Örömteli rendezvényre került ma sor Szolnokon. Úgymond ceremoniálisan is visszaadták szolgálatra az alakulatnak Oroszországban nagyjavíttatott Mi-17-eseit. Örömteli, mert egy abnormális, mulasztásokkal terhelt, előrelátó tervezéstől mentes időszakot zár le, mely a hazai katonai forgószárnyas repülés mélyrepülése is volt egyben. A rendszerben álló technikát, az azon dolgozókat éppúgy cserben hagyta a második-harmadik Orbán-kormány, amikor 2010 után a nyugati helikopterbeszerzés gondolatával játszadozott, a megfelelő ajánlatot várva, ami aztán nem érkezett be. A rendszeres, ütemezett nagyjavítás ennek a technikának éppúgy a természetes velejárója kell, hogy legyen, mint az emberi erőforrás, az infrastruktúra, az alkatrész, és a keró. Évi átlagban a mostani hazai helikopterflotta fenntartása egy-két nagyjavítás megrendelését igényli, ehhez képest 2008 után ilyenre nem került sor, ehelyett nyugatiról vizionáltak, ajándék finnekkel és másodkézből származó civil minyókkal „áthidaltak”. Szégyen, hogy a hazai helikopteres közösség egyes sokcsillagosai asszisztáltak ehhez az agóniához, és szerencse, hogy senki nem döglött bele.
Az emberi nagyság egyik ismérve a korrekcióra való hajlandóság. Akármi is történt a múltban.
A másik üröm, ami az örömbe vegyül, hogy a végre-valahára elvégeztetett oroszországi nagyjavíttatást nem használták ki képességfejlesztésre: ez alatt ASZO-k, páncélzat felszerelését és az NVG-kompatibilitásnak a teljes ötgépes flottára történő kiterjesztését értem. Pártunk és kormányunk, mely a Nyugattal hangjáték és plakát formában annyi konfrontációt vállal, nem tudta volna a nemzeti katonai érdeket szem előtt tartva rugalmasan értelmezni a ránk oktrojált oroszellenes szankciós rezsimet? De ha már így esett, itt az idő a korrekcióra, megnézni, hogy a Léjü mit tudna bepótolni a mulasztásból. A honlapjukon büszkélkednek, hogy „az üzem készítette el annak az An-26 típusú repülőgépnek a vállról indítható rakéták elleni infracsapdás védelmét, amely rendszeresen szerepet vállalt az iraki kontingens szállítási feladataiban”. Teljesen nyilvánvaló, hogy ezt a Mi-17-esek esetében is meg tudnák tenni, de a többi fejlesztés is esélyes, és nem gondolnám, hogy ehhez az orosz OEM nem nyújtana dokumentációs támogatást.
A harmadik a még kiküldendő gépek, a Mi-17-es és a Mi-24-esek kérdése. A mintegy 21 milliárd erre szánt forint képességnövelés nélkül kidobott pénz. Pontosabban egy békeidős/katasztrófavédelmi állami helikopterflottát eredményez csak. Könyörgöm, katonai, harci helikopterekről van szó, a háborúzás alapvető funkció. Önvédelem, éjjeli alkalmazási képesség, fegyverzet. Ezek nélkül a dolognak a megnyert nyolc év/kétezer óra tartamban nincs értelme. Akkor már néhány igazán korszerű nyugati könnyű gép, mellyel legalább a különlegesek kinn lennének a vízből, és végre lenne egy komplett, szuverén és korszerű képessége a honvédségnek.
Zord
L’institut de macro-économie Fathom prévient d’un risque de récession en Grande-Bretagne qui « n’a jamais été aussi grand », pointant du doigt le Brexit combine au recul de la consommation des ménages. Que penser de ce scénario ? N’est-il pas un peu alarmiste selon vous ?
Le Brexit crée évidemment de l’incertitude économique. Par ailleurs, la situation économique britannique connait une certaine dégradation, liée en bonne partie à ses déséquilibres macro-économiques généraux et antérieurs au référendum.
L’opposition à la sortie de l’UE semble nourrir des interprétations assez partiales et emphatiques de la conjoncture. Les économistes britanniques ont quand même l’habitude, in fine, de reconnaître leurs erreurs et nombreux sont ceux qui ont fait leur mea culpa au sujet de ce que les Brexiters ont nommé « Project fear », l’annonce d’une apocalypse économique dès le lendemain du vote. La conjoncture britannique a été préservée par la résilience de la consommation des ménages mais le phénomène connaît des limites liées au niveau déjà très bas de l’épargne. Par ailleurs, la dépréciation de la livre, bien qu’elle accroisse l’inflation et comprime le pouvoir d’achat à court terme, peut aussi permettre un certain rééquilibrage pour cette économie qui connait de larges déséquilibres sur le plan commercial et financier. Notons tout de même que, bien que les salaires stagnent et que la croissance fléchisse, le pays n’est pas loin du plein emploi. Il semble, à certains égards, que nous soyons dans une sorte de bis repetita du « project fear », une version bien plus modérée que la version initiale pré-référendum mais visant tout de même à orienter les faits sans relâche. Toutefois, au Royaume-Uni le jeu interprétatif ne dépasse pas une certaine limite fixée par l’observation des chiffres. L’empirisme britannique reste un garde fou, tout comme ce bon vieux sens de la politesse qui interdit aux débats certes très tendus sur le fond de dégénérer en scènes de transe télévisuelle.
