Médea:
Oued Souf:
Annaba:
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Alger ou Tizi Ouzou ne sont pas les seules wilayas à avoir répondu à l’appel à manifester contre un cinquième mandat du président Bouteflika. Plusieurs autres villes, dont Mostaganem, Oran, ont été le théâtre de marches impressionnantes et pacifiques, après la prière du vendredi.
Oran:
Tizi Ouzou:
Mostaganem:
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Tous les prisonniers à la prison civile de missérété refusent de regagner les cellules depuis la nuit du mardi 12 mars 2019. Ces derniers se révoltent et dénoncent la gestion du régisseur Aboudou Seïdou.
Les détenus de la prison civile de missérété ne sont pas du tout content de la gestion faite par le nouveau régisseur, le lieutenant Aboudou Seïdou. Tous actuellement dehors, les prisonniers crient au secours des autorités compétentes.
Depuis la matinée de ce vendredi 15 mars 2019, la police républicaine fait usage de gaz lacrymogènes pour disperser les pensionnaires de cette maison d'arrêt. Toutefois, cette action n'a pas pu maitriser les détenus qui déjà ont procédé à plusieurs casses.
Le renfort a été demandé en urgence pour canaliser les prisonniers en colère. La tension a très vite baissée avec le renfort. La prison civile de missérété a donc retrouvé son calme habituel. Des dispositions ont été prises pour satisfaire les revendications des pensionnaires de ce prestigieux lieu de rétention qui fait office de référence au Bénin.
Akpédjé AYOSSO
L’ex candidat à l’élection présidentielle, Rachid Nekkaz, a été arrêté ce vendredi 15 Mars à l’Aéroport d’Alger alors qu’il s’apprêtait de les manifestations contre le prolongement du 4é mandat de bouteflika qui s’y déroulent à alger centre .
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L’économiste, Smail Lalmas manifeste contre le prolongement du 4e mandat de Bouteflika au côté des citoyens à la place 1er mai d’alger.
» Nous voulons un gouvernement indépendant; une élection présidentielle dans les délais impartis « , a-t-il dit appelant les autorités à cesser la mascarade du « 4ème mandat plus »
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Mis en service en décembre 2017, le Tribunal de commerce Cotonou (TCC) contribue fortement à la réduction du délai de règlement de contentieux dans le domaine des affaires. Cette juridiction créée par le gouvernement du Nouveau Départ et de la Rupture, se révèle aujourd'hui non seulement comme un outil efficace de règlement des litiges commerciaux, mais aussi de promotion des investissements. Il veille à l'exécution des contrats, au règlement de l'insolvabilité et à la protection des investisseurs minoritaires.
Selon William
Kodjoh-Kpakpassou, président du TCC, le défi était de remédier à tous les reproches qui sont faits au système judiciaire béninois dans le monde des affaires, notamment les questions de lenteur, d'efficacité, de compétence, etc. Ainsi, de 750 jours en 2017, le délai moyen de traitement du contentieux commercial est passé à 57 jours à fin 2018 au Bénin, précise le président du tribunal de commerce dans un entretien accordé à La Nation. Selon lui, des affaires sont même réglées en 72 heures voire en 24 heures.
La publication de la décision en ligne après que le juge l'a prononcée, signée et déposée au greffier en chef du tribunal, témoigne de l'assurance de la transparence judiciaire. « Celui qui a gagné ou perdu, lit la décision et les autres acteurs du pays peuvent y avoir accès et comprendre les motivations qui ont conduit à ladite décision », explique William Kodjoh-Kpakpassou. La nouvelle loi sur le tribunal de commerce a porté le jugement des affaires en dernier ressort à hauteur de 5 millions FCFA.
Ce qui voudra dire que pour les contentieux qui portent sur un montant de 0 à 5 millions FCFA au maximum, la décision est sans appel.
A l'occasion d'une séance d'information sur les réformes « Doing Business », organisée début mars à Cotonou par l'Agence pour la promotion des importations et des exportations (Apiex), le président du tribunal de commerce a rappelé que les décisions et les informations sur la justice commerciale, notamment les rôles d'audience, les actes pris dans le cadre du fonctionnement du tribunal, la législation concernant les juridictions de commerce, sont publiées en ligne sur le site du tribunal, et favorisent l'accès facile à la jurisprudence en la matière, permettant la prévisibilité de l'activité de jugement. Ainsi, plus besoin pour les parties prenantes de voir quelqu'un pour savoir si l'affaire les concernant est programmée ou pas ; et il n'y a plus d'appel des affaires à l'audience. « Le résultat, c'est que nous gagnons du temps à l'audience, au moins une heure à deux heures par dossier », assure William Kodjoh-Kpakpassou.
