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Union européenne

[Diaporama sonore] Les Congolais de Belgique tous derrière les Diables rouges

RFI (Europe) - Mon, 13/06/2016 - 00:21
La Belgique entame ce lundi 13 juin son Euro par un match de tous les dangers face à l'Italie. La seconde nation au classement de la FIFA suit depuis le début des années 2000 les traces de l'équipe de France «black, blanc, beur» en intégrant des joueurs d'origine congolaise. Sur les traces des frères Mpanza, Jordan et Romelu Lokaku, Vincent Company, Michy Batshuayi, Christian Benteke font partie de la meilleure équipe européenne au classement FIFA. Dans le quartier congolais de Matonge à Bruxelles, la communauté congolaise suit avec passion cet Euro très africain et soutient à fond son équipe, les Diables rouges. 
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Hooligans anglais à Marseille: réactions nuancées à Londres

RFI (Europe) - Mon, 13/06/2016 - 00:02
Londres a finalement réagi dimanche en fin de journée après les violences survenues à Marseille entre supporters anglais et russes avant et à la fin de la rencontre Angleterre-Russie. Dans un bref communiqué, le gouvernement britannique s’est dit « profondément préoccupé » par ces incidents tout en évitant néanmoins de pointer du doigt le comportement de ses propres fans.
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Entretien avec le Député européen Antonio Panzeri : Questions en Syrie, sécurité en Europe et relations avec l’OTAN

EU-Logos Blog - Sun, 12/06/2016 - 15:25

Le 23 Février 2016 a été une date importante pour la question de la crise syrienne. Ce jour-là, après un an de tentatives concrètes, les deux parties du conflit (les forces gouvernementales et la résistance) ont convenu d’un cessez-le-feu pour trouver une solution politique au conflit. Dans le même temps les deux puissances mondiales, les Etats-Unis et la Russie, ont également promis un effort pour assurer la trêve. Officiellement, le cessez-le-feu a commencé le 27 Février.

Dans ce conflit, l’Europe s’est fait remarquer pour son rôle humanitaire et politique, excluant toute intervention militaire. Cependant, déjà depuis les premiers jours de Mars, plusieurs pays voient la trêve comme une simple couverture et dans les faits dans les jours suivants, certaines des conditions imposées pour le cessez-le-feu avaient été brisées par les deux parties, en particulier par le gouvernement de Bachar el-Assad.

La question syrienne est fortement liée à deux événements qui ont secoué l’équilibre de la politique de défense de l’Union européenne. Le premier est la relation avec la Turquie, et les accords sur la question des migrants. Le deuxième événement est la conséquence du premier, à savoir la présence de l’OTAN dans la mer Égée: une OTAN qui sort des schémas du Traité de Washington pour renouveler sa propre identité. Dans son discours du 8 Mars à la Plénière à Strasbourg, Antonio Panzeri, membre du groupe des «Socialistes et démocrates» du Parlement européen a exprimé sa position sur l’accord UE-Turquie.

Le 2 mai, il a accepté de répondre aux questions sur les sujets mentionnés ci-dessus. L’objectif était de créer un dossier à partir des interviews, afin d’inspirer de nouvelles idées et articles. Ce qui suit est la transcription du corps de l’interview[1]:

En ce qui concerne le conflit syrien, et le rôle joué par l’Union européenne …. Pensez-vous que l’Europe devrait faire plus? Ou elle aurait pu faire plus? Quelles sont pour vous les politiques décisives que l’UE devrait mettre en place pour résoudre le problème en Syrie?

Oui, je suis conscient, et j’en suis convaincu. Je comprends tous les problèmes que l’Union européenne a, il y a 28 diplomaties, il est difficile d’exprimer une vision unifiée, et c’est la raison pour laquelle l’Europe ne peut pas jouer un rôle de premier plan. Nous ne pouvons pas nous targuer de pouvoir intervenir et solutionner le problème seul, et je ne peux pas faire endosser cette responsabilité aux dirigeants de la politique étrangère européenne parce que ce n’est pas dans la nature européenne. Nous devrions en appeler à la responsabilité de chaque Etat membre, qui devrait céder une partie de sa souveraineté, et ne pas se concentrer seulement sur ses propres intérêts. Je me demandais toujours pourquoi la France était si intéressée par la Syrie, et en effet c’est parce que la Syrie était une colonie française jusqu’en 1925, mais ce n’est pas une excuse. L’Europe aurait pu faire plus, et éviter de rester repliée sur elle-même.

