Les éléments de la police républicaine ont arrêté, jeudi 14 octobre 2021, quatre individus pour vol de moto à Banamè, commune de Zagnanado.
A la suite des vols de motocyclettes, le commissariat de l'arrondissement de Banamè a ouvert une enquête. Elle a permis de mettre la main sur quatre individus spécialisés dans le vol de motos à Covè et Banamè. Lors de la perquisition de leur domicile, la police a retrouvé une moto Bajaj, des trousseaux de clés de moto appelés passe-partout, des coupe-coupe, des tournevis, une quantité importante de chanvre indien et d'autres objets.
A.A.A
Demande d'extradition du ressortissant français interpellé, mardi 12 octobre 2021, à Casablanca (Maroc) suite à un mandat d'arrêt international émis par le Bénin pour trafic international de cocaïne.
Selon les informations rapportées par Frissons Radio, le Garde des sceaux Séverin Quenum et le ministre des Affaires étrangères Aurélien Agbénonci ont adressé une demande d'extradition du ressortissant français aux autorités marocaines.
Agé de 65 ans, le prévenu a été arrêté au Maroc dans l'affaire 145 kg de cocaïne découverts dans un conteneur de sucre au Port de Cotonou début mai. Il s'agit de l'affaire impliquant le Président directeur général de Sonimex, Séraphin Yéto et plusieurs autres personnes. La même source informe que l'accusé Yéto est toujours au CNHU de Cotonou depuis son malaise à la sortie d'audience à la Criet le 15 juillet dernier.
A.A.A
Les licenciements à l'Agence Nationale des transports terrestres (ANaTT) ont débuté ce vendredi 15 octobre 2021.
Selon plusieurs sources, des agents de l'Agence Nationale des transports terrestres (ANaTT) reçoivent leur lettre de licenciement. Lors d'une réunion, vendredi 08 octobre 2021, le directeur général par intérim Alain Hinkati avait déjà exposé les motifs du licenciement au personnel. Cette vague de licenciements concerne principalement les agents en service depuis plus de 20 ans mais aussi d'autres catégories de travailleurs. Le licenciement intervient après l'affaire de dilapidation de 13,6 milliards FCFA à l'ANaTT sur la période de 2016-2020.
A.A.A
L'Organisation du Monde islamique pour l'Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO) a lancé, jeudi 14 octobre 2021, le think tank international pour la pensée, les lettres et les arts, sous le thème : « La culture pour repenser le monde ». La cérémonie s'est déroulée en présence de personnalités de haut niveau, des ministres, des penseurs, des présidents d'universités, des professeurs et des chercheurs spécialisés dans la culture et les arts.
Le lancement du think tank s'inscrit dans le cadre des journées internationales ouvertes de l'ICESCO, qui seront organisées tout au long de l'année, au sein des universités, des centres de recherche et d'institutions culturelles dans différents pays, et relève du programme « Routes de l'ICESCO vers l'avenir ».
Dans son discours d'ouverture, Dr Salim M. AlMalik, Directeur général de l'ICESCO a indiqué que le think tank constitue une plateforme ouverte aux personnalités les plus en vue parmi les scientifiques, chercheurs, intellectuels et créateurs de tous les continents. Il vise également à faire des sciences culturelles et humaines un point de départ méthodologique pour comprendre les phénomènes politiques, éducatifs, sociaux et économiques actuels.
Le Directeur général a également souligné qu'il est nécessaire que les pays islamiques adoptent des politiques culturelles intégrées qui se basent sur l'économie culturelle numérique et misent sur l'intelligence artificielle.
A l'en croire, l'ICESCO travaille sur plusieurs projets internationaux techniques et scientifiques innovants pour l'année 2021, dans le domaine des lettres, du livre et de l'édition, en plus de son programme pour la protection et la valorisation du patrimoine, l'inscription des sites culturels, le renforcement de la diplomatie, des droits et de la gouvernance culturelle, la promotion de la société civile culturelle et le développement du programme des capitales de la culture dans le monde islamique.
Dr Ines Abdel-Dayem, ministre égyptienne de la Culture, a salué le rôle de la culture dans le rehaussement du statut de l'homme, le soutien aux valeurs de tolérance, d'amour et de dialogue et le rejet du discours de haine et de discrimination. Elle a relevé la nécessité de promouvoir le patrimoine culturel afin d'atteindre les objectifs de développement durable. Selon Dr Ines Abdel-Dayem, la République Arabe d'Égypte est fière de son patrimoine culturel diversifié.
« A travers la culture, nous communiquons avec le monde, et c'est un outil pour relever les défis, développer nos sociétés, promouvoir la coexistence et assurer la prospérité », a déclaré la présidente de l'Autorité de la culture et des antiquités du Royaume de Bahreïn, Cheikha Mai Al Khalifa.
M. Mohammed Damir, Vice-président de l'Université Ibn Tofail à Kénitra (Maroc), s'est félicité du lancement du think tank international de l'ICESCO pour la pensée, les lettres et les arts, étant donné que la culture constitue une locomotive qui rapproche les peuples et les nations. Il a aussi salué le soutien de l'ICESCO aux universités du monde islamique, et l'a remercié pour sa confiance en l'Université Ibn Tofail pour y créer la Chaire ICESCO « Lettres et arts comparés ».
