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PAFI - ven, 18/09/2015 - 13:02
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Catégories: Pályázatok

Le major général visite le commandement des forces aériennes

Mercredi 16 septembre 2015, le général Serge Soulet, commandant les forces aériennes, a reçu le général Philippe Adam, major général de l’armée de l’air (MGAA), sur la base aérienne 106 de Bordeaux-Mérignac.
Catégories: Défense

„Gyere velünk egy új jövő felé”

Magyar Szó (Szerbia/Vajdaság) - ven, 18/09/2015 - 12:42

Merőben más kép fogadta a horgosi határátkelőhelyre érkező szemlélődőt tegnap, mint egy nappal korábban. Szerdán a magyar rendőrökkel történt összecsapást követően még érezhető volt a menekülteknél a kitartás, hogy nem mennek innen sehova, tegnap viszont már a nagy többség csomagolt, és elindult a horvát határ felé. Egyetlen félelmük az volt, hogyan tudnak tovább menni, olyan híreket hallottak ugyanis, hogy a szlovén határ zárva van. Volt egy kisebb ülősztrájk is.

L'escadron d’hélicoptères 1/44 «Solenzara» soutient le bataillon de marins-pompiers de Marseille

Le 10 septembre 2015, l’escadron d’hélicoptères (EH) 1/44 «Solenzara» a soutenu le bataillon de marins-pompiers de Marseille lors d’un exercice.
Catégories: Défense

Financer une formation des militaires centrafricains. Ah non quelle horreur…

Bruxelles2 - ven, 18/09/2015 - 12:25

(BRUXELLES2) Certains principes résonnent régulièrement dans les couloirs européens : « l’approche globale », assurer la sécurité dans les pays d’origine des migrations », « former et équiper les armées africaines » (Train & Equip), « faciliter l’appropriation par les forces locales », etc. Dans la réalité, cependant, cela reste de bons mots. L’application des procédures de la façon la plus étroite possible reste de rigueur. . « Ce n’est pas chez moi ».

Une formation non opérationnelle

Le général Laugel, qui commande l’opération EUMAM Rca (Centrafrique), a pu le constater récemment, d’après les informations que B2 a recueillies auprès d’autres sources. La « partie Conseil » de cette mission en bonne voie. Et ses responsables prévoyaient de monter une petite « formation non opérationnelle » pour certains membres des FACA, les forces armées centrafricaines. C’est-à-dire une formation non liée au combat mais davantage à la structure de l’armée, au droit internationale humanitaire… Car — comme nous l’avions déjà raconté — les FACA manquent de tout équipement de formation, voire d’équipements tout courts. Il n’y a pas de chaises, de tables, de tableau. Et, pour bien faire, il faudrait une petite cantine pour nourrir les futurs stagiaires.

La pratique de la défausse

Un projet a donc été mis au point. Budget : 250.000 euros (deux cent cinquante mille ! pas 250 millions…). Résultat : rien pour l’instant ! Tous les dispositifs européens consultés se défaussent… sur le voisin. A chaque fois pour d’excellentes raisons procédurales ou de principe. Lors d’une discussion au sein du mécanisme Athena — le dispositif qui finance les missions de la PSDC – la discussion a ainsi tourné court. Plusieurs Etats membres estimant — à juste titre d’ailleurs — que ce n’était pas le rôle de ce dispositif destiné à financer uniquement certaines dépenses communes d’une opération militaire. A l’instrument de stabilité de l’UE (*), qui est normalement le dispositif financier prévu pour ce type d’action, le résultat est identique : pas de financement possible. L’argumentation différente. Les gestionnaires de l’Instrument arguent de l’article 41.2 du Traité qui interdit de financer des actions militaires.

