La cérémonie de remise de lots aux lauréats du baccalauréat et du brevet s'est tenue le mercredi 07 août 2024, à Ouagadougou. Cet événement, initié par le programme O'arrosage, en est à sa deuxième année et vise à récompenser l'excellence académique. Ce sont au total six brillants élèves, dont quatre bacheliers et deux brevetés, qui ont reçu des attestions de félicitations des mains de la directrice générale de Orange Burkina Faso.
La directrice générale a saisi l'opportunité pour exprimer son admiration pour les résultats exceptionnels. « Les notes sont vraiment impressionnantes et je tiens donc à vous féliciter. Orange vous accompagnera toujours. Je voulais aussi encourager et féliciter vos parents car derrière des élèves brillants, il y a toujours le soutien de la famille », a déclaré Nafy Coulibaly/Silué.
En signe de reconnaissance de son excellent travail, elle a offert un ordinateur portable au premier national du baccalauréat, Abdoul Tarnagda, qui a obtenu la moyenne de 19,31 / 20 en série D. Il n'a pas manqué d'exprimer sa gratitude envers Orange pour la récompense inattendue mais appréciée.
« Les notes sont vraiment impressionnantes et je tiens donc à vous féliciter. Orange vous accompagnera toujours », a indiqué la directrice générale de Orange Burkina Faso, Nafy Coulibaly/Silué.Parmi les lauréats, Latifatou Bougma, bachelière avec une moyenne de 17,88 en série C, a partagé sa joie et son honneur d'être reconnue par Orange. « C'est un honneur pour moi d'être reçue aujourd'hui par Orange car cela montre vraiment qu'ils sont préoccupés par notre travail et ils reconnaissent le travail que nous avons abattu durant l'année scolaire car ce n'est pas toujours facile. Je suis très heureuse et honorée », a laissé entendre celle qui aspire à devenir architecte.
Latifatou Bougma, bachelière, avec une moyenne de 17,88 en série C, aspire à devenir architecte« J'ai réussi au BEPC avec une moyenne de 18,22. Je suis fière de mon travail et en même temps c'est un challenge que Orange nous lance à chercher l'excellence et à mieux faire. J'aimerai faire la série C pour être neurologue », a aussi déclaré pour sa part Emile Paré, un des lauréats.
Pour le nouveau breveté, Emile Paré, « c'est un challenge que Orange nous lance à chercher l'excellence et à mieux faire. »Le directeur marketing et communication de Orange Burkina Faso a rappelé l'importance de célébrer les talents ; célébration qui se fait au sein de Orange Burkina Fao grâce au programme O'arrosage. « Comme vous le savez Orange a mis en place depuis 2023 un programme de célébration des talents qui s'appelle O'arrosage, qui permet de célébrer les élèves qui ont obtenu les meilleures moyennes au BEPC et au BAC. Cette année, nous avons voulu faire différemment. Plutôt que d'être sur la célébration uniquement sur un site, nous avons voulu quand même que les meilleurs de chaque examen puissent rencontrer la directrice générale », a indiqué Le directeur marketing et communication de Orange Burkina Faso, Assimi Diero. Il espère que cette rencontre pourra inspirer les jeunes et les préparer à prendre la relève dans les entreprises burkinabè.
Le secrétaire exécutif de la Fondation Orange Burkina Faso Ibrahim Héma a, dans son allocution adressé ses félicitations aux lauréats dans un premier temps, puis leur a rappelé l'existence du fonds d'aide mis en place depuis 2019, qui a soutenu plus de 256 étudiants. Ce fonds offre des bourses totales ou partielles pour les étudiants poursuivant des études dans des domaines innovants.
Les six lauréats ont reçu, en plus des kits scolaires, des attestations symboliques qu'ils garderont comme souvenir de leur réussite académique. Après la cérémonie de célébration des lauréats du brevet, celle du baccalauréat se poursuivra cette semaine pour honorer davantage ces jeunes talents.
Hanifa Koussoubé
Lefaso.net
Dans un communiqué publié ce mardi 13 août 2024 sur sa page Facebook, la Police nationale annonce la saisie de 9720 cartouches de produits chichas expirés et de la drogue à Bobo-Dioulasso.
