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L'Europe politique et de la défense (par Nicolas Gros-Verheyde)
Updated: 8 hours 27 min ago

Carnet (20.04.2018). Jumbo. Sanctions (Corée du Nord, Birmanie). France (clause de solidarité). Priorités (Hollande). OTAN (pays baltes). Finlande (EDA). USA (missile). Balkans (Mogherini). Turquie (soldats grecs). Gaza (résolution). Philippines ...

Fri, 20/04/2018 - 11:10

F-16 belges. Deux thèses s’affrontent. Le débat continue

Fri, 20/04/2018 - 10:10

(B2) Les auditions auxquelles la commission défense de la Chambre des députés a procédé, mercredi (18 avril), n'ont pas permis de trancher entre deux thèses au sein même de l'armée belge sur la prolongation des F-16 belges. L'auteur des fuites, qui était anonyme jusque-là, le lieutenant colonel Rudi Decrop, a confirmé ses propos. « Si aucune […]

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Accident du Tupolev présidentiel. La Pologne pointe son doigt sur la Russie

Fri, 20/04/2018 - 08:17

(B2) La commission d'enquête du ministère polonais de la Défense est arrivée à la conclusion que les causes de l'accident du Tupolev présidentiel TU 154M Smolensk qui avait coûté en avril 2010 la vie au président polonais Lech Kaczyński et à 95 autres personnalités polonaises n'étaient pas purement accidentelles (lire : L’avion présidentiel polonais crashe: […]

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Lettre à nos amis américains : n’abandonnez pas l’accord sur le nucléaire iranien !

Thu, 19/04/2018 - 18:09

(B2) Dans une démarche assez inédite, environ 500 parlementaires (1) de trois pays européens (Assemblée nationale française, Bundestag allemand et Commons britannique), de tous bords politiques, viennent d’adresser une lettre commune à leurs homologues membres du Congrès américain, les abjurant de ne pas rompre l’accord international conclu avec l’Iran sur la non prolifération nucléaire

Une ultime tentative venant des trois pays européens qui ont signé l’accord (le ‘E3’), pour essayer de faire fléchir les parlementaires américains alors que le 12 mai, le président américain Donald Trump pourrait refuser de certifier la bonne tenue de l’accord et donner une nouvelle dispense des sanctions. La main reviendra alors au Congrès qui devra décider de rétablir l’ensemble des sanctions, ou non (2). Cette procédure de certification est régulière tous les trois mois. Et l’administration Trump n’a pas fait mystère de sa vision négative de l’accord du 14 juillet 2015 entre l’Iran et les six pays représentants la communauté internationale (les membres du Conseil de sécurité + l’Allemagne).

(1) La liste des signataires. Ce chiffre n’est pas choisi tout à fait au hasard, le Congrès US (Chambre des représentants et Sénat) comptant 535 membres.

(2) Selon la loi américaine (l’Iran Nuclear Agreement Review Act), en cas de non certification de l’accord par le président, le Congrès (Chambre des représentants et Sénat) ont 60 jours pour décider du rétablissement des sanctions. S’ils ne décident rien durant ce délai, les sanctions ne sont pas rétablies. C’est ce qui s’était déjà passé en décembre 2017.

La lettre en anglais et en français

* * *

To the members of the United States Congress :

For more than a decade, we – Europeans, Americans, and the international community – have feared the imminent threat of a nuclear-armed Iran. To counter this threat and make the Middle-East a safer place, the international community came together, using the might of diplomatic negotiations and the force of sanctions, agreed upon by most of the major economic powers.

Then, after 13 years of joint diplomatic efforts, we reached a major breakthrough and signed the JCPOA. With that, we were able to impose unprecedented scrutiny on the Iranian nuclear program, dismantle most of their nuclear enrichment facilities, and drastically diminish the danger of a nuclear arms race. Not a drop of blood was spilt. Furthermore, these controls will not cease after the ten years of the JCPOA: Iran will continue to be subject to the strict controls prescribed by the Nuclear Non-Proliferation Treaty, which will continue to limit enrichment.

The only reason why we were able to achieve this breakthrough is that we stood together. Together, Europeans and Americans, we have proven that a strong and united transatlantic partnership can bring about a coalition extending to Russia and China, endorsed by the international community.

