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Diplomacy & Defense Think Tank News

Crimes de guerre à Alep : indignation sélective ?

IRIS - Mon, 03/10/2016 - 18:23

Le point de vue de Pascal Boniface, directeur de l’IRIS.

Professor Theodore Couloumbis writes on the Cyprus Question in the Sunday edition of Kathimerini, 02/10/2016

ELIAMEP - Mon, 03/10/2016 - 12:34

You can read here the article on the Cyprus Question, which was written by Professor Emeritus and Member of the Board of Trustees of ELIAMEP Theodore Couloumbis. This commentary was published on 2 October 2016 in the Sunday edition of Kathimerini. It is available in Greek.

« QSI voudra pérenniser les bienfaits des importants investissements réalisés au sein du PSG »

IRIS - Mon, 03/10/2016 - 10:10

Pourquoi des pays comme la Chine ou le Qatar – présentant des caractéristiques très différentes – ont-ils décidé d’investir massivement dans le sport et plus précisément dans le football ?

En développant sa diplomatie sportive, un pays cherche à rayonner à l’international par l’intermédiaire du sport. Cela peut se traduire par différentes composantes : l’organisation de grandes compétitions sportives, l’obtention d’excellents résultats au niveau continental ou international, la reconnaissance d’un centre de formation particulièrement performant, la mise en place d’échanges en matière de savoir-faire via la création de coopérations…
L’intérêt des pays pour le sport en général et le football en particulier n’est pas une nouveauté. La diplomatie sportive a émergée depuis déjà plusieurs décennies. A ce niveau, on peut notamment citer la diplomatie du ping-pong mise en place entre la Chine et les Etats-Unis dans les années 1970.
Après, certains pays décident de porter plus particulièrement leur choix sur le football car c’est le sport le plus universel et le plus médiatisé. C’est aujourd’hui la discipline qui permet de toucher le plus grand nombre de personnes en matière de diplomatie sportive.
Pour le Qatar, l’objectif premier des investissements était d’acquérir une véritable notoriété sur la scène internationale. Il y a une quinzaine d’années, hormis les spécialistes du Moyen-Orient, peu de gens s’intéressaient à ce pays et à sa politique. Aujourd’hui, grâce aux investissements sportifs qui ont été consentis, le Qatar a réussi à se faire un nom et à devenir un acteur à part entière sur la scène internationale sportive et, surtout, politique !
Concernant la Chine, la situation est quelque peu différente. Avant d’entreprendre ses investissements dans le football, la Chine était déjà très présente sur la scène internationale sportive, politique et économique. Néanmoins, le football suscite désormais un tel intérêt que le pays a décidé également de s’intéresser à ce sport pour des questions de puissance.

Comment le Qatar a-t-il choisi le PSG pour réaliser son premier mouvement de grande ampleur au sein du football mondial ?

Globalement, les investissements opérés par les Qataris au cours des dernières années ne se sont pas limités au sport. Ils ont également réalisé des opérations financières dans l’immobilier – principalement des hôtels – ainsi que dans des entreprises de luxe.
Au final, l’image renvoyée par Paris était très cohérente avec la stratégie de diversification d’activités entreprise par le Qatar. Le PSG est le club d’une grande capitale avec un palmarès assez fourni. Le Qatar pouvait associer indirectement son nom à la ville de Paris.

Les investissements réalisés par QSI au sein du PSG seront-ils maintenus au-delà de l’organisation de la Coupe du Monde 2022 ?

L’organisation du Mondial 2022 constituera indéniablement un temps fort de la politique mise en place par le Qatar. Toute la stratégie sportive du pays tourne autour de cet événement.
Cependant, on peut raisonnablement estimer que QSI soutiendra le PSG à long terme. QSI voudra pérenniser les bienfaits des importants investissements réalisés au sein du PSG. Le Qatar a entrepris de profondes réformes dans son pays ce qui implique une stratégie de long terme menée par le pays dans le secteur sportif. Il y a une réelle volonté du Qatar de placer le sport au cœur des préoccupations nationales, notamment pour des raisons de santé publique.

