Le Secrétaire général du Haut-commissariat à l’Amazighité (HCA), Si El Hachemi Assad a affirmé, jeudi à Alger, que la création de l’Académie algérienne de la langue amazighe a marqué « un nouveau jalon dans la promotion de tamazight », assurant que le HCA entretiendra une relation « complémentaire » avec cette institution pour oeuvrer de concert à la généralisation de cette langue nationale.
« La création de l’Académie est susceptible d’apporter un plus au Haut-commissariat à l’Amazighité », a déclaré à l’APS M. Assad, soulignant que le HCA aura « une relation complémentaire et oeuvrera en parfaite harmonie avec l’Académie en vue d’améliorer progressivement l’enseignement de tamazight dans le système éducatif et l’enseignement supérieur ».
Saluant la récente déclaration du Premier ministre, Ahmed Ouyahia relative à la création, avant fin 2018, de l’Académie algérienne de la langue amazighe, M. Assad a mis en avant, dans ce cadre, les efforts déployés par le HCA pour la promotion de cette langue.
Pour M. Assad, la généralisation de tamazight « nécessite du temps, des moyens et l’encadrement nécessaire », rappelant, à ce titre, que l’enseignement de cette langue avait été élargi à 43 wilayas avec l’entrée scolaire de cette année, en sus des opérations de sensibilisation menées par le HCA à travers les quatre wilayas restantes, à savoir El Oued, Naâma, El Tarf et Tiaret.
Par ailleurs, le même responsable a mis en avant le rôle du HCA dans « la promotion » de cette langue nationale et officielle.
Lire aussi: L’enseignement de tamazight enregistre une évolution au niveau national
Il a affirmé, également, que parmi les défis qui attendent le HCA figure « l’intégration de la créativité amazighe avec tous les variantes linguistiques, et dans tous les genres littéraires et la traduction, ainsi que la présence de la langue amazighe dans le cadre d’un service public ».
Abordant le rôle de l’Académie, M. Assad a indiqué que les missions de cette institution ont été définies dans la loi organique promulguée à cet effet, dont « l’élaboration d’un dictionnaire référentiel de la langue amazighe », lequel s’appuiera, a-t-il dit, sur les dictionnaires thématiques édités par le HCA.
L’Académie a également pour mission, la normalisation de tamazight et la préparation de cette langue pour devenir « la langue des sciences et de la modernisation ».
S’agissant de l’écriture qui sera utilisée pour la transcription de Tamazight, le même responsable a indiqué que parmi les défis qui attendent l’Académie, figure la détermination de « la formule la plus appropriée pour la transcription de cette langue », relevant qu’à l’heure actuelle, le triptyque, à savoir le tifinagh, le latin et l’arabe, a été adopté.
Affirmant que la décision au sujet de cette question sera « politique », le SG du HCA a indiqué que l’écriture « ne pose pas de problèmes » et doit être laissée aux académiciens.
Le Premier ministre Ahmed Ouyahia, avait affirmé, en marge de l’ouverture de la 23e édition du Salon internationale du livre d’Alger (Sila), que la création de l’Académie algérienne de langue amazighe, se fera « avant la fin de l’année en cours « .
Répondant aux « interrogations » soulevées sur la poursuite de l’action du HCA après l’institution de l’ Académie, M. Ouyahia avait indiqué que l’Etat « maintiendra » le Haut commissariat à l’amazighité.
Lire aussi: faire de Tamazight une langue « à part entière » du paysage éducatif national
Il avait, à ce propos, précisé que le HCA « joue un rôle important dans la promotion de la langue amazighe et continuera à accomplir sa mission en coordination avec l’Académie », affirmant à cet égard, la nécessité de « commercialiser les ouvrages en tamazight ».
Il est à rappeler que la loi organique relative à la création de l’Académie algérienne de la langue amazighe, adoptée en juin dernier par les deux chambres du Parlement, après avoir été entériné par le Conseil des ministres, définit les missions, la composition, l’organisation et le fonctionnement de cette instance, placée auprès du président de la République et dont la création est prévue par l’article 4 de la Constitution, amendée en 2016.
