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Un journaliste néerlandais a été tué dimanche en Libye en couvrant les combats entre les forces du gouvernement d’union nationale (GNA) et l’organisation jihadiste Etat islamique (EI) à Syrte, selon une source médicale.
Huit soldats des forces loyalistes et au moins 10 jihadistes ont été tués dans les affrontements qui ont éclaté dimanche dans ce bastion de l’EI que les troupes loyalistes tentent de reprendre depuis cinq mois.
« Un journaliste néerlandais a été tué aujourd’hui, touché à la poitrine par un sniper de l’EI alors qu’il couvrait les combats à Syrte », a indiqué à l’AFP le docteur Akram Gliwan, porte-parole de l’Hôpital central de Misrata où sont soignés les blessés des forces progouvernementales.
Il a précisé qu’il s’agit du journaliste Jeroen Oerlemans et que sa dépouille « se trouve actuellement à l’hôpital » de la ville de Misrata, située à quelque 200 km à l’ouest de Syrte et siège du commandement des forces du GNA.
Oerlemans travaillait en Libye notamment pour l’hebdomadaire belge Knack, qui confirme sa mort.
La mort du journaliste survient alors que de nouveaux combats ont éclaté dimanche à Syrte (450 km à l’est de Tripoli).
L’hôpital de campagne installé par les forces du GNA à Syrte a fait état de la mort de huit soldats loyalistes. En outre, l’Hôpital central de Misrata dit avoir admis 57 combattants pro-GNA blessés.
« Nos forces progressent » dans le quartier où se sont retranchés les derniers combattants de l’EI, et ont combattu un groupe « qui tentait de fuir » la ville, ont indiqué les forces progouvernementales dans un communiqué.
« Au moins dix cadavres » de jihadistes ont été trouvés, ont-elles ajouté.
Sur Twitter, l’EI a dit avoir infligé des pertes aux forces pro-GNA donnant un bilan de 64 morts ou blessés.
Lancée le 12 mai, l’opération de reconquête de Syrte progresse par à-coups, l’armée lançant régulièrement de nouvelles offensives entrecoupées de périodes de calme.
Samedi, les avions militaires des forces du GNA ont effectué « six sorties » pour préparer le terrain « à l’avancée des troupes » vers le réduit jihadiste situé dans l’est de la ville. Ces dernières sont également soutenues par des frappes américaines, dont le nombre s’élèvent à 177 depuis le 1er août, selon le centre de commandement pour l’Afrique (Africom).
Les forces pro-GNA ont reconquis la majeure partie de la ville mais les combats ont fait plus de 450 morts et quelque 2.500 blessés au sein de ces forces. Le bilan des morts dans les rangs des combattants de l’EI reste inconnu.
Une défaite de l’EI à Syrte serait un coup dur pour le groupe extrémiste qui a connu des échecs militaires en Irak et en Syrie ces derniers mois.
Jeroen Oerlemans est le premier occidental et le deuxième journaliste à trouver la mort en couvrant les combats à Syrte. Le journaliste libyen Abdelqader Fsouk avait été tué en juillet dernier.
Un journaliste néerlandais a été tué dimanche en Libye en couvrant les combats entre les forces du gouvernement d’union nationale (GNA) et l’organisation jihadiste Etat islamique (EI) à Syrte, selon une source médicale.
Huit soldats des forces loyalistes et au moins 10 jihadistes ont été tués dans les affrontements qui ont éclaté dimanche dans ce bastion de l’EI que les troupes loyalistes tentent de reprendre depuis cinq mois.
« Un journaliste néerlandais a été tué aujourd’hui, touché à la poitrine par un sniper de l’EI alors qu’il couvrait les combats à Syrte », a indiqué à l’AFP le docteur Akram Gliwan, porte-parole de l’Hôpital central de Misrata où sont soignés les blessés des forces progouvernementales.
Il a précisé qu’il s’agit du journaliste Jeroen Oerlemans et que sa dépouille « se trouve actuellement à l’hôpital » de la ville de Misrata, située à quelque 200 km à l’ouest de Syrte et siège du commandement des forces du GNA.
Oerlemans travaillait en Libye notamment pour l’hebdomadaire belge Knack, qui confirme sa mort.
La mort du journaliste survient alors que de nouveaux combats ont éclaté dimanche à Syrte (450 km à l’est de Tripoli).
L’hôpital de campagne installé par les forces du GNA à Syrte a fait état de la mort de huit soldats loyalistes. En outre, l’Hôpital central de Misrata dit avoir admis 57 combattants pro-GNA blessés.
« Nos forces progressent » dans le quartier où se sont retranchés les derniers combattants de l’EI, et ont combattu un groupe « qui tentait de fuir » la ville, ont indiqué les forces progouvernementales dans un communiqué.
« Au moins dix cadavres » de jihadistes ont été trouvés, ont-elles ajouté.
Sur Twitter, l’EI a dit avoir infligé des pertes aux forces pro-GNA donnant un bilan de 64 morts ou blessés.
