Des échauffourées brutales ont éclaté entre les membres des forces de l’ordre, et les manifestants accusés par les autorités de pillages, sous couvert de protestations sociales. Les heurts parfois violents ont conduit à des jets de cocktails Molotov et à une quarantaine d’arrestations. Une synagogue à Djerba-Houmet Souk a subi une attaque incendiaire par deux motards qui ont lancé deux cocktails Molotov dans le hall du lieu de culte juif, sans faire de dégâts autres que matériel. Cette flambée de violence contre le programme d’austérité du gouvernement tunisien a touché plusieurs villes et petites bourgades du pays et où des routes ont été coupées. Des jeunes ont jeté des pierres sur les policiers et sur l’armée dépêchés en renforts qui ont répliqué par des jets de gaz lacrymogènes indiquent les agences de presse, précisant que d’importants cordons de sécurité assurent la protection des institutions républicaines. Le puissant syndicat UGTT, tout en reconnaissant la légitimité des revendications de nombreux jeunes sans emploi, ont condamné «la violence et le pillage», appelant à «protester de manière pacifique pour ne pas être utilisés par des parties qui ne veulent pas le bien de notre expérience démocratique naissante», a souligné la Centrale espérant voir le calme se réinstaurer dans le pays, car, ces soulèvements remémorent la contestation sociale qui a conduit en 2011 à la fuite de Ben Ali vers l’Arabie Saoudite. Ces soulèvements populaires qui ont des accointances avec «le printemps arabe», et les évènements qui se sont passés en Egypte, à la suite de la hausse du prix du pain, ayant précipité la chute du régime pharaonique de Hosni Moubarak inquiètent au plus haut point les dirigeants tunisiens qui, depuis plusieurs années, n’arrivent pas à faire redécoller l’économie ni à faire baisser la courbe du chômage. Les lignes de crédits s’accumulent. En 2016, le Fonds monétaire international a débloqué en 2016 2,4 milliards d’euro, remboursable sur 4 ans, en échange d’un programme visant à réduire les déficits. Excédés par les difficultés pécuniaires, non pas à joindre les deux bouts de mois, mais à le commencer, les hausses contenues dans la loi de Finances 2018, ont été la goutte qui a fait déborder le vase. Le mouvement «Fech Nestannew» dans ses revendications appelle à ce que la loi de Finances 2018 soit révisée, en réclamant une meilleure couverture sociale, pour les plus fragilisés des Tunisiens et un plan de lutte contre la corruption. Pour l’instant, l’Agence tunisienne de presse n’a annoncé que le limogeage du directeur des impôts, quant au président de la République Caïd Essebsi dans un message à la nation s’est dit «pleinement conscient des mesures douloureuses contenues dans la loi de Fnances, reconnaissant que le gouvernement n’a d’autres alternatives que de prendre de telles mesures pour rétablir les équilibres financiers», rapporte l’ATP. Equilibres financiers, cela va de soi qu’impose le FMI en contre-partie des 2,4 milliards d’euros de ligne de crédits remboursables sur 4 ans.
Amar Khelifi
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par Farouk Zahi
« Le snobisme consiste à pouvoir se placer toujours dans les endroits où les autres n’ont pas accès ». (Salvador Dali ).Il pleut des cordes en ce mercredi 8 janvier 2018. Parti aux aurores, ce vieux couple résidant à 70 kms à l’ouest de la capitale avait rendez- vous au service prestataire cité en titre pour y déposer un dossier afin obtenir un visa d’entrée en France. Il a fallu au vieux conducteur, une éternité pour parcourir le tronçon les Grands vents-Ben-Aknoun pour enfin parvenir à proximité du siège de la structure consulaire dont le rendez-vous était fixé pour 9h. La phobie de rater le rendez-vous venait juste de s’estomper qu’une nouvelle série d’angoisses se saisit du couple. S’immobilisant devant le mauvais accès, l’épouse débarquée, malade de surcroit dut aborder la cote raide à pied parceque le policier en faction ce jour là, intimait l’ordre sans ménagement, au vieux conducteur de quitter les lieux. Trouver un lieu de garage en ces lieux hyper encombrés par le flux circulant relève du défi pour ne pas dire de l’impossible car l’aire de stationnement en amont était pleine à craquer. Après avoir remonté la cote sous le charivari de klaxons impatients, le vieux monsieur se résigna à marauder entre les points giratoires d’El Achour et de Ben-Aknoun. A quelques centaines de mètres, sa conjointe l’appelle pour lui demander de revenir pour récupérer son téléphone mobile car l’appareillage est interdit d’accès. Cet écueil aurait pu être évité s’il avait été mentionné sur la convocation. Arrivé à hauteur de l’accès principal, le vieux conducteur en grignotant sur le trottoir pour ne pas gêner la circulation automobile, s’immobilise un cours instant en cherchant du regard son épouse pour pouvoir se signaler et récupérer ainsi l’objet proscrit. Mal lui en pris, car notre agent de l’ordre public veille au grain et tout de go dit au « contrevenant » : « J’ai l’impression que n’avez point honte vous ! ». Interloqué et vexé par tant d’irrévérence, le vieux, tenta une explication le policier, cramoisi partit d’un : « Papiers du véhicule ! ». Le vieux monsieur balbutia : « Bon çà va, je quitte les lieux ». La bouche amère, il se demandait qu’aurait-il fait s’il avait quelques décennies de moins. La violence verbale, contrairement à ce qu’on croit, laisse plus de stigmates sur l’individu malmené que les voies de faits elles mêmes. Le ressentiment dans pareils cas ne peut générer que de la rancœur, voire même de la haine.
A la troisième rotation, le « maraudeur » sollicita le gardien d’une résidence immobilière qui eut l’obligeance de le laisser garer son véhicule, le temps de s’enquérir de la situation de son épouse. Arrivé en claudiquant au siège de TLS, il découvre une foule stationnée dans un espace ouvert aux quatre vents en attente de l’heure du rendez vous fixé. Des pancartes portant les différents horaires indiquent la rampe à prendre.
Il aura fallu, à la vieille dame près d’une heure pour vérification et dépôt de son dossier. Au sortir de l’enclave diplomatique, le vieux s’inquiéta du devenir du téléphone mobile, son conjoint l’informa qu’il est en dépôt dans un kiosque en amont sur l’autre trottoir contre un numéraire de 100 DA. L’homme algérien a un génie propre pour trouver des réponses à l’adversité qu’il vit au quotidien. Une manne inespérée et surtout défiscalisée générée par des flux incessants de demandeurs de visas. Et pour ne privilégier aucune hypothèse malveillante, disons que le tenancier fait œuvre utile en délivrant ce service. Après la récupération de l’appareil téléphonique, le vieux couple se dirigea vers le policier qui se trouvait, à présent, devant l’entrée du parc zoologique pour lui signifier sa désapprobation vis-à-vis du comportement affiché à l’endroit du vieux monsieur. Il nia en bloc, le propos qu’il a tenu et rappelle à ses interlocuteurs qu’il ne faisait que son travail. Le vieux mari, lui rappela que son attitude intransigeante aurait pu être préjudiciable à la santé, déjà, précaire de son épouse. Point démonté, il répliqua par cette phrase assassine : « Et bien, il y aura toujours l’hôpital ! ». La sage sentence ne dit-elle pas ? : « Si tu n’as point honte, fait ce qui te plait ? ».
