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Austal to establish new design and project management office in South Australia

Naval Technology - Mon, 08/05/2017 - 01:00
Shipbuilding company Austal is set to open a new design and project management office in Adelaide, South Australia.

DCNS to refit three La Fayette-class frigates for the French Navy

Naval Technology - Mon, 08/05/2017 - 01:00
The Directorate-General for Armaments (DGA) has awarded a contract to arms industry company DCNS for the upgrade of three of the French Navy's five La Fayette frigates (FLF).

La Ve république mue. Le pouvoir passe au Parlement ?

Bruxelles2 Blog - Sun, 07/05/2017 - 19:02

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François Hollande recevant le dirigeant ukrainien, Petro Porochenko (crédit : Elysée / Archives B2 octobre 2015)

(B2) La « véritable » élection qui va décider de l’avenir de la France n’est peut-être pas vraiment le second tour des présidentielles de ce dimanche. Elle se déroulera les 11 et 18 juin, lors des législatives.

Un paradoxe

Alors que la présidence de la République est normalement le lieu majeur du pouvoir français, ce n’est plus automatiquement l’élection décisive. Toute la difficulté pour Emmanuel Macron (comme cela aurait été pour Marine Le Pen) sera alors de réunir une majorité suffisante derrière son programme. Un président sans majorité, même avec d’importants pouvoirs, voit son pouvoir réduit de façon drastique aux questions de défense (il reste le chef des Armées) et de présence internationale.

Quatre hypothèses de majorité

Plusieurs hypothèses peuvent se profiler :

  1. Soit dans la foulée de la présidentielle, le mouvement En Marche, qui se transforme en parti social-libéral, arrive à agglutiner sur son nom, une majorité absolue. Ce qui s’est, en général, passé, lors des élections précédentes.
  2. Soit il obtient une majorité relative largement suffisante pour pouvoir gouverner en obtenant, à la fois, la confiance de l’assemblée et en disposant, soit à droite, soit à gauche des soutiens ponctuels nécessaires pour avoir la majorité de gouvernement nécessaire.
  3. Soit il n’obtient pas la majorité suffisante et doit constituer un gouvernement de coalition avec l’apport des voix socialistes ou des voix de droite. On aurait alors un gouvernement de coalition imposée par la grâce parlementaire.
  4. Soit il n’obtient pas cette majorité, n’arrive pas à constituer une majorité de gouvernement. Et c’est un autre gouvernement qui se constitue, avec un Premier ministre et un programme de gouvernement qui lui sera imposé. La victoire de Macron aux présidentielles aura alors été de courte durée pour imposer son programme. Mais sa figure de président pourrait au final l’emporter, et conduire dans cinq ans, le mouvement En Marche, à une pérennité plus certaine.

Le retour du Parlement

Dans trois de ces quatre hypothèses, le parlement français retrouve un rôle certain qu’il avait perdu ces dernières années, le parti au pouvoir se confondant avec la personne du président de la République et du Premier ministre. La majorité ayant alors un rôle essentiel, soutenir le gouvernement, avec une marge de manœuvre assez limitée aux grognements habituels d’une majorité bousculée par un exécutif. La Ve république pourrait alors évoluer d’un régime présidentiel à un régime parlementaire.

Un test de solidité des partis traditionnels

Les législatives pourraient être aussi le véritable test de solidité, ou non, de l’affaiblissement des partis de gouvernement (Les Républicains et Parti socialiste). Pour Les Républicains (droite), on peut parier que l’épisode « Fillon » effacé, le parti va retrouver une certaine unité pour partir à la bataille sinon totalement uni, du moins réuni. Chacune des composantes du parti (Fillon, Sarkozy, Juppé, etc.) ayant plus qu’intérêt à trouver dans les législatives l’excutoire à la victoire qui leur a fait défaut aux présidentielles. Dans un pays, aux tréfonds conservateurs, Les Républicains, pourraient alors imposer l’un des leurs au poste de Premier ministre (François Baroin ?) ou, à défaut, constituer une minorité suffisamment forte pour constituer un allié de poids à Macron ou une opposition de poids.

