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La Police municipale de Cotonou sensibilise les vendeurs à la sauvette

Thu, 03/04/2021 - 14:54

Les agents de la police municipale conduits par leur nouveau directeur Marc Da Costa sont descendus dans la ville de Cotonou ce jeudi 4 mars 2021. Objectif : sensibiliser les vendeurs ambulants et autres mendiants qui se positionnent dans les feux tricolores sur l'interdiction d'occuper ces espaces publics.

Un déploiement de la police municipale a sillonné les carrefours stratégiques de Cotonou dans la matinée de ce jeudi. Les agents et leur chef ont sensibilisé les vendeurs qui prennent d'assaut ces espaces pour y faire toutes sortes d'activités commerciales et les mendiants à quitter l'espace. Cette opération entre dans le cadre de la mise en œuvre du plan de développement de la mairie de Cotonou. Après les sensibilisations, place sera fait à la répression. Les agents de la police municipale ont sensibilisé les citoyens sur la nécessité d'observer les gestes barrières contre la propagation du Covid-19 notamment.
M. M.

Categories: Afrique

Trois blessés graves ce jeudi à Akpakpa

Thu, 03/04/2021 - 13:47

Grave accident de circulation dans la matinée de ce jeudi 04 mars 2021 à Akpakpa non loin du ministère de la santé.

L'accident s'est produit entre une voiture et un motocycliste. Le bilan fait état de trois blessés graves. Les victimes ont été transportées à l'hôpital par les sapeurs-pompiers.

A.A.A

Categories: Afrique

Le procureur donne des détails sur les faits reprochés à Madougou

Thu, 03/04/2021 - 13:35

Face à la presse ce jeudi 04 mars 2021, le procureur spéciale de la CRIET Mario Mètonou a donné des détails sur les motifs d'arrestation de l'opposante Reckya Madougou.

Selon le procureur, la candidate recalée à l'élection présidentielle de 2021, « Reckya Madougou, et certains membres de sa formation politique ont, selon toute vraisemblance, formé le dessein de perturber le déroulement du prochain scrutin en perpétrant des actes de terreur de grande ampleur ».

Georges Sacca, un proche collaborateur de Reckya Madougou est entré en contact avec le colonel Ibrahim Mama Touré le 24 février 2021 pour lui confier une mission. « Cette mission prévue pour se dérouler en plusieurs étapes devait commencer par le meurtre d'une autorité influente de la ville de Parakou sur un axe routier emprunté régulièrement par cette dernière. La mission devait ensuite se poursuivre par l'élimination d'une seconde autorité politique à l'occasion des obsèques de la première victime », renseigne le procureur Mètonou.

Le but signale-t-il est de suspendre le processus électoral en cours. Georges Sacca et le colonel Ibrahim Mama Touré ont été arrêtés le vendredi 26 février 2021 par la police Républicain. Ce, juste après le versement de la somme convenue.
Le colonel Ibrahim Mama Touré a avoué que cette somme a été envoyée par Madame Reckya Madougou. D'où son arrestation dans la soirée de ce mercredi 03 mars 2021.

« L'atteinte volontaire à la vie des personnes, à leur intégrité, ou à leur liberté, ainsi que l'enlèvement ou la séquestration des personnes lorsqu'elle a pour but de contraindre indûment les pouvoirs publics à accomplir ce qu'ils ne sont pas tenus de faire ou à s'abstenir de faire ce qu'ils sont tenus de faire est qualifiée de terrorisme par les articles 161, 162 et 163 de notre code pénal », informe le procureur. Ils sont donc poursuis pour des faits d'association de malfaiteurs et de terrorisme.

A.A.A

Categories: Afrique

De graves accusations contre Madougou, Mama Touré et Georges Sacca

Thu, 03/04/2021 - 12:13

Le procureur spécial de la Cour de Répression des Infractions Economiques et du Terrorisme (CRIET) a rendu publiques les raisons de l'interpellation de Réckya Madougou le mercredi 03 mars 2021 vers 19 heures. C'est à travers une point de presse tenue ce jeudi 04 mars 2021. L'intéressée est mise en cause dans une procédure d'enquête ouverte le vendredi 26 février 2021 contre les nommés Ibrahim MAMA TOURE, Colonel de l'ex gendarmerie à la retraite et Georges SACCA. Ils ont « formé le dessein de perturber le déroulement du prochain scrutin en perpétrant des actes de terreur de grande ampleur ».
M. M.

