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A legjobb fűszerpaprika a szegedi Rubin Szegedi Paprikafeldolgozó Kft.-jé, második helyen a bátyai Szabó Péter végzett, harmadik pedig a bezdáni Kiss család terméke lett, állapította meg a Magyar Gasztronómiai Egyesület fűszerpaprika-tesztje, melyen a magyar paprikafeldolgozás teljes mezőnye képviseltette magát Érsekcsanádon.
« Les chars n’ont plus d’avenir et la Guerre froide est terminée ». Ce type d’argument est généralement avancé quand il s’agit de justifier des coupes budgétaires. Un ancien ministre de la Défense le répétait même à l’envi sur les ondes il y a quelques années alors que les faits démontraient le contraire étant donné que des […]
Cet article Le Royaume-Uni pourrait remplacer ses chars Challenger 2 est apparu en premier sur Zone Militaire.
Comment se caractérise l’environnement sécuritaire régional en Asie ?
La première chose qu’il faut avoir en tête quand on s’interroge sur l’environnement sécuritaire du Japon, c’est le fait qu’il a face à lui un adversaire désigné : la Corée du Nord. Cette dernière dispose de moyens offensifs de grande ampleur contre le Japon puisque les missiles balistiques nord-coréens sont capables de frapper n’importe quel point de l’archipel japonais. On peut ainsi considérer que les décisions qui sont proposées aujourd’hui par le cabinet de Shinzo Abe sont en partie justifiées par cette menace sécuritaire réelle qui, bien évidemment, va de pair avec le caractère instable du régime nord-coréen et donc la possibilité dans le cas d’une escalade de voir ce régime se lancer dans une offensive.
Bien sûr, ce n’est sans doute pas en pensant essentiellement à la Corée du Nord que les milieux conservateurs ont décidé de réinterpréter cette constitution. C’est davantage le référent à la Chine qui est mis en avant ou qui permet d’alimenter cette nouvelle posture stratégique. Le Japon s’inquiète de manière presque tous azimuts de la montée en puissance chinoise. Il s’inquiète également de son déclassement économique et de sa perte d’influence dans la région, notamment face à l’Asie du sud-est où on a vu des offensives fortes de la part de la Chine au cours des deux dernières décennies. Enfin, il s’inquiète de la montée en puissance militaire chinoise. Rappelons que le 3 septembre dernier, la Chine a procédé à cette grande parade militaire dans laquelle elle fait la démonstration de sa force. Dans le même temps, les deux pays sont engagés dans un différend maritime de grande ampleur autour des îles Senkaku et Diaoyu. Nous faisons face à une période très tendue entre les deux pays qui inquiète du côté japonais et peut justifier le fait de renforcer, non seulement ses capacités de défense, mais surtout cette possibilité d’avoir recours aux forces armées de manière à défendre les forces de l’archipel mais aussi les alliés éventuels, en particulier les Etats-Unis, dans le cas d’une confrontation avec un adversaire potentiel.
Dans quelle mesure cette interprétation de la constitution est-elle significative des débats actuels sur la sécurité au Japon ?
Il convient d’abord de rappeler que ce n’est pas la première fois que les Japonais se trouvent divisés sur cette interprétation de la constitution. On peut même estimer que depuis qu’elle est entrée en vigueur après la Seconde Guerre mondiale, sous l’autorité des Etats-Unis, il y a eu de manière assez constante des oppositions entre un mouvement qualifié de pacifiste, très favorable à cette constitution pacifiste et à cet article 9 qui contraint l’emploi de la force sur les théâtres extérieurs, puis de l’autre côté des conservateurs qui eux étaient plus enclin à vouloir permettre au Japon de pouvoir se lancer dans des opérations extérieures. Il n’y a ainsi rien de nouveau. On peut même dire que les débats les plus vifs ne sont pas ceux auxquels on assiste depuis maintenant quelques semaines, avec des manifestations de grande ampleur, qui restent malgré tout inférieures à celles qu’on a pu constater dans les années soixante ou soixante-dix où il y avait des oppositions véritablement sociétales au sein du Japon. Aujourd’hui c’est moins marqué ; on le voit d’ailleurs avec les réactions à cette décision qui a été actée le 18 septembre dernier. Il n’y a pas eu d’énorme mouvement consécutif à cette décision. On a l’impression que les Japonais restent encore dans l’attente. Toutefois, on relève des différences très nettes, non seulement dans l’appréciation qui est à donner de ce rapport du Japon à son environnement sécuritaire mais aussi et surtout des interprétations différentes sur ce que le pays doit incarner comme valeurs et quel doit être le message que le pays doit faire passer à ses voisins et au reste du monde. Ce sont des vieux débats qui font référence aux crimes de l’armée impériale japonaise, à Hiroshima, à un passé qui reste très présent et qui s’invite de manière régulière dans la société japonaise mais que l’on va retrouver aujourd’hui en convergence avec un environnement sécuritaire jugé, à tort ou à raison, instable et potentiellement dangereux.