Le ministre-conseiller auprès du Président de la République du Sénégal, Dr Youma Fall, a mis l'accent sur la nécessité d'établir des liens culturels qui renforcent les valeurs de coexistence et d'ouverture à l'autre, et le respect de la diversité culturelle entre les peuples, en étendant les ponts de dialogue, pour ouvrir les voies vers la mondialité.
Dr Mohamed Zinelabidine, Directeur du Secteur de la Culture et de la Communication de l'ICESCO, a présenté un exposé sur le programme « Routes de l'ICESCO vers l'avenir », en expliquant que le think tank international de l'ICESCO incarne la volonté de cette dernière de diffuser le dialogue et la communication fondée sur la culture et les arts pour un monde éclairé.
Au terme de la séance d'ouverture, la première séance scientifique a été lancée et a réuni l'équipe du Secteur de la Culture et de la Communication a fait des présentations sur le réseau numérique de l'ICESCO des supports internationaux de la culture, des arts et du patrimoine « ICESCO créative ».
Lors de la deuxième séance scientifique, des professeurs ont discuté de l'importance du programme des chaires ICESCO pour la pensée, les lettres et les arts dans diverses universités prestigieuses du monde islamique.
Les séances scientifiques ont été marquées par les interventions et discussions des participants à la cérémonie de lancement, au cours desquelles ils ont posé leurs questions sur la vision culturelle de l'ICESCO, et présenté un certain nombre d'idées et de propositions pour l'enrichir.
L'Union Démocratique pour un Bénin Nouveau (UDBN) a officialisé la fusion avec le Bloc Républicain (BR). C'est à travers son congrès extraordinaire tenu, ce vendredi 15 Octobre 2021, au Palais des congrès de Cotonou en présence du secrétaire exécutif national du BR, Abdoulaye Bio Tchané, et de la présidente d'honneur de l'UDBN Claudine Afiavi Prudencio.
Le parti Union Démocratique pour un Bénin Nouveau (UDBN) se fond dans le Bloc Républicain (BR). Lors du congrès extraordinaire organisé, vendredi 15 octobre 2021, dans ce cadre, la présidente du Comité d'organisation et deuxième vice-présidente de l'UDBN, Christine Ahouandjinou Zinsou a indiqué que le vendredi 15 octobre 2021 est un jour chargé d'histoire pour l'UDBN qui, à travers le ‘'mariage'' avec le Bloc Républicain (BR), manifeste une fois de plus son attachement à la vision du Chef de l'Etat.
Pour le représentant de la Fédération Nationale des Jeunes de l'UDBN, Damien Badjito, les jeunes ont décidé à l'unanimité, « après plusieurs séances de décryptage et d'analyse dans l'intérêt de la Nation », de faire le chemin avec le parti BR. « La jeunesse s'engage à poursuivre le combat après ce mariage. La jeunesse restera une fois encore mobilisée pour des victoires », s'est engagé Damien Badjito.
Le même engagement a été pris par les femmes de l'UDBN qui ont fait savoir par la voix de leur représentante que le ‘'mariage UDBN-BR'' est une opportunité pour elles de se faire valoir. « Les femmes sont prêtes à faire prospérer toutes les initiatives prises par notre nouvelle famille », s'est engagée Raïmath Radji, représentante des femmes de l'UDBN.
Selon Patrice Houngla, représentant des coordonnateurs communaux, l'union UDBN-BR marque le renouvellement de la confiance et d'approfondissement des chantiers. C'est l'occasion de se réjouir car le ‘'mariage légalisé'' entre le BR et l'UDBN permet une grande chaîne de ressources inépuisables, selon le représentant des coordinations départementales de l'UDBN dans le Borgou. A en croire Bernardin Gnanssounou, les responsables du parti ont associé tous les militants au processus de fusion. Le « processus de mis ensemble est bien conduit », a indiqué la présidente du comité de gestion de l'UDBN, Anastasie Oba Chabi Maforikan. « Le navire dans lequel nous nous embarquons est le meilleur, dans cette barque se trouve avec nous notre icône Claudine Prudencio (…). Nous nous battrons avec la même détermination au sein de notre nouveau cadre d'actions politique (…). Nous allons davantage mouiller le maillot », a promis Mme Maforikan. Selon elle, ‘'les amazones ‘' et ‘'soldats'' de ‘'l'UDBN'' s'engagent à faire des « couleurs du BR les plus rayonnantes de l'action publique ».
« Vous prenez, ici, une bonne décision », a indiqué le Secrétaire exécutif national du Bloc Républicain (BR). « Le BR est une grande famille qui est désireuse aussi de vous accueillir », a ajouté le ministre d'Etat en charge de la coordination de l'action gouvernementale. Selon lui, l'UDBN et le BR partagent une vision et des ambitions communes notamment celles de donner aux citoyens les dividendes d'une croissance économique. « Je peux vous assurer que vous ne serez pas déçus au côté des autres militants », a rassuré Abdoulaye Bio Tchané.
Les jeunes et les femmes de l'UDBN sont les bienvenus au BR où une place de choix est faite conformément aux statuts pour assurer au moins 30% à tous les postes à la jeunesse et aux femmes, a confié M. Bio Tchané.