Les plus hautes hiérarchies des corps de sécurité dont la DGSN, font des efforts louables en direction de leurs éléments pour la promotion de la communication en direction du contribuable ; pour ce faire elles ont, même, initié tout un service chargé du respect des droits humains sauf que les résultats escomptés doivent être ressentis par le citoyen au niveau du dernier maillon de la chaine qui ne peut être que l’agent de l’ordre public.
Quant aux services consulaires et dont les prestations intramuros n’appellent aucune remarque, ils se doivent moralement de veiller à l’accessibilité de leur site. Engorgé par la circulation automobile et n’offrant aucune possibilité d’arrêt ou de stationnement, la rue qui y mène est fortement décline se qui n’arrange en rien l’accès des grands malades, handicapés et autres personnes âgées.
Après un voyage le plus souvent éprouvant, certains postulants de l’intérieur du pays peinent à trouver une aire de stationnement et quand ils sont éconduits par les agents de la circulation, n’ayant aucune notion sur l’élément spatial, ils auront toutes les chances de se perdre et de rater l’heure du rendez- vous tant attendu.
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par Cherif Ali
La situation du pays au double plan économique et social, déjà propice à la contestation est partie pour l’être davantage à présent que sont entrées en application les mesures d’austérité édictées par la loi de finance 2018. Ce constat partagé bien évidemment par tous les observateurs de la vie publique, a été établi par un chroniqueur qui rappelle que les autorités, encore sous le coup du syndrome des émeutes de janvier 2011 qui ont surpris par la soudaineté de leur propagation, ont usé de la répression contre les médecins résidents grévistes, pour rappeler à ceux qui seraient tentés de « battre le pavé » dans la capitale, que la cité est interdite aux manifestations depuis 17 ans ! Que reste-t-il à faire à ces étudiants en médecine, jeunes en majorité, pour faire entendre leur voix et pour le moins, faire aboutir leurs doléances ? Ils ne contestent pas le service civil, disent-ils ? Encore moins la rémunération qui leur est allouée, quoique ! Ils veulent que les autorités publiques qui décident de leur affectation mettent à leur disposition les moyens adéquats pour qu’ils puissent, serment d’Hippocrate oblige, prendre en charge dans les règles de l’art les populations du Sud et des hauts plateaux et ainsi exercer convenablement leur métier dans les déserts médicaux : un plateau technique et un logement ! Au lieu d’ouvrir un dialogue avec eux, on a recouru à la force, vient d’alerter fort à propos l’occupant du « banc public » (*) ; qu’on ne se plaigne pas, poursuit-il, s’ils décident de quitter en masse le pays ; ils vont partir, de plus en plus nombreux, en masse, en sang, en chaloupe ; la matraque, le mandarinat des rentiers de la santé, la primauté de l’administration sur la compétence vont les pousser à s’en aller. Qui en payera le prix s’interroge ce journaliste ? Vont-ils se résigner, rentrer dans les rangs à l’approche des examens et se taire, peut-être bien ? Ou continuer à s’indigner, à défaut de pouvoir défiler de « Bastille à Nation », dès lors que c’est interdit et que cela risque, c’est vrai, de dégénérer ? Bien évidemment, ils doivent placer leur combat dans un esprit démocratique et civilisationnel loin de toute forme d’anarchie dont certains veulent affubler leur démarche. Mais sinon, leur indignation participe de la salubrité publique, car souvent, beaucoup de questions sont traitées dans notre pays en vase clos ; ce qui oblige tous ceux qui ont quelque chose à porter leurs doléances, via les réseaux sociaux, la radio, la télé et les journaux indépendants, même si cela est vrai aussi, dans notre pays, on n’arrive pas encore à débattre entre personnes civilisées, tolérantes, sachant s’écouter et accepter l’avis de l’autre ! Il faut le dire aussi, s’exprimer ainsi et en ces lieux et pourquoi pas s’indigner en conséquence, ne participe ni de l’anarchie, ni du trouble à l’ordre public. L’objectif étant de faire avancer les choses et le pays avec, en mettant de côté les égoïsmes des uns ou des autres et les formulations éculées de type « y’a qu’à » ou « il faut que ». Ou botter en touche, en affirmant que « cela ne relève pas de mon secteur », comme vient de l’affirmer le ministre de la santé. Il faut s’indigner, tout comme les jeunes de Nabni malgré l’absence d’intérêt porté à leurs propositions. Vont-ils se résigner pour autant ? Ou se taire ? Ne dit-on pas que le silence est la vertu des sots ? A moins d’être fortement imprégné de l’esprit de Tahar Djaout et de s’approprier sa citation : « Le silence c’est la mort. Et toi, si tu parles tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, parles et meurs ! ». Rappelons-nous aussi des années 1990 ou ceux qui par ignorance des enjeux politiques de l’époque, ont failli nous précipiter dans les abysses. Ce sont tous les abstentionnistes, « je m’en foutistes, » ! Ou encore les «bof istes » et autres fatalistes de tout bord, qui n’ont eu de cesse de geindre, croyant alors que les élections étaient gagnées d’avance, comme à la belle époque du parti unique. Et la suite on l’a payée cher : 200 000 morts ! Aujourd’hui, le pays va-t-il se faire avec ou sans les jeunes même si un certain nombre d’entre eux commence à s’imposer dans les sphères économiques, culturelles, sportives et même politiques. Pourront-ils pour autant recadrer, poliment peut-être, mais avec beaucoup de détermination, ceux qui ne veulent pas passer le témoin, depuis notamment le fameux discours, de référence, de Sétif : « Tab djenana », avec lequel ils ont pris date ? Pour l’heure, ils sont nombreux à espérer et à s’indigner quand ceux d’en haut feignent de ne pas entendre le bruit sourd de ceux d’en bas. Ils sont aussi légion ceux qui ne veulent plus du pays malgré « l’insistance des aînés ». Ce sont les « harragas » ! L’Etat ne peut raisonnablement les retenir en dépit de la loi qui pénalise leur acte ! L’Etat ne peut pas également donner un local commercial à tous ces jeunes en errance, les redéployer dans les marchés ou les recruter en qualité de veilleurs de nuit ou d’agents de sécurité ! Fatalement, ils continueront donc à tenter le diable ! Ils joueront, intrépides ou insouciants qu’ils sont, leur vie en solo dans des barques désuètes, à moins que les pouvoirs publics ne leur trouvent des destinations d’immigration du style Australie ou Canada. Tous ces «desperados », faut-il le dire, ne veulent plus du pays ! Et même ceux qui sont porteurs de titres et diplômes supérieurs, pensent qu’après les études, leur salut est ailleurs ! Non pas dans la fuite, mais en vue de se désaltérer, de souffler et de se réinventer pour revenir riches d’expériences nouvelles, imprégnées de la créativité et de l’enthousiasme qui fleurissent aujourd’hui aux coins du monde, disent-ils ! Sans langue de bois, une fois n’est pas coutume et parfois de manière triviale, en tous les cas, juste assez pour choquer les biens pensants, interpeller les consciences et casser quelques tabous : Partez alors si vous voulez, revenez, repartez encore, revenez de nouveau ! C’est ce que préconise les auteurs du livre «Barrez-vous » et qu’on peut encore paraphraser pour dire à nos jeunes, ceux qui piaffent d’envie de partir : « L’Algérie ce n’est pas uniquement votre pays de naissance, qui est vôtre, mais le monde entier ; faites-vous violence si nécessaire, mais emparez-vous-en ! N’hésitez plus, choisissez une destination où le monde est en train de se faire, là, tout de suite, que ce soit Tbilisi, où la Ministre de l’économie, la patronne de la police nationale et le seul conseiller du président sont tout juste trentenaires, ou Shanghai, Mexico ou Santiago ». Mais, qu’on se mette d’accord, il ne s’agit pas ici de faire l’éloge de la fuite de nos jeunes qui condamnerait notre pays à terme, mais les encourager à partir explorer le monde, à faire des rencontres qui changeront leurs vies, et après, d’en faire profiter leur pays, l’Algérie !(*) Kamel Daoud
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«Je me voyais carrément faire toute ma carrière en Turquie»
Dans un long entretien accordé à Onze Mondial, Sofiane Hanni a évoqué plusieurs sujets relatifs à sa carrière de footballeur. Il est revenu sur ses débuts au FC Nantes, en passant par l’épisode du championnat turc, jusqu’à son club actuel, Anderlecht. Le joueur de l’EN affirme qu’il ambitionne de viser encore plus haut. Extraits !
