Les médias libres et indépendants diffusent au public des informations qui lui permettent de prendre des décisions éclairées ; ils demandent des comptes aux dirigeants ; et ils présentent des points de vues variés, le tout sans aucune influence du gouvernement.
Aux États-Unis, les journalistes ont le droit de couvrir l'actualité liée à la santé publique, d'interviewer les élus — parfois sans ménagements — et de soulever des questions controversées sans crainte de représailles.
« L'information et la connaissance sont des outils puissants, a déclaré le secrétaire d'État Antony Blinken, le 2 mai 2021, et une presse libre et indépendante est l'institution fondamentale qui relie le public aux informations dont il a besoin pour se défendre, prendre des décisions éclairées et faire en sorte que les responsables gouvernementaux assument leurs responsabilités. »
Les rédacteurs de la Constitution des États-Unis jugeaient la liberté de la presse si essentielle qu'ils l'ont inscrite dans le premier amendement à ce document dans le cadre de la Déclaration des droits (1791), qui garantit les droits fondamentaux des particuliers face aux potentiels excès du gouvernement.
Un homme politique, le doigt tendu vers des journalistes levant la main pour lui poser des questions (© Andrew Harnik/AP)
Les politiciens comme Chuck Schumer, pris en photo ici en 2021 lorsqu'il était encore chef de la majorité au Sénat, sont habitués à répondre aux questions incisives des journalistes. (© Andrew Harnik/AP Images)
Aux États-Unis, les médias sont parfois surnommés le « quatrième pouvoir », ou considérés comme la quatrième branche du gouvernement, aux côtés des pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire établis par la Constitution. L'expression « quatrième pouvoir » reflète le rôle officieux, mais largement accepté, joué par les médias dans la diffusion d'informations que les citoyens peuvent ensuite utiliser pour contenir le pouvoir du gouvernement.
Les informations fournies par les journalistes permettent aux citoyens de prendre des décisions en connaissance de cause sur une foule de questions allant du financement des écoles à la sécurité des produits alimentaires et pharmaceutiques, sans oublier le choix des candidats à des élections.
Par exemple, en ce qui concerne la question cruciale de la COVID-19, les journalistes américains ont expliqué ce qu'est le virus ; ils ont fait connaître les mesures déployées pour contenir la maladie ; ils ont partagé les meilleures pratiques pour éviter de la contracter ; et ils dénoncent la désinformation. En revanche, en Iran et en Chine, des journalistes ont été arrêtés, et leurs ordinateurs portables ont été confisqués, simplement parce qu'ils ont relaté la vérité sur la COVID-19. Certains journalistes ont même reçu des menaces de mort.
Les professionnels de la santé, comme ceux-ci, interviewés en Californie en 2020, sont d'importantes sources d'information pour les journalistes qui couvrent l'actualité liée à la COVID-19. (© Marcio Jose Sanchez/AP Images)
Une presse indépendante présente une diversité de voix et d'opinions, pas seulement celles qui arrangent les politiciens. Aux États-Unis, les journalistes d'investigation mènent des recherches approfondies sur des sujets importants pour découvrir des faits qui concernent les citoyens. Les journalistes américains couvrent des manifestations et des rassemblements de toutes sortes, sachant que leur travail est protégé par la Constitution. Dans des pays comme le Bélarus et la Russie, en revanche, les journalistes sont souvent harcelés, arrêtés et parfois tabassés parce qu'ils couvrent des rassemblements auxquels les dirigeants du gouvernement s'opposent
Les médias américains couvrent des manifestations à travers le monde, comme celle-ci à Washington en 2021. Le Premier amendement à la Constitution protège les journalistes aux États-Unis. (© Al Drago/Getty Images)
Aux États-Unis, les médias sont indépendants. Ils ne reçoivent pas de financements publics. La plupart des organes de presse tirent leurs revenus de la vente par abonnement ou de la publicité. Ce modèle contribue à l'indépendance de la presse par rapport au gouvernement.
Dans les pays où la liberté de la presse est limitée ou inexistante, le gouvernement est généralement propriétaire des médias, ou bien c'est lui qui décide quels médias peuvent opérer. Il censure fréquemment l'information. Et les voix dissidentes sont muselées.