Du point de vue de l'accroissement du recouvrement des créances, la célérité observée dans le règlement des contentieux, procure plus de ressources à l'Etat. Selon le magistrat, des dizaines de décisions sont rendues par an et les créances sont payées plus aisément, même celles qui portent sur des centaines de milliards de francs CFA, a-t-il informé. A cela s'ajoute le dénouement rapide du contentieux des baux commerciaux qui concerne le plus souvent le non-paiement des loyers. A ce niveau, beaucoup de règlements à l'amiable ont déjà eu lieu et portent sur des centaines de millions, a-t-il souligné. Etant donné que la loi impose la conciliation préalable obligatoire, un centre de conciliation est mis à disposition des parties prenantes. Ces dernières peuvent s'asseoir autour d'une même table et tenter de régler leurs affaires. « Tout n'est pas compliqué en justice et il n'y a pas de magie en justice : tout est question d'organisation », a assuré William Kodjoh-Kpakpassou.
F. A. A.
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49 personnes sont mortes et 20 grièvement blessées dans des attaques contre deux mosquées. Le tireur est un « terroriste d’extrême droite » australien.
La première ministre Jacinda Ardern a décrit l’une des «journées les plus sombres» jamais vécues par cette nation du Pacifique Sud réputée paisible après ces attaques, les pires contre des musulmans dans un pays occidental.
Des témoins ont raconté avoir vu des corps ensanglantés. Des enfants et des femmes figureraient parmi les morts. La police a demandé aux gens de ne pas partager «des images extrêmement pénibles» après la mise en ligne d’une vidéo montrant un homme blanc se filmant en train de tirer sur des fidèles dans une mosquée. «Il est clair qu’on ne peut que décrire cela comme une attaque terroriste», a déclaré Mme Ardern, ajoutant que 20 personnes avaient été grièvement blessées. «Pour ce que nous en savons, (l’attaque) semble avoir été bien planifiée».
Le tireur à l’une des mosquées de Christchurch, localité de l’Ile-du-Sud, était un ressortissant australien, a révélé à Sydney le premier ministre Scott Morrison, le décrivant comme «un terroriste extrémiste de droite».
Le nombre exact de tireurs n’était pas connu, mais Mme Ardern a déclaré que trois hommes étaient en garde à vue. La police a précisé que le tireur avait été inculpé pour meurtres, ajoutant que des engins explosifs improvisés avaient été désarmés par les militaires.
Un Palestinien présent dans l’un des lieux de culte a raconté qu’il avait vu un homme être abattu d’une balle dans la tête.
«J’ai entendu trois coups de feu rapides et après environ dix secondes, ça a recommencé. Cela devait être une arme automatique, personne ne pourrait appuyer sur la gâchette aussi vite», a dit cet homme à l’AFP sous couvert de l’anonymat. «Puis, les gens ont commencé à sortir en courant. Certains étaient couverts de sang».
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« Il n'y aura pas d'élection sans l'opposition ». « Nous ne disons pas que nous allons boycotter les élections ; nous irons aux élections », voilà quelques déclarations faites par Théophile Yarou jeudi, lors de la conférence de presse de l'opposition. Comme lui, l'honorable Guy Mitokpè souligne que les membres de la CENA ont « trahi leur serment et perdu toute crédibilité ».
Voilà certaines révélations troublantes de l'opposition qui exige la démission des membres de la CENA. S'il est vrai que le combat de l'opposition est l'organisation à bonne date et des élections inclusives, il est difficile de dire que la démission des membres de la CENA constituera une avancée dans le processus. Aujourd'hui, il est clair que le chemin sur lequel nous mène l'opposition est loin de conduire à bon port. Entre l'arrêt du processus et la poursuite, le peuple aurait préféré la poursuite puisque personne ne veut qu'on tombe dans un vide juridique au soir du 15 mai 2019.
Si l'opposition exige le retour au code de 2013, alors qu'il y a déjà une avancée dans le processus, on se demande ce qu'elle veut vraiment. Loin de dire que l'opposition reste négative sur tous les plans, il faut simplement relever que les leaders de l'opposition sont dans une logique de blocage ou de discrédit. Sinon à quelques jours du lancement de la campagne électorale, il n'est pas plausible de demander le retour au code de 2013. Autrement tout le processus est plombé et ce sera malheureux pour la démocratie béninoise. Il est clair que les élections doivent se passer en toute crédibilité pour l'image du pays. A cela chacun est appelé à jouer sa partition. La balle est maintenant dans le camp des députés pour aider à sortir le pays de la situation qu'il vit maintenant. Il serait important pour toute la classe politique de soutenir les issues proposées par l'Assemblée nationale afin que les élections se déroulent normalement.
L'opposition doit désormais se hisser au dessus de la mêlée et savoir que les élections à bonne date participe à la stabilité du pays. La conférence de presse de l'opposition de jeudi n'est pas gage de pacifisme. Il urge de retrousser les manches et trouver les vraies solutions, celles qui conduiront à une élection sans difficulté.