«Je suis quand même fier du chemin parcouru jusque-là»
De son premier contrat pro signé à l’âge de 18 ans au FC Nantes, jusqu’à Anderlecht, Sofiane Hanni s’est montré fier du chemin qu’il a parcouru : «Je m’attendais à réussir au FC Nantes, à jouer régulièrement avec les pros dans mon club formateur. Malheureusement, ça ne s’est pas passé comme prévu. J’ai dû aller voir ailleurs. Huit ans après, je me retrouve ici. Je suis quand même fier du chemin parcouru jusque-là», a-t-il déclaré avant de revenir sur l’épisode de son départ à l’âge de 20 ans du FC Nantes : «Je venais de passer six années à Nantes où j’ai été formé. (Il souffle). Partir de là-bas sans avoir accompli mes objectifs a été très difficile. Je le vivais comme un échec. Quand on m’a annoncé qu’on ne me prolongeait pas, j’étais forcément déçu parce que je me sentais capable de réussir à Nantes. J’en avais vraiment envie. Mais voilà, après, je me suis vite remotivé et je me suis dit qu’il n’y a pas qu’un joueur dans le foot et qu’il n’y a pas qu’un club non plus. Passe à autre chose Sofiane (…). Je voulais tout faire pour leur montrer qu’ils avaient eu tort de ne pas m’avoir conservé. A partir du moment où le club m’a dit que c’était terminé, mes nouveaux objectifs étaient les suivants : me prouver à moi-même que ma carrière n’était pas terminée et montrer au club qu’il avait fait une erreur avec moi.»
«Je me voyais carrément faire toute ma carrière en Turquie»
Par la suite, Hanni a évoqué la seconde étape de sa carrière en Turquie : «C’est bien différent de la France. C’est une culture différente. C’est un pays musulman donc pour moi, c’était plus facile. J’étais avec d’autres joueurs étrangers qui avaient un peu de mal car ils n’avaient pas cette culture religieuse. J’étais dans une ville atypique, Kayseri. En France, les villes comme ça n’existent pas. C’est un peu le bled quoi (sourire). J’ai vraiment aimé. Surtout l’accueil des gens, que ce soit les gens au club, les joueurs, les entraîneurs, les supporters, le président. Les Turcs sont vraiment chaleureux. Ça m’a beaucoup plu. Je me voyais carrément faire toute ma carrière en Turquie», a-t-il déclaré, avant d’ajouter : «Parce que j’ai fait trois saisons là-bas, en deuxième division avec de bonnes statistiques individuelles. D’ailleurs, lors d’une saison, je suis monté en D1 avec le club en terminant meilleur passeur du championnat. (Il coupe). Ils ont une mentalité différente là-bas. Dans le sens où un joueur de D2 reste un joueur de D2 et un coach de D2 reste un coach de D2. Pour eux, ils ne peuvent pas évoluer plus haut. Donc, lorsqu’on est montés en D1, ils ont changé d’entraîneur. Et l’entraîneur qui est venu a ramené ses gars et viré tous les joueurs. J’ai pris un coup au moral par rapport à ça. J’ai signé ensuite dans un autre club en Turquie. J’ai fini une deuxième fois meilleur passeur du championnat. J’avais encore de bonnes stats. Mais malgré tout ça, je n’avais aucune proposition en D1. Et moi, je voulais passer ce cap. Et tant que j’étais en D2, ce n’était pas possible. Si je n’avais rien eu, je serais resté… Mais à ce moment-là, Malines s’est intéressé à moi. Les dirigeants sont venus voir un de mes matchs et m’ont proposé un contrat. J’ai sauté sur l’occasion.»
«Toute ma vie, c’est le foot. Je veux juste jouer. Il n’y a que ça qui puisse me rendre heureux»
Par la suite, Sofiane Hanni s’est expliqué sur les raisons de son adaptation au championnat : «J’ai l’habitude de m’adapter assez vite. Je suis quelqu’un qui… (Il coupe). Je ne me focalise pas trop sur la vie extérieure en fait. Tant que je suis sur le terrain, tout va bien, je suis content. Surtout lorsque je peux m’exprimer. Toute ma vie, c’est le foot. Je veux juste jouer. Il n’y a que ça qui me rend heureux. La Belgique est une culture totalement différente de la Turquie mais ça se rapprochait clairement de la France», dira Hanni avant d’enchaîner : «De ce que j’ai connu jusque-là, je ne pourrais pas dire que ce serait une mauvaise carrière de finir en Belgique. On vient de dire que j’ai relancé ma carrière ici, maintenant, mes objectifs sont plus importants. Je voulais m’imposer dans ce championnat, ensuite, je voulais rejoindre un gros club belge, c’est ce que j’ai fait. Aujourd’hui, je suis heureux à Anderlecht. J’ai pu découvrir l’Europa League l’an dernier et la Ligue des Champions, cette année. Moi, je cherche toujours à progresser. Je ne veux pas dénigrer le championnat belge ou Anderlecht qui est un grand club. Je suis fier d’évoluer dans ce club. Mais j’ai de l’ambition. Si je peux aller plus haut, je ne vais pas me gêner.»
