24 Heures au Bénin

La vie n'a pas toujours été généreuse pour moi. A 10 ans j'ai perdu ma mère et à 15 ans mon père. Je me retrouvai sans repère et sans soutien. Le tour des oncles et tantes fut vite fait. J'épuisai de toute évidence la patience de mon cercle familial. J'étais trop grand, trop gâté et trop ambitieux pour me caser. Cahin-caha j'eu mon Bac et me lançai aussitôt dans la vie active. 15 ans après me voici à la tête de l'une des plus florissante entreprise de papeterie de mon pays. Mais voici, la malchance m'a poursuivie et un incendie a malencontreusement ravagé nuitamment mon entrepôt. D'aucuns ont pensé que la poisse ne m'a pas abandonné depuis mon jeune âge. Ils seront surpris. En bon entrepreneur j'ai pris mes dispositions pour les risques en entreprise. La Multirisque professionnelle de la Générale des Assurances du Bénin que j'ai souscrit couvre l'incendie et bien d'autres dommages. Non vraiment rien ne pourra gâcher mon ascension actuelle.
La Multirisque professionnelle de la GAB SA, un produit dédié à vous les chefs d'entreprise.

Coris Bank International Bénin (CBI) et Atlantique Assurances Bénin Vie(AAVIE) ont lancé vendredi 28 Mai 2021 le PACK MANDASSUR.
C'est à l'issue d'une cérémonie qui a rassemblé un parterre d'invités autour du Président de l'Association des Maires des Communes du Bénin et les directeurs généraux de ces deux institutions.

Cette offre exceptionnelle née du partenariat entre les deux institutions, est destinée aux élus municipaux et locaux.

Le PACK MANDASSUR offre aux élus une prévoyance retraite et une couverture sanitaire assurées par Atlantique Assurances Bénin Vie.
Aussi, permet-il aux élus de bénéficier de l'accompagnement financier de Coris Bank International Bénin à des conditions souples et des taux préférentiels (ci-joint une présentation complète du produit).

MANDASSUR pour un mandat réussi !

Un vieil homme de 70 ans et une femme de 45 ans ont été battus à mort à Matéri dans l'arrondissement de Dassari, département de l'Atacora.

Des jeunes de Matéri ont arrêté, ligoté et battu à mort, un vieil homme de 70 ans et une femme de 45 ans samedi 29 mai 2021. Ils ont été arrêtés par la police. Lors de leur interpellation, les jeunes ont confié qu'ils voulaient débarrasser leur village de deux menaces. Ils soupçonnent le vieil homme et la femme d'être des sorciers.
Selon Frissons radio qui a rapporté les faits, le vieil homme de 70 ans et la femme de 45 ans ont été conduites à l'hôpital Saint Jean de Dieu de Tanguiéta après leur agression.
M. M.

Un berger a été attaqué, vendredi 28 mai 2021, par quatre hommes. Il est actuellement en soins au centre de santé de Cobly.

Les frères (04) d'un individu soupçonné du vol de mouton ont charcuté un bouvier. Le berger a enclenché une procédure judiciaire contre son présumé voleur à la suite de la disparition de sa bête. Ce qui n'est pas du goût des quatre frères. La scène s'est passée vendredi 28 mai 2001 à Gnangou dans la commune de Cobly, département de l'Atacora.
Le bouvier âgé de 39 ans a été conduit au centre de santé de Cobly où il est en soins intensifs.
La police a ouvert une enquête pour retrouver les quatre agresseurs.
M. M.

Les députés sont convoqués en séance plénière ce mardi 1er juin 2021 pour désigner le successeur de Mariam Chabi Talata, ex-1ère vice-président de l'Assemblée nationale. L'honorable Robert Gbian pourrait bien remplacer Mariam Chabi Talata.

Les deux partis à l'Assemblée nationale (l'Union Progressiste et le Bloc Républicain) vont présenter un candidat au poste de premier vice-président conformément au règlement intérieur.
Au sein du Bloc Républicain (BR), l'honorable Robert Gbian pourrait être désigné par ses pairs pour le poste et Augustin Ahouanvoebla pour le compte de l'Union Progressiste (UP). L'ex première vice-présidente à l'Assemblée nationale désormais vice-présidente du Bénin était du parti majoritaire (UP).

L'actuel deuxième vice-président du Parlement, Robert Gbian, pourrait au terme du vote accéder au poste de premier vice-président et Augustin Ahouanvoebla à celui du deuxième vice-président.