Pour la présidente d'honneur Claudine Afiavi Prudencio, l'UDBN a opté pour une expérience collective dans son accompagnement au chef de l'Etat Patrice Talon. « Il nous faut de la realpolitique en adaptant nos stratégies au contexte nouveau », a-t-elle indiqué avant de préciser que l'UDBN ne s'associe pas pour disparaître. « Nous y allons après des négociations conduites de Parti à Parti sans compromissions (…). Je suis convaincue que les Jeunes et les Femmes trouveront davantage de champ d'éclosion et d'expansion », a rassuré la présidente d'honneur de l'UDBN. « Il faut que les femmes aient désormais un pourcentage de 60% », a plaidé Claudine Afiavi Prudencio à l'endroit du Secrétaire exécutif national du Bloc Républicain.
M. M.
Contrairement à ce que pensent certains opérateurs économiques, la situation de cherté de produits de première nécessité que connait le Bénin ne saurait être imputée à la société Benin Control. Le directeur général, Gwendal Euzen invité de l'émission le Club de L'économiste, ce jeudi 14 octobre 2021, a apporté des clarifications sur le sujet.
Selon le directeur général, penser que la cherté des produits de première nécessité au Bénin est due aux services de Benin Control relève d'une « mauvaise analyse économique », et ceci, pour plusieurs raisons. La première selon Gwendal Euzen, est de comprendre « qu'un marché qui n'est pas régulé avec des déséquilibres criardes va forcément tirer les prix vers l'eau ». Dans ses explications, il explique que si un importateur arrive à frauder et qu'un autre n'y parvienne pas, le fraudeur va « calquer ses prix sur le prix fort ». « Il va augmenter ses marges et le client final n'en bénéficiera pas », a précisé le directeur général.
A l'en croire, un marché sur lequel la concurrence est libre et saine se régule, et si les deux opérateurs ont les mêmes conditions à l'entrée, ils vont « se battre sur leurs marges pour gagner des clients ».
La deuxième raison selon le directeur général de Benin Control est que « le pays ne peut pas gagner dans un système corrompu et frauduleux ». « La corruption et la fraude ne bénéficient pas à tous. Elles ne bénéficient qu'à certains au détriment des autres », a dénoncé Gwendal Euzen soulignant qu'en Europe, il y a des produits qui coûtent moins chers qu'au Bénin alors que c'est les mêmes produits fabriqués en Chine. Pour le directeur général, il y a suffisamment de coûts additionnels qu'il faut supprimer, mais pas les droits et taxes qui reviennent à l'Etat. Ces droits selon le DG de Bénin Control, sont les mêmes dans toute l'espace CEDEAO, et permettent à l'Etat de financer les projets (écoles, routes, hopitaux, cantines scolaires, etc).
Par ailleurs, le système dématérialisé en ligne offre un gain de temps et des économies aux usagers qui ne sont plus obligés de « donner des billets à gauche et à droite ».
Selon Gwendal Euzen, pour une première nécessité, on a une production locale (manioc, igname, tomate, oignon, salade, etc) qui ne passe pas au cordon douanier, mais il y a d'autres marchandises. L'Etat ayant conscience de la situation a fixé des barèmes pour ces marchandises (pâtes alimentaires, les tissus, les Wax, etc).
Ce qui importe selon lui, c'est de « mettre tout le monde sur un même pied d'égalité ». « On ne peut pas accuser l'Etat aujourd'hui de rendre la vie chère juste parce qu'il perçoit correctement les droits de taxes », a soutenu le DG de Benin Control, qui a précisé que le but visé est de mettre en place un marché compétitif pour tirer les prix à la baisse.
Face à la situation de cherté des produits de première nécessité, le gouvernement en Conseil des ministres avait interdit la sortie des produits de grande consommation. Au regard de la disponibilité desdits produits et de la maîtrise des coûts, le gouvernement par une autre décision en Conseil des ministres, a suspendu la mesure d'interdiction des exportations de produits de première nécessité.
F. A. A.
La créatrice de la Fondation Zinsou Marie-Cécile Zinsou est nommée femme de culture de l'année 2021.
L'association Femmes de Culture distingue l'historienne béninoise de l'art Marie-Cécile Zinsou. Elle a été nominée parmi les 100 femmes culture de l'année 2021. Marie-Cécile Zinsou a partagé la bonne nouvelle jeudi 14 octobre 2021 sur sa page Facebook.
« Très heureuse d'avoir été nommée parmi les 100 Femmes de Culture de l'année 2021 par l'association Femmes de Culture représentée par son Président Stéphan Paris et par un jury composé de Muriel Beyer, Hélène Fulgence, Leïla Kaddour-Bouddadi, Audrey Leprince, Muriel Mayette-Holtz et Rosalie Varda, sous le marrainage de Patricia Barbizet », a-t-elle écrit.
Le prix « 100 Femmes de Culture » est organisé chaque année par l'association Femmes de culture pour mettre « en avant les femmes dirigeantes, artistes-dirigeantes, entrepreneuses qui comptent dans la culture au sens large (musique, spectacle vivant, patrimoine, arts visuels, architecture, design, édition, média, digital, cinéma, jeux vidéos. ) ». L'association coordonne aussi un réseau pour faciliter la mise en réseau, le partage d'expérience et la valorisation du travail des femmes dans ce secteur.
