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L’ITS Espero rejoint l’opération Atalanta

Bruxelles2 Blog - Wed, 29/03/2017 - 12:30

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L’ITS Espero à sa sortie du port de Tarente (Italie). (Crédit : ministère italien de la Défense)

(B2) La frégate italienne, l’ITS Espero, a rejoint l’opération européenne de lutte contre la piraterie au large des côte somaliennes samedi 25 mars. Commandé par le commandant Luigi Pirozzil, les Italiens seront présents dans les quatre prochains mois pour patrouiller les eaux du golfe d’Aden et du bassin somalien – où un petit regain de piraterie s’est fait sentir récemment – , ainsi de protéger les navires du Programme alimentaire mondial, transportant des personnes humanitaires aux personnes déplacées en Somalie et de soutenir les missions jumelles de l’UE (EUTM et EUCAP) qui travaillent au renforcement de la sécurité maritime et des capacités dans la région de la Corne de l’Afrique. 

Les Italiens prêts face à la reprise de la piraterie

Les quatre mois de mission seront intenses. Il y a seulement deux semaines, des pirates somaliens réussissaient une attaque – la première depuis 2012 – montrant que la menace existe encore (lire : Les pirates repartent à l’attaque dans le Golfe d’Aden. L’Aris 13 capturé). Avant de quitter son port d’attache de Tarente, le commandant Pirozzi a indiqué que « l’équipage et moi-même sommes entièrement préparés et prêts pour ce que je sais que ce sera des quatre mois occupés. Il est impératif que les attaques de pirates continuent à être supprimées au large des côtes de la Somalie, de sorte que les navires peuvent rester en sécurité. » Le navire « est parfaitement adapté à l’opération de contre-piraterie » et l’équipage a reçu une « formation opérationnelle intensive contre la piraterie ». A son bord, outre l’équipage de 200 personnes, plusieurs équipes spécialisées d’abordage : les troupes spéciales de la marine San Marco, les plongeurs du « gruppo Operativo Subacquei » et les effectifs de la composante « air » pour l’hélicoptère AB212.

Deuxième participation à l’opération

Pour l’Espero, il s’agit du deuxième déploiement dans l’opération européenne. Sa première participation remonte à 2011. La frégate avait notamment porté secours au MV Glamour, un navire marchand italien avait été attaqué, début mai, par quatre pirates armés à bord d’un skiff, à environ 700 milles marins de Salalah (Oman). Les pirates n’hésitant pas à tirer au RPG sur le bateau (lire : Dernières nouvelles de la piraterie (15 mai 2011)). Le dernier navire italien participant à l’opération été la frégate « Euro » qui avait mis fin à son engagement le 30 septembre dernier (2016).

(LH)

Lire aussi :

Carnet (29.03.2017). EUNAVFOR Med (chef). EUFOR Althea (chef). EUBAM Libya (Tripoli). EUSSR Irak (note). GovSatCom (mandat). Moldavie (accord de sécurité). COPS (agenda). Russie (Le Pen/Sanctions). Otan (ministérielle). Otan-Russie (rencontre)....

Bruxelles2 Blog - Wed, 29/03/2017 - 12:20
(B2) Parus récemment : La Pologne claque la porte de l’Eurocorps, par rancoeur politicienne. Une erreur stratégique (V2) Aicha Kadhafi, la fille du leader libyen, obtient une condamnation symbolique de l’UE Nouvelle attaque pirate au large du Puntland (blog) L’UE et Mahmoud Abbas fixent une position commune… face aux États-Unis Nouvelle naissance dans l’opération Sophia […]

BAE completes anti-ship missile defence upgrade of last Australian Anzac frigate

Naval Technology - Wed, 29/03/2017 - 01:00
BAE Systems has completed the anti-ship missile defence (ASMD) upgrade works on the Royal Australian Navy's last Anzac-class frigate, HMAS Stuart.

US Navy contracts Aerojet Rocketdyne for new wireless UUV charging system

Naval Technology - Wed, 29/03/2017 - 01:00
The US Navy has awarded a contract to Aerojet Rocketdyne to mature the demonstration capabilities of a power and energy management system for underwater unmanned vehicles (UUVs).

