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LCR Embedded Systems to provide 3U VPX solution to US NAVAIR

Naval Technology - Fri, 05/05/2017 - 01:00
The US Naval Air Systems Command (NAVAIR) in Point Mugu, California, has selected LCR Embedded Systems for the supply of its new 3U VPX solution.

SAIC to offer Marine Corps cyber support and protection services to US MARFORCYBER

Naval Technology - Fri, 05/05/2017 - 01:00
Science Applications International (SAIC) has received a task order from the US Navy's Space and Naval Warfare Systems Center (SSC) Pacific to provide comprehensive cyber support and protection services to the US Marine Corps Forces Cyberspace Comman…

Deals this week: Raytheon Missile Systems, Northrop Grumman, Saab

Naval Technology - Fri, 05/05/2017 - 01:00
Raytheon Missile Systems has secured a contract modification worth $78.72m for the sustainment of the AIM-9X Sidewinder Block II tactical missiles operated by the US Air Force, US Navy and other foreign militaries.

US Navy launches USS Tripoli amphibious assault ship

Naval Technology - Fri, 05/05/2017 - 01:00
The US Navy has launched its future America-class amphibious assault ship USS Tripoli (LHA 7) after completing the transition from land to the dry dock at Huntington Ingalls Industries' (HII) shipyard.

Pas de confusion, la CBSD n’est pas soumise aux critères « DAC »

Bruxelles2 Blog - Thu, 04/05/2017 - 14:45
(B2) La CBSD, l'instrument pour la construction de capacités à l'appui de la sécurité et du développement, ne sera pas soumise aux critères dits de "dacabilité" fixés par le Comité d’aide au développement (CAD / DAC) de l’OCDE. Face aux critiques récurrentes de quelques eurodéputés — reflétant le milieu du développement et la DG développement de la […]

Raytheon wins $327.14m contract modification to manufacture AN/SPY-6(V) radars

Naval Technology - Thu, 04/05/2017 - 01:00
Raytheon has secured a $327.14m fixed-price incentive (firm target) modification to a previously awarded contract to begin low-rate initial production of AN/SPY-6(V) air and missile defence radars (AMDRs).

CBG Systems to Supply Moonraker's Antenna Systems for Italian Naval Law Programme

Naval Technology - Thu, 04/05/2017 - 01:00
CBG Systems is pleased to announce that it has secured a contract for the manufacture and supply of Moonraker's antenna systems for the Italian Naval law programme.

ANAO presents report on Australia’s Future Submarine competitive evaluation process

Naval Technology - Thu, 04/05/2017 - 01:00
The Australian National Audit Office (ANAO) has presented its report on the competitive evaluation process to select a successful international partner for the country’s Future Submarine programme.

US Navy considers UAVs to maintain visual on sailors at sea

Naval Technology - Thu, 04/05/2017 - 01:00
US Pacific Fleet (PACFLT) sailors have developed a new use for unmanned aerial vehicles (UAVs) to maintain a visual on the sailors at sea, especially during man-overboard situations.

Ivan Papanin (Project 23550) Class Arctic Patrol Vessels

Naval Technology - Thu, 04/05/2017 - 01:00
The Ivan Papanin (Project 23550) class is a fleet of two multipurpose patrol icebreakers being built by JSC Admiralty Shipyards for the Russian Navy.

April's top stories: UK MoD negotiates £1.4bn contract, Australia releases RFT for $35bn

Naval Technology - Thu, 04/05/2017 - 01:00
UK MoD negotiates £1.4bn contract for Royal Navy's sixth Astute-class submarine, and Australian Government releases RFT for $35bn Future Frigate project. Naval-technology.com wraps up the key headlines from April, 2017.

L’analyse d’images satellites, un processus bien rôdé

Bruxelles2 Blog - Wed, 03/05/2017 - 20:00
(B2 à Madrid) Pour accomplir sa mission, le SatCen s'appuie principalement sur des images satellitaires, commandées à des fournisseurs commerciaux ou militaires, ou encore provenant des satellites Copernicus de l’Union européenne. Le Centre n'a, en effet, le contrôle direct sur aucun satellite. Depuis l'appel du client jusqu'à la livraison d'un rapport d'analyse, le processus est bien rodé, permettant aux experts européens […]

Ursula von der Leyen lance une chasse aux « mauvais éléments » de l’armée allemande

Bruxelles2 Blog - Wed, 03/05/2017 - 19:45

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Ursula von der Leyen s’exprimant à la presse, entourée (à sa gauche) du général Volker Wieker, et (à sa droite) du général Jörg Vollmer (© LH / B2)

(B2 à Illkirch) La ministre de la Défense allemande, Ursula von der Leyen, est arrivée en tout début d’après-midi au quartier Leclerc, à Illkirch-Graffenstaden (sud de Strasbourg) pour une mise au point sur les valeurs de l’armée allemande.

