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24 Heures au Bénin

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Webzine, Quotidien Béninois indépendant, d'analyses et d'information en ligne
Updated: 20 hours 43 min ago

Un jeune homme armé interpelé à Agongointo

Tue, 08/10/2021 - 20:17

Interpellation d'un jeune homme armé dans la nuit du lundi 09 août à Fleli, un quartier d'Agogouinto, commune de Bohicon.

Agé de 25 ans environ, le jeune homme d'ethnie peulh a été interpelé par les éléments du commissariat d'arrondissement d'Agogouinto en patrouille. Il marchait seul dans une zone reculée du quartier Fleli. Ayant aperçu la police, l'individu a pris la poudre d'escampette. Après une course-poursuite, il a été rattrapé dans une forêt. La police a retrouvé sur lui, un pistolet artisanal, des munitions et une machette. Le jeune homme a été placé en garde à vue pour la suite des enquêtes.

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Appel à candidatures pour la désignation de recteur, vice-recteurs et directeurs

Tue, 08/10/2021 - 16:55

Le Conseil d'administration de l'Université Nationale d'Agriculture lance un appel à candidatures pour la sélection des candidats aux hautes fonctions universitaires. Il est ouvert six postes à savoir : Recteur, vice-recteur chargé des affaires académiques, vice-recteur chargé de la recherche universitaire, vice-recteur chargé de la coopération universitaire, directeur par Unité de Formations et de Recherche (UFR), directeur adjoint par Unité de Formation et de Recherche (UFR).
La date de clôture du dépôt des candidatures est fixée au 24 août 2021.

Lire les conditions, les missions et les pièces à fournir

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ICESCO félicite le monde islamique à l'occasion du nouvel an 1443 H

Tue, 08/10/2021 - 16:25

Rabat : 09/08/2021

L'Organisation du Monde Islamique pour l'Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO) a le plaisir d'adresser à tous ses États membres, ainsi qu'à toutes les communautés musulmanes partout dans le monde, ses plus sincères félicitations à l'occasion de l'avènement de la nouvelle année 1443 de l'Hégire, priant Dieu Tout-Puissant d'en faire une année de paix, de réalisation et de progrès et que les domaines d'action éducatif, scientifique et culturel connaissent davantage d'attention et de développement.

Dieu accorde la réussite.

Categories: Afrique

Le procès de l'Empereur Owolobè renvoyé en septembre

Tue, 08/10/2021 - 16:13

Le procès de l'Empereur Owolobè a été renvoyé au 7 septembre. Ce mardi 10 août 2021 au tribunal de Cotonou, certains accusés ont plaidé coupable.

L'empereur mondial de la confrérie Ogboni, Kabiessi Owo-lobè et huit de ses ministres doivent encore attendre pour connaitre leur sort. La victime n'était pas à la première audience au tribunal de Cotonou en raison de son état de santé. Selon l'avocat Me Filibert Béhanzin, son client serait toujours en soins intensifs. Le procès a été renvoyé au 07 septembre. A la barre, certains ministres de l'empereur ont plaidé coupable. Ils sont poursuivis pour coups et blessures volontaires et retournent en prison.

Placé sous convocation, l'empereur Kabiessi Owo-Lobè est poursuivi pour complicité de coups et blessures volontaires. Ils ont été interpelés le 18 juillet 2021, après la publication sur les réseaux sociaux d'une vidéo du jeune homme victime de flagellation dans le palais de l'empereur des Ogboni. Les faits remontent à la nuit du 22 au 23 juin dernier.

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Les réformes douanières exposées à la diaspora

Tue, 08/10/2021 - 14:28

Depuis 2016, de nombreuses réformes douanières ont été entreprises par le gouvernement béninois en vue de l'amélioration du climat des affaires. Ce dimanche 08 août 2021, les responsables du Ministère de l'Économie et des Finances notamment la Douane ont présenté lors d'un webinaire ces réformes à la diaspora béninoise à travers le Haut Conseil des Béninois de l'Extérieur (HCBE) et le réseau ID229.

« Régime douanier et procédures de dédouanement : Réformes engagées pour améliorer le climat des affaires au Bénin », tel est le thème qui a réuni en ligne des centaines de Béninois. Selon le Directeur Général de la Douane et des Droits Indirects Charles Sacca Boko, l'ambition est de faire de l'administration des douanes béninoises, l'une des plus modernes de la sous-région à l'horizon 2022 ; faire du Port de Cotonou une plateforme logistique innovante ; sécurisée et fiable au service des échanges internationaux et lutte plus efficace contre la fraude douanière et la corruption

Les réformes telles que la mise en œuvre du Programme de Vérification des Importations piloté par le partenaire technique Benin Control ; la dématérialisation des procédures de dédouanement ; la Gestion de l'Agrément des Commissionnaires en Douane ont été exposées aux participants. Ces derniers sont désormais aussi informés des réformes pour booster le commerce transfrontalier ; la création du Guichet unique du commerce extérieur etc.
Les réformes ont été saluées par les Béninois de la diaspora.

AAA

Categories: Afrique

2,210 tonnes de faux médicaments saisis

Tue, 08/10/2021 - 12:19

La douane béninoise a démantelé des sites de stockage de faux médicaments à Grand-Popo et à Kpomassè. 2,210 tonnes de produits pharmaceutiques illicites ont été saisis.

