Earlier this month, on 7 September, it was announced that the United Kingdom finally joined the European research programme “HORIZON” again.
That’s right. The UK becomes the seventeenth non-EU member state country to be associated to the EU’s flagship funding programme for research and innovation, alongside countries like Israel, Norway, Türkiye, Tunisia and Ukraine. With negotiations either finalised or ongoing with New Zealand, South Korea, Canada and Morocco amongst others, the UK’s research institutions and researchers are being plugged back into the world’s largest research programme.
So that puts an end to an uncertainty which lasted three years.
It’s because the UK’s continued association post-EU membership got entangled in the politics of Brexit.
Participation in Union Programmes was negotiated in 2020 as part of the future UK-EU relationship and included in the “TCA”, the “Trade and Cooperation Agreement”. It was not a sticking point during the negotiations. But whilst the terms of participation were agreed in the TCA, the details were not adopted because the EU only agreed in December 2020 on its Multiannual Financial Framework, and had not yet finalised the programme’s legal framework. Instead, two draft protocols were part of a Declaration attached to the TCA in which both parties stated their ‘ambition that UK entities would be able to participate from the beginning of the programmes’.
But that was not the case.
No. When in March 2021, the UK government announced the extension of grace periods under the Protocol on Ireland and Northern Ireland, in a unilateral move and without first informing its European counterpart via the governance structures of the Withdrawal Agreement, levels of trust between the EU and the UK reached a new low point. The EU looked for ways to apply pressure. It took the decision to halt progress on finalising the provisions for association to Union programmes, in spite of its own interests. Indeed, not only were UK research institutions major partners for EU-based institutes, but fragmenting research capacity also goes against the very purpose and principles of Horizon Europe.
Nevertheless, to ensure continuity and avoid uncertainty, UK research institutions and researchers were able to apply to the first calls under Horizon Europe. Furthermore, the UK government launched the Horizon Europe Guarantee in November 2021 to plug the gap in funding for successful bids in the first wave of calls.
Did the famous Windsor Framework, signed earlier this year, have an impact on the situation?
It certainly broke the deadlock in EU-UK relations, also paving the way for a resolution on the UK’s association to Union Programmes. But it took another six months.
Once again, the politics of Brexit threatened to derail finalising the UK’s participation in Union programmes.
In April, just as discussions had resumed, the UK government published its provisions for an alternative to the UK’s association to Horizon Europe, the so-called Pioneer Prospectus. With the UK concerned to secure ‘value-for-money’, Brussels was getting weary over the UK’s perceived attempts to renegotiate terms agreed in the TCA. In July 2023, amid rumours that a deal with the EU had been agreed, Rishi Sunak delayed his decision further, weighing the pros and cons of the UK’s alternative. Had the Pioneer Prospectus been rolled out, it would have set the UK on a different path and made association to the EU programme less likely.
So what does this all mean concretely?
The UK joins Horizon Europe and the Copernicus Programme. It will have access to EU Space Surveillance and Tracking services. UK researchers will be able to access Horizon Europe funding from 2024 work programmes and onwards until 2027. They will be hoping that by then, UK-EU relations will have further normalised, avoiding any future prospect of a repeat of the delays and uncertainty of the past two and a half years.
Interview conducted Laurence Aubron
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À l'issue du tirage au sort de la Coupe d'Afrique des Nations effectué ce jeudi 12 octobre 2023, le Burkina Faso se retrouve dans le groupe D en compagnie de l'Angola, de la Mauritanie et de l'Algérie.
Le sélectionneur national Hubert Velud a réagi à propos de ce tirage au micro de la cellule communication de la fédération burkinabè de football (FBF). Et pour lui, il s'agit d'un groupe équilibré et le Burkina Faso a ses chances de qualification.
"En ce qui concerne l'appréciation du groupe D, je dirai que c'est un groupe relativement équilibré. L'Algérie peut être considéré comme le principal favori. Après, c'est une équipe que je connais bien et cela peut nous aider. Les deux autres adversaires, la Mauritanie et l'Angola sont de valeur mais je dirai que nous avons notre chance dans le groupe, c'est sûr ! Cependant on ne doit sous-estimer aucun adversaire", confie-t-il
Est-ce que ça va se jouer entre l'Algérie et le Burkina Faso dans ce groupe ? À cette question, le coach des Étalons relativise.
« On peut le dire peut-être très légèrement mais pas de façon catégorique. Parce que je le répète, la Mauritanie et l'Angola ont des arguments. Mais nous avons une vraie chance dans ce groupe basé à Bouaké, pas loin de nous et il faut la saisir. Évidemment à comparer à certains groupes, on ne peut pas se plaindre de ce tirage. Le groupe est très homogène. Il n'y a pas d'équipe faible mais nous avons notre mot à dire », a-t-il déclaré.