DECLARATION DU PROCUREUR

« Le 3 mars 2021 vers 19 heures, Madame Réckiath MADOUGOU a été interpellée par la police Républicaine. L'intéressée avait été gravement mise en cause dans une procédure d'enquête ouverte le vendredi 26 février 2021 contre les nommés Ibrahim MAMA TOURE, Colonel de l'ex gendarmerie à la retraite et Georges SACCA.
A l'étape actuelle, les faits ainsi qu'ils ressortent de la procédure d'enquête se présentent comme suit :
Disqualifiée de la course à l'élection présidentielle d'avril 2021, Madame Rékiath MADOUGOU et certains membres de sa formation politique ont, selon toute vraisemblance, formé le dessein de perturber le déroulement du prochain scrutin en perpétrant des actes de terreur de grande ampleur.
Ainsi, Le 24 février 2021 vers 22H30, Georges SACCA qui se trouve être l'un des plus proches collaborateurs de Madame Reckyath MADOUGOU à Parakou, est entré en contact avec le colonel Ibrahim MAMA TOURE pour, dit-il, lui confier une mission très sensible et importante. Cette mission prévue pour se dérouler en plusieurs étapes devait commencer par le meurtre d'une autorité influente de la ville de Parakou sur un axe routier emprunté régulièrement par cette dernière. La mission devait ensuite se poursuivre par l'élimination d'une seconde autorité politique à l'occasion des obsèques de la première victime. Le but de ces manœuvres est de provoquer la terreur, le chaos et de parvenir ainsi à faire suspendre le processus électoral en cours. Le colonel Ibrahim Mama Touré accepte la mission. Les deux mis en cause définissent les modalités de la première opération avant de s'accorder sur son coût. La somme convenue est versée par Georges Sacca au colonel Ibrahim Mama Touré dans la journée du vendredi 26 février 2021 un peu avant onze heures. Juste après la remise des fonds les deux individus sont interpellés par la police Républicaine.

De l'aveu du colonel Ibrahim MAMA TOURE chargé de l'exécution de la mission, il ressort que cette somme a été envoyée par madame Rékiath MADOUGOU.
C'est ce qui justifie l'interpellation de cette dernière dans le cadre de l'enquête.
Il faut rappeler que l'atteinte volontaire à la vie des personnes, à leur intégrité, ou à leur liberté, ainsi que l'enlèvement ou la séquestration des personnes lorsqu'elle a pour but de contraindre indûment les pouvoirs publics à accomplir ce qu'ils ne sont pas tenus de faire ou à s'abstenir de faire ce qu'ils sont tenus de faire est qualifiée de terrorisme par les articles 161,
162 et 163 de notre code pénal.
Je vous remercie.

Fait en notre parquet le 4 mars 2021

Elonm Mario METONOU

Categories: Afrique

Madougou arrêtée pour association de malfaiteurs et terrorisme

Thu, 03/04/2021 - 11:37

La candidate recalée du parti "Les Démocrates" à la présidentielle Reckya Madougou a été arrêtée dans la soirée de ce mercredi 03 mars 2021 au terme d'un meeting de l'opposition béninoise à Porto-Novo.

Le procureur Spécial près la CRIET lors d'un point de presse ce jeudi 04 mars 2021 a dévoilé les motifs de l'arrestation de Reckya Madougou.