Les faibles cours des matières premières peuvent-ils affecter la stratégie d’investissements de QSI au sein du PSG ?

La chute des cours de certaines matières premières et notamment du pétrole a eu des conséquences importantes en termes de diplomatie sportive. Le cas de l’Azerbaïdjan est parlant. Lors des dernières années, ce pays avait développé une politique assez volontariste concernant la diplomatie sportive. Compte tenu de la baisse des cours du pétrole, le pays a finalement été contraint de réduire ses investissements dans le secteur.
Cependant, le cas de Qatar est différent. Les investissements opérés dans le sport sont également réalisés dans l’optique de diversifier ses activités, et justement, de ne plus être aussi dépendant des cours des matières premières. Si la baisse du cours des matières premières aura inévitablement des effets sur la vie économique du pays, le Qatar ne devrait pas baisser ses investissements dans le secteur sportif, même s’il sera peut-être amené à réaliser quelques arbitrages.

Quels sont les bénéfices tangibles perçus par le Qatar depuis que le pays a décidé d’investir massivement dans le football ?

Le premier objectif du pays était de faire émerger le Qatar sur la scène internationale, tant sur le plan sportif que politique. On peut dire aujourd’hui qu’il a été atteint. Le Qatar a réussi très rapidement à dépasser le simple cadre sportif à travers sa politique d’investissements.
Après, il est difficile d’avancer plus d’éléments de réponses pour le moment. Un premier bilan ne pourra être dressé qu’au lendemain de la Coupe du Monde 2022. En organisant un tel événement, le Qatar va attirer les projecteurs sur lui. L’organisation d’une telle compétition lui permet de bénéficier d’une incroyable exposition médiatique mais le pays rencontre également des critiques sur certains aspects de sa politique, critiques qui pourront s’intensifier à l’approche de 2022. Il faudra alors voir si les éloges auront pris le pas sur les critiques ou inversement.

Contrairement au Qatar, le gouvernement chinois investit indirectement dans le football en s’appuyant plutôt sur les gros acteurs économiques et industriels du pays. Ce choix est-il pertinent ?

Il faut analyser cette réorientation stratégique de la Chine de deux points de vue : sportif/politique et économique.
Sur le plan sportif/politique, le président chinois Xi Jinping a fait part à de nombreuses reprises de sa passion pour le football, de sa volonté d’investir dans ce domaine pour que la Chine ne soit plus un « nain footballistique ». Alors que la Chine a véritablement émergé lors des dernières années comme une grande puissance du sport mondial, le pays n’a pas réussi à reproduire les mêmes résultats concernant le football.
Pour effacer les mauvaises performances, le pouvoir central a déployé en 2015 un plan stratégique en trois étapes : augmenter le nombre de licenciés, accroitre la construction et le développement d’infrastructures et la formation d’entraineurs d’ici à l’horizon 2020 ; faire de la Chine un acteur de premier rang en Asie et organiser une Coupe du Monde à l’horizon 2030 ; enfin, obtenir un statut « footballistique » en conformité avec le statut économique accordé désormais à la Chine.
D’un point de vue économique, le pouvoir central a incité un certain nombre de grands groupes du pays à diversifier leurs investissements, au niveau sectoriel mais aussi géographique, en augmentant leurs activités à l’étranger. Un certain nombre d’études menées ont indiqué que le football pouvait être considéré comme la porte d’entrée idéale pour les grands groupes chinois afin de pénétrer les différents marchés européens. C’est pour cela que des entreprises chinoises ont multiplié leurs investissements à destination de clubs français, espagnols ou encore italiens au cours des derniers mois. L’objectif n’est donc pas purement sportif mais également économique.

Sur quels critères les entreprises chinoises sélectionnent-elles les clubs dans lesquels elles investissent ?