La première chose à faire serait de parler d’une seule voix, et de forcer les Etats-Unis et la Russie à se mettre d’accord sur certaines choses, comme l’idée du cessez-le-feu, la construction du pays qui doit être basée sur l’intégrité et en soulignant la présence des sunnites et des Kurdes. Je ne parle pas de l’indépendance de la région kurde, car cela poserait des problèmes avec la Turquie, mais nous parlons de gestion efficace et d’un plan prévoyant une évolution durable.

Dans l’affaire syrienne, il y a des retards aussi en raison de l’absence d’un certain réalisme, il fallait procéder par étapes, et pas en mettant d’office deux fronts en opposition. Il y avait besoin d’une condition de transition qui devait également impliquer Assad. Par contre on a insisté sur le soutien des forces de l’opposition, jusqu’au moment où la Russie est intervenue, et elle a réussi à changer les cartes sur la table.

Vous parlez aussi d’une approche de «politique étrangère cohérente», qu’est ce que vous entendez quand vous parlez de cohérence? En quelle occasion l’UE n’a pas été cohérente?

La France et l’Angleterre influencent grandement la politique étrangère européenne en raison de leur ancienne vocation coloniale. Il y avait un diplomate anglais qui, en 1800, a déclaré que l’Angleterre n’avait pas d’amis ou d’ennemis pour toujours, elle n’avait que des intérêts, et le siècle après Charles De Gaulle a dit la même chose. On l’a vu aussi sur l’affaire libyenne. Si l’Europe veut jouer un rôle elle doit reconstruire un chemin unifié. Si elle ne peut pas le faire nous aurons beaucoup de discours, mais peu d’action.

L’UE est académiquement définie comme puissance normative, économique, civile… ceci me fait penser à la coopération militaire avec l’OTAN: la Grèce et l’Allemagne ont demandé de l’aide à l’OTAN et non à l’UE, l’UE ne sait-elle donc pas gérer la crise dans la mer Egée ?

Le processus d’élargissement de l’OTAN est l’un des problèmes que rencontre l’Union européenne. L’UE entretient des politiques et stratégies différentes de l’Alliance atlantique et ce chevauchement nuit à l’Union européenne: nous l’avons vu dans l’affaire de l’Ukraine. Je considère injuste de positionner l’OTAN à 200 km de Moscou, car ceci suscitera des réactions russes, au-delà des atrocités que Poutine a fait et va probablement de nouveau commettre. Toutefois, le fait est que nous ne pouvons pas être d’accord avec la politique de l’Alliance atlantique, mais nous avons besoin d’une politique de défense commune européenne qui ne se chevauche pas avec celle de l’Alliance atlantique.

Dans la Méditerranée centrale où est en cours l’opération Sophia, l’UE (compte tenu de toutes les dépenses et les différences dans la participation de chaque État) effectue un travail relativement effectif. Pourquoi l’Allemagne a-t-elle fait appel à l’OTAN et non à l’UE? L’Allemagne n’a pas confiance en l’Union? Elle demande de plus en plus de l’aide à l’Alliance atlantique, qui à mon avis, a perdu sa vraie raison d’être depuis 1989. Elle est née en opposition à l’URSS, mais après sa chute, l’OTAN a dû se réinventer. J’ai suivi ses politiques et les déclarations de Stoltenberg, et il parle toujours plus d’une OTAN préventive, ce qui est une contradiction parce que l’OTAN est née en tant que puissance défensive. Maintenant, on parle de l’OTAN par rapport aux mesures préventives prises contre la Russie. Et là, je comprends les difficultés structurelles de l’OTAN qui doit maintenant s’adapter: depuis 27 ans l’OTAN doit adapter sa politique étrangère et ses approches. Maintenant, elle a aussi commencé à apporter son soutien concernant la question des migrants.