Commentaire : Cette vision peut être discutée, même juridiquement à l’heure du Traité de Lisbonne (voir encadré), et est surtout très contestable au plan politique. Le principe développé par certains responsables européens est de ne pas financer d’action militaire. La peur d’être impliqué dans des actions de type coup d’Etat (comme au Burkina-Faso) ou de dérapages sur le plan des droits de l’Homme est présente. Sous des dehors de générosité, cette politique est d’une rare hypocrisie. Le budget européen pourrait financer des forces de police, de sécurité, de gardes-frontières, des actions anti-terroristes, le renforcement des frontières… mais pas l’armée. C’est oublier que l’armée est (souvent) garante d’une certaine stabilité de l’Etat dans les pays d’Afrique. Et que la police peut tout autant, sinon plus, que l’armée, à l’origine de cas de violences (cf. Burundi). C’est oublier que l’UE paie l’engagement des militaires des armées africaines ou somalienne dans des combats en Somalie au titre de l’Union africaine (et de l’ONU) mais ne peut pas payer du matériel nécessaire à la formation d’une autre armée. C’est plutôt contradictoire.

Il serait temps d’enlever des oeillères absurdes et de mettre au point une politique lisible et claire. Si on veut une certaine stabilité, éviter des Etats faillis, cela passe par une police et une armée démocratiques qui doivent recevoir un soutien, y compris financier. Il serait temps également de mettre fin à la politique de « silos » — dénoncée d’ailleurs par plusieurs hauts responsables européens (de la Commission comme du Parlement européen) — et de mettre les actes en phase avec les grandes orientations politiques définis par les « 28 ».

(Nicolas Gros-Verheyde)

L’interdiction du financement communautaire

L’article 41.2 du traité prévoit que « Les dépenses opérationnelles entraînées par la mise en œuvre du présent chapitre sont également à la charge du budget de l’Union, à l’exception des dépenses afférentes à des opérations ayant des implications militaires ou dans le domaine de la défense et des cas où le Conseil en décide autrement à l’unanimité. » Comme son nom l’indique, cette interdiction de financement communautaire ne concerne d’une part que les « opérations militaires ou de défense » et d’autre part que  le chapitre 2 du titre V du Traité sur l’Union européenne, concernant la « Politique étrangère et de sécurité commune ». Ce n’est plus une exclusion générale du fait de la fusion opérée par le Traité de Lisbonne entre les différents piliers. Elle ne s’applique donc pas, par exemple, aux articles 209 et 212 sur lequel se base l’instrument de stabilité.

(1) Cet outil, dépendant de la Commission européenne est géré par le service des instruments extérieurs (FPI) et mis à disposition du Service européen d’action extérieure. Il est normalement placé sous l’autorité de Federica Mogherini mais dans sa casquette de vice-président de la Commission européenne plutôt que de Haut représentant.

Catégories: Défense

Fin du Printemps africain au Burkina Faso ?

IRIS - ven, 18/09/2015 - 12:15

Fin octobre 2014, le mouvement conduit par la jeunesse burkinabée avaient abouti au départ du « président à vie » Blaise Compaoré. À Ouagadougou, la population s’était fortement mobilisée, et l’on estimait que près de 500 000 personnes étaient descendues dans les rues de la capitale. Cette détermination avait fait plier le pouvoir, entraînant l’annulation du projet de modification de la constitution, ainsi que l’incendie du Parlement et de plusieurs bâtiments officiels dont la mairie et le siège du parti dominant à Bobo Dioulasso. Mis sous pression, le président Compaoré, au pouvoir depuis 1987, avait été obligé de démissionner.

Le 16 septembre, soit près d’un an plus tard, le régiment de sécurité présidentielle (RSP) a conduit un véritable coup de force en prenant en otage le président de transition, Michel Kafando, et le Premier ministre Isaac Zida. Dès le lendemain, le coup d’Etat était officialisé avec la dissolution des institutions et la prise du pouvoir par l’ancien chef d’Etat-major du président déchu, Gabriel Diendere. Dans la foulée, les manifestants étaient dispersés par des tirs de sommation et des affrontements qui avaient fait morts et blessés. Alors que la communauté internationale a condamné ce putsch, le couvre-feu a été instauré et les frontières du pays ont été fermées.

