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49 personnes sont mortes et 20 grièvement blessées dans des attaques contre deux mosquées. Le tireur est un « terroriste d’extrême droite » australien.
La première ministre Jacinda Ardern a décrit l’une des «journées les plus sombres» jamais vécues par cette nation du Pacifique Sud réputée paisible après ces attaques, les pires contre des musulmans dans un pays occidental.
Des témoins ont raconté avoir vu des corps ensanglantés. Des enfants et des femmes figureraient parmi les morts. La police a demandé aux gens de ne pas partager «des images extrêmement pénibles» après la mise en ligne d’une vidéo montrant un homme blanc se filmant en train de tirer sur des fidèles dans une mosquée. «Il est clair qu’on ne peut que décrire cela comme une attaque terroriste», a déclaré Mme Ardern, ajoutant que 20 personnes avaient été grièvement blessées. «Pour ce que nous en savons, (l’attaque) semble avoir été bien planifiée».
Le tireur à l’une des mosquées de Christchurch, localité de l’Ile-du-Sud, était un ressortissant australien, a révélé à Sydney le premier ministre Scott Morrison, le décrivant comme «un terroriste extrémiste de droite».
Le nombre exact de tireurs n’était pas connu, mais Mme Ardern a déclaré que trois hommes étaient en garde à vue. La police a précisé que le tireur avait été inculpé pour meurtres, ajoutant que des engins explosifs improvisés avaient été désarmés par les militaires.
Un Palestinien présent dans l’un des lieux de culte a raconté qu’il avait vu un homme être abattu d’une balle dans la tête.
«J’ai entendu trois coups de feu rapides et après environ dix secondes, ça a recommencé. Cela devait être une arme automatique, personne ne pourrait appuyer sur la gâchette aussi vite», a dit cet homme à l’AFP sous couvert de l’anonymat. «Puis, les gens ont commencé à sortir en courant. Certains étaient couverts de sang».
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« Il n'y aura pas d'élection sans l'opposition ». « Nous ne disons pas que nous allons boycotter les élections ; nous irons aux élections », voilà quelques déclarations faites par Théophile Yarou jeudi, lors de la conférence de presse de l'opposition. Comme lui, l'honorable Guy Mitokpè souligne que les membres de la CENA ont « trahi leur serment et perdu toute crédibilité ».
Voilà certaines révélations troublantes de l'opposition qui exige la démission des membres de la CENA. S'il est vrai que le combat de l'opposition est l'organisation à bonne date et des élections inclusives, il est difficile de dire que la démission des membres de la CENA constituera une avancée dans le processus. Aujourd'hui, il est clair que le chemin sur lequel nous mène l'opposition est loin de conduire à bon port. Entre l'arrêt du processus et la poursuite, le peuple aurait préféré la poursuite puisque personne ne veut qu'on tombe dans un vide juridique au soir du 15 mai 2019.
Si l'opposition exige le retour au code de 2013, alors qu'il y a déjà une avancée dans le processus, on se demande ce qu'elle veut vraiment. Loin de dire que l'opposition reste négative sur tous les plans, il faut simplement relever que les leaders de l'opposition sont dans une logique de blocage ou de discrédit. Sinon à quelques jours du lancement de la campagne électorale, il n'est pas plausible de demander le retour au code de 2013. Autrement tout le processus est plombé et ce sera malheureux pour la démocratie béninoise. Il est clair que les élections doivent se passer en toute crédibilité pour l'image du pays. A cela chacun est appelé à jouer sa partition. La balle est maintenant dans le camp des députés pour aider à sortir le pays de la situation qu'il vit maintenant. Il serait important pour toute la classe politique de soutenir les issues proposées par l'Assemblée nationale afin que les élections se déroulent normalement.
L'opposition doit désormais se hisser au dessus de la mêlée et savoir que les élections à bonne date participe à la stabilité du pays. La conférence de presse de l'opposition de jeudi n'est pas gage de pacifisme. Il urge de retrousser les manches et trouver les vraies solutions, celles qui conduiront à une élection sans difficulté.
Monsieur le Représentant Résident du PAM au Bénin. Chaque 1er mars, on célèbre l'alimentation scolaire au niveau africain. Dites-nous quelle est la signification cette journée ?