This coalition is now at risk, as the US government moves towards abandoning the JCPOA without any evidence of Iran not fulfilling its obligations. The short term effect of this abandonment would be the end of controls on Iran‘s nuclear program, resulting in another source of devastating conflict in the Middle East and beyond. The long-term risk is even more serious: lasting damage to our credibility as international partners in negotiation, and more generally, to diplomacy as a tool to achieve peace and ensure security. Abandoning the deal would diminish the value of any promises or threats made by our countries.

Our credibility is all the more urgently needed when we look at the instability in many parts of the world today. With regards to Iran it is an essential ingredient in our much-needed efforts to curb the country’s aggressive regional and domestic policy. As much as we share the concerns expressed by many vis-à-vis this Iranian behavior, we are deeply convinced that these issues must be treated separately (as we are doing already) – and not within the context of the JCPOA.

It is the US’s and Europe’s interest to prevent nuclear proliferation in a volatile region and to maintain the transatlantic partnership as a reliable and credible driving force of world politics. We are open to dialogue on the best ways to tackle these challenges together. But let us be clear: if the deal breaks down, it will be well-nigh impossible to assemble another grand coalition built around sanctions against Iran. We must preserve what took us a decade to achieve and has proven to be effective.

Building coalitions and winning consensus is one of our main tasks as members of our respective Parliaments. We therefore urge you to stand by the coalition we have formed to keep Iran‘s nuclear threat at bay. This would not only be a powerful sign of the durability of our transatlantic partnership, but also a message to the Iranian people.

Together, let’s keep the JCPOA alive and protect the fruits of successful diplomacy.

* * *

Aux membres du Congrès américain :

Depuis plus de dix ans, l’Europe, les Etats-Unis et la communauté internationale ont craint la menace imminente d’un Iran doté de l’arme nucléaire.

Pour faire face à cette menace et assurer la stabilité du Moyen-Orient, la communauté internationale s’est mobilisée en alliant l’usage de la diplomatie à celui des sanctions, soutenues par la majorité des grandes puissances mondiales.Après 13 ans d’efforts diplomatiques conjoints, la signature de l’accord nucléaire du 14 juillet 2015 à Vienne a permis une avancée historique. Cet accord met en place un système de vérification sans précédent du programme nucléaire iranien, impose le démantèlement des installations d’enrichissement d’uranium et atténue considérablement le risque de prolifération nucléaire- – et ce, sans recours à la force. De plus, ce système de vérification ne cessera pas après la fin de la validité de l’accord. L’Iran continuera à être assujetti aux contrôles stricts prévus par le Traité de Non-Prolifération nucléaire, qui restreint les capacités d’enrichissement d’uranium.

Ce n’est qu’à travers le rassemblement de nos forces que cette avancée a été rendue possible. Européens et Américains, nous avons su prouver – ensemble – qu’un partenariat transatlantique solide est capable de rassembler une coalition international incluant la Russie et la Chine, et soutenue par l’ensemble de la communauté internationale.

Cette coalition est aujourd’hui en danger. Les Etats-Unis s’apprêtent à quitter l’accord de Vienne, alors même que l’Iran a respecté ses obligations découlant de cet accord. Dans le court-terme, l’effondrement de l’accord mettrait fin aux contrôles de l’Agence Internationale de l’Energie Atomique sur le programme nucléaire iranien, ouvrant la voie à un conflit potentiel aux effets dévastateurs au Moyen-Orient. Dans le long-terme, le risque est encore plus grand. La fin de l’accord porterait atteinte de manière durable à notre crédibilité en tant que partenaires internationaux et plus généralement, à la diplomatie comme outil de paix et de sécurité. L’abandon de l’accord diminuerait ainsi la portée des engagements ou des menaces que nos pays respectifs utilisent comme outils de diplomatie.

Or, au regard de l’instabilité de nombreuses regions du monde, il est urgent de renforcer notre crédibilité, élément indispensable de notre action pour faire pression sur la politique régionale et nationale agressive de Téhéran. Si nous partageons les inquiétudes vis-à-vis de l’attitude de l’Iran dans la région, nous portons la conviction que ce sujet doit être traité séparément de l’accord de Vienne (tel que nous le faisons actuellement).