C'est pourquoi le gouvernement des États-Unis fournit un soutien financier aux médias publics américains dans les pays qui restreignent la presse. Des organes de presse comme Radio Free Europe, Radio Free Asia et la Voix de l'Amérique diffusent des informations dans les langues locales dans des pays où les médias sont restreints ou inexistants. Ils emploient très souvent des journalistes locaux. Le gouvernement américain ne dicte ni ce que ces organes médiatiques doivent couvrir ni comment ils doivent le faire.
Plusieurs organisations surveillent l'état de la liberté de la presse dans le monde, dont le Comité pour la protection des journalistes, Freedom House et Reporters sans frontières.
« La liberté d'information est le fondement de toute démocratie. Pourtant, près de la moitié de la population mondiale n'a toujours pas accès à une information libre », souligne Reporters sans frontières sur son site web. « La liberté d'expression et d'information est la première des libertés. »
Un réseau de cybercrimnels de treize membres dont les deux cerveaux a été démantelé dans le département de l'Ouémé samedi 11 mars 2023.
L'Office Central de Répression de la Cybercriminalité (OCRC) a procédé à l'interpellation d'un chef cybercriminel ainsi que onze de ses membres à Atchoukpa, commune d'Avrankou dans le département de l'Ouémé.
Un autre membre du même réseau qui aide au retrait des fonds issus de l'activité criminelle a été arrêté à Porto-Novo.
L'opération menée par l'Office Central de Répression de la Cybercriminalité (OCRC) dans la matinée du samedi 11 mars 2023 a permis de saisir des matériels de connexion et une importante somme d'argent.
Les 13 cybercriminels présumés seront présentés au Procureur spécial près la Cour de Répression des Infractions Économiques et du Terrorisme (CRIET) dans les prochains jours.
M. M.
Un réseau de cybercrimnels de treize membres dont les deux cerveaux a été démantelé dans le département de l'Ouémé samedi 11 mars 2023.
L'Office Central de Répression de la Cybercriminalité (OCRC) a procédé à l'interpellation d'un chef cybercriminel ainsi que onze de ses membres à Atchoukpa, commune d'Avrankou dans le département de l'Ouémé.
Un autre membre du même réseau qui aide au retrait des fonds issus de l'activité criminelle a été arrêté à Porto-Novo.
L'opération menée par l'Office Central de Répression de la Cybercriminalité (OCRC) dans la matinée du samedi 11 mars 2023 a permis de saisir des matériels de connexion et une importante somme d'argent.
Les 13 cybercriminels présumés seront présentés au Procureur spécial près la Cour de Répression des Infractions Économiques et du Terrorisme (CRIET) dans les prochains jours.
M. M.
Élu député à l'Assemblée nationale, 9e législature, Nicaise FAGNON a décidé de quitter le conseil communal de Dassa. Il a rendu sa démission vendredi 10 mars 2023.
Nicaise FAGNON n'est plus membre du conseil communal de Dassa. Il a rendu sa démission ce vendredi 10 mars 2023. Ceci, après son élection en tant que député à l'Assemblée nationale, 9e législature.
Son suppléant, Léon AKPO, va donc siéger à sa place au sein du conseil communal.
Le remplaçant de Nicaise FAGNON est un acteur politique bien connu à Dassa. Enseignant à la retraite, il a occupé par le passé, les postes de chef de l'arrondissement central de Dassa, puis 2e adjoint au maire.
En démissionnant du conseil communal, Nicaise FAGNON se conforme aux lois de la République qui interdisent le cumul de fonctions électives.
F. A. A.
Élu député à l'Assemblée nationale, 9e législature, Nicaise FAGNON a décidé de quitter le conseil communal de Dassa. Il a rendu sa démission vendredi 10 mars 2023.
Nicaise FAGNON n'est plus membre du conseil communal de Dassa. Il a rendu sa démission ce vendredi 10 mars 2023. Ceci, après son élection en tant que député à l'Assemblée nationale, 9e législature.
Son suppléant, Léon AKPO, va donc siéger à sa place au sein du conseil communal.