En exécution des ordres de service N˚073, 074 et 075 du 11 juillet 2021, les agents du service d'intervention rapide Mono/Couffo ont mis la main sur une importante quantité de produits pharmaceutiques illicites. Ils ont poursuivi le conducteur d'un véhicule chargé de produits pharmaceutiques jusqu'à sa destination à Adjaha, un arrondissement de Grand-Popo. De faux médicaments étaient stockés au domicile du conducteur. Ce dernier a réussi à s'enfuir.

Un autre site de stockage de faux médicaments du même présumé trafiquant a été démantelé à Sègbohouè, commune de Kpomassè. Les agents ont saisi dans le cadre de ces deux opérations, 1.302.100 comprimés, 9.181 flacons, 52.640 gélules et 8.400 ampoules soit 2,210 tonnes de faux médicaments.

A.A.A

Categories: Afrique

Les passeurs d'Agoué mènent une vie de misère

Tue, 08/10/2021 - 02:30

Sur la lagune Gbaga, un affluent du fleuve Mono, frontière fluviale entre Agoué au Bénin et Agouégan au Togo, outre la pêche, des piroguiers font passer des personnes et des biens. Cette autre activité économique menée par des passeurs devient plus intense les lundis, jours du marché ‘'Dzoda'', situé à Agouégan en territoire togolais.

Agoué, petite cité historique et balnéaire, est située entre l'océan Atlantique et la lagune Gbaga, un affluent du fleuve Mono qui constitue une frontière naturelle entre le Bénin et le Togo. Les habitants de cette petite ville s'adonnent à plusieurs activités économiques dont la pêche et le trafic sur la lagune Gbaga, une activité qu'on pourrait considérer comme la principale du point de vue de nombre de personnes qui s'y adonne. Et toute une organisation des acteurs encadre l'activité. ‘'Lorsque je suis de tour, déjà à 6 heures du matin, je suis à la berge pour commencer le travail et c'est parti pour 16 heures. Nous faisons traverser les personnes et les biens du Bénin vers le Togo et vice-versa. Et vers 16 heures, nous laissons généralement le tour à nos jeunes frères ou enfants qui continuent pour se faire un peu d'argent afin de subvenir à leurs besoins à l'école.'' Ainsi Amah Ayayi relate en quoi est constituée une journée d'un passeur à Agoué. Autrement dit, il n'est pas donné à tout le monde de mettre une pirogue sur la lagune et de commencer par faire passer les personnes et des biens. Il faut être donc membres de l'Association des Piroguiers d'Agoué pour le Développement (APAD) ou être fils du milieu. Et même avant d'adhérer à ce groupe, il faut être majeur et être initié à la nage et aux techniques de conduite des pirogues.

Une initiation s'impose

On ne naît pas piroguier, on le devient. En effet, il n'est pas donné à tout le monde de monter dans une pirogue et de commencer par ramer. C'est tout un art qui s'apprend afin d'acquérir les techniques nécessaire pour dompter les courants d'eau qui, des fois, sont forts et entrainent les non-initiés dans le décor. ‘'On ne se lève pas pour se mettre sur l'eau et devenir piroguier. C'est tout un processus et techniques qui se transmettent de père en fils, de génération en génération. En effet, avant de prendre la perche pour commencer par guider les pirogues, on t'initie à la nage. Pour arriver à maîtriser les techniques de nage, il faut généralement une à deux semaines. Ce n'est qu'après cette étape que tu peux apprendre à conduire les pirogues. Cette initiation dure généralement une semaine aussi'', raconte Eugène Kpadonou, un passeur membre de l'association à Ahossivito, un lieu d'embarquement à Agoué. Même si l'initiation à la nage se fait à tout âge, pour avoir l'autorisation de faire passer, on s'assure que les enfants aient d'abord un certain âge.
Passé l'étape d'initiation, le passeur entre dans la vie professionnelle jonchée de mille et une incertitudes.

Vie des passeurs, une vie des damnés !

La vie n'est sûrement clémente à personne est-on tenté de dire. Mais elle est pénible pour d'autres qui se tuent au quotidien à la tâche afin d'offrir le ‘'meilleur'' à leur famille. La vie des passeurs à Agoué n'est pas aisée et aucun d'eux ne se rabat pas seulement sur cette activité pour survivre. ‘'A première vue, on croit que nous vivons de cette activité. Mais pas du tout'', s'exclame Aman Ayayi. En effet, le quotidien de ces passeurs est bien périlleux. A en croire, Aman Ayayi, le gain annuel que cette activité leur donne est en moyenne 35.000 francs CFA. ‘'Le nombre que nous faisons fait que pour avoir un tour de garde, il faut un an voire un an et demi avant d'avoir à nouveau un autre tour. En effet, le bureau de l'APAD se charge de faire le calendrier et hebdomadairement, il y a trois personnes de garde. Le lundi étant le jour principal d'activité du fait du marché Dzoda, tous les trois travaillent ce jour-là. Et le reste des jours de la semaine chacun assure la permanence pendant 2 jours. A la fin de la semaine, quand on fait le point, tu peux t'en sortir avec 30 000 à 35 000 francs, si tu as la chance et s'en est fini pour l'année'', affirme-t-il. Son collègue Eugène Kpadonou renchérit qu'ils ne vivent pas du tout de cette activité. ‘'Comment peut-on vivre avec 35.000 francs par an avec une famille à nourrir ?'', se demande-t-il.
Il va sans dire que les passeurs sont obligés d'avoir d'autres cordes à leur arc. Car comme tout le monde, ils aspirent aussi à une vie meilleure pour leur famille. ‘'Pour parvenir à ouvrir une vie plus ou moins décente à nos progénitures, nous sommes bien obligés de nous lancer dans d'autres activités. Nous faisons les petits jobs qui nous tombent sous la main. Des fois, nous sommes travaillons comme manœuvres pour les maçons, ou si la saison est bonne, nous nous convertissons en pêcheurs. Beaucoup sont dans la production maraîchère. De toutes les façons, nous parvenons à joindre les deux bouts grâce à ces petit boulots sans lesquels nous serons simplement réduits au néant'', confie tristement Kokouvi, un jeune passeur à Kponou. ‘'C'est dur, très dur et même pénible la vie que nous menons. Mais on s'accroche et on rêve grand pour nos enfants'', conclut Aman Ayayi tout ému et les yeux pleins d'espoir d'un lendemain meilleur.
Toutefois, les lundis, jours de marché, chacun en trouve pour son compte. Ce qui leur permet de tenir dans la semaine vaille que vaille.
S'il est vrai que la vie des passeurs n'est pas facile, il n'en demeure pas moins vrai qu'ils sont très organisés au point de disposer d'une caisse communautaire pour répondre aux problèmes de développement de leur village.

