Incroyable mais vrai. Un client d’Ecobank a été braqué ce jeudi, 27 octobre, vers 13 heures, juste après avoir effectué un retrait à l’agence principale de la banque située au quartier du fleuve. Selon les témoignages, l’homme a été blessé par balles au pied par les bandits armés qui ont réussi à prendre la fuite malgré la présence des forces de l’ordre sur place. La somme emportée équivaut à plusieurs millions de F CFA.
La rédaction
© maliactu.net
Un homme a été abattu jeudi après-midi à l’extérieur de l’ambassade des Etats-Unis à Nairobi après avoir blessé au couteau un policier en faction, a-t-on appris de source policière.
« L’homme a été abattu après avoir porté des coups de couteau au policier, à la main », a déclaré à la presse Vitalis Otieno, le chef de la police du quartier de Gigiri, qui abrite l’ambassade des Etats-Unis dans le nord de Nairobi.
Selon le responsable policier, l’homme marchait sur le trottoir lorsqu’il s’est soudainement retourné, s’est dirigé droit vers le policier et a tenté de se saisir de son arme.
Le policier blessé appartient à l’unité paramilitaire de la police kényane, GSU, en charge de sécuriser les abords de l’ambassade.
Une photo circulant sur les réseaux sociaux montre le corps de la victime, un jeune homme visiblement d’origine somalienne, étendu au sol, non loin de l’entrée de la section des visas de l’ambassade des Etats-Unis.
Des enquêteurs kényans étaient à pied d’oeuvre sur place, ainsi que plusieurs membres du Bureau fédéral d’investigation (FBI), selon un photographe de l’AFP sur place.
« L’ambassade des Etats-Unis confirme qu’il y a eu un incident avec des tirs d’arme à feu près de l’ambassade. Aucun personnel de l’ambassade n’a été impliqué », a fait savoir dans un communiqué la représentation diplomatique, qui a invité les journalistes à se rapprocher « des autorités kényanes pour plus de détails ».
Outre l’ambassade des Etats-Unis, le quartier de Gigiri, très sécurisé, abrite également le grand complexe des Nations unies au Kenya.
Un homme a été abattu jeudi après-midi à l’extérieur de l’ambassade des Etats-Unis à Nairobi après avoir blessé au couteau un policier en faction, a-t-on appris de source policière.
« L’homme a été abattu après avoir porté des coups de couteau au policier, à la main », a déclaré à la presse Vitalis Otieno, le chef de la police du quartier de Gigiri, qui abrite l’ambassade des Etats-Unis dans le nord de Nairobi.
Un homme a été abattu jeudi après-midi par la police kényane à l’extérieur de l’ambassade des Etats-Unis à Nairobi, a-t-on appris de source policière.
« L’homme a été abattu après une incident par des policiers chargés de la sécurité de l’ambassade », a indiqué à l’AFP une source policière.
Une photo circulant sur les réseaux sociaux montre le corps de la victime, un jeune homme, étendu au sol, non loin de l’entrée de la section des visas de l’ambassade des Etats-Unis, dans le nord de Nairobi.
Un homme a été abattu jeudi après-midi par la police kényane à l’extérieur de l’ambassade des Etats-Unis à Nairobi, a-t-on appris de source policière.
« L’homme a été abattu après une incident par des policiers chargés de la sécurité de l’ambassade », a indiqué à l’AFP une source policière.
Une photo circulant sur les réseaux sociaux montre le corps de la victime, un jeune homme, étendu au sol, non loin de l’entrée de la section des visas de l’ambassade des Etats-Unis, dans le nord de Nairobi.
La revue de ce jeudi commence par la réunion du C4 sur le coton. La place de pionnier qu’occupe le Mali n’y est pas étrangère. Suivront les résultats obtenus par notre pays dans le Doing business 2016 et les inventions brevetées d’un professeur d’anglais devenu inventeur. La visite de l’Ambassadrice de France au Conseil du District de Bamako viendra compléter la revue de ce 27 octobre 2016.
Diala Thiény Konaté
Un groupuscule jihadiste somalien se revendiquant du groupe Etat Islamique s’est retiré jeudi de la localité de Qandala au Puntland (nord-est), 24 heures après en avoir pris le contrôle, a-t-on appris auprès d’habitants et de source sécuritaire.
« Les combattants ont quitté la localité tôt ce (jeudi) matin mais ils ne sont pas partis très loin », a rapporté à l’AFP Abdiweli Adan, un chef coutumier de la région.
Il a ajouté que le drapeau noir des jihadistes était toujours visible sur le toit d’un bâtiment administratif de ce petit port situé sur le golfe d’Aden, en face des côtes yéménites.
« Des pêcheurs les ont aperçus dans les montagnes avoisinantes », a expliqué M. Adan, ajoutant que les combattants avaient quitté les lieux comme ils étaient arrivés: sans combattre.
Un responsable sécuritaire de la région semi-autonome du Puntland a expliqué à l’AFP que les jihadistes avaient quitté les lieux devant l’imminence de l’arrivée de troupes.
