Agrégateur de flux

From Belgian frites to Spanish tortilla de patata and Italian gnocchi, potatoes are a culinary cornerstone across Europe. Yet, a new Eurostat report confirms a persistent decline in production, despite a slight uptick last year.

La position de la France vis-à-vis le plan d’autonomie marocain pour le Sahara occidental déplaît à Alger. Depuis cette reconnaissance, de la part de Paris, […]

L’article Crise Algérie-France : Alger aurait-elle gelé la reprise de ses ressortissants expulsés par Paris ? est apparu en premier sur .

Butch Wilmore et Suni Williams ont décollé début juin pour rejoindre la station spatiale internationale à bord de Starliner, vaisseau conçu par Boeing. Alors qu’ils devaient entreprendre leur voyage retour une semaine plus tard, ils sont toujours coincés dans l’espace en raison de problèmes sur la capsule du géant américain de l’aéronautique.

The European Commission has urged Mexico to arrest Vladimir Putin if the Russian leader attends the inauguration of Mexican President-elect Claudia Sheinbaum later this year.

Damian Boeselager (Greens/EFA), co-founder of the pan-European Volt party, warned that EU officials' focus on encouraging European firms to "scale up" risks pushing the bloc's competition policy "in a completely wrong direction".

Au Centre d’information et de documentation de la jeunesse, à Paris, un atelier alerte les jeunes sur les risques liés aux paris sportifs. En jouant sur les mécaniques du jeu, sans impliquer l’argent, on tente ici de déconstruire les idées reçues sur le sujet.

The European Commission does not plan to reopen the General Data Protection Regulation, instead focusing on enforcement, as privacy in the age of artificial intelligence is becoming increasingly controversial. 

Depuis mercredi soir, des milliers de personnes se réunissent dans plusieurs grandes villes britanniques en réponse aux émeutes racistes et islamophobes qui ont émaillé le pays. Plus de 400 personnes ont été arrêtées depuis la semaine dernière, et plus de 120 personnes ont été inculpées. À Liverpool trois hommes ont été condamnés à des peines de prison ferme.

WHAT YOU NEED SA, à travers son département GRH et développement des performances, recrute des stagiaires (H/F) rémunérés pour le compte de la Société Nationale Burkinabè des Hydrocarbures (SONABHY).

CONTEXTE ET JUSTIFICATION :

Le manque de compétences des jeunes diplômés ou l'inadaptation de leurs compétences aux besoins du marché du travail mais aussi le faible taux d'offre d'emplois, sont des freins à leur insertion professionnelle. Cela constitue de nos jours une source de préoccupation dans les instances de décision au niveau national et mondial. En effet, le taux de chômage au niveau mondial des jeunes est de 13, 6%. Au Burkina Faso, il est de 14,7% pour ceux qui ont une formation technique et professionnelle, contre 15,4% pour ceux ayant une formation générale et 23% pour ceux de la formation technique et professionnelle dans les filières tertiaires.

Face à cette situation, plusieurs structures privées se sont engagées dans l'accompagnement des jeunes diplômés par l'octroi des stages par un programme dénommé « jeune talent ». Le programme « jeune talent » constitue un tremplin pour l'insertion et le développement professionnel des jeunes diplômés en leur offrant l'opportunité d'avoir les bases d'une carrière professionnelle solide. Il permet également de développer et de soutenir le système d'adéquation « formation-emploi », contribuant ainsi à la compétitivité de la jeunesse du pays sur le marché de l'emploi. Aussi, ce programme est un véritable gage de réussite professionnelle permettant d'acquérir des connaissances approfondies sur une variété de métiers et de postes.

Dans le cadre de sa Responsabilité Sociétale des entreprises (RSE), la SONABHY s'investit à soutenir les aspirations socio-économiques du Burkina Faso dans plusieurs segments dont le développement du capital humain comme le souligne son Plan stratégique de développement (PSD_2023-2027). Ce plan s'inscrit dans le Plan National du Développement Economique et Social II (PNDES II) dans son axe 4 qui vise à promouvoir l'emploi décent et la protection sociale pour tous, particulièrement pour les jeunes et les femmes. C'est pourquoi la SONABHY a décidé de jouer pleinement sa partition à travers son Programme « Jeunes Talents » destiné à accroître l'attractivité des talents, le développement de leurs compétences et la formation des futurs leaders du pays.

Le Programme « Jeunes Talents »de la SONABHY est une opportunité unique pour les jeunes diplômés Burkinabè issus des universités et centres et instituts de formation supérieurs nationaux et internationaux pour développer leur employabilité au sein d'une entreprise compétitive, performante et socialement responsable.

Postulez donc afin de saisir l'occasion pour des stages pratiques qui vous permettront de développer des compétences clés et d'améliorer votre insertion professionnelle au Burkina et à l'international. Ce programme vous offre la chance de devenir un futur leader et de contribuer activement au développement économique du Burkina Faso. Ne manquez pas cette occasion de propulser votre carrière !

Pour cette première phase du Programme « Jeunes Talents », la SONABHY ouvre les postes suivants :
• Un (01) Stagiaire en transport logistique de niveau bac+5 H/F
• Un (01) Stagiaire en Qualité Hygiène Sécurité Environnement de niveau bac+5 H/F
• Un (01) Stagiaire en informatique de niveau bac+5 H/F
• Un Stagiaire en génie industriel de niveau bac+5 H/F
• Un (01) Stagiaire en génie électrique de niveau bac+5 H/F

Important : Veuillez lire l'intégralité du communiqué avant de postuler !

A- Conditions générales

Les candidats aux différents postes doivent satisfaire aux conditions générales suivantes :
• Etre de nationalité Burkinabè ;
• Etre âgé de 22 ans au moins et de 30 ans au plus au 31 décembre 2024 ;
• Etre physiquement bien portant et jouir de l'ensemble de ses facultés mentales ;
• Etre immédiatement disponible ;
• S'exprimer couramment en français ;
• Avoir un diplôme de niveau Bac+5 soutenu après le 31/12/2021 (les attestations d'admission ne sont pas recevables)
• Partager ou désirer développer les valeurs professionnelles suivantes : l'esprit d'équipe, le sens du leadership, le désir d'acquérir de nouvelles connaissances et des compétences, la courtoisie, le travail bien fait, la ponctualité et l'assiduité, le respect de la hiérarchie, la rigueur, le professionnalisme et le sens de la responsabilité.