Ceci est un discours complexe! En se référant à la question initiale, je pense qu’ils ont fait appel à l’OTAN car il est plus facile d’activer un service de l’OTAN qu’un service européen. La route de l’OTAN semble plus viable parce que la Grèce, l’Allemagne et la Turquie font partie de l’Alliance.

Il faut considérer deux processus. Le premier est l’élargissement de l’UE à partir du 2004. En 2004, il y avait deux doctrines qui se sont affrontées dans le monde: celle de Bush qui se fondait sur l’exportation de la démocratie par la guerre (cf la guerre en Irak), et celle de l’exportation de la démocratie à travers le processus politique adoptée par l’UE. Cependant, les pays du bloc soviétique avaient des ressentiments à l’égard de Moscou, et ces pays regardaient les États-Unis comme modèle, et non Bruxelles. C’est la raison pour laquelle nous avons maintenant des difficultés à éviter les chevauchements. La vieille Europe d’avant 2004 a été forgée après la Seconde Guerre mondiale et voulait instaurer la paix; les nouveaux arrivants sont entrés parce qu’ils avaient des problèmes économiques et sociaux et pour s’éloigner des velléités expansionnistes de l’URSS.

Et devant la crise actuelle nous avons pu constater ces différences. L’ancienne Europe faisait prévaloir un sentiment de paix, de solidarité, mais la nouvelle pose par contre des barrières en raison d’un certain manque d’idéalisme.

Pensez-vous que l’OTAN dans l’Egée puisse nuire l’Europe?

De mon point de vue, il peut y avoir un conflit, et l’UE devrait avoir une politique étrangère commune. Les Etats membres ont besoin de sortir de leurs contradictions. Je parle ici notamment des hot-spot et de Dublin.

La Turquie est membre de l’Alliance atlantique. Le 28 Avril il y a eu une réunion en séance plénière du Parlement européen, au cours de laquelle les élus se plaignaient de l’accord UE-Turquie. Les raisons sont multiples: manque de légitimité, l’inefficacité des Etats, les droits de visa. Les États membres ont été incapables de faire face à la question de la migration… Pourquoi l’UE a-t-elle réalisé que son accord avec la Turquie avait des défauts, elle ne pouvait pas s’en rendre compte auparavant ? Pourquoi la Commission et le Parlement ont-ils deux vitesses différentes?

Ceci est un accord voulu par l’Allemagne, qui entretient une relation ancienne avec la Turquie. Il suffit de regarder la composition interne de l’immigration en Allemagne. Maintenant, je ne sais pas qui ne s’est pas rendu compte des défauts de l’accord avec la Turquie, mais je faisais partie de ceux qui s’y sont opposés parce qu’il ne s’agit pas d’un pays fiable.

Les ONG sont parties de Turquie. Si l’UE donne de l’argent à la Turquie, cela signifie qu’elle veut cogérer le problème. Comment cet argent va-t-il être employé? Que va-t-il advenir des migrants ? Cet accord semble être une couverture pour le problème kurde. L’’accord comporte des résultats positifs, et que les flux migratoires ont ralenti. Pourtant, lors d’une interview sur la Libye j’ai dit que si l’on arrêtait le corridor des Balkans, on ouvrirait la Méditerranée.

A votre avis, compte tenu du fait que l’UE rencontre de plus ne plus de problématiques internes comme externes, est plein de problèmes, à commencer par le fait qu’il faut mettre d’accord 28 Etats souverains.

Au cours des 15 dernières années, nous avons manqué trois rendez-vous avec l’histoire.

Le premier est l’introduction de l’euro en 2001: nous avons imaginé que les choses pourraient être résolues par approximations successives.

Le second a été l’élargissement, nous en avons parlé: si nous ne faisons pas des politiques d’intégration économique et sociale, la situation, tôt ou tard, va éclater. Mais l’intégration n’a pas été faite pour rencontrer de telles résistances. Je ne sais pas, vous êtes jeune, mais en 2004, la discussion a été très forte sur le fait qu’il y avait une main-d’œuvre importante qui venait de ces pays.

Le troisième est le rejet du traité constitutionnel, lors du référendum français en particulier. A l’époque il y avait la peur du «plombier polonais»: sur les stéréotypes négatifs on construit le monde. Il y avait un recensement en France et il y avait 35 plombiers polonais, et c’est à cause de l’histoire du plombier polonais que le référendum a été perdu.