De son côté, le Président de la fédération burkinabè de football a assuré que le match amical entre le Burkina Faso et la Mauritanie, prévu le 17 octobre 2023 à Casablanca au Maroc est maintenu.
Mamadou Zongo
Lefaso.net
Déjà en place dans quatre pays européens (Autriche, Allemagne, Espagne, Portugal), ce ticket donnant accès aux transports en commun de manière illimitée va-t-il faire son entrée en France ? La députée européenne Karima Delli soutient ce projet.
Début septembre, le ministre délégué aux Transports Clément Beaune évoquait l’entrée en vigueur d’un nouveau Pass rail à l’été 2024, en indiquant un prix attractif de 49 euros par mois. Les discussions entre l’Etat et les les Régions françaises sont aujourd’hui en cours pour préciser le financement d’un tel dispositif.
À LIRE AUSSIMobilités durables : quel avenir pour le train en Europe ?Karima Delli, présidente de la commission Transports au Parlement européen, fait partie de ses plus fervents soutiens. Celui-ci permettrait de réduire les émissions de CO2, à condition d’y mettre le prix, qu’elle évalue à 3 milliards d’euros. L’objectif : que le plus grand nombre de Français y ait accès.
Comment fonctionne ce Pass rail ? Sera-t-il un jour proposé dans l’ensemble de l’Union européenne ? Les réponses de Karima Delli en vidéo.
À LIRE AUSSIQu’est-ce que le Pacte vert pour l’Europe ?À LIRE AUSSILa politique européenne des transports en 3 minutesL’article [Vidéo] Karima Delli : “Avec un Pass rail, on peut voyager partout en France pour 49 € par mois” est apparu en premier sur Touteleurope.eu.
Alors que les partis désignent peu à peu leur tête de liste pour mener la campagne électorale, les premiers sondages sur les élections européennes commencent à affleurer. D’ici le scrutin, prévu le 9 juin 2024 en France métropolitaine, ces études d’opinion vont se multiplier et devenir la source de satisfactions, d’inquiétudes, d’espoirs et de mécontentements pour les candidats et les militants engagés dans cette campagne.
À LIRE AUSSIElections européennes 2024 : les candidats têtes de liste en FrancePour mieux s’y retrouver parmi les dizaines de sondages sur les intentions de vote des Français lors des élections européennes qui vont se succéder, nous vous proposons cet agrégateur de sondages. Il permet de visualiser plus finement l’évolution des intentions de vote des Français, de sondage en sondage, jusqu’à la date du scrutin.
Notre méthodologieLes listes présentes sur cette infographie sont celles qui sont testées dans la majorité des études d’opinion des instituts de sondage concernant les élections européennes de 2024. A chaque liste est attribuée une courbe. Celle-ci est obtenue par “rolling” : elle suit la moyenne des trois derniers sondages en date et évolue donc à chaque nouvelle étude d’opinion publiée. Concrètement, si un parti a obtenu 24 % puis 25 % d’intentions de vote lors des deux derniers sondages et qu’un nouveau sondage le place à 29 %, sa courbe d’évolution se situera désormais à hauteur de 26 %, ce qui équivaut à la moyenne des trois sondages.
À LIRE AUSSIElections européennes 2024 : l’essentiel sur le scrutinCette méthode permet de “lisser” les résultats des sondages successifs et d’éviter de trop grandes variations d’une étude d’opinion à l’autre. La tendance des intentions de vote pour chaque parti permet alors d’être observée plus finement, sur le moyen terme et non à plusieurs instants donnés, offrant ainsi une photographie plus large de l’évolution des intentions de vote des Français aux élections européennes du 9 juin 2024. Sur l’infographie, les résultats des différentes listes pour chacun des sondages pris en compte sont consultables sous forme de points, au second plan. Ils peuvent ainsi être comparés avec la courbe d’évolution de la tendance d’intention de vote de chaque liste.
Les listes testées dans les sondages et leurs sigles :
Aut. : Autres partis
DLF : Debout la France
EAC : Ecologie au centre (liste menée par Jean-Marc Governatori)
EELV : Europe Ecologie Les Verts (liste menée par Marie Toussaint)
LFI : La France insoumise
LO : Lutte ouvrière (liste menée par Nathalie Arthaud)
LR : Les Républicains
NPA : Nouveau parti anticapitaliste
PCF : Parti communiste français (liste menée par Léon Deffontaines)
PS - PP : Parti socialiste et Place publique
Re-MoDem-Hor : Renaissance, Mouvement démocrate et Horizons
Rec. : Reconquête ! (liste menée par Marion Maréchal)
RN : Rassemblement national (liste menée par Jordan Bardella)
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