L’Académie est chargée notamment de recueillir le corpus national de la langue amazighe dans toutes ses variétés linguistiques, d’établir la normalisation de la langue amazighe à tous les niveaux de description et d’analyse linguistique et d’élaborer un dictionnaire référentiel de la langue amazighe.
La composition de l’Académie est fixée à 50 membres au plus, choisis parmi les experts et compétences avérés dans les domaines des sciences du langage et en rapport avec la langue amazighe et les sciences connexes. L’Académie disposera d’un Conseil, d’un Président, d’un Bureau et de Commissions spécialisées.
Le président de la République a affirmé, lors du Conseil des ministres, en juin, a affirmé que « langue nationale et officielle, Tamazight, que l’Etat oeuvrera à promouvoir comme en dispose la Constitution, a désormais besoin de l’apport des compétences nationales dans ce domaine, pour développer, au sein de l’Académie, les instruments et les règles à même d’accroître l’usage et le rayonnement de cette langue, partie indissociable de notre identité nationale ».
The post Le HCA, une relation complémentaire avec l’Académie algérienne de la langue amazighe appeared first on .
Die Hersteller von 200 Originalmedikamenten müssen ihre Preise senken. Die Überprüfung der Preise durch das Bundesamt für Gesundheit verärgert offenbar einzelne Anbieter.
Das Bundesamt für Gesundheit (BAG) prüft jährlich ein Drittel der Arzneimittel der Spezialitätenliste, und zwar auf Wirksamkeit, Zweckmässigkeit und Wirtschaftlichkeit.
Dadurch konnten für das Jahr 2018 die Preise von 288 Originalpräparaten um im Schnitt 18,8 Prozent gesenkt werden, schreibt das BAG in einer Mitteilung.
Bereits per 1. Dezember 2018 werden deshalb Einsparungen von gut 100 Millionen Franken erwartet. Weil zudem im ersten Halbjahr 2018 die Überprüfung des Jahres 2017 definitiv abgeschlossen werden konnte, betragen die Einsparungen insgesamt 225 Millionen Franken. Im Frühjahr wurde dieser Betrag lediglich auf 190 Millionen geschätzt.
Hersteller von 30 Originalmedis wehren sichBei 255 Original-Medis war keine Preissenkung notwendig, heisst es. Diese seien im Vergleich zu den Referenzländern und im Vergleich zu anderen Arzneimitteln weiterhin wirtschaftlich.
Für 30 Originalarzneien ist noch offen, ob es Preissenkungen gibt. Der Grund: «Die Zulassungsinhaberinnen haben Beschwerden angekündigt», so das BAG.
Das Bundesamt überprüft im Jahr 2019 das letzte Drittel der Arzneimittel der Spezialitätenliste. Dabei werden zum Beispiel Arzneimittel aus den Bereichen Herz und Kreislauf, Gynäkologie und Ophthalmologie überprüft. (uro)
Le Musée central de l’Armée organise, depuis mercredi, des festivités marquant la célébration du 64e anniversaire du déclenchement de la guerre de libération en présence de moudjahidine et d’écoliers venus de plusieurs wilayas.
Le programme de ces festivités qui s’étaleront jusqu’à samedi prochain, prévoit pour ce jeudi des assemblées de moudjahidine qui racontent, aux visiteurs du musée, des histoires vécues pendant la guerre de libération.
La matinée de ce jeudi a été également marquée par une présentation chorégraphique théâtrale sur la révolution du 1er novembre, la présentation d’activités culturelles par un groupe d’élèves du lycée Mohamed Lebdjaoui de Bab Ezzouar (Alger) qui ont été ponctuées par des lectures poétiques et chants patriotiques nationaux outre la présentation d’une pièce théâtrale sur le combat du peuple algérien pour l’indépendance.
Le programme du vendredi prévoit la projection d’un film documentaire sur la guerre de libération et des longs métrages sur Krim Belkacem et Zabana.
La journée du Samedi verra la projection de films sur la révolution à la salle de cinéma et la présentation de la pièce théâtrale « Ruelle des héros ».
The post Le Musée central de l’Armée célèbre le 64e anniversaire du déclenchement de la guerre de libération appeared first on .
