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Diplomacy & Defense Think Tank News

Nachgedacht: TTIP

Konrad Adenauer Stiftung - Wed, 20/05/2015 - 00:00
Das Transatlantische Freihandelsabkommen (TTIP) löst schon während der Verhandlungen emotionale Debatten aus. Für eine informierte Diskussion braucht es gute Argumente, die auf Fakten und Hintergründen basieren.

Hiroshima : comment la société japonaise s’est-elle appropriée cette catastrophe ?

IRIS - Tue, 19/05/2015 - 18:11

Barthélémy Courmont est chercheur associé à l’IRIS, rédacteur en chef de « Monde chinois, nouvelle Asie ». Il répond à nos questions à l’occasion de la parution de son ouvrage « Le Japon de Hiroshima. L’abîme et la résilience » (ed. Vendémiaire) :
– Pouvez-vous nous rappeler le contexte du lancement de la bombe sur Hiroshima ?
– De quelle manière la société japonaise s’est-elle appropriée la catastrophe d’Hiroshima ?
– Quelle perception les Japonais ont-ils aujourd’hui de la question du nucléaire après la catastrophe de Fukushima ?

Eine Schwalbe macht noch keinen Frühling

SWP - Tue, 19/05/2015 - 16:46
Die arabischen Umbrüche in der politikwissenschaftlichen Literatur

Prοfessor Anna Triandafyllidou discusses European migration policy on WDR, 19/05/2015

ELIAMEP - Tue, 19/05/2015 - 16:15

Professor Anna Triandafyllidou gave an interview to WDR discussing European migration policy. By clicking here you can access the interview.

Klimapolitik in der Entweder-Oder-Falle

SWP - Tue, 19/05/2015 - 13:54
Petersberger Klimadialog in Berlin

Dr Eleni Panagiotarea discusses the evolution of the Greek crisis in the Sunday edition of Kathimerini, 17/05/2015

ELIAMEP - Tue, 19/05/2015 - 13:28

Dr Eleni Panagiotarea wrote an article in the Sunday edition of Kathimerini discussing the evolution of the Greek crisis. The article was published on 17 May 2015 and is available here.

Un nuevo discurso para las relaciones económicas entre Marruecos y España

Real Instituto Elcano - Tue, 19/05/2015 - 11:57
Comentario Elcano 34/2015 - 19/5/2015
Gonzalo Escribano
La XI Reunión de Alto Nivel (RAN) Marruecos-España del próximo 5 de junio en Madrid proporciona una oportunidad para estrenar una narrativa más sofisticada sobre las relaciones económicas bilaterales.

Un nuevo discurso para las relaciones económicas entre Marruecos y España

Real Instituto Elcano - Tue, 19/05/2015 - 11:57
Comentario Elcano 34/2015 - 19/5/2015
Gonzalo Escribano
La XI Reunión de Alto Nivel (RAN) Marruecos-España del próximo 5 de junio en Madrid proporciona una oportunidad para estrenar una narrativa más sofisticada sobre las relaciones económicas bilaterales.

Was Deutschland jetzt tun muss

SWP - Tue, 19/05/2015 - 11:24
Ob auf dem Petersberger Klimadialog in Berlin oder dem G7-Gipfel auf Schloss Elmau: Klimaschutz ist...

« La paix n’aura pas lieu : Israël-Palestine » – 3 questions à Pierre Puchot

IRIS - Tue, 19/05/2015 - 11:01

Pierre Puchot est reporter Maghreb & Moyen-Orient à Médiapart. Il répond à nos questions à l’occasion de son nouveau livre « La paix n’aura pas lieu », paru aux éditions Don Quichotte.

1) Le résultat des élections législatives israéliennes et la composition du nouveau gouvernement viennent-ils confirmer le pronostic contenu dans le titre du livre ?

Hélas, oui. Aucune force politique, en dehors de la Liste unifiée, ne propose autre chose sur le dossier israélo-palestinien que de continuer à s’inscrire dans le processus d’Oslo, sans pour autant se donner les moyens de parvenir à des négociations équitables, qui permettent in fine aux Palestiniens d’obtenir un Etat viable. L’une des conditions d’existence de cet Etat est le retrait des colonies de Cisjordanie, retrait qui n’est envisagé à ce jour par aucune des principales forces politiques du pays, hormis cette Liste unifiée.

2) Pourquoi écrivez-vous qu’ « Israël n’a jamais été aussi radicalisé à droite et son armée si violente » ?

Vingt ans, déjà, se sont écoulés depuis l’assassinat d’Yitzhak Rabin, le 4 novembre 1995, par un extrémiste juif. Depuis, le conflit au Proche-Orient est parvenu à un point de non-retour : la guerre à Gaza, à l’été 2014, en est la preuve flagrante. Tous les dix-huit mois, une nouvelle confrontation survient, et la question n’est plus de savoir si mais quand le prochain conflit armé éclatera. Vingt ans après la mort de Rabin et la signature des accords d’Oslo, Israël n’a jamais été aussi radicalisé à droite, son armée si violente : Gaza n’a jamais subi de destructions aussi massives ; jamais autant de roquettes n’ont été tirées par le Jihad islamique et le Hamas ; jamais autant de civils palestiniens n’ont péri sous les bombes israéliennes. Fin 2014, au lendemain de l’offensive « Bordure protectrice », la droite israélienne a promu davantage de lois ségrégationnistes à l’Assemblée. Jamais le fossé entre les deux peuples n’a paru si grand. Vingt ans après la poignée de main entre Yasser Arafat et Yitzhak Rabin, comment en est-on arrivé-là ?

