Le 11 Avril 2020 – 11 avril 2021, voilà un an que Dieu-Père rappelait à lui son fils SABA Yahya dit Jimmy, précédemment Ingénieur mécanicien à la retraite, Officier de l'ordre National, dans sa 67ème année à Ouagadougou.
A l'occasion de ce triste anniversaire, Sa majesté El Hadj NAABA KIIBA, Roi du Yatenga, et famille à Ouahigouya, la grande famille royale du Yatenga, la grande famille KONSAMYIRI, SABA, OUEDRAOGO, DIALLO, SAVADOGO, OUATTARA à Ouahigouya (Secteur 6 Bangrin), Ouagadougou, Peni, Reka, Bobo-Dioulasso, Paris et Abidjan,
Les familles alliées, MAÏGA et DAKAMBARY, NAMA, DIALLO, OUEDRAOGO, GUIRO, BARRY, SIDIBE, TIROUDA, BANCE, SAWADOGO, TRAORE, ZERBO, ZOUNGRANA, SOULLI, SANOU, SOMDA, TAPSOBA, THIEBA, GUIRA, ZAMPALEGRE, KINDA, SAGARA, GANAME à Ouagadougou, Bobo-Dioulasso, Ouahigouya, Gourcy, Lilligomdé, Niamey, Abidjan et Bamako,
La veuve SABA Mariam née MAÏGA, les enfants Boubacar Sidik, Bachir Aly, Maibatou Nongodo, Madi Salim Adams, les frères, sœurs, cousins, cousines, neveux, nièces, et les petits-enfants, réitèrent leurs remerciements et leur sincère gratitude à tous ceux qui leur ont témoignés leurs soutiens multiformes et leur compassion depuis ce douloureux évènement.
En sa mémoire, ils vous informent qu'une Doua pour le repos de l'âme du défunt aura lieu le dimanche 11 Avril 2021 à partir de 08 h 00 mn à son domicile à Ouagadougou, au quartier Pissy, secteur 26.
Union de prières.
Les premiers responsables de la Télévision nationale du Burkina (RTB/Télé) étaient face aux hommes de média ce vendredi 9 avril 2021 pour annoncer les couleurs des journées portes ouvertes de la chaîne. Ces journées qui se dérouleront du 16 au 18 avril 2021 dans l'enceinte de la RTB/Télé donneront l'occasion aux téléspectateurs de découvrir les coulisses de la chaîne au cœur des grands événements.
Les téléspectateurs de la RTB/Télé auront l'occasion de découvrir et comprendre comment elle fonctionne à l'occasion des journées portes ouvertes qui auront lieu du 16 au 18 avril 2021 au siège de la chaîne à Ouagadougou.
Doyenne des télévisions en Afrique de l'Ouest avec ses 58 ans d'existence, ces journées portes ouvertes post-insurrectionnelles se veulent être un cadre de communion et d'échanges avec le grand public. Il s'agit également de renforcer non seulement la cohésion et la solidarité entre les agents de la télévision publique du Burkina mais aussi de renforcer les relations entre la chaîne et ses partenaires.
Durant 72 heures, les téléspectateurs auront donc l'occasion de découvrir les locaux de la télévision, les nouveaux studios et surtout échanger avec les journalistes et animateurs de la RTB/Télé. De nombreuses activités seront au programme pour agrémenter ces journées selon Evariste Combary, directeur de la télévision nationale.
Selon ses dires, il y aura de nouvelles émissions, comme « Retour à l'écran » qui permettra de rendre hommage aux aînés du 12 au 15 avril 2021 sur les antennes de la RTB/Télé. Des expositions de vieux matériels techniques de la chaîne publique, des conférences publiques, des compétitions sportives notamment du Maracaña, un cross populaire, des jeux de société, une journée de salubrité, une soirée dédiée aux partenaires et enfin un concert avec en tête d'affiche, les jeunes stars de la musique burkinabè comme Amzy, Kayawoto, Miss Tanya, Razben, Hugo Boss, Djozi, etc., sont autant d'activités inscrites au programme des ces journées portes ouvertes de la chaîne au cœur des grands évènement.
J.E.Z
Lefaso.net
Programme des journées portes ouvertes
Abdallah Boureima, président de la commission de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), a été reçu ce vendredi 9 avril 2021 par le chef de l'État burkinabè. A sa sortie d'audience, il a affirmé être venu non seulement féliciter le président Kaboré pour son élection à la tête de la conférence des chefs d'État de l'Union, mais aussi pour lui remettre le bilan de la feuille de route du collège des commissaires.
Le président du Faso, Roch Kaboré, a été porté à la tête de l'UEMOA par ses pairs le 25 mars 2021, lors du sommet des chefs d'État et de gouvernement. C'est pourquoi, Abdallah Boureima est venu, au nom des membres des organes de l'Union, le féliciter et lui assurer l'accompagnement des organes de l'Union pour cette mission qui lui a été confiée. Il n'a pas manqué d'exprimer ses remerciements et sa gratitude au président Kaboré pour la confiance placée aux commissaires et surtout pour le soutien dont ils ont bénéficié tout au long de leur mandat débuté en avril 2017 et qui s'achève en mai 2021.
Et parce qu'ils seront en fin de mandat, le collège des commissaires de l'UEMOA a élaboré un document faisant le bilan de la feuille de route dressée par la conférence des chefs d'État. Avec sa délégation, Abdallah Boureima a saisi l'occasion de l'audience pour remettre deux exemplaires du bilan de leurs activités au chef de l'État, Roch Kaboré.
Pour les années à venir, plusieurs défis se présentent à l'Union selon le président de la commission de l'UEMOA. Il s'agit de la question sécuritaire, la lutte contre le coronavirus ainsi que la reprise de l'activité économique, car la croissance économique est passée de 6 à moins de 1% en 2020. « Sur tous ces sujets, la conférence des chefs d'État réunie le 25 mars a pris des décisions importantes notamment sur l'harmonisation des conditions de circulation des citoyens de l'Union dans l'espace. Ces conditions sont actuellement difficiles en ce qui concerne la reconnaissance des tests (Covid-19) par les autres pays, les coûts de ces tests et la durée de validité en ce qui concerne le transport aérien. Mais le plus important c'est la réouverture prochaine des frontières terrestres qui concerne le monde entier », a-t-il confié.
Le président du Faso trouve donc sur sa table, à l'entame de son mandat, des dossiers importants qu'il va s'atteler à prendre en charge, en trouvant des solutions idoines avec ses pairs.
