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24 Heures au Bénin

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Webzine, Quotidien Béninois indépendant, d'analyses et d'information en ligne
Updated: 2 days 17 hours ago

Le journaliste Guy Dossou-Yovo n'est plus

Thu, 04/18/2024 - 23:47

Deuil dans la presse béninoise. Le journaliste Guy Comlan Dossou-Yovo a rendu l'âme, ce jeudi 18 avril 2024, des suites d'une maladie, dans sa 64ème année. Le défunt a été Rédacteur en chef adjoint et chef desk politique de l'hebdomadaire catholique La Croix du Bénin et correspondant de Radio Vatican.
Guy Dossou-Yovo, qui a intégré le journal catholique en 1992, a fait valoir ses droits à la retraite en 2023.
Marié et père de deux enfants, il fut aussi Trésorier général de l'ODEM.
Paix à son âme !

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4 policiers et 2 co-accusés jugés mercredi prochain

Thu, 04/18/2024 - 23:20

Quatre (04) policiers et leurs co-accusés dans l'affaire de bavure policière à Natitingou seront jugés le mercredi 24 avril 2024.

Le procès des agents de police et des personnes impliqués dans la bavure policière à Natitingou aura finalement lieu le 24 avril prochain selon Bip Radio. Après leur audience lundi 15 avril au tribunal de Natitingou, leur jugement avait été reporté pour le 15 mai 2024.

Dans cette affaire de bavure policière à Natitingou, 4 policiers et l'auteur de la vidéo séjournent en prison. La victime de la bavure policière a été libérée avec son ami. Les policiers sont poursuivis pour abus d'autorité, coups et blessures volontaires. Quant à la victime, elle est accusée de violence à agent dans l'exercice de ses fonctions et outrage à commandant de la force publique.

A.A.A

Categories: Afrique

PMU, Loto Star et Loto Fortune font 8 nouveaux millionnaires

Thu, 04/18/2024 - 23:17

La Loterie Nationale du Bénin (LNB S.A) a encore fait de nouveaux millionnaires. Huit (08) gagnants à ses différents jeux sont entrés en possession de leurs gains, jeudi 18 avril 2024, lors d'une cérémonie de remise de chèques organisée au studio de la Direction Générale à Cotonou.

Vingt-six millions cent soixante-deux mille deux cents cinquante (26 162 250) FCFA au total. C'est le montant des chèques remis à 08 gagnants des jeux Loto Star, Loto Fortune et Pari Mutuel Urbain (PMU) de la Loterie Nationale du Bénin (LNB S.A) le jeudi 18 avril 2024.

Les huit parieurs sont des habitués des jeux de la LNB. « Heureux » d'accéder au cercle des millionnaires, ils ont saisi l'occasion pour inviter à jouer aux différents paris de la LNB. « C'est, certes un jeu de hasard mais si tu persévères, tu vas récolter », a témoigné AKOWANOU Ignace, le gagnant de la somme d'un million de FCFA grâce à une mise de quatre cents francs au jeu Loto Star.

Le secret est de continuer à jouer, selon ASSOUDEDOHO qui a gagné six millions sept cents cinquante mille FCFA en pariant sur le jeu Loto Fortune. « Je gagne souvent et j'ai fait beaucoup de réalisations », s'est-il réjoui.

La « joie » est à son paroxysme, à en croire CADIRY M. Nunya qui repart avec un chèque de sept millions cinq cent mille FCFA suite à son pari sur le jeu Loto Fortune.

Les autres parieurs qui accèdent au rang de millionnaires grâce à la LNB SA sont : Monsieur SANTOS Loïc Mario Mohamed (1.000.000 FCFA) ; Madame HILLAH Ayoko (1.000.000 FCFA) ; Madame YARAKOU Rima Melissa (1.250.000 FCFA) ; Monsieur HOUNKPATIN S. Innocent (6.662.250 FCFA) ; Monsieur KOUKE A. William (1.000.000 FCFA). Ils ont fait leur pari respectivement au Loto Star, Loto Fortune, Loto Star en ligne, Pari Mutuel Urbain (PMU) et Loto Fortune.
M. M.

Categories: Afrique

CELA VIENDRA

Thu, 03/28/2024 - 04:00

Oncle AGBAYA

On vous l'avait bien dit, mon Neveu Patou dirige un pays de pagailleurs avec des pagailleurs partout ! Sinon qu'apparemment, tous mes Neveux et Nièces motocyclistes et passagers motocyclistes, sont en train docilement de se mettre au casque, après que certains parmi eux, aient brayé des jours durant sur les réseaux sociaux, qualifiant cette exigence de bon sens universel de la Police Républicaine, de mesure anti-sociale et de brimade…
Mais peut être attendent-ils juste que les impressionnantes escouades de policiers qui parsèment tous les carrefours et implacablement scrutent les têtes et saisissent les motos de tout contrevenant disparaissent ou baissent la garde pour jeter encore les casques …
En tout cas, vous mes Neveux et Nièces qui ricanez que la Police Républicaine aurait dû faire coïncider le début du contrôle avec une période électorale, afin qu'on ait des casques au baobab, des casques au cheval cabré ou au flambeau, vous êtes tous des pagailleurs !
VOTRE ONCLE AGBAYA

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L'inscription des électeurs prorogée au 31 mars

Wed, 03/27/2024 - 23:06

L'opération de recensement et d'inscription sur les listes électorales des représentants des professionnels des médias devant siéger à la 7e mandature de la HAAC se poursuit jusqu'au 31 mars 2024. L'information a été rendue publique à travers un communiqué du président de la HAAC en date du 26 mars 2024.

Les professionnels des médias sont invités à s'inscrire sur les listes électorales des représentants des professionnels des médias devant siéger à la 7e mandature de la HAAC. Initialement prévue pour prendre fin ce 27 mars, l'opération est prorogée jusqu'au 31 mars 2024 à 17 heures.

Categories: Afrique

La journée du lundi 1er avril déclarée fériée chômée et payée

Wed, 03/27/2024 - 18:32

La journée du lundi 1er avril 2024 est déclarée fériée, chômée et payée sur toute l'étendue du territoire national. Le ministre du travail et de la fonction publique informe le public à travers un communiqué en date de mercredi 27 mars 2024.