Mille (1.000) jeunes ont pris part à la caravane « Mémoire et histoire », dont le coup d’envoi a été donné jeudi à Bouira par les autorités locales de la wilaya dans le cadre des festivités officielles célébrant le 64ème anniversaire du déclenchement de la Guerre de libération nationale.
« Un millier de jeunes participent à cette caravane qui se dirigera vers Alger pour la visite du musée de l’Armée nationale populaire (ANP) et celui du Moudjahid à Riad El-Fath », a expliqué à l’APS, le directeur de l’Office des établissements de jeunes (ODEJ) de Bouira, Hemmal Houcine, organisateur de l’évènement.
Le coup d’envoi de cette caravane a été donné par le premier magistrat de la wilaya, Mustapha Limani, devant le siège de la wilaya de Bouira, dans une ambiance festive et en présence d’un public nombreux.
« Il s’agit d’une activité importante, qui a pour but de faire connaître aux jeunes l’histoire de la Révolution algérienne », a expliqué le responsable.
La visite du musée du Moudjahid permettra aux jeunes participants de découvrir aussi les sacrifices du peuple algérien, notamment des martyrs et des moudjahidine, durant l’époque coloniale », a-t-il ajouté.
Toujours dans le cadre des festivités du 1er Novembre, les autorités locales ont procédé à l’inauguration d’une nouvelle maison de jeunes au niveau du chef-lieu de la wilaya, une structure d’une capacité de 100 lits,
baptisée du nom du Moudjahid décédé Ghani Mohammed Achour.
Après avoir donné le coup d’envoi des activités des établissements de jeunes et des associations locales, M. Limani a procédé aussi à l’ouverture d’un salon locale des arts plastiques auquel une trentaine d’artistes prennent part, selon les détails fournis par M. Hemmal.
The post Bouira: 1.000 jeunes participent à la caravane « Mémoire et histoire » appeared first on .
L’Union générale des travailleurs algériens (UGTA) et des organisations patronales, signataires du Pacte économique et social de croissance, ont signé jeudi à Alger une motion spéciale de soutien et d’adhésion à l’appel du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, lancé le 20 août dernier à l’occasion de la journée du Moudjahid, pour l’édification d’un « front populaire solide » pour faire face aux défis internes et externes qui se posent à l’Algérie.
« Nous soutenons le Président Bouteflika par conviction et notre soutien permettra à l’Algérie de poursuivre son épanouissement et son développement », a déclaré le secrétaire général de l’UGTA, Abdelmadjid Sidi Saïd à l’occasion de la signature de cette motion qui a eu lieu au siège de la Centrale syndicale en marge de la célébration du 64ème anniversaire du déclenchement de la Guerre de libération nationale.
« Nous n’avons pas le droit moral de nier l’apport du chef de l’Etat à l’épanouissement de notre pays », a-t-il affirmé, ajoutant que la signature de cette motion « est un acte de confirmation, d’adhésion et de soutien au président Bouteflika qui a fait de l’Algérie une nation très forte et respectée », rappelant que « le pays était à deux doigts de la catastrophe dans les années 1990 ».
The post L’UGTA et les organisations patronales à l’appel pour l’édification d’un front populaire appeared first on .
Eine etwas längere Frage genügte, und CVP-Bundesrats-Kandidatin Heidi Z’graggen verlor die Nerven. Ein Video legt den Schluss nahe, dass sie ein Parteimitglied als Depp abkanzelt. Die Urnerin spricht von einem «akustischen Missverständnis».
Es war der erste grosse Auftritt der national unbekannten Möchtegern-Bundesrätin Heidi Z'graggen (52). Und er ging mächtig in die Hosen. Die Urner Regierungsrätin patzte ausgerechnet bei jenem Podium, auf dem sich die vier Anwärter für die Landesregierung den CVP-Parteimitgliedern präsentierten.
Bei einer Frage und anschliessendem Zwischenruf aus dem Publikum wandte sich Z’graggen lachend an die Walliser Nationalrätin Viola Amherd (56), die neben ihr sass, und hauchte: «Ja, das isch wichtig. Dä isch en Depp.» Dies berichtet die «Aargauer Zeitung».
Nerven ab langer Frage verlorenDas Problem der Urnerin: Das Mikrofon war stets eingeschaltet. Im Livestream, mit dem das Podium im Internet übertragen wurde, ist die Aussage deutlich hörbar.