A. A. AYOSSO

Des présumés malfrats ont été arrêtés après le braquage perpétré à Ekpé, dans la commune de Sèmè-Podji, mercredi 26 mai 2021.

Au moins trois personnes ont été interpellées par la police républicaine à Tchonvi et Ekpè entre vendredi 28 et lundi 31 mai selon Banouto. Elles seraient impliquées dans le braquage qui a eu lieu dans une boutique à Ekpè.
Mercredi 26 mai, les malfrats sont entrés dans une boutique de vente de produits divers, appartenant à un Nigérien. Ils ont emporté une forte somme d'argent. Dans leur fuite, les hors-la-loi ont tiré sur une fillette de 5 ans. Cette dernière est décédée le lendemain à l'hôpital. Les malfrats ont également tué un jeune homme de la trentaine et blessé un autre.

AAA.

Le nom de la vice-présidente du Bénin Mariam Chabi Talata Zimé est utilisé dans le but d'arnaquer les internautes. A travers un message sur sa page Facebook ce lundi 31 mai 2021, la vice-présidente dénonce l'usurpation de son identité.

« Il m'est revenu avec insistance que des individus utilisent mon nom pour tenter de soutirer de l'argent aux internautes. Ils passent par de faux comptes et pages Facebook avec mes images et mes informations », alerte la vice-présidente du Bénin dans un post sur sa page Facebook.

Mariam Chabi Talata Zimé invite les internautes à signaler les faux comptes. « Je ne vous contacterai jamais par message privé. Et je ne vous demanderai jamais de l'argent pour quelque motif que ce soit. Restez vigilants et continuez par alerter et signaler les activités de ces personnes aux intentions nocives », a indiqué la vice-présidente.

« Je n'ai qu'une seule page sur laquelle je partage mes actualités avec vous. Elle a Mariam Chabi Talata pour nom de profil », a-t-elle ajouté.

A.A.A

Les classes sportives des communes du Bénin disposent désormais de matériels et équipements. Oswald Homeky a présidé vendredi 28 mai 2021, dans les locaux du ministère des sports la cérémonie de remise officielle de ces matériels.

Grâce à la coopération avec la FIFA et l'effort du ministère des sports à travers ses différentes structures telles que l'Office Béninois des Sports Scolaires et Universitaire (OBSSU) et le Fonds National pour le Développement des Activités de Jeunesse, de Sport et de Loisirs ( FNDAJSL), 88 classes sportives sont dotées de matériels et d'équipements.
Il s'agit entre autres des ballons de football, de handball et de basketball, des kits d'entrainement professionnels, des tenues de sport, des jackets, des pulls etc. Les équipements ont été remis au coordonnateur du Programme de Promotion et de Développement des Activités Sportives (Ppdas), Dieudonné Mensah.

« Je voudrais une fois encore remercier nos partenaires privilégiés. Principalement la FIFA pour cette belle coopération et dire que, comme tout ce que nous avons reçu précédemment, ces équipements seront dès aujourd'hui mis à la disposition des classes sportives dans l'ensemble des communes du Bénin », a déclaré le ministre Oswald Homeky.

Les matériels et équipements permettront une bonne mise en œuvre du programme des Classes Sportives (Cs) lancé dans l'ensemble des communes du Bénin.
« Je voudrais dire également que nous poursuivons avec beaucoup d'engagement et d'enthousiasme la mise en œuvre de cet ambitieux programme dont le Chef de l'État a voulu doter notre pays.
Un programme de détection, de formation et de promotion des talents sportifs dans les principales disciplines identifiées », a-t-il ajouté.

A.A.A.

La Commission Electorale Nationale Autonome (CENA) a procédé, du mardi 25 au vendredi 28 mai 2021 à Parakou, à l'évaluation de l'élection présidentielle du 11 avril dernier. A l'issue des travaux, les parties prenantes impliquées dans l'organisation du scrutin ont fait des recommandations visant des élections mieux organisées au Bénin.