Guy ADOUA : Le mois de mars est généralement reconnu comme le mois de la femme et qui dit femme, dit enfant et qui dit l'enfant, dit école et qui dit école, dit alimentation.
Il y a donc un lien entre tous ces événements. Je dirai que l'alimentation scolaire à tout son sens parce que s'il y a 4 ans, les chefs d'États d'Afrique ont décidé d'instituer le 1er mars , Journée de l'alimentation scolaire en Afrique, c'est surtout pour donner un sens à l'alimentation scolaire. C'est pour s'assurer que les enfants qui constituent notre futur ont tout ce qu'il faut dès leur jeune âge, dès l'instant qu'ils vont à l'école pour se ressourcer et être de véritables générations qui vont remplacer les générations actuelles. C'est dans ce sens qu'on a pensé que l'alimentation qui était l'un des éléments à prendre en compte pour s'assurer que les enfants seront en train de bien se préparer à leur futures responsabilités.
Quels sont les problèmes observés au niveau des écoles et qui ont conduit les dirigeants africains à instituer cette journée ?
Au moment des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD), on n'a fait un petit état des lieux. Et la plupart des pays n'ont pas atteint le millénaire de développement en rapport avec l'éducation surtout l'éducation pour tous. Et l'une des raisons, c'était qu'on arrivait pas à maintenir les enfants à l'école. Et si on arrivait pas à maintenir les enfants à l'école, il y avait d'autres facteurs dont celui lié à l'alimentation. On peut dire ce mois-ci je n'ai pas d'habits à acheter je vais attendre le mois prochain. Mais se nourrir non. On ne peut pas dire je ne vais pas manger je vais attendre le mois prochain. Donc se nourrir, c'est comme un droit et une obligation et ça, il faut le faire tous les jours. Mais si on mange, ce n'est pas juste pour manger. C'est plutôt pour être capable de se concentrer et faire un certain nombre d'activités. Et ici, nous parlons de l'école et un enfant qui n'est pas concentré à l'école, un enfant qui n'a pas bien mangé, un enfant qui n'a pas pu mettre quelque chose sous la langue, ne fera que dormir à l'école car il n'aura pas tout ce qu'il faut pour se concentrer et donner des résultats. C'est donc fort de ce constat que les chefs d'États ont pensé qu'il fallait encourager les programmes d'alimentation scolaire pour assurer au moins aux enfants un repas à l'école, pour les tirer à l'école mais aussi pour qu'ils soient concentrés pour suivre le cours dans de meilleures conditions. Voilà les raisons qui sous-tendent cet engagement fort dont nous sommes à la 4ème édition cette journée.
Qu'est-ce qui a pu évoluer depuis la première édition ?
Vous allez remarquer que les thèmes sont restés autour de la production locale au fil des années. Ce qui a pu évoluer, c'est la prise de conscience. On observe de plus en plus des initiatives visant à renforcer la production agricole pour pouvoir financer les programmes de cantines scolaire aujourd'hui. Il y a des initiatives de jardins autour des écoles y compris la pisciculture pour apporter les protéines animales afin d'essayer de varier ce que le PAM apporte. Car le PAM a un panier composé de céréales, de légumineuses, de l'huile, de sel mais il faut aussi de temps en temps des protéines animales. C'est d'ailleurs ces initiatives et expériences qui ont permis à l'école primaire publique d'Agbodjèdo, dans les Aguégués d'être récompensée lors des festivités officielles de la 4ème édition de la JAAS à Toffo, jeudi dernier. Il y a également des initiatives allant même à développer des petits programmes d'élevage de volailles, de production des œufs autour des écoles. Aussi, a-t-on vu à l'extérieur des écoles, des initiatives de grands champs communautaires pour appuyer le programme. Ce sont entre autres les évolutions qu'on a pu observer. Il y a 4, 5 ou 10 ans, on en parlait pas. Les vivres étaient achetés. Quelque fois, ils venaient de l'extérieur. Mais de plus en plus, on est en train d'encourager la production agricole locale, et en faisant de cette manière, on essaie d'entraîner aussi dans le programme la communauté, les paysans et les producteurs pour faire de ce programme un véritable programme intégré, c'est à dire joindre et associer les autres couches. L'évolution qui a été notée aussi est que hier était juste une histoire d'école, des enseignants, du PAM et ça se limitait là. Mais aujourd'hui, c'est toute la communauté entière. Les parents d'élèves et les associations aussi s'investissent désormais pour produire et alimenter les programmes. Cela voudrait dire qu'il y a une prise de conscience avec comme impact un niveau de contribution de la communauté qui devient de plus en plus considérable.
