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Un acte de guerre peut aussi être un acte de terrorisme

Bruxelles2 Blog - Tue, 14/03/2017 - 12:59
(B2) La Cour de justice de l'Union européenne a, aujourd'hui (14 mars), rendu un avis intéressant sur un point de droit : la compatibilité entre les listes anti-terrorisme et le droit de la guerre. Une question préjudicielle Saisie (par voie préjudicielle) du litige opposant les "Tigres de libération de l’Eelam tamoul" (LTTE) à l'État néerlandais, […]

Les priorités de l’OTAN pour 2017 (Jens Stoltenberg)

Bruxelles2 Blog - Tue, 14/03/2017 - 12:00
(B2) Le secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg, a présenté à la presse, lundi 13 mars, le rapport de l’activité de son organisation en 2016. Le document établit une « liste de toutes les mesures prises par l'OTAN », qui affronte « pour la première fois autant de défis simultanés ». Dans son intervention, le Norvégien […]

Raytheon Anschütz Advances with the Type 26 Global Combat Ship Integrated Navigation and Bridge System

Naval Technology - Tue, 14/03/2017 - 11:45
Raytheon Anschütz, a German-based leader in naval bridge system integration, has achieved several key milestones toward the Integrated Navigation and Bridge System (INBS) for the UK Royal Navy's new Type 26 Global Combat Ships.

Refurbishment works to jetty at Royal Navy's HMNB Portsmouth completed

Naval Technology - Tue, 14/03/2017 - 01:00
The redevelopment of the British Royal Navy jetty at Her Majesty's Naval Dockyard Portsmouth has been completed in time for the arrival of the navy's largest warships.

US Navy contracts Battelle to help update naval synchronisation toolset

Naval Technology - Tue, 14/03/2017 - 01:00
The US Navy has awarded a new contract to US-based company Battelle and subcontractor Veracity Forecasting and Analysis, in order to help the navy synchronise its aircraft capabilities.

Mikros to deliver engineering and technical support for US Navy's ADEPT programme

Naval Technology - Tue, 14/03/2017 - 01:00
The US Navy has awarded a new $11.5m contract to Mikros Systems to provide engineering and technical support for its adaptive diagnostic electronic portable test-set (ADEPT) maintenance workstation.

L’UE prolonge de six mois les sanctions contre les déstabilisateurs à l’Est de l’Ukraine

Bruxelles2 Blog - Mon, 13/03/2017 - 22:17
(B2) Le Conseil de l'Union européenne a adopté, ce lundi (13 mars), par voie de procédure écrite, la prorogation des mesures restrictives (gel des avoirs et interdiction de visas) liées « aux actions compromettant ou menaçant l'intégrité territoriale, la souveraineté et l'indépendance de l'Ukraine », pour une nouvelle période de six mois, jusqu'au 15 septembre 2017. […]

La coopération structurée permanente selon Hollande, explications

Bruxelles2 Blog - Mon, 13/03/2017 - 11:00
(B2 - exclusif) Un très proche de François Hollande a accepté, en marge du Conseil européen, le 9 mars, de nous donner des précisions sur sa déclaration sur la coopération structurée permanente (lire : L’Europe peut se relancer par la défense (Fr. Hollande)). Associer malgré tout le Royaume-Uni L'association avec le Royaume-Uni bien entendu n'est […]

Rafael completes development of new mission module for Protector USV

Naval Technology - Mon, 13/03/2017 - 01:00
Israeli company Rafael Advanced Defense Systems has completed the development of an additional mission module for its protector unmanned surface vehicle (USV).

Kongsberg, Thyssenkrupp and Atlas Elektronik sign agreement for new submarines

Naval Technology - Mon, 13/03/2017 - 01:00
Norway-based Kongsberg has entered a comprehensive cooperation agreement with Germany’s thyssenkrupp Marine Systems and Atlas Elektronik for the provision of new submarines.