En effet, selon ledit communiqué, courant juillet 2024, le Service Régional de la Police Judiciaire (SRPJ) des Hauts-Bassins basé à Bobo-Dioulasso a, dans le cadre de ses missions régaliennes de sécurisation et de lutte contre la criminalité et le trafic illicite, mené plusieurs opérations à l'intérieur et hors de la ville de Bobo-Dioulasso.
Ainsi, sur la base des investigations menées et grâce à la collaboration des populations, les enquêteurs ont pu localiser un magasin clandestin à l'intérieur même de la ville dans lequel étaient stockés huit cent dix (810) cartons de produits chichas expirés, soit 9720 cartouches, rentrés illégalement sur le territoire burkinabè via les sociétés de transport en commun.
Relativement aux différentes autres missions menées, notamment sur des axes et pistes réputés criminogènes et servant de passage pour des trafiquants, une vingtaine de plaquettes de cannabis, abandonnée par des trafiquants dans leur fuite a été saisie. Une autre saisie de cannabis a été réalisée des mains de femmes de nationalité étrangère. Lesdites plaquettes étaient soigneusement enfouies dans leurs sacs. En effet, le mode opératoire de ces dames consistait à se rendre dans un pays voisin d'où elles s'approvisionnaient en drogue. Cette drogue était soigneusement cachée dans des sacs à main et des sacs d'effets d'habillement. Elles empruntaient par la suite les véhicules de transport en commun pour se rendre dans leur pays d'origine en transitant par Bobo-Dioulasso où une partie était écoulée sur place par leurs complices.
Il est à noter que la valeur globale de l'ensemble de toutes ces saisies s'élève à plus de 90.000.000 FCFA.
La Police Nationale réitère ses remerciements à l'ensemble des citoyens qui œuvrent au quotidien aux côtés des Forces de sécurité pour combattre l'insécurité sous toutes ses formes. Elle les exhorte à toujours demeurer vigilants et à continuer de dénoncer les cas suspects aux numéros verts que sont les 17, 16 et 1010.
La Police Nationale, une force publique au service des citoyens !
Lefaso.net
Source : Page Facebook de la Police nationale
Le 12 août, le commandant en chef des forces ukrainiennes, le général Oleksandr Syrskyi, a assuré que ses troupes contrôlaient désormais 1000 km² de territoire russe, une semaine après avoir lancé une offensive dans la région de Koursk. Soit deux fois plus que les chiffres avancés par Moscou, où l’on a admis que 28 localités...
Cet article Londres n’a pas autorisé Kiev à utiliser des missiles de croisière Storm Shadow pour son offensive à Koursk est apparu en premier sur Zone Militaire.
Le prix du ciment gris a baissé à Mbuji-Mayi. Vendu autrefois à 30 USD le sac, il se négocie actuellement entre 22 et 23 USD.
Les importateurs parlent de l’abondance du ciment gris sur le marché de Mbuji-Mayi, pendant cette période de saison sèche.
Plusieurs dépôts de Mbuji-Mayi sont inondés de sacs de ciment gris qui proviennent soit de Kinshasa, soit de Likasi dans le Haut-Katanga ou encore de Kolwezi dans la province de Lualaba.
Le Ministère de l'Urbanisme et de l'Habitat a organisé un atelier national de validation de l'avant-projet de loi sur la profession d'architecte, ce mardi 13 août 2024, à Ouagadougou.
L'exercice de la profession d'architecte est régi actuellement au Burkina Faso, par la Zatu n°ANVIII0031/PF/PRES du 28 mars 1991 portant création et réglementation de l'Ordre des Architectes du Burkina Faso. Après trois décennies d'application, les pratiques de l'art ont évolué et le nombre de personnes intéressées par la profession s'est accru. Depuis 2013, il est intervenu la Directive n°01/2013/CM/UEMOA du 26 septembre 2013 relative à l'harmonisation des règles régissant la profession d'architecte au sein de l'UEMOA.