Pas de boulot pour les travailleurs béninois le 1er avril 2024, lundi de Pâques. Conformément aux dispositions de la loi N°90-019- du 27 juillet 1990 fixant les fêtes légales en République du Bénin, cette journée est déclarée fériée, chômée et payée sur toute l'étendue du territoire national.
Le ministre du travail et de la fonction publique informe le public à travers un communiqué en date du mercredi 27 mars 2024.
Selon le communiqué signé du directeur de cabinet, Victorin Honvoh, le ministre souhaite au nom du gouvernement, une bonne fête à tous.

Categories: Afrique

L'Omc et la Fao au chevet du coton africain

Wed, 03/27/2024 - 18:07

L'Omc avait prévu d'examiner le rapport de la Fao sur la réponse aux défis posés en Afrique de l'Ouest et du Centre par les ravages de la cicadelle du coton ou jasside, au cours de la 40ème série de consultations sur l'aide au développement en faveur du coton, du Mécanisme du Cadre Consultatif du Directeur général sur le Coton du 7 novembre 2023 à Genève. Mais ce rapport n'ayant pu être présenté et vu la gravité des infestations des champs et des pertes de récoltes qui ont affecté les économies nationales, un atelier-webinaire d'experts a eu lieu hier mardi 26 mars 2024, pour évaluer les mesures mises en place et proposer des solutions urgentes à soumettre sous forme de projets aux bailleurs de fonds, en vue de maîtriser ce « Covid du coton ».

Jocelyn N. NÉNÉHIDINI
Politiste–Business Consultant

Les producteurs africains de coton gardent le douloureux souvenir des ravages de leurs cultures, dès la fin des années 90, par la chenille Helicoverpa armigera dont la résistance aux insecticides synthétiques, les pyréthrinoïdes, a conduit les services de recherche à recommander le recours à l'Endosulfan à forte dose. Malheureusement à cette époque, la mobilisation internationale n'était pas suffisante pour sauver les vies humaines et épargner l'environnement des risques d'empoisonnement et de dégradation induits de ce traitement alternatif. Aujourd'hui, l'Omc et la Fao s'impliquent dans la recherche des solutions aux ravages du jasside, au grand bonheur des pays producteurs et de l'Association cotonnière africaine (Aca). Les jassides ne sont pas d'apparition nouvelle dans les pays cotonniers d'Afrique. En 2017, un collectif de huit chercheurs ivoiriens publiait une étude sur l'évolution spatiale et temporelle des dégâts du jasside Jacobiella fascialis (Cicadellidae), en comparaison avec la distribution de la pluviométrie au cours des vingt dernières années, dans les zones de culture cotonnière en Côte d'Ivoire (Koné & al., 2017). Mais cette espèce habituelle de jasside en net recul, a fait place en Afrique de l'Ouest et du Centre à un nouveau biotype dénommé Amascara biguttula ou cicadelle du coton indien ou jasside.

Sous la modération du Professeur Emmanuel Sekloka, Directeur de l'Institut de Recherche sur le Coton du Bénin (Irc), l'atelier-webinaire du mardi 26 mars 2024 a été conjointement ouvert par Jean-Marie Paugam, Directeur général adjoint de l'Omc et Dominique Burgeon, Directeur du Bureau de liaison de la Fao auprès des Nations-Unies à Genève. L'objectif de ces deux institutions organisatrices est de procéder à un diagnostic exhaustif de la situation des ravages, à une appréciation du niveau de succès des réactions mises en œuvre et à une identification des défis restant à relever. Ces derniers seront traduits en projets respectueux de l'Agenda 2030 pour le développement durable, à soumettre aux bailleurs de fonds en vue des actions urgentes à déployer pour contrôler définitivement Amascara biguttula dans les pays africains, comme ils ont fini depuis des années par maîtriser Hélicoverpa Armigera.

Réaction des chercheurs africains face à l'invasion

Les agressions de la cicadelle du coton ont commencé timidement en 2020 pour s'intensifier progressivement jusqu'à la campagne 2022-2023 avec pour épicentres, le Mali, le Sénégal, le Burkina-Faso, la Côte d'Ivoire, le Togo, le Bénin, le Cameroun et le Tchad, entraînant des pertes variant 26% et 60% des récoltes. Selon la Fao, si les pertes en Côte d'Ivoire ont été estimées entre 30-40%, le Mali a perdu en 2021/2022 en plus de 91.256 ha emblavés, 51% de sa production, tandis que le Bénin et le Burkina-Faso signalaient des taux d'infestation anormalement élevés. Confrontés à ces lourdes pertes évaluées en 2022/2023 à 215 milliards de Fcfa pour tous ces huit pays membres du Programme régional de production intégrée du coton en Afrique (Pr-Pica), ils ont déclenché dès août 2022 à travers ledit programme, des initiatives internes qui ont été inscrites à l'ordre du jour de la 19ème assemblée générale de l'Association cotonnière africaine (Aca) tenue à Accra au Ghana en mai 2023. Le Pr-Pica et l'Aca, il faut le souligner, n'étaient pas encore actives à l'époque de l'Hélicoverpa armigera.

Ces initiatives mises en œuvre sous l'impulsion du Pr-Pica vont du traitement des semences par des doses d'insecticides systémiques (quatre produits à base de thiaméthoxame) au traitement foliaire par un produit à base de flonicamide, qui se sont révélés efficaces et ont été utilisés pour la campagne 2023/2024, en passant par d'autres moyens de lutte. Il s'agit d'abord de la fumure organo-minérale optimale qui permet au plant bien nourri d'être plus résistant aux cicadelles qui l'attaquent par succion de sève ; ensuite de l'utilisation d'un régulateur de croissance du cotonnier ou écimage du cotonnier qui rendent les plants plus vigoureux et donc plus résistants aux jassides ; et enfin de l'utilisation de pièges jaunes collants (à glue) qui freinent l'extrême mobilité de la cicadelle, grande à taille adulte, de 3 mm seulement. Ces pièges ne constituent pas un traitement curatif mais plutôt préventif parce que juste permettant de visualiser les niveaux d'infestation. La hausse de la production du Mali (pays le plus frappé par les jassides) qui a ravi à l'occasion au Bénin la tête des producteurs africains au titre de la campagne 2023-2024, n'est pas sans lien avec lesdites initiatives. Toutes ces réactions ont été assorties de mesures prises en matière, entre autres, de mise à disposition à bonne date des produits identifiés aux producteurs ; d'amélioration de l'enrobage des semences délintées ; de poursuite de la sensibilisation des producteurs quant à la réalisation des traitements de façon groupée pour les parcelles d'un même bloc de culture et d'éloignement d'autres cultures maraîchères, elles aussi hôtes favorites des jassides à savoir le gombo, l'aubergine, le piment.