Le remplaçant de Nicaise FAGNON est un acteur politique bien connu à Dassa. Enseignant à la retraite, il a occupé par le passé, les postes de chef de l'arrondissement central de Dassa, puis 2e adjoint au maire.
En démissionnant du conseil communal, Nicaise FAGNON se conforme aux lois de la République qui interdisent le cumul de fonctions électives.
F. A. A.
Le tribunal de première instance d'Abomey-Calavi ne pourra pas trancher l'affaire pédophilie sur de jeunes garçons. Le juge en charge du dossier s'est déclaré incompétent et renvoyé le dossier en instruction.
Poursuivis pour "actes de pédophilie sur de jeunes garçons", Juste Christian Kassouin et ses coaccusés retournent encore en prison. Le juge en charge du dossier s'est déclaré incompétent et a renvoyé le dossier en instruction. La décision a été prise à l'audience du 28 février 2023. D'après nos sources, le juge en prenant cette décision a suivi la réquisition du ministère public.
Les victimes de l'affaire pédophilie sont pour la plupart, de jeunes garçons âgés de 17 à 22 ans en situation de nécessité. Ils se font abuser des mis en cause qui en retour, leur donnent des billets de banque.
Le tribunal de première instance d'Abomey-Calavi ne pourra pas trancher l'affaire pédophilie sur de jeunes garçons. Le juge en charge du dossier s'est déclaré incompétent et renvoyé le dossier en instruction.
Poursuivis pour "actes de pédophilie sur de jeunes garçons", Juste Christian Kassouin et ses coaccusés retournent encore en prison. Le juge en charge du dossier s'est déclaré incompétent et a renvoyé le dossier en instruction. La décision a été prise à l'audience du 28 février 2023. D'après nos sources, le juge en prenant cette décision a suivi la réquisition du ministère public.
Les victimes de l'affaire pédophilie sont pour la plupart, de jeunes garçons âgés de 17 à 22 ans en situation de nécessité. Ils se font abuser des mis en cause qui en retour, leur donnent des billets de banque.
La domination continue sur la scène internationale pour le Sénégal.
Auteur d'un parcours sans faute lors de la CAN U20 en Egypte, les Lionceaux du Sénégal sont champions d'Afrique en remportant la finale de la compétition face à la Gambie sur le score de 2-0.
Cette victoire permet aux Lionceaux du Sénégal qui de prendre leur revanche sur les échecs des éditions précédentes en 2015, 2017 et 2019.
Le Sénégal est le champion de la CAN U20 2023
J.S
La domination continue sur la scène internationale pour le Sénégal.
Auteur d'un parcours sans faute lors de la CAN U20 en Egypte, les Lionceaux du Sénégal sont champions d'Afrique en remportant la finale de la compétition face à la Gambie sur le score de 2-0.
Cette victoire permet aux Lionceaux du Sénégal qui de prendre leur revanche sur les échecs des éditions précédentes en 2015, 2017 et 2019.
Le Sénégal est le champion de la CAN U20 2023
J.S
Face aux attaques terroristes au nord du Bénin, le gouvernement béninois a instauré un couvre-feu dans sept (07) communes du département de l'Alibori et de l'Atacora.
Couvre-feu dans sept communes du Bénin. Il est interdit la circulation des motos et piétons entre 19 heures et 6 heures du matin. Selon la décision du ministre de la décentralisation et de la gouvernance locale, Raphaël Akotègnon, les communes concernées sont : Banikoara, Karimama, Sègbana, Matéri, Cobly, Kérou, Tanguieta et dans les villages jouxtant les parcs W et de la Pendjari ainsi que les arrêts des Zones frontalières. La décision a été prise au terme d'une réunion interministérielle de revue des questions sécuritaires tenue, mardi 7 mars 2023. Dans un message radio, le ministre Akotègnon a invité les préfets des deux départements à prendre les dispositions nécessaires pour informer les populations de la décision tout en les sensibilisant. Ce, en collaboration avec les maires des 07 communes.
A.Ayosso
Face aux attaques terroristes au nord du Bénin, le gouvernement béninois a instauré un couvre-feu dans sept (07) communes du département de l'Alibori et de l'Atacora.
