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Diplomacy & Defense Think Tank News

Intelligence artificielle : catalyseur de la transition environnementale

Institut Choiseul - Tue, 13/05/2025 - 10:04

L’essor fulgurant de l’intelligence artificielle et l’urgence climatique sont les deux grandes transformations du XXIe siècle. Longtemps parallèles, elles convergent aujourd’hui dans un contexte de tension inédite : si l’IA est perçue comme un levier pour accélérer la transition écologique – optimisation énergétique, préservation de la biodiversité, anticipation des risques – elle soulève également des inquiétudes quant à sa consommation de ressources. 

Les usages concrets de l’IA au service de l’environnement

À l’occasion du Club Choiseul Innovation, le 14 mai 2025, l’Institut Choiseul a révélé un nouveau Briefing consacré à la convergence inédite entre technologie et environnement : gains d’efficacité énergétique, réduction des émissions, préservation de la biodiversité, anticipation des risques… Les cas d’usage se multiplient à mesure que les innovations s’intensifient.

En particulier et concernant l’IA, elle ne représentait encore qu’environ 0,03 % de la consommation énergétique mondiale d’après le CESE. Cependant, force est de constater que les recherches via la plateforme ChatGPT consomment 10 fois plus d’énergie par rapport à une recherche équivalente, selon Google.

La France mise sur une IA frugale et responsable

Face à ce paradoxe, la France cherche à concilier performance technologique et sobriété environnementale. Le Plan IA (10 Mds €) et la Stratégie nationale pour l’intelligence artificielle (1,8 puis 1,5 Md €) placent désormais la frugalité numérique au cœur des priorités. Le concept d’IA frugale, structuré par un référentiel public, vise à réduire l’empreinte carbone des systèmes intelligents tout en maintenant leur efficacité. Dans ce paysage, les Greentechs françaises, dont le nombre a presque triplé entre 2021 et 2023, incarnent cette dynamique d’innovation au service du climat.

Un levier stratégique à encadrer collectivement

L’IA s’impose comme un atout essentiel pour relever les défis environnementaux actuels. Son potentiel en matière de prévision climatique, d’optimisation énergétique ou de préservation de la biodiversité est immense. Mais son développement doit être maîtrisé. À travers le concept d’IA frugale et le soutien des politiques publiques, la France peut devenir une référence en matière de sobriété numérique. La transition écologique passera ainsi par un écosystème vertueux, alliant innovation technologique, encadrement institutionnel et engagement sociétal.

Énergie et agriculture : des opportunités mutuelles pour un territoire durable

Institut Choiseul - Fri, 04/04/2025 - 10:59

À la croisée des chemins entre production énergétique et activité agricole, l’agrivoltaïsme se développe rapidement en France. Face aux tensions foncières, climatiques et économiques, il apparaît comme un levier stratégique pour conjuguer transition écologique, dynamisme rural et souveraineté énergétique.

Une pratique à encadrer pour répondre aux défis territoriaux

Déployé sur des terres agricoles, l’agrivoltaïsme permet de produire de l’électricité solaire tout en maintenant une activité agricole significative. Des ombrières mobiles aux serres photovoltaïques, en passant par les trackers intelligents comme dans le projet de la Grappe du Tardenois (Aisne), les technologies se multiplient.

Le cadre juridique, longtemps flou, s’est structuré avec la loi APER (2023) et ses décrets d’application en 2024. Il impose un taux de couverture maximal (40 %) et réaffirme la vocation agricole des terrains. Reste un enjeu majeur d’acceptabilité locale, que les développeurs tentent d’anticiper via des comités de suivi, des permanences d’information et des outils pédagogiques.

Une opportunité économique, agricole et citoyenne

L’agrivoltaïsme offre de nouveaux revenus pour les agriculteurs tout en améliorant leur résilience face aux aléas climatiques. Selon un baromètre publié par Ipsos et Sun’Agri, près des deux tiers des exploitants voient cette pratique comme une opportunité. Elle permet aussi de dynamiser les territoires grâce à des retombées fiscales (IFER, taxes foncières) et au développement de l’autoconsommation collective.

Les projets comme celui du Tardenois, porté par European Energy, témoignent de cette valeur ajoutée territoriale : production fourragère renforcée, énergie locale pour 30 000 foyers, 730 000 € par an de retombées fiscales… tout en respectant les paysages et l’identité agricole des lieux.

Vers un modèle d’aménagement sobre et concerté

Loin d’un usage opportuniste du foncier, l’agrivoltaïsme bien encadré constitue une réponse cohérente aux défis énergétiques et agricoles. Encore faut-il que sa mise en œuvre reste progressive, transparente et concertée. Il s’agit moins de juxtaposer deux activités que de construire un véritable projet de territoire durable.