Restaient irrésolus les défis que constituent l'étude de la bioécologie spécifique aux conditions locales en rapport avec la cicadelle du coton qui est d'origine asiatique ; la caractérisation moléculaire des échantillons collectés et l'identification des souches ; la poursuite de la recherche de nouveaux produits ou éléments de lutte agronomique et biologique en l'occurrence la sélection des variétés de plants à pilosité et des ennemis naturels du jasside ; et la mise en place d'une stratégie de gestion intégrée et durable de l'ensemble des ravageurs, en vue d'habituer les producteurs et les sociétés cotonnières à vivre avec ce bio-agresseur de type nouveau par une meilleur maîtrise de son comportement. Sans occulter le défi induit concernant la sécurité alimentaire compte tenu des cibles que constituent plusieurs produits maraîchers pour ce ravageur et des traitements chimiques utilisés pour le combattre.

Action publique internationale anti-jasside

En soutien à toutes ces initiatives et afin de d'aider les producteurs à « porter à la tête, le fardeau posé au genou » comme on dit en Afrique, les institutions multilatérales ont inscrit à leur agenda, la mobilisation de leurs partenaires en faveur de cette lutte qui devrait s'intensifier. Dans cette veine, la task force régionale (composée des instituts de recherche des points focaux désignés par les ministres de l'agriculture) mise en place par la Fao pour lutter contre les bioravageurs, réunie à Cotonou du 03 au 06 juillet 2023, a inscrit la lutte anti-jasside à son ordre du jour. A la faveur d'un atelier international piloté par son bureau sous-régional de Dakar, une quarantaine de chercheurs ont fait le suivi dans les Champs Écoles Paysans (Cep) de Toffo de la mise à échelle des technologies Ipm (Integrated pest management) et se sont engagés dans le combat contre les jassides. Dans ce cadre, un manuel sur la gestion intégrée a été conçu pour améliorer les connaissances sur ce ravageur qui n'existaient que dans la littérature, vu son origine indienne. Les pratiques de lutte agronomique proposées pas la Fao visent en priorité l'interdiction de rotation ou d'association culturale avec les autres plantes hôtes (kénaf, gombo, piment, aubergine, etc.) ; le choix des variétés de cotonnier à forte pilosité pour éviter la ponte des œufs, l'observance d'une densité moyenne champs pour optimiser les traitements, l'écimage, les semis à bonne date synchronisés dans la même zone de culture et la destruction des vieux cotonniers.

En ce qui concerne les stratégies de lutte biologique intégrée, elles se fondent sur les concepts de prédation, de parasitisme et de phytophagie et sont construites autour de trois approches : la lutte biologique par conservation, celle augmentative et celle classique. La première vise à rechercher localement les ennemis naturels des jassides et les développer. Il s'agit des parasitoïdes comme les coccinelles, punaises, guêpes, chrysopes, etc. dont il faut favoriser l'alimentation sous réserve de bien les connaître. La seconde est par avance handicapée par la méconnaissance des ennemis naturels des jassides. La troisième, classique, qui vise l'importation et l'introduction d'un ennemi nuisible exotique pour mieux contrôler un ravageur lui-même exotique, trouve des exemples réussis en Afrique avec la cochenille du manioc et celle du papayer. Mais cette stratégie est confrontée au processus long et coûteux (de 5 à 10 ans pour importer un ennemi nuisible et l'intégrer). La Fao reconnaît l'urgence et la lourdeur des études à effectuer sur les parasitoïdes en vue des luttes biologiques. L'atelier-webinaire a informé des travaux avec l'Institut international d'agriculture tropicale (Iita) du Bénin dont l'étude préliminaire sur l'identification d'un champignon entomopathogène de Amrasca biguttula a permis de constater sur le terrain, des jassides morts à cause desdits champignons.

La Fao a aussi travaillé avec le Centre international de physiologie et d'écologie des insectes (Icipe) basé à Nairobi dans le cadre d'un projet de modélisation et de cartographie des risques associés aux jassides. Il s'agit d'un outil pragmatique de prédiction des zones à risque bâti sur la base des données obtenues en Asie, ajustées avec celles de l'Afrique de l'Ouest et du Centre. Il pourra servir de système d'alerte précoce à la disposition des décideurs en vue d'une priorisation des zones à risque. Cet atelier-webinaire aura permis de constater la promptitude et l'efficacité des chercheurs africains qui, sans grands moyens, ont proposé des solutions immédiates qui ne s'écartent pas de celles proposées par les acteurs publics internationaux. Ces solutions de première main restent cependant à être affinées à travers des projets recensant les défis à relever et les coûts induits, qui feront l'objet de notes conceptuelles à soumettre aux bailleurs de fonds et partenaires techniques de la l'Omc et de la Fao dans la perspective de terminer la lutte contre les jassides.

Jocelyn N. NÉNÉHIDINI

Categories: Afrique

La PRMP et le C/CCMP de Glazoué suspendus

Wed, 03/27/2024 - 17:16

L'Autorité de Régulation des Marchés Publics (ARMP) a saisi l'autorité hiérarchique de la Personne responsable des marchés publics de la commune de Glazoué et du Chef de la Cellule de contrôle des marchés publics de ladite commune aux fins de prononcer les sanctions de suspension à leur encontre.

A la suite d'irrégularités relevées dans la procédure d'appel d'offre ouvert le 24 avril 2023 pour la construction en R+1 de la salle de conférence de la mairie de Glazoué, l'ARMP a ordonné la suspension de Monsieur ZOHOUN Armel Hervé Létondé, Personne responsable des marchés publics de la commune de Glazoué et de Monsieur BADJAGOU Codjo Guillaume, Chef de la Cellule de contrôle des marchés publics de la commune de Glazoué.

Il a été constaté un défaut de publication dans les canaux requis des résultats de l'appel d'offres. Un des soumissionnaires a dénoncé la variation dans les motifs de rejet de son offre.

Pour la PRMP il y a eu « erreur dans la notification des résultats de l'évaluation des offres et qu'il s'agit d'une erreur d'inattention du secrétariat de la personne responsable des marchés publics ».

