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Etat d'urgence : Valls annonce une probable prolongation

LeParisien / Politique - Sun, 13/11/2016 - 07:11
L'Etat d'urgence devrait être prolongé en 2017. Le Premier ministre, Manuel Valls, l'annonce ce dimanche dans une interview à la chaîne britannique BBC.    «Il est difficile aujourd'hui de mettre...
Categories: France

Visszatér Dzurinda reformere?

Hírek.sk (Szlovákia/Felvidék) - Sun, 13/11/2016 - 07:09
POZSONY. Ivan Mikloš korábbi pénzügyminiszter szerint rendet kell teremteni az iskolarendszerben. Meglátása szerint Szlovákiában egy 200 éves módszer alapján oktatják a diákokat. Az egykori Dzurinda-kormány reformpolitikusa Robert Fico miniszterelnököt sem kímélte. Szerinte igaztalan állításokat tesz a tanári foglalkozást illetően.

Primaire à droite : pour Alain Minc, «Juppé est le meilleur bouclier anti-Le Pen»

LeParisien / Politique - Sun, 13/11/2016 - 07:00
À une semaine du premier tour de la primaire de la droite, Alain Minc estime qu'Alain Juppé est le mieux placé pour l'emporter en 2017 face à Marine Le Pen. La présidence Trump sera-t-elle la catastrophe...
Categories: France

Attentats : c'est devenu l'obsession des politiques

LeParisien / Politique - Sun, 13/11/2016 - 07:00
En politique aussi, rien ne sera plus comme avant. Car, depuis les attentats, tout a déjà changé. Radicalement. « La sécurité est devenue le sujet no 1 des Français et le sera encore plus durant la campagne...
Categories: France

Mondial 2018 : le Burkina Faso vire en tête

Afrik.com - Sat, 12/11/2016 - 23:30
Categories: Afrique

Sting au Bataclan : "Célébrer la vie, mais ne pas oublier"

France24 / France - Sat, 12/11/2016 - 22:22
Le concert de réouverture du Bataclan s'est tenu samedi soir à Paris, la veille de la journée de commémorations des attaques du 13-novembre.
Categories: France

Turquie : jusqu’à quand l’Union européenne devra-t-elle avaler des couleuvres ?

EU-Logos Blog - Sat, 12/11/2016 - 22:10

Avec son « paquet élargissement » la Commission européenne fait-elle passer le bon message ? Erdogan défie l’Europe jouant la surenchère et la provocation. Un nouveau coup dur pour la démocratie avec l’arrestation du patron du journal du Cumhuriyet. Des voix s’élèvent pour que l’Union mette fin aux négociations d’adhésion, comme le réclame le rapporteur des questions turques au Parlement européen Kati Piri, une plaisanterie qui tournerait au tragique si elle devait se poursuivre. Il y a suffisamment de nuages sombres sur l’Europe pour que ne vienne pas s’ajouter celui représenté depuis un certain temps par la Turquie. Les autorités turques ont arrêté vendredi le 11 novembre le patron du quotidien d’opposition Cumhuriyet, après avoir détenu plusieurs de ses journalistes, au moment où la liberté de la presse est au coeur de vives tensions entre Ankara et l’Europe.

Akin Atalay, le président du directoire du quotidien, a été arrêté à son arrivée à l’aéroport Atatürk d’Istanbul, en provenance d’Allemagne, et placé en garde à vue, a indiqué Cumhuriyet sur son site. Il était visé par un mandat d’arrêt dans le cadre d’une enquête sur des « activités terroristes ». farouchement hostile au président Recep Tayyip Erdogan, Cumhuriyet, fondé en 1924, s’est transformé en machine à scoops sous la houlette de son ancien rédacteur en chef Can Dündar, multipliant les enquêtes embarrassantes pour le pouvoir.

Il a notamment publié en 2015 une enquête retentissante affirmant, vidéo à l’appui, que les services secrets turcs avaient fourni des armes à des rebelles islamistes en Syrie. M. Erdogan avait alors affirmé que M. Dündar allait « payer le prix fort ».M. Dündar, condamné pour « révélation de secrets d’Etat » en première instance, vit désormais en Allemagne.

Il a quelques jours, neuf journalistes de Cumhuriyet, dont le rédacteur en chef Murat Sabuncu, ont été placés en détention, une mesure qui a suscité l’inquiétude des défenseurs des droits de l’Homme et des critiques internationales. Le parquet avait annoncé au moment des arrestations que celles-ci se faisaient dans le cadre d’une enquête pour « activités terroristes » en lien avec le mouvement du prédicateur Fethullah Gülen – accusé d’avoir fomenté le putsch raté – et avec le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK).

  1. Atalay a été arrêté à sa descente d’avion par des policiers qui l’ont fait monter dans un véhicule qui attendait sur le tarmac de l’aéroport, a précisé Cumhuriyet. Après les arrestations de ses journalistes, Cumhuriyet avait assuré qu’il lutterait « jusqu’au bout », dans un pays où la presse a été particulièrement visée par les purges menées depuis le putsch avorté de juillet.