Prévenir la prolifération nucléaire dans un Moyen-Orient instable est dans l’intérêt des Etats-Unis et de l’Europe. Pour cela, notre partenariat transatlantique doit demeurer une force motrice, fiable et crédible sur la scène internationale. Nous sommes évidemment ouverts au dialogue sur les moyens de faire face à ces défis. Mais soyons clairs : si l’accord s’effondre, il sera pratiquement impossible de réunir à nouveau une grande coalition pour imposer des sanctions contre l’Iran. Il nous revient de préserver ce succès diplomatique, fruit d’une décennie d’efforts, qui a fait la preuve de son efficacité.

En tant que parlementaires, nous sommes habitués à former des coalitions et rechercher le consensus. Nous vous appelons donc à soutenir la coalition que nous – Européens – avons formée avec vous – Américains – pour réduire la menace d’un Iran nucléaire. Le maintien de cette coalition constituera un symbole de la pérennité de notre partenariat transatlantique, mais enverra également un signal fort pour le people iranien.

Ensemble, maintenons l’accord de Vienne, une victoire historique de la diplomatie.

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Quatre noms ajoutés à la liste noire Corée du Nord, pour pratiques financières douteuses

Thu, 19/04/2018 - 15:40

(B2) L'Union européenne a décidé, ce jeudi (19 avril), d'ajouter quatre personnes à sa liste noire 'Corée du Nord', avec gel des avoirs et interdiction de visas dans l'UE. Une décision adoptée par procédure écrite. Ces mesures restrictives sont prises au nom du pouvoir de sanction autonome de l'UE et non par transposition de décisions […]

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Corée du Nord : la solution est une dénucléarisation par étape (Nirj Deva)

Thu, 19/04/2018 - 14:45

(B2)  « La Corée du Nord pourrait proposer un gel de la nucléarisation », comme première étape vers une dénucléarisation progressive. C'est ce qu'assure le député conservateur britannique Nirj Deva (ECR), lors d'une conférence de presse mercredi (18 avril). Celui qui assure avoir mené des négociations secrètes avec le régime de Pyongyang (cf. encadré) appelle l'Europe à […]

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Pour instaurer la paix en Syrie, il faut négocier avec tout le monde, y compris le régime (Macron)

Thu, 19/04/2018 - 12:35

(B2) Devant le Parlement européen, répondant à une question notamment de la gauche unie, le président français Emmanuel Macron, a voulu se défendre d'avoir déclenché une nouvelle guerre en Syrie, estimant la dernière intervention parfaitement légitime. Mais, surtout, il s'est engagé à ouvrir une discussion politique, avec tout le monde, y compris le régime de […]

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« J’ai enterré presque 400 cadavres, c’est trop ! » (M. Chamseddine Marzoug, pêcheur tunisien)

Thu, 19/04/2018 - 07:46

(B2) Pêcheur tunisien, Mohamed1 Chamseddine Marzoug, enterre les cadavres de migrants qui échouent dans ses files ou sur les plages de Zarzis, au sud de la Tunisie, à proximité de la frontière libyenne. Depuis 2011, il donne une sépulture à ceux qui n’ont pas de noms. Il interpelle les Européens…

Le pêcheur était présent au Parlement européen, ce mardi (17 avril), invité par l’eurodéputée de gauche Marie-Christine Vergiat. Il témoigne aussi des difficultés avec les milices libyennes et du brouillard des relations avec les garde-côtes tunisiens.

Pas d’autre choix que de pêcher des cadavres

Avant même que les premières ONG n’assurent des sauvetages en Méditerranée (depuis 2016), les pêcheurs de Zarzis, au sud de la Tunisie, à la limite de la frontière libyenne, ont  « dû sauver des migrants » ou  « repêcher leurs cadavres », certains coincés dans les filets des chalutiers, comme ce cadavre d’enfant dont le pêcheur brandit la photo : « Quelle était sa faute ? » interpelle-t-il à l’adresse des Européens qui, selon lui, détournent les yeux.