Was genau hat Z'graggen zu dieser problematischen Aussage verleitet? Ein CVP-Mitglied wollte von den Papabili wissen, ob das Nationalbankvermögen zur AHV-Sanierung eingesetzt werden könnte. Er stellte die Frage nicht direkt, sondern holte zu einem etwas langen Exkurs aus. Weshalb er auch ermahnt wurde.
Der Zuger Regierungsrat Peter Hegglin antwortete schliesslich, dass die Nationalbank eine unabhängige Institution sei. Jetzt komme das wieder, rief der Fragesteller dazwischen – was Z'graggen mit der Depp-Aussage quittierte.
«Akustisches Missverständnis»Doch Z’graggen will das Wort «Depp» nie in den Mund genommen haben. Gegenüber der «Aargauer Zeitung» nahm sie nur schriftlich Stellung: «Die Unabhängigkeit der Schweizerischen Nationalbank (SNB) ist auf Verfassungsstufe verankert. Diese Unabhängigkeit ist mir wichtig. Ein Zugriff der Politik auf die Institution oder Gelder der SNB lehne ich ab. Man stelle sich vor, welche Begehrlichkeiten da geweckt würden. Das drücke ich so aus. Alles andere ist ein akustisches Missverständnis, das zu bedauern ist.»
Ein akustisches Missverständnis? Die CVP-Bundesratskandidatin steckt bereits nach ihrem ersten Auftritt in der Bredouille. (nmz)
Schöne Emotionen nach dem Cup-Spiel in Chiasso. FCL-Goalie David Zibung verschenkt sein Shirt. An eine Person, die er seit 20 Jahren nicht mehr gesehen hat.
Schöne Szene im Stadio Comunale. Nach dem ungefährdeten 2:0-Sieg im Cup über Chiasso eilt FCL-Goalie David Zibung in Richtung Katakomben-Eingang. Dort steht ein älterer Herr. Und der freut sich, als er Zibung sieht. Es gibt eine herzliche Umarmung – und das orangene, ein bisschen dreckige Goalie-Trikot wechselt seinen Besitzer.
«Das war ein ehemaliger Nati-Delegierter von mir», lüftet Zibung danach das Geheimnis. Und fügt dann mit einem Schmunzeln an: «Ich war ja mit 15 mal in der Schweizer Auswahl». Das Treffen ist mit Emotionen verbunden, auch weil der ältere Herr am Donnerstag seinen 85. Geburtstag feierte. «Ich habe ihn nach 20 Jahren zum ersten Mal wieder gesehen und dachte, das Shirt wäre doch noch eine schönes Geschenk für ihn», sagt Zibung zufrieden.
Zufrieden darf der Routinier auch mit den letzten zwei FCL-Partien sein. Erst ein Arbeitssieg in Neuenburg letzten Sonntag, dann der Einzug in die Cup-Viertelfinals in Chiasso. «Wir haben eine gute Einstellung und eine gute Solidarität unter uns», sagt Zibung. Auch die Körpersprache seiner Mitspieler gefalle ihm. Die will Zibung auch kommenden Sonntag sehen. Dann trifft der FCL in der Swissporarena auf den FC Zürich.
NEUENBURG - Für die Schweizer Hotels ist das Jahr bisher erfreulich verlaufen. Auch im September konnten sie mehr Gäste anziehen. Insgesamt zählten die Hotelbetriebe 3,7 Millionen Übernachtungen.
Das sind 3,2 Prozent mehr als im gleichen Monat des Vorjahres, wie das Bundesamt für Statistik (BFS) am Freitag mitteilte.
Die inländischen Gäste buchten im September 1,7 Millionen Logiernächte, was einem ein Plus von 4,6 Prozent gegenüber dem gleichen Zeitraum des Vorjahres entsprach. Die ausländischen Besucher waren für 2,0 Millionen Logiernächte verantwortlich, das waren 2,0 Prozent mehr als im Vorjahresmonat.
Positiver FrankeneffektSeit Anfang Jahr ist die Zahl der Übernachtungen damit kumuliert um 3,7 Prozent auf insgesamt 30,9 Millionen gestiegen. 13,7 Millionen Logiernächte entfielen auf Schweizer (+2,9%), 17,2 Millionen auf Ausländer (+4,4%).