Pour répondre à cette question, on peut prendre l’exemple français. Tous les investissements réalisés ont été opérés auprès de clubs bénéficiant d’un très bon centre de formation. L’AJ Auxerre ou encore l’Olympique Lyonnais forment régulièrement d’excellents joueurs au sein de leur académie. Ainsi, à travers leurs investissements, les entreprises chinoises font un pari sur l’avenir. Il y a une volonté de mener un travail sur le long terme en investissant dans des cibles attractives tout en développant un certain savoir-faire qui pourrait, plus tard, être importé en Chine. Les entreprises chinoises veulent comprendre les mécanismes qui permettent de mettre en place un club performant tout en s’appuyant sur une formation efficace.
En parallèle des investissements opérés, il faut avoir en tête le redémarrage du championnat chinois de Chinese Super League, après être tombé en désuétude car complètement gangrené par la corruption. A l’époque, cette compétition avait fait fuir les spectateurs, les sponsors et les diffuseurs. Il y a une volonté de renouveler ce championnat avec l’arrivée de nouveaux partenaires et la mise en place d’une nouvelle politique. Mais, pour durer sur le long terme, ce championnat doit s’imprégner de bonnes pratiques. Et on peut penser que les investissements réalisés actuellement dans le football européen constituent un bon moyen pour apprendre les bonnes pratiques afin de les reproduire au niveau local.

A l’avenir, la Chine peut-elle s’imposer comme une superpuissance du football mondial ?

Les déclarations de Xi Jinping depuis 2012, notamment en matière de développement du football, sont récurrentes, constantes et surtout de plus en plus précises. Il existe véritablement un plan, mis en place en 2015 et bien orchestré, pour concrétiser ce projet sur le court, moyen et long terme. Le développement du football n’est pas du tout un sujet pris à la légère en Chine. Nous sommes face à une politique réfléchie et pensée par les dirigeants chinois. Dans ses discours, le président chinois revient régulièrement sur les moqueries que peuvent susciter les performances de la Chine en matière de football, jouant sur ce ressort pour accélérer son développement. Le président chinois en fait une véritable question d’honneur !
D’ailleurs, il est possible de faire un parallèle avec la politique menée par le pays concernant le développement de l’escrime. Dans l’optique des Jeux de Pékin, en 2008, la Chine avait identifié ce sport comme priorité de développement. La Fédération avait alors recruté au pays les plus grands maîtres d’armes, dont certains Français, afin de faire progresser les escrimeurs chinois. Et, en quelques années, la Chine est passée d’une nation relativement absente dans ce sport à un pays en capacité de ramener de nombreuses médailles. D’ailleurs, la Chine a étoffé son palmarès dans cette discipline lors des dernières olympiades.
Aujourd’hui, il n’est pas encore possible d’affirmer catégoriquement que la Chine deviendra une superpuissance du football. Néanmoins, le pays devrait atteindre certains de ses objectifs, notamment au sujet de la croissance du nombre de licenciés ou encore de la montée en gamme de ses centres de formation. Des éléments qui aideront le pays à renforcer sa compétitivité, afin de devenir une nation qui compte concernant le ballon rond. Après, il faudra que le succès populaire perdure au sujet de cette discipline pour envisager un développement durable de la discipline.

Assiste-t-on à une dépolarisation du football mondial ?

Ce phénomène est déjà perceptible. Lors du mercato hivernal 2016, la Chinese Super League a été la compétition qui a le plus investi sur le marché des transferts, devant la Premier League ! Au cours de cet entretien, nous avons essentiellement évoqué la Qatar et la Chine mais d’autres pays commencent également à s’éveiller au football comme l’Inde, via l’émergence de sa nouvelle compétition.
Aujourd’hui, il est clair que le football s’inscrit pleinement dans la mondialisation. Une mondialisation sportive qui passe également par l’organisation de compétitions internationales dans de nouvelles régions. Du coup, on se dirige plutôt vers une multiplication des nations en capacité de remporter la Coupe du Monde.
Ce phénomène n’existe pas uniquement dans le football. A un degré moindre, on retrouve une même tendance dans le rugby avec l’émergence de nouvelles nations comme le Japon, au rugby à XV ou le Kenya au rugby à VII. Un mouvement qui devrait encore renforcer l’intérêt et l’enthousiasme des foules pour les grandes compétitions internationales sportives !