EUCAP Somalia renforce son action dans les régions

Bruxelles2 Blog - Sun, 12/03/2017 - 18:48

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Le commandant des opérations civiles du SEAE, Kenneth Deane, et la chef de la mission, Maria-Cristina Stepanescu, coupent le ruban marquant l’ouverture du bureau de Garowe. (Crédit : EUCAP Somalia)

(B2) Avec un nouveau focus exclusif sur la Somalie, la mission européenne de soutien aux forces de sécurité somaliennes (EUCAP Somalia) veut renforcer son action au niveau local. Un nouveau bureau de terrain a ainsi été inauguré à Garowe, dans l’État de Puntland, mardi 7 mars. Le lendemain, une seconde équipe s’est installée à Hargeisa, au nord-ouest, du pays (dans le Somaliland).

Dans ces nouveaux bureaux, les membres de la mission (entre 4 et 7) travailleront à « renforcer la capacité locale de la police maritime locale pour exercer une gouvernance maritime efficace sur ses eaux » explique le porte-parole de la mission européenne. Outre la lutte contre la contrebande, la lutte contre la piraterie et le contrôle de la zone côtière sur terre et en mer, cette approche locale « permettra de s’attaquer à un plus large éventail de menaces et de défis, en particulier l’inspection et l’application de la pêche, la recherche et le sauvetage maritimes ».

La formation – et l’équipement – seront accompagnés par un travail de soutien aux autorités pour « l’élaboration de la législation et la mise en place des autorités judiciaires » nécessaires pour que les criminels puissent être jugés et condamnés.

(Leonor Hubaut)

Lire aussi :

Le commandement des missions militaires (MPCC)

Bruxelles2 Blog - Sun, 12/03/2017 - 12:33
(B2) Le référendum britannique sur le Brexit et l’élaboration d’une nouvelle stratégie de sécurité permettent d’enclencher un pas supplémentaire, à la fin de l’année 2016. Dans la foulée des ministres de la Défense,[1] les Chefs d’État et de gouvernement recommandent l’établissement « d’une capacité opérationnelle permanente de planification et de conduite au niveau stratégique »[2] ou MPCC[3]. […]

La mission d’assistance à la surveillance aux frontières Moldavie Ukraine « EUBAM Moldova Ukraine » (novembre 2005 – …)

Bruxelles2 Blog - Sat, 11/03/2017 - 17:47
(B2) Lancée le 30 novembre 2005, la mission EUBAM Moldova Ukraine répond à une demande des deux présidents moldave et ukrainien, Vladimir Voronine et Viktor Yushchenko, qui sollicitent l’aide européenne en juin 2005. Un Memorandum of understanding (MoU) tripartite est signé le 7 octobre 2005 entre les deux gouvernements et la Commission européenne. L’Organisation internationale des […]

Une coopération européenne accrue dans la défense ? De multiples bénéfices (J. Domecq)

Bruxelles2 Blog - Sat, 11/03/2017 - 10:15

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(B2) La coopération européenne en matière de défense est devenue un des axes centraux du débat sur le futur de l’Union européenne. Jorge Domecq, le directeur de l’agence européenne de défense, au lendemain de la réunion des chefs d’États et de gouvernements, plaide en faveur de la coopération européenne, dans le domaine de la défense, mettant en exergue les bénéfices qu’elle peut apporter.

Faire de la défense une questions existentielle de l’UE

La défense, longtemps perçue comme un aspect marginal de la politique de sécurité et de défense commune de l’Union européenne, apparaît désormais comme une priorité absolue à l’agenda européen. Les initiatives successives de l’Union Européenne et des États membres en 2016 ont enfin propulsé la défense au premier plan des débats.

De plus, tandis que les dirigeants européens préparent leur sommet spécial à Rome le 25 mars pour le 60e anniversaire des Traités de Rome, en plein milieu de l’une des périodes les plus difficiles et les plus mouvementées pour l’Union européenne, la défense est mise en avant comme étant un domaine qui pourrait relancer avec succès le projet européen.