Celle-ci consacre des droits et obligations qui doivent être pris en compte dans le dispositif législatif et règlementaire du Burkina Faso. Ce sont ces arguments avancés par le Ministre de l'Urbanisme et de l'Habitat, Mikaïlou Sidibé pour justifier la nécessité d'élaborer l'avant-projet de loi sur la profession d'architecte afin de définir des règles en vue d'une meilleure organisation de ladite profession.
Il a fait comprendre que l'avant-projet de loi soumis pour examen à cet atelier, comporte des innovations majeures. Du point de vue de la forme, le ministre a parlé de l'actualisation de la nomenclature qui se caractérise par l'abandon de l'appellation « Zatu » au profit de celle de loi, pour se conformer aux vocables classiques de loi avec le passage à la 4e République et l'érection d'une Assemblée législative suivant la Constitution de 1992 et la transposition de la Directive du 26 septembre 2013 relative à l'harmonisation des règles régissant la profession d'architecte au sein de l'UEMOA.
Les participants à l'atelier de validation de l'avant-projet de loi sur la profession d'architecteDu point de vue du fond, Mikaïlou Sidibé a souligné que l'avant-projet de loi sur la profession d'architecte institue désormais un stage pratique obligatoire en vue de l'inscription au Tableau de l'Ordre des architectes, un recours obligatoire à l'architecte pour certains travaux de construction, l'assistance architecturale en cas de force majeure, une chambre de discipline permanente contrairement aux dispositions de la « Zatu » actuelle, laquelle prévoit un organe de discipline installé chaque fois que de besoin, des incompatibilités et des interdictions à la charge de l'architecte, des sanctions pénales, notamment les amendes et les peines privatives de liberté.
Le Ministre de l'Urbanisme et de l'Habitat, Mikaïlou Sidibé « La validation de cet avant-projet de loi représente une opportunité unique pour nous de renforcer la profession d'architecte »« La validation de cet avant-projet de loi représente une opportunité unique pour nous de renforcer la profession d'architecte. La nouvelle loi, en élaboration, permettra de valoriser les compétences locales et de promouvoir l'excellence dans la conception et la construction de nos bâtiments », a déclaré le Ministre de l'Urbanisme et de l'Habitat. C'est pourquoi, il a exhorté les participants à cet atelier, à engager des échanges constructifs et à apporter des contributions de manière active et éclairée. « Vos avis et suggestions sont attendus pour finaliser un texte législatif qui soit à la hauteur de nos attentes et des défis que nous devons relever », a soutenu M. Sidibé.
Sosthène NIKIEMA
Des équipes de l’Agence nationale de l'électrification et des services énergétiques en milieux rural et péri urbain (ANSER) sont déjà à Kananga (Kasaï-Central) pour reprendre à main sur le projet de Mbombo, qu’elles comptent finaliser dans deux ans.
Die Stabilisierung der ukrainischen Energieinfrastruktur, der Wiederaufbau im Irak nach den Zerstörungen von Da‘esh, oder die Unterstützung der UN-Vermittlungsarbeit im Jemen: Deutschland finanziert weltweit Projekte ziviler Konfliktbearbeitung. Spätestens seit dem spektakulären Scheitern in Afghanistan und Mali ist allseits bekannt, dass diese Friedensarbeit schwierig ist. Doch sie trägt ebenso wie die angestrebte Vollausrüstung der Bundeswehr zur Sicherheit Deutschlands bei.
Dennoch setzt die Bundesregierung nun die haushaltspolitische Axt an diese Arbeit. Bereits im Haushalt 2024 kürzte sie die dafür vorgesehenen Mittel des Auswärtigen Amtes (AA) und des Bundesministeriums für wirtschaftliche Zusammenarbeit und Entwicklung (BMZ): allein 29% im entsprechenden Titel im AA. Der Kabinettsbeschluss vom 17. Juli 2024 sieht erneute massive Streichungen für das kommende Jahr vor: weitere 18% im genannten AA-Titel, 38% bei der Krisenbewältigung im BMZ, sowie über 50% im Bereich humanitäre Hilfe, die oft in Konfliktregionen eingesetzt wird. Diese Kürzungen fallen überproportional stark aus, weil die meisten anderen Titel des AA und BMZ nicht kurzfristig angepasst werden können.