Lire l'intégralité de sa déclaration

Le 3 mars 2021 vers 19 heures, Madame Réckiath MADOUGOU a été interpellée par la police Républicaine. L'intéressée avait été gravement mise en cause dans une procédure d'enquête ouverte le vendredi 26 février 2021 contre les nommés Ibrahim MAMA TOURE, Colonel de l'ex gendarmerie à la retraite et Georges SACCA.
A l'étape actuelle, les faits ainsi qu'ils ressortent de la procédure d'enquête se présentent comme suit :
Disqualifiée de la course à l'élection présidentielle d'avril 2021, Madame Rékiath MADOUGOU et certains membres de sa formation politique ont, selon toute vraisemblance, formé le dessein de perturber le déroulement du prochain scrutin en perpétrant des actes de terreur de grande ampleur.
Ainsi, Le 24 février 2021 vers 22H30, Georges SACCA qui se trouve être l'un des plus proches collaborateurs de Madame Reckyath MADOUGOU à Parakou, est entré en contact avec le colonel Ibrahim MAMA TOURE pour, dit-il, lui confier une mission très sensible et importante.
Cette mission prévue pour se dérouler en plusieurs étapes devait commencer par le meurtre d'une autorité influente de la ville de Parakou sur un axe routier emprunté régulièrement par cette dernière. La mission devait ensuite se poursuivre par l'élimination d'une seconde autorité politique à l'occasion des obsèques de la première victime.

Le but de ces manœuvres est de provoquer la terreur, le chaos et de parvenir ainsi à faire suspendre le processus électoral en cours.
Le Colonel Ibrahim MAMA TOURE accepte la mission. Les deux mis en cause définissent les modalités de la première opération avant de s'accorder sur son coût. La somme convenue est versée par Georges SACCA au colonel Ibrahim MAMA TOURE dans la journée du vendredi 26 février 2021 peu avant 11 heures. Juste après la remise des fonds, les deux individus sont interpellés par la Police Républicaine.
De l'aveu du colonel Ibrahim MAMA TOURE chargé de l'exécution de la mission, il ressort que cette somme a été envoyée par madame Rékiath MADOUGOU.
C'est ce qui justifie l'interpellation de cette dernière dans le cadre de l'enquête.
Il faut rappeler que l'atteinte volontaire à la vie des personnes, à leur intégrité, ou à leur liberté, ainsi que l'enlèvement ou la séquestration des personnes lorsqu'elle a pour but de contraindre indûment les pouvoirs publics à accomplir ce qu'ils ne sont pas tenus de faire ou à s'abstenir de faire ce qu'ils sont tenus de faire est qualifiée de terrorisme par les articles 161, 162 et 163 de notre code pénal.
Je vous remercie.

AAA.

Categories: Afrique

Les faits reprochés à Recky Madougou et ses co-accusés

Thu, 03/04/2021 - 11:18

Le Procureur Spécial près la Criet vient de faire un point de presse sur les faits reprochés à Reckya Madougou. Suivez en intégralité de ses déclarations

Categories: Afrique

Louis Vlavonou reçu par le président Kaboré

Thu, 03/04/2021 - 09:00

En séjour au Burkina Faso dans le cadre de l'ouverture de la première session ordinaire de l'année 2021 du Parlement burkinabè, le président de l'Assemblée nationale du Bénin, Louis Gbèhounou Vlavonou, a été reçu en audience par le président Marc Christian Roch Kaboré ce mercredi 03 mars 2021.

Cette rencontre a été l'occasion pour les deux personnalités d'échanger sur les questions telles que la Démocratie, l'État de droit, et la sécurité au Sahel qui sont d'intérêts communs pour les deux pays. La question de la diplomatie parlementaire n'a pas été occultée au cours des échanges.
Au terme de cette audience, Marc Christian Roch Kaboré par l'intermédiaire du président du Parlement béninois, a adressé au chef de l'Etat Patrice Talon, ses vœux de succès pour l'élection présidentielle du 11 avril 2021 prochain.
Avant la rencontre avec le président burkinabè, Louis Vlavonou a été reçu par son homologue burkinabè. Plusieurs questions d'intérêts étaient au menu des échanges entre les deux présidents de parlements ; la coopération interparlementaire notamment, avec une mutualisation des efforts entre les Parlements de la sous-région.

F. A. A.

Categories: Afrique

Les travaux de la route des pêches, phase 2 lancés ce jeudi

Thu, 03/04/2021 - 08:24

Les travaux de construction de la route des pêches, phase 2 sont lancés ce jeudi 04 mars 2021.