Des opposants au président Erdogan et des organisations de défense des droits de l’homme accusent les autorités de se servir de l’état d’urgence instauré après le putsch manqué pour étouffer toute critique.

« Cumhuriyet, c’est la voix de la Turquie, c’est le souffle de la Turquie », a déclaré à l’AFP Hüseyin Karabulut, qui fait partie d’un comité de soutien dont les membres se relaient devant le siège du journal à Istanbul. M. Karabulut dit redouter le placement du quotidien sous tutelle, de la même manière qu’un administrateur avait été nommé par le gouvernement en mars dernier à la tête du grand quotidien Zaman, jugé proche de Fethullah Gülen. « S’il y a une mise sous tutelle, la Turquie aura perdu sa voix », lance M. Karabulut.

Les autorités turques nient pour leur part toute atteinte à la liberté de la presse et affirment que les seuls journalistes arrêtés sont ceux liés à des « organisations terroristes », expression désignant le PKK et le réseau güléniste.

Les arrestations de journalistes et la fermeture de médias ont exacerbé les tensions entre Ankara et l’UE, qui a plusieurs reprises dit son inquiétude, son extrême inquiétude, devant l’ampleur des purges menées dans le pays après le putsch avorté.

Dans son dernier rapport d’étape sur le processus d’adhésion de la Turquie à l’UE publié le 9 novembre à Bruxelles, la Commission européenne a ainsi critiqué un « sérieux retour en arrière » sur les critères d’adhésion, en particulier en ce qui concerne la liberté d’expression et l’état de droit dans le pays.(cf. infra)

La Turquie a rejeté ces conclusions les jugeant « loin d’être objectives ».

Selon l’Association des journalistes de Turquie (TGC), 170 organes de presse ont été fermés, 105 journalistes placés en détention et 777 cartes de presse annulées depuis la tentative de coup d’Etat du 15 juillet.

La Turquie est 151e au classement mondial de la liberté de la presse dressé par Reporters sans Frontières (RSF) en 2016, derrière le Tadjikistan et juste devant la République démocratique du Congo.

Le représentant de Reporters Sans Frontières (RSF) en Turquie Erol Önderoglu est actuellement jugé à Istanbul pour « propagande terroriste » pour avoir participé à une campagne de solidarité avec un quotidien pro kurde.

UN retour en arrière estime la Commission européenne. Sa crédibilité est jeu. Pour la Turquie le rapport d’étape de la Commission loin d’être objectif. Mais est-ce le bon message pour l’UE ? La Turquie a rejeté mercredi les conclusions du dernier rapport de l’Union européenne sur son processus d’adhésion , les jugeant loin d’être objectives. Certaines sections du rapport sont loin d’être objectives, a déclaré le ministre des Affaires européennes Omer Celik lors d’une conférence de presse à Ankara. Dans son dernier rapport d’étape sur le processus d’adhésion de la Turquie à l’UE publié le 9 novembre , la Commission européenne a critiqué un retour en arrière sur les critères d’adhésion, en particulier en ce qui concerne la liberté d’expression et l’état de droit dans le pays. Pour M. Celik, ce rapport est loin d’être constructif et loin d’offrir une voie pour aller de l’avant. Ce rapport est rédigé d’une manière qui ne sert pas les intérêts des relations entre la Turquie et l’Union européenne, a-t-il dit, estimant que plusieurs de ses conclusions reflètent un manque de compréhension de la situation en Turquie. L’UE s’est transformée en une institution qui ne fait que publier des communiqués. De notre côté, nous ne nous répandons pas en paroles, car ce que nous cherchons, c’est de voir les choses aboutir, a-t-il protesté. Dans son rapport, la Commission a affirmé que la Turquie a connu un sérieux retour en arrière au cours de l’année passée dans le domaine de la liberté d’expression et rappelé également le rejet sans équivoque par l’UE de la peine de mort, dont le rétablissement est évoqué par le président Recep Tayyip Erdogan. Il est temps qu’Ankara nous dise ce qu’elle veut vraiment. C’est un test de sa crédibilité mais aussi de celle de l’Union européenne, a estimé le commissaire européen à l’Elargissement, Johannes Hahn, en présentant ce rapport. La veille, le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker avait mis en doute la volonté turque d’adhérer à l’UE, déplorant que ce pays s’éloigne chaque jour de l’Europe, dans une référence appuyée aux vastes purges menées par le pouvoir depuis la tentative de coup d’Etat de juillet.

l’Union européenne « extrêmement inquiète »face au durcissement de la répression et à u nouveau coupdur pour la démocratie

Les répercussions politiques du putsch manqué de juillet contre Recep Tayyip Erdogan n’en finissent plus de remettre en cause l’Etat de droit en Turquie, jour après jour. Dans la nuit du jeudi au vendredi 4 novembre, neuf députés du Parti démocratique des peuples (HDP), une formation pro-kurde, dont ses deux coprésidents, ont été arrêtés. Samedi 5 novembre, c’était au tour de neuf journalistes et responsables de Cumhuriyet, le dernier grand quotidien turc d’opposition, d’être placés en détention. Plusieurs pays occidentaux se sont inquiétés de ce nouveau tour de vis dans la répression du coup d’Etat de juillet. Des critiques dont Recep Tayyip Erdogan n’a que faire.