C’est ici que le militaire allemand Franco A, soupçonné de vouloir commettre un attentat, était affecté, au 291e bataillon de chasseurs de la brigade franco-allemande (BFA) (lire : Mélange des genres. Un militaire allemand de la BFA soupçonné de préparer un attentat raciste). Une visite décidée la veille dans l’urgence (annulant au passage un voyage prévu aux États-Unis) afin de renforcer le message de la ministre, soumise à forte critiques sur la scène nationale, notamment auprès des forces armées. Récit…

Un message fort : des défaillances internes à résoudre

Accompagnée de l’inspecteur général Volker Wieker (le chef d’état-major de l’armée allemande) et de l’inspecteur général Jörg Vollmer (patron de l’armée de terre), Ursula von der Leyen a voulu faire passer un message clair. Si « la grande majorité des soldats [allemands] ont tout le respect » de la ministre, « il est important de creuser plus profondément si quelque chose a mal tourné ». « Nous sommes au début d’un long processus. »  Il y a « encore beaucoup à venir, mais ça vaut le coup » assure la ministre. Et elle compte s’y mettre rapidement.

Des faiblesses dans la direction de l’armée

Dès demain, jeudi 4 mai, elle rencontrera à Berlin une centaine de hauts gradés de l’armée allemande pour évoquer « la formation, au vu des récents scandales et leurs conséquences ». A Illkirch, Von der Leyen a annoncé également une révision du Code de discipline militaire. La ministre a aussi confirmé les propos tenus dans une interview au quotidien Bild, où elle dénonçait des « faiblesses de direction » dans l’armée et un « esprit de corps mal placé » conduisant à minimiser les dérives.

Opération de com’ politique

Un des dessins du « bunkers », la salle de détente des sous-officiers allemands, au quartier Leclerc, à Illkirch. (© LH / B2)

Von der Leyen est venue, en personne, pour se faire une idée de l’avancement de l’enquête qu’elle a elle-même ordonné la semaine passée. Mais la visite était aussi (et surtout) une opération de com’ pour redorer le blason de la ministre, mise en mal dans ce début de campagne électorale (en Allemagne).

Une revue de paquetage… dans le détail

Arrivée vers 14h, la ministre n’est restée dans la base que quelques heures. Pourtant, le tour a été minutieux. Et la presse tenue à bonne distance de la ministre pour éviter toute question intempestive. Après une première rencontre avec les hauts gradés allemands, elle a tenu à rencontrer plusieurs soldats. Elle a également visité le lieu de travail de Franco A. ainsi que les différentes zones de vie des soldats allemands.

Des décors glorifiant le passé nazi

Dans sa chambre, les enquêteurs ont trouvé une arme décorée d’une croix-gammée, un poster de soldats du IIIe Reich et divers documents à la gloire des nazis. Dans le « bunker », le salon de loisirs des sous-officiers, auquel B2 a eu accès, les murs sont décorés de dessins de soldats rappelant ceux de la Wehrmacht… Un détail que la ministre a d’ailleurs critiqué vertement : « La Wehrmacht n’a rien en commun avec la Bundeswehr. »

Les Français absents 

Côté français, le service a été réduit au minimum. Seul le général Nicolas Casanova, chef de la 2ème Brigade blindée (2e BB), a reçu la ministre à son arrivée à l’aéroport de Eintzeim et au quartier Leclerc. Mais il l’a fait surtout en « sa qualité de gouverneur militaire de Strasbourg ». D’ailleurs, la visite de la ministre n’a pas été annoncée par les responsables de presse français. Les médias français se comptaient à peine sur les doigts d’une main. En revanche, côté allemand, une bonne dizaine de télévisions et une quinzaine de journalistes dont certains arrivés dans l’avion de la ministre étaient présents.