50th anniversary of the launch France`s first SSBN submarine

CSDP Blog - Wed, 29/03/2017 - 00:00

29 March 1967: 50 years ago, Le Redoutable, first French SSBN to ensure the permanence of nuclear deterrence, was launched in the presence of General de Gaulle in France, single autonomous nuclear military power in Europe. Nuclear deterrence is designed to protect people against any aggression of state origin against our vital interests, wherever it may come from and whatever form it may take. Strictly defensive, its use is conceivable only in extreme circumstances of self-defense.

Following the Second World War, France, wants to make nuclear the keystone of the energy and strategic independence of the country. In 1958, the French military nuclear program was formalized by General de Gaulle. By mastering this technology France ensures a place alongside the American and Soviet superpowers. In the 1960s, it was decided to equip the navy with a nuclear launching submarine. On March 29, 1967, Le Redoutable was launched ..

A step is taken. But that activity still to be deployed before the presentation to the tests planned for 1969! The outer shells and thick shells are finished, but the access chambers, flaps of the torpedo tubes, the hydroreactors intended to stabilize the SNLE during the firing of the missiles must be mounted and the breach of the machined reactor compartment.

The gateway, the platforms and the incorporated boxes are installed at 90%. But the partitions are installed only 70% and the carlingages, the crossings of hull, the definitive ballasting to 35%. As for the sailing shelter with its ailerons, too high, it can not be mounted before the launch. For the propulsion, tank, exchangers and pressurizers were embarked, the primary circuit was tried, but clutch, turbo-reducer group, condensers and cradles of the turbo-generator group are being lineed. The main cable layers have been fitted, but the circuit-breaker cabinets are just embedded.

This launch seems modest at a time when the US nuclear submarine fleet is hosting its 41st SSBN and the Soviet fleet already has twenty such units. But with the completion in May of the construction of the Pierrelatte isotope separation plant, which is essential for the enriched uranium of the reactors, and the continuation of the experiments to reach the H-bomb, a major step is taken. "An additional and costly illustration of a ruinous, dangerous and inefficient military policy", according to L'Humanité, or "a capital day for our navy, our defense and, hence, our independence", according to General Le Redoutable does not leave indifferent.

Source

Tag: SSBNLe RedoutableFrance

La Pologne claque la porte de l’Eurocorps, par rancoeur politicienne. Une erreur stratégique (V2)

Bruxelles2 Blog - Tue, 28/03/2017 - 21:15

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La Pologne renie sa signature. Elle revient sur sa décision de faire partie de l’Eurocorps – en septembre 2016 le général C. Podlasiński avec le général Ramirez commmandant l’Eurocorps (crédit : Eurocorps)

(B2) Les lecteurs de B2 pro (lire : Carnet 24.03.2017) en avaient eu la primeur. L’information est désormais officielle et a fait le tour des gazettes. Le gouvernement polonais a choisi, délibérément, de se retirer de l’Eurocorps. Officiellement, il s’agit d’avoir plus d’effectifs pour faire front à l’Est (voir encadré). Officieusement, on le sait très bien, la réalité est tout autre… il s’agit d’une décision proprement politique, voire politicienne, qui n’a rien à voir avec les intérêts historiques de la Pologne, mais est un des nombreux avatars de la rancœur entre les deux partis frères de la droite polonaise – la Plate-forme civique (PO) et Droit et Justice (PiS) (1) – et de la volonté du nouveau gouvernement de refuser tout pas supplémentaire d’intégration européenne comme de développer l’Europe de la défense.

Une décision longuement préparée

Le précédent gouvernement (de la plate-forme civique PO, dirigée successivement par Donald Tusk et Ewa Kopacz) avait préparé le passage de la Pologne en tant que nation-cadre du Corps européen. Une décision mûrement réfléchie qui n’était pas que symbolique mais avait un sens politique profond : la Pologne réintégrait le cœur européen. Elle obtenait en effet de participer à toutes les décisions et avait « droit », par rotation, à commander le corps européen.Le 1er septembre 2014, un accord est signé permettant l’accession de la Pologne à ce statut. De nombreux officiers polonais prennent peu à peu le chemin de Strasbourg dans cet objectif. Il y en a 120 encore aujourd’hui. Et ce chiffre devait monter à près de 200. Le passage officiel était normalement prévu pour 2016 au plus tard (avec une prise de commandement prévue en 2019).