Lancée le 12 mai, l’opération de reconquête de Syrte progresse par à-coups, l’armée lançant régulièrement de nouvelles offensives entrecoupées de périodes de calme.
Samedi, les avions militaires des forces du GNA ont effectué « six sorties » pour préparer le terrain « à l’avancée des troupes » vers le réduit jihadiste situé dans l’est de la ville. Ces dernières sont également soutenues par des frappes américaines, dont le nombre s’élèvent à 177 depuis le 1er août, selon le centre de commandement pour l’Afrique (Africom).
Les forces pro-GNA ont reconquis la majeure partie de la ville mais les combats ont fait plus de 450 morts et quelque 2.500 blessés au sein de ces forces. Le bilan des morts dans les rangs des combattants de l’EI reste inconnu.
Une défaite de l’EI à Syrte serait un coup dur pour le groupe extrémiste qui a connu des échecs militaires en Irak et en Syrie ces derniers mois.
Jeroen Oerlemans est le premier occidental et le deuxième journaliste à trouver la mort en couvrant les combats à Syrte. Le journaliste libyen Abdelqader Fsouk avait été tué en juillet dernier.
Huit soldats des forces loyalistes et au moins 10 jihadistes ont été tués dimanche dans des combats à Syrte, bastion du groupe Etat islamique (EI) que tente de reprendre depuis cinq mois le gouvernement libyen d’union nationale.
« Nos forces progressent » dans le quartier où se sont retranchés les derniers combattants de l’EI, et ont combattu un groupe « qui tentait de fuir » la ville, ont indiqué les forces progouvernementales dans un communiqué.
« Au moins dix cadavres » de jihadistes ont été trouvés, ont-elles ajouté.
Dans les rangs des forces du gouvernement d’union nationale (GNA), huit soldats ont trouvé la mort, selon la page Facebook de l’hôpital de campagne installé par ces forces à Syrte.
Vingt-quatre combattants pro-GNA, blessés dans les affrontements dimanche, ont été admis à l’hôpital de Misrata, une ville située à mi-chemin entre Syrte et Tripoli où se trouve le commandement de ces forces.
Lancée le 12 mai, l’opération de reconquête de Syrte progresse par à-coups, l’armée lançant régulièrement de nouvelles offensives entrecoupées de périodes de calme.
Samedi, les avions militaires des forces du GNA ont effectué « six sorties » pour préparer le terrain « à l’avancée des troupes » vers le réduit jihadiste situé dans l’est de la ville. Ces dernières sont également soutenues par des frappes américaines, dont le nombre s’élèvent à 177 depuis le 1er août, selon le centre de commandement pour l’Afrique (Africom).
Les forces pro-GNA ont reconquis la majeure partie de la ville située à 450 km à l’est de Tripoli, mais les combats ont fait plus de 450 morts et quelque 2.500 blessés au sein de ces forces. Le bilan des morts dans les rangs des combattants de l’EI reste inconnu.
Une défaite de l’EI à Syrte serait un coup dur pour le groupe sunnite ultraradical qui a connu des échecs militaires en Irak et en Syrie ces derniers mois.
Huit soldats des forces loyalistes et au moins 10 jihadistes ont été tués dimanche dans des combats à Syrte, bastion du groupe Etat islamique (EI) que tente de reprendre depuis cinq mois le gouvernement libyen d’union nationale.
« Nos forces progressent » dans le quartier où se sont retranchés les derniers combattants de l’EI, et ont combattu un groupe « qui tentait de fuir » la ville, ont indiqué les forces progouvernementales dans un communiqué.
« Au moins dix cadavres » de jihadistes ont été trouvés, ont-elles ajouté.
Dans les rangs des forces du gouvernement d’union nationale (GNA), huit soldats ont trouvé la mort, selon la page Facebook de l’hôpital de campagne installé par ces forces à Syrte.
Vingt-quatre combattants pro-GNA, blessés dans les affrontements dimanche, ont été admis à l’hôpital de Misrata, une ville située à mi-chemin entre Syrte et Tripoli où se trouve le commandement de ces forces.
Lancée le 12 mai, l’opération de reconquête de Syrte progresse par à-coups, l’armée lançant régulièrement de nouvelles offensives entrecoupées de périodes de calme.
Samedi, les avions militaires des forces du GNA ont effectué « six sorties » pour préparer le terrain « à l’avancée des troupes » vers le réduit jihadiste situé dans l’est de la ville. Ces dernières sont également soutenues par des frappes américaines, dont le nombre s’élèvent à 177 depuis le 1er août, selon le centre de commandement pour l’Afrique (Africom).
Les forces pro-GNA ont reconquis la majeure partie de la ville située à 450 km à l’est de Tripoli, mais les combats ont fait plus de 450 morts et quelque 2.500 blessés au sein de ces forces. Le bilan des morts dans les rangs des combattants de l’EI reste inconnu.
Une défaite de l’EI à Syrte serait un coup dur pour le groupe sunnite ultraradical qui a connu des échecs militaires en Irak et en Syrie ces derniers mois.