La PRMP et le C/CCMP ont violé plusieurs dispositions de la règlementation en vigueur en matière de la commande publique et ainsi impacté l'atteinte des résultats et la performance du système de passation des marchés publics de la commune de Glazoué.
M. M.

Categories: Afrique

MTN réitère sa solidarité à la communauté musulmane du Bénin

Wed, 03/27/2024 - 15:55

Une délégation de MTN-BENIN, conduite par le directeur Expérience-Client, Marius ADANZOUNON, a rencontré en fin de matinée mercredi 27 mars 2024, les responsables de l'Union islamique du Bénin (UIB) à la mosquée centrale d'Aïdjèdo. Comme l'an dernier, le réseau de téléphonie mobile a soutenu la communauté musulmane en cette période de jeûne de Ramadan avec divers dons.

45 sacs de riz, 40 cartons de sucre, 300 bouilloires, 40 nattes, et 200 chapelets, c'est le don offert ce mercredi 27 mars 2024 par le réseau MTN-BENIN pour soutenir la communauté musulmane pendant le mois du jeûne de Ramadan. Selon le directeur Expérience-Client, il s'agit d'un « geste symbolique » qui s'inscrit dans l'une des valeurs fondamentales du réseau GSM ; celle d'agir avec inclusion. « A MTN, quelle que soit la religion et l'apparence physique de l'individu, il mérite d'être inclus et de bénéficier des avantages d'un monde moderne et connecté », a souligné Marius ADANZOUNON. Il a insisté à l'occasion de la cérémonie de remise du don, sur la nécessité de continuer à promouvoir les valeurs de solidarité et d'entraide, chères à MTN-BENIN.

Au nom de toute la communauté musulmane, le secrétaire général de l'UIB, a exprimé ses remerciements au donateur. « Toute entreprise qui n'intègre pas Dieu, est vouée à l'échec », a souligné l'imam Abdoul DJALIL saluant le geste qui, selon lui, prouve une fois encore que MTN n'est pas qu'une entreprise commerciale. « Elle dispose d'une Fondation qui s'occupe du social ; et le social pour Dieu est beaucoup primé », a déclaré l'homme de Dieu fier de ce que l'amélioration souhaitée l'an dernier, ait été prise en compte. Formulant les vœux de succès et de réussite, il a souhaité encore plus d'effort de la part de MTN l'année prochaine.
La communauté musulmane d'Aïdjèdo et quelques responsables de l'Union islamique du Bénin étaient présents à la cérémonie de remise du don.

Quelques images

F. A. A.

Categories: Afrique

Retrait de la licence d'exploitation de l'Auberge de Grand-Popo

Wed, 03/27/2024 - 15:54

Le gouvernement béninois a procédé au retrait de la licence d'exploitation de l'Auberge de Grand-Popo et ses annexes. La décision prise en Conseil des ministres ce mercredi 27 mars 2024, fait suite au non-respect par l'exploitant de ce réceptif hôtelier, de la réglementation régissant les établissements d'hébergement touristique.

Une mission inopinée d'inspection et de contrôle à l'Auberge de Grand-Popo a conduit au retrait de la licence d'exploitation. Les services compétents du ministre chargé du Tourisme ont diligenté la mission, à la suite des alertes sur le non-respect par l'exploitant de ce réceptif hôtelier, de la réglementation régissant les établissements d'hébergement touristique.

Selon le Conseil des ministres, « les manquements graves relevés à cette occasion se rapportent notamment aux normes d'hygiène, de sécurité et de qualité de service, toutes choses passibles du retrait de la licence d'exploitation ». La mairie de Grand-Popo a procédé à la résiliation du contrat de bail pour manquement à ses obligations contractuelles. Cela implique, selon le Conseil des ministres, le retrait à l'exploitant de la gestion du réceptif pour lequel la licence d'exploitation lui a été octroyée ; ce qui rend subséquemment caduque ladite licence. « Le défaut de respect des clauses contractuelles se rapporte entre autres aux arriérés de loyers dus par l'exploitant et aux factures impayées de consommation d'eau et d'électricité sur plusieurs mois », renseigne le Conseil des ministres.

L'Etat restant le propriétaire des infrastructures, le Conseil a instruit le ministre de même que tous les autres qui sont concernés, à l'effet d'appliquer les textes en vigueur. Le gouvernement a aussi pris la décision de réhabiliter les infrastructures aux normes et standards requis, en cohérence avec les orientations dans le domaine touristique. Un maître d'œuvre sera donc identifié à cet effet.

A.A.A

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Logidoo continue d'être pionnier en matière d'expansion commerciale et de connectivité en Afrique

Wed, 03/27/2024 - 15:54

Logidoo, un acteur majeur du secteur du transport et du commerce, a fait des progrès significatifs lors de l'événement Gulfood récemment conclu à Dubaï. Avec plus de 5 000 grands fabricants présentant plus de 150 000 nouveaux produits provenant de 190 pays, Gulfood, le plus grand salon de l'alimentation et des boissons du Moyen-Orient, s'est concentré sur l'établissement de liens stratégiques et la promotion de l'innovation.

Au cours de l'événement, Logidoo a dévoilé son guichet unique révolutionnaire, conçu pour rationaliser la logistique de transport depuis le Maroc, la Tunisie, les Émirats arabes unis et la Chine, en mettant l'accent sur l'amélioration des routes commerciales intra-africaines. En outre, l'entreprise a participé au 13e Conseil interministériel du commerce, démontrant ainsi son engagement à renforcer le commerce en Afrique et à stimuler la croissance économique à travers le continent.
Lors du Trade Tech Forum à Abu Dhabi, Logidoo a eu le privilège de partager sa vision avec d'éminents dignitaires, dont M. Ryad Mezzour, ministre de l'Industrie et du Commerce du Maroc, et M. Abdou Karim Fofana, ministre du Commerce et porte-parole du gouvernement du Sénégal. Ces engagements constituent des plateformes vitales permettant à Logidoo de se connecter avec des fabricants mondiaux et de discuter du renforcement des relations commerciales avec l'Afrique et au-delà.

Logidoo, dans son approche avant-gardiste, devrait établir trois nouveaux corridors commerciaux en mars, reliant directement la Chine, la Turquie et Dubaï à l'Afrique de l'Ouest. Ces corridors visent à relier des régions d'Afrique auparavant sous-utilisées, favorisant ainsi la croissance économique et le commerce intracontinental.