Malgré tout, on pense au développement du village

La dureté de la vie n'a pas fait perdre de vue aux passeurs d'Agoué que le développement de leur localité dépend avant tout d'eux-mêmes. Et ils ont si bien compris que malgré les maigres ressources qu'ils tirent de cette activité, ils mettent quelque chose de côté pour répondre aux problèmes de leur village. ‘'Nous ne dépensons pas tout pour nous-mêmes quand nous sommes de tour dans la semaine. Une partie est réservée à la caisse de l'association'', indique Aman Ayayi.
Et ce qu'ils mettent de côté leur permet de répondre à certaines situations qui surgissent dans le village. ‘'L'Association des Piroguiers d'Agoué pour le Développement (l'APAD) intervient quand il y a des difficultés dans notre village. La dernière fois, quand ils ont appris que le Ceg Agoué devrait perdre son statut de centre d'examen de BEPC s'il ne dispose pas d'un groupe électrogène, l'APAD s'est pliée en 4 pour doter l'établissement de ce générateur. De même, elle a commencé la clôture dudit Ceg'', témoigne Edouard Akpaka, Secrétaire Général de l'Association de développement.
Comme l'indique leur dénomination, le développement est une priorité pour les piroguiers d'Agoué. Raison pour laquelle, ils implorent les autorités compétentes à leur venir en aide en créant un environnement favorable à d'autres activités génératrices de revenus.

Cokou Romain COKOU

Categories: Afrique

Les imams de Cotonou convoqués à la préfecture ce mardi

Tue, 08/10/2021 - 00:23

Les prières du vendredi que font les fidèles musulmans en occupant la voie publique sera au coeur d'une rencontre entre le préfet du Littoral, Alain Orounla et les imams du département.

Une séance de travail est prévue ce mardi 10 août 2021 à 10 heures entre le préfet du département du Littoral et les imams. « La séance a pour but d'harmoniser les réflexions sur le problème de l'occupation du domaine public par les fidèles musulmans lors des prières de vendredi », lit-on dans une correspondance en date du 9 août 2021 et adressée au Président de l'Union Islamique du Bénin et à l'attention de tous les imams du département du Littoral.
M. M.

Categories: Afrique

Human Rights Priority et Human Dignity échangent avec les OSC et les médias

Tue, 08/10/2021 - 00:18

Human Rights Priority (HRP-ONG) et Human Dignity mènent une mission conjointe de dix jours relative au suivi des recommandations faites au Bénin par le Comité des Droits Économiques et Sociaux Culturel lors de son examen en 2020. A cette occasion, les responsables des deux organisations ont échangé ce lundi 09 août 2021 à la Bourse du travail avec des organisations de la société civile et des professionnels des médias.

Le Comité des droits économiques, sociaux et culturels des Nations-Unies a lors de l'examen du troisième rapport périodique soumis par le Bénin au titre du Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels fait des recommandations liées aux droits des travailleurs, à l'éducation, à l'accès aux soins de santé, à la sécurité sociale etc. Deux organisations Human Rights Priority (HRP-ONG) au Bénin et Human Dignity basée en France ont entamé une mission de réévaluation de la mise en œuvre de ces recommandations notamment celles portant sur les droits à la santé et à la sécurité sociale.

La séance d'échange animée par Seynabou Benga, directrice de l'ONG Human Dignity et Péniel Agonsanou de Human Rights Priority a permis de recueillir des informations sur les progrès qui ont été faits par le Bénin pour faciliter l'exercice du droit à la santé et du droit à la protection sociale pour tous les Béninois et toutes les Béninoises. Les discussions ont été axées sur l'éducation sexuelle des femmes et des filles, l'accès aux soins de santé pour les plus vulnérables et les actions menées par les organisations pour accompagner l'Etat. Il est noté que la couche juvénile est plongée dans un manque d'éducation sexuelle. Le sujet reste encore tabou dans la société. Les organisations non gouvernementales ont relevé la nécessité pour l'Etat de faciliter les procédures permettant de faire connaitre la thématique de l'éducation à la sexualité aux écoles. Dans le domaine de la protection sociale, le gouvernement béninois a intensifié les mesures en faveur des plus vulnérables et renforcer le système d'assurance sociale à travers l'opérationnalisation du projet ARCH.