Couvre-feu dans sept communes du Bénin. Il est interdit la circulation des motos et piétons entre 19 heures et 6 heures du matin. Selon la décision du ministre de la décentralisation et de la gouvernance locale, Raphaël Akotègnon, les communes concernées sont : Banikoara, Karimama, Sègbana, Matéri, Cobly, Kérou, Tanguieta et dans les villages jouxtant les parcs W et de la Pendjari ainsi que les arrêts des Zones frontalières. La décision a été prise au terme d'une réunion interministérielle de revue des questions sécuritaires tenue, mardi 7 mars 2023. Dans un message radio, le ministre Akotègnon a invité les préfets des deux départements à prendre les dispositions nécessaires pour informer les populations de la décision tout en les sensibilisant. Ce, en collaboration avec les maires des 07 communes.
A.Ayosso
Chabi Léon AGUE, un militaire membre du groupe de sécurité de l'Assemblée nationale est décédé samedi 11 mars 2023 au Centre national hospitalier et universitaire Hubert Koutoukou Maga (CNHU-HKM) de Cotonou.
Deuil à l'Assemblée nationale du Bénin. Le caporal-chef, Chabi Léon AGUE n'est plus. Il a rendu l'âme ce samedi 11 mars 2023. Il est membre du groupe de sécurité du parlement.
Hospitalisé au Centre médico social de l'Assemblée nationale jeudi 09 mars, il a été transféré au CNHU-HKM de Cotonou pour une meilleure prise en charge. Mais le sort en a décidé autrement.
Le défunt fait partie de l'escorte du président de l'Assemblée nationale, Louis VLAVONOU.
Chabi Léon AGUE, un militaire membre du groupe de sécurité de l'Assemblée nationale est décédé samedi 11 mars 2023 au Centre national hospitalier et universitaire Hubert Koutoukou Maga (CNHU-HKM) de Cotonou.
Deuil à l'Assemblée nationale du Bénin. Le caporal-chef, Chabi Léon AGUE n'est plus. Il a rendu l'âme ce samedi 11 mars 2023. Il est membre du groupe de sécurité du parlement.
Hospitalisé au Centre médico social de l'Assemblée nationale jeudi 09 mars, il a été transféré au CNHU-HKM de Cotonou pour une meilleure prise en charge. Mais le sort en a décidé autrement.
Le défunt fait partie de l'escorte du président de l'Assemblée nationale, Louis VLAVONOU.
Chabi Léon AGUE, un militaire membre du groupe de sécurité de l'Assemblée nationale est décédé samedi 11 mars 2023 au Centre national hospitalier et universitaire Hubert Koutoukou Maga (CNHU-HKM) de Cotonou.
Deuil à l'Assemblée nationale du Bénin. Le caporal-chef, Chabi Léon AGUE n'est plus. Il a rendu l'âme ce samedi 11 mars 2023. Il est membre du groupe de sécurité du parlement.
Hospitalisé au Centre médico social de l'Assemblée nationale jeudi 09 mars, il a été transféré au CNHU-HKM de Cotonou pour une meilleure prise en charge. Mais le sort en a décidé autrement.
Le défunt fait partie de l'escorte du président de l'Assemblée nationale, Louis VLAVONOU.
La Cour constitutionnelle a ordonné la reprise de l'élection des membres des Bureaux des Commissions Permanentes de l'Assemblée nationale à l'exception du Président de chacune des cinq Commissions. C'est à travers une décision en date du 09 mars 2023.
À l'issue de l'examen des recours du parti d'opposition Les Démocrates, la Cour constitution a déclaré régulière la composition des commissions permanentes de l'Assemblée Nationale ; non fondées les demandes d'attribution à la minorité parlementaire les postes de Présidents et de vice président de commissions permanentes ainsi que des postes de rapporteurs dans ces commissions.
La Cour a, toutefois, ordonné la reprise des élections des bureaux des commissions permanentes de l'Assemblée Nationale, à l'exception de leurs Présidents.
L'INTÉGRALITÉ DE LA DÉCISION DE LA COUR
La Cour constitutionnelle a ordonné la reprise de l'élection des membres des Bureaux des Commissions Permanentes de l'Assemblée nationale à l'exception du Président de chacune des cinq Commissions. C'est à travers une décision en date du 09 mars 2023.