En septembre 2016, d’ailleurs l’Eurocorps avait annoncé officiellement la nouvelle, photo du commandant des forces terrestres polonaises, le général Cezary Podlasiński, à l’appui. Et une photo du commandement tel qu’il devait être avait même été prise.

Une décision « Exit » très personnelle

Mais le nouveau gouvernement PiS a choisi de tourner casaque. D’abord, il a joué la montre, repoussant l’adhésion à l’Eurocorps, de 2016 à 2017. En interne, comme du côté diplomatique (français, allemand, belge…), il devenait très perceptible que Varsovie n’avait plus « vraiment envie de monter à bord » comme le raconte à B2 un diplomate. Dans un papier que nous préparions sur l’Eurocorps, un officier avait obligeamment indiqué à B2 que notre propos sur l’accession de la Pologne (tiré cependant des documents officiels) était « inexact », ou plutôt « un peu optimiste », nous conseillant si on voulait être exact d’être le plus « évasif possible sur une date d’accession ». Mais tout le monde faisait comme si tout restait possible. Aucune notification officielle n’avait eu lieu.

La Pologne rétrograde en seconde voire en troisième vitesse

C’est le ministre polonais de la Défense, Antoni Macierewicz, qui a fait connaître sa décision qui ne semble pas avoir été très collégiale apparemment. Cette décision a été prise sans vraiment de consultation de ses homologues des Affaires étrangères. Quand la nouvelle est sortie côté polonais, par la radio RMF (ou ici), le gouvernement a d’abord nié l’information, estimant qu’il s’agissait d’une « fake news » avant de reconnaître les faits. La Pologne pourrait néanmoins rester nation associée (voir encadré), c’est-à-dire sans aucun pouvoir sur les décisions de l’Eurocorps.

Pour l’Eurocorps une perte politique plus que militaire

Pour le corps européen, cette défection est une perte au plan politique. La Pologne aurait été un des premiers pays de l’Est à rejoindre le cœur européen formé par le couple franco-allemand, l’Espagne, la Belgique et le Luxembourg. Mais, au plan militaire, ce n’est pas dramatique. Ce n’est pas quelques officiers de plus ou de moins qui feront la valeur, ou non, de ce corps européen. Et, de fait, compter dans ses rangs qui n’a pas envie que l’Eurocorps soit engagé sur les opérations européennes aurait été plutôt négatif pour tous ceux qui veulent que celui-ci soit impliqué de façon plus importante dans les opérations européennes (ou de l’OTAN).

Un pays qui ne compte plus vraiment militairement

Cela fait plusieurs années que la Pologne a cessé de compter en Europe comme un pays qui s’engage en matière militaire. C’est en soi paradoxal : alors que le budget pour l’armée augmente (la Pologne a atteint un budget de 2% du PiB), ses troupes se cantonnent aujourd’hui à faire « joujou » dans les casernes ou dans les bois pour s’entraîner au cas où les Russes passeraient la frontière… dans le plus pur remake du désert des Tartares. Le temps de l’engagement important en Irak en 2003 ou en Afghanistan voire du Tchad en 2008 est révolu. Aujourd’hui, l’armée polonaise n’est quasiment engagée dans aucune des missions ou opérations militaires européennes : ni en Méditerranée ni dans l’Océan indien, encore moins sur le continent africain, à l’inverse de ses voisins de l’Est, qui ont toujours tenu, à participer au moins à une ou deux opérations/missions, certains de façon notable (2). Un non-engagement qui a une raison davantage politique que militaire.