Si le risque de récession au sens technique est évidemment présent, ne s’explique-t-il pas en grande partie par les faiblesses sous-jacentes (structurelles ?) de l’économie britannique ?
Les incertitudes du Brexit ajoutent une dimension à l’affaiblissement de la conjoncture britannique. Mais lorsque l’on regarde justement les chiffres d’épargne présentés par Fathom, on constate une dynamique cyclique qui accompagne les régimes de croissance. La baisse continue du taux d’épargne vient nourrir la demande pendant les périodes d’expansion économique. Le cycle des années 2000 s’est fracassé sur la crise financière de 2008, avec une remontée brutale du taux d’épargne à environ 12% des revenus, qui est ensuite repartie à la baisse tout au long de la période de reprise. Nous sommes aujourd’hui à un niveau particulièrement bas de l’ordre de 2%. Alors que l’économie britannique a pu résister à l’incertitude du Brexit par la stabilité de la consommation, on voit qu’il n’y a plus beaucoup de marge de manœuvre sur ce plan là, dans un contexte de stagnation des salaires. Le Royaume-Uni connait des déséquilibres importants, en particulier avec son déficit courant à de plus de 4% du PIB ces dernières années. Le modèle est assez clair : consommation forte, faible épargne et larges déficits. Notons que, comme souvent, les politiques d’austérité mises en place par David Cameron, n’ont guère permis de rééquilibrer cette situation, en se focalisant sur la seule question budgétaire plutôt que sur les déficits de l’économie en général. La plupart des économistes ont passé les quatre dernières décennies à nier l’importance des déséquilibres commerciaux (et leur pendant financier de ce fait). Où que l’on porte son regard dans l’économie mondiale, on ne peut que constater la gravité de cette erreur, sur le plan économique mais aussi politique.
Quelles difficultés ajoute alors le Brexit à ce contexte ?
D’un côté la dépréciation de la livre permet un certain rééquilibrage commercial au bout d’un certain temps. De l’autre, à court terme, elle sonne la fin du mélange instable de surconsommation, d’afflux massif d’investissements étrangers et de délitement productif. Ces périodes de sevrage sont toujours compliquées à gérer. La question de la réindustrialisation vise la question des inégalités et du redéveloppement du territoire, mais aussi l’équilibre financier du pays. On a vu réapparaître le spectre de Tony Blair dans les médias depuis le référendum, mais le vent a néanmoins tourné de façon résolu dans ce pays chez les Brexiters comme chez la majorité des Remainers.
On fait poliment dérouler à l’ancien premier ministre ses arguments en faveur de l’annulation du vote du Brexit, car il reste un bon communicant, mais même les journalistes les plus défavorables à la sortie de l’UE ne manquent pas, la plupart du temps, de concéder qu’il n’a plus guère de crédibilité dans le pays.
Le rééquilibrage de l’économie britannique peut être rendu particulièrement difficile dans un contexte d’incertitude politique, comme celui des négociations du Brexit. On parle énormément de la hausse de l’inflation à court terme, qui a atteint 2.9% avant de refluer vers 2.6% le mois dernier. La dépréciation de la livre a certes alimenté l’inflation ; mais sauf à parier sur un effondrement continu du taux de change, le pays ne se trouve pas dans une spirale inflationniste, d’autant plus que les salaires stagnent, comme les mêmes analystes ne cessent de le rappeler. Ce qui menace davantage l’économie britannique sur le long terme c’est le spectre d’une incertitude juridique et commerciale dans ses relations avec l’Europe. La City risque de devoir évoluer vers un modèle encore plus résolument offshore, en perdant une partie de ses revenus entretemps. Plus généralement, la situation est asymétrique car le Royaume-Uni serait bien plus affecté que le reste de l’Europe par le rétablissement de barrières douanières dans le cadre régi l’OMC et surtout par le surplus de paperasse. Notons toutefois que de plus petits pays comme l’Irlande mais aussi les Pays-Bas et la Belgique serait presque autant affectés que le Royaume-Uni par ce scénario. Par ailleurs, une telle rupture serait politiquement, économiquement et juridiquement aberrent pour gérer les relations entre l’UE et un ancien membre qui continuera d’appliquer la quasi-totalité des normes de l’union, ne serait-ce que par souci de continuité.
Trotz der gemeinsamen Erklärung der G20-Länder »gegen Protektionismus« behält sich Washington einseitige »legitime Schutzmaßnahmen« in der Handelspolitik vor.
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Avec l'ombre de l'ANO d'Andrej Babiš qui plane sur la vie politique, le journaliste tchèque Martin Ehl estime que la Tchéquie n'est pas à l'abri d'une expérience "illibérale" telle qu'on l'observe en Pologne et en Hongrie.
La frontière du possible s’étend en politique en Europe Centrale. Le parti au pouvoir en Pologne change la façon de nommer les juges afin que le Ministère de la Justice les ait sous son contrôle absolu. Et il veut complètement changer le Tribunal Constitutionnel, le dernier organe de contrôle sur lequel le parti n’a pas d’influence . . .
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Oder doch? Nach Brexit und Trump scheint eine Wende in der deutschen Europapolitik in Sicht.
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Die Liste der Parteien die zur österreichischen Nationalratswahl antreten wird immer länger. Das Neueste: Gleich zwei grüne Parteien kandidieren.
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