Mise en perspective historique

La Haute Volta, devenue Burkina Faso en 1984, avait connu, depuis l’indépendance, une alternance d’élections présidentielles et de coups d’Etat. Blaise Compaoré, jeune capitaine, avait accédé au pouvoir en 1987 après l’assassinat de Thomas Sankara. Avec ce dernier, il avait été à l’origine de la révolution de 1983. Une fois aux affaires, il instaura un régime semi-autoritaire à la tête duquel il conduit deux mandats de sept ans, puis deux de quatre ans. Pour le soutenir dans l’exercice du pouvoir et exécuter les basses besognes, il avait pu compter sur le soutien du RSP (régiment de sécurité présidentielle), une troupe d’élite constituant un véritable « Etat dans l’Etat ».
Depuis1987, la situation semblait toutefois s’être stabilisée, le Burkina Faso, « pays des hommes intègres », étant perçu comme politiquement stable et géré de manière satisfaisante du point de vue économique. Ce pays enclavé, un des plus pauvres de la planète malgré des ressources importantes en or (80% des exportations et 20% du budget) et l’exploitation du coton, présentait une croissance économique de l’ordre de 7% par an et affichait une faible inflation, ainsi qu’un déficit budgétaire et une dette extérieure réduits.

Puissance diplomatique régionale, ce petit pays avait diversifié ses partenaires et établi des liens particuliers avec Taïwan. Il jouait un rôle diplomatique majeur dans la région : il était devenu récemment une pièce importante du dispositif militaire français Barkhane et de la coopération régionale face au djihadisme. Le Burkina Faso avait fait montre jusqu’à présent d’une maturité politique par des actions citoyennes et un jeu politique qui n’était ni ethnicisé, ni lié aux référents religieux. Le régime de Blaise Compaoré s’appuyait sur un parti largement dominant, une armée républicaine (même si en 2011 avait eu lieu une mutinerie de la base contre la hiérarchie) et le rôle des anciens (les bérets rouges, des notables qui donnaient les consignes de vote). Ainsi, pouvait-on observé une combinaison de pouvoirs « traditionnels » – notamment du Mogho Naba, « roi » des Mossis -, de pouvoir militaire occulte du Régiment de sécurité présidentielle (RSP) et de pouvoir légitimé par les urnes.

L’image positive véhiculée par le Burkina Faso cachait évidemment des aspects moins présentables qui restaient présents dans les mémoires : entre autres, citons l’assassinat de Thomas Sankara en 1987, les liens de Blaise Compaoré avec Charles Taylor au Libéria et l’Unita en Angola, le contrôle du trafic d’armes et de diamant, son rôle dans la rébellion du nord de la Côte d’Ivoire, ses relations avec le leader libyen Mouammar Kadhafi ou encore la disparition du journaliste Norbert Zongho.

Blaise Compaoré était à double-face, à la fois pyromane allumant des incendies et incontournable médiateur pour les éteindre. Le « président à vie » excellait à attiser les conflits régionaux et se positionner comme acteur de leur résolution. S’il était, à l’époque de la « France-Afrique », un interlocuteur majeur de fait pour la France, il savait aussi jouer des appuis des Etats-Unis et de Taïwan. Ainsi, dans le système néo-patrimonialiste transnational de Compaoré, les ressources mobilisées dans les alliances et le contrôle de trafics divers avec les acteurs régionaux pouvaient financer le jeu politique interne.

Finalement, Blaise Compaoré avait chuté après avoir voulu modifier la constitution lui permettant de briguer un énième mandat. Il se considérait comme irremplaçable et l’oligarchie politique et les affairistes qui bénéficiaient de son pouvoir risquaient de perdre leurs prébendes [1]. Toutefois, la mobilisation de la rue et des leaders de l’opposition avaient balayé ce projet, laissant place à des affrontements violents entre manifestants et forces de l’ordre qui tiraient à balle réelles. L’annulation du vote n’avait pas pour autant arrêté les mouvements de colère.