Un spécialiste français en matière de relations internationales français, politologue et géopoliticien, Dominique Moisi, conseiller de l’IFRI , estime que le monde est divisé en trois sentiments: celui de l’espoir (typique des pays forts), celui de la rancœur (typique des pays exclus), et celui de la peur. L’Europe se trouve dans le contexte de la peur, et cette peur a changé au niveau anthropologique les personnes, comme le montre leur comportement lors des élections. Aujourd’hui, si voter pour le populiste, le xénophobe est à la mode, c’est parce qu’il y a cette crainte. Il suffit de regarder ce qui est arrivé en Autriche : maintenant ils veulent élever les barrières dans le Brenner. Il manque une classe dirigeante européenne. Les classes dirigeantes sont plus orientées vers l’horloge électorale et les élections à venir que vers celle de l’histoire.

Maria Elena Argano

[1] Il n’est transcrit que la partie relative aux sujets mentionnés ci-dessus. L’Honorable Antonio Panzeri a marqué son accord avec la transcription de l’interview


Classé dans:Accords et politiques de coopération, RELATIONS EXTERIEURES
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Vote sur le génocide arménien: Erdogan s'enflamme contre le Bundestag

RFI (Europe) - Sun, 12/06/2016 - 14:00
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a estimé que des députés allemands d'origine turque avaient le « sang corrompu », après le vote par le Bundestag d'une résolution reconnaissant le génocide des Arméniens qui a suscité l'ire d'Ankara. Ce qui a suscité de vives critiques de députés allemands et du président du Bundestag. Le ministère allemand des Affaires étrangères invite les parlementaires originaires de Turquie à ne pas se rendre dans ce pays.
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Un quotidien italien vend «Mein Kampf» avec son journal

RFI (Europe) - Sun, 12/06/2016 - 02:53
Il Giornale, quotidien de droite détenu par la famille Berlusconi depuis 1979 et dont Paolo Berlusconi, frère de l'ex-président du Conseil, est officiellement à la tête, a lancé ce samedi 11 juin une initiative qui a de quoi indigner les lecteurs. Ils étaient invités à acheter, avec le journal, Mein Kampf d'Hitler, version 1934, avec les commentaires d'un historien italien, qui accompagne une série de huit livres consacrés au Troisième Reich. Une décision que l'on doit au directeur de la rédaction Alessandro Sallusti, dont l'orientation «droite musclée» ne déplaît pas à tous les Italiens.
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Bruxelles mise sur le chou pour redorer son blason

RFI (Europe) - Sun, 12/06/2016 - 00:43
Le tourisme va mal à Bruxelles depuis les attentats et la ville cherche à redorer son blason. Une idée a vu le jour : les choux de Bruxelles pour faire revivre la ville. C'est avec cette nouvelle image de marque que plusieurs entreprises et professionnels du tourisme espèrent relancer l'économie. Ils ont créé une association avec le mot #sprouttobebrussels. Un jeu de mots entre sprout, chou de Bruxelles en anglais, et proud, fier.
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Trafiquant présumé extradé: le silence embarrassé de l'Italie

RFI (Europe) - Sun, 12/06/2016 - 00:28
Incarcéré dans la prison romaine de Rebibbia, lors de son premier interrogatoire l'Erythréen extradé du Soudan vers l'Italie a affirmé ne pas être le trafiquant de migrants recherché par Interpol. Depuis, le parquet de Palerme chargé de l'enquête menée avec les polices britannique et soudanaises estime que de nouveaux contrôles doivent être effectués, mais qu'aucun motif ne justifierait une remise en liberté au stade actuel. Le gouvernement Renzi n'a pas jugé utile, lui, de revenir sur cette affaire délicate. Même après s'être félicité, peut-être trop vite, de l'arrestation «d'un des plus dangereux chefs de réseau de trafiquants d'êtres humains».
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Royaume-Uni: parade, pique-nique et liesse populaire pour les 90 ans de la reine