« Le Puntland a dépêché des centaines de forces spéciales pour s’occuper de ces terroristes. Malheureusement, ils ont pris la fuite avant que les troupes n’atteignent » Qandala, a assuré le responsable, Cabdirisak Mohamed, depuis la capitale régionale Bossasso, située à environ 70 km à l’ouest de Qandala, sur la côte.
Selon M. Mohamed, la prise de Qandala, qui soulève des interrogations quant à ses motivations, se résume à « une tentative désespérée d’attirer l’attention ».
Le groupe en question est dirigé par le Somalien Abdulqadir Mumin, un ancien membre des shebab qui a fait défection au profit du groupe Etat islamique en octobre 2015. Jusqu’à présent, il s’était surtout signalé par des vidéos de propagande diffusées sur internet.
Néanmoins, le département d’Etat américain a inscrit Abdulqadir Mumin en août sur la liste des terroristes internationaux, en faisant de facto une cible potentielle d’attaque de drone, une méthode utilisée à plusieurs reprises contre les dirigeants des shebab, le principal groupe jihadiste en Somalie, affilié à Al-Qaïda.
Un commerçant de Qandala, Abdukadir Saïd, a d’ailleurs rapporté le survol de la localité par un aéronef pendant les six heures précédant le départ des jihadistes.
Près de 850.000 personnes sont en état de « grave insécurité alimentaire » à Madagascar après plusieurs années de sécheresse exacerbées par le phénomène climatique El Niño, a indiqué jeudi l’Organisation de l’ONU pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) qui lance une intervention d’urgence dans cette région.
Cette année, la production de maïs dans la région d’Androy au sud du pays a chuté de 80% par rapport à celle de l’an passé qui était déjà en régression. Celle de manioc a reculé de moitié près d’Atsimo-Andrefana, également dans le sud.
Par ailleurs, dans plusieurs régions arides du sud, la production de riz a reculé d’entre 25 à 60% selon un rapport conjoint du Programme alimentaire mondial (PAM) et de la FAO diffusé jeudi.
Globalement, 1,4 million de personnes du sud de Madagascar sont jugées en état d’insécurité alimentaire, dont 850.000 en état de « grave insécurité alimentaire », ce qui signifie « qu’ils ne seront pas en mesure de satisfaire leurs besoins alimentaires et devront compter sur une aide humanitaire d’urgence ».
Dans ce contexte, la FAO va fournir des semences à maturation rapide et résistantes à la sécheresse, ainsi que des légumes-racines (manioc et patates douces) à 170.000 ménages composés de petits exploitants agricoles dans les départements les plus affectés.
Les agriculteurs recevront également des outils et des rations alimentaires supplémentaires pour le bétail.
La production de maïs à Madagascar en 2016 devrait atteindre 316.000 tonnes, en baisse de 19% par rapport à la moyenne générale. La production de manioc devrait tomber à 2,6 millions de tonnes et celle de riz atteindre 3,8 millions de tonnes, soit des baisses respectives de 16% et 5% par rapport à la moyenne des cinq dernières années.
« A ce jour, seuls 3,8 millions des 22 millions de dollars nécessaires pour la mise en oeuvre des interventions d’urgence de la FAO (à Madagascar) ont été sécurisés » avertit le communiqué.
Le gouvernement kényan a ordonné un couvre-feu de deux mois qui entre en vigueur dès jeudi dans le comté de Mandera (nord-est), théâtre mardi d’une attaque meurtrière perpétrée par les islamistes somaliens shebab, a-t-on appris de source officielle.
Le couvre-feu « est effectif du 27 octobre au 27 décembre, de 18H30 à 06H30 », indique le décret signé mercredi par le ministre de l’Intérieur Joseph Nkaissery et rendu public jeudi.
Mardi, une attaque à l’explosif revendiquée par les shebab avait fait 12 morts – 11 hommes et une femme – dans un petit hôtel de Mandera.
Le nord-est du Kenya, frontalier de la Somalie, est confronté depuis environ trois mois à une recrudescence d’attaques attribuées aux shebab.
Mandera avait déjà été touchée le 6 octobre, lorsqu’un commando islamiste avait tué six personnes dans un complexe résidentiel abritant des employés du secteur du bâtiment. Deux postes de police ont également été attaqués dans la région, le 22 septembre à Liboï et en juillet à Diff, dans le comté voisin de Wajir.
Le gouverneur du comté de Mandera, Ali Roba, avait demandé mardi au gouvernement de renforcer la sécurité dans la zone en dépêchant des renforts policiers.
Affiliés à Al-Qaïda, les shebab ont juré la perte du gouvernement somalien, soutenu à bout de bras par la communauté internationale, et protégé par l’Amisom, la force de l’Union africaine.
Depuis son intervention militaire dans le sud de la Somalie en 2011 pour lutter contre les shebab, le Kenya a été la cible de plusieurs attentats meurtriers, notamment ceux du centre commercial Westgate à Nairobi (septembre 2013 – 67 mort) et de l’université de Garissa, dans l’est (avril 2015 – 148 victimes).