L'atelier sur l'évaluation de l'élection présidentielle du 11 avril dernier a pris fin vendredi 28 mai 2021 après quatre journées d'intenses travaux. A la clôture des assises, Emmanuel Tiando, président de la CENA a remercié les participants pour leur assiduité aux travaux et leur contribution à l'amélioration du processus électoral. Les participants ont exprimé leur satisfaction.
A l'issue des débats organisés en plénière et en atelier, les participants ont fait des propositions. Il s'agit, entre autres, de procéder à l'allègement des pièces demandées aux candidats aux élections, à une meilleure gestion des candidatures qui devra s'effectuer dans la transparence et dans l'ordre, de clarifier la publication et la proclamation provisoire des résultats pour qu'il n'y ait pas de confusion entre les résultats de la CENA et ceux de la Cour constitutionnelle, de prendre des dispositions pour que les personnes handicapées puissent accomplir leur devoir civique sans difficultés.
Le parrainage des candidats, l'exigence de la loi qui a fait l'objet de nombreuses controverses lors de l'élection présidentielle du 11 avril 2021, n'a pas a été occulté dans les propositions faites par les participants à l'atelier d'évaluation du scrutin.
« Nous n'avons pas dit, au cours de notre atelier, qu'il faut supprimer le parrainage, mais nous avons estimé qu'il est nécessaire de procéder d'abord à une extension des parrains, et ensuite, à une réflexion sur les modalités d'application de ce parrainage. », a clarifié Emmanuel Tiando. « Toutes ces propositions que nous avons faites nécessitent une relecture du code électoral et je crois que notre atelier a préconisé l'utilité de cette relecture, à charge bien entendu, à ceux qui détiennent la possibilité d'accéder à cette relecture ou pas. », a précisé Emmanuel Tiando.
L'atelier sur l'évaluation de l'élection présidentielle du 11 avril 2021 a réuni les parties prenantes impliquées dans l'organisation des élections au Bénin (institutions dont la CENA, représentants de partis, d'organisations de la société civile, expert électoral), les 25, 26, 27 et 28 mai 2021 à Parakou.
La CENA a organisé l'atelier pour faire l'évaluation du cadre juridique de l'élection, passer en revue toutes les phases de son déroulement, apprécier le rôle des acteurs impliqués et de formuler des recommandations utiles à une meilleure organisation des élections au Bénin.
M. M.

Après la célébration du centenaire de la fête Nonvitcha, le président du Bureau fédéral de l'association Nonvitcha a adressé un message aux fils et filles Xwla et Xwéla.

Dans un communiqué en date du 27 mai 2021, le Président du Bureau Exécutif Fédéral de l'Association Nonvitcha, a informé de la réédition de la fête du Centenaire en 2022 en zone Houlènou dans la Commune de Sèmè-Podji et en 2023 en zone Xwéla dans la Commune de Comé.
Pour ce faire, une commande complémentaire du Tissu du Centenaire est lancée pour permettre à tout le monde de l'acquérir. Le Tissu sera toujours vendu au prix de 18.000 FCFA la pièce ou à 9.000 FCFA la demie pièce. Face à la spéculation malsaine, le Bureau invite toute personne n'ayant pu acquérir le Tissu du Centenaire de Nonvitcha et qui souhaiterait l'avoir de ne pas l'acheter auprès des commerçants véreux qui continuent de faire de la surenchère, indique le communiqué signé par Norbert Kassa, Président du Bureau Exécutif Fédéral de l'Association Nonvitcha.
Le Bureau n'a pas manqué de remercier et féliciter les filles et fils des Communautés Xwla et Xwéla pour leur forte mobilisation à la réussite du Centenaire de Nonvitcha, dont les activités se sont déroulées du 24 avril au 24 mai 2021 à Grand-Popo.
M. M.

Les épreuves pratiques des séries du Baccalauréat de l'Enseignement Technique et de la filière Eau et Assainissement du Baccalauréat Professionnel débutent ce lundi 31 mai 2021.

Selon le calendrier portant déroulement des examens, concours scolaires et universitaires, les épreuves pratiques de certaines séries du Baccalauréat se déroulent du lundi 31 mai au vendredi 18 juin 2021. Les séries concernées sont F1 et F3 (à partir du lundi 31 mai), la G (à partir du jeudi 03 juin) et les séries E, EA, F2, et F4 (à partir du vendredi 04 juin 2021).

La phase écrite du Baccalauréat, session normale est prévue du lundi 21 au 24 juin 2021 sur l'ensemble du territoire national.

A.A.A

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L'international béninois jouant au poste de défenseur latéral a mis définitivement un terme à sa carrière de footballeur. Emmanuel Imorou a rendu publique sa décision, vendredi 28 mai 2021, sur son compte Instagram.