Je partage cette ambition : il est temps de faire de la défense une question existentielle pour l’Europe.

La coopération est inévitable

Soyons honnêtes : en tant qu’Européens, la seule solution crédible est d’unir nos forces, de réfléchir et d’agir sur la sécurité et la défense en termes plus européens, au-delà des limites nationales. Les menaces croissantes de notre voisinage immédiat, l’avenir de notre relation transatlantique et la révolution technologique qui se déroule à l’échelle mondiale devraient convaincre même les plus sceptiques que, à ce stade, l’Europe ne peut qu’agir davantage et mieux pour sa propre sécurité.

Sur le plan politique, une approche européenne renforcée et davantage axée sur la coopération dans le domaine de la défense me semble inévitable. Pour parler franchement, l’ordre mondial en total mutation contraindra tôt ou tard les nations européennes à coopérer et à agir de concert si elles veulent continuer à pouvoir protéger leurs intérêts et leurs citoyens. Mais la pression externe ne doit pas être le seul moteur. En réalité, bien d’autres raisons pratiques justifient la logique d’une coopération européenne renforcée dans le domaine de la défense.

Tout d’abord, la raison budgétaire !

À l’heure actuelle, le marché européen de la défense est toujours sérieusement fragmenté. Les budgets sont planifiés et dépensés au niveau national par les 28 ministères de la Défense sans véritable coordination. Cela est coûteux et conduit généralement à un dédoublement des efforts et des dépenses puisque chaque État membre tente de couvrir l’éventail complet des capacités en matière de défense. Par conséquent, une meilleure planification, des acquisitions conjointes, et la mise en commun et le partage des capacités de défense peuvent améliorer les résultats des dépenses militaires et économiser des sommes très importantes sur les montants versés par les contribuables. Selon certaines estimations (*), les gouvernements européens pourraient économiser au moins un tiers (!) de leurs dépenses pour le matériel militaire, s’ils se décidaient à coordonner les investissements. Il est ici question de milliards et de milliards d’euros qui pourraient soit être économisés, soit être débloqués pour d’autres investissements à long terme.

Ensuite, les arguments de l’interopérabilité et l’efficacité

Mais la rentabilité n’est pas le seul avantage, et de loin. L’interopérabilité et l’efficacité accrue sont tout aussi importantes, en termes de résultats découlant d’une approche davantage coopérative pour les programmes de défense. En comparaison avec les États-Unis, les forces armées européennes exploitent trop de types différents d’équipements militaires. Par exemple, en 2016, les États membres de l’UE possédaient 20 types différents d’avions de chasse (contre 6 aux États-Unis), 29 types de frégates (4 aux États-Unis) et 20 types de véhicules blindés (2 aux États-Unis). Davantage de coopération en termes de planification, d’acquisition et d’exploitation des actifs permettrait de rationaliser les capacités opérationnelles, et ainsi renforcer considérablement l’interopérabilité des forces armées des États membres.

La mise en commun et le partage sont par conséquent primordiaux pour garantir l’efficacité/l’interopérabilité des forces armées européennes, et assurer aux contribuables européens « qu’ils en aient pour leur argent ».

L’EDA est prête à relever le défi…

L’Agence européenne de défense (AED) a pour fonction de faciliter cette coopération, et de lancer puis de gérer les projets entre les États membres volontaires. Depuis sa création en 2004, l’Agence est devenue la plateforme de la coopération européenne de défense dotée d’une expertise et de réseaux uniques. C’est à travers l’AED que les gouvernements nationaux décident des priorités en matière de capacités et de la façon de les gérer. L’appui que la Commission européenne est prête à apporter, à travers son Plan d’action européen de la défense récemment adopté, est le bienvenu à cet égard.