Quand le vent souffle du Nord

A Zarzis, les pêcheurs voient des migrants « morts et des vivants » fuir la Libye. Ce qu’il redoute aujourd’hui, c’est que le nombre de cadavres dans les eaux de Zarzis ne reparte à la hausse, « comme chaque année » car « souffle le vent du Nord », « celui qui amène les cadavres » alors que les conditions météorologiques sont à priori plus favorables aux traversées.

Qui coordonne les secours en mer en Tunisie ?

La réponse est évasive ou parfois confuse car les responsabilités ne semblent pas clairement distribuées. Au début, les marins de Zarzis sont seuls pour sauver ces migrants. Mais « sans expérience ». Les marins ont ensuite « cherché à parler et coordonner leurs efforts avec les garde-côtes pour échanger les infos sur les bateaux venant de Libye », que les marins « rassemblaient et nourrissaient ». Il semble aussi que les garde-côtes aient tendance à appeler les marins plutôt que de sauver les migrants en mer. La marine tunisienne a un rôle flou pour le pêcheur qui ne veut pas en dire plus. Quand les garde-côtes ou la marine ne sont pas disponibles, les pêcheurs interviennent. Même si, « ces sauvetages nous empêchent aussi de travailler ».

Des eaux internationales mouvantes

« Nous avons toujours beaucoup de mal à savoir où pêcher sans problèmes, jusqu’à 18 ou 20 miles », à cause de « l’absence de délimitation des eaux territoriales ». Il arrive aussi que les bateaux de pêche « soient interceptés par les milices libyennes avec des demandes de rançon qui peuvent atteindre 50.000 euros ». Une somme énorme. « C’est cinq années de travail ».

Une message à l’Union européenne

« Nous n’en pouvons plus de de voir les cadavres dans la mer » lance le pêcheur qui demande « au monde » de prendre ses responsabilités. A l’Union européenne, il demande aussi « qu’elle arrête de nous imposer des quotas de pêche de thon qui limitent notre activité ». Au port de Zarzis, « 10 chalutiers et 1250 pêcheurs tentent de travailler avec trois quotas seulement ». « C’est pourtant nous qui protégeons les migrants ! ».

Ils ont droit à une sépulture

Il demande aussi « des moyens pour enterrer dignement les cadavres ». Un « terrain », « du matériel adapté » « car avec nos moyens de fortune on peut mettre trois heures à tracter un cadavre et tenter de le sortir de l’eau », « une chambre funéraire ». A terre, « on les transporte comme on peut, avec nos voitures ». Mais « ils ont droit à une sépulture et à la dignité ». « C’est moi qui lave les cadavres et les prépare depuis des années. J’en ai enterré presque 400. C’est trop ! ».

(Emmanuelle Stroesser, à Strasbourg)

Le pêcheur a reproduit, avec son neveu, devant le Parlement, mercredi (18 avril), les gestes de la préparation des corps de migrants qu’il réalise depuis 2011 (Crédit : groupe GUE)

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Entre l’Europe du repli et l’Europe de l’habitude, Emmanuel Macron prône une Europe de l’ambition

Wed, 18/04/2018 - 16:49

(B2) Souveraineté et réforme, Emmanuel Macron a prononcé un discours de combat (devant le Parlement européen). Un discours tout en verbes et en verve, très politique. Fidèle à la recette réussie en France, à gauche et à droite en même temps, il entame ainsi la campagne européenne de 2019 L'hémicycle était plein, les sièges réservés […]

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Carnet (18.04.2018). COPS (Agenda). EUTM RCA (extension). Missions PSDC (revue). Ambassadeur US. Syrie (embargo). EUCAP Sahel Niger (harcèlement). MPUE Bosnie (mutation). Turquie-OTAN (Stoltenberg). Frappes Syrie (ratés). Syrie (Mogherini). Balkans ...