Quelles sont les réactions régionales de ce changement de la politique de défense japonaise ?
C’est la question la plus importante dans cette nouvelle décision. On relève une possibilité qui semble se confirmer déjà avec l’accueil favorable des Philippines. On semble voir deux camps qui vont progressivement se mettre en place.
D’un côté des pays se montrent inquiets de cette nouvelle posture japonaise et le font savoir en manifestant une hostilité très forte, comme la Chine ou la Corée du Sud. Du fait de leurs différends, ils s’inquiètent de cette nouvelle posture qu’ils estiment potentiellement déstabilisante pour la région. D’autres pays, parce qu’ils entretiennent une rivalité, en particulier avec la Chine, vont accueillir favorablement cette nouvelle prise de position forte de la part de Tokyo tels que les Philippines, sans doute le Viêtnam, dans une moindre mesure Taiwan, et de manière plus large l’Inde qui est engagée depuis plusieurs années dans un dialogue stratégique avec le Japon, soit tous les pays qui s’inquiètent eux aussi pour des raisons qui leurs sont propres de cette montée en puissance chinoise et voient plutôt d’un bon œil le fait que le Japon prenne des responsabilités sur cette question.
Quand on met en perspective cette dimension régionale, on se rend compte que c’est toute une donne qui peut être modifiée et on entre dans une nouvelle forme d’équilibre stratégique dans la région.
Győzött a nép, de a válságból csak kemény munkával lehet kivergődni. Ezt a következtetést vonta le Alekszisz Ciprasz eddigi és vélhetően a leendő görög kormányfő az előrehozott választás eredményének kihirdetése után mondott beszédében. Pártja, a radikális baloldali Sziriza magabiztos, mégis váratlan győzelmet aratott a vasárnapi voksoláson. Ráadásul szinte annyi szavazatot söpört be, mint januárban, csakhogy ezúttal csaknem tíz százalékkal alacsonyabb részvétel mellett. Ez igazi meglepetésnek és bravúrnak számít.
A topolyai Juhász Erzsébet Könyvtár padlástermében pénteken, 2015. szeptember 25-én, 18 órakor előadást tart Fenyvesi Ottó, József Attila díjas magyar költő, író, szerkesztő, képzőművész.
Walid Muallem, Szíria külügyminisztere az RT Arabicnak adott exkluzív interjúban a terrorizmus elleni harc elleni nemzetközi egyesülésre szólította fel a külföldi erőket – írja a Rusvesna. Szavai szerint Oroszország is ezen az állásponton van, az Egyesült Államok vezette nemzetközi koalíció pedig mindez idáig nem hozott eredményt. Az amerikaiak által végrehajtott légicsapások hatástalanok az Iszlám Állam ellen.
Ki ne ismerné Daidalosz és Ikarosz történetét. A görög mítosz szerint Daidalosz egy-egy pár szárnyat készített magának és fiának viasszal összeragasztott tollakból, felrepültek és Ikaroszt elragadta a repülés gyönyöre. Apja intelmei ellenére túl közel repült a naphoz; a viasz megolvadt, a szárnyak szétestek, s az ifjú a tengerbe veszett.
A repülés szabadsága mindenkit megbabonáz. S ha már a repülésnél járunk, a korábban bemutatott feltalálók munkája után ismerkedjünk meg talán a helikopterrel is.
A helikopter felfedezésében komoly érdemei voltak neves magyar tudósainknak. Ismerjük meg közülük Asbóth Oszkárt, teljes nevén Asbóth Oszkár Dezső Vilmost, akinek érdemeiről megoszlott a nyilvánosság véleménye. A mai napig megválaszolatlan a kérdés, hogy tekinthetjük-e nemzetünk tudósát a helikopter kizárólagos feltalálójának? Munkássága mégis jelentős és számottevő.