Tamsir Ousmane Traoré, PDG de Logidoo, a souligné la mission de l'entreprise en déclarant : « Notre mission est de combler les écarts et de créer des opportunités. En rationalisant la logistique et en améliorant la connectivité, Logidoo est sur le point de devenir un catalyseur de la croissance économique à travers l'Afrique, en responsabilisant les entreprises et les communautés... »

Depuis la mise en œuvre de ses initiatives, Logidoo a connu une augmentation significative des volumes d'échanges, avec plus de 20 000 opérations transfrontalières dans le commerce intra-africain et plus de 600 commerçants empruntant ce corridor. Ces chiffres soulignent l'impact tangible des efforts de Logidoo sur le paysage économique du continent.
Pour l'avenir, les plans stratégiques à long terme de Logidoo impliquent une expansion accrue sur des marchés mal desservis, en tirant parti de technologies innovantes pour optimiser la logistique et améliorer l'efficacité commerciale. L'entreprise s'engage à favoriser le développement durable et la prospérité dans toute l'Afrique, en mettant l'accent sur la création de partenariats durables et la conduite de la transformation socio-économique.

Direction de communication de Logidoo

Categories: Afrique

Un Registre des Béninois de l'étranger prévu

Wed, 03/27/2024 - 15:53

Un Registre est prévu pour les Béninois vivant hors du territoire. L'annonce a été faite, mercredi 27 mars 2024, en Conseil des ministres.

Le gouvernement du Bénin a prévu de mettre en place un système favorisant le recensement de nos compatriotes vivant hors du pays afin de constituer le « Registre des Béninois de l'étranger ». C'est dans la perspective de l'amélioration de la qualité des services consulaires offerts aux Béninois de l'étranger, dans un contexte de digitalisation croissante.

« Ce dispositif est en parfaite cohérence avec la loi n°2017-08 du 19 juin 2017 portant identification des personnes physiques en République du Bénin qui prévoit en son article 4 que « un numéro personnel d'identification NPI est attribué à toute personne physique de nationalité béninoise inscrite sur un registre tenu dans une mission diplomatique ou un poste consulaire béninois à l'étranger », a indiqué le Conseil des ministres du mercredi 27 mars 2024.

La finalité est de permettre aux Béninois qui y sont inscrits de demander à l'Etat de leur assurer la jouissance de leurs droits de Béninois vivant à l'étranger.

C'est pour fixer les conditions et modalités d'enregistrement que le présent décret est adopté. Il prescrit que l'inscription au registre est gratuite et individuelle. Elle peut être faite par tout compatriote vivant à l'étranger au profit de son conjoint de nationalité béninoise ou de ses enfants mineurs. Elle est obligatoire pour bénéficier de la protection consulaire et des services délivrés par le réseau diplomatique et consulaire du Bénin.

Autrement dit, le Registre sert de base pour l'émission des cartes consulaires et de tous autres documents administratifs au profit des Béninois de l'étranger par les Représentations diplomatiques et consulaires.

En fonction du lieu de résidence, tout Béninois de l'étranger est rattaché à une circonscription consulaire. Les données personnelles sont collectées et traitées dans les conditions prévues par les textes en vigueur.
A terme, l'opération permettra de créer les conditions d'une meilleure contribution de la diaspora aux efforts du développement du pays, a renseigné le communiqué du Conseil des ministres.
M. M.

Categories: Afrique

Vers la suspension de la PRMP et la C/CCMP de Zè

Wed, 03/27/2024 - 15:53

Six (06) acteurs de la chaîne de passation des marchés publics de la commune de Zè dont la Personne Responsable des Marchés Publics (PRMP) et la Cheffe de la Cellule de Contrôle des Marchés Publics (C/CCMP) seront suspendus temporairement de leurs fonctions à la suite d'irrégularités relevées dans la procédure d'appel d'offre relatif à la construction de bureaux d'arrondissement de Koundokpoe (lot1), de Dodji-Bata (lot2) et de Tangbo (lot3) dans la commune de Zè.

L'Autorité de Régulation des Marchés Publics (ARMP) a instruit, le 13 mars 2024, l'autorité hiérarchique à prononcer la suspension temporaire de leurs fonctions respectives : madame AMMO Assana Agath ; Personne Responsable des Marchés Publics et la Cheffe de la Cellule de Contrôle des Marchés Publics (PRMP) de la commune de Zè ; madame Contya Chimène Antonina GUEDOU VISSETOGBE, Cheffe de la Cellule de Contrôle des Marchés Publics (PRMP) de la commune de Zè ; monsieur DOVI Kumi Amen ; monsieur TAMOU M. Bagui ; monsieur GBETO Marcellin et monsieur ANAGONOU K. B. Didier, tous membres de la Commission d'ouverture et d'évaluation (COE) ad'hoc dans le cadre de la procédure d'appel d'offre relatif à la construction de bureaux d'arrondissement de Koundokpoe (lot1), de Dodji-Bata (lot2) et de Tangbo (lot3) dans la commune de Zè.

La PRMP et la C/CCMP de la commune de Zè ont « méconnu plusieurs dispositions législatives et règlementaires des marchés publics, notamment celles relatives aux principes de transparence des procédures, d'économie et d'efficacité du processus d'acquisition ».

Il est reproché aux membres de la COE ad' hoc d'avoir violé les règles régissant l'ouverture et l'évaluation des offres.

Les irrégularités relevées sont, entre autres, « la remise de procès-verbal d'ouverture des plis aux soumissionnaires ne portant ni les signatures des membres de la COE ni du représentant de la CCMP ; existence de plusieurs procès-verbaux d'ouverture des plis contenant des informations contradictoires pour la même procédure ; défaut de notification des résultats de l'évaluation des offres à certains soumissionnaires ; non paraphe par les membres de la COE et du représentant de la CCMP sur les offres originales des soumissionnaires ».

« Les offres ne sont pas toutes paraphées car les membres stipulent que c'est en grand nombre », a justifié la PRMP tout en implorant l'indulgence de l'Autorité de régulation. Elle soutient que « l'examen est allé loin en zèle poussé qui ne valait pas la peine ».