Wed, 18/04/2018 - 11:52

Au Yémen, l’urgence est de sauver les infrastructures qui s’effondrent (CICR)

Wed, 18/04/2018 - 08:10

(B2 - exclusif) Trois ans après le début d'un conflit qui a déjà fait 10.000 morts, qualifié de « pire crise humanitaire dans le monde » par Antonio Guterres, secrétaire général de l'ONU, nous avons rencontré Alexandre Faite, chef de la délégation au Yémen du Comité international de la Croix-Rouge (CICR). Entretien. La communauté internationale a annoncé plus […]

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Programme EDIDP. La négociation au point mort

Wed, 18/04/2018 - 08:05

(B2) La négociation sur le programme européen de développement industriel dans le secteur de la défense (EDIDP) n'a pas fait de progrès notable, même si, selon une source proche du dossier, "des lignes de compromis possibles" ont été esquissées sur certains points. La seconde réunion du trilogue qui s'est tenue (le 11 avril dernier) n'a […]

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La Commission propose de compléter l’arsenal anti-terroriste

Tue, 17/04/2018 - 16:55

(B2) La Commission européenne a proposé, mardi (17 avril), un nouveau paquet de mesures pour réduire la capacité des terroristes à « planifier, financer et mener à bien des crimes ». Quatre objectifs sont visés : l'utilisation frauduleuse de documents d'identité, le financement du terrorisme, le contrôle  des explosifs artisanaux et l'import/export d'armes Ce nouvel […]

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Syrie. Les 28 veulent saisir le momentum pour remettre la solution politique en selle

Tue, 17/04/2018 - 08:35

(B2) Après les frappes militaires, pour les 28 ministres des Affaires étrangères, la priorité des priorités est surtout de « relancer le processus politique » pour mettre fin au conflit, entré dans sa huitième année. Ils l'ont dit avec détermination tant dans les longues conclusions adoptées lundi (16 avril) que dans les prises de paroles à l'occasion […]

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Frappes en Syrie : baptême du feu pour deux nouveaux missiles de croisière, dont un Européen

Tue, 17/04/2018 - 07:10

(B2) L'attaque menée par les Etats-Unis, le Royaume-Uni et la France dans la nuit de vendredi à samedi a été l'occasion pour Washington et Paris de tester deux missiles de croisière encore jamais utilisés au combat. Le Missile de croisière naval de MBDA et le missile de croisière furtif AGM-158 JASSM de Lockheed Martin bénéficient […]

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Le Parlement veut demander à la Commission de revoir la nomination de Selmayr

Tue, 17/04/2018 - 00:40

 (B2) Après avoir négocié pendant plusieurs jours, les eurodéputés de la féroce Cocobu (commission de contrôle budgétaire) ont finalement voté la résolution avec un nouvel amendement de compromis, rédhibitoire pour Martin Selmayr. Voté ce lundi (16 avril, au soir), à une majorité de 40 voix, ce texte reconnaît que rouvrir la procédure de nomination du […]

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L’OpenArmes libéré. Ordre du juge de Raguse

Tue, 17/04/2018 - 00:09

(B2) Un juge de Raguse (Sicile) a annulé lundi le placement sous séquestre du navire de Proactiva Open Arms, bloqué depuis mi-mars au port de Pozzalo en raison de soupçons d’aide à l’immigration clandestine, a annoncé cette ONG espagnole (lire : Opération de secours en mer de l’Open Arms. Toutes les règles ont-elles été respectées ? Qui dit vrai ?)

L’état de nécessité reconnu comme mobile de l’action

Le juge a fait valoir que la Libye n’était « pas encore en mesure de ré-accueillir les migrants secourus dans le respect de leurs droits fondamentaux » et estimé que l’ONG avait donc agi en « état de nécessité ». « Ce n’est qu’un premier pas et une bonne nouvelle. L’Open Arms est libéré, mais les enquêtes du parquet de Catane pour association de malfaiteurs et de celui de Ragusa pour aide à l’immigration clandestine se poursuivent », a commenté sur Twitter Oscar Camps, le fondateur de l’ONG.

Sur une dizaine de bateaux d’ONG, 2 ou 3 rescapés

Il y a un an, une dizaine de navires d’ONG patrouillaient au large de la Libye. Désormais, il n’en reste plus que deux : l’Aquarius de SOS Méditerranée et Médecins sans frontières et le Sea-Watch de l’ONG allemande éponyme. L’Open Arms était le deuxième saisi par la justice italienne après le Iuventa de l’ONG allemande Jugend Rettet l’été dernier. D’autres ONG ont suspendu leurs opérations en raison des menaces croissantes de la marine libyenne et de la baisse des départs (-60% depuis l’été 2017).