« 13 ans après avoir débuté ma carrière de footballeur professionnel, j'ai décidé de raccrocher les crampons », a annoncé Emmanuel Imorou, vendredi 28 mai 2021 sur Instagram. L'arrière gauche des Écureuils du Bénin a remercié chaque club et la sélection nationale dont il a porté les couleurs et qui lui ont permis de vivre sa passion. « J'ai eu la chance de côtoyer des joueurs talentueux et des personnalités remarquables au sein de chaque club et en sélection nationale. J'ai conscience d'avoir été un privilégié, même si tout n'a pas toujours été rose », a confié Emmanuel Imorou.
Le joueur ne regrette pas sa décision de déposer les crampons. « Jamais je n'aurais pensé pouvoir un jour jouer en L1, connaître la Coupe d'Europe ou la Coupe d'Afrique des Nations. Je ne ressens aucune tristesse et ne regrette rien », a indiqué l'internatinational Emmanuel Imorou.
Né le 16 septembre 1988 à Bourges, l'international Emmanuel Imorou joue en sélection nationale du Bénin depuis 2010. Il a participé avec les Écureuils à deux CAN (2010 et 2019).
M. M.

A l'occasion de la Journée Mondiale Sans Tabac 2021, l'Alliance pour le Contrôle du Tabac en Afrique (ACTA), Centre for Tobacco Control in Africa (CTCA), African Centre for Tobacco Industry Monitoring and Policy Research (ATIM), et le bureau régional de l'Afrique de l'Alliance pour la Convention Cadre (FCA) ont fait une déclaration conjointe. C'était ce vendredi 28 mai 2021, lors d'une conférence de presse virtuelle.

Instituée par l'Organisation Mondiale de la Santé, la journée Mondiale sans tabac a lieu chaque 31 mai. Le thème retenu par l'OMS pour la Journée Mondiale sans Tabac 2021 est : « S'engager à arrêter de fumer ». Selon l'OMS « les recherches disponibles suggèrent que les fumeurs courent un risque plus élevé de développer une maladie grave et de mourir du COVID-19 ». « S'engager à arrêter de fumer en ce moment permet non seulement de garantir la bonne santé et le bien-être de la population, mais aussi de réduire considérablement les énormes charges économiques et sociales que les gouvernements subissent actuellement en raison de la pandémie », relèvent les partenaires régionaux.
Plusieurs mesures aident les pays à réduire la demande de tabac. Connues sous le nom de MPOWER, ces mesures comprennent l'aide pour arrêter de fumer, la surveillance de la consommation de tabac et des politiques de prévention, la protection des personnes contre la fumée du tabac, la mise en garde contre les dangers du tabac, la mise en œuvre de l'interdiction de la publicité, de la promotion et du parrainage du tabac et l'augmentation des taxes sur le tabac. « Malheureusement, bien qu'il soit l'une des mesures MPOWER les plus importantes, l'aide à l'arrêt du tabac a été identifiée comme la mesure la plus sous-utilisée », déplorent les partenaires régionaux de la lutte antitabac en Afrique.

La sensibilisation au sevrage tabagique

L'article 14 de la Convention-cadre de l'OMS pour la lutte antitabac (CCLAT) encourage la sensibilisation au sevrage tabagique et l'accompagnement de personnes dépendantes du tabac. Le rapport de l'OMS 2019 sur l'épidémie mondiale de tabagisme informe que « les pays d'Afrique subsaharienne (ASS) ont un bilan médiocre dans la mise en œuvre des initiatives de sevrage ». Le soutien au sevrage tabagique était proposé « dans certains établissements de soins de santé primaires dans 10 pays, mais le coût n'était que partiellement couvert dans quatre pays et pas du tout dans trois pays ». Ce même rapport signale que « sept pays d'Afrique subsaharienne disposent d'une stratégie nationale de sevrage tabagique et que dix pays ont des directives cliniques nationales, mais seulement quatre pays ont mis en place des lignes téléphoniques gratuites pour l'arrêt du tabac ».
En Afrique du Sud, la ligne d'aide à l'arrêt du tabac exige un " geste d'engagement " minime.

Intensifier les efforts de sevrage en Afrique

Selon les partenaires régionaux, plusieurs mesures peuvent être prises pour intensifier les efforts de sevrage en Afrique. « Le fait de confier les conseils relatifs à la cessation tabagique à des travailleurs de la santé de niveau inférieur limitera les demandes multiples imposées aux professionnels de la santé de haut niveau, qui sont souvent surchargés et en nombre insuffisant. Le suivi et l'évaluation des stratégies et des programmes d'arrêt du tabac permettront de s'assurer qu'ils sont alignés sur les meilleures pratiques », proposent-ils.