Armelle Ouedraogo
Lefaso.net
Dans le cadre de sa mission dans la mise en œuvre du projet « Dialogue et changement social », l'association IQRA (qui signifie lire en langue arabe) tient du 9 au 10 avril 2021 à Ouagadougou, un atelier de renforcement des capacités des responsables de ses cadres de dialogue et cohésion sociale. Le but est de mieux outiller ces responsables de sorte qu'ils puissent programmer des activités allant dans le cadre de la prévention et de la gestion des conflits. L'ouverture a eu lieu, le vendredi 9 avril 2021, en présence du représentant de la directrice pays de Diakonia, Alexandre Ouédraogo.
L'association IQRA œuvre dans la promotion de l'éducation en faveur des couches défavorisées de la population, en particulier les apprenants des foyers coraniques, les enfants en situation de rue et les femmes. Elle participe de ce fait, depuis 2018 avec un consortium d'ONG, à la mise en œuvre du « projet d'amélioration de l'inclusion sociale des apprenants des foyers coraniques par l'éducation et le dialogue, en abrégé ‘'Dialogue et changement social'' ».
Financé par l'Union européenne, et avec pour partenaire technique l'ONG Diakonia, ce projet a pour objectif de contribuer, à travers l'éducation, à l'amélioration des conditions de vie sociale et économique des jeunes filles et garçons en vue de réduire les risques de radicalisation au Burkina Faso.
Selon la coordinatrice d'IQRA, Hawa Guira/Bissiri, la mission de l'association dans la mise en œuvre du projet consistait à créer des instances de dialogue fonctionnelles qui participent à la sensibilisation des communautés et au suivi de l'éducation. Ce qui a été fait. Un cadre de dialogue et de cohésion sociale a été mis en place par l'association dans les quatre régions couvertes par le projet, à savoir la Boucle du Mouhoun, les Hauts-Bassins, le Nord et le Sahel. Ces cadres répondent à la question de la mobilisation des communautés dans la mise en œuvre dudit projet. D'où l'initiative de cet atelier en faveur des responsables de ces cadres de dialogue.
A en croire la coordinatrice, il leur permettra non seulement un renforcement de capacités en matière de prévention des conflits, mais aussi sera une opportunité pour eux de faire le bilan de leur plan d'action et un partage d'expériences. « Ces cadres sont constitués de différentes composantes de la communauté pour mener la réflexion sur l'inclusion de ces personnes marginalisées que sont les talibés. Ils mènent aussi des activités de sensibilisation de la communauté », a déclaré Hawa Guira/Bissiri. Elle précise que l'association mène aussi des activités génératrices de revenus (AGR) en vue d'accroitre la résilience de ces communautés.
Il s'agira donc pour les participants, au cours de ces 48 heures, de présenter le bilan des activités des différents cadres ; de clarifier les différents concepts clés de conflits, de paix ; d'identifier et analyser des facteurs entravant la cohésion sociale ainsi que les valeurs communes nécessaires au vivre-ensemble.
Des cadres de dialogue à encourager
Selon le représentant de la directrice pays de Diakonia, Alexandre Ouédraogo, ces cadres de dialogue sont à encourager en ce sens qu'ils constituent des actions concrètes sur le terrain favorisant l'inclusion des personnes défavorisés. « Cet atelier est très important, car qu'il permettra à ces personnes qui sont déjà sur le terrain de mieux orienter leurs actions pour un meilleur impact sur le terrain », a-t-il souligné. Pour lui, ce projet demande l'implication de tout le monde vu qu'il défend une cause nationale.
Quant au choix des quatre régions, cela se justifie par le fait que ces dernières ont beaucoup abrité les foyers coraniques ces dernières années. Ainsi, il fallait partir de là pour avoir un impact important à travers la mise en place des AGR qui permettront aux foyers coraniques d'avoir de la compétence, la qualification professionnelle afin d'être autonomes dans les jours à venir. Pour l'occasion, il a invité les participants à de fructueux échanges pour l'atteinte des objectifs du présent projet qui, au-delà de ses attentes, doit servir à toutes les communautés à la base qui connaissent aujourd'hui des mouvements qui se voient à travers les médias.
Judith SANOU
Lefaso.net
Dans le cadre de la mise en œuvre des programmes portés par son Institut de Soutien et d'Accompagnement des Initiatives Educatives (ISAIE), l'Agence de Conseil de Services et de Formation (ACSF-AFRIQUE) et le Cercle de Réflexion d'Echange et de Partage/Parents A l'Ecole (CREP/PAE) organisent le vendredi 09 avril 2021 de 10h00 à 12h15 au Complexe d'accueil LES LAURETTES, un panel autour du thème « Connaître et comprendre ensemble la situation et le contexte actuel de l'éducation, cerner la subculture des enfants-élèves pour agir efficacement et faire face aux nouvelles menaces contre l'avenir : un défi pour les parents, les acteurs et les partenaires du système éducatif ».
Ce panel sera co-animé par le Ministère de l'Education Nationale de l'Alphabétisation et de la Promotion des langues Nationales (MENAPLN), le Ministère de la Femme de la Solidarité Nationale, de la Famille et de l'Action Humanitaire (MFSNFAH), le Procureur du Faso près le TGI OUAGA I, le Secrétariat National de l'Enseignement Catholique, l'Association des Elèves du Secondaire de Ouagadougou (AESO) et le Cercle de Réflexion d'Echange et de Partage/Parents A l'Ecole (CREP/PAE) avec Messieurs Bernard BOUGOUMA de 3TV et WAT FM et Paul Miki ROUAMBA de la LCA et OUAGA FM.
Au-delà de l'idée d'aider les parents à connaitre le contexte conjoncturel qui prévaut actuellement dans le secteur de l'éducation, ce qui leur permettra de comprendre d'une part les motivations et les enjeux des mesures relatives aux examens de fin d'année, prises par les autorités, et d'autre part de cerner les raisons et les craintes qui ont suscité les réactions et les contestations toujours vives d'une association d'élèves, ce panel est organisé pour susciter un réel engagement des familles Burkinabé et une véritable implication notamment des parents dans la création d'un environnement social qui garantit à tous les niveaux et dans tous les contextes une bonne éducation qui assurera aux enfants et à toute la nation un meilleur avenir.
Si l'on peut affirmer que le tableau de l'éducation tel qu'il se présente est la conséquence de l'évolution et des mutations qu'a connu notre pays (qui subit à l'instar des pays du nord, rentrés après l'étape de la modernité les deux pieds dans l'ère post moderne), il n'en demeure pas moins que ce contexte est aussi le fait de toutes les pesanteurs de certaines traditions et donc d'une certaine culture et d'une mentalité endogène propre à notre pays.
