje za svoj raznovrsni rad, kao i za veoma efektivan rezultat u pomaganju talenata.
Ministarstvo organizuje posebne komisije u više osnovnih škola Srbije za praćenje male mature, kako bi se povećala kontrola. Regularnost ispitnog procesa pratiće se u onim školama za koje, kako u ministarstvu kažu, postoji osnovana sumnja da postoje neregularnosti. Najmanje škola u kojima postoji potreba za posebnim komisijama je u Vojvodnini.
Le Président Patrice TALON a formé son 1er Gouvernement dès le 6 Avril 2016, et le 1er Conseil des Ministres s'est tenu le 13 Avril 2016. Depuis, nous avons assisté effectivement au démarrage d'une politique de rupture et de nouveau départ, comme promis. Ainsi, le nouveau Gouvernement s'est réuni hebdomadairement, chaque mercredi, en Conseil des Ministres, où déjà, de très grandes décisions ont commencé à être prises, sans aucun temps d'observation.
Mais, concernant ces premiers Conseils des Ministres, le peuple béninois manifeste déjà quelques grincements de dents, car resté sur sa faim, vu la forme dans laquelle il reçoit maintenant le compte rendu des travaux du Conseil des Ministres, et donc des importantes décisions qui y sont prises, sous la griffe de la rupture et du nouveau départ. Bon nombre de béninois, en effet, se sont posé des questions (loin d'être dénuées d'intérêt) sur cet aspect de la nouvelle gouvernance. La presse béninoise en a fait large écho.
Pour ma part, en tant qu'observateur assidu et attentif de la vie politique et socio-économique de mon pays depuis plusieurs années, j'ai quelques six interrogations qui me sont venues à l'esprit (me mettant bien mal à l'aise) que, dans une démarche contributive, je m'en vais exposer ci-après, pour toutes fins utiles :
1. Pourquoi, à l'issue de ces Conseils des Ministres, le peuple est-il privé d'être aussitôt informé de l'exhaustivité des décisions prises, à travers un compte rendu en bonne et due forme à faire par le Secrétaire Général du Gouvernement (SGG ) et que c'est le point de presse du Ministre d'Etat, Secrétaire Général à la Présidence (SGP) qui l'informe d'abord de façon succincte, avant que vienne un compte rendu du SGG, non sans imprécisions aussi ?
Cette interrogation, me semble-t-il, pose le double problème du droit des citoyens à l'information officielle et, pour les journalistes, du droit d'accès aux sources autorisées de l'information ! Somme toute, c'est la manière dont le nouveau gouvernement communique qui pose problème. Là-dessus, les récentes explications, plutôt justifications besogneuses du (néanmoins) journaliste Edouard LOKO, officiant ès qualité de ses nouvelles fonctions, ne m'ont nullement convaincu !
Bien sûr qu'il est judicieux d'expurger les anciennes formes et contenus de compte rendu des SGG de tous détails non nécessaires ! Cependant, il demeure que l'essentiel des travaux du Conseil doit être livré complet avec toutes les précisions qui s'imposent, pour nous éviter d'aller à des interprétations (souvent malveillantes). Ces comptes rendus du SGG devront intervenir dès la soirée du jour du Conseil, non pas 2 à 3 jours plus tard comme on l'observe. Le Ministre d'Etat/SGP fera ensuite son point de presse (un vrai !) pour des réponses et explications aux préoccupations des journalistes.
2. Serait-il exagéré de parler d'économie d'information lorsqu'il est dit, par exemple, qu'il y a eu tel nombre de nominations dans tel ou tel ministère et qu'ont été relevés de leur fonction tel nombre de cadres, tout juste ça, sans aucune précision ?
Cette façon d'informer, à coup sûr, ne renseigne en rien personne, car aussitôt, toutes sortes de rumeurs et de spéculations se développent et circulent sur les réseaux sociaux et dans l'opinion publique ; de sorte qu'il faille ensuite à l'Autorité de venir donner précisions ou infirmations ! Le gouvernement du Nouveau Départ ne doit donc pas balayer d'un revers de main une telle chose, en avançant qu'il est seul juge de ce qu'il est utile de livrer officiellement comme information.