De Djègbadji en allant vers Avlékété, la route sera bitumée avec des ouvrages de franchissement. Les travaux dont la réalisation a été autorisée le 5 février 2020 en conseil des ministres demarrent ce jeudi 04 mars 2021. La cérémonie de lancement est prévue pour 9 heures.
La phase 2 des travaux prend en compte les bretelles Adounko-Cococodji, Avlékété-Pahou et Porte du non retour-Route nationale inter Etats Ouidah-Hillacondji. Les travaux sont confiés au groupement Sogea Satom/ Sogea Satom UK/ Sogea Satom.
C'est un projet d'envergure visant le renforcement de l'offre touristique qui est ainsi finalisé grâce au lancement de la deuxième phase des travaux.
M. M.

Categories: Afrique

L'ENI de Kandi en ruine, commerçants et bailleurs dans le désarroi

Thu, 03/04/2021 - 02:48

La fermeture des Ecoles normales d'instituteurs (ENI), décidée en 2019 fait maugréer les habitants de Kandi au nord du Bénin. La situation de l'ENI de Kandi crée de sérieux dégâts socio-économiques à Pèdè, un village de la commune.

La nuit semble tombée sur la zone résidentielle en pleine journée. Pas d'animation, un an après l'arrêt des activités de ce centre de formation. Une situation difficile à vivre pour les commerçants et propriétaires qui louent des chambres aux enseignants en formation à titre payant.

Il est 18h à Pèdè dans la commune de Kandi. Notre équipe de reportage se rend dans la zone résidentielle des normaliens ; une zone, jadis bien animée à pareille heure, située à quelques encablures du centre de formation des enseignants titulaires du BAC. Sur les lieux, le silence plane. Les chambres qui hébergeaient près de 400 élèves-maîtres régulièrement inscrits chaque année scolaire depuis l'ouverture de l'école en 2006, sont pour la plupart fermées faute de locataires. Dans certaines de ces constructions, dorénavant non habitées et en ruine, des mauvaises herbes règnent en maître. Certaines habitations sont transformées en dépotoir de tas d'ordures.
Avant 2019, la forte présence des élèves-maîtres donnait au petit village Pèdè, un statut de bourg.
La création de l'école de formation professionnelle à plus de 5 Kilomètres du centre-ville, obligeait les futurs instituteurs à se domicilier à Pèdè, situé au nord de Kandi à la sortie de la ville.
Rapidement, les autochtones dont la principale activité est la culture de coton, ont saisi l'opportunité en multipliant la construction des maisons à louer. Ce qui a longtemps profité à beaucoup de paysans.

« Trouver à manger est difficile pour moi... »
Aujourd'hui, ils se plaignent. A les en croire, il va falloir désormais attendre chaque année la campagne cotonnière pour jouir de ses efforts alors que l'or blanc, à lui seul, ne couvre pas toutes les charges.
« Trouver à manger est difficile pour moi, je suis déjà vieille, je ne peux plus aller au champ. C'est pourquoi, j'ai construit avec l'aide de mes enfants ces chambres à louer pour percevoir à chaque fin du mois de l'argent. Des maîtres venus de loin (enseignants affectés) ont pris quelques-unes, mais il en reste inhabitées », se désole Aminata Orou, propriétaire de maisons à Pèdè. Selon la sexagénaire, l'espoir que la création de cette école a suscité, est déchu après sa fermeture.
« Comme les normaliens ne sont plus là, c'est très difficile pour nous. J'ai pris mes économies tirées de la production du coton pour construire 6 chambres à louer », a confié Djamilou, père de famille. L'éleveur poursuit, les yeux presqu'en larmes, qu' « aujourd'hui, il n'y a plus des locataires dans les chambres. Comment je peux bénéficier de ce que j'ai investi ? », s'inquiète-t-il. Pour lui, l'arrêt des activités de l'école normale d'instituteurs (ENI) de Kandi a de lourdes répercussions sur ses finances. Il avoue qu'en début d'année scolaire, il éprouve assez de difficultés pour payer les fournitures scolaires à ses enfants.
Contrairement à Djamilou, Rachidi, un jeune éleveur de Pèdè, n'a pas encore de charges. Mais il pensait épargner dans une banque les ressources tirées de la location des chambres en terre battue pour une utilisation ultérieure. « Moi, je me disais que l'ENI ne sera jamais fermée. Les chambres à louer sont pour moi, une manière de préparer ma retraite. Chaque fin du mois, je prenais quelque chose chez les locataires. Dans notre village, chacun construit sa chambre. Donc, aucun autochtone ne loue de chambres. Ce sont les étrangers seuls qui viennent louer nos chambres. Voilà que les normaliens ne viennent plus, c'est grave », a-t-il lancé, le visage triste.