D’autres pays pourraient-ils suivre le même chemin que le Qatar et la Chine en investissant massivement dans le football lors des années à venir ?

Le sport devient un instrument pris de plus en plus au sérieux afin de repositionner un pays sur la scène internationale. Même si la diplomatie sportive n’est pas nouvelle, la stratégie du Qatar a révélé au grand jour le pouvoir du sport dans les relations internationales. Et d’autres pays pourraient être tentés d’imiter une telle stratégie.
Néanmoins la conjoncture économique, avec un ralentissement de la croissance mondiale, pourrait réduire les ambitions de certaines nations dans ce domaine. Certains pays ne peuvent plus aujourd’hui se permettre d’investir massivement dans le secteur sportif sous peine de connaître une vive contestation sociale. Les investissements dans le secteur sportif peuvent s’avérer très payants mais ils sont également à risque, en raison notamment de la part d’incertitude dans les résultats.

Dr Eleni Panagiotarea gave talk on the Greek economy at LSE

ELIAMEP - Mon, 03/10/2016 - 10:09

On Tuesday 4 October 2016, Dr Eleni Panagiotarea, Research Fellow of ELIAMEP, gave at talk at the London School of Economics on the Greek economy and NPL. You can find here more information.

Funérailles de Shimon Peres et des accords d’Oslo

IRIS - Mon, 03/10/2016 - 10:02

Le prix Nobel de la Paix Shimon Peres a été inhumé à Jérusalem. Si plus de 90 délégations internationales ont assisté aux funérailles de l’ancien président israélien, l’ensemble de la communauté internationale n’était pas réuni à cette occasion.

Seule la communauté occidentale était présente en force. Preuve à la fois du sentiment d’appartenance de l’Etat israélien au monde occidental et de la normalisation inachevée de ce pays, comme l’atteste en particulier l’absence de toute représentation– au niveau des chefs d’Etat– de ses voisins arabes… exception faite du président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas. Cette apparente incongruité marque en réalité la part de responsabilité de l’Autorité palestinienne dans l’impasse actuelle. L’échec du « processus de paix » est perçu aussi comme un échec de cette entité politique, incapable d’endiguer la colonisation et d’ériger enfin un Etat palestinien. Si la corruption endémique et l’absence de perspective politique continuent d’altérer sa légitimité, la présence de son président Mahmoud Abbas aux funérailles de Shimon Peres symbolise la rupture avec son propre peuple.

Les funérailles de Shimon Peres étaient aussi celles des accords d’Oslo, auxquels son nom demeure associé. Du reste, l’échec de ces accords s’explique aussi par l’attitude israélienne si bien symbolisé par la dualité de Shimon Peres. Derrière son discours de paix qui sied si bien aux élites occidentales, la réalité historique est plus cruelle : à travers ses diverses fonctions politiques et institutionnelles, il a non seulement accompagné la politique de colonisation israélienne, mais il a contribué à rendre le projet d’Etat palestinien quasi irréalisable. Une réalité historique qui contraste avec la manière dont le monde occidental s’est plu à présenter de façon toute élogieuse cet animal politique hors pair qui a cautionné, alors qu’il était ministre de la Défense dans les années 1970, les premières colonies juives en Cisjordanie, mais aussi directement impliqué dans des décisions/actes susceptibles de relever de la catégorie des actes de guerre… Il était en effet Premier ministre en 1996 quand un bombardement de l’aviation israélienne a causé la mort de plus de 100 civils réfugiés dans un camp de réfugiés de l’ONU, dans le village libanais de Cana.

Dans le même temps, son rôle est indéniable dans le rapprochement israélo-palestinien qui a suscité un espoir de paix et la perspective d’une solution à deux Etats, israélien et palestinien. Il a d’emblée soutenu les négociations secrètes– le Parlement israélien n’abrogera la loi du 6 août 1986 interdisant les contacts avec l’OLP que le 19 janvier 1993– israélo-palestiniennes qui se sont tenues durant deux ans par l’entremise de la Norvège.