… si les États membres s’engagent réellement

L’expérience démontre clairement que si les États membres ont la volonté politique de s’engager sérieusement dans cette coopération, l’AED est à même de produire des résultats importants sous leur contrôle.

 

Fini les débats, place à l’action

Il est urgent d’œuvrer pour la coopération dans le domaine de la défense. Nous ne pouvons pas nous permettre que cette question importante fasse – à nouveau – l’objet de longs débats politiques ou institutionnels qui ne ciblent pas strictement notre objectif commun : renforcer la défense européenne. À cet effet, l’Europe doit exploiter au mieux les outils qu’elle a en sa possession. L’Agence européenne de défense en fait certainement partie.

L’Union européenne est à la croisée des chemins. Des décisions visionnaires et des actions ambitieuses sont nécessaires pour donner un nouveau souffle au projet européen.

(*) Munich Security Report 2017

Jorge Domecq, haut diplomate espagnol, est le Directeur exécutif de l’Agence européenne de défense depuis février 2015. Il a précédemment occupé le poste d’Ambassadeur d’Espagne auprès de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) et aux Philippines. Il a occupé plusieurs fonctions au sein des ministères espagnols des Affaires étrangères et de la Défense, de même qu’à l’OTAN.

Carnet (10.03.2017). SEAE Annuaire. MPCC (effectif, soutien). GeohuB (test). Sanctions (Congo, Somalie, ©Ukraine). Armée néerlandaise (non préparée). Armée tchèque (effectif). Drones Triton (Allemagne). EDA (rapport 2016). Turquie (extradition). Irak ...

Bruxelles2 Blog - Fri, 10/03/2017 - 16:00
(B2) Parus récemment : Coopération Structurée Permanente : arrêtons d’en parler. Faisons là ! Des Slovaques en Méditerranée (blog) Les conclusions du Conseil européen adoptées à 27… sans la Pologne La Pologne refuse les conclusions. Bon et alors… (blog) Donald Tusk réélu sans difficulté. Le gouvernement Szydlo humilié Un noyau dur pour la défense. Oui mais pas […]

Au Mali, tout concourt à ce que l’instabilité perdure (A. Danjean)

Bruxelles2 Blog - Fri, 10/03/2017 - 13:13

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(B2) Alternant les visites sur le terrain et les travaux parlementaires, Arnaud Danjean est, sans doute, un des meilleurs spécialistes des questions de défense et de sécurité au Parlement européen, n’hésitant pas à asséner quelques vérités. B2 l’a rencontré pour une longue interview, portant tant sur la défense européenne que la lutte contre le terrorisme. Son examen critique vaut le détour, notamment sur ce qui se déroule au Mali. Extraits…

Vous rentrez d’une visite au Mali. Ce n’est pas la première. Vous avez donc du recul. Comment jugez-vous la situation ?  

Je suis très inquiet. La situation se dégrade, surtout dans le centre du pays. Les problèmes du passé se maintiennent. Et d’autres apparaissent. Tout concourt à ce que l’instabilité perdure.

En 2012, le pays s’était effondré. On peut craindre, à nouveau, une faillite de l’État malien ? 

Si cela arrive, il n’y aura pas de surprise cette fois. Les interlocuteurs que j’ai rencontrés sur place sont tout à fait conscients de la situation. C’est plutôt en France qu’on trouve un narratif excessivement positif. Le président François Hollande veut faire de son engagement au Mali une réussite. Ce que je comprends tout à fait… (il n’en a pas tant que ça dans son quinquennat). L’opération Serval a été une réussite. Et les opérations de Barkhane le sont également. Mais les aspects militaire et sécuritaire ne sont qu’une partie du problème malien. Il y a des problèmes de gouvernance, des problèmes structurels qui sont lourds. Sur la situation globale du Mali aujourd’hui, on ne peut donc pas parler de réussite.

L’Europe a un levier important, au Sahel, avec son aide. Faut-il la conditionner davantage à des progrès ?