Le transport aérien, un instrument de souveraineté ?

Institut Choiseul - Wed, 26/02/2025 - 15:15

Pilier économique, outil d’aménagement du territoire et acteur du rayonnement international, le transport aérien incarne une dimension stratégique forte pour la France. Face à la pression concurrentielle mondiale et aux exigences de décarbonation, il doit être réaffirmé comme un secteur clé de souveraineté.

Un écosystème de puissance à préserver

Avec 320 000 emplois directs, un excédent commercial de 30 milliards d’euros et des hubs structurants pour les territoires, le secteur aérien est au cœur de l’économie nationale. Il permet aussi de connecter les outre-mer, soutenir la diplomatie, le tourisme et l’attractivité française. Acteurs publics et privés incarnent un savoir-faire reconnu (Airbus, Air France, Safran, ADP), symbole du soft power et de l’innovation tricolore.

Concurrence mondiale et transition écologique : un double défi

Les compagnies françaises subissent des distorsions de concurrence face aux acteurs subventionnés du Golfe, d’Asie et aux low cost. La transition écologique, bien que stratégique, renforce encore la pression. Pour maintenir une aviation souveraine, compétitive et durable, un cadre européen équitable, des incitations aux carburants durables (SAF) et un soutien public ciblé sont nécessaires.

Refaire du transport aérien un pilier de souveraineté

Repenser la gouvernance et l’ambition du transport aérien, c’est renforcer notre résilience nationale. Dans un monde instable, il demeure un outil vital de continuité, d’indépendance et d’influence. L’enjeu : construire une aviation française sobre, puissante et stratégiquement alignée.

Explosion des usages numériques : le défi des villes

Institut Choiseul - Wed, 19/02/2025 - 11:03

Face à la croissance exponentielle des usages numériques dans les espaces urbains, les collectivités doivent repenser l’aménagement, la mutualisation des infrastructures télécoms et l’intégration écologique des équipements. Ce défi appelle à une réponse concertée entre industriels, aménageurs et pouvoirs publics.

Des usages numériques toujours plus importants et concentrés

Streaming, cloud, télétravail, IA, objets connectés : les besoins en connectivité explosent, notamment dans les zones urbaines denses. Ces usages créent une pression croissante sur les infrastructures numériques (data centers, antennes, réseaux), souvent invisibles mais essentielles. Or, les villes manquent d’espaces, les réseaux saturent, et les équipements peinent à suivre.

Ce déséquilibre alimente une double tension : entre vitesse des usages et lenteur de l’aménagement, mais aussi entre besoins technologiques et acceptabilité locale. Les antennes sont essentielles à la connectivité mobile, mais suscitent parfois le rejet en raison de leur visibilité ou de leurs impacts perçus.

Construire une gouvernance locale de la connectivité

Le développement d’une connectivité résiliente passe par une stratégie de mutualisation et d’anticipation. Des acteurs comme TOTEM (Tower Company) proposent des modèles partagés, mutualisant les infrastructures entre opérateurs pour limiter l’emprise au sol, améliorer l’efficacité énergétique et faciliter l’acceptabilité locale.

Les collectivités doivent désormais intégrer ces infrastructures comme des éléments à part entière de leur politique d’aménagement. Cela suppose de décloisonner les réflexions entre urbanisme, environnement, numérique et transition énergétique. C’est aussi un enjeu de planification stratégique : implanter, réguler, concilier les usages et créer des modèles contractuels équilibrés.

Ce modèle permet également d’innover sur le plan environnemental. Des initiatives comme celles de Demet’air proposent des infrastructures végétalisées, conciliant performance réseau et intégration paysagère.

Une nouvelle grammaire pour aménager la ville connectée

Répondre à l’explosion des usages numériques impose une vision industrielle et territoriale nouvelle. La connectivité ne peut plus être pensée comme un simple service technique, mais comme un pilier d’aménagement stratégique. Coopération, innovation et régulation locale sont les clés pour articuler usages, performance et durabilité.

Les femmes face aux maladies cardiaques structurelles

Institut Choiseul - Wed, 12/02/2025 - 15:11

Dans un contexte de vieillissement de la population et compte tenu d’inégalités persistantes, les femmes sont en première ligne du combat de santé publique face aux maladies cardiovasculaires. Il apparait donc crucial de mettre en lumière les causes et l’impact réel des maladies cardiaques, notamment structurelles, répandues chez les femmes.