En poussant un peu plus loin l'analyse du contexte, il s'impose à tous de savoir et de reconnaitre que les maux que subissent les familles et l'école sont d'abord présents dans la société et sont aussi le fait de l'action ou de l'inaction d'autres acteurs et donc de l'interférence des autres institutions sociales. C'est pourquoi en lançant cette invitation à tout parent et après eux aux dirigeants et aux syndicats du secteur de l'éducation, aux chefs d'établissements, aux enseignants et autres praticiens du système éducatif, aux différentes associations d'élèves et d'étudiants… il convient d'appeler tous (les partenaires également) à se questionner sur la situation de l'éducation au Faso.
Pour Le CREP/PAE et ACSF-AFRIQUE
Roger VALIA
Sociologue
Le prince Philip, époux de la Reine Elizabeth II du Royaume Uni, est décédé ce vendredi 9 avril 2021, à 99 ans, rapporte le journal « Le Parisien ».
« C'est avec un profond chagrin que sa majesté la reine annonce la mort de son époux bien aimé le prince Philip, duc d'Edimbourg », a annoncé le palais de Buckingham, précisant que le prince « s'est éteint paisiblement » au Château de Windsor.
Après l'annonce du décès, le Premier ministre Boris Johnson a salué la mémoire du défunt.
« Avec son diplôme du duc d'Edimbourg, il a inspiré des milliers de jeunes britanniques. On se souviendra du duc pour tout ce qu'il a fait, notamment pour son soutien à la reine, en tant qu'époux et c'est à sa majesté et sa famille que toute la GB pense aujourd'hui », a-t-il indiqué.
Né le 10 juin 1921 à Corfou (Grèce), le Prince Philip est arrivé en Angleterre, en compagnie de son père.
Il a épousé la princesse Elizabeth le 20 novembre 1947 et ils ont eu quatre enfants.
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Dans une réflexion publiée sur sa page facebook, Bila Moussavou, journaliste sportif, donne des astuces pour une qualification des Etalons à la Coupe du monde 2022.
Selon l'ancien employé de Canal 3 et de 3TV, les Burkinabè devront commencer par éviter de faire de la surenchère dans la recherche de la qualification du Pays des hommes intègres à une phase finale de la Coupe du monde.
Le commentateur de Canal+ appelle aussi l'encadrement technique à étudier sérieusement les adversaires et les joueurs à travailler dur dans leurs clubs afin d'être en forme pour aborder les qualifications.
L'Algérie est l'équipe qui pose problème au Burkina dans son groupe. En 2014, elle avait mis fin au rêve des Burkinabè de participer à un Mondial. Face à l'ogre algérien, Bila Moussavou propose aux Etalons de jouer à fond cette rencontre.
Le Burkina Faso a un effectif vieillissant. Pour pallier cela, le journaliste sportif propose de « tester et responsabiliser les jeunes » que sont Bertrand Traoré, Edmond Tapsoba, Zakaria Sanogo, Hassane Bandé qui signe son retour avec les Etalons, Hervé Koffi et bien d'autres.
En rappel, les Etalons sont dans le même groupe que l'Algérie, le Niger et Djibouti.
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Calendrier des Étalons
Niger - Burkina : 5-8 juin 2021
Burkina - Algérie : 11-14 juin 2021
Djibouti - Burkina : 1-4 septembre 2021
Burkina - Djibouti : 4-7 septembre 2021
Burkina - Niger : 6-9 octobre 2021
Algérie - Burkina : 10 - 12 octobre 2021
Barrage d'accès à la coupe du monde 2022 : novembre 2021.
Les Grandes familles TOUGOUMA, KABORE, SONGRE, BAMOGO
Sa Majesté le KIIBYAOGA, Chef de Gounghin/Koupéla ;
Le Malgr-Naaba à Gounghin Natenga
Les familles alliées, KABORE, YOUGBARE, KIMA, SANDWIDI, MONDRE, ZONGO, SANFO, KEÏTA, SANA à Ouagadougou, Koupéla, Gounghin-koupéla, Bobo Dioulasso, Abidjan, USA, Canada, France, Hollande.
Monsieur TOUGMA Siméon et son épouse à Ouagadougou
Monsieur TOUGMA Raymond et son épouse à Gounghin Koupéla
Monsieur YOUGBARE Dieudonné et son épouse à Ouagadougou
Monsieur TOUGMA Cyprien et son épouse à Ouagadougou
Monsieur TOUGOUMA Eugène et son épouse à Ouagadougou
Monsieur KABORE Jean et son épouse à Ouagadougou
La veuve TOUGOUMA/KABORE Delphine à Ouagadougou
Les enfants Yannis, Yohann et Divine
Très touchés par les nombreuses marques de sympathie, de solidarité et de compassion ainsi que la grande mobilisation que vous leur avez témoignée lors du rappel à Dieu le 16 mars 2021 à Douala au Cameroun et de l'inhumation le 27 mars 2021 à Ouagadougou de leur fils, frère, beau-fils, époux, et papa : TOUGOUMA Touwendé Jean Bernard, Magistrat, spécialiste des affaires judiciaires et pénitentiaires au sein de la MINUSCA en République Centrafricaine.
Vous expriment leur profonde gratitude
Ils remercient :
Madame la Ministre de la Justice, des droits humains et de la promotion civique
Monsieur le Secrétaire Général du Ministère de la Justice
Les représentant(es) du système des Nations Unies au Burkina Faso, au Cameroun, en RCA, la MINUSCA
L'ensemble du personnel du Tribunal Administratif de Ouagadougou
L'Honorable Roger DIMA
Monsieur le Directeur Général de la Garde de sécurité pénitentiaire
Monsieur le Directeur Général du FAFPA
Monsieur le Directeur Général de l'ONASER
Monsieur le Curé de la Paroisse Notre Dame du Perpétuel Secours de Kossodo
La Communauté des Rédemptoristes au Burkina et en Côte d'Ivoire
La communauté des Pères Jésuites en Côte d'Ivoire
Monsieur le Directeur du Centre de Formation et de Production du SND de Loumbila
La CCB Saint Maximilien Marie KOLBE de la Cité Expertis de Loumbila
Association pour le Kourittenga je m'Engage (AKE)
Les 12ème et 16ème promotions de la Magistrature
Les résidents de la cité Expertis de Loumbila
Tous les parents, amis, connaissances et collègues de Touwendé Jean Bernard venus de près ou de loin.