Pour eux, il est nécessaire de renforcer les systèmes de santé existants afin de mettre en œuvre des initiatives de promotion du sevrage tabagique et de traitement de la dépendance au tabac. Il est aussi important que les gouvernements africains investissent dans la promotion de l'arrêt du tabac, en développant des stratégies et des directives nationales fondées sur des preuves et rentables, et en allouant des ressources adéquates pour la mise en œuvre des programmes.

« Des conseils gratuits doivent être fournis aux personnes qui renoncent au tabac, et les initiatives de communication de masse qui encouragent l'arrêt du tabac doivent faire partie des programmes de sevrage. Pour un effet optimal, les gouvernements doivent mettre en œuvre ces programmes en conjonction avec d'autres politiques de réduction de la demande de tabac, notamment des taxes plus élevées sur le tabac, des espaces non-fumeurs, l'interdiction de la publicité, de la promotion et du parrainage du tabac, des avertissements sanitaires illustrés de grande taille sur les paquets de tabac et des campagnes médiatiques antitabac », ajoutent les partenaires sociaux.

Au moins 1,3 milliard de personnes utilisent les produits des compagnies de tabac et plus de 80 % vivent dans des pays à revenu faible ou intermédiaire. L'industrie cherche à inonder l'Afrique de nouveaux produits tels que les e-cigarettes, en les présentant de manière trompeuse comme des aides à l'arrêt du tabac et des produits de réduction des risques.

« La Journée Mondiale Sans Tabac 2021 nous rappelle que notre responsabilité en tant qu'acteurs de la lutte antitabac ne se limite pas seulement à tenir l'industrie en échec et à la faire payer pour les dommages qu'elle cause, mais aussi à faire en sorte que, les quelque 20 % de la population mondiale qui utilisent actuellement leur produit obtiennent l'aide dont ils ont besoin pour renoncer au tabac », concluent les partenaires régionaux.

A.A.A

A la suite de l'ouverture de l'agence Stade de l'Amitié, Coris Bank International ouvre désormais une nouvelle agence à Azovè. Elle est sise au carrefour Azovè, quartier Ekinhoué. Cette nouvelle agence porte le réseau bancaire de Coris Bank International à 8 agences. A date, nous sommes présents dans les principales villes du Bénin notamment Cotonou, Calavi, Porto Novo, Parakou et désormais Avozè.

L'agence d'Azovè revêt un caractère bien particulier pour Coris Bank International Bénin puisqu'elle représente la 1ère agence ouverte en dehors des villes à statut particulier. Elle servira de point relais pour la disponibilité de nos services bancaires dans les départements du Couffo et du Mono.

Nous offrons à la clientèle des produits et services innovants dont Coris Premium, Coris Wǝndya, les packages Azô, Nasiara et Ôga, les nouveaux produits d'épargne Vignon, Assu'Retraite et Nountito. Et également, les produits de la Finance Islamique dont Coris Bank International est pionnière au Bénin

L'agence d'Azovè sera le point d'ancrage pour les projets et les grandes entreprises nationales et internationales. Elle sera le lieu de solides partenariats avec les opérateurs économiques. L'Agence d'Azovè offrira l'opportunité à la clientèle de vivre une expérience nouvelle de la banque et de profiter d'une meilleure qualité de service.

A propos de Coris Bank International Bénin (CBI Bénin)

CORIS BANK INTERNATIONAL Bénin est une entité du GROUPE CORIS BANK INTERNATIONAL, qui au-delà du Bénin, est présente au Burkina Faso, en Côte d'Ivoire, au Mali, au Togo, au Sénégal, au Niger et en Guinée.

Implantée au Bénin depuis 2016, Coris Bank International Bénin est engagée à servir et à donner satisfaction à ses clients et partenaires. La banque a pour objectif de perpétuer son développement à travers la satisfaction du client, l'innovation, la proximité et la disponibilité. Dans sa vision de faire « la Banque Autrement », CORIS BANK INTERNATIONAL, travaille au Bénin, à être une institution de référence sur le marché. Elle a été certifiée à la norme ISO 9001 version 2015 en 2020. Cette certification a fait de Coris Bank International Bénin, la plus jeune filiale bancaire certifiée dans la zone UEMOA.

Le Groupe a été reconnu à plusieurs reprises pour ses performances remarquables par divers organismes dont l'African Banker Awards en 2020.