B- Description des postes à pourvoir

1- Stagiaire en Transport logistique

– Nombre de poste à pourvoir : 01
– Niveau d'études : Etre titulaire d'un diplôme de niveau Bac+5 en transport logistique, commerce international
– Expérience professionnelle : non exigée
– Aptitudes professionnelles : intervenir dans l'organisation de la circulation des produits de la société de l'approvisionnement jusqu'à la livraison du produit fini
– Lieu de stage : DAS

2- Stagiaire en Qualité Hygiène Sécurité Environnement

– Nombre d poste à pourvoir : 01
– Niveau d'études : Etre titulaire d'un diplôme de niveau Bac+5 en Qualité Hygiène Sécurité Environnement ;
– Expérience professionnelle : non exigée
– Aptitudes professionnelles : intervenir dans la mise en œuvre de la politique de l'entreprise en matière de qualité, sécurité et environnement et promouvoir les bonnes pratiques environnementales tout en évaluant la performance environnementale de la société
– Lieu de stage : Siege de la SONABHY à Ouagadougou

3- Stagiaire en informatique

– Nombre d poste à pourvoir : 01
– Niveau d'études : Etre titulaire d'un diplôme de niveau de Bac+5 en informatique (programme, maintenance, réseaux, SI)
– Expérience professionnelle : non exigée
– Aptitudes professionnelles : intervenir dans la conception, la réalisation et la maintenance d'ouvrages et équipements industriels au profit de la société
– Siege de la SONABHY à Ouagadougou

4- Stagiaire Bac+5 en Génie industrie

– Nombre d poste à pourvoir : 01
– Niveau d'études : Etre titulaire d'un diplôme de niveau Bac+5 en génie industrie
– (Électrotechnique, électromécanique, maintenance industrielle) ;
– Expérience professionnelle : non exigée
– Aptitudes professionnelles : intervenir dans la conception, la réalisation et la maintenance d'ouvrages et équipements industriels au profit de la société
– Lieu de stage : DDBI/DDBO/DPP

5- Stagiaire Bac+5 en Génie électrique

– Nombre d poste à pourvoir : 01
– Niveau d'études : Etre titulaire d'un diplôme de niveau Bac+5 en génie électricité industrielle ;
– Expérience professionnelle : non exigée
– Aptitudes professionnelles : intervenir dans la conception, la réalisation et la maintenance d'ouvrages et équipements industriels au profit de la société
– Lieu de stage : DDBI/DDBO/DPP

C- Composition du dossier

• Une demande adressée à Monsieur l'Administrateur Général de WHAT YOU NEED précisant le poste à pourvoir
• Une lettre de motivation datée et signée et mettant en exergue son projet professionnel adressée à Monsieur l'Administrateur Général de WHAT YOU NEED
• Un curriculum vitae détaillé, sincère, daté et signé
• Une copie légalisée du diplôme exigé
• Une copie légalisée de la Carte Nationale d'Identité Burkinabè ou du Passeport

En cas d'admission les candidats devront fournir des pièces complémentaires suivantes :
• Un certificat de nationalité burkinabè ;
• Un casier judiciaire datant de moins de trois (03) mois.

D- Date et lieu de dépôt des dossiers de candidature
Les dossiers de candidatures sont reçus exclusivement en ligne à l'adresse : wynrecrutetalentsonabhy@gmail.com du vendredi 02 août 2024 à 00H00 au dimanche 11 aout 2024 à 23H59. Le dossier de candidature doit être envoyé en un seul fichier en format PDF en précisant en objet le titre du poste.

 
E- Procédure de recrutement

• Présélection sur dossier : Seuls les cent (100) premiers dossiers de candidature par poste seront pris en compte
• Entretiens oraux et évaluation des habilités professionnelles
• Toute note inférieure à 07/20 dans une Epreuve est éliminatoire
• L'admission d'un candidat n'est prononcée que lorsqu'il a obtenu une moyenne totale supérieure ou égale à 12/20
• Seuls les candidats présélectionnés à une étape donnée seront invités à prendre part l'étape suivante
• Toutefois, l'admission n'est définitive qu'après un contrôle approfondi.

F- Informations utiles :

• Seul l'avis de recrutement publié par le cabinet fait foi
• Seul le diplôme exigé est accepté
• Seuls les cent (100) premiers dossiers de candidature par poste déposés au cours de la période et par la voie sus-indiquées seront reçus et pris en compte
• Les diplômes présentés feront l'objet de vérification de leur authenticité
• Le lieu et la date de déroulement des différentes épreuves seront communiqués à l'issue de chaque étape à travers le site web de WHAT YOU NEED (www.wyngroupe.com) et ses réseaux sociaux Facebook et LinkedIn
• Le cabinet se réserve le droit de ne donner aucune suite au présent avis de recrutement

G- Renseignements :

Pour toute information complémentaire, veuillez appeler le 25452460 du lundi au vendredi de 08h00 à 16h00 ou visiter notre site web www.wyngroupe.com et nos réseaux sociaux Facebook et LinkedIn

Aboubakari OUEDRAOGO
Administrateur Général

La session de sensibilisation des gouvernements locaux sur les informations climatiques et la finance climat s'est ouverte ce 08 août 2024. Organisée par le Secrétariat exécutif du Fonds vert pour le climat au Burkina Faso (SE-FVC/BF), cette rencontre se tient sur deux jours. Elle réunit 25 membres des conseils régionaux et municipaux de la région du Centre.

« La région du Centre figure parmi les régions les plus densement peuplées au Burkina Faso. Malheureusement, cette forte démographie avec son corollaire d'expansion urbaine très rapide a pour conséquences la disparition du couvert végétal, le développement de zones d'habitations sans infrastructures de canalisations des eaux pluviales et de gestions insuffisantes des eaux usées et le recul de la faune », a déploré le gouverneur de la région du Centre, Abdoulaye Bassinga, pendant l'ouverture de la session.