Une urgence de santé publique trop méconnue

En France, les maladies cardiovasculaires (infarctus du myocarde, accidents vasculaires cérébraux, insuffisances cardiaques, etc.) représentent la deuxième cause de mortalité et la pre­mière chez les femmes. Véritable urgence de santé publique, elles étaient à l’origine de 400 décès par jour en 2019, soit 150 000 décès par an dans notre pays. Or les Français ne sont pas tous égaux face à ces pathologies : dans un contexte de vieillissement de la population, les maladies cardiaques dites structurelles forment une véritable « épidémie silencieuse » qui touchent en particulier les femmes.

Mieux prévenir pour mieux vieillir : une priorité stratégique

Face à ce constat, l’Institut Choiseul souhaite se saisir des enjeux relatifs à la santé cardiaque, qui cristallisent l’avenir du « bien-vieillir » dans notre pays. Dans un nouveau Briefing, les causes et l’impact réel des maladies cardiovasculaires sont explorées, assorties de propositions concrètes destinées à nourrir la stratégie des autorités publiques, ainsi qu’à sensibiliser le grand public aux actions de prévention à instaurer.

Pourquoi cette étude ?

Pour sensibiliser les décideurs et ouvrir la voie à des actions concrètes, ce Briefing propose trois pistes d’action rapidement mobilisables :

  1. Mettre en place des actions de prévention et d’information du public ;
  2. Déployer les innovations technologiques pour réduire les inégalités face à ces pathologies ;
  3. Renforcer l’inclusion les femmes dans les travaux de recherche et les études cliniques.

La mémoire des entreprises, ressource stratégique

Institut Choiseul - Wed, 29/01/2025 - 15:42

Longtemps considérée comme un simple exercice patrimonial ou commémoratif, la mémoire d’entreprise s’impose aujourd’hui comme un actif stratégique. Elle permet non seulement de consolider l’identité, de renforcer la cohésion et de valoriser le récit d’une organisation, mais aussi de nourrir sa gouvernance, son attractivité et sa capacité à se projeter dans l’avenir.

Un outil de pilotage au service de la stratégie

Face aux bouleversements économiques, technologiques et sociaux, les entreprises sont appelées à réaffirmer leur cap, leur utilité et leur vision. Dans ce contexte, la mémoire devient un instrument de pilotage stratégique, capable d’ancrer les décisions dans une histoire longue, de repérer les cycles passés, les succès reproductibles ou les crises fondatrices.

Mobilisée avec méthode, elle permet d’éclairer les choix de long terme, de détecter les éléments de continuité qui ont fait la résilience de l’entreprise, et de mieux comprendre les ruptures. À travers ses archives, ses témoignages, ses repères symboliques, elle aide à bâtir un diagnostic stratégique plus profond, enraciné dans l’expérience.

Cette mémoire peut aussi renforcer la légitimité des projets de transformation. En s’inscrivant dans une histoire collective, les nouvelles orientations sont mieux comprises, acceptées et partagées. Elle joue alors un rôle de boussole et de pont entre passé, présent et futur, dans un monde où l’incertitude est la norme.

Un récit collectif pour engager et différencier

Au-delà de son utilité stratégique, la mémoire d’entreprise est un vecteur puissant de mobilisation interne et de différenciation externe. En interne, elle contribue à construire une culture partagée, à souder les équipes autour de valeurs communes, à renforcer le sentiment d’appartenance et à donner du sens à l’action quotidienne. C’est un outil RH à part entière.

Dans un marché du travail concurrentiel, la mémoire devient un levier d’attractivité pour les talents, notamment les jeunes générations en quête de sens, d’authenticité et d’histoire. Elle donne à voir les engagements réels de l’entreprise dans la durée, bien au-delà des discours de circonstance.

En externe, elle alimente un récit différenciant et légitime, qui nourrit l’image de marque, renforce la crédibilité de l’entreprise, et permet d’incarner ses valeurs auprès de ses parties prenantes. Elle devient ainsi un outil de soft power, valorisant l’entreprise dans ses territoires, ses secteurs et ses écosystèmes.

Encore faut-il structurer cette mémoire, l’archiver, la transmettre et la faire vivre. Cela suppose des moyens, des expertises, et une gouvernance spécifique. Trop souvent cantonnée aux services communication ou RH, elle gagnerait à être pleinement intégrée à la stratégie globale de l’entreprise.

Faire vivre un patrimoine immatériel d’avenir

Dans un monde où tout s’accélère, où les repères s’effacent, où la volatilité devient norme, la mémoire d’entreprise est une ressource rare et précieuse. Elle permet de construire un futur cohérent à partir d’un passé assumé. Encore faut-il la considérer comme un actif vivant, à structurer, activer et transmettre. Loin d’un simple retour nostalgique, elle devient un levier de gouvernance, d’engagement et d’impact pour les entreprises qui veulent durer.

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