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Le ministre zambien des Affaires étrangères, Harry Kalaba, a annoncé mardi sa démission du gouvernement, invoquant l’échec de la lutte contre la corruption. Dans un article posté sur sa page Facebook, M. Kalaba a déclaré qu’il ne pouvait pas continuer son travail au gouvernement. « Je viens de présenter ma lettre de démission en tant que ministre des Affaires étrangères au président Edgar Lungu – un poste que je chéris et occupe pendant plus de quatre ans », a-t-il ajouté, précisant qu’il resterait toutefois député du parti au pouvoir. Cependant, le porte-parole de la présidence zambienne, Amos Chanda a déclaré aux médias locaux que la présidence n’avait pas encore reçu la lettre de démission.
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Les Etats-Unis étaient plus que jamais repliés sur eux-mêmes en 2017 suite aux décisions brutales du président Donald Trump concernant plusieurs questions internationales qui ont renforcé le spectre d’une Amérique honorant de moins en moins ses engagements internationaux.
En une année seulement, M.Trump a multiplié, au non du slogan l’«Amérique d’abord», le retrait des accords internationaux et des organisations onusiennes, tournant le dos au multilatéralisme et aux décennies d’engagements des anciennes administrations américaines. Dès sa prise de fonction en janvier 2017, Donald Trump donne le ton de sa politique commerciale à l’international, en retirant les Etats-Unis de l’accord TransPacifique signé en 2015 avec 11 pays de l’Asie-Pacifique.
M.Trump a proposé à la place de ce traité des accords bilatéraux qu’il dit vouloir négocier avec les pays de cette région dans la foulée de ses promesses de préserver les emplois et les entreprises industrielles américains. Mais son retrait spectaculaire de l’accord de Paris sur le climat en juin dernier, a été sans doute l’une des décisions hâtives du président, prise sans en évaluer les conséquences, s’accordent à dire les analystes. La première puissance occidentale est devenue ainsi le seul pays qui ne fait pas partie de ce pacte visant à réduire le réchauffement climatique dans la planète. Le désengagement de l’accord sur le climat a été suivi par deux autres retraits de l’Unesco et du pacte mondial sur les réfugiés ainsi que par l’annonce de la renégociation de l’accord de libre échange nord-américain (Alena) et les tentatives de faire échouer l’accord sur le nucléaire iranien. «L’Amérique d’abord» de Donald Trump est en train de se transformer en «Amérique seule», ironisent certains analystes à Washington pour résumer cette situation. L’isolement des Etats-Unis s’est accentué en décembre après la décision de Donald Trump de considérer El Qods occupée comme capitale d’Israël. Dans une rupture spectaculaire avec la politique américaine au Moyen-Orient, le président américain a décidé unilatéralement de déplacer l’ambassade américaine à la ville sainte au mépris des réactions de toute la communauté internationale. L’ONU qui a vivement critiqué le revirement américain sur le processus de paix au Moyen-Orient, a déclaré la décision «nulle et non avenue» lors d’un vote écrasant de l’Assemblée générale de l’ONU qui a symbolisé cet isolement. Les Etats-Unis sont désormais disqualifiés du rôle de sponsor de paix de l’aveu même de hauts responsables de la Maison Blanche. Le leadership américain a perdu de son influence, en partie en raison du rôle réduit du département d’Etat dans la gestion des grands dossiers internationaux. Le secrétaire d’Etat, Rex Tillesron, dont le départ du département d’Etat a été évoqué plusieurs fois cette année, ne dispose pas de mêmes leviers d’influence diplomatique que ses prédécesseurs. Son désaccord avec le président Trump sur plusieurs questions internationales, dont celle d’El-Qods occupée, a réduit sa marge de manoeuvre diplomatique. Cette situation a été exacerbée par les démissions des diplomates d’expérience et le limogeage de nombreux responsables qui constituaient la cheville ouvrière du département d’Etat, alors que plusieurs nominations aux postes diplomatiques en Afrique et au Moyen-Orient accusent un retard important. Dans le sillage de critiques du département d’Etat, le camp démocrate a dénoncé «les dégâts causés» à la diplomatie américaine, critiquant sévèrement l’attitude de la Maison-Blanche à l’égard de ce département stratégique. La première année de Donald Trump à la Maison-Blanche a été ponctuée de polémiques. Le président qui voulait renverser les normes politiques à Washington s’est mis à dos la presse, l’establishment et même les Républicains. Tweeter est devenu à cet effet son seul moyen de communication.
Une semaine après son investiture, Trump signe un décret migratoire interdisant l’entrée temporaire aux Etats-Unis aux ressortissants de six pays à majorité musulmane. Son action a suscité la consternation de la classe politique américaine et des ONG. Une version atténuée du décret a été validée en décembre par la Cour suprême après une année de bataille juridique. Le président récidiviste a ensuite suscité une avalanche de critiques l’été dernier lorsqu’il a déclaré que la responsabilité des heurts violents de Charlottesville qui ont opposé la droite suprémaciste aux manifestants devait être «recherchée des deux côtés». Trump s’est ensuite rétracté en dénonçant le racisme et l’organisation suprémaciste KKK (Ku Klux Klan) mais n’a pas réussi pour autant à atténuer la polémique engendrée par son premier discours sur les événements. L’intégrité du président américain a été, une fois encore, mise à rude épreuve après le renvoi, sans préavis, du chef du FBI, James Comey, en pleine enquête sur l’affaire du présumé piratage russe.
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Une menace qui ne laissera pas les forces de sécurité en Algérie indifférentes.
Selon une agence de presse allemande, citant un ancien responsable du gouvernement libyen «les Etats-Unis d’Amérique comptent bien installer une base au sud-ouest de la Libye». Cette annonce a été faite lors d’un entretien accordé par ce même responsable Ahmed Kadhaf Eddam, à cette agence de presse rapporte le site Tunisie Numérique. Le but, selon lui, est de contrôler les pays subsahariens. Ce n’est pas le seul objectif des USA, puisque la même source souligne qu’une autre base devrait être installée au niveau du littoral libyen sous prétexte «de combattre les vagues de l’immigration clandestine vers les côtes européennes». Dans cette logique et selon toujours ce responsable, les USA vont agir sous la couverture des nouveaux foyers de violence et des actions terroristes devant naître au niveau de cette zone. C’est d’autant plus une raison toute programmée pour justifier cette présence américaine alléguant de terminer la guerre contre le terrorisme. Sinon, comment expliquer l’arrivée en masse des terroristes de l’Etat islamique, chaque jour vers la zone frontalière entre la Libye et la Tunisie? Dans ce contexte le même responsable souligne dans ses interventions «les forces occidentales, après avoir entraîné les terroristes de tous bords, en Libye, pour les envoyer en Syrie et en Irak, sont, actuellement, après la déroute de Daesh, en train de les ramener par centaines chaque jour, en Libye, pour les baser au niveau de la zone frontalière avec la Tunisie». Une menace qui ne laissera pas les forces de sécurité en Algérie indifférentes et dans ce cas, confient des sources très bien informées, l’Algérie va prendre des mesures indispensables à la hauteur de cette nouvelle donne, surtout que les autorités militaires du pays n’écartent pas cette éventualité, pour eux chaque détail compte et chaque nouvelle donne est prise en considération, le but étant d’adapter le dispositif sécuritaire aux nouveaux renseignements. La réaction de l’Algérie qui n’acceptera aucun chantage quand il s’agit de la sécurité de ses frontières et sa souveraineté sera conséquente. Il est clair que les Occidentaux cherchent à créer d’autres zones de tension pour des intérêts purement économiques et le seul moyen dont ils se servent a toujours été la violence. Cela dit, il est également arbitraire de constater que les USA sont présents en force au Niger. Plusieurs sites évaluent le nombre de G’IS à 800 éléments. On parle d’une guerre juste aux frontières de l’Algérie. La présence de ces soldats américains en nombre dans cette zone est expliquée par un membre du Congrès américain comme étant une préparation à de grandes opérations antiterroristes auxquelles l’Algérie est invitée à participer, néanmoins cette invitation a été déclinée puisque l’Algérie au nom du principe de non-ingérence dans les affaires internes des pays ne compte certainement pas s’aventurer en envoyant ses soldats dans des conflits montés.