Pour les socialistes, l’épreuve de force est beaucoup plus vitale. Il faudra que les Socialistes ralliés, ouvertement ou intellectuellement, à Macron, tels Le Drian, quittent définitivement le parti dont ils étaient un des piliers majeurs. C’est un cas de non retour. Et cela pourrait signifier, réellement, l’implosion du parti d’Épinay.

Quant au Front National, son objectif sera désormais de constituer un groupe à l’Assemblée nationale, lui permettant d’avoir au chapitre et d’être l’aiguillon de service d’un gouvernement qui sera toujours tenté d’intervenir en réaction.

L’Europe de la défense, vecteur commun des partis de gouvernement

Dans toutes ces hypothèses, une quasi certitude. Les trois partis de gouvernement (Les républicains, Parti Socialiste, En Marche) partagent, au-delà de leurs différences, une même sensibilité : la défense constitue une priorité majeure. Et sur l’Europe de la défense, leurs propos se rejoignent tous, les différences se calculant au millimètre. Tous sont pour un renforcement des ambitions européennes en la matière, d’avoir une Europe puissance plutôt qu’une molle réunion d’intérêts, un financement et des actions communes… Cela tombe bien car c’est exactement le sentiment qui prédomine à Bruxelles tant au sein de la Commission européenne (JC. Juncker, F. Mogherini, etc.), qui prépare une série de propositions en ce sens, qu’au sein du Parlement européen.

(Nicolas Gros-Verheyde)

Journée portes ouvertes à l’Europe

Bruxelles2 Blog - Sat, 06/05/2017 - 10:45

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(B2) Les différentes missions et opérations de la PSDC sont ce samedi (6 mai) présentes dans l’enceinte du service diplomatique européen (SEAE), au Rond-point Schuman, de 10h à 18h.

NB : l’illustration ci-contre provient du site du SEAE mais seule la version anglais de l’affiche est disponible. La communication du service diplomatique européen ne se faisant qu’en anglais.

Former sans équiper ! C’est comme verser de l’eau sans un verre

Bruxelles2 Blog - Fri, 05/05/2017 - 20:20

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Verrait-on des casques bleus, sans cartes, sans crayon et sans véhicule… ? Pourtant c’est ce que font actuellement les Européens avec les forces africaines, former… sans équiper (crédit : DICOD / EMA – casques bleus de la Finul au Liban)

(B2) S’exprimant à Malte, lors de l’assemblée parlementaire sur la politique de défense européenne, le député français (socialiste) Joaquim Pueyo n’a pas mâché ses mots sur l’action de l’Union européenne au Sahel. Un sujet qu’il connait bien pour avoir été à Bamako l’année dernière « afin d’évaluer les missions EUTM Mali et EUCAP Sahel Mali » dont l’objectif est la formation de l’armée et des forces de sécurité intérieure maliennes.

Un contexte juridique qui interpelle

« Même si l’implication de leur personnel doit être saluée, ces deux missions et en particulier EUTM Mali s’exercent dans un contexte juridique qui doit nous interpeller. L’UE ne peut juridiquement financer les dépenses militaires. Elle forme les soldats maliens mais ne peut leur fournir les armes et munitions nécessaires à leur entraînement » a expliqué le député de l’Orne.

Une formation sans équipement

« Pire encore, une fois formés, ceux-ci rejoignent une armée malienne sans équipement, l’État malien n’ayant pas les moyens de les acheter. Le Mali mais aussi le Tchad ou le Niger, veulent des armes, des munitions, mais aussi des moyens de transmission, des véhicules blindés, des équipements de vision nocturne, etc.  afin de combattre, avec les forces françaises de l’opération Barkhane, les groupes terroristes qui les menacent et nous menacent. Et l’Europe est incapable de les leur fournir. »

L’Europe incapable même de payer des trousses de premier secours !