La première cérémonie « 100 Femmes de Culture » a eu lieu en mars 2019 au Tokyo Art Club du Palais de Tokyo en présence de 250 personnalités du secteur.
A.A.A
La direction générale de Coris Bank international informe sa clientèle de la fermeture de ses agences le samedi 16 octobre 2021.
A l'occasion de la fête de Maouloud qui aura lieu lundi 18 octobre 2021, les agences de Crois Bank International seront fermées le samedi 16 octobre 2021. Les Guichets Automatiques de la Banque restent toutefois fonctionnels 24 h / 24.
La 12e édition du Global Mobile Broadband Forum (MBBF) de Huawei a démarré ce jeudi 14 octobre à Dubaï. L'événement est organisé chaque année par le Groupe, en collaboration avec ses partenaires industriels GSMA et SAMENA Telecommunications Council.
Introduite par un discours de Ken Hu, Président tournant de Huawei, la dernière édition du MBBF a rassemblé opérateurs, chefs d'entreprises et autres partenaires issus des écosystèmes de la tech pour envisager ensemble la maximisation du potentiel de la 5G, et par là même l'avenir de l'industrie mobile.
Au cœur de cette prise de parole, le développement de la 5G et les opportunités que le déploiement de cette technologie initie. Selon Ken Hu, « Les progrès ont été beaucoup plus rapides que prévu, notamment en ce qui concerne la base d'abonnés, la couverture réseau et le nombre de terminaux 5G sur le marché, partout dans le monde ».
Les chiffres sont en effet éloquents : il existe actuellement 176 réseaux 5G commerciaux dans le monde, qui desservent plus de 500 millions d'abonnés.
En ce qui concerne le grand public, les vitesses de téléchargement moyennes atteintes grâce à la 5G sont environ 10 fois supérieures à celles permises par la 4G.
Du côté des entreprises, il existe déjà 10 000 projets dédiés aux applications B2B de la 5G (5GtoB) dans le monde entier.
Enfin, des projets d'application de la 5G dans des secteurs tels que la fabrication, l'exploitation minière et les ports sont en cours de reproduction à grande échelle.
Cependant, malgré ce déploiement exponentiel, la 5G gagnerait à être renforcée. Le premier levier de ce renforcement repose sur les réseaux mobiles, qui doivent offrir des vitesses de téléchargement supérieures à 4,6 Gbit/s avec une latence ne dépassant pas 10 millisecondes pour assurer le plein développement de cette technologie. De même, pour favoriser une adoption plus large de la 5G dans les industries, il est important de développer des normes de télécommunication spécifiques, adaptées à chaque contexte. Enfin, l'industrie mobile dans son ensemble se doit d'œuvrer à sa propre durabilité, en misant sur une réduction significative de son impact écologique.
« En raison de l'accélération de la transformation numérique occasionnée par la pandémie de la Covid-19, le cloud et l'intelligence artificielle sont devenus incontournables dans toutes les organisations, et toutes les économies. Alors que le monde commence à se remettre de la crise, nous devons saisir les opportunités qu'offrent ces technologies nouvelles, tout en les adaptant aux défis de notre temps, et notamment aux objectifs de neutralité carbone et de réduction d'empreinte écologique. », a conclu Ken Hu.
À propos de Huawei
Fondée en 1987, Huawei est l'un des principaux fournisseurs mondiaux d'infrastructures de technologies de l'information et des communications (TIC) et d'appareils intelligents. Nous comptons plus de 197 000 employés, et nous sommes présents dans plus de 170 pays et régions, au service de plus de trois milliards de personnes dans le monde.
Notre vision et notre mission consistent à apporter le numérique à chaque personne, foyer et organisation pour un monde intelligent et entièrement connecté. À cette fin, nous allons favoriser la connectivité omniprésente et promouvoir l'égalité d'accès aux réseaux ; apporter le cloud et l'intelligence artificielle aux quatre coins du monde pour fournir une puissance informatique supérieure là où vous en avez besoin, quand vous en avez besoin ; construire des plateformes numériques pour aider toutes les industries et organisations à devenir plus agiles, efficaces et dynamiques ; redéfinir l'expérience utilisateur avec l'IA, en la rendant plus personnalisée pour les individus dans tous les aspects de leur vie, qu'ils soient à la maison, au bureau ou en déplacement.
Mort par noyade d'un bouvier mercredi 14 octobre 2021 à Gbégourou, arrondissement de la commune de N'dali, département du Borgou.
Le bouvier peulh est décédé mercredi dans un cours d'eau. Selon les informations, il traversait le cours d'eau tout en gardant la queue de l'une de ses bêtes. Par imprudence, il a été emporté par le courant de l'eau. Son corps sans vie n'a pas été encore retrouvé.