L’arrestation des responsables politiques pro-kurdes marque un nouveau tournant dans la politique turque. « Un niveau de répression sans précédent« , commente ainsi Liberation. M. Erdogan justifie leur mise en détention en qualifiant le HDP de « branche » du PKK, organisation nationaliste kurde considérée comme terroriste par de nombreux membres de la communauté internationale (dont l’UE), rapporte le quotidien.

Le HDP finance le PKK, a affirmé le Premier ministre turc Binali Yildrim dans un discours télévisé : « Depuis des années, ils transfèrent au terrorisme, un argentl’argent que nous envoyons aux communes , ajoutant que « Quiconque nuit à cette nation devra en payer le prix. Pas seulement ceux qui posent des bombes, mais aussi ceux qui soutiennent le terrorisme« .

Des accusations qui ne reflètent pas la réalité des positions publiques adoptées par le HDP, notamment celles d’un de ses coprésidents, arrêté dans la nuit de jeudi à vendredi, Salahattin Demirtas. Il avait pris « ses distances avec le PKK et [élargi] la base du HDP aux minorités, aux femmes, aux homosexuels et aux écologistes. En un mot, [débarrassé] son parti de l’étiquette «ethnique» pour en faire une formation politique ouverte à la modernité« . L’homme politique pro-kurde jouit d’une « popularité grandissante« , expliquent les média. Son parti a fait 13% aux législatives de 2015, occupant 80 sièges au Parlement. Ce qui contrarie les ambitions politiques du président Erdogan, en lui enlevant la majorité absolue, empêchant ainsi son « projet sultanesque de république présidentielle » soulignent les opposants. Le HDP accuse les autorités turques d’avoir procédé à ces arrestations pour renforcer le pouvoir du président : « le parti n’hésite pas à dénoncer un ‘coup d’État’ contre le pluralisme. Une manœuvre qui, selon eux, ne vise qu’un seul objectif : modifier la Constitution pour imposer un régime présidentiel, en remplacement de l’actuel régime parlementaire. Or, pour ce faire, Recep Tayyip Erdogan a besoin d’une majorité absolue afin de convoquer un référendum« . L’Europe et les Etats-Unis de Obama dénoncent, dénonciations que Erdogan ignore superbement. Qu’en sera-t-il àl’avenir ? De nombreux Etats européens, ainsi que les Etats-Unis, se sont inquiétés de ce nouveau tournant pris dans le durcissement du régime de Recep Tayyip Erdogan. Les Etats-Unis se disent « profondément troublés » par l’arrestation et la détention de responsables politiques kurdes, rapporte la presse internationale. Le ministre allemand des Affaires étrangères, Walter Steinmeier, a mis en garde l’Etat turc contre la tentation de « museler l’opinion« . L’Union européenne, par la voix de sa haute-représentante Federica Mogherini, se déclare « extrêmement inquiète« .

Des critiques balayées d’un revers de la main par le président turc, au cours d’une cérémonie organisée dans une université : « Les critiques occidentales ne devraient absolument pas nous préoccuper. Nous savons très bien qui nous accuse. Nous avons étudié leur histoire, nous la connaissons parfaitement. J’ai appris à les connaître très bien durant mes quatorze années de Premier ministre et de Président. Je les lis comme un livre ouvert. Peu m’importe qu’il dise que je suis un dictateur. Ça rentre par une oreille et ça ressort par l’autre« , a-t-il asséné à ses détracteurs .

Poursuivant sur le même registre on peut noter  d’autres commentaires: « Ils disent que l’union européenne devrait réévaluer les négociations d’adhésion de la Turquie. Mais vous prenez du retard !Allez réévaluez-les maintenant et prenez une décision ». Il brave les lignes rouges de l’Union européenne en plaidant notamment pour le rétablissement de la peine de mort, se moque des hésitations et contradictions  de l’UE et reproche à l’UE « d’ouvrir ses portes, son Parlement (…) et ses palais aux terroristes »Il faut comprendre : offrir un refuge aux militants du PKK, à des fonctionnaires, des journalistes, des diplomates poursuivis en Turquie pour des liens présumés avec la tentative de putsch ou son ennemi personnel n° 1 l’iman Fethullah Güllen. Il veut pousser à bout les européens sans être celui qui coupera les ponts : « Vos relations avec nous ne peuvent continuer sur la base d’intimidations. Si vous voulez arrêter, arrêtez. Si vous voulez continuer, nous sommes prêts ». Que l’UE proteste après les incarcérations  des députés du parti pro kurde HDP ou l’arrestation de journalistes sont l’occasion de sommer les européens «  à se mêler de leurs affaires ».