« Des efforts peuvent être encore faits notamment sur la mise en œuvre de ces droits. Il y a des textes, et des réformes qui ont été entreprises, maintenant il faut avancer sur la mise en œuvre effective de ces textes pour qu'ils puissent bénéficier au plus grand nombre », a confié Seynabou Benga.

Les deux organisations prévoient aussi d'échanger avec les autorités béninoises parmi lesquelles celles du ministère des affaires sociales pour discuter des mesures prises en matière de protection sociale et du droit à la santé.

« Nous allons également rencontrer la coopération suisse, visiter des sites agricoles et discuter du droit à la santé des agriculteurs concernant l'utilisation des pesticides », a-t-elle ajouté.
Le Comité des droits économiques, sociaux et culturels avait fait part de l'utilisation massive des pesticides dans la production de coton et dans les cultures vivrières, mettant en danger la santé publique

A la fin de la mission, les deux organisations vont rédiger un rapport qui sera transmis aux autorités béninoises, aux organisations de la société civile rencontrées et au comité des droits économiques sociaux et culturels.

A propos de l'ONG Human Dignity

Human Dignity est une association à but non lucratif œuvrant pour le respect des droits économiques, sociaux et culturels en Afrique subsaharienne. Basée à Paris (France), elle a pour objectif la réalisation pleine et entière des droits économiques, sociaux et culturels afin d'améliorer les conditions de vie des populations à travers la mise en œuvre du Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels et de la Charte africaine des droits de l'Homme et des Peuples.

A propos de l'ONG Human Rights Priority

L'organisation non gouvernementale de défense et de promotion des droits Humains, de promotion de la bonne gouvernance et de l'Etat de Droit en République du Bénin a été créée en 2018 au Bénin. Présidée par Miguèle Houéto, l'ONG Human Rights Priority, donne priorité aux droits Humains pour un Développement durable.
AAA

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Bénin Médical Santé (BMS) ouvre son premier showroom à Cotonou

Mon, 08/09/2021 - 23:05

Pour contribuer à l'amélioration de la santé des populations, le groupe Bénin Medical Santé (BMS) a ouvert son premier showroom spécialisé dans la vente et la location d'appareils orthopédiques et autres matériels médicaux au Bénin. L'ouverture officiel du centre a eu lieu ce vendredi 6 Août 2021 à Vèdoko à Cotonou, en présence de plusieurs acteurs de la santé et autres invités.

Ouvert ce vendredi 06 2021 Août à Cotonou, le tout nouveau showroom du groupe Bénin Médical Santé (BMS) offre une large gamme d'appareils orthopédiques et autres matériels médicaux.
A en croire M. Arthur Kinhouandé da Cruz, Directeur du groupe BMS, ce showroom est ouvert pour répondre de façon très pratique aux besoins des demandeurs, mais surtout pour permettre aux Béninoises et Béninois, d'avoir accès à des matériels médicaux de qualité en toute sécurité et en temps réel selon leurs capacités sans être obligés de les commander depuis l'étranger.
L'ouverture de ce centre au Bénin est pour les promoteurs, la chance de donner et d'apporter leur contribution aux efforts (du gouvernement et de tous les acteurs œuvrant dans le domaine) qui se font au plan national pour le mieux-être des populations.
« Dieu nous a beaucoup donné ma femme et moi. C'est donc notre tour de donner aussi et de contribuer par la même occasion à l'amélioration de la santé des populations béninoises au-delà de l'aspect financier. Si c'est pour se faire de l'argent, on n'aurait pas investi dans ce domaine. Notre but premier est de venir en aide à nos compatriotes et d'apporter notre contribution aux efforts qui se font au pays dans le secteur sanitaire et pour la santé des populations », a expliqué le Directeur Arthur Kinhouandé da Cruz.
Le couple a passé cinq années pour recenser les besoins de fournitures en appareils médicaux et orthopédiques et étudier le marché avant de se lancer dans ce projet financé sur fonds propres.
Lors de la cérémonie d'ouverture du showroom qui marque le démarrage effectif des activités du groupe BMS dont l'existence légale remonte à 5 ans, Dr Victor Hounkonnou, parrain des promoteurs, a, après avoir salué l'initiative, invité la population à adopter ce centre et à s'y rendre pour se procurer les matériels médicaux dont ils ont besoin.
« Ce centre est un plus pour le pays. Et au regard de ce que nous découvrons ici, nous pouvons dire que les responsables apporteront beaucoup à l'amélioration des prestations », a déclaré le Directeur de la gestion des équipements et de la maintenance Roland Lalèyè, représentant l'Agence des Infrastructures sanitaires des équipements et de la maintenance.
Le Secrétaire Général adjoint du ministère de la santé, M. Richard Gandaho, s'est réjoui également de l'ouverture dudit centre au Bénin et souligne que c'est une solution à la souffrance des agents de santé qui peinent parfois à trouver des matériels adéquats en un temps record pour soigner les malades. « Le médecin a besoin de certains intrants qu'il ne fabrique pas. Mais aujourd'hui nous sommes contents car le showroom de Bénin Médical Santé (BMS) est désormais là pour nous apporter tous les intrants dont nous aurons besoin », a-t-il confié.
Dans ce centre qui ouvre ses portes tous les jours de la semaine, on trouve entre autres des lits médicalisés électriques, des produits pour soins infirmiers, des semelles orthopédiques, des machines pour thérapie, des ceintures médico-chirurgicales, des tensiomètres.
Juliette MITONHOUN

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Un camion d'essence brûlé, 1 mort et 3 blessés

Mon, 08/09/2021 - 22:54

L'accident d'un camion chargé d'essence frelatée a provoqué d'importants dégâts ce lundi 9 août 2021 à Bembèrèkè.