Que Dieu Tout Puissant rende à chacun, le centuple de ses bienfaits !
Ils vous informent par ailleurs que des messes sont programmées dans les paroisses suivantes pour le repos de son âme.
Programmes des messes pour le repos de l'âme du juge
TOUGOUMA Touwendé Jean Bernard
Que par la miséricorde de Dieu, l'âme de TOUGOUMA Touwendé Jean Bernard repose dans la paix du Christ Ressuscité !
Les grandes familles NIKIEMA, KAFANDO, DIBGOLONGO, COMPAORE à St Léon et Bilbalogho, NIKIEMA Adèle professeur de français à la retraite, Mme TAPSOBA née NIKIEMA Dorothée à la BCB bobo, Mme KABORE née NIKIEMA Thérèse à Ouagadougou, NIKIEMA Eric technicien de laboratoire à GEOTECH Ouagadougou.
La grande famille KONFE à St Léon et Dapoya, les familles alliées, TOGUYENI, OUEDRAOGO, REMEN, TAPSOBA, KABORE, SANKARA, DAHANI, KOIDIMA, LOMPO, DOUSSA à Ouagadougou ;
La Veuve NIKIEMA, née TOGUYENI Mina Yvette agent de santé à la retraite, ses enfants, Bruno et Innocente.
Vous remercient du soutien tant moral, financier et spirituel lors du décès de leur fils, frères, petit fils, époux, père et grand-père
COLONEL à la retraite NIKIEMA Blaise Marie Magloire domiciliée à Wayalghin décès survenu le lundi 29 Mars 2021 au CHU de BOGODOGO .
Elles évitent de citer des noms de peur d'en oublier !
Que le seigneur tout puissant vous rende au centuple vos bienfaits ; Merci pour vos prières et votre fraternité !
Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix.
La grande famille SAWADOGO à Sabcé, Pitenga (BAM), Ouagadougou, au Ghana, aux Etats-Unis, au Canada et en France.
Pegueyilba, Ali, Basga Roger, Kouka Emmanuel, Professeur Ram Christophe, Naroungba, Sylvain, Ousséni, Marceline, Victorine, Laurentine, Béatrice Missi, Jonas, Julienne, Jacqueline, Jean, à Goungla, Ouagadougou, Sabcé, Kongoussi, Vallée du Kou.
Les grandes familles NASSA, BOENA, OUEDRAOGO et SAWADOGO à Wédranguin, Sabcé.
La grande famille OUEDRAOGO du Royaume de Rissiam ;
Sa majesté Naaba KAONGA, Dima du Rissiam ;
Le Naaba Kom, chef de Wazélé, frères et sœurs ;
Les enfants :
Siméon SAWADOGO, ministre de l'Environnement, de l'Economie Verte et du Changement Climatique ;
Martin SAWADOGO, DTN de la fédération Nationale de cyclisme ;
Désiré SAWADOGO, Associé-gérant de société CIBEXI-IC ;
Grégoire SAWADOGO, Directeur de société ;
Madame KONSEIM/SAWADOGO Emilienne, Directrice provinciale de l'enseignement primaire d'Oubritenga/Ziniaré ;
Madame YAMEOGO/ SAWADOGO Agnès à Dédougou ;
Isabelle SAWADOGO à Sabcé.
Les neveux, nièces, cousins et cousines, petits-enfants et arrière-petits-enfants ;
Les familles alliées : SAWADOGO, OUEDRAOGO, ROUAMBA, SOMTORE, ZONGO, SOMDA, KABORE, ZIDOUEMBA, GANDEMA, KONSEIM, YAMEOGO, NIKIEMA, SAGNON, ZAGARE, DRABO, AGUIT-ABAL, BATIENE, ZAN, NANA, MADRIGAL et KIMPOSSO.
Très touchés par les nombreuses marques de compassion, de solidarité, d'amitié et de soutien que vous leur avez témoigné, lors du décès le 19 mars 2020 et de l'inhumation le 24 mars 2020 de leur épouse, sœur, mère, grand-mère et arrière-grand-mère, MADAME SAWADOGO/OUEDRAOGO Gompalioussédé Georgette.
Vous renouvelez leurs sincères remerciements et vous convient aux célébrations suivantes tenant lieu de funérailles chrétiennes à l'église de la paroisse de SABCE/BAM :
Vendredi 16 avril 2021 à 17 heures, veillée de prières ;
Samedi 17 avril 2021 à 08 heures, messe de requiem.
Que Dieu exhausse nos prières et nous comble de ses grâces.
Amen !
INNA LILLAHI MA AKHADHA WA LAHOU MA ATA, Wa KOULLOU CHAY-INE INDAHOU BI AJALIN MOUSSAMA FAL TAGBIR WAL TAHTASSIB
« Nul ne disparaît si son souvenir demeure ancré dans nos cœurs. »
10 avril 2020-10 avril 2021
Voilà déjà un (1) an que nous a quittés dans la paix du tout puissant,
Hadja Mariétou SIRA NACOULMA.
A l'occasion du 1er anniversaire de son décès,
Les grandes familles El Hadj Ousmane Sibiri Ouédraogo à Ouagadougou, à Salogo, au Bénin, en France et en Côte-D'Ivoire.
La famille du Cheick El Hadj Aboubacar Maïga 2 à Ramatoulaye et à Ouagadougou.
Les familles Nacoulma à Ouagadougou à Ouagadougou et à Manga.
Sa majesté le Mogho Naaba Baongo.
Son excellence Monsieur Roch Marc Christian Kabore, président du Faso.
Sa majesté le Naaba Boulga de Salogo.
Les familles alliées Congo, Touré, Faivre, Marien et Gouzit.
Renouvellent leurs sincères remerciements aux parents, amis et connaissances pour le soutien qu'ils leur ont apporté lors de ce douloureux évènement. Qu'Allah le miséricordieux dans son infinie bonté vous rende au centuple, vos bienfaits.
Ils vous invitent à vous joindre à eux pour un doua le dimanche 11 avril à 08h à la maison sise côté ouest de la grande mosquée de Ouagadougou.
Union de prière.