Par ses actions et déclarations, M. Erdogan se détache de plus en plus de l’Europe. Les relations sont par ailleurs déjà particulièrement dégradées avec l’occident de manière générale. Les rapports avec l’UE vont mal : « ‘Sans visas pour les ressortissants turcs d’ici à la fin de 2016, plus d’accord migratoire’, a fait savoir vendredi Mevlut Cavusoglu, le ministre turc des affaires étrangères, tandis que M. Erdogan accusait l’Allemagne d’héberger des ‘terroristes’« . De même, les Turcs ne supportent pas de voir leur allié américain au sein de l’OTAN leur préférer les milices kurdes syriennes YPG, émanant du PKK, dans le conflit syrien.

On peut résumer l’ambition du président turc en peu de mots : « Casser l’héritage d’Atatürk, la laïcité, la toute-puissance de l’armée, l’orientation occidentale du pays, tel est le dessein assumé du président Erdogan, qui se pose en défenseur de l’islam sunnite On peut comprendre la réaction du commissaire à l’élargissement, Johannes Hahn : « il est temps que Ankara nous dise ce qu’il veut vraiment ». C’est faible comme réaction, mais que dire d’autre ? Ce sentiment d’impuissance nous le   retrouvons chez d’autres acteurs : répondant au député européen Kati Piri qui demandait le gel immédiat des négociations «  jusqu’à ce que le gouvernement turc retrouve le chemin du respect de l’Etat de droit ». « C’est aussi ce que nous demandons, répond Hisyar Özsoy, député responsable des relations internationales du HDP, jusqu’à récemment nous demandions de maintenir les négociations pour disposer d’un levier sue le gouvernement. Mais depuis l’incarcération de 10 de nos élus, nous pensons que l’UE doit adopter des sanctions contre l’AKP et le président Erdogan ». A son tour Johan Bihr responsable du bureau Europe de l’est et Asie centrale pour Reporters sans Frontières (RSF) : « nous avons conscience des limites du pouvoir de l’UE. Mais quand tant de journalistes sont en prison, on ne peut plus se contenter de manoeuvres de couloirs qui ne seront même pas efficaces puisque le gouvernement turc, actuellement, n’est pas prêt à entendre les conseils amicaux ».

Quoi donc ? un énième rapport ?quand Jean-Claude Juncker constate « la Turquie chaque jour s’éloigne de l’Europe ! ». Or précisément la Commission vient de livrer son « paquet élargissement 2016 (Cf. Pour savoir plus ». D’emblé le commissaire Hahn, chargé de l’élargissement souligne : « La perspective de l’adhésion à l’UE continue de favoriser le changement et de consolider la stabilité (…) un processus d’élargissement crédible (…) reste un outil irremplaçable pour renforcer ces pays et les aider à réaliser des réformes politiques et économiques. Aujourd’hui, nous réaffirmons le soutien constant de l’UE à ces efforts et invitons les gouvernements des pays visés par l’élargissement à adhérer plus activement aux réformes nécessaires et à en faire véritablement leurs priorités politique, non parce que nous leur demandons, mais parce qu’elles sont dans l’intérêt de leurs citoyens et de l’Europe toute entière ». Ce type de message n’est il pas propre à nourrir les malentendus qui demain se transformeront en acrimonies de plus en plus violentes nourrissant le sentiment d’avoir été trompés !

Risque d’autant plus probable que le rapport poursuit par un constat généralement préoccupant et pas seulement pour la Turquie ajoutant que « le rapport annuel de cette année arrive à un moment très important (…) nous sommes extrêmement préoccupés par la dégradation de la situation en matière d’état de droit et de démocratie à la suite de la tentative manquée de coup d’état. Dans son propre intérêt, la Turquie doit, de toute urgence, cesser de s’éloigner de l’UE ». La politique d’élargissement continue de produire des résultats et les réformes progressent dans la plupart des pays, bien qu’à des rythmes différents. Il demeure essentiel de maintenir l’attachement aux principes « de la priorité aux fondamentaux ». C’est pourquoi la Commission continuera à centrer ses efforts sur l’Etat de droit, y compris la sécurité, les droits fondamentaux, les institutions démocratiques et la réforme de l’administration publique, le développement économique et la compétitivité. Il est indispensable de renforcer le rôle de la société civile et des parties prenantes au sens large.