« Sans aller jusqu’à fournir des armes et des munitions, il me semble nécessaire que l’Union finance certaines dépenses ayant un objet militaire. Pour ne prendre qu’un exemple édifiant, les trousses de premiers secours fournies aux militaires maliens dans le cadre d’EUTM Mali ont dû être payées par… le Luxembourg ! » explique le député.

Une initiative CBSD en deçà des enjeux

Une problématique que l’on connait bien au niveau de l’Union européenne. C’est tout le sens de l’initiative, dénommée CBSD (1), proposée en juillet 2016, et actuellement en discussion devant le Parlement européen. Elle vise à permettre le financement d’un minimum d’équipement (non létal) pour les forces armées. Mais cette initiative se heurte encore à quelques résistances, assez surréalistes parfois, comme l’ont prouvé les derniers débats au Parlement européen (lire : Pas de confusion, la CBSD n’est pas soumise aux critères « DAC »). Et, selon le député Pueyo, elle est insuffisante. « L’initiative CBSD est une première réponse mais elle n’est pas encore actée. Elle restera malheureusement en deçà des enjeux et des demandes de nos partenaires africains. »

(Nicolas Gros-Verheyde)

(1) Capacity building in support of security and development. Un acronyme anglais intraduisible en français courant. J’offre un café à celui qui m’offre une traduction en français compréhensible dans le sens commun !

L’armée US installe son QG pour l’opération « Est » à Poznan

Bruxelles2 Blog - Fri, 05/05/2017 - 08:36

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(B2) L’armée américaine a relocalisé à Poznan, en Pologne, une centaine d’hommes, afin de mettre en place un QG tactique « de niveau de division », pour l’opération Atlantic Resolve. Il assurera ainsi le commandement des 6000 militaires redéployés dans les différents pays d’Europe de l’Est, de l’Estonie à la Bulgarie. Cet « élément de commandement de la mission » (MCE), mis en place en février 2015 à Baumholder (Allemagne). Cette relocalisation en Pologne va permettre « de projeter rapidement des forces de combat sur le théâtre européen à l’appui des alliés et partenaires de l’OTAN et d’augmenter la capacité de dissuasion [comme] de se défendre contre toute menace » indique l’armée américaine. Les Américains ont déployé 2017 en Europe une équipe de brigade blindée déployée par rotation en Europe, une brigade d’aviation de chasse et une force logistique d’appui.

(NGV)

En détail : le site US de l’opération Atlantic Resolve

SENER Signs Agreement with the Universities of Rijeka and Split to Use FORAN for Academic Purposes

Naval Technology - Fri, 05/05/2017 - 01:00
The SENER engineering and technology group has signed a partnership agreement with the Faculty of Engineering at the University of Rijeka, Croatia, and the Faculty of Electrical Engineering, Mechanical Engineering, and Naval Architecture at the Unive…

LCR Embedded Systems to provide 3U VPX solution to US NAVAIR

Naval Technology - Fri, 05/05/2017 - 01:00
The US Naval Air Systems Command (NAVAIR) in Point Mugu, California, has selected LCR Embedded Systems for the supply of its new 3U VPX solution.

SAIC to offer Marine Corps cyber support and protection services to US MARFORCYBER

Naval Technology - Fri, 05/05/2017 - 01:00
Science Applications International (SAIC) has received a task order from the US Navy's Space and Naval Warfare Systems Center (SSC) Pacific to provide comprehensive cyber support and protection services to the US Marine Corps Forces Cyberspace Comman…

Deals this week: Raytheon Missile Systems, Northrop Grumman, Saab

Naval Technology - Fri, 05/05/2017 - 01:00
Raytheon Missile Systems has secured a contract modification worth $78.72m for the sustainment of the AIM-9X Sidewinder Block II tactical missiles operated by the US Air Force, US Navy and other foreign militaries.