INNA LILLAHI WA INNA ILAYI RAJI-ÔUNE
« Je suis la résurrection et la vie, celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort » Jean 11,25
Le Kossodo Naba-Sanem,
Les grandes familles NACOULMA, ILBOUDO, OUEDRAOGO, KOUKOUMZIMBO, BOUGOUMA et NIKIEMA, à Ouagadougou, Dakar, Cote d'ivoire et France,
Le Samand-Naba de Koupela,
Les grandes familles YOUGBARE et KOURAOGO à Ouagadougou, Koupela, Italie et France,
Les familles alliées et amies : YAMEOGO, ILBOUDO, NIKIEMA, ZONGO, OUEDRAOGO, COMPAORE, BAMBARA à Palogo-Koudougou, Congo-Brazza, Doulgou, Guirgo, Gouangin, Pabré, Duo, Rayongo, Ouagadougou,
Ses frères NACOULMA Vital Emeric, Onésime Cédric, Boris Aurèle, et sa belle-sœur Elisabeth Arielle
Le docteur Marius NACOULMA au CMA de Pissy et son épouse NACOULMA/YOUGBARE Marie Aline à la SONABEL,
Remercient du fond du cœur les parents, amis et connaissances qui ont compati à leur douleur lors de la perte brutale de leur fille : NACOULMA Audrey Emeraude Benewendé, élève en classe de 1ère G2 au Lycée Technique Charles Lavigerie, décès survenu le 30 Mars 2021 suivi de l'absoute et de l'enterrement le 31 Mars 2021.
Ils remercient particulièrement :
les Abbés Ernest Marie ILBOUDO, Anatole TIENDREBEOGO,
le Père Célestin POUYA, le Frère Emmanuel KIENTEGA,
la sœur supérieure de la congrégation des Filles du Cœur Immaculé de Marie (FCIM),
le Directeur Général de la SONABEL et l'ensemble du personnel,
le personnel du CMA de Pissy,
la sœur Directrice du Lycée Technique Charles Lavigerie, son personnel et les élèves,
la sœur Directrice du collège Notre Dame de Kologh-Naba,
Le frère Directeur du Collège Saint Jean Baptiste de La Salle et les élèves,
les étudiants de l'ISGE
les voisins de Ouaga 2000, Somgande, Nonsin et Bilbalogo.
Des messes pour le repos de son âme seront dites selon le calendrier sous-dessous.
Puisse le Dieu de miséricorde récompenser chacun au centuple de ses bienfaits.
Le Naaba Koom de Garango,
La grande famille BAMBARA à Garango, Ouagadougou et Bobo-Dioulasso,
La grande famille YODA à Komtoèga et Ouagadougou,
La grande famille ZABSONRE à Ouagadougou, Tenkodogo, Koupela et Fada N Gourma,
La grande famille SAMANDOULGOU à Ouagadougou, Bobo Dioulasso et Tenkodogo,
BAMBARA Issouf, ancien combattant à Ouagadougou,
Veuve BAMBARA née ZABSONRE Zoanan à Ouagadougou,
Les enfants
BAMBARA Gisèle épouse OUELLET au Canada,
BAMBARA Alec à Ouagadougou,
BAMBARA Andie en France,
BAMBARA Chérita épouse OUEDRAOGO à Ouagadougou,
BAMBARA Sindy épouse MOSSI au Togo,
Les petits enfants
Jedidja, Abigael et Adriel
Les familles alliées
ZIGANI à Garango et Ouagadougou,
OUELLET au Canada,
GALISSON en France,
KAM à Ouagadougou, Ziniaré, Bobo-Dioulasso,
OUEDRAOGO à Ouagadougou,
MOSSI à Lomé,
La Promotion 1959 du Petit Séminaire de Pabré,
Très touchés par les nombreuses marques de sympathie, de solidarité et de compassion ainsi que la grande mobilisation que vous leur avez témoignées depuis le décès le 31 mars 2021 et l'inhumation le 06 avril 2021 à Ouagadougou de leur Grand-père, Frère, Epoux, Père, Beau-père et Promotionnaire
BAMBARA Paul, Professeur d'Anglais à la retraite,
Expriment leurs très sincères remerciements et leur profonde gratitude à tous ceux qui, de près ou de loin leur ont apporté un soutien multiforme, en particulier les autorités administratives, coutumières et religieuses, lors de ce douloureux évènement.
Ils s'abstiennent de citer des noms, de peur d'en oublier.
Paix à son âme
« Nul ne vit pour soi-même comme nul ne meurt pour soi-même… Dans la vie comme dans la mort nous appartenons au Seigneur » (Rom 14, 7-9)
Les grandes familles OUEDRAOGO, ILBOUDO, NONG-KOUNI, NAKULMA au Burkina Faso, aux Etats-Unis et en Côte d'Ivoire,
Les chefs coutumiers de WIIDI, ZAGTOULI, TAMPOUY,
OUEDRAOGO Michel, doyen de la famille à ZAGTOULI,
OUEDRAOGO Noaaga André doyen de la famille à TAMPOUY, Abbé ILBOUDO Robert, OUEDRAOGO Jean Bernard (Burkina-Clé), leurs frères et sœurs et familles,
Les familles alliées à YTOUNI,
TAPSOBA Jean Baptiste, NASSA Jean, leurs frères et sœurs et familles,
Les familles alliées DAKOURE et ROUAMBA à TAMPOUY,
ROUAMBA Benjamin, Mme OUEDRAOGO née DAKOURE Angélique, DAKOURE Jacques, DAKOURE Pierre, DAKOURE Dieudonné, leurs frères et sœurs et familles,
La famille de feu OUEDRAOGO Albert à TAMPOUY,
OUEDRAOGO Benoît à KOLOGH NAABA,
Les enfants : Josiane, Armand, Roland, Patricia et Théodore,
Les belles filles : Habiba Esther, Gladys, Lynne ainsi que les familles alliées YANABA, GUISSOU et BAZIE,
Les petits enfants : Gilles-Christ, Djidi, Yohan, Lilian, Donatienne, Andy, Harvey, Stella et Ariel,
Très touchés par vos marques de compassion, de soutien et de solidarité lors du rappel à Dieu le jeudi 7 mars 2019 suivi de l'inhumation le lundi 11 mars 2019 de leur épouse, fille, belle-fille, sœur, tante, mère, belle-mère, grand-mère,
Joanna OUEDRAOGO née ROUAMBA, ancienne Directrice Générale de la CNSS,
Vous réitèrent du fond du cœur, leurs sincères remerciements et leur profonde gratitude.
Ils vous invitent par ailleurs à vous unir à eux pour la célébration des funérailles chrétiennes à KOLOGH NAABA selon le programme suivant :
• Vendredi 16 avril 2021 à 20h30 : Veillée de prière en l'église de la paroisse Notre Dame du Rosaire de KOLOGH NAABA,
• Samedi 17 avril 2021 à 8h : Messe de requiem en l'église de la paroisse Notre Dame du Rosaire de KOLOGH NAABA.