Sur l'axe routier Bembèrèkè-Saoré, un camion transportant de l'essence de contrebande n'a pu franchir la montée de la source naturelle Kokourou au petit matin de ce lundi 9 août 2021. Le véhicule s'est renversé et a pris feu. Le camion est entièrement calciné.
Selon Fm Nonsina, une personne est morte dans l'incendie du camion. Trois autres occupants du camion, gravement blessés, ont été conduits à l'hôpital.
M. M.

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Deux femmes condamnées par la CRIET

Mon, 08/09/2021 - 20:30

Deux femmes ont été condamnées lundi 9 août 2021 par la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) à 5 ans de prison dont 3 ans avec sursis pour enlèvement de mineur et d'extorsion de fonds.

Les prévenues ont été jugées par la Criet pour des faits d'enlèvement de mineur et d'extorsion de fonds. Selon les informations rapportées par Banouto, Leocardie Vitoundji et Victorine Kpotochi ont été condamnées à 5 ans d'emprisonnement (3 ans avec sursis et 2 ans ferme) et à une amende d'un (01) million FCFA chacune.
Dame Léocardie Vitoundji a en complicité avec Victorine Kpotochi organisé l'enlèvement de son enfant afin de soutirer de l'argent à son époux.
AAA

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Le PAM apporte son appui pour soulager les populations vulnérables

Mon, 08/09/2021 - 20:30

Le Système des Nations Unies à travers le Programme Alimentaire Mondial (PAM) appuie techniquement et financièrement l'étude relative à l'Analyse Globale de la Vulnérabilité et de la Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle et Système Alimentaire au Bénin (AGVSAN-SA 2021). Ladite enquête va permettre au Bénin de disposer, d'ici fin décembre 2021, d'une base de données réelles actualisées sur la situation d'insécurité alimentaire et nutritionnelle puis des systèmes alimentaires au niveau national afin de mieux orienter et renforcer ses stratégies de lutte dans ce domaine pour l'atteinte de l'objectif « Faim Zéro ». Financée intégralement par l'Ambassade des Pays-Bas, l'AGVSAN-SA 2021 a été officiellement lancée ce vendredi 6 août 2021 à Golden Tulip à Cotonou.

« Pour être efficaces, les stratégies visant l'atteinte de l'objectif de « Faim Zéro » doivent se reposer sur une information stratégique fiable, représentative et actualisée concernant la prévalence de l'insécurité alimentaire et nutritionnelle, la localisation géographique, les causes de l'insécurité alimentaire et les caractéristiques des personnes touchées, tous aussi en lien avec les systèmes alimentaires ».
D'après le Coordonnateur résident du Système des Nations Unies (SNU) au Bénin, Salvator Niyonzima, c'est fort de cela que les Nations Unies appuient le Bénin pour l'actualisation et l'approfondissement de l'analyse conduite en 2017 sur l'insécurité alimentaire et nutritionnelle.
Dénommée « Analyse Globale de la Vulnérabilité et de la Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle et Système Alimentaire au Bénin (AGVSAN-SA 2021) », la nouvelle enquête lancée vendredi dernier à Cotonou est financée intégralement par l'Ambassade des Pays-Bas pour 615.900 dollars Us soit environ 340 millions de francs CFA.
Elle « vise à cartographier la situation de vulnérabilité et d'insécurité alimentaire et nutritionnelle d'une population donnée d'une part et d'analyser les dynamiques relationnelles entre les systèmes alimentaires à travers ses différentes composantes d'autre part », a indiqué le directeur de cabinet du Ministre de l'agriculture de l'élevage et de la pêche.
Le lancement de l'étude marque selon Dossa Aguêmon, un tournant décisif dans les interventions pour la mise en œuvre des Objectifs du développement durable (Odd) notamment l'Odd 2 qui vise à éliminer la faim, assurer la sécurité alimentaire, améliorer la nutrition et promouvoir l'agriculture durable à l'horizon 2030.

« Sécurité alimentaire, une exigence du développement »