C'est pourquoi selon lui, ce cadre est une opportunité précieuse pour s'informer sur les enjeux du changement climatique, sur les politiques et les mécanismes mis en place pour mobiliser les financements nécessaires. Et outiller les participants sur les connaissances et les compétences nécessaires pour identifier, concevoir les initiatives climatiques intelligentes pour leurs communautés, permettra donc de lutter contre les changements climatiques.

"Les défis du changement climatique dépassent les frontières géographiques et nécessitent une concertation à tous les niveaux de gouvernance", Abdoulaye Bassinga, gouverneur de la région du Centre

Au niveau du Fonds vert pour le climat, il existe des projets classiques mais aussi des programmes préparatoires. Ces programmes préparatoires visent à renforcer les capacités des différents pays pour aller vers le Fonds vert pour le climat. C'est donc à travers cette fenêtre que le SE-FVC/BF a pu mobiliser la ressource pour former les gouvernements locaux sur la question de la finance climat de façon globale. Plus spécifiquement, ils sont formés sur le mécanisme de mobilisation des ressources de ce Fonds vert pour le climat. « Nous attendons des participants qu'ils puissent élaborer des projets qui seront acceptés au niveau du Fonds vert pour le climat. Nous attendons aussi qu'ils puissent fournir les problématiques des populations de la région du Centre en matière de changement climatique afin que nous puissions les traduire en idée concrète de projet », a indiqué Abdoul Nourdine Sanfo, assistant à l'autorité nationale du Fonds vert pour le climat au Burkina Faso.

Les participants devront proposer des idées de projets en lien avec les problèmes de changement climatique des populations de la région du Centre

L'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), partenaire financier du fonds climatique espère que cette initiative pourra réduire les écarts d'informations entre les administrations centrales et locales ainsi qu'entre les scientifiques et les communautés locales sur les actions climatiques du pays. « Le chemin vers un avenir plus résilient et durable passe inévitablement par une transformation de nos systèmes de financement. Faisons en sorte que la région du Centre devienne un modèle de développement vert et résilient aux changements climatiques », a souhaité Sylvie Somda, représentante du chef de programme de l'UICN.

Abdoul Nourdine Sanfo, représentant le Secrétariat exécutif du Fonds vert pour le climat au Burkina Faso à la cérémonie d'ouverture

Au programme des deux jours de travaux, il y a des exposés théoriques, des études de cas concrets, des ateliers pratiques et des échanges avec de experts.

Farida Thiombiano
Lefaso.net

A lire aussi : Burkina/Lutte contre le changement climatique : Des gouvernements locaux échangent sur des stratégies de mobilisation de ressources

Source : © European Union, 2024 - EP

La cérémonie de lancement de l'atelier de la sous-composante « Appui au développement de l'artisanat féminin » a eu lieu ce jeudi 8 août 2024, à l'hôtel de ville de Ouagadougou. Le projet se tiendra sur une durée de 12 mois.

L'artisanat est vital pour l'économie du Burkina Faso car contribuant à environ 30 % du PIB et employant une grande partie de la population active non agricole. Le secteur textile représente un tiers de l'artisanat et est en pleine expansion grâce aux succès des créateurs locaux. Pourtant, la filière artisanale est sous-exploitée, avec seulement 1 % du coton transformé localement.

C'est donc dans le but de remédier à cela, que le Projet d'appui à la croissance économique urbaine et à la gouvernance métropolitaine du Grand Ouaga (PAGO), financé par l'Union européenne et la mairie de Ouagadougou, soutient spécifiquement l'artisanat féminin, avec pour but de renforcer l'impact économique et de créer des emplois pour les femmes et les jeunes.

Ce présent atelier qui se tient au cours de cette journée a pour objectif de mobiliser les principaux acteurs et de coordonner les actions pour assurer le succès du projet.

L'appui de l'Union européenne d'une valeur de 742 674 515 FCFA au développement de l'artisanat féminin servira à la construction d'un centre de formation textile pour les communes du Grand Ouaga ainsi qu'à la formation en tissage, en filature et en peinture du Faso Danfani et à l'équipement de 1 900 femmes, soit 100 femmes par commune et arrondissement.

A entendre le 1er vice-président de la commune de Ouagadougou, Assami Tiendrébéogo, cet accompagnement de l'Union européenne représente un symbole fort de leur engagement collectif envers le développement économique, la valorisation de l'artisanat et l'émancipation des femmes à travers la création de filières durables.

« C'est parce que la valorisation ferme du savoir-faire local est importante, et plus particulièrement l'artisanat féminin, que cette composante spécifique a été développée au sein du PAGO. Cette initiative, qui vise à former et équiper 100 femmes par commune et arrondissement au sein du Grand Ouaga, pour un total d'environ 1 900 bénéficiaires, est le reflet de notre engagement à renforcer cette frange dynamique de notre population, tout en lui permettant de participer activement à l'économie locale. Le montant alloué à cette noble cause, soit 1 132 200 euros ou 742 674 515 FCFA, témoigne de la détermination à donner à ces femmes les outils nécessaires pour exceller dans leurs métiers. Il sera question d'aménager un centre de métier, de l'équiper et de former les bénéficiaires qui seront sélectionnés », a-t-il déclaré.

En participant au financement de ce projet, selon les propos du représentant de l'ambassadeur, Marc Duponcel, l'Union européenne renouvelle son engagement à fournir aux populations des conditions améliorées pour un développement socio-économique soutenu et durable.

Il n'a pas manqué de lancer un appel à tous les acteurs impliqués dans la mise en œuvre de cette composante à s'investir pleinement, afin que les résultats améliorent concrètement les conditions de vie des populations et contribuent au développement socio-économique du Burkina Faso.

Avec pour objectifs spécifiques, la présentation de la démarche de ciblage des bénéficiaires et les équipements qui seront mobilisés pour soutenir l'artisanat féminin ; la mise au point sur les travaux en cours pour la réalisation d'un centre de formation dédié aux métiers du textile et le recueil des besoins et expériences des participants afin d'orienter au mieux les investissements futurs, le projet vise, au sortir de ces échanges, une adhésion généralisée à la méthodologie de ciblage des bénéficiaires et aux critères de sélection des équipements ; une appropriation des équipements par les parties prenantes du centre de formation aux métiers du textile ainsi qu'une prise en compte des besoins et observations des participants pour améliorer les activités de la sous-composante.