US Navy launches USS Tripoli amphibious assault ship

Naval Technology - Fri, 05/05/2017 - 01:00
The US Navy has launched its future America-class amphibious assault ship USS Tripoli (LHA 7) after completing the transition from land to the dry dock at Huntington Ingalls Industries' (HII) shipyard.

Pas de confusion, la CBSD n’est pas soumise aux critères « DAC »

Bruxelles2 Blog - Thu, 04/05/2017 - 14:45
(B2) La CBSD, l'instrument pour la construction de capacités à l'appui de la sécurité et du développement, ne sera pas soumise aux critères dits de "dacabilité" fixés par le Comité d’aide au développement (CAD / DAC) de l’OCDE. Face aux critiques récurrentes de quelques eurodéputés — reflétant le milieu du développement et la DG développement de la […]

Raytheon wins $327.14m contract modification to manufacture AN/SPY-6(V) radars

Naval Technology - Thu, 04/05/2017 - 01:00
Raytheon has secured a $327.14m fixed-price incentive (firm target) modification to a previously awarded contract to begin low-rate initial production of AN/SPY-6(V) air and missile defence radars (AMDRs).

CBG Systems to Supply Moonraker's Antenna Systems for Italian Naval Law Programme

Naval Technology - Thu, 04/05/2017 - 01:00
CBG Systems is pleased to announce that it has secured a contract for the manufacture and supply of Moonraker's antenna systems for the Italian Naval law programme.

ANAO presents report on Australia’s Future Submarine competitive evaluation process

Naval Technology - Thu, 04/05/2017 - 01:00
The Australian National Audit Office (ANAO) has presented its report on the competitive evaluation process to select a successful international partner for the country’s Future Submarine programme.

US Navy considers UAVs to maintain visual on sailors at sea

Naval Technology - Thu, 04/05/2017 - 01:00
US Pacific Fleet (PACFLT) sailors have developed a new use for unmanned aerial vehicles (UAVs) to maintain a visual on the sailors at sea, especially during man-overboard situations.

Ivan Papanin (Project 23550) Class Arctic Patrol Vessels

Naval Technology - Thu, 04/05/2017 - 01:00
The Ivan Papanin (Project 23550) class is a fleet of two multipurpose patrol icebreakers being built by JSC Admiralty Shipyards for the Russian Navy.

April's top stories: UK MoD negotiates £1.4bn contract, Australia releases RFT for $35bn

Naval Technology - Thu, 04/05/2017 - 01:00
UK MoD negotiates £1.4bn contract for Royal Navy's sixth Astute-class submarine, and Australian Government releases RFT for $35bn Future Frigate project. Naval-technology.com wraps up the key headlines from April, 2017.

L’analyse d’images satellites, un processus bien rôdé

Bruxelles2 Blog - Wed, 03/05/2017 - 20:00
(B2 à Madrid) Pour accomplir sa mission, le SatCen s'appuie principalement sur des images satellitaires, commandées à des fournisseurs commerciaux ou militaires, ou encore provenant des satellites Copernicus de l’Union européenne. Le Centre n'a, en effet, le contrôle direct sur aucun satellite. Depuis l'appel du client jusqu'à la livraison d'un rapport d'analyse, le processus est bien rodé, permettant aux experts européens […]

Ursula von der Leyen lance une chasse aux « mauvais éléments » de l’armée allemande

Bruxelles2 Blog - Wed, 03/05/2017 - 19:45

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Ursula von der Leyen s’exprimant à la presse, entourée (à sa gauche) du général Volker Wieker, et (à sa droite) du général Jörg Vollmer (© LH / B2)

(B2 à Illkirch) La ministre de la Défense allemande, Ursula von der Leyen, est arrivée en tout début d’après-midi au quartier Leclerc, à Illkirch-Graffenstaden (sud de Strasbourg) pour une mise au point sur les valeurs de l’armée allemande.