3. A quelles logique et préoccupation répond l'information que certaines personnes ont été « relevées de leurs fonctions » (3 ou 4 souvent, sans les nommer), tandis qu'ont été faites plusieurs nominations à des postes en nombre sans corrélation avec celui des gens relevés de leurs fonctions dont l'information a été donnée ?
La question se pose d'autant que toute nomination induit nécessairement un limogeage de l'occupant antérieur du poste, sauf s'il s'agit d'un poste nouvellement créé ! Alors qu'il suffit d'informer sur les nominations en précisant les noms, pour que tout le monde en déduise qu'il y a eu des limogeages ou, tout simplement, des gens « remerciés ». Je me demande donc si le Nouveau Départ veut faire un distinguo entre « limogé de son poste » et « relevé de son poste » pour ne pas dire « révoqué de son poste ». Mais alors, si c'est ce sens, on doit préciser les raisons de la révocation, au contraire du limogeage (ou remerciement), qui signifie remplacement à un poste à la discrétion de l'Autorité. Alors, que devons-nous comprendre exactement sur cette question ?
4. Qu'est-ce qui justifie ou explique qu'en plus des nominations de hauts cadres en Conseil des Ministres (donc, par décrets), il y ait d'autres par arrêtés ministériels, assorties de suspensions, donc hors Conseil et dont aucune information n'est alors donnée ?
Ces cas, tout le monde l'a constaté, n'ont pas manqué d'entraîner le sérieux problème juridique de parallélisme des formes, sur lequel les suspendus se sont appuyés pour se rebeller contre l'Autorité et refuser de passer service ! Un tel état malheureux des choses pourrait bien, à mon avis, être évité ; il suffit que toutes les nominations soient traitées de la même manière, comme il est indiqué de le faire et cela, dans le temps qu'il faut en commençant par les cas les plus urgents, pourvu que pour des situations spécifiques, des mesures conservatoires soient prises, dans l'intervalle. Et là encore, l'information officielle du Gouvernement a eu des lacunes !
5. Que sont devenues les belles intentions du Nouveau Départ de procéder par appels à candidatures pour les nominations aux postes de hauts cadres ?
Jusqu'ici, je ne vois rien de fait dans ce sens et je me pose la question de savoir si ces nombreuses nominations faites seront ultérieurement remises en cause par d'éventuels appels à candidatures. La question se pose d'autant que bon nombre des nominations faites ont tout l'air d'être des nominations de remerciement de partisans politiques, chose toutefois légitime en politique ; mais alors, quid des promesses du Président élu Patrice TALON ?
6. Pourquoi le Ministre d'Etat Pascal KOUPAKI, qui est considéré comme le 2ème personnage du Gouvernement (par son titre de Secrétaire Général à la Présidence), pourquoi insistai-je, vient-il, par ses points de presse post-Conseil des Ministres, assurer le job d'un Porte-parole du Gouvernement sans que, par ailleurs, il soit déclaré comme tel ?
Sur cette question, j'ai été naturellement amené à me souvenir des célèbres points de presse d'un certain Gaston ZOSSOU, sous régime KEREKOU, pour dire ce que j'ai affirmé ci-haut au point 1.
Je relève en outre que le Ministre d'Etat, Secrétaire Général à la Présidence, qui devait se charger des affaires spécifiquement présidentielles, vient anormalement ravir, en partie, la vedette au Secrétaire Général du Gouvernement dans ses points de presse post-Conseil des Ministres.
CONCLUSION : Vu tout ce qui vient d'être exposé, il m'apparaît que, pour la mise en œuvre de ses nobles ambitions, le Gouvernement de la Rupture et du Nouveau Départ gagnerait à fonder toutes ses actions sur de mûres réflexions et à apporter les correctifs nécessaires lorsqu'il le faut, en étant toujours à l'écoute du peuple béninois qui, quoiqu'impatient, doit savoir que « Rien ne sert de courir, il faut partir à point » (Jean de La Fontaine). De sorte que nous puissions assister, satisfaits, à la pleine réussite de toutes les actions de rupture et autres. Il serait dommage s'il advenait le contraire. Allez, les « Nouveau Départ », les tâches à réaliser sont immenses !