RFI (Europe) - Sat, 11/06/2016 - 22:26
Les Britanniques célèbrent officiellement ce week-end les 90 ans de leur souveraine. Des dizaines de milliers de gens sont venus l'applaudir à l'occasion de la traditionnelle revue des troupes tout près de Buckingham Palace, ce samedi. Ce dimanche 12 juin, un vaste pique-nique rassemble pas moins de 10 000 convives sur le Mall.
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Royal Navy Type 45 destroyers cannot take the heat

CSDP blog - Sat, 11/06/2016 - 22:10

The UK then joined France and Italy in the Horizon-class class of air-defence destroyers frigate program; however, differing national requirements, workshare arguments and delays led to the UK withdrawing on 26 April 1999 and starting its own national project Type 45 destroyer. The class is primarily designed for anti-aircraft and anti-missile warfare and is built around the PAAMS (Sea Viper) air-defence system utilizing the SAMPSON AESA and the S1850M long-range radars. The Type 45 destroyers were built to replace the Type 42 (Sheffield class) destroyers that had served during the Falklands War, with the last Type 42 being decommissioned in 2013.

The six Type 45 Daring Class destroyers, which cost the taxpayer £1bn each, are the backbone of Britain’s combat force at sea and are among the most advanced missile destroyers in the world. They are the Royal Navy’s first all-electric ships and are driven by two Rolls-Royce WR21 gas turbines and two Wartsila diesel engines. The WR21 is designed to deliver significantly improved operating costs by using an intercooler recuperator, which recovers exhaust and recycles the gas into the engine. But, as a rule, power turbines slowed down in warm temperatures.

But the engines powering the Royal Navy’s cutting-edge fleet are unable to operate continuously in the warm waters of the Gulf. Responding to questions about why the power systems failed in warmer waters than the UK, John Hudson, managing director of BAE Systems maritime, said the original specifications for the vessel had not required it to sustain extremes. “The operating profile at the time was that there would not be repeated or continuous operations in the Gulf,” he said.
Tomas Leahy, of Rolls-Royce naval programmes, said the destroyer was now operating in “far more arduous conditions than envisaged in the specifications”. “This is not the fault of the WR21,” said Mr Leahy. “It is the laws of physics.”

But the Type 45 was designed for worldwide operations from sub-Arctic to extreme tropical environments and continues to operate effectively in the Gulf and South Atlantic all year round. It also emerged that some of the difficulties were rooted in late-stage design changes demanded by the US Navy, when it was leading development of the electric propulsion system. However, the US Navy pulled out of the programme in 2000, when it was taken over by the UK’s MoD. Mr Leahy said that only 1,900 hours of testing had been carried out on the system after the design change, while the problems only emerged after 4,000-5,000 hours of operation.

“With hindsight it would have been good to do another 4,000-5,000 hours of testing on it,” he said. The MoD is having to set aside tens of millions of pounds to fix the destroyers. The plan is to install two extra diesel engines which will require cutting a hole in the hull of the brand new destroyers. The costs of repairing the Type 45 were forcing a delay in the Type 26 frigate programme. Original plans were for the first steel to be cut on the frigates by the end of this year, but this is now not likely before December 2017. The government had already weakened the Royal Navy’s capabilities by cutting the number of frigates that would be ordered from 13 to eight in last year’s strategic defence and security review.

The Type 45 uses a pioneering system called Integrated Electric Propulsion (IEP). There are many advantages associated with IEP, fuel efficiency, flexibility in locating the engines and a supposedly reduced maintenance and manning requirement. In basic terms, two WR-21 gas turbines (GTs) and two Wartsila 2MW diesel generators provide AC power for the motors that propel the ship as well as the power for the ships systems – weapons, sensors lighting etc. The WR-21 GTs were designed in an international partnership with Rolls Royce and Northrop Grumman Marine Systems. The turbines are of a sound design but have an intercooler-recuperator that recovers heat from the exhaust and recycles it into the engine, making it more fuel-efficient and reducing the ship’s thermal signature. Unfortunately the intercooler unit has a major design flaw and causes the GTs to fail occasionally. When this happens, the electrical load on the diesel generators can become too great and they ‘trip out’, leaving the ship with no source of power or propulsion.