Une décision qui va à l’inverse de l’histoire… européenne et de la Pologne

Au plan politique, pour la Pologne, cette nouvelle est plutôt contradictoire. Après s’être battue officiellement à Rome contre une Europe à plusieurs vitesses (3), Varsovie décide de quitter le premier cercle, pour rétrograder en seconde voire en troisième vitesse. C’est un signe de plus que la Pologne ne veut ni d’une intégration européenne ni d’une Europe de la Défense. Mais ce n’est pas vraiment en ligne avec la tradition issue du syndicat Solidarność, portée par toute l’intelligentsia… et la paysannerie polonaises, d’une intégration la plus proche possible du cœur européen, pour être présent politiquement, pour peser sur les décisions, pour montrer que la Pologne est un pays qui compte. C’est une erreur stratégique…

(Nicolas Gros-Verheyde)

La réaction pour le moins contradictoire du gouvernement polonais

Le ministère polonais de la Défense a tenu à réagir mardi dans un communiqué publié – communiqué publié uniquement en polonais, l’anglais n’étant réservé que pour les nouvelles « positives ». Un communiqué (traduit par nos soins) on ne peut plus contradictoire. D’un côté, le ministère conteste s’être retiré de l’Eurocorps. De l’autre côté, il confirme avoir délibérément « abandonné le rôle de nation cadre dans le commandement de l’Eurocorps » et « diminuer son engagement dans un délai de 3-4 ans ». Cette décision étant « due » selon lui à trois causes. La première est opérationnelle. Elle découle de « la nécessité de réduire la participation est due à une augmentation de la charge sur les forces armées découlant de la mise en œuvre des résolutions du sommet de l’OTAN à Newport et à Varsovie, y compris le renforcement du flanc Est de l’OTAN dans le cadre de la défense collective ». La seconde raison est plus politique, Varsovie critique « le changement de la nature de l’activité de l’Eurocorps, qui risque d’affaiblir le rôle de l’Eurocorps dans la mise en œuvre des tâches au sein de l’OTAN, en particulier la défense collective » (NB : On a ici la traduction officielle de l’intention politique et non militaire de ce retrait). Enfin, Varsovie se plaint d’être maltraité de devoir « engager des ressources trop importantes [proportionnellement] par rapport aux autres nations cadre, comme nous l’avons souligné à plusieurs reprises » (NB : une rengaine assez courante sur le ton de la victimation). De fait ce qui semble surtout gêner le ministère polonais dans le mot « Eurocorps », c’est le mot « Euro ». Il considère, en effet, que selon « ses projets et ses attentes, l’Eurocorps devrait conserver la capacité à accomplir des tâches découlant de la participation à la structure des forces de l’OTAN en tant qu’organe de haut niveau de préparation », comme la VJTF.

(1) On peut aussi y voir une décision dans la suite logique de l’affaire du Caracal avec Airbus : il s’agit de « casser les pieds » aux alliés, notamment la France, l’Allemagne et l’Espagne le plus engagés dans l’Europe de la défense. Une décision qui ressemble à s’y méprendre aux décisions prises par le Portugal de Barroso ou l’Italie de Berlusconi qui n’avaient de cesse dans les années 2000 de mettre des bâtons dans les roues des pays les plus aptes à défendre une certaine autonomie de la défense européenne.

(2) Les pays baltes (Lettonie, Estonie) ont ainsi tenu à participer de façon parfois notable aux missions en Centrafrique. Ils ont aussi fourni régulièrement (avec la Lituanie) des équipes de protection embarquée (VPD) pour les navires contre la piraterie (EUNAVFOR Atalanta). Les Tchèques sont présents au Mali depuis le début assurant la force protection de EUTM Mali, avec courage (lire Le QG d’EUTM Mali attaqué à Bamako. Une cible nouvelle au Sahel : l’Europe), les Slovaques envoient un petit contingent à bord du navire allemand participant à l’opération Sophia (lire : Des Slovaques en Méditerranée), les Hongrois assurent (avec les Autrichiens) le noyau dur de l’opération EUFOR en Bosnie-Herzégovine. Hors de l’UE, les Géorgiens, les Ukrainiens, les Serbes sont présents régulièrement dans les opérations militaires de l’UE : Centrafrique pour les premiers, anti-piraterie pour les seconds, missions de formation pour les troisièmes.