La C/CCMP dit avoir observé avec minutie tous les documents qu'ils lui ont été transmis malgré le déficit de ressources humaines. Elle reconnaît avoir commis des erreurs mais qu'elle n'a pas fait preuve de laxisme. « Les responsables tirés de la mairie de Zè n'ont pas une formation de base en marchés publics. Ils ont hérité de leurs fonctions par la force des choses et souhaiteraient être formés suffisamment à ces fonctions qu'ils n'ont eu que le choix d'accepter », a plaidé Contya Chimène Antonina GUEDOU VISSETOGBE, la C/CCMP de la commune à l'audition.

Pour l'ARMP, les irrégularités ont « créé un préjudice non seulement aux soumissionnaires pour des lots annulés (…), mais également de ZE, dans la mesure où, la conduite de la procédure de passation et le contrôle à priori, ont été irrégulières entraînant l'annulation desdites procédures ».

Il faut préciser l'Autorité de Régulation des Marchés Publics s'est saisie du dossier suite à la dénonciation d'un soumissionnaire au marché d'appel relatif à la construction de bureaux d'arrondissement de Koundokpoe (lot1), de Dodji-Bata (lot2) et de Tangbo (lot3) dans la commune de Zè.
M. M.

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Un cultivateur amputé d'un bras à Ouèssè

Wed, 03/27/2024 - 15:39

Le bras d'un cultivateur a été amputé dans un conflit survenu, mardi 26 mars 2024, entre des éleveurs et agriculteurs dans la commune de Ouèssè.

Le bras amputé, un cultivateur a été transporté à l'hôpital. La victime a été charcuté dans une bagarre entre éleveurs et agriculteurs, mardi 26 mars 2024 à Ouèssè.
Selon les informations, les éleveurs ont tenté de faire paître leurs bêtes dans le champ des agriculteurs. Ceux-ci s'y sont opposés. C'est ainsi qu'un des éleveurs a sorti sa machette pour charcuter le cultivateur.
L'éleveur a été interpellé par la police.
M. M.

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COMPTE RENDU DU CONSEIL DES MINISTRES DU 27 MARS 2024

Wed, 03/27/2024 - 14:52

Le Conseil des Ministres s'est réuni mercredi, le 27 mars 2024, sous la présidence de Monsieur Patrice TALON, Président de la République, Chef de l'État, Chef du Gouvernement.

Les décisions ci-après ont été prises :

I- MESURES NORMATIVES.
Mise en place et modalités de tenue du Registre des Béninois de l'étranger.

Dans la perspective de l'amélioration de la qualité des services consulaires offerts aux Béninois de l'étranger, dans un contexte de digitalisation croissante, il est prévu de mettre en place un système favorisant le recensement de nos compatriotes vivant hors du pays afin de constituer le « Registre des Béninois de l'étranger ».
Ce dispositif est en parfaite cohérence avec la loi n°2017-08 du 19 juin 2017 portant identification des personnes physiques en République du Bénin qui prévoit en son article 4 que « un numéro personnel d'identification NPI est attribué à toute personne physique de nationalité béninoise inscrite sur un registre tenu dans une mission diplomatique ou un poste consulaire béninois à l'étranger ».
Au demeurant, la finalité est de permettre aux Béninois qui y sont inscrits de demander à l'Etat de leur assurer la jouissance de leurs droits de Béninois vivant à l'étranger.
C'est pour fixer les conditions et modalités d'enregistrement que le présent décret est adopté. Il prescrit que l'inscription au registre est gratuite et individuelle. Elle peut être faite par tout compatriote vivant à l'étranger au profit de son conjoint de nationalité béninoise ou de ses enfants mineurs.
Elle est obligatoire pour bénéficier de la protection consulaire et des services délivrés par le réseau diplomatique et consulaire du Bénin.
Autrement dit, le Registre sert de base pour l'émission des cartes consulaires et de tous autres documents administratifs au profit des Béninois de l'étranger par les Représentations diplomatiques et consulaires.
En fonction du lieu de résidence, tout Béninois de l'étranger est rattaché à une circonscription consulaire. Les données personnelles sont collectées et traitées dans les conditions prévues par les textes en vigueur.
A terme, l'opération permettra de créer les conditions d'une meilleure contribution de la diaspora aux efforts du développement du pays.
Au titre d'autres mesures normatives, ont été adoptés les décrets portant :
attributions, organisation et fonctionnement de la Commission nationale permanente de la Francophonie ;
approbation du Plan national de Contingence de la République du Bénin ; et celui fixant
le cadre général de gestion des investissements publics.

II- COMMUNICATIONS.
Compte-rendu du retrait de la licence d'exploitation de l'Auberge de Grand-Popo et ses annexes.
Le ministre chargé du Tourisme a rendu compte au Conseil de ce que ses services compétents ont diligenté une mission inopinée d'inspection et de contrôle, à la suite des alertes sur le non-respect par l'exploitant de ce réceptif hôtelier, de la réglementation régissant les établissements d'hébergement touristique.
Les manquements graves relevés à cette occasion se rapportent notamment aux normes d'hygiène, de sécurité et de qualité de service, toutes choses passibles du retrait de la licence d'exploitation.
Par ailleurs, la résiliation du contrat de bail par la mairie de Grand-Popo pour manquement à ses obligations contractuelles implique le retrait à l'exploitant de la gestion du réceptif pour lequel la licence d'exploitation lui a été octroyée ; ce qui rend subséquemment caduque ladite licence.
Le défaut de respect des clauses contractuelles se rapporte entre autres aux arriérés de loyers dus par l'exploitant et aux factures impayées de consommation d'eau et d'électricité sur plusieurs mois.
Pour toutes ces raisons et à la suite des diligences infructueuses effectuées par la mairie, l'Etat restant le propriétaire des infrastructures, le Conseil a instruit le ministre de même que tous les autres qui sont concernés, à l'effet d'appliquer les textes en vigueur. Un maître d'œuvre devra également être identifié en vue de la réhabilitation des infrastructures aux normes et standards requis, en cohérence avec les orientations du Gouvernement dans le domaine touristique.

III- RENCONTRES ET MANIFESTATIONS INTERNATIONALES.

Il a été autorisé sous cette rubrique, la participation du Bénin, à la 91ème session générale de l'Assemblée mondiale des délégués nationaux de l'Organisation mondiale de la Santé animale (OMSA), du 26 au 30 mai 2024 à Paris en France.

IV- MESURES INDIVIDUELLES.