Dans son discours de lancement, le directeur de cabinet a rappelé que la malnutrition au Bénin demeure préoccupante selon les résultats de l'Enquête de Démographie et de Santé (EDS) 2017. « La prévalence nationale de la malnutrition aiguë ou émaciation est de 5%. Près de 9,6% de la population, soit environ un million de personnes en insécurité alimentaire avec plus de 80.000 personnes à la phase sévère, selon l'AGVSA 2017 ».
« Nous constatons également pour notre pays depuis 2017 par rapport à l'enquête EDS, que le retard de croissance global est de 32% », ajoute la directrice de la statistique sociale de l'Institut national de la statistique et de la démographie (INStaD) au Bénin.
Quatre ans après, il est important de savoir où en est-t-on dans l'évolution des caractéristiques de la situation, selon l'Ambassadrice des Pays-Bas au Bénin, To Tjoelker-Kleve.
« Cette étude va identifier les principales causes et contraintes liées et fera une analyse approfondie des acteurs ; ainsi on pourra identifier les principaux leviers sur lesquels on pourra agir », a-t-elle renseigné. « Si nous arrivons à quantifier, à qualifier et à localiser les facteurs de l'insécurité alimentaire au Bénin, nous serons mieux équipés pour planifier les interventions destinées à soulager les populations vulnérables dans l'optique ‘'ne laisser personne de côté'' », dira le Coordonnateur résident du SNU.
L'AGVSAN-SA 2021 porte beaucoup d'innovations par rapport à celle réalisée en 2017. Ce sera une enquête autour de 26.000 ménages contre 15.000 en 2017 ; il y aura une meilleure exploitation des données pour vraiment avoir une analyse approfondie ; il y aura l'intégration du volet nutrition ; il y aura aussi une analyse plus sur les systèmes alimentaires ; une collaboration multi acteurs ; etc.
« L'analyse qu'on lance aujourd'hui va plus bien loin que seulement de mesurer la situation nutritionnelle. Elle veut analyser les systèmes alimentaires », affirme l'ambassadrice des Pays-Bas.
« L'étude doit être inclusive et participative afin que les informations collectées reflètent le vécu réel des populations et que la voix de tous les acteurs soit attendues. C'est une des conditions pour construire des actions qui engendreront des résultats », a-t-elle martelé.
Le souhait de l'Ambassade, a indiqué la diplomate, est que le rapport qui sortira vers la fin de l'année puisse nourrir l'actualisation des politiques, des stratégies et des actions en vue d'un mieux-être des ménages en général et d'une diminution de la vulnérabilité et de l'inégalité.

Juliette MITONHOUN

Categories: Afrique

Le procès de Hountondji et Tamégnon renvoyé au 25 octobre

Mon, 08/09/2021 - 19:41

À la barre de la CRIET ce lundi 9 août 2021, l'ancien ministre Alexandre Hountondji et l'ex directeur général de la Société de Gestion des Marchés Autonome (Sogema) Joseph Tamegnon, n'ont pas été fixés sur leur sort dans l'affaire de terrorisme pendant l'élection présidentielle d'avril 2021. Le dossier est renvoyé au 25 octobre prochain.

Le procès de Alexandre Hountondji et de Joseph Tamegnon a été renvoyé au lundi 25 octobre 2021. C'est à cette date que la Criet va se prononcer sur le dossier à l'instruction comme l'a demandé le ministère public et sur la demande de remise en liberté des prévenus déposée par les avocats.
Lors des débats à l'audience ce lundi 9 août 2021, l'ancien ministre Alexandre Hountondji et l'ex directeur général de la Sogema Joseph Tamegnon, ont fait savoir, tour à tour, au juge qu'ils ne se reconnaissent pas dans les faits. Il est reproché aux prévenus de s'être associés aux manifestations violentes des 6 et 7 avril 2021.
Selon le ministère public, les faits sont de nature criminelle, le dossier doit, de ce fait, être renvoyé en instruction. La Cour doit se déclarer « incompétente ».
La requête du ministère public n'est pas du goût de la défense qui l'a fait savoir.
Le juge a ordonné le renvoi du dossier au 25 octobre 2021.
L'ancien ministre Alexandre Hountondji et l'ex directeur général de la Sogema Joseph Tamegnon retournent ainsi en détention. Les deux prévenus sont membres du Groupe National de Contact de l'opposition.
M. M.

Categories: Afrique

Bénin : A Sêhômi dans le mono, le marché de troc menacé de disparition

Mon, 08/09/2021 - 19:00

Bien que l'argent soit aujourd'hui le moyen le plus courant par lequel les échanges commerciaux se font, il existe encore des endroits où les échanges se font de biens à biens. C'est le cas du village Sêhomi dans l'arrondissement de Possotomé situé dans la commune de Bopa, département du Mono.

Tel que défini, le troc est un système économique primitif, excluant l'emploi de monnaie. Il est de fait un échange direct d'un bien contre un autre. De nos jours ce système est pratiquement délaissé au profit d'échanges commerciaux incluant la monnaie. Pourtant dans certaines contrées du Bénin comme Sêhomi, ces pratiques ancestrales continuent. ‘'Ce marché, nous sommes venus le voir. Il s'anime depuis le temps de nos aïeux. Nous avons juste continué la pratique et nous pensons que nos enfants et les arrières de nos petits enfants continueront de l'animer aussi'', témoigne l'octogénaire André Noumon, chef du village Sêhomi 2.
Lucien Kadja, un guide de tourisme de la localité va dans le même sens. Il précise que personne ne peut dire avec exactitude quand ce marché a commencé par s'animer. ‘'Je ne peux pas déterminer l'année à laquelle ce marché a commencé par s'animer. Mais selon ce que j'ai eu comme information, c'est que ce marché s'animait depuis le temps de mes grands-parents sur la berge du lac Ahémé'', confie Lucien Kadja. A l'en croire, ce marché est tout aussi vieux que la création du village. En ce moment, raconte-t-il, le marché s'animait au bord du lac Ahémé. Mais la crue du lac a fait que les anciens se sont résolus à transférer le marché sur le lieu actuel un peu plus vers la terre ferme loin de la berge et depuis des lustres. Il n'y a pas de jours où les femmes n'animent pas ce marché spécial, précise Lucien Kadja.
Pour ce professionnel du tourisme, ce marché représente un attrait touristique qui attire bien de touristes curieux de voir en plein 21ème siècle un marché où la monnaie n'intervient pas dans les transactions.