« Avant, on prenait régulièrement de l'argent chaque fin du mois chez nos locataires, maintenant, il n'y a plus de locataires. Même les chambres, parce qu'elles sont inhabitées, se fissurent », se plaint un autre sous anonymat. Il souhaite que le gouvernement prenne des mesures sociales en leur faveur.

L'économie locale au ralenti
Au marché du village, des clients se font rares. La mévente s'est installée. Le petit centre d'échanges commerciaux a perdu son brouhaha habituel. L'économie locale tourne au ralenti. Les marchands peuvent y être désormais sur le bout des doigts. Plusieurs vendeuses de nourriture n'y vont plus. La plupart se retrouve à la maison du fait de la fermeture de l'Eni qui a entrainé la chute du flux commercial dans le marché.


Pourquoi suspendre la formation dans les ENI ?
La décision de suspendre le recrutement et la formation d'élèves-instituteurs remonte à la session du Conseil sectoriel pour le dialogue social (Csds), ouverte le 14 décembre 2017. La décision exige qu'il faille avoir le Baccalauréat pour être instituteur. L'objectif visé est de relever le niveau des enseignants sortant des Ecoles nationales d'instituteurs (ENI), et par ricochet, celui des apprenants.
Depuis la rentrée académique 2018-2019, la mise en application de la mesure a entraîné en même temps l'arrêt, avec ses conséquences socio-économiques, des activités des ENI de Kandi et de Dogbo.
Outre le niveau Bac exigé, la durée de formation de ces élèves-maîtres, passe de deux (02) à trois (03) ans.
Le jeudi 9 janvier 2020, le Ministre des Enseignements Maternel et Primaire, Salimane Karimou, faisant le point de la situation des enseignants dans les écoles plus de trois mois après la rentrée scolaire 2019 -2020 aux députés à l'Assemblée nationale, a abordé le sort des ENI.


Le Ministre a souligné que la décision de fermeture a été prise en attendant de procéder à certaines réformes. « Les Ecoles Normales d'Instituteurs sont dans une phase de restructuration, et les dispositions sont en train d'être prises pour qu'elles reprennent leurs activités dès la rentrée de septembre 2020 », soit au début de la rentrée scolaire 2020-2021, a-t-il confié.
En attendant la réouverture de ces centres de formation des élèves-maîtres, la morosité économique règne dans les zones résidentielles des normaliens à Kandi et à Dogbo. Petits commerçants et propriétaires de maisons pour bail à usage d'habitation ne savent plus à quel saint se vouer.

Boniface CAKPO

Categories: Afrique

Le procureur se prononce ce jeudi sur l'arrestation de Recky Madougou

Thu, 03/04/2021 - 00:47

Les motifs liés à l'arrestation de Reckya Madougou seront connus. De sources concordantes, on apprend que le Procureur Spécial pres la CRIET sera face au media ce jeudi 4 mars 2021.
Cette sortie est vivement attendue afin de situer les citoyens sur les faits qui sont reprochés à l'ex Garde des Sceaux de Boni Yayi, et son oncle Bio Dramane Tidjani qui est sous mandat de dépôt

Nous y reviendrons

Categories: Afrique

L'ambassadeur Vizy au cabinet du ministre Kérékou

Wed, 03/03/2021 - 23:57

S.E.M Marc Vizy Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République Française près le Bénin a été reçu dans l'après midi de mercredi 03 mars 2021 au Cabinet du ministre Modeste Kérékou.

L'ambassadeur Vizy a rendu une visite de présentation et de courtoisie au ministre des PME et de la Promotion de l'Emploi. Il a profité pour faire le bilan de la coopération entre la France et le Bénin en matière d'accompagnement du secteur privé ( soutien aux PME ), de celui du Volontariat et de l'Emploi.

Cette démarche a été saluée par le ministre Modeste Tihounté Kérékou. Il a souhaité le renforcement de la coopération entre le Bénin et la France.