Sur proposition des ministres, les nominations ci-après ont été prononcées :

Au ministère du Développement et de la Coordination de l'Action Gouvernementale
Directeur général des Politiques de Développement : Monsieur Cyriaque Romuald Adékambi EDON
/Directeur général de la Coordination et du Suivi des Objectifs de Développement durable : Monsieur Anicet Camille SEVOH
Directeur général de l'Evaluation et de l'Observatoire du Changement social : Monsieur Abdoulaye GOUNOU

Directeur général adjoint des Politiques de Développement : Monsieur Comlanvi Romaric Armel SOFONOU

Directrice générale adjointe de la Coordination et du Suivi des Objectifs de Développement durable : Madame Gloria Peace Dèkouhoué GUIDIGBI épouse BALOGOU

Directrice générale adjointe de l'Evaluation et de l'Observatoire du Changement social : Madame Pélagie Léchidia Aflavi Dopé de SOUZA

Directrice départementale du Développement du Borgou : Madame Mariétou TAMBA

Au ministère de l'Intérieur et de la Sécurité Publique
Directeur général de la Police républicaine : Monsieur Soumaïla Allabi YAYA
Directeur général adjoint de la Police républicaine : Contrôleur général de police Kokou Brice ALLOWANOU.

Fait à Cotonou, le 27 mars 2024,
Le Secrétaire Général du Gouvernement,
Edouard OUIN-OURO.

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9 nominations en Conseil des ministres

Wed, 03/27/2024 - 14:04

9 nominations ont été prononcées ce mercredi 27 mars 2024 en Conseil des ministres, au ministère du développement et de la coordination de l'action gouvernementale et au ministère de l'intérieur et de la sécurité publique.

Sur proposition des ministres, les nominations ci-après ont été prononcées :

Au ministère du Développement et de la Coordination de l'Action Gouvernementale

Directeur général des Politiques de Développement

Monsieur Cyriaque Romuald Adékambi EDON

Directeur général de la Coordination et du Suivi des Objectifs de Développement durable

Monsieur Anicet Camille SEVOH

Directeur général de l'Evaluation et de l'Observatoire du Changement social

Monsieur Abdoulaye GOUNOU

Directeur général adjoint des Politiques de Développement

Monsieur Comlanvi Romaric Armel SOFONOU

Directrice générale adjointe de la Coordination et du Suivi des Objectifs de Développement durable

Madame Gloria Peace Dèkouhoué GUIDIGBI épouse BALOGOU

Directrice générale adjointe de l'Evaluation et de l'Observatoire du Changement social

Madame Pélagie Léchidia Aflavi Dopé de SOUZA

Directrice départementale du Développement du Borgou

Madame Mariétou TAMBA

Au ministère de l'Intérieur et de la Sécurité Publique

Directeur général de la Police républicaine

Monsieur Soumaïla Allabi YAYA

Directeur général adjoint de la Police républicaine

Contrôleur général de police Kokou Brice ALLOWANOU.

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2 stations-services épinglées par l'ANM

Wed, 03/27/2024 - 12:25

Pour non-conformité, deux (02) stations-services ont été épinglées à Cotonou, lors d'une récente contrôle de l'Agence nationale de normalisation de métrologie et du contrôle de la qualité (ANM).

Descente inopinée d'une équipe de l'Agence nationale de normalisation de métrologie et du contrôle de la qualité dans les stations-services. Elle a constaté, selon Bip Radio, sur deux stations-services à Cotonou, l'utilisation des pompes non-conformes pour la distribution des produits pétroliers. À travers ces contrôles, l'ANM s'assure du respect des normes dans les stations-services.

A.A.A

Categories: Afrique

12 cadres nommés régisseurs secondaires

Wed, 03/27/2024 - 12:24

Par arrêté interministériel en date du 20 mars 2024, signé du ministre chargé de la Décentralisation et de la Gouvernance Locale, Raphaël Akotègnon et du ministre d'Etat chargé de l'Économie et des Finances, Romuald Wadagni, 12 cadres ont été nommés au poste de régisseurs secondaires dans les 12 préfectures du Bénin.

Des cadres ont été nommés au poste de régisseurs secondaires d'avances dans les 12 préfectures du Bénin. Ils sont chargés de « gérer les dépenses relatives aux missions, carburants, lubrifiants et menues dépenses des Préfectures et des Structures déconcentrées des Ministères et Institutions de l'Etat ».

Kérékoua Ernest DARI, Préfecture de Natitingou (Atacora)
Daniel AHANTO, Préfecture d'Allada (Atlantique)
Oluwafèmi Landry OLOUKOU, Préfecture de Kandi (Alibori)
Ouzérou IDRISSOU MAMA, Préfecture de Parakou (Borgou)
Rosaline KOTAKO, Préfecture d'Aplahoué (Couffo)
Vinakpon Grégoire AMOUSSOU, Préfecture de Dassa-Zoume (Collines)
Orou Issifou ABARO, Préfecture de Djougou (Donga)
Dagbémabou Martial Thierry AFFOSSOGBE, Préfecture de Cotonou (Littoral)
Julien DAVODOUN, Préfecture de Lokossa (Mono)
Justine AVALIGBE épouse VODOUNNON, Préfecture de Porto-Novo (Ouémé)
Sossou Ernest TOHOUN, Préfecture de Pobè (Plateau)
Sébastien ADIHA, Préfecture d'Abomey (Zou)

Categories: Afrique

Les grandes décisions de ce mercredi 27 mars

Wed, 03/27/2024 - 12:24

Le Conseil des ministres s'est réuni ce mercredi 27 mars 2024, sous la présidence du Chef de l'Etat Patrice Talon. Plusieurs grandes décisions ont été prises au cours de cette séance hebdomadaire.

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CCI Bénin et CIPB éveillent sur les enjeux de la sécurité incendie

Wed, 03/27/2024 - 11:16

Les chefs d'entreprise ont été sensibilisés sur les enjeux de la sécurité incendie et les meilleures pratiques en matière de prévention du risque incendie. L'atelier-débat a été organisé, mardi 26 mars 2024, à Cotonou, par la Chambre de Commerce et d'Industrie du Bénin (CCI Bénin) en partenariat avec le Conseil des Investisseurs Privés du Bénin (CIPB).