Marché de troc de Sêhomi, un attrait touristique

Mardi 03 octobre, il est 18heures. Le soleil, dans le ciel de Sêhomi semble clément avec les dames du marché. Profitant de cet éclairage naturel, les femmes du marché de troc de Sêhomi vaquaient à leur activité du jour : échanger vivres contre vivres.

C'est dans cette ambiance que nous avons aperçu, dame Christine Dokonou qui venait aussi au marché avec son petit panier de poissons fumés. Dans son empressement, nous avons compris qu'elle avait pris du retard pour venir au marché. ‘'C'est depuis 17 heures que le marché s'ouvre normalement et si tu ne fais pas vite, tu risques de ne pas avoir de bons produits'', laisse-t-elle entendre quand nous l'avons abordé pour savoir pourquoi elle était si pressée.

En effet, le marché de troc de Sêhomi s'anime presque tous les jours à partir de 15 heures. Et la particularité c'est l'absence totale du numéraire dans les échanges. ‘'Ce qui nous particularise dans ce marché et qui attire les gens c'est que nous n'échangeons que des vivres.Nous les femmes de ce village, nous venons avec du poisson. Et les femmes des villages environnants tels que Dahè, Bakpodji…viennet avec les cultures vivrières. Les femmes viennent même du Couffo avec toutes sortes de vivres tels que le maïs, le riz, le haricot, le manioc, crincrin, noix de palme,…bref tous les produits agricoles. Et nous faisons les échanges en mesurant à notre manière les produits'', fait comprendre Chantal Todja, une troqueuse du marché.

Quand bien même ce marché résiste encore au temps, il est menacé de disparition si les dispositions idoines ne se prennent pas à temps

Menace de disparition

Deux menaces permanentes planent sur le marché de troc de Sêhomi. Il s'agit de la rareté des pluies qui font que les produits vivriers ne sont plus produits en quantité d'une part, et l'ensablement du lac Ahémé. En effet, le mardi 3 août 2021 par exemple, le marché n'a pu être animé parce que les bonnes dames qui devraient amener les produits agricoles n'étaient pas au rendez-vous. ‘'Comme vous pouvez le voir, nous sommes arrivés mais celles qui doivent venir avec les vivriers ne sont pas là parce qu'aujourd'hui c'est le jour d'autres marchés et donc elles ont sûrement préféré aller là-bas. Mais aussi, il faut aussi dire qu'à cause de la rareté des pluies cette année, la production agricole a substantiellement baissé. Donc les gens préfèrent vendre le peu qu'ils ont pour avoir un peu de numéraire plutôt que faire le troc. Et si cela doit continuer ainsi, nous craignons pour notre marché. Mais nos ancêtres sont avec nous'', explique dame Christine Dokonou.
Outre le problème de pluviométrie qui a réduit la production agricole, se trouve le problème de l'ensablement du lac Ahémé et, du coup, la pêche n'est plus rentable comme auparavant. Le lac n'étant plus profond, la reproduction des poissons n'est plus importante et ceci influe sur la quantité de poissons pêchée. ‘'Le lac n'est plus profond. Nous n'attrapons plus de poissons comme avant. Or la quantité de poissons pêchée est divisée en deux. Une partie est destinée à la vente pour nous permettre de subvenir aux besoins vitaux de nos familles et l'autre moitié est remise aux femmes pour le marché de troc afin de ramener le vivre nécessaire. Mais avec l'ensablement du lac, la pêche ne donne plus et moi j'ai peur pour l'avenir de ce marché'', laisse entendre Lucien Kadja.

La situation est vraiment préoccupante. Et il urge que des actions fortes soient menées par les autorités compétentes pour trouver solutions à ces deux facteurs qui menacent le marché de troc de Sêhomi de disparition. Car comme l'a stipulé Lucien Kadja, il est important que le ministère de l'agriculture les aide à désensabler le lac. L'avenir de ce marché, qui représente un attrait touristique pour le Bénin, en dépend.

Cokou Romain COKOU

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Rupture, reformes et justice

Mon, 08/09/2021 - 16:42

L'avènement au pouvoir du président Patrice Talon en Avril 2016, s'est accompagné, comme il l'avait du reste promis, d'une vague de reformes. Elles sont multiples et multiformes. Elles ont embrassé nombre de secteurs, tant de la vie politique, qu'économique et sociale. Au plan de la bonne gouvernance, la lutte implacable contre la corruption, a été le principal cheval de bataille, du nouveau Chef de l'Etat. Des actions ont été ainsi menées, dans plusieurs directions. On peut noter dans ce volet : la reforme institutionnelle, y compris l'élargissement de la carte judiciaire, avec pour principale innovation, la création d'une Cour de répression, des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) ; la révolution dans le système de gestion, et la rationalisation des dépenses publiques ; la mise en place d'un cadre des marchés publics, plus flexible et transparent…etc. Le Bénin est désormais doté d'une Cour des comptes ; d'une Caisse de dépôt et de consignations ; d'un Haut-commissariat à la prévention de la corruption…

Les auteurs de cet ouvrage, jettent d'abord un regard panoramique, sur l'ensemble des reformes initiées par Patrice Talon, avant de passer en revue, quelques grosses affaires emblématiques, de la lutte contre l'impunité, devenue depuis des lustres, un serpent de mer sous nos cieux. La justice, dans notre pays, étant souvent elle-même jugée, à l'aune du nombre de « gros poissons », ceci de tous les bords politiques, qu'elle est capable d'accrocher à son filet, cet ouvrage dresse une vue d'ensemble, des actions de la CRIET, de sa création à nos jours. Histoire de voir si, comme toute Révolution digne de ce nom, la Rupture est elle aussi capable, de « manger ses propres enfants ! » A découvrir donc…
M. T.