Dans le domaine de l’état de droit des progrès ont été réalisés dans l’ensemble et des efforts faits, tote fois la plupart des pays restent confrontés d’efficience et à un manque d’indépendance et de responsabilité du pouvoir judiciaire. Les cadres de la lutte contre la corruption et la criminalité organisé a été renforcé, mais il convient de concentrer ses efforts sur l’obtention de résultats concernant les enquêtes, les poursuites et les jugements dans toutes les affaires et à tous les niveaux. Les pays ont également modifié leur législation pénale et antiterroriste, sa dotant d’outils plus solides avec de nouvelles stratégies et de nouveaux plans d’action mais des efforts doivent être faits pour s’attaquer à la radicalisation par l’éducation et un meilleur contrôle des financements étrangers en faveur des contenus radicaux.

En ce qui concerne les droits fondamentaux, ils continuent à concentre l’essentiel es efforts mais dans la pratique des lacunes subsistent. En Turquie un recul a été observé et la mise en oeuvre pratique laisse souvent largement à désirer. En Turquie au titre de l’état d’urgence, de vastes mesures limitant les droits fondamentaux ont été prises. Un grand nombre d’allégations faisant état de graves violations des droits procéduraux ainsi que l’interdiction de la torture et des mauvais traitements ont été formulées au lendemain de la tentative de coup d’Etat.

La situation en matière de liberté d’expression et de libertés des médias demeure particulièrement préoccupante dans la plupart des pays de l’élargissement bien que à des degrés divers. L’absence de progrès dans ce domaine déjà observée au cours des dernières années s’est maintenue et dans certains cas s’est renforcée. La discrimination et l’hostilité à l’égard des groupes vulnérables, notamment pour des motifs d’orientation sexuelle reste un sujet de préoccupation important.

La crise migratoire a bien évidemment figuré parmi les préoccupations politiques principales . L’UE s’est efforcée de réagir de manière globale en tenant compte des droits de l’homme. La fermeture effective de la route des Balkans occidentaux combinée à la déclaration UE/ Turquie du 18 mars a produit des résultats évidents sur le terrain :le nombre de migrants en situation irrégulière et de demandeurs d’asile rejoignant les îles grecques a sensiblement chuté, passant de plusieurs milliers par jour à moins de cent par jour en moyenne. En outre le nombre de vies humaines perdues en mer a fortement baissé. Un résultat auquel l’Union tient et elle n’est pas disposée à y renoncer sans une contrepartie dont il est difficile d’imaginer le contour aujourd’hui.

 

Pour en savoir plus, sources principales de l’information

     -. Troisième Rapport d’étape concernant l’accord sur les migrants (septembre 2016) (FR)https://ec.europa.eu/transparency/regdoc/rep/1/2016/FR/1-2016-634-FR-F1-1.PDF (EN) https://ec.europa.eu/transparency/regdoc/rep/1/2016/EN/1-2016-634-EN-F1-1.PDF https://ec.europa.eu/transparency/regdoc/rep/1/2016/EN/1-2016-634-EN-F1-1.PDF

     -. Journal Libération http://www.liberation.fr/planete/2016/11/09/bruxelles-critique-un-retour-en-arriere-de-la-turquie-sur-les-criteres-d-adhesion-a-l-ue_1527350

     -. Journal le Figaro http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2016/11/09/97001-20161109FILWWW00154-adhesion-a-l-ueturquie-bruxelles-critique-un-retour-en-arriere.php?pagination=2

     -. Commission européenne : rapport d’étape key findings http://europa.eu/rapid/press-release_MEMO-16-3639_en.htm

     -. Rapport d’étape http://ec.europa.eu/enlargement/pdf/key_documents/2016/20161109_report_turkey.pdf


Classé dans:Accords et politiques de coopération, RELATIONS EXTERIEURES
Categories: Union européenne

Attentats du 13 novembre : les Français toujours en colère

LeParisien / Politique - Sat, 12/11/2016 - 20:35
Les attentats meurtriers du 13 novembre 2015 à Paris et Saint-Denis restent gravés dans tous les esprits. Six Français sur dix (59 %) estiment que ces événements changeront pour toujours leur manière de...
Categories: France

Maradona és a nyugat-szaharai ügy

Mindennapi Afrika - Sat, 12/11/2016 - 20:11

Nem tudni, hogy pontosan mi volt a szándéka a legendás argentin labdarúgónak, Diego Maradonának, amikor november 6-án pályára lépett a Marokkó által rendszeresen megszervezett “Mérkőzés a Békéért” jótékony célú labdarúgó-mérkőzésen a Marokkó által megszállt Nyugat-Szahara fővárosának, El-Ajúnnak (Laayoune) Sheikh Mohamed Laghdaf névre hallgató stadionjában. A pályán ott volt mellette az egykori egyiptomi legenda, Mohamed Aboutrika vagy éppen a ghánai Abedi Pelé és a brazil Rivaldo is, mégis a mérkőzés komoly aggályokat vetett fel a nyugat-szaharai ügyért küzdő civil szervezetek és jogvédő csoportok körében, akik szerint Marokkó igazából a Nyugat-Szaharában betöltött szerepéről kialakítandó pozitív képhez használja fel csak a kezdeményezést. Erre egyébként sokak szerint a mérkőzés dátuma is utal, hiszen évtizedekkel korábban ekkor történt a “Zöld Menet”, amely során II. Hassan vezetésével több százezer marokkói hatolt be a nyugat-szaharai területekre, amit értelemszerűen a szaharaiak a megszállás napjának tekintenek.