Gleichzeitig überarbeiten die Ressorts derzeit turnusgemäß das strategische Grundlagendokument in diesem Bereich, die Leitlinien »Krisen verhindern, Konflikte bewältigen, Frieden fördern« von 2017. Die Leitlinien stellen das staatliche Handeln unter ein Friedensleitbild und nennen grundlegende Handelsprinzipien, Ziele, Instrumente und Aufgabenfelder für die zivile Konfliktbearbeitung im Ausland. Die Bundesregierung muss sich fragen, ob sie weiterhin die Vermeidung von Krieg und Gewalt als „deutsche Staatsraison“ bezeichnen kann (O-Ton Leitlinien), wenn sie Mittel dafür in so hohem Maße zusammenstreicht.
Zivile Ansätze sind gerade in angespannten Zeiten gefragtDie Welt, in der wir leben, wird unsicherer. Es gibt es derzeit so viele bewaffnete Konflikte wie nie seit dem Ende des Zweiten Weltkriegs. Die sich immer mehr beschleunigende Klimakrise heizt Ressourcenkonflikte an. Transaktional agierende Mittelmächte wie die Türkei und die Vereinigten Arabischen Emiraten prägen eine Weltordnung im Wandel, indem sie etwa in Afrika Waffen und Drohnen an Konfliktakteure liefern. Die neo-imperiale Aggression Russlands ist ungezügelt.
Deutschland kann es sich daher schlichtweg nicht leisten, weniger in Prävention, Diplomatie und Friedensförderung zu investieren.
Bereits jetzt kann sich Deutschland weniger als bisher auf die multilateralen Organisationen und Alliierten verlassen, denen es in der Vergangenheit weitgehend die Führungsrolle zugesprochen hat. Zudem haben diese Partner immer wieder, aus deutscher (und lokaler) Sicht, problematische Schwerpunkte gesetzt, wie die USA in Afghanistan, Frankreich in Mali oder die Afrikanische Union in Sudan. Die Europäische Union unterstützt einerseits zivilgesellschaftliche Friedensbemühungen und andererseits die Migrationsabwehr autoritärer Staaten wie Libyen, Tunesien und Ägypten, welche Geflüchtete misshandeln und zurück in Konfliktgebiete wie Sudan schicken.
Es braucht politische Führung und DemutGeld allein reicht daher nicht. Deutschland sollte auch mehr prinzipiengeleitete Führung zeigen. In jedem Konflikt, ob in der Ukraine oder in Sudan, sind vor allem politische Strategien gefragt. Um diese auszuarbeiten, abzustimmen und umzusetzen braucht es jedoch das entsprechende Personal, belastbare Koordinationsmechanismen und die Nachfrage der jeweiligen Hausspitze. Der Bundestag sollte sowohl in den Haushaltsberatungen nachsteuern als auch die Entwicklung eines stärker abgestimmten Vorgehens der Ressorts einfordern.
Die Leitlinien hingegen sollten noch stärker die Grenzen deutscher Handlungsmöglichkeiten sowie postkoloniale Perspektiven anerkennen. Zielkonflikte sind der Normallfall in der Konfliktbearbeitung, sie können nicht ohne Weiteres aufgelöst werden. Wie mit ihnen umzugehen ist, sollten primär Akteure vor Ort entscheiden, die mit den Folgen von Krieg, Armut und Repression leben. In einer Zeit, in der das Zusammenleben auch in Deutschland und Europa spannungsgeladener wird, können wir noch Einiges von Gesellschaften lernen, die schon länger mit Polarisierung, Desinformation und Radikalisierung kämpfen.
Die Abteilung Makroökonomie des Deutschen Instituts für Wirtschaftsforschung (DIW Berlin) sucht zum 01.10.2024 eine studentische Hilfskraft (w/m/div) (für 10 Wochenstunden).