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Liste des pharmaciens autorisés à exercer en 2021

Mon, 08/09/2021 - 16:30

Les pharmaciens autorisés à exercer en 2021 au Bénin sont connus. La liste a été rendue publique par un document signé de la présidente l'Ordre National des Pharmaciens du Bénin Sylvie Chantal Alladayé Padonou.

Selon le décret N° 2019-500 du 13 novembre 2019 portant organisation et fonctionnement de l'Ordre National des Pharmaciens du Bénin en son article article 29, « Nul ne peut exercer la profession de Pharmacien au Bénin s'il n'est inscrit au tableau de l'Ordre. Aucun pharmacien ne peut appartenir à plus d'une section de l'Ordre à la fois ».
Les pharmaciens regroupés sous l'Ordre national des pharmaciens du Bénin sont inscrits sur un tableau comportant trois (03) sections.

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Le commissaire de Fidjrossè toujours en poste

Mon, 08/09/2021 - 16:00

Le commissariat de Fidjrossè dans le 12è arrondissement de Cotonou a lancé une contre-offensive contre les délinquants qui opéraient dans les quartiers. Une initiative à l'actif du commissaire principal Roberto Mignondé et de son équipe.

Robert Mignondé exerce toujours ses fonctions de commissaire principal du commissariat de Fidjrossè dans le douzième arrondissement de Cotonou.
Les informations faisant état de son limogeage il y a quelques jours ne sont pas fondées.
Le commissaire et son équipe ont renforcé les mesures de lutte contre l'insécurité qui sévit dans sa zone de couverture. Plusieurs divorcés sociaux qui opéraient dans l'arrondissement ont été mis hors d'état de nuire.

M. M.

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Micheline Adjovi interpelle les Chercheurs et Savants africains

Mon, 08/09/2021 - 13:21

Je vous avais annoncé le lancement du triplet ( trois ouvrages en Un) de la Romancière - Essayiste *Micheline Adjovi.* La cérémonie, initialement prévue pour le samedi 21 août est reportée au *dimanche 05 septembre 2021,* à Ouidah, à partir de 09h30. En attendant, je vous donne un avant - goût du premier des trois. _*Ouidah, fille légataire de l'Égypte antique*_. _Dans une envolée historique, l'auteur y lance...._

Lire les détails ici
https://beninlivres.org/la-recherche-en-histoire-dafrique-micheline-adjovi-interpelle-les-chercheurs-et-savants-africains/

*Par Esckil AGBO ©️ BENINLIVRES*

_#Beninlivres // #wasexo // #Beninrevele // #BeninDigital // #afrolivresque_

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La CEDEAO lance son plan d'action régional ce mardi

Mon, 08/09/2021 - 12:43

La Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) lance ce mardi 10 août 2021 à travers une conférence de presse virtuelle, son plan d'actions régional (2020-2021) pour la mise en œuvre de l'Offensive riz de l'organisation.

La forte dépendance à l'égard des importations de riz, la croissance démographique accrue, l'urbanisation massive et l'augmentation soudaine du coût du riz importé ces dernières années ont incité la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) à élaborer une initiative visant à relancer de manière durable et soutenue l'économie de la riziculture en Afrique de l'Ouest. Il s'agit de l'initiative “Offensive riz" ayant pour but de rendre opérationnelle la politique agricole de la CEDEAO (ECOWAP). C'est également une réponse régionale pour soutenir les stratégies nationales de développement de la riziculture (SNDR) afin d'atteindre l'autosuffisance en riz d'ici 2025.

Suite à une évaluation à mi-parcours de l'initiative en février 2020, la Direction de l'Agriculture et du Développement Rural de la Commission de la CEDEAO (DARD/CEDEAO), a développé un Plan d'Actions Régional pour accélérer la mise en œuvre de l'Offensive Riz de la CEDEAO.
Ce plan servira de complément à l'ECOWAP/CAADP, la politique agricole des 15 Etats membres de la CEDEAO. Le document a été validé par les représentants des 15 États membres et tous les acteurs clés de la chaîne de valeur du riz en Afrique de l'Ouest le 13 octobre 2020 via un atelier virtuel organisé par la CEDEAO, avec l'appui de partenaires.

Le plan d'actions régional et les activités présentés aux acteurs

Ce mardi 10 août, la Commission de la CEDEAO va présenter aux acteurs clés et aux parties prenantes le plan d'actions régional et les activités de mise en œuvre. L'organisation va aussi interagir avec la presse régionale sur les différentes initiatives pour atteindre l'autosuffisance en riz en Afrique de l'Ouest.
Les autres activités comprennent l'engagement des banques d'investissement et du secteur privé à soutenir l'Offensive Riz et la mise en œuvre du plan d'action.
La conférence de presse virtuelle sera animée conjointement par la Direction de l'Agriculture et du Développement Rural et soutenue par GIZ-CARI et le CORAF.
Le soutien des partenaires à la CEDEAO dans l'effort de mise en œuvre de l'Offensive régionale sur le riz et l'atteinte de l'autosuffisance en riz d'ici 2025 sera reconnu.

AAA

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