A.A.A

Categories: Afrique

Le Procureur se prononce sur l'affaire Madougou ce jeudi

Wed, 03/03/2021 - 23:00

Les motifs de l'arrestation de Reckya Madougou seront rendus publics. De sources concordantes, le procureur spécial près la CRIET, Mario Mètonou, sera face à la presse ce jeudi 4 mars 2021.
Cette sortie tant attendue sera également de fixer les citoyens sur faits reprochés à Reckya Madougou mais également à son oncle Bio Dramane Tidjani qui est détention

Nous y reviendrons

Categories: Afrique

Eric Gilson fait le tour des agences de la SBEE de l'Ouémé

Wed, 03/03/2021 - 22:42

Le Directeur commercial et de la clientèle de la Société béninoise de l'énergie électrique (SBEE), Eric Gilson, a visité les agences du département de l'Ouémé ce mercredi 03 mars 2020. C'est la quatrième étape de sa tournée entamée il y a deux semaines avec pour objectif de prendre contact avec le personnel en place, de s'enquérir des conditions de travail pour une amélioration de la qualité de service.

La direction régionale de l'Ouémé compte au total six (6) agences (Agence de Pobè, de Missérété, d'Adjarra, de Tokpota, de Porto-Novo et de Sèmè). La délégation conduite par Eric Gilson a visité l'ensemble de ces agences dans le but de prendre contact avec le personnel en place mais aussi pour écouter les uns et les autres pour avoir une idée de leurs besoins pour une amélioration des services destiné au client.
Sur l'ensemble des agences visitées, il faut noter une nette amélioration de la qualité des services contrairement à ce qu'on observait il y a quelques années plutôt. Le délai de traitement des devis désormais très court il en est de même pour les interventions en cas de panne.
« La Direction générale fait des efforts », a reconnu Rita Houéssou la Cheffe d'agence de Sèmè. Avec son appui poursuit-elle, nous allons bientôt intégrer un tout nouveau bâtiment. Elle a fait savoir que « Le bâtiment que nous occupons jusque-là ne répond plus vraiment compte tenu du nombre de client en progression permanente ».
L'agence de Sèmè n'est pas la seule à bénéficier d'un bâtiment neuf, celle d'Adjarra aussi occupe un nouveau bâtiment « maintenant l'agence d'Adjarra est l'agence qui fait frontière avec toutes les autres agences. Nous sommes au centre de toutes les autres agences. Donc nous attendons beaucoup plus de clients que là où nous étions », a précisé le Chef d'agence d'Adjarra, Liamidi Latoundé.
Tout comme celle d'Adjarra, l'agence de Porto-Novo changera aussi de cadre de travail « Bientôt nous allons intégrer un nouveau bâtiment parce que le bâtiment que nous occupons jusque-là est vétuste, les travaux d'installation sont en cours et bientôt nous allons l'intégrer », a expliqué Affolabi Adinane, le Chef d'agence de Porto-Novo.
Au total, 3 agences sur les six du département de l'Ouémé bénéficient d'un nouveau cadre de travail, celle de Missérété est en cours a fait savoir Joséphine Kpanou, la Cheffe d'agence.
Pour Wilfried Maffon le premier responsable de l'agence de Tokpota « Depuis que la nouvelle équipe s'est installée les conditions de travail se sont améliorées. Et si ces conditions ne sont pas améliorées il ne peut pas avoir un service de qualité à la clientèle. Hier par exemple nous avons eu de difficulté par rapport à la délivrance des quittances, des imprimantes qui ont cédé, en une heure de temps, on nous a remplacé deux imprimantes ». Il a néanmoins déploré la qualité de la connexion. Un problème récurrent qu'ont évoqué tous les responsables des différentes agences. Même si certains chefs d'agence souhaitent un renforcement de l'effectif, le problème de la connexion revenait chaque fois.
« Au directeur commercial je voudrais demander de nous régler ce problème. Quand vous rentrez chez vous et vous pensez revenir le lendemain matin et avoir de difficulté pour se connecter c'est stressant », a regretté monsieur Maffon.
De façon générale la SBEE se métamorphose tout doucement avec une équipe déterminée.
Le directeur commercial reste optimiste « Le bilan est positif, et je vois des gens qui veulent travailler, des équipes motivées à partir de là je pense que les choses vont bien évoluer. Maintenant il s'agit de mettre les moyens à disposition, de réorganiser, de rendre le mode de fonctionnement plus efficient. Mais je reste très positif », a-t-il souligné avant de saluer les différentes équipes pour leur accueil.