Le Centre d'information et de documentations citoyennes (CIDOC) organise du 12 au 13 août 2024, à Ouagadougou, une session de dialogue citoyen sur la situation des Droits économiques, sociaux et culturels au Burkina Faso (DESC), au profit d'OSC, d'hommes de médias mais aussi de professionnels du droit. Ce cadre permettra de réfléchir et d'échanger sur la problématique de la réalisation des DESC au Burkina Faso afin de renforcer le mécanisme de participation citoyenne existant.
Cette activité du Centre d'information et de documentations citoyennes (CIDOC), s'inscrit dans le cadre du projet "Renforcer l'effectivité du droit de contrôle citoyen de l'action publique (CCAP) relative aux droits économiques, sociaux et culturels (DESC) comme moyen de résilience démocratique au Burkina Faso (CCAP-DESC)". Il s'agira, au cours de ce dialogue, d'harmoniser les compréhensions des contenus normatifs des DESC et de la nature de l'action publique pour la matérialisation des obligations découlant de ces droits. Il sera aussi question d'analyser les progrès réalisés par le gouvernement dans la mise en œuvre de ses obligations en matière de DESC, et d'identifier les principaux défis et obstacles à la pleine jouissance des DESC par les citoyens ; d'évaluer la portée et les limites de l'exercice du droit de contrôle citoyen de l'action publique relative aux DESC. L'objectif global du projet est de contribuer à rendre effectif l'exercice du droit de contrôle citoyen de l'action publique (CCAP) relatives aux droits humains et plus particulièrement aux droits économiques, sociaux et culturels.
Le projet CCAP-DESC est implémenté par le CIDOC depuis février 2024 avec l'appui de l'Unité d'appui technique (UAT) du projet Promotion des droits humains, de la paix et de la cohésion sociale (DHPCS 2021-2025). Le coordonnateur du CIDOC a indiqué que dans le cadre de la mise en œuvre de ce projet, afin de mieux apprécier le mécanisme au Burkina Faso, une évaluation de base a été effectuée sur la situation des DESC et les mécanismes de suivi de citoyens dans leur réalisation au Burkina Faso. Cette analyse a été menée sur l'ensemble des treize régions du pays, foi du coordonnateur du CIDOC.
Il ressort de cette enquête que malgré les efforts de l'État en matière de renforcement de son cadre législatif et institutionnel pour se conformer à ses obligations internationales en matière de DESC, ces droits restent peu connus par les populations. La majorité de la population enquêtée dit ne pas avoir connaissance d'un ou de plusieurs mécanismes permettant aux citoyens de surveiller la réalisation des DESC au Burkina Faso. C'est pourquoi les recommandations qui seront issues de cette rencontre sont très attendues. Selon le coordonnateur, elles permettront d'enrichir les résultats provisoires de l'évaluation de base de la situation des DESC au Burkina Faso. Elles faciliteront, sans aucun doute, l'opérationnalisation du mécanisme CCAP-DESC.
Le CIDOC, dans le cadre de ce projet, travaille étroitement avec la Commission nationale des droits humains (CNDH) dans la mise en place de l'opérationnalisation du mécanisme CCAP-DES. Le représentant du CNDH, Daniel Nikièma, a révélé que le partenariat entre les deux structures est fondé sur une vision commune : celle de renforcer les droits humains, en particulier les droits économiques, sociaux et culturels, au bénéfice de toute la population burkinabè. M. Nikièma a également rappelé que la CNDH accompagnera le CIDOC pour la mise en œuvre effective du projet, mais aussi pour veiller à sa pérennité. « Le CNDH s'engage à jouer pleinement son rôle, dans le cadre de ce partenariat, en apportant son expertise, en facilitant le dialogue entre les différentes parties prenantes, et en veillant à ce que les recommandations issues de ce projet soient effectivement prises en compte dans l'élaboration des politiques publiques », a-t-il réitéré.
Obissa Juste Mien
Lefaso.net
Maluku est l’une des communes la ville de Kinshasa, frontalière avec le Congo-Brazzaville. Cependant, elle peine à sortir des difficultés qu’elle rencontre.Parmi ces difficultés, l’insécurité due aux tracasseries policières et le manque de transport viennent en-tête.
Tracasseries