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Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a fait part de sa préoccupation après les informations faisant état d’une violente répression de manifestations par les forces nationales de sécurité à Kinshasa et dans certaines villes de la République démocratique du Congo (RDC), faisant au moins cinq morts, plusieurs blessés et entraînant l’arrestation de plus de 120 personnes. «Le secrétaire général appelle le gouvernement et les forces nationales de sécurité à faire preuve de retenue et à respecter les droits du peuple congolais aux libertés d’expression et de manifester pacifiquement», a dit son porte-parole, cité par l’ONU dans un communiqué publié lundi. M.Guterres «exhorte tous les acteurs politiques congolais à demeurer pleinement engagés à la mise en oeuvre de l’Accord politique du 31 décembre 2016 qui demeure l’unique voie viable devant mener à la tenue d’élections, à une alternance pacifique du pouvoir et à la consolidation de la stabilité en République démocratique du Congo», a-t-il ajouté. Selon la presse, les manifestants protestaient contre le maintien au pouvoir du Président Joseph Kabila, alors qu’un accord signé il y a un an prévoyait des élections fin 2017 pour organiser le départ de M. Kabila, dont le mandat s’est achevé en décembre 2016. M. Kabila a assuré que la publication de l’échéancier qui prévoit la tenue de la présidentielle au 23 décembre 2018 «conduit de manière irréversible vers l’organisation des élections».
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« Le cancer? C’est rien comparé au fait d’être rejetée après 18 ans de mariage », assure Linda, abandonnée par son mari, comme de nombreuses Algériennes, après une ablation du sein due à la maladie.
Après l’opération, son mari l’appelait « nass mraa » (demi-femme) ou « lamgataa » (la mutilée), raconte, d’une voix toujours nouée plusieurs années après, cette assistante médicale, mère de trois enfants qui l’ont soutenue face à leur père.
Zohra a, elle aussi, subi une ablation du sein en 2015. Après 25 ans de mariage, son époux a demandé le divorce, la laissant sans ressources. Il « a été odieux », assure cette mère au foyer de 53 ans.
Linda et Zohra ne sont pas des cas isolés. « Des centaines d’Algériennes sont abandonnées par leur mari après un cancer du sein », s’insurge Samia Gasmi, présidente de l’association Nour doha (Lumière du jour) d’aide aux cancéreux des deux sexes.
AFP / RYAD KRAMDISamia Gasmi, présidente de l’association de lutte contre le cancer « Nur Doha », dans une chambre de l’association à Ghardaia, à 600 km au sud d’Alger le 30 octobre 2017Rejetées au moment où elles doivent affronter le traumatisme de l’opération et de lourds traitements, « certaines sombrent dans la dépression », dit Mme Gasmi. « D’autres se retrouvent dans des centres d’accueil car elles n’ont nulle part où aller ».
Difficile de parler de cancer du sein ou de mastectomie en Algérie, où ce qui touche à l’intime est généralement tabou. Les femmes ayant témoigné auprès de l’AFP ont requis l’anonymat et refusé d’apparaître à visage découvert.
Elles « considèrent leur maladie comme honteuse », explique Samia Gasmi. Une malade « a refusé d’en parler à sa propre sœur », une autre « s’est mise à porter le foulard (islamique) avant la chimiothérapie, pour que sa belle-famille ne se doute de rien » et une femme a même « préféré mourir avec ses deux seins plutôt que d’accepter une ablation ».
– ‘Mariage d’amour’ –
Pour Yamina Rahou, sociologue au Centre de recherche en anthropologie sociale et culturelle (CRASC) d’Oran, dans le nord-ouest de l’Algérie, ce sentiment de honte vient de « la souffrance d’être amputée d’une partie (du corps) qui symbolise la féminité ».
Mais aussi « du fait de ne plus être en conformité avec l’image de la femme », ajoute-t-elle.
Le théologien Kamel Chekkat, de l’association des oulémas d’Algérie, rejette toute association de ces comportements à l’islam. « Ce n’est pas un problème de religion mais d’éducation. La religion exhorte les époux à se soutenir mutuellement » et pour l’islam « l’homme honorable honore sa femme et l’homme vil l’humilie ».
L’humiliation, Hayat l’a connue quand son fiancé a rompu, dès qu’elle lui a annoncé sa maladie et l’ablation du sein qu’elle venait de subir en urgence. « Il m’a lancé +Je veux une femme entière, pas une trois-quart de femme+ », raconte en larmes cette étudiante de 30 ans.
Le mari de Saïda, lui, n’a pas attendu qu’elle soit sortie de l’hôpital pour demander le divorce et la garde de leur enfant, mais aussi vider son compte en banque.
Chassée de chez elle, cette médecin aujourd’hui âgée de 55 ans avait dû « prendre une chambre d’hôtel ». « J’étais à bout », se souvient-elle.
AFP / RYAD KRAMDISamia Gasmi, présidente de l’association de lutte contre le cancer « Nur Doha », dans une chambre de l’association à Ghardaia, à 600 km au sud d’Alger le 30 octobre 2017Elle a fini par récupérer son enfant mais, 15 ans après, se dit toujours « détruite » par l’attitude de son ex-mari. « On s’était connus à la fac, nous avions fait un mariage d’amour; il participait même aux manifs pour les droits des femmes, mais n’a pas hésité une seconde à me jeter comme de la merde! »
Fiancée, Safia, une enseignante de 32 ans, a préféré prendre les devants peu après l’ablation de ses deux seins. « J’ai préféré rompre avant que lui ne le fasse, ma belle-famille ne voulait plus de moi. Je n’avais ni la force ni l’envie de lutter ».
– ‘Qui voudra de moi ?’ –
Le cancer du sein est le plus fréquent en Algérie.
Comme au niveau mondial, le nombre de cas recensés a augmenté – cinq fois plus chaque année qu’il y a 20 ans – en raison de meilleurs moyens de dépistage, de l’augmentation de l’espérance de vie mais aussi du changement des modes de vie (moins d’activité physique, surpoids, tabagisme, habitudes alimentaires…), selon les spécialistes.
Chaque année, « 9.000 à 10.000 cas de cancer du sein sont enregistrés » en Algérie, souligne Farid Cherbal, professeur de génétique du cancer à l’université d’Alger. « Environ 3.500 Algériennes en décèdent ».