Le jeudi 7 mars 2019, à l'occasion de la cérémonie officielle de la célébration de l'édition 2019 de la JAAS, le Pam a procédé à une remise officielle de motos aux agents de suivi programme sur le terrain. Quel en est le but visé ?
J'ai toujours dit et mes collègues peuvent peut-être confirmer que notre travail ce n'est pas ici au bureau. Au bureau, c'est juste mettre en place des stratégies qu'il faut aller appliquer sur le terrain. Nous avons besoin d'être beaucoup plus proches des écoles pour nous assurer que le Programme fonctionne bien. Qu'il y a tout ce qu'il faut, les vivres sont là en bon état, dans de bonnes conditions ; que les gens qui préparent sont là, qu'il y a des fiches qui sont là et qui sont suivies au jour le jour. Alors le sens de ces motos, c'est pour s'assurer de la présence de tous les acteurs sur le terrain, d'être plus proches et plus mobiles des écoles. Être en mesure d'aller discuter avec les communautés, discuter avec les parents, discuter avec les élèves, discuter avec les enseignants, discuter avec les transporteurs pour s'assurer que tout se passe bien. C'est ça qui est l'objectif. L'objectif ce n'est pas tout ce que nous faisons ici au bureau. C'est le travail sur le terrain. Quand le travail sur le terrain fonctionne bien, on a toute les garanties que le Programme va aller plus loin. Avec une moto, on peut visiter facilement 5, 10,15 écoles, dans la journée et s'assurer que tout se passe bien. Donc les motos dont l'échantillon a été présenté jeudi dernier, c'est juste pour dire que nous passons de plus de 1500 écoles à plus de 3000 et bientôt 4000 écoles. Il faut donc réfléchir sur comment mettre les moyens en place pour être présent sur le terrain. Car, plus le nombre d'écoles est croissant, plus on doit réfléchir pour ne pas laisser une seule école de côté. Donc, nous avons acheté ces motos. Nous allons aussi doter ces motos à certaines structures qui nous accompagnent dans le suivi programme sur le terrain.
Avez-vous des projets innovants dans le cadre du programme national alimentaire scolaire intégré ?
Oui beaucoup. Actuellement, nous sommes en train de développer un mécanisme de gestion de plaintes. C'est à dire qu'on va arriver à obtenir un numéro vert gratuit qui devrait permettre aux bénéficiaires, à tout le monde,
à tout citoyen là où il se trouve s'il remarque quelque chose en rapport avec le fonctionnement des cantines scolaires, il appelle et nous dit le problème et nous, on intervient. En un mot, nous voulons avoir un système de communication qui fonctionne pour que chaque fois qu'il y a un problème, nous intervenons. Maintenant, quand vous parlez d'innovation, il y en aura beaucoup. Je pense que le fait d'associer dans les tout prochains mois, les groupements des femmes dans la production agricole et les vivres dans les écoles vont être achetés auprès de ces fermiers ou de ces femmes serait quelque chose de très bien et d'innovant. C'est à dire au lieu d'acheter directement auprès des commerçants, on donne aussi la possibilité, l'opportunité à d'autres couches vulnérables et on va les encadrer à ce que leurs produits soient aussi compétitifs du point de vue qualité et quantité et ça veut dire que le Programme ira au-delà de l'éducation. Il va donc trouver d'autres couches et de façon un peu indirecte les pas du programme seront beaucoup plus grands.