Ministre des Affaires étrangères de son grand rival travailliste Yitzhak Rabin– qu’il a convaincu d’engager leur pays dans cette voie diplomatique – il était chargé des négociations une fois officialisées, qui aboutiront en 1993 à la conclusion des fameux « Accords d’Oslo ». L’accord de principe (ou « Oslo I ») sur les arrangements intérimaires d’autonomie consacre la reconnaissance mutuelle de l’OLP et d’Israël, et créé l’Autorité Palestinienne, entité responsable pour une période transitoire d’autonomie (de cinq ans au plus) de la gestion de certaines villes de Cisjordanie et de Gaza. Yasser Arafat reçoit le Prix Nobel de la Paix en 1994, en compagnie des Israéliens Shimon Peres et Yitzhak Rabin…

Toutefois, l’ambiguïté et les silences de ces Accords indiquaient d’emblée un risque d’échec. Des questions cruciales n’avaient pas été tranchées, ni même abordées : le statut de Jérusalem-Est, le sort des réfugiés, les colonies de peuplement, le tracé des frontières, l’accès à l’eau. Les accords de « Taba » (« Oslo II », 1995) prévoient l’extension des territoires autonomes gérés par l’Autorité palestinienne en Cisjordanie et une série de retraits israéliens, suivant un découpage de la Cisjordanie en trois zones A, B et C. L’acception de cette typologie territoriale constitue avec le recul historique une erreur stratégique de la part des Palestiniens. L’arrivée au pouvoir de la droite nationaliste (Likoud) bloque la réalisation de ce plan de retrait… Alors que la période transitoire d’autonomie a expirée depuis mai 1999, maigres sont les réalisations du processus d’Oslo. Le déclenchement de la seconde Intifada traduit la frustration palestinienne à l’égard d’accords qui n’ont pas ouvert à la voie à la libération nationale.

C’est dans ce contexte que le Prix Nobel de la Paix Shimon Peres n’hésitera pas à assurer le service après-vente – sur la scène internationale – de la politique de colonisation d’Ariel Sharon, de retour au pouvoir au début des années 2000, malgré sa responsabilité directe dans le massacre de Sabra et Chatila en 1982. Un cynisme qui disqualifie l’analogie hasardeuse de Barack Obama, qui n’a pas hésité à élever Shimon Peres au même rang que Nelson Mandela. L’amour rend aveugle, dit-on…

TWG holds RTD on Framework Development for the National Action Plan on Business and Human Rights

Hanns-Seidel-Stiftung - Mon, 03/10/2016 - 07:43
TWG holds RTD on Framework Development for the National Action Plan on Business and Human Rights

Réassurer la défense de l'Europe<br />Projet de traité pour la défense et la sécurité de l'Europe

Fondation Robert Schuman / Publication - Mon, 03/10/2016 - 02:00
La présente proposition de traité suggère trois innovations que pourrait introduire un traité franco-germano-britannique pour la défense et la sécurité de l'Europe : • Renforcer la solidarité effective des trois premières puissances européennes qui, devant montrer l'exemple,...

Fondation, Auditions de la Fondation sur le suivi du retrait du Royaume-Uni de l'Union européénne

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 03/10/2016 - 02:00
Jean-Dominique Giuliani, président de la Fondation, a été auditionné par le Groupe sénatorial de suivi sur le retrait du Royaume-Uni le 27 septembre et Jean-Claude Piris, ancien directeur juridique du Conseil et membre du comité scientifique de la Fondation, par la mission d'information sur les suites du référendum britannique et le suivi des négociations de l'Assemblée nationale le 29 septembre.

Migrations, Rapport sur l'état d'avancement des programmes de relocalisation et de réinstallation de l'UE

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 03/10/2016 - 02:00
La Commission européenne a appelé le 28 septembre les Etats membres à "intensifier leur efforts" pour accueillir des demandeurs d'asile depuis la Grèce, jugeant "possible" de répartir quelque 30.000 migrants éligibles au plan européen dit de "relocalisation" d'ici fin 2017.