Marcel HOUÉTO

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Madougou va comparaître devant la CRIET

Wed, 03/03/2021 - 22:10

La candidate recalée du Parti Les Démocrates a été arrêtée et déposé à la Brigade économique et financière (BEF) ce mercredi 03 mars 2021. Elle va comparaître devant la CRIET.

De source bien renseignée, la police a procédé à l'arrestation de Reckya Madougou. Elle a été interpellée après une conférence de presse tenue ce mercredi à Porto-Novo avec d'autres acteurs politiques de l'opposition dont Joël Aïvo, Moïse Kérékou, Patrick Djivo, Valentin Houdé et Éric Houndété.
Aux dernières nouvelles, la candidate recalée à l'élection présidentielle comparaîtra cette nuit en procédure d'urgence devant la Cour de Répression des Infractions Économiques et du Terrorisme (CRIET).
M. M.

Categories: Afrique

Aïvo confirme l'arrestation de Madougou

Wed, 03/03/2021 - 22:00

La candidate recalée à l'élection présidentielle de 2021 Reckya Madougou a été arrêtée à Porto-Novo après une conférence de presse dans la soirée de ce mercredi 03 mars 2021. Son arrestation est confirmée par Joël Aïvo présent au meeting de l'opposition.

« Alors que nous clôturions ce meeting aux environs de 19h, en présence de plusieurs personnalités de l'opposition, la salle des fêtes Tiwani de Porto-Novo a été encerclée par un fort détachement des forces de l'ordre. Nous sommes néanmoins sortis et avons rejoint nos voitures pour rentrer chez nous.Je suis reparti ensemble dans la même voiture que l'Ambassadeur Moïse Kérékou et la Ministre Reckya Madougou », a écrit Joël Aïvo dans un post publié sur sa page Facebook.

Selon l'opposant, leur voiture a été bloquée sur le pont de Porto-Novo par les forces de l'ordre. « L'Ambassadeur Kérékou et moi-même ainsi que le conducteur avons été débarqués de force par ce détachement fortement militarisé.
Quatre (4) agents des forces de l'ordre se sont emparés de notre voiture avec Mme la Ministre Madougou, maintenue de force à bord et emportée vers une destination inconnue », raconte Joël Aïvo.

Après mes investigations, poursuit-il elle serait à la Brigade économique et financière de Cotonou. « Elle a évidemment tout mon soutien et celui de tout le Front. Comme convenu publiquement cet après-midi à Porto-Novo devant nos militants, il s'agit d'un combat pacifique mais résolu devant lequel nous ne reculerons pas quels que soient les intimidations, les obstacles et les brimade », ajoute Joël Aïvo.

A.A.A

Categories: Afrique

Reckya Madougou arrêtée

Wed, 03/03/2021 - 21:46

La candidate du parti Les Démocrates recalée à l'élection présidentielle du 11 avril prochain est arrêtée par la police ce mercredi à Porto-Novo. Aux dernières nouvelles, elle serait conduite à la Brigade économique et financière (BEF).
Selon plusieurs sources, le véhicule de Reckya Madougou a été intercepté sur le pont de Porto-Novo à l'entrée de la ville. Elle revenait de la conférence de presse du Front de l'opposition.

D. M.

Categories: Afrique

Le récit de l'arrestation de Reckya Madougou

Wed, 03/03/2021 - 21:36

Reckya Madougou a été arrêtée cet après midi à hauteur du pont de Porto Novo par les éléments de la Police Républicaine.
Le professeur Joel Aivo donne ici sa version des faits
N'ayez pas peur !!! J'ai partagé ce mercredi 3 mars 2021 la tribune d'un meeting de l'opposition béninoise avec ma soeur Mme Reckya Madougou, candidate du Parti Les Démocrates, à l'élection présidentielle de 2021.

Alors que nous clôturions ce meeting aux environs de 19h, en présence de plusieurs personnalités de l'opposition, la salle des fêtes Tiwani de Porto-Novo a été encerclée par un fort détachement des forces de l'ordre. Nous sommes néanmoins sortis et avons rejoint nos voitures pour rentrer chez nous.