A.A.A
Le Directeur général de l'Organisation du Monde Islamique pour l'Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO), Dr Salim AlMalik a reçu, mercredi 13 octobre 2021 au siège de l'Organisation à Rabat, Sylver Aboubakar Minko Mi-Nseme, ambassadeur de la République gabonaise auprès du Royaume du Maroc. Les deux responsables ont discuté des résultats de la visite officielle effectuée par Dr AlMalik et sa délégation accompagnante au Gabon du 4 au 7 octobre 2021, ainsi que des derniers développements concernant la coopération dans les programmes et activités convenus et examinés avec les hauts responsables du pays.
A cette rencontre, le Directeur général de l'ICESCO a exprimé ses remerciements et sa gratitude au gouvernement gabonais pour l'accueil chaleureux lors de sa visite officielle qui a connu des rencontres fructueuses avec la cheffe du gouvernement et nombre de ministres. Elle a été couronnée par un entretien avec S.E. le Président Ali Bongo au palais présidentiel à Libreville.
Dr Salim AlMalik a également souligné que les programmes et activités communes examinés lors de cette visite seront mis en œuvre dans les plus brefs délais. A l'en croire, une délégation composée d'experts du Secteur de la Culture effectuera dans quelques jours une visite au Gabon pour organiser un atelier de formation, au profit des spécialistes du patrimoine, à l'élaboration des dossiers d'inscription des sites historiques et éléments culturels sur les listes du patrimoine. Une délégation du Centre de la langue arabe pour les non arabophones se rendra aussi au Gabon pour convenir des étapes de création d'un centre régional d'enseignement de la langue arabe dans ce pays.
L'ambassadeur gabonais s'est félicité de la visite de Dr AlMalik à Libreville, qui marquera, à son sens, un nouveau départ de coopération entre le Gabon et l'ICESCO. Aussi a-t-il souligné que cette visite a suscité un grand intérêt de la part des responsables, qui se sont déclarés disposés à collaborer de manière constructive avec l'Organisation dans nombre de domaines.
À l'issue de cet entretien, les deux parties ont souligné l'importance d'une communication constante entre l'ICESCO et les parties compétentes gabonaises, pour pouvoir identifier les priorités et les besoins du pays, et concevoir les programmes et activités appropriés afin d'atteindre les objectifs escomptés de ce partenariat.
Sa Majesté le Roi du Maroc a nommé sur proposition du Chef du Gouvernement un nouveau ministre de la santé.
Un communiqué du Cabinet Royal en date du 14 octobre 2021 précise que M. Khalid Aït Taleb occupe désormais le poste de ministre de la Santé et de la Protection sociale, en remplacement de Mme Nabila Rmili.
“Conformément aux dispositions de l'article 47 de la Constitution, et sur proposition du Chef du Gouvernement, Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L'assiste, a bien voulu nommer M. Khalid Aït Taleb en tant que ministre de la Santé et de la Protection sociale, en remplacement de Madame Nabila Rmili.'', informe un communiqué du Cabinet Royal en date du 14 octobre 2021.
Cette nomination intervient conformément aux dispositions constitutionnelles, et après la soumission à la Haute Appréciation Royale de la proposition du Chef du Gouvernement, visant à mettre fin aux fonctions gouvernementales de Mme Rmili, qui a sollicité de se consacrer pleinement à ses fonctions de Présidente du Conseil de la ville de Casablanca. Et ce, après qu'elle se soit rendu compte de la charge du travail de cette mission représentative, et du suivi continu des affaires de ses habitants et des chantiers ouverts dans cette grande métropole, ce qui était de nature à impacter les multiples engagements et le suivi quotidien que nécessite le secteur de la santé, surtout en cette période de pandémie., précise la même source.
M. Aït Taleb a été promu à ce poste ''afin de poursuivre les chantiers ouverts et les défis urgents du Secteur de la santé, dont en premier chef la poursuite de la gestion du volet sanitaire de la pandémie du Covid 19 et le bon déroulement de la Campagne nationale de vaccination”.
L'atelier Indigo célèbre le "Mois du consommons local", édition 2021, avec les artisans de Ouidah et les journalistes. Un déjeuner de presse et une exposition des artisans ont été les moments forts de la célébration, jeudi 14 octobre 2021 à Ouidah.
Le "Mois du consommer local" est célébré dans les huit pays de l'Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA). Les artisans de la commune de Ouidah ne sont pas restés en marge de la deuxième édition du "Mois du consommons local'', lancée au Bénin le 1er octobre dernier. Sous l'initiative de l'Atelier Couleur Indigo en collaboration avec le Collectif des Artisans de Ouidah, un déjeuner de presse suivi d'une exposition d'œuvres ont marqué, jeudi dernier, les célébrations à Ouidah. Occasion pour les journalistes de découvrir les méthodes de travail, les produits locaux et les avantages qu'on tire en achetant des produits locaux. « Quand un acheteur décide de passer à l'acte d'achat, c'est vrai il donne une certaine somme. Mais dans cette somme, il achète quoi, juste un produit ou toute une histoire ou un concept ? », s'est interrogé Nadia Adanlé, directrice de Atelier Couleur Indigo, face à la cherté des coûts mise en avant par les consommateurs de produits locaux.
« Ne regardons pas la valeur vénale qu'il y a derrière nos achats, regardons la valeur patriotique, historique et culturelle et c'est tellement important », a indiqué la promotrice de l'Atelier Couleur Indigo, qui n'a pas manqué de préciser que le consommateur de produits locaux est rassuré quant à l'origine des produits. « (...) C'est de la santé que je me donne, c'est de l'emploi que je donne à des frères et soeurs, c'est de la précarité que je réduis dans mon pays », a martelé Nadia Adanlé.