(Leonor Hubaut)

Relais français en Méditerranée

Bruxelles2 Blog - Wed, 03/05/2017 - 19:33

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(B2) Le patrouilleur de haute mer commandant Blaison (F-793) a pris le relais du Commandant Birot (F-796) dans l’opération Sophia en Méditerranée (EUNAVFOR Med). Tous deux sont des avisos de type A 69 de la classe d’Estienne d’Orves.

Mélange des genres. Un militaire allemand de la BFA soupçonné de préparer un attentat raciste

Bruxelles2 Blog - Wed, 03/05/2017 - 15:55

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(B2) L’affaire fait grand bruit en Allemagne (et bizarrement assez peu en France). Un officier allemand, du 291e bataillon de chasseurs (Jägerbataillon 291) – qui fait partie de la brigade franco-allemande –, basé à Illkirch (près de Strasbourg) (1), est soupçonné d’avoir voulu préparer un attentat.

Soldat le jour, réfugié la nuit

Agé de 28 ans, le lieutenant Franco A menait une double vie. Le jour, il était soldat. La nuit et durant ses périodes de permission, il était David Benjamin (!), chrétien de Syrie, réfugié en Allemagne, vivant dans un foyer de migrants en Hesse… Son statut de demandeur d’asile avait été reconnu en janvier 2016. Une prouesse relativement extraordinaire puisque d’après la presse allemande, il ne parle pas un mot d’arabe. Lors des démarches pour bénéficier du droit d’asile, pour éviter de parler allemand, il a parlé en Français. Une langue apprise en France, à l’école de Saint Cyr, où il a étudié (cf. ci-dessous).

Une enquête menée en Autriche, en Allemagne et en France

Durant de longs mois, Franco A. a mené sa double vie sans attirer les soupçons. Ce n’est que début février (le 3), qu’il a été repéré par la police… autrichienne. Il tentait de récupérer une arme à feu chargée, de calibre 7,65 mm, cachée quelques jours plus tôt dans les canalisations des toilettes de l’aéroport de Wien-Schwechat (Autriche). Arme pour laquelle il ne disposait d’aucun port d’arme. Arrêté pour contrôle, il a ensuite été relâché mais placé sous surveillance. Le parquet allemand a alors pris le relais, menant une enquête sur le soupçon d’action violente subversive. L’enquête — impliquant les polices de trois pays (Allemagne, Autriche, France) – a abouti à des perquisitions dans 16 habitations au total dans les trois pays puis à deux arrestations. Franco A a été arrêté, mercredi dernier (26 avril) à Hammelburg (Bavière) où il suivait une instruction militaire, en même temps, qu’un étudiant de 24 ans à Offenbach am Main accusé d’être impliqué.

Un mémoire soutenant des thèses racistes soutenus à Saint Cyr

Les enquêteurs ont d’ailleurs (re)découvert le projet de son mémoire de maitrise, soutenu à Saint Cyr en 2014. Un texte qui — selon le centre des sciences de l’histoire militaire et sociale de la Bundeswehr (ZMSBw) – n’est manifestement pas un travail de qualification académique mais procède d’un nationaliste radical, un appel au racisme, que l’auteur tente de soutenir dans un effort pseudo-scientifique ».

Un réseau d’extrême droite au sein de l’armée ?

Selon notre collègue Thomas Wiegold, de Augengeradeaus, l’enquête en cours semble révéler qu’il ne s’agit pas d’une dérive individuelle. Jusqu’à cinq soldats seraient impliqués et identifiées. Des armes (des Glock G36) auraient été découverts lors de l’enquête, avec des croix gammées.

Une ministre sous le feu des critiques

La ministre Von Der Leyen, qui avait réussi jusqu’ici un parcours sans faute, est sous le feu des critiques. Elle a voulu, à son tour, porté l’estocade mettant en cause l’état-major de l’armée allemande. Sur la ZDF, elle a tenu des propos très durs. « La Bundeswehr un problème d’attitude. Et elle a évidemment une faiblesse de direction à différents niveaux » – mêlant les affaires de harcèlement, de dégradation sexuelle. Ce  jeudi (4 mai), les différents responsables militaires sont d’ailleurs convoqués à Berlin – selon mon collègue Thomas Wiegold – pour discuter des conséquences des incidents accumulés par la Bundeswehr depuis plusieurs mois. En attendant, la ministre a décidé d’annuler une visite prévue aux États-Unis et de faire une visite officielle en France, à Illkirch, sur les lieux même où le jeune sous-officier travaillait…

(Nicolas Gros-Verheyde)

A suivre : le reportage de ma collègue Leonor Hubaut qui suit la ministre Von Der Leyen à Illkirch

(1) C’est la seule unité allemande stationnée sur le territoire français. De façon étrange, ce fait n’a été que très peu commenté. Alors que l’individu a suivi une partie de sa scolarité en France, avec des écrits pour le moins peu républicains, résidait en France, les autorités françaises se murent dans une discrétion quasi-totale, laissant la ministre allemande se dépatouiller avec ses ressortissants.