The MoD has not revealed how frequently these blackouts have occurred but the first 2 ships, HMS Daring and HMS Dauntless seem to have suffered the most. The first indication of problems was as far back as 2010 when it was admitted HMS Daring lost all power in mid-Atlantic and had to be repaired in Canada. Although the Type 45s have been active, some significant commitments have been missed. An indication that all is not well could be seen by the number of Type 45s alongside in Portsmouth at any given time during the last few years. Historically the RN has never been a fleet of ‘harbour queens’ and today’s over-worked navy can ill-afford unreliable ships. HMS Daring entered service in 2009, it has taken more than 6 years to agree to deal with the problem and it will probably be well after 2020 before the work is completed. It is obviously dangerous from a seamanship and navigational point of view to suddenly lose propulsion at any time. It is even more serious when operating in a high threat environment as the ship would be a sitting duck.

Replacement of the WR-21 GTs is not a practical option. Instead additional or more powerful diesel generators will provide long-term redundancy and assurance that electrical supplies can be maintained in the event of GT failure. The good news is that the large Type 45 design has the space and reserve buoyancy to cope with larger or additional diesels. The rectification work on the six ships will be done one by one as part of the normal major refit cycle. This will extend the length of the refits but should not have an especially dramatic effect on frontline availability.

It is ironic that the RN is suffering with propulsion problems, having had a great history of propulsion innovation and success. The steam turbine was a British invention and in HMS Dreadnought (1906) was the first capital ship to use this leap in propulsive power. The steam turbine drove the majority of major warships for the next 60 years. HMS Amazon (1974) was the first all-GT warship and British engines were subsequently exported to many foreign navies. Much of the world-renowned expertise in naval GT design was derived from an obscure and secretive facility, the Pyestock National Gas Turbine Establishment at Farnborough which tested & developed marine and aero engines until it was closed in 2000. One of Pyestock’s last projects was some of the initial development of the WR-21 done in partnership with Rolls Royce and Northrop Grumman. Reliance on computer modelling signalled the end for Pyestock but with hindsight perhaps there is no substitute for ‘real world’ testing. It is interesting to note that recently Rolls Royce opened a brand new testing facility for the WR-21 and the MT-30 GTs (Which will power the QE aircraft carriers and Type 26 frigate).

There are growing signs that frustration with industry in the MoD has reached breaking point. The Type 45 propulsion problems are just one of many expensive problems with major defence contacts. The cost over-runs of the Astute class submarine have led to Whitehall creating a special project office to manage the Trident Successor submarines and failures will be met with harsher financial penalties. The surprise emergence of the alternative frigate programme, in addition to the Type 26, is also a sign of disillusionment with late, expensive and flawed offerings from BAE Systems.

Source
http://www.savetheroyalnavy.org/putting-the-type-45-propulsion-problems-...

Tag: Royal NavyType 45

Hongrie: la mobilisation contre la réforme du système scolaire se poursuit

RFI (Europe) - Sat, 11/06/2016 - 21:06
Samedi 11 juin, des milliers de professeurs et de lycéens ont défilé à Budapest et en province. Ils protestaient contre l’hyper centralisation du système scolaire mise en place en 2013 par le gouvernement nationaliste de Viktor Orban. Une centralisation qui a supprimé toute autonomie des établissements scolaires et des professeurs. C’est la 5ème journée d’action depuis le début de l’année. Le 29 février dernier, des parents avaient refusé d’envoyer leurs enfants à l’école par solidarité avec les enseignants et la moitié des établissements étaient restés vides. Et en mars, une manifestation avait rassemblé plus de 15 000 personnes.
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[Reportage] France-Roumanie: à Bucarest, des Roumains fiers malgré la défaite

RFI (Europe) - Sat, 11/06/2016 - 10:17
A l’autre bout de l'Europe aussi, le France-Roumanie de ce vendredi 10 juin a mobilisé les foules. Les bars de la capitale Bucarest ont été pris d'assaut. Il faut dire que la sélection roumaine n'avait plus participé à une grande compétition internationale depuis huit ans et qu'elle n'est pas passée loin d'un très bon résultat au stade de France. RFI est allée à la rencontre des supporters de la « Nationala ».
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Art africain: la grande statuaire lobi, une histoire de collectionneurs