À l'issue de l'examen des recours du parti d'opposition Les Démocrates, la Cour constitution a déclaré régulière la composition des commissions permanentes de l'Assemblée Nationale ; non fondées les demandes d'attribution à la minorité parlementaire les postes de Présidents et de vice président de commissions permanentes ainsi que des postes de rapporteurs dans ces commissions.
La Cour a, toutefois, ordonné la reprise des élections des bureaux des commissions permanentes de l'Assemblée Nationale, à l'exception de leurs Présidents.
L'INTÉGRALITÉ DE LA DÉCISION DE LA COUR
Le Bénin à l'instar de 45 autres Pays moins avancés (PMA) a pris part du 05 au 09 mars 2023 à Doha au Qatar, à la 5e Conférence des Nations Unies sur les PMA. La délégation béninoise a été conduite par Mariam CHABI TALATA, vice-présidente de la République, représentant le chef de l'État.
Doha, la capitale du Qatar a abrité la 5e Conférence des Nations Unies sur les Pays les moins avancés. Cette rencontre a été l'occasion pour ce groupe de pays défavorisés et vulnérables, d'examiner les voies et moyens pour accélérer leur développement durable à travers notamment, la mise en œuvre du Plan d'Action de Doha, adopté en mars 2022, pour la décennie 2022-2031.
Dans le discours prononcé à cette occasion, la vice-présidente de la République, Mariam CHABI TALATA a partagé la vision du Bénin relative à l'importance de la transformation structurelle et du renforcement de la résilience ; deux éléments cardinaux, au cœur des progrès des Pays les Moins Avancés. Intervenant devant la plénière de la Conférence, Mariam Chabi TALATA selon une publication sur le site du gouvernement, a présenté un bilan des cinquante ans d'existence du Groupe des PMA et la mise en œuvre des différents programmes d'action. Elle n'a pas manqué d'évoquer les défis qui s'imposent à ce groupe de pays, notamment la mobilisation de financements concessionnels et structurants ainsi que le problème de la sécurité. La vice-présidente a, pour finir, lancé l'appel solennel du Bénin à tous les PMA pour des actions concertées. Le but visé à l'en croire, étant de relever conjointement et dans un esprit de responsabilité partagée, les défis communs. Au cours des travaux de cette conférence, elle a assuré la coprésidence d'une des huit tables rondes de haut niveau sur le thème : « Soutenir une sortie durable et irréversible de la catégorie des PMA ».
Membre de la délégation béninoise à cette conférence, le ministre des affaires étrangères et de la coopération, Aurélien AGBENONCI a participé à plusieurs réunions dont entre autres, la réunion sur la coopération sud-sud, afin de se remettre des impacts des crises en cours, renforcer la résilience et accélérer la mise en œuvre du Programme d'action de Doha ; la table ronde thématique de haut niveau consacrée à la mobilisation des ressources et au renforcement des partenariats mondiaux pour le développement durable dans les PMA ; etc. Cette 5e conférence a été l'occasion pour les PMA, de célébrer le cinquantenaire de leur groupe.
Les PMA regroupent aujourd'hui 46 pays dont 33 africains. Ils représentent environ 1,5 milliard d'habitants, soit environ 15 % de la population mondiale ; et ne contribuent que pour moins de 2 % au Produit Intérieur Brut (PIB) mondial, et pour environ 1 % au commerce international de marchandises.
Depuis la création du groupe des PMA, le Bénin a assuré 02 fois la présidence.
Le Bénin à l'instar de 45 autres Pays moins avancés (PMA) a pris part du 05 au 09 mars 2023 à Doha au Qatar, à la 5e Conférence des Nations Unies sur les PMA. La délégation béninoise a été conduite par Mariam CHABI TALATA, vice-présidente de la République, représentant le chef de l'État.
Doha, la capitale du Qatar a abrité la 5e Conférence des Nations Unies sur les Pays les moins avancés. Cette rencontre a été l'occasion pour ce groupe de pays défavorisés et vulnérables, d'examiner les voies et moyens pour accélérer leur développement durable à travers notamment, la mise en œuvre du Plan d'Action de Doha, adopté en mars 2022, pour la décennie 2022-2031.