Der starke Franken hatte in den letzten Jahren Schweizer Hotels gegenüber dem Ausland verteuert, was vor allem auf die Übernachtungszahlen bei europäischen Gästen drückte. Seit sich der Franken gegenüber dem Euro wieder etwas abgeschwächt hat, kehren auch die Europäer wieder zurück. Letztmals hatten die Hoteliers im März 2017 rückläufige Übernachtungszahlen hinnehmen müssen. (SDA)
Beatrice Eglis Bassist erzählt, wie es bei der Schlagersängerin auf der Tour abseits der Bühne zugeht – und auf welches spezielle Ritual die Schwyzerin vor jeder Show schwört.
Er tourt mit ihr gerade durch Deutschland, Österreich und die Schweiz: Jetzt plaudert Bandbassist Pogo aus, wie seine Chefin Beatrice Egli (30) wirklich tickt.
«Beatrice ist immer auf sympathische Weise unberechenbar», fasst der Musiker gegenüber BLICK zusammen. «Sie macht spontan Dinge, mit denen keiner rechnet – und auch viel Blödsinn, da sie einfach gern mit uns lacht und manchmal auch etwas verrückt ist.»
Das ist Eglis Schoss-RitualSeit letztem Sonntag ist Pogo mit der Schwyzer Metzgerstochter unterwegs, bereitet sich mit ihr gerade auf den nächsten Auftritt am Donnerstag in Nürnberg (D) vor. Die Konzerttage würden immer nach dem gleichen Muster ablaufen, so der Bassist.
Nach dem Soundcheck würden sie alle zusammen essen, sich dann jeder für sich zurückziehen. Dann komme Beatrice Eglis spezieller Moment: Kurz vor der Show würden sie sich mit ihrem Ritual einstimmen.
«Wir bilden alle einen Kreis, indem wir uns an den Händen nehmen. Beatrice richtet ein paar Worte an uns und wählt ein Bandmitglied aus, das ebenfalls noch in die Runde spricht.» Danach würde jeder auf den Schoss der Person rechts neben ihm sitzen.
«Dieser enge Sitzkreis soll zeigen, dass wir zusammenhalten und gegenseitig füreinander da sind», so Pogo. «Wir strecken jeweils eine Hand in die Mitte des Kreises und feuern uns, angeführt von Beatrice, noch mal richtig gegenseitig an.»
Beatrice will ständig Leute verkuppelnBeatrice sei sehr diszipliniert und wolle immer das Beste für alle in der Band, lobt der Musiker. Trotz aller Professionalität würden sie untereinander aber nicht ausschliesslich über Termine und Lieder reden. «Wir sitzen oft zusammen und quatschen über ganz alltägliche Dinge. Über das Leben, die Liebe, das Essen oder einfach über Geschichten, die wir erlebt haben.»
Die gemeinsamen Essen, die sich teilweise auch einfach mal spontan ergeben würden, seien immer besonders schön. «Manchmal sitzen wir auch abends alle noch ein wenig zusammen in der Hotelbar und lassen den Tag ausklingen.» Allerdings habe Beatrice auch einen Tick, fügt der Musiker schmunzelnd an: «Sie versucht ständig, Leute miteinander zu verkuppeln. Da sind die Bandmitglieder keine Ausnahme.»
Trotz aller Spässe habe Egli aber auch eine ernste Seite: «Beatrice fragt auch regelmässig, wie es uns geht, und was es bei uns Neues gibt.» (wyt)
Vom 7. bis 9. Dezember macht Beatrice Egli in Basel, Sursee LU und Zürich halt.
BERIKON AG - Berikon brutal: Am Halloweenabend wird Erwin B. (75) von einer bewaffneten Gruppe übel zugerichtet. Vor allem das Vorgehen der Hauptangreiferin, einer Frau, die dem Opfer die Augen eindrückte, schockiert.
Halloween-Horror: Erwin B.* (75) aus Berikon AG wollte einen schönen Mittwochabend zu Hause mit der Familie verbringen. Doch der Tag endet im Albtraum.