Suite à la chute de Compaoré, un gouvernement de transition fut mis en place sous la responsabilité du président par interim Michel Kafando. Isaac Zida, un des chefs du RSP, devenait pour sa part premier ministre. Avec des élections législatives et présidentielles prévues pour le 11 octobre, la transition démocratique semblait bien engagée. Deux mesures, prises récemment ou programmées, ont cependant mis le feu aux poudres : l’impossibilité des membres du CDP ayant accepté le « coup d’Etat constitutionnel » de se présenter aux élections présidentielles et le projet de dissolution du RSP.

Le 17 septembre, le général Diendéré a finalement pris le pouvoir et les manifestations ont fait au moins 1 mort et 60 blessés. Un conseil de transition dénommé Conseil National pour la Démocratie a été mis en place. Aujourd’hui, de nombreuses incertitudes demeurent. Quelle est la position des divers corps d’armée, quelle sera la détermination des manifestants, y aura-t-il négociation ou durcissement du tout nouveau régime ?

Les enjeux du coup d’Etat

Depuis un an, le Burkina Faso était devenu un modèle de transition démocratique et de volonté populaire. Ce coup d’Etat est regardé de manière attentive par tous les pays africains où des manipulations constitutionnelles sont en cours. L’enjeu concerne la lutte entre la jeunesse africaine d’une part, bombe à retardement désireuse de changement qui veut avoir sa place dans le champ politique, social et économique, et les satrapes ou hommes en uniforme d’autre part, en connivence avec l’affairisme politique. Cette jeunesse burkinabée, qui se réfère à des héros tels que Thomas Sankara, est informée par les réseaux de communication et souhaite être un exemple vis-à-vis des « présidents à vie » africains. Elle prouve qu’en Afrique, le jeu politique et économique est devenu largement une lutte des classes d’âge.

En parallèle, le coup d’Etat du Burkina Faso est révélateur du rôle des armées dans la politique nationale. Ainsi, le général Gabriel Dienderé jouait à l’époque de Compaoré un rôle central : si le RSP a assuré les basses besognes du régime en participant à l’assassinat de Zongo ou de Sankara, il ne faut pas oublier qu’il a également été un régiment d’élite aux côtés de l’opération Serval au Mali. Les forces armées burkinabées sont donc divisées entre des unités paupérisées et des régiments d’élite suréquipés et entraînés dont le rôle est d’assurer l’ossature du pouvoir et de garantir les prérogatives des politiques. Le cœur des militaires balance donc entre le Régiment de Sécurité Présidentielle, fort de 1300 hommes bien équipés et rémunérés dont faisait partie le Premier ministre de transition, le lieutenant-colonel Zida, mais aussi les hauts gradés et la base.

A l’époque de Compaoré, l’opposition officielle restait quant à elle divisée entre les leaders de quelques 74 partis. Le Congrès du Parti pour la Démocratie et le Progrès (CDP) ainsi que ses alliés représentaient alors environ ¾ des parlementaires. Les principaux opposants qui l’avaient quitté en début d’année (Christian Kaboré, Diallo, Compaoré) avaient fondé le Mouvement du Peuple pour le Progrès (MPP). Les autres principaux opposants étaient Sankara, du parti sankariste, et Zephirin Diabré, candidat de l’Union du peuple pour le progrès (UPC). Après le départ de l’ancien président, l’armée, sous pression, avait alors facilité le retour à l’ordre institutionnel, autorisant un organe de transition dirigé par un civil dans un cadre constitutionnel et la mise en œuvre dans un délai d’un an d’élections présidentielles et parlementaires.