Dans le discours prononcé à cette occasion, la vice-présidente de la République, Mariam CHABI TALATA a partagé la vision du Bénin relative à l'importance de la transformation structurelle et du renforcement de la résilience ; deux éléments cardinaux, au cœur des progrès des Pays les Moins Avancés. Intervenant devant la plénière de la Conférence, Mariam Chabi TALATA selon une publication sur le site du gouvernement, a présenté un bilan des cinquante ans d'existence du Groupe des PMA et la mise en œuvre des différents programmes d'action. Elle n'a pas manqué d'évoquer les défis qui s'imposent à ce groupe de pays, notamment la mobilisation de financements concessionnels et structurants ainsi que le problème de la sécurité. La vice-présidente a, pour finir, lancé l'appel solennel du Bénin à tous les PMA pour des actions concertées. Le but visé à l'en croire, étant de relever conjointement et dans un esprit de responsabilité partagée, les défis communs. Au cours des travaux de cette conférence, elle a assuré la coprésidence d'une des huit tables rondes de haut niveau sur le thème : « Soutenir une sortie durable et irréversible de la catégorie des PMA ».
Membre de la délégation béninoise à cette conférence, le ministre des affaires étrangères et de la coopération, Aurélien AGBENONCI a participé à plusieurs réunions dont entre autres, la réunion sur la coopération sud-sud, afin de se remettre des impacts des crises en cours, renforcer la résilience et accélérer la mise en œuvre du Programme d'action de Doha ; la table ronde thématique de haut niveau consacrée à la mobilisation des ressources et au renforcement des partenariats mondiaux pour le développement durable dans les PMA ; etc. Cette 5e conférence a été l'occasion pour les PMA, de célébrer le cinquantenaire de leur groupe.
Les PMA regroupent aujourd'hui 46 pays dont 33 africains. Ils représentent environ 1,5 milliard d'habitants, soit environ 15 % de la population mondiale ; et ne contribuent que pour moins de 2 % au Produit Intérieur Brut (PIB) mondial, et pour environ 1 % au commerce international de marchandises.
Depuis la création du groupe des PMA, le Bénin a assuré 02 fois la présidence.
Trois artistes béninois exposent leurs œuvres à l'Institut Français du Bénin, du 10 au 25 mars 2023. Ce sont des artistes soutenus par le ministre Jean-Claude Houssou et son épouse.
‘'Regard sur une collection privée'' avec des œuvres de Eric Hêdiblè, Sébastien Boko, Wabi Dossou à l'Institut Français de Cotonou. Le vernissage a eu lieu ce jeudi 9 mars 2023. Les artistes sont accompagnés par Jean-Claude Houssou et son épouse. Selon le ministre Jean-Claude Houssou, les artistes peuvent se nourrir de leur art aujourd'hui au Bénin grâce à la dynamique insufflée par le président Patrice Talon dans le secteur culturel. Au-delà des constructions des infrastructures majeures pour l'art et la culture, indique-t-il, c'est aussi des programmes de détection des talents, pour faire en sorte que ce levier de développement fonctionne dans notre pays.
« Je voudrais vous dire quel attachement mon épouse et moi avons pour la culture et surtout la détection de talents », a affirmé le ministre. Le couple Houssou a découvert le potentiel des artistes Eric Hêdiblè, Sébastien Boko, Wabi Dossou depuis plusieurs années. A l'en croire, ce sont des artistes talentueux et ambitieux. Les artistes ont amélioré leurs œuvres au fil des ans. « Nous avons constaté également que notre pays regorge de talents qui ne cherchent qu'un petit coup de pouce pour éclore », a confié le ministre de l'Energie.
Pour l'Ambassadeur de France, Marc Vizy, « ce sont des œuvres d'art qui sont en synergie ».
« Pourquoi ont-ils choisi telle pièce ou telle autre... Ça aide aussi à découvrir la personnalité des collectionneurs », a-t-il affirmé. Le diplomate soutient que le ministre Jean-Claude Houssou et son épouse sont de véritables mécènes. Le diplomate a apprécié la démarche du couple Houssou qui s'inscrit dans la vision du gouvernement de Patrice Talon ; celle de faire de la culture, un véritable axe de développement.