Der Senior wird zum Opfer einer brutalen Attacke. In der Einfahrt zu seinem Haus. Das Resultat: Blut, Schlagwunden, Schrammen, Prellungen. Und höllische Schmerzen. Das rechte Auge kann Erwin B. seit der Attacke nicht mehr öffnen, seine Sicht ist stark eingeschränkt.
Das Opfer rekonstruiert für BLICK die Minuten des Schreckens: «Kurz vor 19 Uhr klingelte es Sturm an der Tür. Wie immer an Halloween.»
Erwin B.s Ehefrau geht zur Tür. Eine Gruppe von acht bis zehn Personen verlangt Süssigkeiten. Erwins Frau sagt, sie habe nichts. Die Gruppe geht. Kehrt jedoch wenige Minuten später zurück.
Kampftruppe wird von athletischer Frau angeführtEin Knall an der Fensterscheibe. Der Beriker: «Sie warfen einen Stein ans Küchenfenster.» Der Hausbesitzer geht raus und sagt den Jugendlichen, sie sollen verschwinden. Dann schliesst er die Tür hinter sich zu. Kurz nach 19 Uhr hört der 75-Jährige erneut Lärm. Er geht wieder raus. Die gleiche Gruppe reisst Blumentöpfe aus, schmeisst sie auf dem Vorplatz rum.
Als die Gruppe Erwin B. sieht, haut sie ab. Wenig später sieht der Privatier einen Jungen aus dem Dunkeln kommen. «Einen etwa 14-jährigen Latino, 1,78 Meter gross.» Erwin B. packt den Bub an der Jacke und sagt ihm, er solle erzählen, was los sei. Der Bub bekräftigt, er sei unschuldig, gab seinen Namen bekannt. Erwin B. lässt ihn laufen.
Plötzlich erscheint die Truppe wieder. Angeführt von einer Frau. «Sie war zwischen 25 und 30 Jahre alt, blond, etwa 1,68 Meter gross, athletisch. Sie schrie rum und warf mir vor, ich würde Kinder schlagen», sagt Erwin B.
Die ganze Gruppe gegen SeniorDann attackiert ihn die Frau. «Sie prügelte mit einem Metallschläger auf mich ein», erzählt Erwin B. «Ich hielt meinen Arm schützend vors Gesicht. Die Frau schlug 10 bis 15 mal auf meinen rechten Unterarm und auf meine Hände. Gleichzeitig wurde ich von weiteren Personen aus der Gruppe von hinten attackiert. Auch sie waren mit Metallschlägern ausgerüstet. Sie schlugen mich auf Rücken und Hinterkopf.»
Erwin B. wehrt sich mit einem Faustschlag gegen die Frau. Dann schubst die Hauptangreiferin den 75-Jährigen. Dieser fällt hin. «Die Frau sprang wie eine Furie auf mich und drückte mir mit gespreizten Fingern die Augen ein. Ich hatte Angst. Anschliessend riss sie mit beiden Zeigefingern meine Mundwinkel auseinander.»
«Sie ist eine Kampfsau»Als Erwin B.s Frau ihrem Gatten zu Hilfe eilt, wirft die Hauptangreiferin sie zu Boden. Dann flüchtet die Brutalobande.
Kurz vor 20 Uhr kommt die Ambulanz und bringt den Verletzten ins Spital nach Baden.
Erwin B. ist immer noch schockiert über die Brutalität der Gruppe. Und im Speziellen über die rohe Gewalt, die die Hauptangreiferin anwendete. «Die Frau war richtig kampferprobt. Als sie auf mich eindrosch, merkte ich, wie sie den Angriff genoss. Sie ist eine Kampfsau.»
Die Täterschaft sei unbekannt und flüchtig, wie die Kantonspolizei Aargau gegenüber BLICK bestätigt. Ermittlungen seien eingeleitet. Zeugen werden gesucht.
* Namen geändert
Recep Tayyip Erdogan kifejtette: Fidan egyúttal megkérdezte al-Muadzsibtól, hogy ki küldte Isztambulba a gyilkosság napján, október 2-án a végrehajtókat, valamint, hogy ki az a “helyi kapcsolat”, akinek a szaúdi ellenzéki újságíró, Dzsamál Hasogdzsi holttestét állítólag átadták.