Hanifa Koussoubé
Lefaso.net

La Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS) a volé au secours de quatre personnes en situation de handicap moteur en leur octroyant des tricycles ce jeudi 8 août 2024 à Ouagadougou. Les bénéficiaires de ce don viennent de Boussé et sont membres de l'Association Wendpanga des personnes vivant avec un handicap de la province du Kourwéogo.

Tout est parti d'une demande de l'Association Wendpanga des personnes vivant avec un handicap du Kourwéogo, adressée à leur faîtière qui est l'Association nationale des personnes handicapées pour l'acquisition de tricycles. Cette dernière, ayant des moyens limités, a à son tour adressé une demande au directeur général de la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS) pour solliciter des tricycles au profit de membres de l'Association Wendpanga. Cette demande a reçu une réponse favorable de la CNSS et les tricycles ont été acquis.

Sylvie Marie Rouamba/Sam, cheffe de service promotion des assurés sociaux de la CNSS a remis un tricycle à une bénéficiaire

Dans la matinée de ce 8 août 2024, c'est avec donc une joie toute particulière que les bénéficiaires, venus de Boussé, ont reçu leurs tricycles. La cérémonie de remise de don s'est déroulée au siège de l'Association nationale des personnes handicapées à Ouagadougou où ont d'ailleurs été fabriqués les tricycles. Le président de l'Association Wendpanga des personnes vivant avec un handicap du Kourwéogo et les bénéficiaires ont exprimé toute leur reconnaissance à la CNSS qui met ainsi fin à leur problème de mobilité.

« Ce don va permettre aux handicapés de se déplacer et de pouvoir travailler. Nous sommes très contents et remercions sincèrement la CNSS », a déclaré Rasmané Ouédraogo, le président de l'association qui compte une soixantaine de membres. Il a rappelé si besoin en était, que sans tricycle, il est difficile pour une personne handicapée de se déplacer et de mener des activités lucratives. « Un handicapé qui n'a pas un moyen de déplacement pour mener une activité, c'est compliqué, pour se déplacer, c'est difficile. C'est une souffrance totale », soutient-il.

Rasmané Ouédraogo, le président de l'Association Wendpanga des personnes vivant avec un handicap du Kourwéogo a remercié la CNSS pour ces tricycles qui mettent fin au problème de mobilité de quatre des membres de l'association

Zénabo Ouédraogo est l'une des bénéficiaires de tricycle. Comme toutes les personnes en situation de handicap moteur sans moyen de déplacement, il était difficile pour elle de se déplacer et de vaquer à ses occupations. C'est pourquoi, à l'instar du président de leur association, elle a tenu à remercier la CNSS pour les tricycles reçus. « Je n'avais pas de tricycle. Pour me déplacer, c'était vraiment difficile. Je n'arrivais pas à travailler correctement. Je me débrouillais pour cultiver et j'avais le soutien de mon époux. Malheureusement il est décédé et la situation s'est empirée. Maintenant avec ce tricycle, je suis soulagée, je pourrais me déplacer et mener des activités afin de me prendre en charge. Je suis très contente pour ce que vous avez fait pour nous », s'est-elle réjouit.

La CNSS se tient aux côtés de tous

Sylvie Marie Rouamba/Sam, cheffe de service promotion des assurés sociaux de la CNSS, souligne que la CNSS est aux côtés de tous les Burkinabè quelle que soit leur couche sociale ou leur situation physique. « La CNSS est là pour s'occuper de tout le monde, les personnes handicapées, les personnes en difficulté. La CNSS a un regard sur toutes ces personnes », a souligné Mme Rouamba.

Zénabo Ouédraogo, bénéficiaire de tricycle a également exprimé sa reconnaissance à la CNSS pour le don

Elle a indiqué que le don est estimé à 540 000 FCFA, incluant le prix des tricycles, mais également le transport des bénéficiaires qui sont venus de Boussé.

Justine Bonkoungou
Lefaso.net

Summary and Key Points: The U.S. Air Force's B-21 Raider, which had its maiden flight in November 2022, is set to become the backbone of the Air Force's long-range strike capabilities. However, the total number of bombers to be produced remains uncertain.

-The initial plan is for a minimum of 100 units, with decisions about increasing that number expected in the mid-to-late 2030s. While designed to counter near-peer threats like China, the B-21's high cost—around $700 million per unit—may limit production.

-The bomber is being developed with advanced digital engineering and an open systems architecture for future adaptability.

The B-21 Raider Numbers Game Is Not Set 

The U.S. Air Force's B-21 Raider represents the next leap forward in strategic bomber technology, having taken its maiden flight in November of 2022.

As it moves through development towards becoming the backbone of the Air Force's long-range strike capabilities, questions about the total number of units to be produced remain open. The initial plan for a minimum of 100 bombers aims to modernize and replace aging fleets, with a focus on countering emerging threats from near-peer adversaries like China.

The B-21 Raider's Uncertain Future: Balancing Cost and Capability

The U.S. Air Force's B-21 Raider took its maiden flight last November. While progress is being made on developing the future backbone of the Air Force's bomber fleet, there is still no solid consensus on how many of the long-range strategic bombers will be produced. A formal decision is unlikely to be made anytime soon.

"The decision point, with lead time accounted for, to go past 100 is not until the mid to late '30s," Lt. Gen. Richard G. Moore Jr. told lawmakers on the House Armed Services Committee on March 12.

"So the commitment right now is to 100 aircraft. That takes us for procurement into the late '30s," Moore added. "The decision whether or not to go past that may very well not be based on China, because it will be made at a time when we don't foresee the security environment and we don't need to."

As reported by Air & Space Forces magazine, the Air Force planned to acquire a minimum of 100 B-21 Raiders to replace its aging B-1B Lancers and B-2 Spirits. The Raider is set to operate alongside the even older B-52 Stratofortress until the late 2040s, and perhaps even beyond. However, officials at Air Force Global Strike Command have argued that the service needs more of the future stealth bombers to effectively counter near-peer adversaries, notably China.

In addition to the single B-21 currently being used for flight testing, at least five other prototype Raiders are in various stages of production. Those six will be dedicated to test activities, but after the developmental and operational testing has been completed, they will be modified into operational bombers.