Au nom des artistes, Sébastien Boko, sculpteur sur métal et sur bois a remercié le couple Houssou, l'Ambassadeur de France ainsi que l'Institut Français du Bénin pour tout leur accompagnement. Originaire d'Agonlin-Covè, il est aussi peintre. Ces œuvres magistrales évoquent, à travers les Egungun, la place des femmes dans les sociétés africaines. Il a reçu de nombreuses distinctions au niveau international.
L'artiste peintre Eric Hêdiblè est d'Abomey. Ses fresques s'inspirent des faits de société tels que la vie en famille, le destin, l'union, la femme au foyer etc. Le troisième artiste Wabi Dossou est aussi sculpteur sur bois. Il travaille depuis 2007 sur des créations relatives aux tresses et aux coiffures féminines, pour valoriser la beauté africaine. L'exposition ‘'Regard sur une collection privée'' est ouverte au public jusqu'au 25 mars 2023.
Akpédjé Ayosso
Trois artistes béninois exposent leurs œuvres à l'Institut Français du Bénin, du 10 au 25 mars 2023. Ce sont des artistes soutenus par le ministre Jean-Claude Houssou et son épouse.
‘'Regard sur une collection privée'' avec des œuvres de Eric Hêdiblè, Sébastien Boko, Wabi Dossou à l'Institut Français de Cotonou. Le vernissage a eu lieu ce jeudi 9 mars 2023. Les artistes sont accompagnés par Jean-Claude Houssou et son épouse. Selon le ministre Jean-Claude Houssou, les artistes peuvent se nourrir de leur art aujourd'hui au Bénin grâce à la dynamique insufflée par le président Patrice Talon dans le secteur culturel. Au-delà des constructions des infrastructures majeures pour l'art et la culture, indique-t-il, c'est aussi des programmes de détection des talents, pour faire en sorte que ce levier de développement fonctionne dans notre pays.
« Je voudrais vous dire quel attachement mon épouse et moi avons pour la culture et surtout la détection de talents », a affirmé le ministre. Le couple Houssou a découvert le potentiel des artistes Eric Hêdiblè, Sébastien Boko, Wabi Dossou depuis plusieurs années. A l'en croire, ce sont des artistes talentueux et ambitieux. Les artistes ont amélioré leurs œuvres au fil des ans. « Nous avons constaté également que notre pays regorge de talents qui ne cherchent qu'un petit coup de pouce pour éclore », a confié le ministre de l'Energie.
Pour l'Ambassadeur de France, Marc Vizy, « ce sont des œuvres d'art qui sont en synergie ».
« Pourquoi ont-ils choisi telle pièce ou telle autre... Ça aide aussi à découvrir la personnalité des collectionneurs », a-t-il affirmé. Le diplomate soutient que le ministre Jean-Claude Houssou et son épouse sont de véritables mécènes. Le diplomate a apprécié la démarche du couple Houssou qui s'inscrit dans la vision du gouvernement de Patrice Talon ; celle de faire de la culture, un véritable axe de développement.
Au nom des artistes, Sébastien Boko, sculpteur sur métal et sur bois a remercié le couple Houssou, l'Ambassadeur de France ainsi que l'Institut Français du Bénin pour tout leur accompagnement. Originaire d'Agonlin-Covè, il est aussi peintre. Ces œuvres magistrales évoquent, à travers les Egungun, la place des femmes dans les sociétés africaines. Il a reçu de nombreuses distinctions au niveau international.
L'artiste peintre Eric Hêdiblè est d'Abomey. Ses fresques s'inspirent des faits de société tels que la vie en famille, le destin, l'union, la femme au foyer etc. Le troisième artiste Wabi Dossou est aussi sculpteur sur bois. Il travaille depuis 2007 sur des créations relatives aux tresses et aux coiffures féminines, pour valoriser la beauté africaine. L'exposition ‘'Regard sur une collection privée'' est ouverte au public jusqu'au 25 mars 2023.
Akpédjé Ayosso