Coris Bank International, La banque Autrement

L'épouse ou les épouses qui perdent leur mari dans la plupart des communautés au Bénin observent les rituels du veuvage ; symboles de l'attachement et de l'amour qu'elles éprouvent à l'époux défunt. Cela permet également selon la tradition, de libérer les obligations contractuelles avec celui-ci. Après les différents rites, la veuve se remarie et, le plus souvent, avec l'un des jeunes frères du mari défunt. A Toviklin, une des communes du département du Couffo, après le veuvage, la possibilité est même accordée à l'un des fils de se marier avec la femme de son défunt père. Une forme de mariage qui à première vue, suscite des questionnements.

Selon Raymond Assogba, enseignant chercheur à l'Université d'Abomey-Calavi (UAC), « la société en organisant ces évènements prend la précaution de sécuriser l'avenir de la femme, l'avenir des enfants ». D'après ses explications, lorsque le mari meurt, on met l'accent sur la sécurité de la veuve, sa survie et celle des enfants. « C'est des stratégies que chaque communauté de par son histoire et son adaptation dans l'environnement, retient », a-t-il ajouté soulignant la nécessité de « renforcer l'organisation des sociétés qui observent ces types de mariages, ces types de sécurisation de la veuve », étant donné que c'est accepté de tous.
Pour le sociologue, avec ce genre de mariage, « les fonctions sont assurées, les rôles sont assurés, et par rapport à cela, on connait l'avenir par rapport aux règles d'organisation qui sont juridiques ». Le contraire relève t-il, conduit à la déstructuration du tissu familial, la délinquance chez les enfants et l'avenir qui est menacé. De ce fait, les tantes et les oncles n'ont pas la paix du cœur, a fait savoir Raymond Assogba précisant que lorsque c'est fait à l'interne, « tout le monde est content, et les tantes et les oncles peuvent s'occuper de leurs affaires et ne seront pas importunés par des charges qui viennent s'ajouter ». Cela procède selon lui, de la sécurisation de la richesse, de la sécurité des enfants pour leur éducation afin qu'ils deviennent « des citoyens, des agents de développement ».

Quelques restrictions dans le mariage après le veuvage
Si la tradition donne le droit au fils de prendre en mariage l'épouse de son père défunt, et au jeune frère d'épouser la femme de son grand-frère, ce dernier par contre ne doit jamais épouser la femme de son jeune frère décédé. « C'est un sacrilège, ça ne se fait pas », avertit Codjo Doke, tradi-praticien exerçant à Adjido, une des localités de Toviklin. « Quand on le fait, c'est les herbes qui envahissent la maison », a-t-il confié. Ce qui exprime selon le gardien de la tradition, une absence de vie. « Aucun des partenaires d'une telle union ne peut continuer de vivre. Si ce n'est pas la mort, c'est la folie qui les frappe, et personne ne peut rester dans cette maison. Tous ceux qui se sont entêtés pour le faire, l'ont regretté », a expliqué Codjo Doke.
Un point de vue que ne partage pas Barthélémy L. Dégbé, un sexagénaire habitant à Houédogli. Pour le vieil homme, il suffit qu'il y ait le consentement des nouveaux conjoints. « Le grand-frère aussi peut toujours prendre si la femme accepte, pourvu que la femme reste dans la famille », a-t-il soutenu.
Selon le sociologue, dans ces genres de mariage, ce n'est pas les relations sexuelles qu'on regarde, mais plutôt « la stabilisation de la vie, de l'organisation sociale par rapport à l'unité matrimoniale ».
Dans certaines communautés, Raymond Assogba informe que le fils peut pendre sa « propre mère » en mariage. Tout est régulé et cela permet à la femme de garder ses repères en termes de lieu de résidence, en termes d'obligations envers les enfants, en termes de fonction sociale dans la quête de l'organisation du travail pour toujours continuer à mener ses activités génératrices de revenu, a-t-il clarifié.
Pour le sociologue, il y a « une rationalité, une logique » qui sous-tend cette pratique dans la société ; ‹‹ elle accepte certaines orientations et refuse certaines directions ».
A Toviklin, où le grand-frère ne doit pas prendre en mariage l'épouse de son jeune frère décédé, l'enfant non plus ne doit épouser sa maman parce que le papa est décédé. Les ménages étant pour la plupart polygamiques, il peut épouser une des coépouses de sa maman, tout comme un de ses frères consanguins peut prendre sa maman en mariage.