(NGV avec AFP)

Lire notre vérification des faits :

 

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Zone Euro : Une douche froide pour Macron venue de Berlin

Mon, 16/04/2018 - 23:48

Annegret Kramp-Karrenbauer s’exprimant à la CDU en 2017 (crédit photo : CDU / T. Koch)

(B2) Le parti conservateur d’Angela Merkel en Allemagne a pris nettement ses distances lundi avec les projets de réforme de la zone euro d’Emmanuel Macron. Une position qui n’est pas anodine, à la veille d’un discours du chef de l’Etat français au Parlement européen.

Le budget de la zone euro : une idée à enterrer

L’Union démocrate-chrétienne (CDU) de la chancelière a notamment émis des critiques sur l’idée de création d’un budget propre à la zone euro pour aider les investissements. « Je ne pense pas que cela soit une bonne idée » d’avoir un deuxième budget distinct de celui qui existe déjà pour l’Union européenne dans son ensemble, a indiqué à la presse la secrétaire générale et numéro deux du mouvement.

Beaucoup d’autres sujets de préoccupation

Annegret Kramp-Karrenbauer, une proche d’Angela Merkel a jugé que l’Union européenne, suite au Brexit, avait déjà beaucoup de défis budgétaires à relever pour compenser le départ de la Grande-Bretagne. Elle a souligné que les pays de la zone euro, à eux seuls, représentaient 85% du budget total actuel de l’UE et que de ce fait un deuxième budget lui paraissait difficile à construire en l’état. « En conséquence, nous sommes d’avis que nous devons avant tout et en priorité nous occuper de la question du budget principal de l’Union européenne », a-t-elle conclus, s’exprimant à l’issue d’une réunion des députés du parti démocrate-chrétien et de son allié bavarois (CSU).

Non au fonds monétaire européen

Les élus ont publié à cette occasion une prise de position qui traduit leur scepticisme, notamment sur le projet de Fonds monétaire européen (FME) pour ancrer dans le marbre un mécanisme d’aide aux pays de la zone euro en difficulté. Les députés conservateurs d’Angela Merkel conditionnent la création d’un tel mécanisme pérenne à une réforme des traités européens, ce qui de facto rend sa réalisation très improbable.

Pas de FME sans réforme des Traités

« La mise sur pied éventuelle d’un FME dans le droit européen ne peut se faire que dans le cadre d’une réforme des traités européens », soulignent les élus dans leur texte. En outre, ils exigent que ce mécanisme soit indépendant de la Commission européenne, dont ils estiment qu’elle est trop laxiste avec les Etats affichant des déficits publics. Et ils refusent que ce Fonds aide les gouvernements confrontés à des « crises conjoncturelles », comme le souhaite Bruxelles. A leurs yeux, ce FME ne pourrait intervenir qu’en cas de problème de remboursement de dette et en contrepartie d’importants efforts d’économie dans les pays concernés.

(avec AFP)

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Vers de nouvelles sanctions sur l’Iran, les Européens temporisent

Mon, 16/04/2018 - 22:42

(B2) Les ministres des Affaires étrangères de l'UE n'ont pas voulu, ce lundi (16 avril), aller plus loin immédiatement dans de nouvelles sanctions contre l'Iran. Le trio franco-britannique-allemand n'a pas réussi à convaincre ses homologues européens, du moins pas tout de suite L'approche de la date limite fixée par l'administration américaine (12 mai) pour la […]

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Les 28 comprennent les frappes militaires des Alliés mais ne les approuvent pas expressément

Mon, 16/04/2018 - 15:45

(B2) L'Union européenne n'a finalement pas formellement approuvé les frappes militaires réalisées par les Alliés dans la nuit du 13 au 14 avril sur plusieurs sites présumés chimiques syriens. Cette réticence à endosser formellement des frappes pour lesquelles ils ont été mis devant le fait accompli était déjà visible dans les premières réactions ministérielles survenues […]

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