Pour celles qui subissent une ablation, l’accès à la reconstruction mammaire est difficile. Les structures publiques qui l’offrent gratuitement sont surchargées et dans le privé elle est très coûteuse.
Aujourd’hui, Linda « la mutilée » est divorcée et en rémission. La maladie l’a paradoxalement « libérée », dit-elle, d’un mari qui la battait et lui prenait son salaire.
Au fil de séances de chimiothérapie et radiothérapie, Safia, elle, a perdu 10 kg depuis son opération il y a un an. Elle voit l’avenir en noir. « Mes parents sont là pour moi. Mais qui voudra d’une femme comme moi? »
AFP
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Cinq personnes été exécutées par pendaison hier en Egypte, dont quatre pour un attentat à la bombe, meurtrier, a-t-on appris auprès de responsables sécuritaires. Ces pendaisons interviennent quelques jours après celles de 15 personnes reconnues coupables d’attaques «terroristes» contre des militaires et des policiers dans le Sinaï. Il s’agissait de la plus importante exécution collective en Egypte depuis la pendaison de six jihadistes en 2015.
Quatre des détenus exécutés mardi ont été condamnés par un tribunal militaire pour un attentat à la bombe en 2015 dans un stade au nord du Caire qui avait coûté la vie à trois élèves officiers. Ils ont été accusés d’avoir des liens avec la confrérie des Frères musulmans dont était issu l’ex-président Mohamed Morsi, renversé par l’armée en 2013 après un an au pouvoir et des manifestations de masse contre son régime. Le cinquième détenu a été condamné dans une affaire criminelle de droit commun, ont indiqué les sources sans autres précisions. Les attaques de jihadistes ont tué des centaines de policiers et soldats depuis la destitution de Mohamed Morsi. Et les tribunaux ont depuis condamné des centaines d’islamistes à mort, même si beaucoup ont échappé à la peine capitale en faisant appel.
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Le taux de croissance du Produit intérieur brut hors hydrocarbures, s’est affiché à 3,1% alors que la loi de finances 2017 l’avait prévu à 3,9%.
Les choses ne se présentent pas trop mal toutefois. Pas comme on l’aurait voulu ou espéré. Cela aurait pu être pire, cependant. Fini le temps où l’économie nationale portée à bout de bras par un baril qui planait au-dessus des 100 dollars affichait une santé que lui enviaient de nombreux pays industrialisés. Depuis le début de la dégringolade des prix du pétrole qui a commencé vers la mi-juin 2014, l’Algérie a été happée doucement, mais irrésistiblement par une crise financière qui a sérieusement érodé sa trésorerie et ralenti sa croissance. Il est vrai que cela commence à aller mieux depuis que les prix du baril de pétrole se sont ressaisis, mais il faut admettre que l’évolution se fait à pas de fourmi. Parfois en dents de scie. «La croissance du PIB global de l`Algérie a été de 1,4% au troisième trimestre 2017 par rapport au même trimestre de l’année 2016, indiquaient les chiffres de l`Office national des statistiques publiés hier. «Quant au taux de croissance du PIB hors hydrocarbures, il a été de 3,1% au cours du troisième trimestre de l’année 2017 par rapport à la même période de 2016» écrit l’ONS. Les secteurs d’activités industriels, agricoles et du bâtiment et travaux publics et hydraulique ont été à l’origine d’un tel niveau de croissance. Alors que la loi de finances 2017 l’avait prévu à 3,9%. Ainsi, le taux de croissance a été de 5,9% pour les secteurs d’activités industriels, de 3,2% pour l’agriculture et de 3,9% pour le Btph, précise le rapport répercuté par une dépêche de l’APS. Des chiffres en dents de scie. Après avoir augmenté de 3,7% au premier trimestre de l’année 2017 en raison de la forte production dans le secteur des hydrocarbures, qui avait progressé de 7,1%, principalement en raison de la forte production dans le secteur des hydrocarbures, la croissance du PIB réel est passée à 1,5% au second trimestre 2017 par rapport au même trimestre de l’année 2016, tandis que le taux de croissance du PIB hors hydrocarbures avait totalisé 2,1%.
Des résultats à ériger au rang de performances eu égard aux faibles niveaux affichés par le baril de pétrole. Une conjoncture soulignée par la Banque mondiale. «Une forte croissance de la production d’hydrocarbures et des dépenses publiques supérieures aux prévisions ont sous-tendu une croissance économique solide au début de l’année 2017» soulignait l’institution de Bretton Woods dans son rapport du mois d’octobre sur l’Algérie. La BM avait aussi estimé qu’avec la stabilisation de la production de pétrole, la croissance globale doit se rétrécir, alors que l’impact de la hausse des taxes et des droits d’importation doit peser sur la croissance du secteur hors hydrocarbures. Quelles conséquences doivent-elles produire? La croissance du PIB devrait s’établir à 2,2% pour l’année 2017 a pronostiqué la Banque mondiale qui s’est montrée encore moins optimiste pour 2018-2019 où elle peinera à franchir la barre de 2%. «Soit une croissance anémique pour un pays à revenu intermédiaire présentant une prédominance démographique de la jeunesse», a souligné l’institution de Bretton Woods. Le Fonds monétaire international avait de son côté, indiqué dans son rapport publié aussi en octobre 2017 que la croissance en Algérie devrait ralentir à 1,5% en 2017. Pour chuter à 0,8% en 2018, «sous l’effet de la compression projetée des dépenses publiques, avant de se redresser à moyen terme», avant de se hisser à 2,4% en 2022. Une situation en clair-obscur qui indique que ce n’est encore pas le bout du tunnel.
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Le jeune chirurgien orthopédiste WAlid ALLOUI, par obligation de son noble métier, a rendu l’âme le 30
décembre 2017 en tentant de porter secours à une famille victime d’un accident sur l’autoroute est-ouest, plus
exactement du coté de Lakhdarya, dans la wilaya de Bouira.
Le jeune médecin s’empressait de porter assistance à cette famille, composée d’un homme, une femme et leurs trois enfants quand il a été percuté par un camion en essayant de traverser la route. Il est mort sur le coup.
La maman et ses trois enfants se trouvent actuellement en sureveillance médicale. Le père quant à lui a été tué sur le coup .
Des hommages ont été rendus au Dr Walid Alloui les jours suivant son décès par ses collègues de Biskra où il a effectué son service civil, par ceux de l’hôpital Lamine Debaghine de Bab El Oued à Alger où il a effectué ses années de résidanat et par de nombreux autres médecins à travers le pays sur les réseaux sociaux.
Hommage a notre héros, Walid ALLOUI qui a sacrifié sa vie pour venir en aide à ses concitoyens.
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L’exploitation d’autres filières comme l’élevage ovin et caprin pourrait constituer un segment important dans l’industrie des produits dérivés comme le fromage.
Le besoin national en matière de lait est estimé à trois milliards de litres alors que la production nationale ne couvre que le quart. Raison pour laquelle, malgré d’énormes investissements consentis par l’Etat, la filière fait souvent l’actualité dans notre pays.