B-21 Raider: From Six to 100 (or More)

It is unclear whether the Air Force will reach the minimum of 100 bombers requested by 2039. That will require annual production of six or seven bombers. The service hasn't disclosed how many aircraft are being produced throughout the Low-Rate Initial Production phase, which the bombers entered in January. 

Aerospace firm Northrop Grumman was awarded the contract to produce the next-generation bomber in 2015, and the company quickly assembled a nationwide team to design, test, and build the B-21. The Raider – named for the 80 men who took part in the World War II Doolittle Raid on Tokyo in the spring of 1942 – was developed using the aerospace firm's digital engineering practices and advanced manufacturing techniques in tandem.

The testing aircraft are being built on the same lines, using the same tools and processes, that will build the eventual full-production aircraft. That approach was adopted to enable production engineers and technicians to capture lessons learned and apply them directly to follow-on aircraft, driving home a focus on repeatability, producibility, and quality.

Some 8,000 employees of Northrop Grumman and various other defense contractors of all sizes, spread across 40 states, have been secretly building the Air Force's new stealth bomber. Great efforts have been taken to prevent China and other potential adversaries from gaining access to its technology.

In addition to building a bomber with state-of-the-art technology and capabilities, Air Force officials have further emphasized the focus on containing costs while simultaneously allowing for maximum flexibility. The B-21 has been noted for being designed with an open systems architecture that would enable rapid integration of future capabilities to keep pace with the highly contested threat environment.

Yet, in addition to the Raider being the most advanced aircraft built to date, it could also be among the most expensive planes to ever fly, with each costing around $700 million. That could affect how many are built.

The Raider may also not be alone in the skies, as China could officially unveil its Xi'an H-20 to the public in the coming months.

Author Experience and Expertise: Peter Suciu 

Peter Suciu is a Michigan-based writer. He has contributed to more than four dozen magazines, newspapers, and websites with over 3,200 published pieces over a twenty-year career in journalism. He regularly writes about military hardware, firearms history, cybersecurity, politics, and international affairs. Peter is also a Contributing Writer for Forbes and Clearance Jobs. You can follow him on Twitter: @PeterSuciu. You can email the author: Editor@nationalinterest.org.

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PAK DA - Russia Is Building a New Stealth Bomber 

Houthis Might Have Attacked a Navy Aircraft Carrier - Report 

Did Moscow Really Ask Washington to Stop Ukrainian Attack on Putin's Parade?: Russia's "special military operation" in Ukraine has dragged on for more than two and a half years. During that time, the Russian Navy's Black Sea Fleet has lost its flagship and numerous other vessels. 

There are now reports that Moscow worried about the possibility of Ukrainian attacks on annual Navy Day celebrations in St. Petersburg, and that the Kremlin even reached out to the United States to deter Ukraine.

According to the Ukrainian news outlet Pravda, "The Russian Ministry of Defence asked U.S. Secretary of Defense Lloyd Austin to persuade Ukraine not to conduct military operations in Russia on the country's Navy Day on 28 July."

According to reports, Russian Deputy Foreign Minister Sergei Ryabkov claimed on TV channel Russia-1 that Defense Minister Andrei Belousov "personally called" Austin to discuss the matter, warning that such an attack could cause an escalation.

Was Ukraine Looking to Carry Out an Attack?

Kyiv has not confirmed it was preparing for an attack, but as previously reported, the Kremlin significantly scaled back the event, which has been a national holiday in Russia since 2017. Russian President Vladimir Putin regularly attends Navy Day celebrations, which typically include a parade of Russian and foreign military vessels.

The main parade, normally held at the Russian naval base in Kronstadt, was canceled. A smaller event in St. Petersburg on the Neva River was scaled back, reportedly due to security concerns. This year, the event included warships from India and China, but Russia's presence was much smaller than usual.

Multiple Russian media outlets are reporting that the Ukrainian intelligence service had very much planned an attack, including an assassination attempt on Putin and Belousov at the Navy Day parade. According to a report from The New York Times last week that cited two U.S. officials, "Pentagon officials were surprised by the allegation and unaware of such a plot."

The paper of record further stated, "Despite Ukraine's deep dependence on the United States for military, intelligence and diplomatic support, Ukrainian officials are not always transparent with their American counterparts about their military operations."

The New York Times suggested the call offered a "rare glimpse behind the scenes of a sensitive call between defense ministers," which "illustrates how much more there often is to private conversations between American and Russian officials than what is revealed to the public."

It would seem that Washington and Moscow are maintaining a dialog to manage escalation risks, even as the United States and the West continue to provide aid to Kyiv. However, Belousov reportedly "pointed to the danger" of such escalation due precisely to that aid. The two Pentagon sources also confirmed that Austin responded to his Russian counterpart by urging him not to threaten American forces in Europe or elsewhere.

The question is whether Russia actually knew there was an ongoing plot or simply wanted to ensure there would be no attack. It also remains unclear whether Washington instructed Kyiv not to carry out such a strike.

Author Experience and Expertise: Peter Suciu 

Peter Suciu is a Michigan-based writer. He has contributed to more than four dozen magazines, newspapers, and websites with over 3,200 published pieces over a twenty-year career in journalism. He regularly writes about military hardware, firearms history, cybersecurity, politics, and international affairs. Peter is also a Contributing Writer for Forbes and Clearance Jobs. You can follow him on Twitter: @PeterSuciu. You can email the author: Editor@nationalinterest.org.

Image Credit: Creative Commons. 

Summary and Key Points: In a historic first, the U.S. Air Force Special Operations Command (AFSOC) successfully landed an AC-130J Ghostrider Gunship on a highway in Arkansas during the Emerald Warrior Field Training Exercise II.

-This operation, which also included the landing of a C-145A Wolfhound and an MC-130J Commando II, demonstrated AFSOC's Agile Combat Employment (ACE) capabilities, highlighting the ability to operate in austere environments without traditional runways.

-The exercise involved setting up a Forward Arming and Refueling Point (FARP) on the highway, showcasing the Ghostrider’s flexibility in providing close air support, air interdiction, and armed reconnaissance in any location.