On va aussi utiliser du cash, c'est-à-dire que ces femmes qui vendent aux écoles vont recevoir du cash (de l'argent en espèce) et ça va leur permettre de développer d'autres activités. Mais là où je veux vraiment parler de l'innovation, c'est que le PAM ait des mécanismes de suivi qui doivent permettre à tout citoyen qui dispose d'une application qui renseignerait sur le programme sur sa tablette, d' avoir accès à toutes les informations relatives aux cantines scolaires. Par exemple, si vous avez l' application sur votre tablette, vous rentrez dedans si vous voulez savoir combien d'écoles ont reçu de vivres à la date d'aujourd'hui et vous pouvez avoir accès à ces informations là. Avoir des petits programmes dans les écoles et autour des écoles, élevage de volaille, élevage de cabri, production d'œufs sont aussi des innovations. Réfléchir sur comment motiver les écoles dont les communautés ne fonctionnent pas assez bien, proposer des prix et faire en sorte que les écoles qui fonctionnent bien avec beaucoup d'initiatives partagent leurs expériences avec les autres. Organiser des mini-ateliers d'échanges d'expériences en utilisant uniquement les écoles qui font bien pour qu'ils expliquent aux autres comment ils font. Faire des visites de terrain pour aller voir là où ça se passe très bien pour les entraîner à mieux faire aussi. Ce sont autant d'innovations que nous comptons faire. Déjà, le fait d'utiliser les motos fait partie de ces innovations. Il y en aura plusieurs d'autres. Et l'avantage que nous avons ici est que le gouvernement du Bénin est pleinement impliqué et ça c'est une particularité. Le fait que le gouvernement est engagé, est pour nous une force parce que, pour toute initiative que nous aurons à apprendre, nous aurons son appui pourvu que ces initiatives nous amènent vers des résultats visibles et palpables.
Lors de la cérémonie commémorative de la 4ème édition de la JAAS, nous avons vu le personnel féminin du PAM offrir des kits de cuisine aux femmes cuisinières des cantines dans le cadre du 8 mars. Avez vous un mot à leur endroit et qu'elle est votre appréciation ?
Je suis très content. J'ai été émerveillé par cet acte posé par mes collègues. J'avoue que je n'étais vraiment pas impliqué , j'apprécie beaucoup cette initiative. Le message voudrait dire que le Programme d'alimentation scolaire ne devrait pas concerner que le gouvernement ni les écoles, c'est une affaire de tout le monde y compris les hommes et femmes de la presse. Ils ont aussi un grand rôle à jouer pour que ce programme soit un succès. Tout ce que nous pouvons faire pour que ça marche serait une très bonne idée. Les femmes, les mamans, c'est votre préoccupation que nous les enfants nous mangions bien. Ça veut dire que les femmes ont toujours un rôle à jouer. L'acte que mes collègues ont posé voudrait dire qu'elles aussi, en dehors de faire partie du PAM, ont aussi une contribution à apporter, à leur manière, pour le succès de ce programme
Réalisée par Juliette Mitonhoun
Réunis à la place Goho en fin de semaine écoulée, les têtes couronnées et les populations d'Abomey (dignitaires de cultes endogènes, élus locaux, conducteurs de taxis motos, femmes, jeunes et autres) ont fustigé ce comportement malveillant de certains individus mal intentionnés qui ont voulu mettre feu au domicile privé du chef de l'Etat dans la nuit du samedi au dimanche 03 mars dernier. Selon les populations, c'est un acte criminel qui compromet l'intégrité, salit l'image et l'honneur des fils et filles de la cité des ‘'Houégbadjavi''.
« Abomey n'a pas cette culture », ont martelé les populations en condamnant fermement l'acte. Le seul endroit où le chef de l'Etat devrait se sentir plus en sécurité, indiquent-elles, c'est la cité historique d'Abomey.
D'une seule voix, ces populations ont rassuré le président que de tels actes ne se reproduiront plus jamais. En l'exhortant à replier les forces de l'ordre, elles ont également manifesté leur volonté de prendre toutes les mesures pour sécuriser la maison. « Tout le monde sera mis à contribution pour identifier les auteurs de cet acte et les mettre hors d'état de nuire », ont promis les fils et filles de cette cité historique. « Plus jamais ça à Abomey. Que le président de la République Patrice Talon évacue toutes les forces de l'ordre à partir de ce jour et laisse son portail ouvert », ont-elles lancé.