Souvent par les pénuries du lait en sachet et parfois par des statistiques optimistes des services concernés. Mais qu’en est-il exactement de ce dossier qui figure sur tous les tableaux de bord des politiques de développement de l’agriculture, de l’industrie et de la qualité de vie des populations. C’est aussi, un volet stratégique étant en pole position des vecteurs de sécurité alimentaire. Avec des statistiques impartiales, des avis de chercheurs et universitaires et des expériences de professionnels de la filière, nous allons tenter de percer quelques mystères et les dessous de la filière lait algérienne. La filière lait est stratégique dans la mesure où il est nécessaire, voire primordial de parvenir à une autosuffisance alimentaire. C’est une question d’indépendance, voire de sécurité alimentaire. Et les avis qui découleront de nos interlocuteurs peuvent servir à enrichir la stratégie nationale à court, à moyen et à long terme.
Un géant aux pieds d’argile
Notre quête nous mènera à rechercher des alternatives pour desserrer l’étau. L’exploitation d’autres filières comme l’élevage ovin et caprin pourrait, selon certains spécialistes, constituer un segment important dans l’industrie des produits dérivés comme le fromage, les yaourts, camemberts et autres. Bien qu’il ne puisse remplacer la vache laitière. L’Algérien est l’un des plus grands consommateurs de lait au monde avec des besoins en croissance et actuellement estimés à trois milliards de litres. Un chiffre qui dépasse de loin les capacités de production nationale d’où le recours à l’importation effrénée de lait et de poudre de lait. Cette course effrénée à la satisfaction coûte que coûte de ce besoin a fait que l’Algérie importe 20% du lait en poudre mis sur le marché mondial. La vache algérienne qui ne produit actuellement, selon des statistiques données par l’expert agronome Akli Moussouni que 4000 litres annuellement ne parvient pas encore à se hisser à la norme mondiale qui est de 8000. Avec un classement mondial de géant en importation de vaches laitières et de produits nécessaires à l’élevage, la filière lait algérienne nécessite, pour survivre, une subvention de l’Etat de 47 milliards de dinars destinée au soutien des prix du lait en sachet.
Des filières caprine et ovine est-ce possible?
De l’avis de plusieurs connaisseurs et de petits éleveurs de cheptels, il y a possibilité de développer une filière caprine surtout pour les dérivés comme le fromage et les yaourts. De petites fermes dans les montagnes peuvent jouer un rôle dans ce créneau qui ira parallèlement avec le développement d’une petite industrie, mais aussi avec le secteur du tourisme.Mais, confrontés à la réalité, les petits éleveurs déchantent comme beaucoup de villageois qui ont tout vendu du côté du massif du Mizrana. Malgré un exemple de la réussite matérialisé par le patron du groupe laitier Tifra-lait dont les débuts étaient dans la filière caprine en développant des fromages et des yaourts, il est hélas à relever que l’élevage caprin n’attire plus grand monde.
«Ici, c’est tout le monde qui se rue vers la vache laitière de l’Ansej ou de l’Andi. Des subventions alléchantes estimées souvent à 12 dinars pour le litre produit en plus du prix de sa vente. L’avis est d’un vieil éleveur de cheptel caprin qui a tout vendu après la tempête de neige de 2011. «J’ai dû tout vendre car après cette tempête, j’ai compris qu’on ne veut plus de nous dans ce pays. J’ai été abandonné durant un mois. Je n’avais plus rien à donner à mes chèvres», regrette-t-il. Heureusement que le désenchantement de certains est compensé par d’autres initiatives à l’instar de celle d’un jeune émigré, Rachid Ibersiene qui produit actuellement des variétés de fromage suisse d’une haute qualité dans son village à Tamaasit, dans la commune d’Aghribs. Un jeune dont la réussite devrait inciter les autres au retour au pays. Pis encore, non seulement, les services concernés n’ont pas développé une politique de promotion de la filière caprine, mais encore que la brebis berbère des montagnes disparaît, aucune initiative pour le renforcement, par le métissage, de la race de chèvre algérienne qui n’est pas rentable en matière de production de lait. De plus, affirme l’expert agronome Akli Moussouni, on a imposé curieusement à toute importation de chèvres européennes des conditions sanitaires exagérées qui ne sont même pas en vigueur en Europe. Ce qui a bloqué toute reproduction de ce cheptel actuellement marginalisé. Aussi, un avis semble faire l’unanimité: les pouvoirs publics sont devant la nécessité de revoir de fond en comble la filière lait. C’est une toute autre politique fondée sur l’expertise et de plus en plus éloignée de la politique d’assistanat, qui semble faire l’unanimité chez les spécialistes. C’est une question de sécurité alimentaire.
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Selon un communiqué du ministère du Commerce, rendu public hier, les autorités ne renonceront pas à l’importation des véhicules. Des licences seront cédées aux enchères, notamment pour ce qui est des véhicules venant d’Europe.
Les mesures décidées par le gouvernement afin de stopper l’hémorragie des réserves de changes sont en vigueur depuis hier. Le système des licences d’importation, les quotas et les autorisations auxquels étaient soumis certains produits ont été supprimés. Le gouvernement vient de suspendre l’importation de 45 familles de marchandises, soit environ 900 produits. Une mesure qui n’affecte, cependant pas, faut-il encore le souligner, le citoyen qui ne sera nullement privé des produits à large consommation. Autrement dit, le gouvernement ne fera que dans l’encadrement des importations en rectifiant le tir après une période d’anarchie et de désordre. Un redressement qui s’avère capital en période de crise économique, évitant à l’Algérie de perdre des milliards de dollars dans l’acquisition de produits superflus ou pour lesquels les besoins du marché national sont couverts par la production nationale. Depuis hier donc, près de 900 produits sont interdits à l’importation et le taux d’une taxe intérieure sur certains articles est passé à 30% alors que les droits de douanes pour d’autres ont été relevés jusqu’à 60%. Avec ces nouvelles taxes, plusieurs produits importés vont coûter plus cher. Il s’agit, entre autres du saumon, fruits secs sans coques et autres fruits séchés, épices, sucreries, confiseries, préparations à base d’extrait et d’essence (liquide et autres), modems et décodeurs numériques, appareils avertisseurs d’incendies, appareils électriques avertisseurs et micro-ordinateurs. De même que 32 familles de produits sont concernées par un relèvement des droits de douanes. Parmi elles: les téléphones mobiles, ordinateurs portatifs et tablettes, confitures, sodas et eaux minérales… La liste complète des produits concernés est précisée dans l’article 115 de la LF 2018. Concernant les produits dont l’importation vient d’être suspendue, il s’agit notamment du fromage, yaourt et produits lactés, fruits secs, fruits frais (à l’exception de la banane), légumes frais (à l’exception de l’ail), viandes (à l’exception de certaines catégories), les dérivés du maïs et des céréales, les préparations alimentaires, celles de la viande ou du poisson, chewing-gum, bonbons, chocolats, viennoiserie, pâtes alimentaires, conserves (légumes, tomates, confitures, fruits), jus, eaux minérales, papiers hygiéniques, détergents, produits d’hygiène, céramiques, glaces et verres, robinetterie, câbles électriques, produits électroménagers ou téléphones mobiles…L’importation de ces produits dont une partie était auparavant soumise à licence, devra reprendre de manière progressive.