Pour le premier tour des présidentielles du 11 octobre, quatorze candidats étaient ainsi en lice, avec deux favoris : Zephirin Diabre et Christian Kabaré. En revanche, le CDP dénonçait les fraudes électorales, avec de fausses cartes d’électeurs et l’élimination de ses candidats. Point d’orgue de leur frustration, Eddie Kambaïga, président du CDP, avait vu sa candidature invalidée par le Conseil Constitutionnel. Ce sont ces fraudes et exclusions de la compétition qui ont été présentées par les putschistes comme les raisons de leur coup d’Etat.

A la suite des événements originaux, ce sont les rapports de force, internes au Burkina Faso mais également internationaux, qui ont changé. En octobre 2014, les instances africaines de l’Union africaine (UA) ou de la Communauté Economique des Etats d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) avaient menacé de sanctions le pouvoir militaire s’il ne remettait pas le pouvoir aux civils dans les 15 jours. De la même façon, ils ont aussitôt condamné le coup d’Etat de septembre 2015. Par ailleurs, des moyens de pression existent de la part des bailleurs de fonds vis-à-vis d’un pays où l’aide représente plus de 10% du PIB. Barack Obama s’était prononcé en octobre 2014 pour que les nouvelles générations puissent accéder aux responsabilités quelles que soient les qualités des dirigeants actuellement aux commandes. Dans le même esprit, l’Union européenne avait affirmé à l’époque « son attachement au respect des dispositions constitutionnelles en vigueur ainsi qu’aux principes définis par l’UA et la CEDEAO sur les changements constitutionnels ». En toute logique, elle a immédiatement condamné le putsch du général Dienderé. Si la France, par la voix de François Hollande, avait demandé le 7 octobre 2014 à Blaise Compaoré de respecter les règles constitutionnelles, elle a tout de même participé à son exfiltration en Côte d’Ivoire. Comme ses homologues européens, le président français a ferment condamné le récent coup d’Etat. La Chine, pour sa part, reste silencieuse mais attend la rupture avec Taïwan.

Le Burkina Faso est devenu un enjeu stratégique du fait des frontières qu’il partage avec le Nord-Mali, ainsi que par la présence de forces spéciales américaines et françaises. Ouagadougou est le lieu névralgique du renseignement (opération Sabre, DGSE, renseignement militaire) dans le dispositif Barkhane. Jusqu’ici, pourtant, ce pays était resté stable et sécurisé dans un environnement menaçant. Les chancelleries et diplomates ont toujours des difficultés à anticiper les révolutions, et ont une préférence pour les hommes forts connus de leurs services, qui assurent la stabilité à court terme. Comment peuvent-ils s’adapter au nouveau contexte, concilier les objectifs de la real politik et les droits de l’homme, dans un monde hyperconnecté où les représentations et les évènements s’accélèrent avec effets de contagion transnationale ?

Le devenir du Burkina Faso est incertain. Le général Diendéré a déclaré le 17 septembre qu’il libérerait les responsables politiques « otages », qu’il mettrait en œuvre des élections inclusives et qu’il remettrait le pouvoir à des civils. Il existe des marges de manœuvre permettant des négociations avec le RSP et le CDP concernant un élargissement de la liste électorale lors d’élections retardées et une reconversion du RSP dans des activités militaires notamment de lutte contre le terrorisme.

A peine installé, le gouvernement putschiste peut difficilement tenir à défaut de financements extérieurs et de soutien auprès de la population. S’accrocher au pouvoir ne peut se terminer que par des affrontements violents dont on ne peut prévoir quel sera l’engrenage. Le printemps africain que représentait il y a un an le Burkina Faso risque de devenir un septembre noir.

 

[1] Sur le plan juridique, la révision de l’article 37 de la constitution, limitant à deux le nombre de mandat, était possible de deux manières. La première était un vote majoritaire de ¾ (soit 96 voix favorables) au Parlement. La seconde était un référendum. Blaise Compaoré avait discrètement organisé le vote du parlement. Arithmétiquement, son parti le Congrès pour la Démocratie et le Progrès (CDP) disposait de 70 voix sur 127 voix des parlementaires. Il était lié à des petits partis représentant 11 voix. Il avait besoin de 15 voix supplémentaires qu’il avait marchandées avec l’Alliance pour la Démocratie et la Fédération (ADF) et le Rassemblement Démocratique Africain (RDA). Le Président avait ainsi obtenu les 96 voix nécessaires.