(3) En fait, quand Beata Szydło a menacé de mettre son veto à la déclaration, les jeux étaient déjà faits, la Pologne avait obtenu tout ce qu’elle pouvait avoir dans cette déclaration, et le sherpa de la Première ministre polonaise avait approuvé le texte de la déclaration sans y trouver à redire, dès le lundi. Le reste n’a été qu’une gesticulation politique destinée à montrer aux yeux de l’opinion publique polonaise combien la diplomatie polonaise est influente, et combien sa Première ministre pèse sur la scène européenne. Lire : L’Europe veut assurer la défense et la protection de la population (déclaration de Rome)

Aicha Kadhafi, la fille du leader libyen, obtient une condamnation symbolique de l’UE

Bruxelles2 Blog - Tue, 28/03/2017 - 16:05
(B2) Le Tribunal de l'UE a annulé, ce mardi (28 mars), les mesures de gel des avoirs et d'interdiction de visas prononcées contre la fille de l'ancien leader libyen, Aïcha Mouammar Kadhafi pour ce qui concerne les mesures prises en 2014. Une mesure essentiellement symbolique car le tribunal ne s'est pas prononcé sur la reconduction […]

Nouvelle attaque pirate au large du Puntland

Bruxelles2 Blog - Tue, 28/03/2017 - 15:55

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(B2) Un dhow Asayr 2 a été capturé par les pirates au large de la côte nord-est de la Somalie, jeudi (23 mars), selon les informations du QG anti-piraterie de l’UE à Northwood (EUNAVFOR Atalanta). Le navire comptait une vingtaine de personnes d’équipage, et un garde somalien. Ils ont été pris en otage. Treize d’entre eux ont été libérés par les pirates, selon les sources maritimes, dans le Puntland. Les pirates n’ont gardé que sept personnes à bord avant de reprendre la mer.

Relâche quelques jours après

Finalement, le dhow a été relâché dimanche (26 mars) après que les pirates aient volé un skiff, de la nourriture et du diesel. C’est la seconde attaque en quelques semaines, après la capture du pétrolier Aris 13 libéré au bout de quatre jours (lire : Le navire Aris 13 libéré). Et cela s’apparente davantage à de la rapine qu’à un acte réel de piraterie. Mais la vigilance reste de mise. Car d’ordinaire, les dhows étaient très prisés des pirates somaliens non comme une monnaie d’échange pour obtenir une rançon mais comme moyen d’action pouvant être utilisé comme bateau-mère.

Le QG de l’opération à Northwood appelle ainsi tous les navires, conformément à bonnes pratiques « BMP4 », de rester « vigilants » dans l’océan Indien et de « rester dans le couloir de transit internationalement recommandé pendant qu’ils traversent le golfe d’Aden ».

(NGV)

Lire aussi : Ne pas baisser la garde maintenant !

 

SAES Presents the SIMOAC-EM System

Naval Technology - Tue, 28/03/2017 - 15:41
The growing human activity in the marine environment is entailing an increasing concern on its potential negative global effects on this environment and particularly on its fauna, as reflected in international regulations such as the MSFD in Europe.

DRM et COS se rapprochent des industriels

Blog Secret Défense - Tue, 28/03/2017 - 14:51
Le salon Sofins pour les forces spéciales débute aujourd’hui, alors que le projet d’un Intelligence Campus autour du renseignement militaire a été lancé la semaine dernière.

L’UE et Mahmoud Abbas fixent une position commune… face aux États-Unis

Bruxelles2 Blog - Tue, 28/03/2017 - 14:40
(B2) Alors que le président américain, Donald Trump, semble pencher en faveur d'Israël, les Palestiniens multiplient les rencontres. Le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a ainsi été reçu par la chef de la diplomatie européenne, ce lundi 27 mars. Une réunion « importante pour analyser les évolutions récentes de la politique internationale et pour trouver la meilleure manière de […]

Nato concludes DYMA 17 submarine warfare exercise

Naval Technology - Tue, 28/03/2017 - 01:00
Nato has completed its Dynamic Manta 2017 (DYMA 17) submarine warfare exercise off the Sicilian coast in Italy.