Cependant, cela ne signifie nullement la suppression également de l’augmentation des taxes et autres droits de douanes. Ainsi donc et à bien voir la liste, les produits dont l’importation a été suspendue n’auront aucune incidence sur les habitudes du citoyen qui, de fait, en période de crise, ne s’offrira pas du superflu. Pour les véhicules dont la facture d’importation avait atteint des chiffres ahurissants, le gouvernement a commencé par imposer des licences qui ont permis de faire baisser drastiquement la facture. En 2017, aucune autorisation d’importation de véhicules n’a été accordée aux concessionnaires, mais en 2018, le gouvernement a choisi d’ouvrir une petite brèche pour permettre de répondre à des activités de production ou de distribution précises. Il sera ainsi permis en 2018 l’attribution des licences d’importation des véhicules de tourisme, de transport de marchandises et de transport de personnes sera soumise aux enchères aux seuls «opérateurs économiques dont l’activité de production ou de distribution est liée directement aux produits soumis au contingent ouvert». Cette décision a été prise dans le seul but de protéger la production nationale.
Enfin, le ministère du Commerce et conformément à la nouvelle réglementation décidée par la Banque d’Algérie, va exiger les domiciliations bancaires relatives à l’importation des marchandises destinées à la revente en l’état et ne constituant pas un intrant industriel. Ces domiciliations doivent être accomplies dans un délai minimum d’un mois avant la date d’expédition de ces marchandises avec une couverture financière de 120% du montant de l’opération.
Cette disposition est accompagnée de plusieurs documents exigés publiés en détail sur le site Web du ministère du Commerce. Avec autant de mesures, le gouvernement aspire à faire chuter la facture d’importation à 30 milliards de dollars en 2018.
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Le parti majoritaire organisera ce matin à son siège à Hydra (Alger), une réunion de concertation avec le FCE, la CAP et l’Ugta.
Le vieux parti n’a pas cassé son thermomètre. La fièvre du PPP (partenariat public-privé) lui donne des frissons. Pris de court par la signature, le 23 décembre dernier, de la Charte sur le partenariat sociétaire lors de la tripartite gouvernement-Ugta- patronat, permettant l’ouverture du capital des petites et moyennes entreprises, le FLN se débat. Il tente de se ressaisir. Comment se dédouaner de toute incompréhension pouvant découler de cette action de privatisation? Le temps presse, il faut agir très vite car dans la doxa du vieux parti, il s’agirait d’un affront que de cautionner des mesures antisociales. Il opère alors un forcing en organisant ce matin à son siège à Hydra (Alger), une réunion de concertation avec le FCE, la CAP et l’Ugta. Aux yeux de l’opinion, l’honneur est sauf. Au plan pratique, c’est tout autre chose. «Le FLN va endosser les dernières résolutions issues de la dernière tripartite», confirment des sources proches de la direction de la Centrale syndicale. «C’est une réunion qui regroupera les signataires du partenariat public-privé avec le parti majoritaire et c’est une manière d’élargir encore davantage le consensus social» ajoutent les mêmes sources précisant que cette rencontre a été organisée «à la demande du FLN en sa qualité de parti majoritaire». Du côté du FLN, on n’y va pas de main morte, certes, le vieux parti va entériner, sans même rechigner, les décisions de la tripartite, mais il y a toujours matière à en tirer des dividendes politiques. «Nous ne remettons pas en cause le pacte signé entre le gouvernement, l’Ugta et les organisations patronales, mais on aura notre mot à dire dans l’élaboration de la loi qui encadrera ce partenariat public-privé», indique-t-on au FLN. Il y a une sorte de marchandage?
«Non!», réplique-t-on au vieux parti. «Nous sommes la première force politique et nous avons de ce fait le devoir de nous intéresser à tout ce qui concerne la vie politique et économique du pays».
Une Charte sur le partenariat sociétaire a été signée à l’occasion d’une rencontre tripartite gouvernement-Ugta -patronat. Cette charte encadre les opérations de partenariat public-privé (PPP) et prévoit la création de coentreprises, l’ouverture du capital social des entreprises publiques et des prises de participations dans des entreprises contrôlées par des intérêts nationaux privés et/ou étrangers privés et/ou publics étrangers. En termes simples, il s’agit d’un programme d’investissement public destiné à attirer des sources de financement alternatives au budget de l’Etat, mettre le dynamisme du secteur privé au service du secteur public, optimiser le partage des risques entre les partenaires, et étaler les dépenses de l’Etat sur une longue période. C’est une méthode appliquée en temps de crise financière comme c’est le cas à présent dans notre pays. Le secrétaire général du FLN sait pertinemment que cette mesure entraînera quelques remous surtout si elle n’est pas bien expliquée. Le rôle de son parti est justement de descendre dans l’arène en ces moments de fragilité sociale pour expliquer et surtout convaincre les plus résistants à ces mesures économiques.
«Le partenariat public-privé n’aspire pas à privatiser les grandes entreprises publiques nationales qui constituent le socle de la politique sociale du pays», a rassuré Ould Abbès mercerdi dernier, à Souk Ahras où il avait présidé une grande rencontre des élus du parti de l’est du pays. Mais s’il s’agissait réellement d’élargir le consensus national, pourquoi le FLN fait cavalier seul? Pourquoi ne pas associer à cette démarche d’explication ses autres partenaires comme le RND, le MPA et le TAJ? Surtout que le cadre d’une alliance présidentielle n’est pas à créer. Il existe et il a merveilleusement bien fonctionné 10 années durant…
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Au moins un quart de la surface de la Terre deviendrait «considérablement» plus sec même si l’objectif de maintenir le réchauffement en deçà de 2°C est atteint, selon une étude publiée très récemment. Mais si l’humanité parvient à contenir le réchauffement sous 1,5 ° C, cette «aridification» serait épargnée à deux-tiers des terres concernées par un scénario à 2 ° C, selon cette étude publiée dans la revue Nature Climate Change. L’accord de Paris sur le climat, signé en 2015, vise à contenir la hausse de la température sous le seuil critique de 2 ° C par rapport à l’ère pré-industrielle, voire 1,5 °C.
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Le cru 2018 s’annonce riche en nouveautés. Selon le magazine GQ, il y en aura pour tout le monde. Ainsi Apple planche déjà sur le successeur de l’iPhone X en se préparant au lancement de deux ou trois nouvelles versions, avec notamment un modèle avec un écran LCD. L’autre Higt Tech attendu est représenté par les téléviseurs Oled 8K qui seront dévoilés par LG. Dans le monde des robots, Keecker qui simplifie la technologie de la maison sera en vente cette année. Le Samsung Galaxy S9 le sera dans trois mois alors que la date de sortie du Nokia 3310 4G et des lunettes connectées Magic Leap n’est pas encore connue. Huawei P11, un iPad Pro borderless, le casque Oculus Go et le drone Mavic Pro 2, sont tous des nouveautés qui seront présentes sur le marché courant 2018.
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