Rites du veuvage et le remariage
Selon les explications de Codjo Doke, les rituels de veuvage dans la commune de Toviklin durent au total 09 mois. Pendant cette période, la veuve est assistée d'autres veuves et autres vielles dames. Il lui est interdit de se laver la nuit et de prendre soin de ses cheveux. Elle ne doit pas non plus aller au marché. La veuve selon le tradi-praticien, peut toutefois se rendre au champ les heures auxquelles elle avait l'habitude de s'y rendre avec son mari lorsqu'il était en vie. Au terme des 09 mois, elle subit les derniers rites et on lui rase la tête. On lui arrache également la spatule (ustensile de cuisine qui sert à remuer la pâte (‘'wodatin'' en langue fon).
Après cette première étape, suit une autre qui dure 02 mois. Cette dernière selon Codjo Doke, conduit au remariage qui est conclu avec le fils ou l'un des jeunes frères du défunt mari. A cet effet, le nouvel époux achète de nouveaux pagnes pour la veuve qui devient désormais sa femme.
Le mariage après les rites du veuvage, relève le gardien de la tradition, a lieu sur consentement des nouveaux conjoints. Les épouses qui le souhaitent peuvent toujours rester dans la maison du mari décédé et se conformer à cela. Toutefois, la possibilité est accordée à celles qui le désirent, d'aller se remarier ailleurs et commencer une nouvelle vie, a-t-il clarifié.

Témoignage
« C'est pour rester avec mes enfants et les soutenir que je suis restée », a confié dame Kouechiba, une veuve âgée de la soixantaine et remariée à son beau-frère. « A mon âge, je ne sais pas ce que j'irai encore chercher ailleurs », a-t-elle ajouté fière de demeurer dans la famille de son mari défunt. « Tout dans cette vie est question de compréhension. Si tu aimes vraiment ton homme avec qui tu as eu des enfants et qu'il décède, par amour pour lui et pour les enfants, rien ne peut t'amener ailleurs », a expliqué la vielle dame.
Ces pratiques liées aux rites de veuvage et au mariage de la veuve à Toviklin selon nos investigations, sont observés dans toutes les autres communes du département du Couffo.

F. Aubin AHEHEHINNOU

Le Parc national W-Bénin a reçu les 27 et 28 Mai 2021 la visite du Président Directeur Général d'African Parks, Monsieur Peter Fearnhead. Cette visite s'inscrit dans le cadre de la revue des avancées enregistrées et des contraintes dans la conservation de ce patrimoine naturel.

Monsieur Peter Fearnhead a visité les installations de la base opérationnelle du Parc à Alfakoara. Il s'agit notamment des infrastructures réalisées par African Parks dans le cadre de la mise en œuvre du Plan d'Intervention Prioritaire de Réhabilitation et de Développement du Parc national W-Bénin d'octobre 2019 à septembre 2020, sur financement du Gouvernement et de la Fondation des Savanes Ouest Africaines (FSOA) et des travaux qui se poursuivent depuis la prise en main de la gestion du Parc par African Parks en octobre 2020 au terme d'un mandat de délégation de gestion signé avec le Gouvernement du Bénin.

De l'aérodrome en passant par le camp de formation des Rangers, les bureaux, la salle des opérations, au campement des rangers et aux logements construits, le Président Directeur Général n'a pas caché sa joie. Il a ensuite tenu une séance de travail avec la Direction du Parc, au cours de laquelle, le Directeur Adjoint du Parc, le Capitaine Abdel-Aziz BELLO, après avoir présenté la vision du parc sur 20 ans, lui a présenté les résultats obtenus en 18 mois et les perspectives.

En plus des infrastructures réalisées, une centaine de Rangers ont été recrutés et assurent la surveillance du Parc. Des colliers GPS ont été placés à 20 éléphants, 09 lions et 04 bubales pour leur suivi satellitaire. Des inventaires de la faune ont été réalisés. De plus, le contact est maintenu avec les communautés afin d'accroître leur compréhension et engagement en faveur de la préservation de la faune. Un plan de développement sociaux communautaire est en cours d'élaboration et prend en compte la promotion des activités génératrices de revenus en faveur des communautés. Un plan de développement touristique est également en cours d'élaboration avec des projets de réintroduction de nouvelles espèces ou d'espèces disparues.

Mais malgré les efforts déployés, diverses menaces continuent de peser sur le Parc notamment le braconnage, le front agricole et la transhumance illégale.

Un survol de tout le Parc en hélicoptère a permis au Président Directeur Général de voir l'état de conservation de cet écosystème qu'il a chaleureusement apprécié.