US Navy's George H.W. Bush CSG launches OIR missions against ISIS

Naval Technology - Tue, 28/03/2017 - 01:00
The US Navy’s George H.W. Bush Carrier Strike Group (CSG) has commenced strike missions against ISIS from the Arabian Gulf in support of Operation Inherent Resolve (OIR).

QNA to deliver EMALS and AAG hardware and software for CVN 79

Naval Technology - Tue, 28/03/2017 - 01:00
General Atomics has awarded a new $41m contract to QinetiQ North America (QNA) to support delivery of the US Navy's electromagnetic aircraft launch system (EMALS) and advanced arresting gear (AAG).

A l’agenda du Conseil des Affaires étrangères (03.04.2017)

Bruxelles2 Blog - Mon, 27/03/2017 - 10:22
(B2) Les ministres des Affaires étrangères de l'UE ont, pour l'instant, trois sujets de discussion inscrits à l'agenda de leur réunion du 3 avril : 1) la Syrie (avec l'examen de la proposition de stratégie et la conférence internationale qui se tiendra deux jours après), 2) le Yémen et la situation humanitaire, 3) la Libye. Des […]

Nouvelle naissance dans l’opération Sophia

Bruxelles2 Blog - Mon, 27/03/2017 - 10:11

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L’équipe médicale et la mère après l’accouchement (Crédit : Marine espagnole)

(B2) Le printemps est arrivé de manière un peu particulière pour  l’opération EUNAVFOR Med / Sophia de lutte contre les trafics d’êtres humains et d’armes en Méditerranée. « Emmanuel ». C’est le prénom du bébé né dans la nuit du 20 au 21 mars à bord de la frégate Canarias (F-86), quelques heures après que sa mère, et 1800 autres migrants, aient été secourus au large de la Libye.

La mère sauvée au large de la Libye

La mer était agitée lundi 20 mars, et les navires de fortune des migrants tentant de rejoindre l’Europe ont rapidement fait naufrage. Au large des côtes libyennes, la frégate espagnole a coordonné le sauvetage de plus de 1800 migrants, lors de six interventions. En fin de journée, le Canarias met cap vers le port italien de Mesina. A son bord, 638 migrants dont neuf femmes enceintes. Parmi elles, Adesuwa, une jeune nigériane.

Naissance et baptême à bord

C’est vers minuit que la jeune femme a rompu les eaux et a été prise en charge par l’équipe médicale du navire. L’accouchement s’est déroulé sans aucune complication précise la marine espagnole. Emmanuel est né à 2h10, heure espagnole, en parfait santé. A la demande de la mère, catholique, et en profitant de la présence d’un aumônier, l’enfant a été baptisé. Son parrain est le médecin du navire qui a assisté à la naissance. 

Transfert vers un hôpital italien, sans polémique

A l’arrivé du navire à Mesina, mère et enfant ont été envoyés dans un hôpital de la ville. Ils seront ensuite pris en charge, comme n’importe quel migrant. Emmanuel, bien qu’étant né sur un navire espagnol, n’a pas automatiquement droit à la nationalité espagnole. Un débat qui semble avoir été tranché par l’Espagne, après la polémique de décembre dernier. Lire : Muna, le nouveau-né bébé ‘EUnavfor Med’ déclenche une polémique en Espagne

(Leonor Hubaut)

Lire : La frégate Canarias rejoint l’opération Sophia

US Navy completes CSSQT exercises for USS Detroit LCS

Naval Technology - Mon, 27/03/2017 - 01:00
The US Navy has successfully completed combat system ship qualification trials (CSSQT) for its USS Detroit (LCS 7) Freedom-class littoral combat ship.

France's DCNS completes maiden sea trials of first Gowind 2500 corvette

Naval Technology - Mon, 27/03/2017 - 01:00
France-based group DCNS has successfully completed the maiden sea trials of the first Gowind 2500 multi-mission corvette, which is currently being built by the company in Lorient, France.

Indian Navy's INS Vikramaditya conducts first test of Barak missile

Naval Technology - Mon, 27/03/2017 - 01:00
The Indian Navy's INS Vikramaditya aircraft carrier has successfully conducted the first firing of the new Barak surface-to-air missile system.

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