AC-130 Just Landed on a Highway – On Purpose

There is a longstanding myth that the United States interstate system was designed to serve as de facto airstrips in a time of war. While that isn't true, the United States military still regularly conducts training operations on remote roads and highways that include employing the stretches as runways.

Normally, however, it is fighters and smaller aircraft that are used in such operations.

On Sunday, the Air Force Special Operations Command (AFSOC) went a little bigger after it landed an AC-130J Ghostrider Gunship on Highway 63 outside of Bono, Arkansas. According to the AFSOC, the historic first operation was part of the Emerald Warrior Field Training Exercise II – designed to highlight the unit's Agile Combat Employment (ACE) capabilities.

"This exercise serves as a significant milestone for AFSOC, demonstrating our ability to operate in diverse and austere environments," said Tech. Sgt. Robert Gallagher, lead planner for the highway landings, assigned to the AFSOC Air Commando Development Center. "By leveraging ACE concepts, we enhance our operational flexibility and resilience."

Airmen or "Highway Men"

There is much more than just wheels down and hoping for the best to make use of Highway 63, of course, and the Special Tactics airmen from the 1st Special Operations Wing became highway men and women. They worked in the early morning to secure the landing zone in time for a U.S. Air Force C-145A Wolfhound and MC-130J Command II – both from the 492nd Special Operations Wing – to land on the five-lane highway.

The crew from the latter aircraft then quickly deployed a Forward Arming and Refueling Point (FARP) – essentially setting up a mobile service station for the AC-130J that was assigned to the 1st Special Operations Wing at Hurlburt Field, Florida.

Life is a Highway for AC-130

With everything ready, the Lockheed-made Ghostrider made its approach, landed, quickly refueled and rearmed, and was back in the sky. Speed on the ground was a crucial part of the mission.

"The primary objective of this exercise was to validate AFSOC's capability to operate in austere environments with minimal infrastructure. Key tasks included securing the landing zone and performing FARP operations, both critical elements of the ACE framework," AFSOC acknowledged.

The training exercise served to highlight how even large aircraft like the AC-130J Ghostrider doesn't need a full-blown facility to accomplish its primary missions, which is to provide close air support, air interdiction, and armed reconnaissance.

"Emerald Warrior FTX II demonstrates to our adversaries that we can meet them anytime, anyplace, anywhere, without the need for traditional runways to project air power," said Col. Patrick Dierig, 1 SOW commander. "By landing an AC-130J on a highway and conducting FARP, we're proving our ability to operate in austere and unique environments. It shows our commitment to maintain operational flexibility and readiness, ensuring we can deliver decisive airpower whenever and wherever it’s needed."

Truly a Flying Gunship

In its current configuration, the AC-130J is operated by two pilots, one combat systems officer, one weapons system operator, one sensor operator, and four special mission aviators. It is armed with a 30mm GAU-23/A Bushmaster autocannon and a 105mm cannon.

The aircraft has a range of 3,000 miles.

"The AC-130J provides ground forces an expeditionary, direct-fire platform that is persistent, ideally suited for urban operations and delivers precision low-yield munitions against ground targets," the U.S. Air Force noted on the aircraft's fact sheet website.

Last year, there was speculation that the Ghostrider could lose its main gun.

Though removing the weapon would seem to limit the capabilities of the aircraft, the Air Force is now rethinking how it will employ its heavily armed gunships as greater focus shifts to near-peer adversaries such as China. Instead of the 105mm cannon, the Air Force may opt to arm the Ghostriders with small cruise missiles for standoff strikes. In addition, the modern flying fortress could be equipped with an advanced active electronically scanned array radar for improved tracking of ground targets.

Video: AC-130 Gunship Turns Highway into Runway: Historic First Landing and Takeoff Author Experience and Expertise: Peter Suciu

Peter Suciu is a Michigan-based writer. He has contributed to more than four dozen magazines, newspapers, and websites with over 3,200 published pieces over a twenty-year career in journalism. He regularly writes about military hardware, firearms history, cybersecurity, politics, and international affairs. Peter is also a Contributing Writer for Forbes and Clearance Jobs. You can follow him on Twitter: @PeterSuciu. You can email the author: Editor@nationalinterest.org.

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La Marocaine Fatima Zahra El Mamouny, 24 ans, sera en compétition avec quinze autres femmes vendredi. C’est la première fois que sa discipline est représentée aux Jeux olympiques.

Summary and Key Points: The Soviet Union and its successor, Russia, have long grappled with developing a robust naval aviation capability, culminating in the troubled Admiral Kuznetsov, Russia's only aircraft carrier. Built at the end of the Cold War, Kuznetsov has faced numerous technical issues and remains in refit, with doubts about its future operational status.

-Despite its challenges, Russia values aircraft carriers for their strategic and prestige roles. However, the country's shipbuilding industry has struggled to modernize its fleet, and plans for new carriers remain uncertain.

-Russia may need to consider alternative approaches, including potentially ordering a carrier from Chinese shipyards.

Russia's Aircraft Carrier Nightmare Is Far From Ever Being Over 

Considered a land power, the Soviet Union grappled with the idea of a large naval aviation arm for most of its history, eventually settling on a series of hybrid aircraft carriers. Big plans for additional ships died with the Soviet collapse, but Russia inherited one large aircraft carrier at the end of the Cold War—that remains in service today. Although many of the problems that wracked the naval aviation projects of the Soviet Union remain today, the Russian Navy nevertheless sported one of the more active aircraft carriers in the world--until problems hit.

History of Russian Naval Aviation

The Soviet Union made several efforts at developing aircraft carriers early in its history, but a lack of resources, combined with a geography that emphasized the importance of land power, made serious investment impossible. During the Cold War, the first naval aviation success were Moskva and Leningrad, a pair of helicopter carriers designed primarily for antisubmarine warfare. These ships, ungainly in appearance, displaced 17,000 tons, could make about thirty knots, and each carried eighteen helicopters. Moskva entered service in 1967, Leningrad in 1969. The Moskvas were succeeded by the Kiev class, much closer to true aircraft carriers. Displacing 45,000 tons, the four Kievs (each built to a slightly different design) could make thirty-two knots and carry a combination of about thirty helicopters and Yak-38 VSTOL fighters.