Oslo, tout d’abord : entérinant la création de l’Autorité palestinienne et prévoyant le retrait progressif des forces israéliennes des territoires occupés, la signature des accords en 1993 1994 devait permettre à terme l’établissement d’un État palestinien viable, au-delà des frontières arrêtées à l’issue de la guerre de 1967. C’est tout le contraire qui s’est passé. Sous la pression des États-Unis, l’Autorité palestinienne est devenue un relais sécuritaire pour Israël. Et Oslo a conduit à la fragmentation de la Cisjordanie en plusieurs zones (A, B, C), utilisées par Israël pour isoler les Palestiniens entre eux et transformer ce territoire en une série de bantoustans. Au bout du compte, la situation est devenue bien plus problématique qu’avant 1994. Un seul coup d’œil aux cartes qui figurent au début de ce livre suffit pour s’en convaincre.

L’impasse actuelle n’est ni le résultat d’une fatalité pour deux peuples que rien ne pourrait permettre de cohabiter, ni la conséquence d’une guerre de religion sans fin. Il s’agit, en réalité, de l’aboutissement d’un déséquilibre, d’un système de négociations bipartites biaisé, entre un État souverain (Israël), en capacité d’imposer sa politique de colonisation, et une population (palestinienne) sans État ni leviers politiques pour y résister, au gouvernement divisé, sans contreparties à offrir à Israël en échange d’un retrait de colons de Cisjordanie. Paradoxalement, alors même qu’ils en avaient fait la promotion, les accords d’Oslo ont signé l’arrêt de mort de la solution à deux États et, du même coup, réduit à néant les espoirs de paix à court terme. Nous reviendrons sur ces vingt années de négociations stériles, et sur ce déséquilibre accentué par la passivité de la communauté internationale et l’absence de vision pour la région, d’une administration Obama qui a failli à sa tâche.

3) Comment expliquer l’échec d’Obama à relancer réellement le processus de paix ?

Le tournant date sans doute de l’automne 2011. La secrétaire d’État d’alors, Hillary Clinton, se rend le 31 octobre à Abou Dhabi (Émirats arabes unis) et Jérusalem, auprès de Mahmoud Abbas, président de l’Autorité palestinienne, puis de Benjamin Netanyahou, Premier ministre d’Israël. La secrétaire d’État crée alors la surprise en saluant les efforts d’Israël, en dépit du refus de ce dernier de geler la colonisation et les constructions en Cisjordanie (condition préalable à une reprise des négociations pour les Palestiniens). « Ce que nous avons reçu des Israéliens est sans précédent » et constitue « un mouvement positif » mais « ce n’est pas ce que nous préférons », a par la suite précisé la secrétaire d’État. « C’est comme pour les progrès faits par les Palestiniens en matière de sécurité », a-t-elle dit. Voilà les États-Unis convertis au concept de « gel partiel » des colonies inventé par Netanyahou. La diplomatie américaine est ridiculisée.
Pis : en 2011, Barack Obama met en garde les Palestiniens contre toute tentative d’« isoler symboliquement Israël aux Nations unies en septembre », leur demandant de ne pas proclamer la création d’un État indépendant à cette occasion.

Aux États-Unis, les analystes en avaient de toute façon fait le pari dès le début du premier mandat : l’administration Obama reculerait sur ce dossier plutôt que d’essuyer un revers qui l’affaiblirait, dans la perspective d’une réélection trois ans plus tard. C’est d’autant plus problématique qu’in fine, c’est aussi cette vision de court terme, amorcée par Bush et prolongée par l’administration Obama, qui pousse la droite israélienne à croire que son projet politique de toujours, le grand Israël de Jabotinsky, est plus que jamais possible, au détriment des Palestiniens.

Idriss J. Aberkane : Économie de la connaissance

Fondapol / Général - Tue, 19/05/2015 - 10:48

Imaginez une économie dont la ressource principale est infinie. Imaginez une économie dotée d’une justice intrinsèque, une économie qui facilite et récompense le partage, une économie où le chômeur a davantage de pouvoir d’achat que le salarié, une économie où 1 et 1 font 3, une économie dans laquelle tout le monde naît avec du pouvoir d’achat et où, enfin, le pouvoir d’achat ne dépend que de vous-même.

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¿Qué sucede en Macedonia?

Real Instituto Elcano - Tue, 19/05/2015 - 03:20
Comentario Elcano 35/2015 - 19/5/2015
Ruth Ferrero-Turrión
Los incidentes en Kumanovo pueden ser del interés del gobierno de Nikola Gruevski, quien ante las cívicas manifestaciones contra su gobierno haya visto una oportunidad en el miedo al conflicto étnico.

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