F. Aubin AHEHEHINNOU
Ces dernières années sous le couvert “d’une relation spéciale” la France s’est carrément installée en Algérie fournissant des directives au régime tout en profitant d’un prix extraordinairement bas pour le gaz et le pétrole. Bouteflika avait aussi permis à l’armée française de survoler le territoire algérien pour lancer ses opérations militaires au Mali et c’était là la vente sans conditions de la souveraineté nationale à la France.
La France pour protéger ses intérêts n’a laissé aucune action ou plainte contre les dignitaires du régime, surtout relative à l’acquisition de biens immobiliers avec des fonds injustifiés, se concrétiser au niveau de sa propre justice et a utilisé son influence auprès de la communauté européenne pour assurer le maintien du régime en Algérie et ainsi de continuer à faire de l’Algérie sa chasse gardée.
Puis, devant le soudain soulèvement populaire en Algérie le 22 février, la France qui ne savait plus sur quel pied danser a remis à la presse ( à l’Obs en particulier) d’anciennes notes diplomatiques de l’ambassade de France en Algérie pour donner sa position comme étant contre Bouteflika et faire de la récupération pour ne pas perdre la main en Algérie.
Le régime aussi avait été surpris mais les avis au sein de l’armée étaient partagés et c’est ainsi que le général Toufik a été sollicité pour participer aux discussions qui devaient aboutir à un plan de gestion de la crise.
La France par le biais de son ambassadeur actuel Xavier Driencourta a aussi été associée à cette discussion, chose qui explique ses va-et-vient entre Alger et Paris ces dernières semaines.
On nous a ensuite annoncé le résultat par l’intermédiaire Zaalane le directeur de campagne de Bouteflika qui a remplacé l’autre demeuré de Sellal, qui avait été débarqué suite à un enregistrement où il était fière de dire “d’utiliser des kalachnikovs” contre les algériens. Un enregistrement qui a été rendu publique par “des inconnus”!
Le résultat de ces discussions avec la France était de faire passer Bouteflika de force pour un cinquième mandat et qu’il quitte le pouvoir un an après.
La France, suite à cette annonce, a fait dire dans ces médias, avec le niveau de propagande que l’on lui connait, que le départ de Bouteflika, que le départ du régime, “permettrait aux islamistes de revenir au pouvoir”.
Le peuple algérien, notre fierté à tous, n’est pas tombé dans le piège. Les protestations ont doublé de volume et c’est ainsi que Bouteflika a annoncé le retrait de sa candidature pour un cinquième mandat tout en annulant les élections.
Le 4ème mandat est ainsi prolongé au mépris de toutes les lois algériennes et au mépris de tous les algériens.
Le président Macron “Salue” alors la décision de Bouteflika et du régime et annonce son soutien à la conférence nationale qui va être sous l’égide et sous le contrôle du même régime par l’intermédiaire de Lakhdar Brahimi qui a repris le même thème que celui qui avait été mis en place par la France, faire peur d’un éventuel retour des islamistes au pouvoir. Lakhdar Brahimi donnera sa version sur “le grand danger” qui guette l’Algérie pour le cas où le peuple continue d’insister pour le départ immédiat du régime.
La France ne veut pas de démocratie en Algérie et la France a toujours méprisé le peuple algérien. Durant la décennie noir, la France avait fait circuler dans ces cercles d’opinions que “dans ces pays là comme l’Algérie, il faut des dictatures”.
Une démocratie en Algérie défendra beaucoup mieux les intérêts des algériens qu’un régime mafieux et c’est pour cela que la France soutien à présent la dictature en Algérie publiquement.
Vendredi 15 Mars 2019, mes frères et soeurs soyons nombreux!
Chafik Ben Guesmia
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Des jeunes étudiants de l’université de Tlemcen ont adressé un message au peuple algériens dans une vidéo publié sur Facebook.
Les étudiants demandent au peuple d’être unis pour une Algérie meilleure et libre !
Ils ont également apporté leur soutien au mouvement populaire contre le prolongement du 4e mandat de Bouteflika.
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