Il faut, en effet, se poser cette question. Je n’ai pas la réponse. Mais il faut s’interroger pour savoir comment on continue, avec quels moyens et qui participe. Ce n’est ni la tâche de la France seule ni même celle de l’Union européenne seule. Il existe une multiplicité d’acteurs au Mali. C’est sûrement le plus frustrant : voir tous ces acteurs sur le terrain et voir que la situation ne s’améliore pas. Tout le monde a, vraiment, des questions à se poser.

Au niveau sécuritaire, le dispositif est important également, est-ce suffisant ? 

Assurément non. Il est surtout beaucoup trop éclaté. Nous avons des missions européennes, civiles et militaires [au titre de la PSDC], qui font plutôt bien leur travail mais qui sont d’ampleur limitée. Elles mériteraient d’être un peu renforcées. Cela ne fait aucun doute. On a Barkhane, qui fait le gros du travail, que ce soit en lutte anti-terroriste, en stabilisation ou en assistance aux forces maliennes. Avec le soutien de la MINUSMA certes, mais ce n’est pas satisfaisant. Les Français ne pourront pas maintenir ce niveau d’engagement ad vitam aeternam au Mali. Il va bien falloir que d’autres s’en mêlent… Les États doivent s’interroger. S’ils envoient des troupes simplement pour cocher une case et dire que la solidarité européenne s’exerce…, je concède que c’est déjà un premier pas politique. Ce n’est pas neutre que l’Allemagne projette 1000 soldats au Mali. Mais il faut davantage.

(Propos recueillis par Leonor Hubaut)

Lire nos interviews complètes :

Coopération Structurée Permanente : arrêtons d’en parler. Faisons là !

Bruxelles2 Blog - Fri, 10/03/2017 - 10:58
(B2) Chacun parle aujourd'hui d'une relance de l'Europe par la défense. Le mini-sommet » de Versailles s'en est fait l'écho (1), ce point devrait être inclus dans la Déclaration de Rome, le 25 mars. Encore faut-il créer, au-delà des mots, une dynamique concrète. C'est l'opinion de Frederic Mauro, qui vient de publier une étude pour […]

Des Slovaques en Méditerranée

Bruxelles2 Blog - Fri, 10/03/2017 - 09:51

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(B2) La Slovaquie n’a pas de marine… mais elle a des soldats. Selon ce bon vieux principe (1), une dizaine de policiers militaires slovaques sont en train d’être formés et entraînés par leurs homologues allemands du Seebataillon pour incorporer l’opération EUNAVFOR MED Sophia.

La formation entamée le 30 janvier doit se terminer à la fin du mois de mars, avec à la clé, entraînement tactique, transport par bateau moteur ou hélicoptère, embarquement sur des petits ou des grands navires, vérification des marchandises et des documents, jusqu’au tir sur cible, en mer.

Les militaires slovaques seront, ensuite, embarqués sur un navire allemand, dans le cadre de l’opération européenne en Méditerranée. Ils pourraient ainsi participer au contrôle de l’embargo sur les armes ou la lutte contre les trafiquants.

(NGV)

(1) Un principe un peu oublié, semble-t-il, par un responsable slovaque qui avait répondu, au début de la présidence slovaque de l’UE (à l’été 2016) pour justifier le non-engagement de son pays dans l’opération Sophia : « Comme vous savez, la Slovaquie n’a pas de mer… ». Ironie plaisante… démentie par les faits.

Lee conclusions du Conseil européen adoptées à 27… sans la Pologne

Bruxelles2 Blog - Fri, 10/03/2017 - 01:38
(B2) Finalement, le texte final du Conseil européen à 28 aura été adopté sous la forme de conclusions du président du Conseil européen, soutenu par 27 États  membres uniquement, la Pologne, par la voix de Beata Szydlo, ayant refusé fermement de s'associer aux conclusions pour « des raisons qui ne tiennent pas à la substance […]

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