Par Philippe HOUNKPATIN, Dr.-Ing. en Génie électrique,
Ancien DG/SBEE (1990-1995)
Ancien Prof d'Université (Maths, Physique et Génie électrique)
Marija Sarapova megfellebbezte a Nemzetközi Tenisz Szövetség (ITF) múlt heti döntését, amellyel két évre eltiltotta őt a versenyzéstől.
Paul Ngiribanzi ressemble à des centaines d’autres habitants de Kabarondo: un paysan rwandais sans histoire, emporté par la folie génocidaire en avril 1994. Un tueur discipliné qui veut désigner un chef à la cour d’assises.
Au Rwanda, il a été condamné à neuf ans de prison pour sa participation au génocide, qui fit au moins 800.000 morts d’avril à juillet 1994. A Paris, il est venu mardi témoigner contre Octavien Ngenzi, son ancien bourgmestre jugé depuis mi-mai avec son prédécesseur à la tête de la commune pour crime contre l’humanité et génocide.
Paul Ngiribanzi avait 22 ans quand il a suivi les groupes de villageois pour traquer les Tutsi sur les collines, au village, au centre de santé. Il voit Ngenzi partout, l’associe à toutes les décisions, lui en veut de « n’avoir rien fait pour empêcher ça ».
Deux jours après l’assassinat du président hutu Juvénal Habyarimana, qui fut le signal déclencheur du génocide le 6 avril, il est à Rubira, commune voisine de Kabarondo, quand de jeunes extrémistes abattent les chèvres d’un Tutsi. Il assure avoir entendu le bourgmestre demander aux voleurs pourquoi ils mangeaient les chèvres alors que les propriétaires étaient « encore vivants ».
Un appel au meurtre? suggère l’avocat général. « C’est ça », répond le témoin. Après le massacre de milliers de réfugiés à l’église le 13 avril, il affirme avoir « vu Ngenzi au centre de santé pendant qu’on achevait les blessés », probablement le 16 avril. « Nous devions suivre les instructions qu’il donnait; il avait la compétence », répète-t-il.
Le bilan est lourd à assumer pour ce paysan qui était du côté des tueurs dès le début, dans son secteur puis à Kabarondo. Il a participé à l’enfouissement des corps des victimes de l’église, dans une fosse creusée tout près de la paroisse. « Ceux qui respiraient encore et n’étaient pas capables de s’extraire de la fosse, ils étaient laissés là ou achevés. A coup de gourdins ou de machettes ».
– « Abandonnés à leur sort » –
A la barre, Paul Ngiribanzi se tient toujours aussi droit, fluet dans son grand costume, mais la voix se fait lasse, répugnant à répéter que oui, les enfants aussi ont été achevés. C’est le tour de la défense. L’avocate de Ngenzi reprend les faits un par un. Où étiez-vous exactement, qu’avez-vous vous-même entendu ou vu, quelle distance entre la fosse, l’église et le bureau de la commune…
Acculé, le témoin reconnaît que Ngenzi n’a jamais directement appelé au meurtre des propriétaires tutsi de bétail. Quelle phrase exacte avez-vous entendue? « J’ai entendu: +Pourquoi vous mangez ces chèvres alors que les propriétaires sont encore là+ », dit-il, puis il ajoute que « ceux qui étaient là l’ont interprété comme un appel à tuer ».
Mais, poursuit Me Françoise Mathe, « Ngenzi n’a pas fait libérer de voleur, n’a pas encouragé à manger la viande, il a au contraire pris les chèvres dans sa voiture… Et vous, que faisiez-vous? ».
« Depuis cette date du 8 (avril), personne n’a vaqué à ses occupations. Ce qui est resté, c’est rechercher les Tutsi, c’est tout », souffle le témoin.
L’avocate ne le lâche pas. « Vous dites avoir vu Ngenzi au centre de santé où on achevait les blessés. Comment pouvez-vous dire cela alors que vous même étiez en train d’enterrer les morts de l’église? ».