„Asbóth Oszkár 1891. március 31-én született az Arad melletti Pankotán” – olvashatjuk a Szellemi Tulajdon Nemzeti Hivatal oldalán. (http://www.sztnh.gov.hu/hu/kiadv/ipsz/200504/06-technika-longa.html) Apja erdész volt, de felmenői között akadt egy nagyon tehetséges mérnök: Asbóth Sándor, az 1848–49-es szabadságharc alezredese, Kossuth szárnysegéde, aki az amerikai emigrációban is vele tartott, és a XIX. század ötvenes éveiben tevékenyen vett részt New York városrendezésének tervezésében. Volt a családban egy műegyetemi tanár is, Asbóth Emil. Ezek után meglepő, hogy Asbóth Oszkár nem végzett sem műszaki, sem másmilyen egyetemet. Kizárólag önképzés útján lett repülőgép-konstruktőr. Gyakorlati, kísérletező ember volt. Bár gimnazista kora óta rajongott az akkor még gyerekcipőben járó repülésért, sohasem akart pilóta lenni, saját alkotásait is vállalkozó szellemű barátai próbálták ki. Az ő világát a tervezőasztal és a műhely alkotta, ott érezte jól magát, ott dolgozott fáradhatatlanul.
Fiatal korában elolvasta Verne Hódító Robur című könyvét, melynek hatására ő maga is elkezdett gondolkodni egy repülőszerkezet megépítésén. Így barátja segítségével légcsavart, majd pedig egy gumimotorral hajtott modellt épített. Az első repülési kísérlet félig volt sikeres: a gép egy idő után az orrán landolt. A főiskola ideje alatt gazdag uraktól szeretett volna támogatás kapni, ám reménytelenül. Csak az egyik távoli családtag volt hajlandó támogatni a fiatal tehetséget. Alkatrészeket rendelt, s nekilátott álma megvalósításának. Nem sokkal később gépe a levegőbe emelkedett. Még maga Asbóth is beleült pilótaként, s néhány másodpercig a levegőben is tudta tartani a gépet.
„Sikereire a bécsi katonai parancsnokság azonnal felfigyelt. Az I. világháború kezdetén a császári csapatokhoz került, ahol azonnal kinevezték a Légcsavar Kísérleti Intézet vezetőjének” – írja köteles Viktória 88 magyar találmány című könyvében. Rövid időn belül több mint ezer légcsavart tervezett és szabadalmaztatott.
1916-ban Petróczy István ezredes javaslatára kezdődött meg a helikopter fejlesztése. A folyamatban Kármán Tódor professzor vezette a tervezést, Zsurovecz Vilmos a kivitelezést, Asbóth feladata pedig a szerkezet működéséhez szükséges propeller megtervezése és elkészítése volt. Az első modell, a PKZ–1, 1918-ban készült el. Ennek továbbfejlesztett változata volt a PKZ–2, melynek motorja tovább bírta a megerőltetést, s a szerkezet majdnem 30 percig lebegett csaknem 50 méteres magasságban. Az eredmény minden eddigi csúcsot megdöntött.
Az I. világháború után Asbóth eddigi tapasztalatait összeszedve belefogott az AH típusnévvel jelölt helikopterek tervezésébe. A rengeteg kísérletezés eredményeként megalkotott egy 120 lóerős repülő járművet, mely nagyteljesítményű motorjának köszönhetően helyből fel tudott szállni. Közel 50 méteres magasságot is elért.
Ezeket ismerve tagadhatatlan, hogy a korabeli szerkezetetek a mai helikopterek ősének számítanak. Megalkotásukban – ha nem is kizárólagosan – nagy szerepet játszott Asbóth Oszkár. Érdemei vitathatatlanok.
Gál Adél
Kárpátalja.ma
Angesichts jüngster Entscheidungen der ungarischen Regierung in der Flüchtlingskrise verlangt die liberale ALDE-Fraktion im Europaparlament die Anwendung des berüchtigten Artikel-7-Verfahrens, von prominenten EU-Politikern auch als "nukleare Option" bezeichnet.
Az európai menekültválság megoldáshoz küzdeni kell a válságot kiváltó okok megszüntetéséért, a menekültek hazájában és a környező országokban működő menekülttáborokban is – jelentette ki kedden Berlinben Angela Merkel német kancellár Juha Sipilä finn miniszterelnökkel folytatott megbeszélése után.
Angela Merkel a finn kormányfővel közösen tartott sajtótájékoztatón kiemelte: a menekültek beáramlása Európába “nagyon rendezetlenül” zajlik, ezért szükség van a “rend jeleire”, így az uniós külső határok biztosítására.
Görögország uniós külső határárnak biztosításához pedig elengedhetetlenül szükséges Törökország támogatása – hangsúlyozta a német kancellár.
A menekültválságban “megtanuljuk, hogy az is befolyásolja az életünket, ha valahol máshol történik valami szörnyűség, és ezen nem tudunk változtatni kerítések építésével” – idézte Angela Merkel szavait az AFP hírügynökség.