All of these ships left service at the end of the Cold War; the Moskvas and one of the Kievs were scrapped, two Kievs ended up as museums in China, and one was eventually reconstructed and sold to India as INS Vikramaditya. In the 1980s, the Soviet Union laid down its first two true carriers, although only one was completed before the collapse of the country.

Current State of Russia’s Carrier Force

At the moment, Russia’s only aircraft carrier is the troubled Admiral Kuznetsov.

A ski jump carrier, the Kuznetsov displaces some 60,000 tons, can theoretically make thirty knots, and carry a combination of forty-or-so helicopters and jet fighters.

 Kuzentsov was commissioned in 1990; a sister remained an incomplete hulk for many years until it was purchased by China and eventually finished as Liaoning. In addition to helicopters, Kuznetsov operates MiG-29K and Su-33 fighter bombers. Like previous Russian carriers, Kuznetsov sports a heavier missile armament than most Western ships.

Unfortunately, hiccups with Kuznetsov have also made it difficult for Russia’s naval aviators to remain practiced and effective. The ship has suffered multiple breakdowns over its career, including significant issues with its engines and recovering aircraft.

Many of these difficulties came as consequence of the dramatic decline of maintenance funding at the end of the Cold War, but some was the inevitable result of inexperience with the platform type. Admiral Kuznetsov has engaged in several prestige cruises, but its most notable service came in 2016 off of Syria. After a much publicized journey to the Mediterranean, Kuznetsov conducted combat operations for two months. The operations had more of a publicity impact than a real military effect, and Kuznetsov lost two aircraft (one MiG-29K and one Su-33) to accidents. The carrier is currently in refit, with many experts concluding it may never sail again.

To support Kuznetsov, Russia attempted to purchase a pair of French assault carriers, but the conquest and annexation of Crimea forced France to cancel the sale. These ships would have served as amphibious platforms with antisubmarine (ASW) capabilities, but also would have given the Russian navy experience with relatively large, technologically advanced vessels. Indeed, part of the deal would have allowed Russia to construct two Mistrals to French specifications in its own yards, which would have provided a major boon to Russian shipbuilding.

Strategic Rationale

Russia has a unique maritime geography, with four fleets operating from four coasts practically incapable of offering mutual support. During the Soviet period, carriers supported the fleet of nuclear ballistic missile submarines, offering air and ASW protection for the bastions in which these subs patrolled. This mission allowed the carriers to de-emphasize strike capabilities in favor of more defensive weaponry. More recently, the Russian navy has used Admiral Kuznetsov primarily as a vehicle for influence and prestige. Along with the nuclear battlecruiser Pyotr Velikiy and a few other ships, Kuznetsov is a visible manifestation of Russian naval power, forcing other nations to take note of Russian interests. As the Syria mission suggests, in the future Russia may focus more on developing strike capabilities in order to project power further.

The Future

Russia has cancelled more carriers than most countries have contemplated. In the 1970s the Soviet Union considered the 72,000-ton Orel-class nuclear aircraft carrier, but opted instead for the Kievs and the ships that would eventually become Kuznetsov and Liaoning. The Soviets laid down an 80,000-ton carrier named Ulyanovsk in 1988, but scrapped the incomplete ship when the Cold War ended.

Russian defense planners often announce projects as a means of gaining resources and prestige, rather than as part of a plan to build anything in particular. At one point, President Dmitri Medvedev suggested that Russia would build and operate six aircraft carriers by 2025; obviously, that’s not going to happen. 

No Aircraft Carriers for Russia?

The aviation capability of the Russian navy is dangling by a thread. Kuznetsov is old and in poor condition, and no carrier is even close to be laid down. The Russian surface fleet has not received a great deal of attention in the latest military modernization plans, and the Russian shipbuilding industry has not constructed a warship the size and sophistication of Kuzentsov since… well, Kuznetsov.

That said, the Kremlin seems to view aircraft carriers as an important contributor to national prestige. The Russian navy took great pains to get Kuznetsov into position to support operations in Syria, and despite the embarrassment associated with that, has now pushed the carrier into a major refit. If the Kremlin determines that it needs a carrier to keep pace with France, Britain, China and India, it will need to begin seriously considering how to build or acquire such a ship.

It is not inconceivable that Moscow may consider ordering a carrier from Chinese yards in the future, however profound a reversal that might seem. Otherwise, Russia needs to start solidifying its construction timelines soon.

About the Author: Dr. Robert Farley 

Robert Farley, a frequent contributor to the National Interest, is author of The Battleship Book. He serves as a Senior Lecturer at the Patterson School of Diplomacy and International Commerce at the University of Kentucky. His work includes military doctrine, national security, and maritime affairs. He blogs at Lawyers, Guns and Money and Information Dissemination and The Diplomat.

Image Credit: Creative Commons. 

Ouagadougou, le 08 août 2024 – Vista Group Holding est heureux d'annoncer la finalisation de l'acquisition de 100 % de Banco Société Générale Moçambique, élargissant ainsi sa présence en Afrique. Cette banque, qui compte actuellement huit (08) agences, sera rebaptisée Vista Bank Moçambique.

Simon Tiemtore, président de Vista Group Holding, a déclaré : « Notre acquisition de Banco Société Générale Moçambique représente une étape importante dans le parcours du groupe Vista Bank vers son objectif de devenir un groupe de services financiers panafricain de classe mondiale, avec des opérations dans 25 pays d'ici 2026. Cette nouvelle acquisition permet au Groupe d'accroître son soutien et son impact sur la croissance économique et l'inclusion financière en Afrique. Avec cette opération, nous opérons désormais dans cinq pays : le Burkina Faso, la Gambie, la République de Guinée (Conakry), le Mozambique et la Sierra Leone. »

Le groupe Vista, qui appartient à Lilium Group LLC, propose une gamme complète de produits, solutions et services bancaires innovants et accessibles à tous, y compris aux particuliers, aux petites et moyennes entreprises (PME), aux entreprises et aux gouvernements, contribuant ainsi à promouvoir l'inclusion financière, la croissance économique et la prospérité dans ses pays d'opération.

A propos de Vista

Le Groupe Vista est une société holding de services financiers dont l'objectif est de devenir un établissement financier panafricain de classe mondiale et de participer à l'inclusion économique et financière en Afrique.