Húsz éve indult a rivalizálás

Magyar Szó (Szerbia/Vajdaság) - ven, 18/09/2015 - 12:13

Szerdán este Litvánia hosszabbítás után győzte le Olaszországot, és bejutott a Lille-ben zajló Európa-bajnokság elődöntőjébe, amelyben ma 21 órakor Szerbiával vív meg, nemcsak a döntőért, hanem a jövő évi riói olimpiai vízumért is.

Litvánia a II. világháború előtt kosárlabda-nagyhatalomnak számított, az akkori három Európa-bajnokságból ennek megfelelően kettőt meg is nyert. A háború után legjobbjaik a szovjet válogatottat erősítették, az önállósulás után pedig újra a legjobbak közé verekedték fel magukat, és az Eb-ken egy arany-, két ezüst- és egy bronzérmet nyertek. Történelmükben külön helyet kaptak a Szerbia elleni meccsek, a legelső pedig örökre emlékezetes maradt, hisz a nemzetközi zárlat után Szerbia, akkor még Jugoszlávia néven, 1995-ben Athénban indult először, a döntőben pedig a mai kapitány, Aleksandar Đordević tüneményes játékával 96:90-re nyert a nagyon erős litvánok ellen. A két válogatott az utóbbi hat évben egy vb- és három Eb-meccset vívott, s ezeken a mérleg 2:2-re áll. 2009-ben az Eb-n Szerbia nyert 89:79-re, 2010-ben a vb bronzmeccsén Litvánia 99:88-cal vágott vissza. Egy évre rá az Eb-n a litvánok 100:90-re győztek, 2013-ban pedig a később bronzot nyert szerb csapat a csoportmeccsen 63:56-ra bizonyult jobbnak.

Szerbia nagyobbára látványos és könnyed módon jutott el az idei elődöntőig, a litvánok azonban végigszenvedték a csoportot, azután csak szerencsével verték a grúzokat, végül a negyeddöntőben hosszabbításra kényszerültek az olaszokkal. Legjobbjaik az utóbbi meccsen a két Jonas, Valančiūnas és Mačiulis voltak. Előbbi 26 ponttal és 15 lepattanóval, utóbbi 19 ponttal és 10 lepattanóval tűnt ki, míg játékmesterük, Mantas Kalnietis 14 ponttal és 11 gólpasszal zárt. Erősek a védelemben, magas szinten tripláznak, magabiztosak a büntetővonalon, de játékuk, a szerbekkel ellentétben, inkább az egyéni teljesítményen, mintsem a csapatmunkán alapul, mégis képesek arra, hogy a döntő pillanatokban hozzák ki magukból a legtöbbet. Miután megnyerte a cseh Tomáš Satoranský elleni párbajt, és a passzolók listájának élére állt, Miloš Teodosićra ismét egy külön csata vár, hisz Kalnietis most a lista harmadik helyélt foglalja el a szerb és a cseh mögött.

Nagy rangadó lesz tehát a meccs, s ennek megfelelő lesz a győztes jutalma is, hisz nemcsak minimum ezüstéremmel utazik majd el az Eb-ről, hanem már kiváltja az ötkarikás belépőjét is, amivel mentesül a jövő évi selejtező buktatóitól.

A szerb–litván elődöntőn kívül ma még a 7. helyért játszanak a Csehország–Olaszország és Lettország–Görögország találkozók vesztesei, s a nyertes jutalma az olimpiai selejtező joga lesz. 