Migrations, Préparation du démantelement de la jungle à Calais

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 03/10/2016 - 02:00
Le 26 septembre, le président français François Hollande a appelé les autorités britanniques à "prendre leur part dans l'effort humanitaire que la France accomplit et continuera à accomplir". L'urgence humanitaire presserait le démantèlement de la jungle à Calais.

Migrations, Le quorum n'est pas atteint pour valider le référendum hongrois

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 03/10/2016 - 02:00
Le 2 octobre, 98,34% des votants hongrois se sont opposés à la décision contraignante de relocalisation des demandeurs d'asile au sein de l'Union européenne lors d'un référendum. Mais le scrutin n'est pas valide car seuls 40,41 % des personnes inscrites sur les listes électorales ont jugé nécessaire de s'exprimer.

Crise financière, Grèce : le Parlement adopte de nouvelles mesures réclamées par les créanciers

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 03/10/2016 - 02:00
Le Parlement grec a adopté le 27 septembre de nouvelles mesures réclamées par les créanciers du pays concernant le transfert à l'Agence des privatisations des sociétés publiques de l'eau et de l'électricité.

Crise financière, Hausse du chômage en France

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 03/10/2016 - 02:00
Selon une enquête publiée par le ministère du travail le 26 septembre, en août 2016 le nombre de demandeurs d'emploi en France s'est établi à 5 820 400, soit une augmentation sur 3 mois de 1 % (soit +36 500 personnes) et de 1,4 % sur un mois (+50 200 personnes).

Commission, Proposition d'un registre de transparence obligatoire pour toutes les institutions de l'UE

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 03/10/2016 - 02:00
Le 28 septembre, la Commission européenne a proposé un registre de transparence obligatoire commun aux trois institutions de l'Union européenne que sont le Parlement européen, le Conseil et la Commission.

Commission, Enquête approfondie sur le projet de concentration entre Deutsche Börse et LSE

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 03/10/2016 - 02:00
La Commission européenne a ouvert le 28 septembre une enquête approfondie, en vertu du règlement de l'UE sur les concentrations, afin de déterminer si le projet de concentration entre Deutsche Börse AG (DB) et London Stock Exchange Group (LSE) réduirait la concurrence dans plusieurs domaines des infrastructures des marchés financiers.

Commission, Réduction de la production laitière : le programme d'aide de l'UE souscrit à 98,9%

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 03/10/2016 - 02:00
Le 28 septembre, le commissaire à l'agriculture Phil Hogan a annoncé que le programme européen d'aide pour inciter les éleveurs laitiers à réduire leur production a rempli ses objectifs. L'enveloppe de 150 millions € a été souscrite à 98.9%, par 52 000 agriculteurs.

Parlement, Mario Draghi devant le Parlement européen

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 03/10/2016 - 02:00
Le 26 septembre, Mario Draghi, président de la Banque centrale européenne (BCE), s'est adressé à la commission des affaires économiques et monétaires du Parlement européen. Il a notamment abordé l'état de la zone euro ainsi que l'évolution de l'intégration des marchés financiers.

Parlement, Les députés européens rejettent les coupes budgétaires du Conseil

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 03/10/2016 - 02:00
Le 28 septembre, les députés de la commission des budgets ont annulé les réductions proposées par le Conseil au projet de budget de l'UE pour 2017, afin de relever les défis de la crise de la migration et de la croissance économique. Ils ont également augmenté le financement pour lutter contre le chômage des jeunes et soutenir des projets de recherche et d'infrastructures.

Parlement, Panama papers : premières auditions de la commission d'enquête

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 03/10/2016 - 02:00
Le 27 septembre, la commission d'enquête du Parlement européen sur le blanchiment de capitaux, l'évasion et la fraude fiscales a entendu plusieurs journalistes d'investigation impliqués dans les révélations des "Panama Papers".

Conseil, Conclusions du Conseil Environnement

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 03/10/2016 - 02:00
Le 30 septembre, les 28 ministres européens de l'environnement ont décidé d'accélérer le processus de ratification des accords de Paris, l'accord mondial sur le changement climatique.

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