La famille serait heureuse de vous recevoir après la messe pour un rafraichissement, au domicile familial à KOLOGH NAABA.
Que par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix !
« O Jésus Roi d'Amour, j'ai confiance en ta Miséricordieuse Bonté »
Union de prière !
La grande famille OUOBA à Ouagadougou et Fada N'Gourma ;
Sa Majesté NABA BAONGO de Gourcy, la grande famille OUEDRAOGO de Tensableogo à Gourcy et Ouagadougou ;
Les familles NABA, PALO, YARA, IDANI,
Les familles alliées ONADIA à Fada N'Gourma et Ouagadougou ; ILBOUDO à Ouagadougou, MERINDOL et ROBERT en France ; KINDE à Ouagadougou et en France ; NKALA GUEMBO à Londres, Congo Brazzaville et Ouagadougou,
DEMBELE à Ouagadougou, SANA à Ouagadougou, SIMPORE à Ouagadougou, DIASSO à Ouagadougou ;
La veuve, Madame Clémentine OUOBA née OUEDRAOGO ;
Les enfants, Clarisse MERINDOL OUOBA, Félicité Odile KINDE OUOBA, Irène Ivette OUOBA, Joseph Désiré OUOBA, Philippe Anselme OUOBA et Clément Stéphane OUOBA ;
Les petits-enfants : Aurélie Mansora, Faouzi Hamdane, Jesse Ariel, Amine Oumar, Chris Melvin, Mathéo Etienne, Hicham Damir, Daryl Nathael, Darel Barak, Nathen Orlann, Emmeline Janelle, Chrisma Jordyn Ethan Baptist, Chaïda Kayla ;
Ont la très profonde douleur de vous annoncer le décès, de suite de maladie, de leur très cher fils, époux, père, grand-père, beau-père,
Monsieur Adjima Jean Etienne OUOBA,
Instituteur Principal à la retraite,
le lundi 05 avril 2021
à Ouagadougou (BURKINA FASO).
Le programme des Obsèques se déroulera comme suit à Ouagadougou :
Jeudi 08 avril 2021 à 16h00, levée de corps à la morgue de l'hôpital Tengandogo pour le domicile familial à la Patte d'Oie suivie d'une veillée de prière à 20h ;
Vendredi 09 avril 2021 à 08h00, absoute à l'Eglise Notre Dame des Apôtres de la Patte d'Oie suivie de l'inhumation au Cimetière de Gounghin.
2 Timothée 4 : 7
« J'ai combattu le bon combat, j'ai achevé la course, j'ai gardé la foi. »
La nouvelle gare routière internationale de Ouagadougou, communément appelée « Ouagarinter », est désormais ouverte. L'inauguration est intervenue ce jeudi 8 avril 2021 en présence de plusieurs membres du gouvernement et les partenaires techniques et financiers.
Pour les transporteurs et riverains, cette inauguration est « un grand jour ». N'ayant pas voulu se faire conter l'événement, ils étaient nombreux à effectuer le déplacement, surtout que ça chuchotait que le président du Faso sera là. C'est le cas de Hamadoum Diandé qui est venu de la gare de Tampouy pour « partager la joie avec ses collègues » de la Patte d'oie, quartier où se trouve la gare Ouagarinter.
En ce premier jour, la Police municipale a, sans doute, compris qu'elle aura du pain sur la planche.
En effet, malgré les panneaux de signalisation au tour de cette gare, plusieurs usagers étaient sommés de rebrousser chemin lorsqu'ils sont face à un sens interdit. Il faut noter que dans plusieurs axes, la voie est à un sens unique.
Malgré l'absence du président du Faso, les spectateurs du jour ont bravé le soleil et la poussière pour être témoins de la scène. Installés sous les tentes et arrêtés hors du champ de la cérémonie, ils attendaient de découvrir ce joyau qui a coûté 4 362 695 409 francs CFA hors taxe et hors droit.
Sur une superficie aménagée de 1,7 hectare, la gare routière internationale de Ouagadougou communément appelée « Ouagarinter » fait peau neuve. Elle est constituée de plusieurs commodités. Il s'agit : de guérites ; trois parkings (deux roues longue durée, deux roues courtes durée et quatre pour l'administration) ; une station-service ; un stationnement bus et minus ; des toilettes hommes et femmes ; un local technique ; un hangar SOTRACO (Société de transport en commun) ; de quais d'enregistrement et débarquement ; un centre de collecte des ordures ; d'un bloc de dix boutiques ; d'un restaurant, et d'un bâtiment administration.
« L'adaptation de la poule dépend d'elle-même »
L'objectif principal du projet d'aménagement de cette gare est d'améliorer les conditions de travail des transporteurs et des acteurs associés, a rappelé le ministre en charge des Transports et de la Mobilité urbaine, Vincent Dabilgou. Du côté des bénéficiaires, c'est une victoire à célébrer, car « aujourd'hui efface nos vieux souvenirs d'exercices de plus de deux décennies dans des infrastructures précaires, pitoyables, vétustes et insalubres inondées à chaque saison de pluie », a déclaré Issouf Maïga, le représentant des transporteurs. Pour lui, « le fardeau des transporteurs et voyageurs de cette gare routière est enterré à jamais ».
Le second objectif de la gare, c'est l'amélioration des conditions d'accès intégrant l'assainissement. Ainsi, le premier responsable de la ville de Ouagadougou, Armand Béouindé, a exhorté les usagers à préserver la qualité des installations. Cette exhortation, Mahamadi Ouédraogo, le deuxième vice-président de Ouagarinter, l'a bien comprise. « Jeter une poule dans une maison relève de la responsabilité du propriétaire, mais l'adaptation de la poule dépend d'elle-même », a-t-il personnifié.
« Plus de 350 emplois directs et plusieurs milliers d'emplois indirects »
Dans son discours inaugural, le ministre Vincent Dabilgou a indiqué que cette gare s'inscrit dans une dimension urbaine. Comme preuve, il a brandi la valorisation de l'énergie solaire. En effet, les toitures de cette gare, sur une superficie de 1000m², des trois halls sont couvertes de 1513 panneaux solaires de type 240 Watts.
L'impact de la gare a retenu l'attention du maire de Ouagadougou, Armand Béouindé. « Nous pouvons déjà comptabiliser plus de 350 emplois directs et plusieurs milliers d'emplois indirects découlant de Ouagarinter. Les revenus des transporteurs se verront automatiquement augmenter de 25% comparativement à leur niveau d'avant la mise en service de cette nouvelle gare », a indiqué le bourgmestre, qui a ajouté que les finances locales seront stimulées avec environ 150 000 000 francs CFA par an de revenus générés en taxes.