Persze Maradonát támadni a részvétele okán (amelyet egyébként állítólag ingyen vállalt és vállal mindig) nem túlságosan érdemes, hiszen a labdarúgó a múltban már jópárszor vállalt fel olyan politikai nézeteket, amelyekkel sokan nem tudtak azonosulni, de Nyugat-Szahara és a nyugat-szaharai függetlenségi ügy mögött állók számára értelemszerűen csalódást keltő, ha a politikai nagyhatalmak (pl. Franciaország, Spanyolország) mellett már sztárnak számító személyiségek is eltekintenek a nyugat-szaharai küzdelem évtizedeitől és minden függő kérdést teljes mértékben lezártnak tekintenek. A mérkőzésen egyértelműen láthatóan mindenféle formán kívül teljesítő argentin csoda egyébként a mérkőzéshez kapcsolódóan azt is elmondta, hogy nagyon örülne neki, ha a szerinte rendkívül jó lehetőségeket magában hordozó marokkói labdarúgó-válogatott edzői pozíciójára felkérnék és hangsúlyozta, hogy rövidesen ismét visszatér az országba, ahol az elmúlt években már rendszeres vendégnek számít.

Akárhogy is, Maradona elég sok támadást kapott a marokkói szereplése okán, hiszen egyrészt bírálták a nyugat-szaharai ügy támogatói, másrészt pedig nem teljesen egyértelmű, hogy tényleg ingyen vállalta-e a meccset vagy valóban fizettek neki 50 millió forintnak megfelelő dirhamot a szereplésért – és az arctalan kommentelők nem válogatják meg szavaikat. Az egyébként nagyjából “vihar egy pohár vízben”-ügynek is beillő Maradona szereplés mellett a nyugat-szaharaiak ügye azért sem áll mostanában túl jól, mert Marokkó 1984-es kilépése után bejelentette, hogy ismét kéri felvételét az Afrikai Unió szervezetébe, ahonnan azután lépett ki, hogy az AU elismerte Nyugat-Szahara létét, mint állam. A visszavételéért több afrikai országban is kampányoló Marokkó szerint a múltat már el kell felejteni és végre a közös afrikai érdekek mellett kell tovább dolgozni, míg a Nyugat-Szahara függetlenségéért küzdő Polisario Front szerint Marokkót nem lehet visszavenni az AU-ba, hiszen a szervezet egyik alaptétele a gyarmatosítás elleni küzdelem – Rabat pedig a Polisario szerint az utolsó afrikai gyarmatosító.

twitter.com/napiafrika

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Categories: Afrika

Vote for BBC African Footballer of the Year 2016

BBC Africa - Sat, 12/11/2016 - 19:51
Pick your winner from Pierre-Emerick Aubameyang, Andre Ayew, Riyad Mahrez, Sadio Mane and Yaya Toure.
Categories: Africa

Vote Aubameyang

BBC Africa - Sat, 12/11/2016 - 19:46
BBC Sport profiles Gabon and Borussia Dortmund forward Pierre-Emerick Aubameyang, a nominee for the 2016 BBC African Footballer of the Year award.
Categories: Africa

2016 BBC African Footballer of the Year: Andre Ayew profile

BBC Africa - Sat, 12/11/2016 - 19:39
BBC Sport profiles Ghana and West Ham forward Andre Ayew, a nominee for the 2016 BBC African Footballer of the Year award.
Categories: Africa

2016 BBC African Footballer of the Year: Riyad Mahrez profile

BBC Africa - Sat, 12/11/2016 - 19:35
BBC Sport profiles Algeria and Leicester forward Riyad Mahrez, a nominee for the 2016 BBC African Footballer of the Year award.
Categories: Africa

Két köbméter tűzifa – Bukarest 1987

Balkáni Mozaik Blog - Sat, 12/11/2016 - 18:54

Hallgattam ma a híreket, bemondták, hogy a kisfalvakban a szociálisan rászorultak kaphatnak két köbméter tűzifát. És mi jutott eszembe? A bukaresti tél, amikor mi, nagyon nem szociális rászorultként, nem kevés pénzért kaptunk két köbméter tűzifát.

1986 telén még csak kapkodtuk a fejünket, viszonylag friss kiküldöttként próbáltunk berendezkedni, megtanulni a romániai életet.