Retrouvez l’armée de l’air aux Journées européennes du patrimoine 2015

De nombreuses bases aériennes ouvrent les portes de leur patrimoine culturel à l’occasion des Journées européennes du patrimoine 2015, les 19 et 20 septembre prochains. Le thème retenu cette année est "Le patrimoine du XXIe siècle, une histoire d’avenir".
Catégories: Défense

ISIS, a legyőzhetetlen?

Honvédelem.hu - ven, 18/09/2015 - 11:54
Nem a semmiből jött és egyelőre leküzdhetetlen, sokszínű, leleményes ellenségnek számít. A levegőből lehetetlen megsemmisíteni, a szárazföldön pedig igazán senki nem akar szembeszállni vele.
Catégories: Biztonságpolitika

Több évtizednyi előnye van az Egyesült Államoknak Kínával szemben

Honvédelem.hu - ven, 18/09/2015 - 11:54
Hiába tesz meg mindent hadserege gyors és látványos fejlesztéséért Kína, még sokáig nem éri utol az Egyesült Államok haderejét. A hadi rendszer komplexitásában Amerikának akár több évtizednyi előnye van – mondta Matura Tamás Kína-szakértő a honvedelem.hu-nak.
Catégories: Biztonságpolitika

A modern terrorizmus szimbóluma

Honvédelem.hu - ven, 18/09/2015 - 11:54
Váratlanul érte és sokkolta a világot 2001. szeptember 11-én az al-Kaida összehangolt öngyilkos merényletsorozata. A terrortámadás máig tartó hatásairól dr. Tálas Péterrel, a Nemzeti Közszolgálati Egyetem Stratégiai Védelmi Kutatóközpontjának vezetőjével beszélgettünk.
Catégories: Biztonságpolitika

Katonai erővel nem lehet legyőzni a Boko Haramot

Honvédelem.hu - ven, 18/09/2015 - 11:54
Pusztán katonai erővel nem lehet megfékezni a főként Nigériában működő Boko Haram nevű terrorszervezetet. Amíg nem csökken a korrupció és a szegénység az afrikai országban, az egyébként nem túl erős szervezet végtelen utánpótlással rendelkezik – mondta lapunknak Marsai Viktor, a Nemzeti Közszolgálati Egyetem oktatója.
Catégories: Biztonságpolitika

Orosz katonák harcolnak Szíriában?

Honvédelem.hu - ven, 18/09/2015 - 11:54
Néhány hónapja egyre szaporodnak azok a beszámolók, amelyek az orosz katonai jelenlét komoly növekedéséről adnak hírt a szíriai fronton. Az általunk megkérdezett szakértő szerint Oroszország sosem titkolta, hogy Szíria stratégiailag fontos számára, az Aszad-rezsim pedig mind inkább rászorul a külső segítségre.
Catégories: Biztonságpolitika

Megnyithatják a röszkei határátkelőt

Vajdasághírek / Szerbia - ven, 18/09/2015 - 11:54

A magyar rendőrség pénteken egyeztetést folytat a szerb társszervekkel a röszkei autópálya-, illetve a közúti átkelő újranyitásáról – közölte a magyar Országos Rendőr-főkapitányság szóvivője ma reggel. A szegedi sajtótájékoztatón kifejtette: a magyar fél részéről ennek nincs akadálya, amennyiben a szerb hatóságok szavatolni tudják a közúti közlekedés biztonságát. (MTI) A cikk folytatása …

Tovább….: http://pannonrtv.com/web2/?p=229147

      

Két határon túl

Magyar Szó (Szerbia/Vajdaság) - ven, 18/09/2015 - 11:54

A zentai Művelődési Ház kiállítástermében szerda délután szlovákiai magyar alkotók tárlata nyílt meg Két határon túl címmel. Egy 2014-ben alakult társaság, a Magyar Alkotó Művészek Szlovákiai Egyesülete (MAMSZE) tette tiszteletét nálunk. László Árpád hegedűjátékát és Hugyik Richárd, a Thurzó Lajos Művelődési-Oktatási Központ igazgatója köszöntőbeszédét követően Kopócs Tibor, a MAMSZE elnöke üdvözölte a zentaiakat, majd Wehner Tibor művészettörténész megnyitotta a tárlatot.