C’est ici que le militaire allemand Franco A, soupçonné de vouloir commettre un attentat, était affecté, au 291e bataillon de chasseurs de la brigade franco-allemande (BFA) (lire : Mélange des genres. Un militaire allemand de la BFA soupçonné de préparer un attentat raciste). Une visite décidée la veille dans l’urgence (annulant au passage un voyage prévu aux États-Unis) afin de renforcer le message de la ministre, soumise à forte critiques sur la scène nationale, notamment auprès des forces armées. Récit…

Un message fort : des défaillances internes à résoudre

Accompagnée de l’inspecteur général Volker Wieker (le chef d’état-major de l’armée allemande) et de l’inspecteur général Jörg Vollmer (patron de l’armée de terre), Ursula von der Leyen a voulu faire passer un message clair. Si « la grande majorité des soldats [allemands] ont tout le respect » de la ministre, « il est important de creuser plus profondément si quelque chose a mal tourné ». « Nous sommes au début d’un long processus. »  Il y a « encore beaucoup à venir, mais ça vaut le coup » assure la ministre. Et elle compte s’y mettre rapidement.

Des faiblesses dans la direction de l’armée

Dès demain, jeudi 4 mai, elle rencontrera à Berlin une centaine de hauts gradés de l’armée allemande pour évoquer « la formation, au vu des récents scandales et leurs conséquences ». A Illkirch, Von der Leyen a annoncé également une révision du Code de discipline militaire. La ministre a aussi confirmé les propos tenus dans une interview au quotidien Bild, où elle dénonçait des « faiblesses de direction » dans l’armée et un « esprit de corps mal placé » conduisant à minimiser les dérives.

Opération de com’ politique

Un des dessins du « bunkers », la salle de détente des sous-officiers allemands, au quartier Leclerc, à Illkirch. (© LH / B2)

Von der Leyen est venue, en personne, pour se faire une idée de l’avancement de l’enquête qu’elle a elle-même ordonné la semaine passée. Mais la visite était aussi (et surtout) une opération de com’ pour redorer le blason de la ministre, mise en mal dans ce début de campagne électorale (en Allemagne).

Une revue de paquetage… dans le détail

Arrivée vers 14h, la ministre n’est restée dans la base que quelques heures. Pourtant, le tour a été minutieux. Et la presse tenue à bonne distance de la ministre pour éviter toute question intempestive. Après une première rencontre avec les hauts gradés allemands, elle a tenu à rencontrer plusieurs soldats. Elle a également visité le lieu de travail de Franco A. ainsi que les différentes zones de vie des soldats allemands.

Des décors glorifiant le passé nazi

Dans sa chambre, les enquêteurs ont trouvé une arme décorée d’une croix-gammée, un poster de soldats du IIIe Reich et divers documents à la gloire des nazis. Dans le « bunker », le salon de loisirs des sous-officiers, auquel B2 a eu accès, les murs sont décorés de dessins de soldats rappelant ceux de la Wehrmacht… Un détail que la ministre a d’ailleurs critiqué vertement : « La Wehrmacht n’a rien en commun avec la Bundeswehr. »

Les Français absents 

Côté français, le service a été réduit au minimum. Seul le général Nicolas Casanova, chef de la 2ème Brigade blindée (2e BB), a reçu la ministre à son arrivée à l’aéroport de Eintzeim et au quartier Leclerc. Mais il l’a fait surtout en « sa qualité de gouverneur militaire de Strasbourg ». D’ailleurs, la visite de la ministre n’a pas été annoncée par les responsables de presse français. Les médias français se comptaient à peine sur les doigts d’une main. En revanche, côté allemand, une bonne dizaine de télévisions et une quinzaine de journalistes dont certains arrivés dans l’avion de la ministre étaient présents.

(Leonor Hubaut)

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