A török államfő úgy fogalmazott: nem hagyhatjuk tisztázatlanul ezt az ügyet, különben “közös adósai maradunk az emberiségnek”.
Az isztambuli főügyészség “előre kitervelt és különös kegyetlenséggel végrehajtott emberölés” bűntette miatt múlt pénteken kérelmezte a 18 gyanúsított kiadatását. Szombaton Ádel al-Dzsubeir szaúdi külügyminiszter azonban kijelentette, hogy a bűnrészes embereket Szaúd-Arábiában fogják bíróság elé állítani.
A szaúdi főügyész hétfőre virradóra érkezett Isztambulba, ahol napközben Fidannal tartott megbeszélést. A találkozó 75 percen át tartott. Al-Muadzsib ezt követően vizsgálatot folytatott az isztambuli szaúdi főkonzulátuson, a gyilkosság helyszínén.
Miközben Mevlüt Cavusoglu török külügyminiszter hétfőn egy isztambuli sajtótájékoztatón hasznosnak nevezte, hogy a török és a szaúdi főügyész megosztja egymással a két fél párhuzamosan folytatott vizsgálatainak információit, a Yeni Safak török kormányközeli napilap kedden arról írt, hogy bár al-Muadzsib a török hatóságok kezében lévő tárgyi bizonyítékok, hang- és videofelvételek átadását kérte a hétfői találkozó során, kérését visszautasították. Fidan csak a kihallgatott főkonzulátusi alkalmazottak vallomásait osztotta meg kollégájával – számolt be róla a Yeni Safak.
A napilap úgy tudja, hogy a szaúdi főügyész – a szaúdi külügyminiszterhez hasonlóan – leszögezte: a 18 gyanúsítottat Szaúd-Arábiában fogják bíróság elé állítani. Al-Muadzsib ugyanakkor megígérte, hogy Rijád “egészséges” eljárást folytat majd a gyanúsítottak ellen és felajánlotta Fidannak, hogy a török hatóságok akár személyesen is figyelemmel követhetik a pert.
Az Anadolu török állami hírügynökség keddi jelentése szerint a szaúdi főügyész kedden ismét tárgyalt török kollégájával, ezúttal is nagyjából egy órán keresztül, majd, ahogy hétfőn, ezúttal is a vahhábita királyság isztambuli főkonzulátusára látogatott.
A szaúdi monarchiát élesen bíráló 59 éves Hasogdzsit, aki egyebek mellett a The Washington Post című amerikai napilap munkatársa is volt, október 2-án gyilkolták meg, az után, hogy bement országa isztambuli nagykövetségére, hogy a török menyasszonyával való házasságkötéséhez szükséges iratokat beszerezze.
Rijád először azt mondta, hogy az újságíró élve hagyta el a konzulátust, majd nyomásra beismerte, hogy “dulakodás közben” meghalt, majd újabb, egymásnak ellentmondó magyarázatokkal állt elő. A szaúdi főügyész a múlt héten jelentette ki először, hogy a gyilkosság “kitervelt” volt.
Nach einem Auffahrunfall stieg ein 54-Jähriger auf der A9 bei Chamoson VS aus seinem Auto und stand auf die Fahrbahn. Dort wurde er von einem nachfolgenden Auto erfasst. Der Portugiese starb noch auf der Unfallstelle.
Tragischer Verkehrsunfall gestern Donnerstag auf der A9. Nach einem Auffahrunfall gegen 22.30 Uhr blieb das Auto eines 54-jährigen Portugiesen bei Chamoson VS auf der Überholspur stehen. Der Portugiese, in Richtung Martigny VS unterwegs war, stieg in der Folge aus seinem Auto.
Dann wurde der 54-Jährige wurde aus noch ungeklärten Gründen von einem nachfolgenden Auto erfasst. Durch die Wucht der Kollision wurde er auf die gegenüberliegende Fahrbahn geschleudert. Er hatte keine Überlebenschance und verstarb noch auf der Unfallstelle.
Auch ein Beifahrer eines der beteiligten Fahrzeuge wurde verletzt. Die Autobahn blieb bis 04.20 Uhr in beiden Richtungen gesperrt. Die Staatsanwaltschaft untersucht den Unfallhergang. (krj)