Mind Hugyik, mind Kopócs hangsúlyozta a határokon átívelő együttműködés fontosságát (a MAMSZE szintén vendégül látta a vajdasági képzőművészeket a nyáron Révkomáromban), mivel az erősíti az együvé tartozás érzését. Bebizonyosodott, hogy egy a kultúránk. Kopócs abbéli reményét fejezte ki, hogy továbbra is sikerül ápolni ezt a szinte családias viszonyt, esetleg még bővíteni is. Úgy véli, a jelen kiállítás másik fő jelentősége az üdvözlet a Felvidék részéről mifelénk.

Wehner elmondta, hogy mivel Magyarország önmagával határos ország, így művészete is magyar művészeti környezettel övezett, sajnálatos viszont, hogy ebben a sajátos művészetföldrajzi helyzetben csak ritkán kerül sor két egymástól kilométerekben mégiscsak távoli régió találkozására, ami most megvalósult – éppen ezért kivételes jelentőségű eseményről van szó.

A megnyitót követően megcsodálhattuk a technikában – az olajtól az üvegen keresztül a faszoborig – és témában – a magyar őslegendától Marilyn Monroe-ig – igen változatos műalkotásokat, amelyek valóban „a vizualitás eszközével ösztönöznek párbeszédre, és erősítik a határokon átnyúló nemzeti összetartozást”.

A kiállítás a Magyarnak maradni mindenekelőtt pályázati projekt keretében valósult meg.

Burkina: des chefs d’Etat africains attendus à Ouagadougou 24 heures après le putsch

Maliactu - ven, 18/09/2015 - 11:52
Au lendemain du coup d’Etat au Burkina Faso, le général Gilbert Diendéré, chef des putschistes et fidèle de l’ex-président Compaoré, s’employait vendredi à asseoir son pouvoir et devait recevoir deux chefs d’Etat ouest-africains à Ouagadougou. Le président sénégalais Macky Sall, dirigeant en exercice de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cédéao), et son […]
Catégories: Afrique

Pour bien maitriser la chaine des depenses : Les DFM et les DAF seront nommés par le ministre de l’Economie et des finances

Malijet - ven, 18/09/2015 - 11:51
C’est l’une des grandes innovations introduites dans la gestion des finances publiques du pays assainies suite à une gestion rigoureuse des dépenses fondée sur le respect des règles budgétaires et de passation des marchés publics. En même temps qu’un accroissement des sources de recettes fiscales. Des réformes qui valent au Mali le satisfecit du Fonds monétaire international. Dans cette lancée, pour bien maîtriser la chaîne des dépenses, les DAF et les DFM seront désormais nommés par le ministre de l’Economie et des finances, entre autres mesures.
Catégories: Afrique

Eventuel report des élections communales et régionales : La classe politique étale sa division devant le ministre de l’Administration territoriale

Malijet - ven, 18/09/2015 - 11:47
Alors que les listes de candidatures ont déjà été déposées, les débats vont toujours bon train au sujet des élections communales et régionales et du district de Bamako, prévues le 25 octobre 2015. Au cours d’une rencontre entre les partis politiques et le ministre de l’Administration territoriale hier, les partisans du respect du calendrier initial et ceux acquis à un report de ces échéances y sont allés, chacun de leurs arguments.
Catégories: Afrique

Les brèves… : Coordination des associations et groupements de commerçants détaillants du Mali: Une organisation mise en lambeaux par les élections consulaires

Malijet - ven, 18/09/2015 - 11:44
Le grand perdant des élections consulaires de la CCIM qui viennent d’être bouclées, c’est vraiment Hama Cissé et son organisation professionnelle : la Coordination des
Catégories: Afrique

Erdogan to visit Russia

News.Az - ven, 18/09/2015 - 11:43
He will attend the opening of the mosque.
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