Nagyon szép, nagypolgári lakásunk volt, központi fűtéssel, a kis, kétemeletes háznak saját gázkazánja volt a pincében. A lakás dísze volt a kandalló, a kéményét azonban az elődünk befalaztatta a hideg miatt. Először, tapasztalat híján sajnáltuk, mert a filmekben látottak alapján, elképzeltük, milyen szép lenne a kandallóban lobogó tűz! 

A hálószobában lévő cserépkályha egy cseppet sem dobott fel minket, a lakás tartozékának, de nem használandó tárgynak tekintettük.Engem gyerekkoromra emlékeztetett, amikor a körúton a kapuban kellett állnom és strigulázni, hány kosár német brikettet és fát hordanak be a pincénkbe a szenesek. Segítettem felhozni tüzelőt, de szeretni nem szerettem, mert féltem lent a pincében. Később modernizáltunk, és apukám bevezettette a gázt a cserépkályhába. Szerettem nekidőlni, jó meleget adott, és langyos volt még reggel is.

Mi már hozzászoktunk a kényelemhez, a cserépkályhát csak szobadísznek vettük, és úgy gondoltuk, hogy a kandallót is tulajdonképpen csak hangulatjavítóként használnánk.

Aztán beköszöntött az első telünk Bukarestben, és megtanultuk, hogy hol lakik a jóisten. A városban finoman szólva is akadozott a gázszolgáltatás. Ha volt, az részlegesen, és nagyon rossz hatásfokkal. A hatalmas öntöttvas radiátorokat alig tudta felfűteni, a szép, nagypolgári lakásban 8 fok volt. A fürdőszobát tudtuk megfelelően felmelegíteni, ott jól beöltöztettem a lányomat, mint egy kis eszkimó, úgy feküdt le. Volt persze hősugárzónk, de pont a lakás méreténél fogva, csak a közvetlen közelben adott némi meleget.

A nagykövetség segített a családoknak, kaptunk olajradiátorokat, aminek nagyon örültünk, ám az elektromos hálózat nem bírta, a vezeték kigyulladt a falban, leverte a biztosítékot, nem volt igazi megoldás.

Fagyoskodva telt az első telünk, a másodikra már felkészültünk. Eldöntöttük, hogy kihasználjuk a cserépkályhát, és legalább egy szobában normális meleget csinálunk. Tájékozódtunk és megtudtuk, hogy az ODCD-től, az ottani diplomata ellátótól lehet fát igényelni.

Ezt is tettük. Bementünk az irodába és mondtuk, hogy tűzifát szeretnénk. Nos, nem fogadtak minket kitörő örömmel. Első körben el is utasítottak, de nem hagytuk magunkat. Ismét elmentünk, ismét elmondtuk a kérésünket. Kisebb siker volt, hogy nem egyenesen ráztak le, hanem elküldtek egy városszéli tüzelőanyag telepre.

Kiautóztunk, elmondtuk jövetelünk okát. Beszéltünk már románul, a kommunikáció nagy gondot nem jelentett, de természetesen tudták, hogy külföldiek vagyunk. Az ügyintéző kerek-perec megmondta, hogy nem ad tüzelőt, mert „elvesszük a fát a lakosság elől!”

Na, itt borult el az agyam, már napok óta küzdöttünk ezzel a kérdéssel, végre átverekedtük magunkat a diplomata ellátón és akkor egy tüzépes fogja azt mondani, hogy nem? Azt válaszoltam neki: „nagyon sajnálom, de pillanatnyilag mi is lakosság vagyunk, és addig nem megyünk el, amíg nem kapjuk meg a fát!” Szó szót követett, végül is kaptunk két mázsa fát.

Eljött az idő, meghozták a tüzelőt! Egy teherautó betolatott a ház kis udvarára, és leborított két mázsányi rönk fát! Nem hittem a szememnek! Azt gondoltam, hogy ez valami vicc, direkt minket tüntettek ki vele, de a szomszéd mondta, hogy nincs tévedés, ez a tűzifa!

Summa summárum, végül is jó buli volt felaprítani a fát, és 1987 telén a hálószobát jó melegre felfűteni néhány alkalommal. Mert azért két mázsa tűzifa nem olyan sok, de a semminél mégis sokkal több.

A kárpátok géniusza a nyolcvanas években nagyon elégedett volt magával, hogy az ország államadósságát visszafizették. Hogy azt milyen áron tették, az egyáltalán nem érdekelte. Hogy az emberek milyen méltatlan helyzetben voltak, milyen körülmények között éltek, az stílszerűen, hidegen hagyta. Hogy voltunk olyan lakótelepi lakásban, ahol a szobában körbe ment egy cső, és azon lyukakon át szabadon égett a gáz, ez volt a fűtés! Hogy minden módon igyekeztek meleget csinálni, és a tízemeletes házak ablakain dugták ki a kályhacsöveket. Hogy elektromos fűtőberendezéseket egyáltalán nem lehetett kapni, igaz a hálózat sem bírta volna a működtetésüket. Hogy akinek olyan szerencséje volt, hogy még volt cserépkályhája, az tüzelőanyagot nem kapott bele. Viszont nem volt államadósság!