Vista a établi des partenariats avec plusieurs établissements financiers internationaux afin de mettre en œuvre sa stratégie de croissance dans le secteur des M&PME (services bancaires aux PME, leasing, affacturage, mésofinance, services bancaires aux femmes, etc…), du financement du commerce et de la chaîne logistique, le corporate banking ainsi que la bancassurance.

Le Groupe Vista nourrit l'ambition de saisir toutes les opportunités sur ses marchés afin de devenir un établissement financier de tout premier choix grâce à des produits bancaires et d'assurance innovants.

Summary and Key Points: Navies initially explored hybrid battleship-aircraft carriers to integrate air power with traditional naval firepower. The Royal Navy's HMS Furious in 1918 marked the first attempt, leading to conversions like the Lexington and Amagi classes.

-Japan's WWII-era Hyuga and Ise carried aircraft but faced operational issues. The U.S. Navy also converted cruisers into Independence-class light carriers during WWII. However, these hybrid conversions often suffered from design flaws and limited success.

-Despite their shortcomings, these ships provided crucial lessons that shaped future purpose-built aircraft carriers.

The Unlikely Union: When Battleships Became Aircraft Carriers

Both aviators and sailors grasped early on that aircraft could revolutionize some aspects of naval warfare. At the very least, manned aircraft could supply the battlefleet with information about the enemy's size and disposition; at the most, these aircraft could deliver ordnance themselves. As the relationship between ships and aircraft developed, it became apparent that having some means of launching planes directly from ships offered the best chance of successfully integrating aircraft into fleet operations.

And almost as soon as navies began to contemplate the idea of aircraft-carrying warships, they started thinking about how to combine the virtues of the battleship and the aircraft carrier into a single large hull. For decades, usually with minimal success, navies would pursue the dream of a hybrid battleship-aircraft carrier.

Early Models

The first effort at a hybrid carrier hit the water in 1918. The Royal Navy, at a loss with what to do with the large, fast, but nearly useless HMS Furious, decided to convert her into a combination aviation warship. Initially intended to carry two 18” guns in single turrets, fore and aft, Furious was modified during construction to carry seaplanes, necessitating the removal of the forward turret.  Early trials indicated some prospect for the launching and landing of conventional aircraft, although such tests often proved fatal to aviators. Eventually, the aft turret was also removed, offering a more suitable arrangement and allowing Furious, along with several conventional aircraft, to engage in precursors to the great carrier raids of World War II.

At the end of the war, the Royal Navy ditched the idea of a hybrid, but still saw considerable value in big battleship hulls. Consequently, it fully converted Furious into an aircraft carrier, followed by her two half-sisters Courageous and Glorious. The incomplete battleship Eagle received the same treatment. The Washington Naval Treaty actively encouraged similar behavior in Japan and the United States, leading to the conversion into aircraft carriers of two Lexington-class battlecruisers, one Amagi-class battlecruiser, and one Tosa-class battleship. 

Even at this point, the allure of combining heavy guns with aircraft carrying capacity remained.  Many of the conversions continued to carry heavy (although not battleship caliber) guns, weapons that were often removed as the vulnerabilities of carriers to gunfire became apparent. For their part, most of the battleships that survived World War I and the interwar naval treaties acquired floatplanes of their own. Of new construction, the giant Yamatos could carry seven aircraft, and most other battleships two or three. The relationship between carrier and battleship would remain unsettled, but general agreement emerged that large warships should either be (mostly) aircraft carrier or (mostly) battleship. 

Success?

In the late 1930s, the Imperial Japanese Navy (IJN) built a pair of heavy cruisers, Tone and Chikuma, with the main armament forward and the aft deck dedicated to flight operations. This provided IJN task forces with a few extra scouting aircraft. In June 1942, the IJN Navy came to the conclusion that it required more flight decks. At first, it gave strong consideration to converting Hyuga and Ise, two of its older battleships into aircraft carriers. Expensive and time-consuming, this would have resulted in slow, substandard ships. Instead, IJN opted for half measures, removing the aft two turrets and replacing them with a flight deck, catapults, and other aviation equipment. Theoretically, Hyuga and Ise could now each carry thirteen aircraft of various types, while also retaining a main armament of 8 14” guns in four twin turrets. 

Japanese desperation continued to grow, however. Around the same time Hyuga and Ise entered reconstruction, the IJN determined to redesign one of its new Yamato-class battleships, then under construction, into an aircraft carrier. The resultant Shinano displaced around 60,000 tons and was, for a carrier, stoutly built and well-armored. Intended as an aviation support ship, she did not carry many aircraft, but had extensive machine shops, stores, and other facilities to provide services to a carrier battle group. 

Fortunately or not, the IJN never operated Hyuga and Ise in their carrier configuration. The lack of pilots and crew became more severe than the lack of flight decks, and the aviation areas of the ships were mostly used for anti-aircraft guns. Both ships almost encountered the U.S. battlefleet at Leyte Gulf, however, where they would have suffered from the lack of their rear turrets.  For her part, Shinano was lost to submarine attack during her shakedown cruise, and never launched aircraft in anger.

The United States Navy (USN) also returned to the well of carrier conversions, halting construction of nine Cleveland-class light cruisers and redesigning them as the Independence-class light aircraft carriers.  Although small, these ships were fast enough to support fleet carrier operations from 1943 on, and provided a key bridge between the early war carriers and the excellent Essex class ships.  The USN later built the two Saipan-class light carriers on Baltimore-class heavy cruiser hulls, and used design work for the massive Montana-class battleships on the huge Midway-class carriers. 

Final Shots: 

Few of the conversions were entirely successful. Every Japanese carrier converted from a battleship was lost during the war. Three out of the four British conversions met the same fate, as did USS Lexington and Independence-class carrier USS Princeton.  Converting battleships offered a shortcut to carrier aviation, but ensured that the resultant carriers would have significant design flaws.  Nevertheless, these early ships helped all of the navies develop lessons for their later, purpose-built aircraft carriers.

About the Author: Dr. Robert Farley 

Dr. Robert Farley, a frequent contributor to TNI, teaches at the Patterson School of Diplomacy and International Commerce at the University of Kentucky. He is the author of the Battleship Book and can be found at @drfarls.