Carnet (03.05.2017). Portugal (Battlegroups). Hongrie (fonds défense, frontières). Myanmar (embargo sur les armes). Allemagne (von der Leyen). Bulgarie (avion de chasse). Autriche (véhicules). Norvège (plan d’équipement). Hongrie (Daesh). Minurso ...

Bruxelles2 Blog - Wed, 03/05/2017 - 14:30
(B2) Parus récemment : Le SatCen, un des rares outils de renseignement de l’UE (Pascal Legai)  Au cœur du renseignement satellitaire européen, le SatCen (blog) Des armes à bord d’un navire libyen. Une première saisie pour Sophia (blog) EUTM Mali passe le cap du 10.000ème soldat formé (blog) Front commun des 27 pour définir les lignes de négociations […]

Pour surveiller les flux migratoires, le SatCen appelé à la rescousse

Bruxelles2 Blog - Wed, 03/05/2017 - 10:30

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Une image du camp de réfugiés syriens de l’ONU en Jordanie, Al Zataari (Crédit : ©EUSatCen /Distribution Airbus Defence & Space)

(B2) Le Centre satellitaire de l’UE (SatCen) est particulièrement impliqué dans la surveillance des flux migratoires, à la demande principalement de l’opération Sophia et de Frontex (1).

Une intervention en urgence

Le SatCen est notamment appelé en urgence lorsque d’autres sources avertissent d’une possible traversée d’un groupe de migrants. Aux analystes alors d’apporter une confirmation visuelle. Ils s’appuient pour cela sur la surveillance à long terme, effectuée chaque jour, qui leur permet d’identifier les déplacements « normaux » et de les distinguer de ceux plus exceptionnels des départs en masse. « Il est très difficile de prévoir un évènement comme un départ massif sans connaitre les habitudes de la région. Il faut connaître ce qui est habituel dans la zone pour que, quand on observe quelque chose qui sorte de cette normalité, l’on puisse déclencher une alarme » souligne un analyste.

Une surveillance régulière 

Exemple d’analyse des mouvements de personnes dans une ville du Sahel (Crédit : EU SatCen)

Pour chaque zone impliquée dans la crise migratoire, selon que la situation est plus ou moins tendue, les rapports du SatCen peuvent ainsi être mensuels ou hebdomadaires. « Il y a des zones pour lesquelles les demandes d’images – et donc nos rapports – ont été et sont quotidiens », explique-t-il. Ce screening régulier de certaines zones est réalisé notamment pour les points de départ des migrants pour traverser la Méditerranée, aujourd’hui bien connus. Cela permet de faire un décompte régulier des bateaux présents. « Si un jour, les images satellites montrent 14 radeaux gonflables au lieu des 20 décomptés la vieille, la conclusion est qu’il y en a six qui sont partis en mer ». Chaque radeau gonflable peut transporter entre 100 et 150 personnes. Avec ce calcul en main, les analystes préviennent immédiatement les QG de Frontex ou Sophia, qui enclenchent alors leurs protocoles.

(Leonor Hubaut)

(1) Des États membres de l’Est ont également utilisé les services du SatCen pour surveiller la route des Balkans.

Pour aller plus loin :

Alemdar Submarine Rescue Mother Ship (MOSHIP)

Naval Technology - Wed, 03/05/2017 - 01:00
TCG Alemdar Submarine Rescue Mother Ship (MOSHIP) entered service with the Turkish Naval Forces Command in January 2017.

Australian Navy officially names first Cape-class patrol boat

Naval Technology - Wed, 03/05/2017 - 01:00
The Royal Australian Navy (RAN) has officially named its first Cape-class patrol boat at a ceremony at the HMAS Stirling naval base in Western Australia.

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