Ce projet d'aménagement de cette gare, il faut le rappeler, s'inscrit dans le cadre de la Valorisation du transport en commun relative au Projet mobilité urbaine.
Cryspin Masneang Laoundiki
Lefaso.net
La force conjointe du G5-Sahel, à travers ce communiqué en date du 8 avril 2021, rejette les accusations d'exactions commises contre les civils sur le terrain des opérations.
Des rumeurs sur les réseaux sociaux font état de plusieurs allégations accusant une unité en opération de la Force conjointe G5 Sahel (FC-G5S) d'exactions commises lors de son action sur le terrain.
Suivant ces rumeurs, le 8e bataillon de la Force conjointe se serait rendu coupable d'arrestations arbitraires de civils dans les localités de BAKAL et KAYGOUROU et d'exécution sommaire d'un civil dénommé SIDI EL MOCTAR dans les environs de la localité de BAKAL. Ledit bataillon aurait également affronté des éléments terroristes de l'Etat islamique au Grand Sahara (EIGS) au cours de leur progression, affrontement à l'issue duquel au moins vingt (20) terroristes auraient été neutralisés.
La Force conjointe du G5-Sahel porte à la connaissance de l'opinion publique nationale et internationale que, concernant ses unités, ces allégations sont infondées. Ni le bataillon tchadien, ni aucune autre unité de la Force conjointe, jusqu'à preuve de contraire, ne pourraient être tenus pour auteurs de ces allégations.
Par contre, onze (11) individus sont détenus par les services de prévôté de la FC-G5S. Il s'agit de trois (03) combattants de l'EIGS et huit (08) présumés terroristes. En respect des procédures en vigueur, ces individus seront mis à la disposition des services compétents de leur pays d'origine pour la suite des procédures judiciaires.
La Force conjointe du G5-Sahel condamne ce genre d'allégations infondées faites à son encontre et visant uniquement à ternir son image. Elle rappelle qu'elle a, entre autres missions, celle de la protection des populations et dans toutes ses actions, applique une politique de tolérance zéro en matière de violation des droits de l'Homme.
Cellule de communication de la FC G5-Sahel
En hommage au Cardinal Paul Zoungrana, premier archevêque africain de Ouagadougou, l'Archidiocèse de Ouagadougou organise du 29 avril au 2 mai 2021, un colloque sur sa vie et ses œuvres. Le comité d'organisation était face aux hommes de médias, ce jeudi 8 avril 2021, pour donner les grandes lignes de cet évènement.
« Le Cardinal Paul Zoungrana : sa vie et son œuvre », c'est sous ce thème que se tiendra du 29 avril au 2 mai 2021, le colloque en l'honneur du Cardinal Paul Zoungrana. Initiée par l'Archidiocèse de Ouagadougou, cette conférence s'inscrit dans la dynamique de la redécouverte des grandes figures (des Missionnaires, des laïcs, des Religieux et Religieuses, des Catéchistes, des Prêtres et des Evêques) dont la vie et l'œuvre dans la foi ont tissé au fil d'or la trame de son histoire.
Il s'agit, pour l'Archidiocèse de Ouagadougou, d'une démarche d'appropriation de son passé et de son patrimoine. Ainsi après l'inauguration du musée diocésain Mgr Thevenoud en octobre 2020, ce colloque est organisé en mémoire de celui qui fut l'un des trois premiers prêtres de la Haute-Volta actuel Burkina Faso et le premier archevêque africain de Ouagadougou. Selon le Cardinal Philippe Ouédraogo, archevêque métropolitain de Ouagadougou, ce colloque vise à cerner comment sa réflexion de Pasteur a toujours pris en compte les préoccupations sociales qui défiaient -et défient encore- le continent africain et particulièrement la Haute-Volta (Burkina Faso). « A n'en point douter, ce colloque constituera un vibrant hommage et une gratitude envers tous les missionnaires qui se sont dévoués sans compter pour transmettre la foi chrétienne », a-t-il déclaré.
Cinq principaux axes
A en croire le coordonnateur du colloque, Abbé Modeste Tapsoba, pour mettre en lumière toutes les richesses de sa vie et de son action, ce colloque s'articulera autour de cinq principaux axes à savoir les célébrations liturgiques, des communications scientifiques, des témoignages, des expositions et des manifestations culturelles (soirées culturelles, visites, baptêmes de lieux…).
Plusieurs thèmes seront abordés, notamment ses origines et sa vie familiale ; sa formation académique ; son ministère de Pasteur (prêtre, évêque, archevêque, cardinal) ; sa vie de foi et de prière ; le temps de sa retraite et de sa mort ; sa mémoire post-mortem ; sa figure et son œuvre dans l'église locale et régionale (Burkina Faso, Afrique et Madagascar) ; son investissement dans l'élaboration et la mise en œuvre de la pastorale sociale de l'Eglise ; l'engagement du Cardinal Paul Zoungrana pour l'émergence d'une église locale ; sa sollicitude pour l'émergence d'un laïcat engagé et responsable au triple niveau ecclésial, social et politique.
Ces thèmes seront abordés par des évêques, des prêtres, des religieux, des religieuses, des universitaires… « Toutes ces investigations permettront de mesurer l'impact de son engagement pour la maturation de l'Eglise post-missionnaire et l'ancrage social de la pastorale », a confié le responsable du colloque, Abbé Justin Zangré. Sont attendus à ce rendez-vous, les agents pastoraux, des fidèles chrétiens de l'Archidiocèse de Ouagadougou et d'ailleurs, des universitaires, des décideurs politiques, des chefs traditionnels et de leaders religieux, des élèves et des étudiants.
Pour l'occasion, l'ordinaire des lieux, le Cardinal Philippe Ouédraogo, a lancé un appel à tous pour une fervente participation par la prière d'une part, et d'autre part par l'apport des ressources matérielles et financières suffisantes pour pouvoir couvrir les charges afin que ce colloque soit le lieu d'un succès ecclésial et national en l'honneur de l'illustre cardinal.
Judith Sanou
Lefaso.net
A Bagré, le travail de la terre nourrit son homme. Et si vous doutez, faites un tour dans les champs de Sawadogo Pegdwindé Romaric, de Guébré Abdou et dans la ferme avicole de Dédoui Kirakouri. Avec de modestes moyens, ils ont su, chacun à son niveau, tirer leur épingle du jeu dans une localité où partir à l'aventure est la règle et rester est l'exception. Portrait.