RFI (Europe) - Sat, 11/06/2016 - 00:25
François et Marie Christiaens partagent la même passion pour l’art des Lobi, mais pas toujours le même avis sur la raison d’être de leur goût pour cette culture ancienne, située au confluent du Burkina Faso, du Ghana et de la Côte d’Ivoire. Faut-il respecter le serment des Lobi de rester cachés ou son engouement pour « le vrai art » ? Leur collection, une des plus importantes au monde, a permis de monter la première exposition sur la grande statuaire lobi : « Les bois qui murmurent », qui a lieu jusqu’au 12 juin à l’Ancienne Nonciature de Bruxelles. Rencontre.
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A la Une: Football en Albanie, le nouveau stade de Tirana, une «belle promesse»

RFI (Europe) - Fri, 10/06/2016 - 17:04
Une revue de presse présentée en partenariat avec Le Courrier des Balkans.
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«Une équipe, un joueur»: Paul Pogba, prochain «footballeur total»?

RFI (Europe) - Fri, 10/06/2016 - 15:04
Du 10 juin au 10 juillet, tout au long de l'Euro 2016‬ de football, RFI vous propose un portrait vidéo du joueur vedette de chaque équipe nationale en lice. Pour le match d'ouverture entre la France et la Roumanie, ce vendredi à Saint-Denis, zoom sur Paul Pobga. Né le 15 mars 1993 à Lagny-sur-Marne, évoluant chez les Italiens de la Juventus de Turin, il est le grand espoir du football français.
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«Une équipe, un joueur»: Claudiu Keșerü, une vieille connaissance de Ligue 1

RFI (Europe) - Fri, 10/06/2016 - 14:55
Du 10 juin au 10 juillet, tout au long de l'Euro 2016‬ de football, RFI vous propose un portrait vidéo du joueur vedette de chaque équipe nationale en lice. Pour le match d'ouverture entre la France et la Roumanie, ce vendredi à Saint-Denis, zoom sur Claudiu Keșerü. Né le 2 décembre 1986 à Oradea, évoluant chez les Bulgares du PFC Ludogorets Razgrad, il est l'attaquant de l'équipe roumaine.
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L’Espagne s’apprête à rejouer le match électoral

RFI (Europe) - Fri, 10/06/2016 - 14:05
Une nouvelle campagne électorale démarre vendredi 10 juin en Espagne, moins de six mois après les législatives de décembre 2015 qui avaient débouché sur un Parlement morcelé entre quatre grandes forces politiques, incapables de s'entendre pour former un gouvernement.
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Euro 2016: les Bleus, le football en Roumanie, et la Roumanie en football

RFI (Europe) - Fri, 10/06/2016 - 12:44
C'est le grand jour pour l'équipe de France de football, qui ouvre ce vendredi 10 juin à 21h le bal de « son » Euro 2016 à Saint-Denis. En face des Bleus : la Roumanie, une vieille connaissance. Un match à la portée des Français, mais un match piège également. Il faudra veiller à ne pas laisser à cette surprenante équipe des Tricolorii, venue d'un pays qui, un temps, avait délaissé le ballon rond, se gonfler d'orgueil en gâchant la fête tricolore. Focus sur le cas roumain.
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[Revue de presse] Euro 2016 : la compétition s'ouvre dans un pays troublé

Toute l'Europe - Fri, 10/06/2016 - 11:39
C'est ce soir qu'a lieu le coup d'envoi du championnat européen de Football, avec un premier match opposant la France à la Roumanie. Des centaines de milliers de spectateurs et touristes sont attendus tout au long de la compétition, qui oppose 24 équipes et se tient jusqu'au 11 juillet dans 10 villes de France. Sans surprise, une grande partie de la presse européenne titre aujourd'hui sur l'événement, sans manquer de souligner les défis liés aux grèves et à la sécurité.
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Article - Euro 2016 : pronostics et attentes de députés européens

Parlement européen (Nouvelles) - Fri, 10/06/2016 - 11:18
Général : C’est le Jour J ! L’Euro 2016 débute officiellement ce soir par un match opposant la France à la Roumanie. À cette occasion, nous avons demandé au Président du Parlement européen Martin Schulz et à plusieurs députés européens comment ils allaient suivre les matchs et qui ils aimeraient voir remporter ce championnat d’Europe de football.

Source : © Union européenne, 2016 - PE
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