Concernant la certification, elle estime que c'est un paramètre cerné uniquement par une frange de la population et qui risque de plomber la production locale. Il suffit que le produit soit bon et accessible pour s'imposer et être vendu.
Pour Luc Achille Quenum, président du Collectif des Artisans de Ouidah, « sans l'artisanat, rien ne peut prospérer dans un pays ». Il n'a pas manqué de remercier le gouvernement pour avoir initié le ”Mois du consommons local".
L'exposition a permis de découvrir les produits fabriqués par les artisans ainsi que leur processus de réalisation. Poterie, jarres, tableaux pour la décoration, tapis, couvre-verre, et autres produits réalisés avec des coupons de tissu par des personnes en situation de handicap, des pagnes, sacs et autres tenues en tissu, ont été exposés.
La machine en inox pour moudre les céréales rapidement et débarrassées des dépôts de métal, les portes vitrées et renforcées au métal pour plus de sécurité, la chaîne de production du "Elu vo".
A propos de Couleur Indigo
L'entreprise Couleur Indigo existe au Bénin depuis 2007. Elle a été créée parallèlement au Burkina Faso en 2011. Couleur Indigo s'est installée dans la commune de Ouidah depuis 2020 et œuvre pour la valorisation de l'artisanat local avec comme produit phare le tissu patrimonial qu'est le tissu indigo. Les activités de l'entreprise Couleur Indigo sont axées sur trois piliers. « Premièrement, le prêt-à-porter. Deuxièmement, le recyclage des déchets textiles par des personnes vivant avec un handicap et troisièmement la production et la commercialisation de tissu "Elu" », a indiqué la directrice de Couleur Indigo.
La poterie, la calebasse, le raphia sont les autres matériaux utilisés à Couleur Indigo.
30% du personnel employé sont des personnes en situation de handicap.
M.M.
L'EXPOSITION EN IMAGES
L'atelier Indigo célèbre le "Mois du consommons local", édition 2021, avec les artisans de Ouidah et les journalistes. Un déjeuner de presse et une exposition des artisans ont été les moments forts de la célébration, jeudi 14 octobre 2021 à Ouidah.
Le "Mois du consommer local" est célébré dans les huit pays de l'Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA). Les artisans de la commune de Ouidah ne sont pas restés en marge de la deuxième édition du "Mois du consommons local'', lancée au Bénin le 1er octobre dernier. Sous l'initiative de l'Atelier Couleur Indigo en collaboration avec le Collectif des Artisans de Ouidah, un déjeuner de presse suivi d'une exposition d'œuvres ont marqué, jeudi dernier, les célébrations à Ouidah. Occasion pour les journalistes de découvrir les méthodes de travail, les produits locaux et les avantages qu'on tire en achetant des produits locaux. « Quand un acheteur décide de passer à l'acte d'achat, c'est vrai il donne une certaine somme. Mais dans cette somme, il achète quoi, juste un produit ou toute une histoire ou un concept ? », s'est interrogé Nadia Adanlé, directrice de Atelier Couleur Indigo, face à la cherté des coûts mise en avant par les consommateurs de produits locaux.
« Ne regardons pas la valeur vénale qu'il y a derrière nos achats, regardons la valeur patriotique, historique et culturelle et c'est tellement important », a indiqué la promotrice de l'Atelier Couleur Indigo, qui n'a pas manqué de préciser que le consommateur de produits locaux est rassuré quant à l'origine des produits. « (...) C'est de la santé que je me donne, c'est de l'emploi que je donne à des frères et soeurs, c'est de la précarité que je réduis dans mon pays », a martelé Nadia Adanlé.
Concernant la certification, elle estime que c'est un paramètre cerné uniquement par une frange de la population et qui risque de plomber la production locale. Il suffit que le produit soit bon et accessible pour s'imposer et être vendu.
Pour Luc Achille Quenum, président du Collectif des Artisans de Ouidah, « sans l'artisanat, rien ne peut prospérer dans un pays ». Il n'a pas manqué de remercier le gouvernement pour avoir initié le ”Mois du consommons local".
L'exposition a permis de découvrir les produits fabriqués par les artisans ainsi que leur processus de réalisation. Poterie, jarres, tableaux pour la décoration, tapis, couvre-verre, et autres produits réalisés avec des coupons de tissu par des personnes en situation de handicap, des pagnes, sacs et autres tenues en tissu, ont été exposés.
La machine en inox pour moudre les céréales rapidement et débarrassées des dépôts de métal, les portes vitrées et renforcées au métal pour plus de sécurité, la chaîne de production du "Elu vo".
A propos de Couleur Indigo
L'entreprise Couleur Indigo existe au Bénin depuis 2007. Elle a été créée parallèlement au Burkina Faso en 2011. Couleur Indigo s'est installée dans la commune de Ouidah depuis 2020 et œuvre pour la valorisation de l'artisanat local avec comme produit phare le tissu patrimonial qu'est le tissu indigo. Les activités de l'entreprise Couleur Indigo sont axées sur trois piliers. « Premièrement, le prêt-à-porter. Deuxièmement, le recyclage des déchets textiles par des personnes vivant avec un handicap et troisièmement la production et la commercialisation de tissu "Elu" », a indiqué la directrice de Couleur Indigo.