Un panel de discussion constitué d'experts en risques incendie a été animé, mardi 26 mars 2024, à la salle de conférence de la CCI Bénin sur le thème : ‘' Prévention du risque incendie en entreprise''. Les dispositions à prendre en amont pour éviter les incendies ainsi que les pratiques à mettre en œuvre au sein des entreprises pour minimiser les risques en cas de survenue du sinistre ont été exposés aux chefs d'entreprises.
Les panélistes : John Agonnadjai, architecte ; Capitaine Joseph Gbolou, sapeur-pompier ; Jérémie Ogouniyi, Expert en sécurité incendie ; Patrice Ferrando de Protection Incendie Bénin ; Wahydi Choubade de Sunu assurance et Marc Djidogbe, Responsable QHSE chez AGL ont proposé des solutions à certaines situations présentées par les entrepreneurs.

L'architecte John Agonnadjai, a expliqué que tout projet de construction est conduit suivant deux phases : étude et travaux. Les deux phases sont suivies par des spécialistes dont un expert en risque. Plusieurs normes liées à la prévention du risque sont prises en compte en ce qui concerne les Etablissements Recevant du Public. « Vous n'êtes pas autorisé à exploiter un bâtiment pour lequel vous n'avez pas obtenu un Certificat de conformité et d'habitabilité », a-t-il rappelé aux participants.

Les prescriptions de sécurité sont délivrées selon le type d'activités, selon la catégorie (effectif) de l'entreprise. Un processus dans lequel intervient le Bureau du Groupement des sapeurs-pompiers, a précisé le Capitaine Joseph Gbolou.
Jérémie Ogouniyi, l'Expert en sécurité incendie, invite à mettre en place un dispositif de prévention ; à s'assurer que les installations pour protéger ce dispositif sont en place et que ces équipements sont certifiés.

A en croire l'équipementier Patrice Ferrando, le coût est souvent mis en avant pour se soustraire des normes.

« La sécurité, c'est d'abord une question de priorité, d'engagement. (…) Vous avez des investissements, mais pour un rien du tout, peut-être pour un court-circuit qui intervient, parce que vous n'avez pas des équipements en place, de personnels formés, mis en place tout le dispositif qu'il faut, vous avez tous vos investissements qui partent en fumée », a mis en garde Marc Djidogbe, Responsable QHSE chez AGL.

Pour sécuriser les investissements, Wahydi Choubade de Sunu assurance, conseille à l'entrepreneur de souscrire à une police d'assurance auprès d'une compagnie d'assurance. « La souscription a une police d'assurance peut conduire cet assureur à missionner un expert pour mettre en place des listes de suggestions de dispositifs à mettre en place pour éviter la survenance des risques », a-t-il expliqué.
Les mêmes dispositions doivent être prises pour des locaux loués, selon les panélistes.

L'atelier-débat organisé par le Conseil des Investisseurs Privés au Bénin (CIPB) en collaboration avec la Chambre de Commerce et d'Industrie du Bénin (CCI Bénin) vise à mettre fin aux incendies d'établissements industriels et commerciaux, selon Joëlle Vidéhouénou, Directrice des opérations de la CCI Bénin. « L'incendie sur les lieux de travail est un sujet très préoccupant et d'actualité permanente. Chaque année, des victimes sont déplorées lors d'incendie d'établissements industriels et commerciaux. Dramatiques sur le plan humain, ces sinistres le sont au plan économique et peuvent entraîner la disparition de l'entreprise et du coup la perte d'emploi », a-t-elle indiqué.

Pour Roland Riboux, président du Conseil des Investisseurs Privés au Bénin (CIPB), il y est nécessaire d' « agir sur la maintenance, la prévention pour éviter des événements désagréables ». Il a saisi l'occasion pour parler d'un cas vécu d'incendie en entreprise.

M. M.

Des participants s'expriment…

Basilia Koukoui,
« C'était une opportunité pour moi de suivre la présentation »

« C'était une opportunité pour moi de suivre la présentation. J'ai déjà travaillé dans la gestion des risques à Bénin Télécom et je suis en train de me préparer pour l'ouverture d'un cabinet de consultant et de coach en gestion de risque en entreprise et dans la vie en général. Donc, cet atelier débat a été à point nommé pour moi. J'ai eu la chance de rencontrer des experts qui sont déjà sur le terrain et qui forment à des certifications. Je pourrais aller à des certifications surplace et hors du pays pour pouvoir lancer mon cabinet.
A la fin des échanges, c'est que nous sommes obligés d'intégrer la gestion de risques dans nos vies aujourd'hui si nous ne voulons pas souffrir inutilement demain. Nous ne pouvons que remercier les organisateurs et leur demander de ne pas baisser les bras, de nous aider à continuer la sensibilisation pour que l'ensemble puisse prendre et qu'on aille plus à l'avant pour minimiser les risques que ce soient les risques d'incendie, que ce soient les risques liés à notre vie d'aujourd'hui et de demain. »

Ehou Salvador, Responsable HSE (Hygiène-Sécurité-Environnement) de SIAB
« Il revient à chaque acteur de jouer son rôle »

« Nous venons de suivre une séance sur la prévention du risque incendie en entreprise, je peux dire que ce séminaire a été animé par un panel d'experts en risques incendie constitués à la fois des sapeurs-pompiers. C'est un événement très important parce que cela permet à nous qui sommes les maîtres-d'œuvre sur le terrain d'avoir des éléments à implémenter sur le terrain. On nous a parlé notamment de comment prévenir ces risques incendie, quelles sont les dispositions à prendre en amont pour éviter la survenue des incendies, quelles sont les pratiques à mettre en œuvre dans les entreprises, du plus petit employé jusqu'au directeur de l'entreprise pour que ces risques soient minimisés. C'est de cela que nous avons discuté. Il y a eu des échanges sur des études de cas qui ont été présentées que nous avons quand même résolues. Cela dit, il revient aujourd'hui à chaque acteur de cette chaîne-là de jouer effectivement son rôle en mettant soit des moyens à dispositions ou solliciter les experts qu'il faut pour que les équipements normés pour la protection incendie soient installés. Mais au-delà de cela, il faut que le personnel soit formé pour pouvoir utiliser ces équipements en cas de sinistre. En tant que responsable HSE, l'un de mes rôles est de faire la veille sécuritaire et cette veille-là m'oblige maintenant comme je le fais déjà à redoubler de vigilance pour m'assurer que mes éléments ne se retrouvent pas dans l'environnement qui puisse déclencher des incendies. Donc, assurer la formation du personnel pour qu'il puisse quand même savoir utiliser les extincteurs ou les autres moyens mis à disposition pour intervenir en cas d'incendie ».

Categories: Afrique

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