Il explique être venu « après l’enterrement » à la mairie pour y toucher un peu d’argent pour acheter « des bières ». C’est là qu’un certain Bisimungu serait venu dire qu’il « restait des blessés à achever au centre de santé ». « Mais, ajoute-t-il, à notre arrivée, ils étaient déjà tous morts ».
« Comment pouvez-vous dire que Ngenzi y a assisté alors? », relance Me Mathe. Silence du témoin. « Répondez-moi simplement, monsieur: où avez-vous vu Ngenzi assister à un massacre sans rien dire? Le témoin lâche: « Quand tu es un dirigeant et que tu ne fais rien, c’est que tu as abandonné les gens à leur sort ».
Alig két hónap alatt több mint 1150 okostelefonon ott van a KuponOk, az az ingyenesen letölthető alkalmazás, amelyen keresztül csaknem 100 szabadkai és környékbeli vállalkozó – divatáru üzlet, étterem, cukrászda, gyógyszertár, szépségszalon, autószerelő műhely, és sorolhatnánk – hirdeti az akcióit, és beváltható kedvezményeket biztosít. Cöndör Tibor, az Appok Média igazgatója lapunknak elmondta, hogy a KuponOk alkalmazás célja, hogy a vásárlók újszerű módon ismerjék meg és kerüljenek kapcsolatba az alkalmazásban megjelenő cégekkel. Valamint az, hogy ezekbe az üzletekbe irányítsák az ügyfeleket, és ezáltal forgalombővülést érjenek el.
Des organisations de la société civile en Tunisie ont présenté mardi une proposition de loi criminalisant toute forme de discrimination, et obtenu le soutien de députés de la majorité, dans le cadre notamment de la lutte contre le racisme.
Composé de 36 articles, ce texte a été élaboré par le Forum tunisien pour les droits économiques et sociaux (FTDES), le réseau euro-méditerranéen des droits de l’Homme (REMDH) et le Comité pour le respect des libertés et des droits de l’Homme (CRDHT).
Il vise, selon ses instigateurs, à offrir un cadre juridique protégeant, conformément aux conventions internationales, les personnes discriminées et à criminaliser toute pratique discriminatoire se basant sur la race, la religion, la nationalité, la couleur de la peau.
Ce projet « provient d’un réel problème de discrimination et d’injustice dans la société tunisienne », a souligné devant la presse Ramy Salhi, un responsable du REMDH.
En Tunisie, « des personnes sont insultées en raison de leur couleur de peau, d’où la nécessité de propager à travers cette proposition de loi la culture du respect de l’autre quelle que soit sa couleur, sa religion et son appartenance », a renchéri Masoud Romdhani, du CRDHT.
Présents, des députés de la coalition gouvernementale ont exprimé leur soutien et promis de porter le projet, qui doit être soumis en commission, avant son examen en plénière par le Parlement.
Le texte « dit clairement qu’il y a du racisme en Tunisie et que le pays est en train de lui faire face », a déclaré Houcine Al Jaziri, du mouvement islamiste Ennahda.
« Nous soutenons cette initiative positive et vous pouvez compter sur nous pour faire passer cette proposition de loi », a dit Néjia Ben AbdelHafidh, députée de Nidaa Tounes.
Selon la juriste Anouar El Masri, la Tunisie ne compte à ce jour aucune loi spécifique à la lutte contre les discriminations, une seule, dédiée à la liberté de la presse, en faisant mention.
Letartóztattak két fiatal szíriait Németországban, akiket azzal vádolnak, hogy hazájukban egy terrorista csoport tagjai voltak - jelentette be kedden a német ügyészség Karlsruhéban.
Le chef du fragile gouvernement d'union nationale en Libye, Fayez al-Sarraj, a appelé mardi ses concitoyens à soutenir l'offensive pour reprendre Syrte au groupe jihadiste État islamique (EI). Une manoeuvre militaire à laquelle refusent de participer les autorités contrôlant l'est du pays.
Cet article Libye : l’ONU autorise la force navale de l’UE à faire respecter l’embargo sur les armes est apparu en premier sur JeuneAfrique.com.