La poterie, la calebasse, le raphia sont les autres matériaux utilisés à Couleur Indigo.
30% du personnel employé sont des personnes en situation de handicap.
M.M.
L'EXPOSITION EN IMAGES
Les députés de la huitième législature ont adopté, jeudi 14 octobre 2021, le Projet de loi portant protection du patrimoine culturel en République du Bénin, introduit par le Gouvernement.
En prélude à la restitution des 26 œuvres d'art au Bénin par la France, la loi N⁰ 2021-09 portant protection du patrimoine culturel en République du Bénin a été adoptée à l'Assemblée nationale, jeudi 14 octobre 2021. C'est en présence du ministre de la culture Jean-Michel Abimbola. Occasion pour le ministre de répondre aux questions sur la nouvelle loi.
Le Bénin attend plus 26 œuvres. Un programme de formation et un programme d'accompagnement de la chaîne de valeur sur la gestion des œuvres sont prévus dans le cadre d'un partenariat entre la France et le Bénin. Grâce à la mise en place d' investissements importants des infrastructures seront disponibles dès novembre 2021 pour la conservation des œuvres, selon les explications du ministre de la culture Jean-Michel Abimbola.
Pour les députés, le vote de la loi portant protection du patrimoine culturel en République du Bénin vient à point nommé car il permet au Bénin de disposer d'un arsenal juridique de protection des biens culturels.
M. M.
Les éléments de la police républicaine ont arrêté, jeudi 14 octobre 2021, deux individus dans un ghetto à Ouèdo, commune d'Abomey-Calavi.
Descente inopinée des éléments de la police dans un ghetto. Les éléments du commissariat de Ouèdo ont arrêté lors de cette opération deux individus pour détention et commercialisation de chanvre indien. Ils seront transférés à l'Office Central de Répression de la Cybercriminalité.
A.A.A
L'année universitaire 2021-2022 débute lundi 18 octobre 2021. Le calendrier universitaire 2021-2022 des universités publiques et établissements privés d'enseignement supérieur a été rendu public à travers une note de service du ministre Éléonore Yayi Ladékan en date du 14 octobre 2021.
Selon le calendrier, l'année universitaire 2021-2022 débute lundi 18 octobre et prend fin le vendredi 22 juillet 2022. La rentrée solennelle académique aura lieu mardi 26 octobre 2021. La validation des inscriptions des étudiants est ouverte dans les universités publiques du Bénin à partir du lundi 18 octobre 2021 et prend fin lundi 31 janvier 2022. L'année universitaire 2021-2022 est subdivisée en deux semestres. Le premier semestre débute lundi 18 octobre 2021 et prend fin vendredi 4 mars 2022. Le second semestre débute lundi 07 mars 2022 et prend fin vendredi 22 juillet 2022.
Déus Deronneth est un intellectuel confirmé qui a une solide formation pluridisciplinaire dans les Sciences politiques. C'est un homme de sciences qui a fait ses preuves à travers son riche parcours professionnel au cours duquel il a acquis une solide expérience. Une expérience qu'il met au service du Parlement de son pays Haïti où il siège depuis quelques mois. C'est un homme de sciences doublé d'homme politique qui a son Haïti natal chevillé au corps que votre journal a rencontré. Dans une discussion à coeur ouvert, Déus Deronneth a abordé plusieurs sujets. Le député rappelle qu'il est au service de son peuple et de sa République .
Lisez plutôt
Bonjour Mr . Vous voudrez bien vous présenter
Mon nom , c'est Déus Deronneth . Je suis Doctorant en Sciences économique. Je suis détenteur d'un Master en Administration et Gestion/Evaluation des collectivités territoriales et une Maitrise en Entreprise et marché. J'ai aussi un Diplôme d'Etude supérieure spécialisée en fiscalité. Un diplôme décroché à l'Ecole nationale d'administration financière (ENAF) et un Diplôme en Stratégie de développement national. Tout ceci après une Licence en économie. Je suis Député de Marigot de la 50ème législature ; Directeur général de l'Institut de gestion, de gouvernance et des études politiques (IGGEP) ; Ancien directeur départemental des impôts du sud-est ; directeur administratif de « le cabinet conseil et service » ; consultant en gouvernance et management stratégique. Enseignant à l'université et actuellement doyen de la faculté d'administration et sciences économiques à l'université publique de bas Artibonite de saint Marc (UPBAS)
En tant qu'élu du peuple, qu'est-ce qu'on peut retenir des projets de loi que vous avez déjà eu à conduire au sein du parlement de votre pays pour l'épanouissement de vos mandants ?
Pendant mes 36 mois à la Chambre des députés, j'ai travaillé sur plusieurs propositions et projets de loi notamment : La loi cadre sur la décentralisation ( une proposition de l'ancien sénateur et président provisoire Jocelerme Privert) ; le projet de loi sur la fonction publique territoriale ; le projet de loi sur la Carte d'identification nationale unique. Aussi j'ai eu l'opportunité de déposer trois (3) propositions de loi dont : la loi sur le stage obligatoire des étudiants des universités et écoles professionnelles ; la loi sur le bureau de la légalisation des pièces ; la loi sur la protection sociale universelle et obligatoire (dite pension et assurance pour tous).