A 26 ans, Sawadogo Pegdwendé Romaric peut bien rendre grâce à Dieu. A écouter son parcours, il n'a rien à envier à un salarié. Après avoir décroché de l'école, il fait son entrée en 2015 à l'Institut de Formation en Développement rural (IFODER) où après deux années de formation, il sort avec de solides connaissances en agriculture et en élevage. Mais comme tout novice, il faudra plus que de la volonté pour voler de ses propres ailes. Avec 25 000 F CFA en poche – les économies de son stage d'études – il commence à exploiter un terrain reçu de Bagrepôle. Il y produira cinq tonnes de maïs à l'hectare. Grâce au bénéfice obtenu, il s'achète une nouvelle moto.
« Il n'y a rien de plus rentable que l'agriculture »
Outre le maïs, le jeune Romaric fait de l'embouche bovine avec un cheptel de sept bœufs, produit de l'oignon sur un demi-hectare et du riz sur deux hectares. La production de riz lui permet de gagner au moins 1 500 000 F CFA par campagne soit 3 millions de francs CFA par an. Sa production est appréciée de l'IFODER qui n'hésite pas à s'approvisionner chez lui pour sa cantine. Pour l'accompagner dans ses activités, la Maison de l'entreprise lui a remis 1 520 000 F CFA. Cette somme a servi à l'achat de matériel agricole et d'un tricycle.
« Si c'était à refaire, je n'irai pas à l'école. Je préfèrerais faire des formations de courte durée pour me perfectionner en agriculture et en élevage […] Aujourd'hui, mes anciens camarades d'école me considèrent comme un grand (Rires !!!). Pourtant, je ne suis qu'à mes débuts », explique le jeune entrepreneur qui ne manque de dire à qui veut l'entendre : « Il ne faut pas avoir peur de l'agriculture. Il n'y a rien de plus rentable que l'agriculture ».
Se former avant tout
Dédoui Kirakouri, lui, est l'ainé de Romaric, car il fait partie de la toute première promotion 2013-2015 de l'IFODER. En 2019, il ouvre une ferme avicole, grâce au soutien de son frère ainé. Avec seize têtes de poules locales au départ, il commande au bout de quelques semaines 100 poussins de race améliorée « Poulet du Faso ». Lors de notre passage à Bagré, le 11 mars 2021, sa ferme comptait plus de 500 poulets.
« L'activité marche et il n'y a aucun problème », rassure Dédoui Kirakouri. Même s'il n'est qu'à ses premiers pas, le jeune aviculteur reçoit par moments la visite de jeunes éleveurs qui veulent emboiter ses pas. « Ils viennent prendre des conseils avec moi. Mais je leur recommande toujours d'aller se faire former », précise-t-il.
Les poulets, Dédoui Kirakouri les vend à un prix négociable de 3 000 F CFA l'unité. A Bagré, le Centre écotouristique demeure son plus gros client avec des commandes avoisinant parfois la centaine de poulets.
L'alimentation, principale difficulté
L'arbre ne doit cependant pas cacher la forêt. Le jeune aviculteur rencontre des difficultés liées principalement au coût élevé de l'alimentation de la volaille. A l'en croire, le sac de 50 kg coûte 12 500 F CFA. A cela s'ajoute les frais de transport depuis Ouagadougou. Pour pallier ce problème, il a décidé de produire lui-même les aliments à base de soja, de maïs, du son de riz et d'arêtes de poissons.
« L'homme doit manger à la sueur de son front »
Aujourd'hui en location, le fermier n'a qu'une doléance. Avoir un terrain ne serait-ce qu'un demi hectare, pour mieux développer son élevage. « Ici au Burkina, la terre ne ment pas. La Bible dit que l'homme doit manger à la sueur de son front. Grâce à cette activité, j'arrive à subvenir à mes besoins. Je ne demande plus les billets de 1000 FCFA à mon frère pour mes besoins. Si vous voulez vous lancer dans cette activité, n'hésitez pas. Formez-vous d'abord », conseille Dédoui Kirakouri.
Le périple angolais
Le troisième jeune qui gagne bien sa vie se nomme Guébré Abdou. Il s'agit d'un producteur de riz, ancien aventurier. « Je suis parti de Bagré en 2010 pour l'Angola et je suis rentré en 2019. Je me suis retrouvé en Angola par voie clandestine en passant par les deux Congo. J'ai marché pendant 21 jours avant d'arriver en Angola », relate l'homme.
Il passera des semaines à la frontière avant que les services de migration ne mettent le grappin sur lui et ses compagnons d'infortune. Mais en contrepartie, il fallait débourser la somme de 350 000 F CFA pour atteindre la capitale Luanda. Au total, il dépensera 1 250 000 F CFA pour atteindre « l'Eldorado ». Là, il y fera le commerce de produits. Non sans difficultés.
« On avait toujours les services de migration à nos trousses. Et c'est la peur au ventre qu'on sortait de la maison. Je n'ai jamais connu la prison ici au Burkina. Mais là-bas, j'ai été mis en prison au moins une dizaine de fois. Dans ma première prison, j'ai été torturé mais pour les prochains cas, on remettait aux gardes nos gains. Même si l'aventure n'a pas marché pour moi, je suis rentré en bonne santé pour bâtir ma terre natale. Et c'est le principal. », répond Guébré Abdou.
Le retour gagnant
Quelle était la réaction de ses proches ? A cette question, le producteur répond en émettant quelques soupirs. « Mes proches n'étaient pas contents. Ils ont dit que je n'ai rien foutu à l'aventure. Je leur ai répondu que ce n'était pas le cas et que chacun avait sa chance. Mon bonheur ne se trouvait pas à l'extérieur mais au Burkina dans la rizière. A mon retour, au bout de deux ans, j'ai gagné plus que ce que j'ai obtenu en Angola ».
De retour donc au bercail, Guébré Abdou se remet vite dans la production du riz, son ancien boulot qui lui avait permis de financer son voyage en Angola. Il produit trois à quatre tonnes de riz par an sur une superficie d'un hectare qu'il exploite. Grâce à cette production, il a réussi à construire une maison.
« Tout ce qu'on cherche à l'aventure se trouve ici au Burkina. Pour réussir ici, il suffit d'abord d'avoir la mentalité du travail et s'armer de courage. Rien ne s'acquiert facilement. Il faut travailler dur », se convainc le jeune producteur de riz.
HFB
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