Je suis reparti ensemble dans la même voiture que l'Ambassadeur Moïse Kérékou et la Ministre Reckya Madougou. C'est alors que, sur le pont de Porto-Novo, notre voiture a été bloquée par les forces de l'ordre. L'Ambassadeur Kérékou et moi-même ainsi que le conducteur avons été débarqués de force par ce détachement fortement militarisé.

Quatre (4) agents des forces de l'ordre se sont emparés de notre voiture avec Mme la Ministre Madougou, maintenue de force à bord et emportée vers une destination inconnue.

Après mes investigations, elle serait à la Brigade économique et financière de Cotonou.

Elle a évidemment tout mon soutien et celui de tout le Front. Comme convenu publiquement cet après-midi à Porto-Novo devant nos militants, il s'agit d'un combat pacifique mais résolu devant lequel nous ne reculerons pas quels que soient les intimidations, les obstacles et les brimades.

Frédéric Joël Aïvo.

Categories: Afrique

3 boxeurs représentent le Bénin en Russie le 21 avril

Wed, 03/03/2021 - 21:30

Le Bénin est représenté au championnat mondial de boxe arabe qui se déroulera du 21 avril au 1er mai 2021 à Moscou (Russie).

Théophile Sabi Lolo Ilou, 65 kg, 32 ans auteur de 13 victoires dont huit par K.O. ; Chancelle Tchibozo, 30 ans qui a à son actif 17 victoires dont 12 par K.O sur 19 combats menés et Pauline Sounouvou, 28 ans, 1,63 m qui a gagné 9 combats sur 10 dont 3 par K.O.
Ce sont ces trois (03) boxeurs qui défendront les couleurs du Bénin dans la catégorie Semi-professionnel (pour les deux hommes) et Amateur au Grand Prix de boxe arabe qui met en jeu 244 ceintures. Une dizaine de pays prennent part à ce championnat qui se déroulera en Russie du 21 avril au 1er mai 2021.
M. M.

Categories: Afrique

Les explications du ministre Alain Orounla

Wed, 03/03/2021 - 21:20

En marge du point de presse du Conseil des ministres de ce mercredi 03 mars 2021, le porte-parole du gouvernement, Alain Orounla s'est prononcé sur la nouvelle condamnation dont a été victime l'homme d'affaires Sébastien Ajavon devant la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET).

Selon les explications du ministre de la communication et de la poste, suivant une convention homologuée le 09 février 2015 par le tribunal de première instance de première classe de Cotonou, Sébastien Ajavon, ès qualité administrateur général de la société COMON SA a obtenu de l'Etat béninois, le remboursement d'une somme de 13.487.246.893 FCFA représentant des crédits de TVA à l'exportation sur la période de 2009 à 2010. Pour parvenir à cet accord, l'homme d'affaires a soutenu avoir exporté sur la période indiquée, des produits congelés vers le Nigéria, et a produit à cet effet des quittances qui auraient été délivrées par la douane béninoise et visées par le sieur Mouftaou Lalèyè, alors ambassadeur du Bénin près le Nigéria.
En exécution de cet accord, l'Etat béninois a versé à Sébastien Ajavon une somme de 9.618.175.669 FCFA avant de se rendre compte de la fausseté des pièces produites au terme d'investigations.
Sur la base de ces informations, l'Etat a fait procéder à la compulsion des registres de douanes de Sèmè-Kraké sur la période objet de réclamation et a découvert que les marchandises de la société n'ont jamais franchi le cordon douanier. Cette compulsion réalisée par acte d'huissier a tenu compte des certificats délivrés par le sieur Mouftaou Lalèyè. Des faits qui ont conduit l'Etat béninois représenté par l'agent judiciaire du Trésor et l'administration fiscale, à saisir la justice.
Selon le ministre de la communication et de la poste, en application de l'accord de Badagry en date du 14 août 2003, l'entrée par voie terrestre de produits congelés et des huiles végétales est interdite. Et Sébastien Ajavon n'aurait raisonnablement pas pu envoyer au Nigéria, les produits pour lesquels il a réclamé au Bénin et obtenu le remboursement des TVA.

Fabrice A. A.

Categories: Afrique

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