Que pensez-vous de la politique en en général en Haïti ?
En Haïti, la politique est une forme de déformation de la science politique qui évoque la bonne gestion de la cité dans l'intérêt de la nation. Je pense clairement qu'il faut revoir la politique en Haïti que dans son organisation et dans son fonctionnement. Car, les pratiques politiques actuelles d'Haïti n'engendrent que le désespoir, la misère, le sous-développement et la corruption.
Que pensez-vous de la corruption en Haïti ?
En Haïti, la corruption « on dirait légale », est devenue un cancer qui ronge la société. La jeunesse est en fuite, les gangs se multiplient, la populations est abandonnée à elle-même, les dirigeants détournent les deniers publics en toute quiétude. La corruption est considérée comme le modèle de développement d'Haïti adopté par les dirigeants sans visions et sans compétences. Ils partagent entre eux la gestion des institutions publiques. Ainsi, il n y a aucune institution au service d'Haïti et du peuple haïtien. Pas de répartition équitable des richesses, nos taxes et Impôts sont subtilisés pour l'enrichissement personnel et celui des petits groupes. Voilà pourquoi je crois qu'il faut une autre classe politique qui puisse s'aligner avec le monde dans le combat contre l'impunité et la corruption en vue d'établir le bien-être collectif.
Quelles sont vos ambitions pour le parlement de votre pays ?
Aujourd'hui mes ambitions c'est de voir, le parlement haïtien, comme une institution capable d'accomplir ses rôles essentiels pour l'épanouissement de la démocratie. Voir que les futurs élus sont des hommes formés et compétents maitrisant la fonction parlementaire et soucieux du bien-être de la population haïtienne dans son ensemble. Je ne me vois pas comme parlementaire, je me vois comme cadre et coach pour ceux qui veulent travailler au bien-être de ma République.
Aspirez-vous y revenir pour un nouveau mandat ?
Je fais une carrière politique je suis au service de mon peuple et de la République.
Vos projets à court, moyen et long terme
À court terme je veux construire un réseau de jeunes et de vrais patriotes haïtiens dans le monde pour constituer un noyau pensant pour le développement d'Haïti. A moyen terme, je souhaite élargir la formation de mon institut (IGGEP) en ce qui concerne, « l'Etat et sa gouvernance » aux jeunes leaders de la république. A long terme je souhaite participer et voir le bien-être de mon peuple comme une réalité, voir des relations plus importantes entre Haïti et l'Afrique, voir Haïti comme la nouvelle destination mondiale pour son histoire et sa culture.
Les propos racistes de Trump à l'endroit des Haïtiens, qu'est-ce que vous en pensez en tant que représentant des Haïtiens ?
Je crois que Trump a un problème, il souffre d'un manque d'humanité grave. Aussi, il porte au fond de lui les cicatrices d'Haïti pour avoir fini avec l'exploitation abusive d'homme par homme et lutter au prix du sang pour établir la liberté, l'égalité et le respect des droits humains. Enfin, aujourd'hui, il cherche des personnes pour parler de lui, mais il ne mérite pas toute cette attention.
Un mot à l'endroit des Haïtiens
Je veux dire à mes frères et sœurs haïtiens de cesser la fuite d'Haïti, nous allons construire une autre Haïti sans corruption et sans l'insécurité. Je veux dire à la jeunesse de mon pays qu'elle constitue l'espoir de notre devenir meilleur. Demain est à nous, saisissons aujourd'hui.
Votre mot de fin
Merci pour cette opportunité que vous m'avez offerte, je vous serai reconnaissant.
Je veux souligner pour les battant d'Haïti que nous pouvons construire un autre Haïti digne d'être la 1ere République noire.
A. T.
Le béninois Gregory Da Silva, vient d'inscrire son nom dans le Guinness World Records pour avoir porté 735 œufs sur un seul chapeau.
Dans une vidéo qui a été partagée sur la page Instagram du Guinness World Records, on peut voir l'homme sur une scène qui porte en équilibre les centaines d'œufs sur son chapeau.
« Le plus grand nombre d'œufs portés sur un seul chapeau, 735 par Gregory Da Silva », a écrit Guinness World Records en légende.
View this post on InstagramUne publication partagée par Guinness World Records (@guinnessworldrecords)
Né au Bénin, en 1979, Gregory Da Silva a été formé à l'informatique à l'université, mais a ensuite fondé une troupe de théâtre au Bénin appelée « Voice of Spirit » ou « Voix de l'Esprit », qui a joué à des fins politiques ainsi que théâtre comique et poétique à la Bibliothèque nationale du Bénin. Après avoir reçu une invitation à se produire au Festival MASA - Marché des arts du spectacle africains - en Côte d'Ivoire en 2003, où il a représenté son pays, le Bénin, pendant une semaine avant de s'envoler pour l'Afrique du Sud. Il a vendu ses créations au V&A Waterfront et a commencé à orner les rues de Cape Town avec sa forme d'art unique.