Le Président Directeur Général a félicité l'équipe de direction du Parc eu égard aux progrès réalisés. « Le travail qui est en cours ici est incroyable. En 18 mois, c'est incroyable. L'équipe a fait un travail incroyablement bon. Je suis très content de l'équipe du W-Bénin », a-t-il confié.

Il a enfin exhorté la Direction du Parc à poursuivre sa mission de protection, dans le strict respect des droits de l'homme. Le Parc national W-Bénin emploie actuellement 231 agents dont 223 sont des béninois.

African Parks est une organisation de conservation à but non lucratif qui assume la responsabilité directe de la réhabilitation et de la gestion à long terme d'aires protégées en partenariat avec les gouvernements et les communautés locales. Elle gère actuellement 19 aires protégées dans 11 pays, couvrant plus de 14.2 millions d'hectares et représentant neuf des 13 biomes écologiques en Afrique.

Notre principal objectif est de réhabiliter chaque parc et de le rendre écologiquement, socialement et financièrement viable.
#ParcW-Bénin #AfricanParks

145.934 candidats prendront part à l'examen du Brevet d'études du premier cycle (Bepc), session de juin 2021. Au terme d'une visite du ministre des Enseignements Secondaire, Technique et de la Formation Professionnelle ce vendredi 28 mai, le Directeur des Examens et Concours Dr Roger Koudoadinou a confié que les derniers réglages sont en cours pour une organisation réussie de cet examen.

« La présence du Ministre officialise que nous sommes entrés dans le dernier virage de l'organisation des examens, en l'occurrence du BEPC, session de juin 2021 », a affirmé le Directeur des Examens et Concours Dr Roger Koudoadinou à la presse.
Le ministre poursuit-il a pu constater le niveau où nous en sommes en terme de préparatifs et nous avons pu bénéficier non seulement de ses conseils mais également, il nous a exprimés toute sa satisfaction de voir que nous avons réussi le réglage et jusque-là, le point que nous lui avons fait lui a donné l'assurance de ce que tout est en bonne voie.

Cette année, les inscriptions des candidats au BEPC ont été faites en ligne. « C'est une première depuis les indépendances dans l'histoire de notre système éducatif grâce à la plateforme EducMaster. Et, de ce point de vue, il y a eu beaucoup plus d'aisance mais également un gain d'énergie au niveau de tous les acteurs qui ont réussi cette inscription en ligne à nos côtés. Je crois que nous pouvons en être fiers », a confié Dr Roger Koudoadinou.

L'autre élément qu'il faut mettre dans la balance en matière de bonne organisation, souligne-t-il, c'est que l'apprêtement d'un certain nombre de choses continue de se faire par l'exploitation de la plateforme EducMaster et nous avons reçu les conseils de Monsieur le Ministre pour aller davantage dans ce sens.

L'effectif des inscrits au BEPC, session de juin 2021, s'élève à 145934, soit une baisse d'environ 3500 candidats par rapport à l'année dernière. « Mais, au niveau du nombre de centres de composition, il n'y a pas eu tellement de mouvements. L'année passée, nous étions à 233 centres de composition mais cette année, nous sommes à 234 parce qu'il a fallu être réalistes pour rétablir certains centres afin d'éviter aux candidats de trop souffrir pour se déplacer vers les centres de composition », informe le Directeur des Examens et Concours.
Le Brevet d'études du premier cycle (Bepc) est prévu 14 au 16 juin 2021.

A.A.A

Le boxeur béninois, Clément Loko, demeure le champion d'Afrique de la World Professionnel Boxing Fédération (WPBF), catégorie poids plume. Il a remporté une fois encore le titre dans la nuit de ce samedi 29 au dimanche 30 mai 2021 face au Nigérian, Semiu Olamoyero.

Clément Loko champion d'Afrique de la World Professionnel Boxing Fédération (WPBF), catégorie poids plume, c'est ce qu'il convient de retenir au terme de la confrontation qui a lieu au Complexe sportif d'Abobo à Abidjan (Côte d'Ivoire).
Surnommé "Panthère Rouge", le Béninois n'a laissé aucune chance à son adversaire nigérian connu sous le nom de "GG Pumpy" durant le match.
Clément Loko honore ainsi le Bénin à travers ses gants.
La World Professionnel Boxing Fédération (WPBF) est un Gala de Boxe organisé en hommage à l'ex premier ministre ivoirien, Hamed Bakayoko.

Clément Loko a 07 combats professionnels dont 06 par KO, une défaite, et 06 fois Champion du Bénin chez les amateurs.

F. A. A.