A sors fintora, hogy a kedves vezetőt egy hideg téli napon, december 21-én zavarták el a hatalomból.


Categories: Nyugat-Balkán

Manuel Valls annonce une probable prolongation de l'état d'urgence

L`Express / Politique - Sat, 12/11/2016 - 18:49
Le Premier ministre a annoncé à la BBC que l'état d'urgence allait sans "doute être prolongé de quelques mois" en janvier, en vue de l'élection présidentielle.
Categories: France

Trump fera-t-il décoller la défense européenne ? Pas sûr…

Bruxelles2 - Sat, 12/11/2016 - 18:30

La première rencontre entre Obama et le nouvel élu Donald Trump a été plus consensuelle que prévue (crédit : US White House)

(BRUXELLES2) L’élection de Donald Trump à la présidence américaine sera-t-il un motif pour les Européens de se ressouder et de trouver des motifs d’agir davantage ensemble, de renforcer la défense et l’industrie européennes ? On peut l’espérer, le souhaiter. Certains le disent et l’expriment. Mais le contraire pourrait tout aussi bien être envisageable et doit être envisagé.

 

Ne me quitte pas…

Les quelques paroles de Donald Trump sur l’OTAN peuvent certes apparaitre comme des propos de campagne. Ils vont susciter de la part des dirigeants européens qui ne tiennent pas à voir l’OTAN diminuer son rôle ni les Américains cesser de s’y investir. Ce n’est donc pas le moment de créer le moindre brin d’incertitude des Européens ou d’alternative possible qui pourrait permettre à Washington d’en tirer parti. Ce mouvement a déjà commencé. Dans plusieurs pays (Belgique, Allemagne…) les dirigeants ne cessent de monter au créneau pour démontrer l’utilité de l’OTAN. Et le secrétaire général de l’OTAN a sonné l’alarme (lire son entretien exclusif à B2 : Une défense européenne, oui mais en complément à l’OTAN). Il va falloir ensuite passer à la caisse…

 

Oui … je paierai davantage

Ce qu’a dit Donald Trump sur la solidarité transatlantique — pas de solidarité sans un effort européen — peut susciter des interprétation diverses. Au premier degré, l’ambition américaine est de quantifier l’effort américain à l’effort européen. C’est ce qu’on appelle le partage des charges. Trump s’inscrit là concrètement dans les pas de ses prédécesseurs (Bush, Obama). Aux Européens de se prendre en charge un peu plus, avec à la clé une augmentation des budgets des dépenses de défense (1) mais aussi une prise de risque plus importante. Un discours qui n’est pas exempt de contradiction côté américain. Car si cette montée en puissance des Européens est souhaitée, les Américains ne souhaitent finalement pas qu’elle soit trop autonome.

Buy American ou je me tire !

Au second degré, le propos de Trump est davantage une attitude de négociateur commercial. La menace de plus assurer l’assistance aux Européens doit être prise comme une volonté de s’assurer de la fidélité des Européens. Et cela marche, à en juger par les déclarations dans les capitales européennes. Elle s’accompagne d’une volonté d’avoir davantage de retour sur investissements, dans le plus pur style du principe « I want my money back ». Autrement dit, si les Américains assurent une partie de la défense, européennes aux Européens de payer plus, en nature au besoin, en achetant… américain. Dans toute cette logique, on est assez loin du renforcement d’une défense européenne autonome…

(Nicolas Gros-Verheyde)

Lire : Trump élu, l’Europe va devoir se bouger les fesses !

(1) L’objectif fixé de dépenser 2% du PIB pour la défense est un objectif idiot. Sans un plan de dépense à l’échelle européenne, il risque d’aboutir à des achats dispersés, un gaspillage d’argent comme il y a eu dans le passé, et ne permettront pas en tant que tel de résoudre les lacunes qui persistent.

Categories: Défense

Idén in memoriam Tóth Károly kapta a Civil-díjat

Hírek.sk (Szlovákia/Felvidék) - Sat, 12/11/2016 - 18:25
ÉRSEKÚJVÁR. Pénteken és szombaton Érsekújvárban zajlott a Szlovákiai Magyarok Kerekasztala éves konferenciája. A civilek ernyőszervezeteként működő Kerekasztal azt tűzte célul, hogy kijelöli a jövőre nézve a szervezet feladatait, irányt ad a minél szélesebb társadalmi együttműködés lehetőségeinek és meghatározza kisebbségi érdekérvényesítés fő céljait. Átadták a Civil Társadalom Fejlesztéséért díjat is, melyet idén in memoriam Tóth Károly, a Fórum Intézet korábbi igazgatója, a Kerekasztal egyik szellemi atyja kapta meg, aki szeptemberben hunyt el.

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