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24 Heures au Bénin

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Une session criminelle ouverte à Lokossa

Mon, 11/04/2019 - 21:59

La première session criminelle de l'histoire du tribunal de première instance de deuxième classe de Lokossa s'est ouverte ce lundi 04 novembre 2019. Au cours d'une conférence animée en fin de semaine écoulée, le procureur de la République, Raynier Florent Gnansomon a annoncé que 15 dossiers sont inscrits au rôle de cette session dont les travaux vont durer 13 jours.
Il s'agit des cas d'atteinte volontaire à la vie, de viol sur mineur et de parricide.
Selon le procureur de la République près le tribunal de Lokossa, le crime d'assassinat passe en tête des faits répréhensibles suivi du crime de viol.
32 accusés dont 27 en détention vont comparaître au cours de ladite session.
Dans leur rang, on note la présence de deux femmes.
Les travaux de cette session criminelle prendront fin le 22 novembre prochain.

F. A. A.

Categories: Afrique

« Elle a été faite dans l'intérêt supérieur de la Nation » (He Akpovi)

Mon, 11/04/2019 - 20:55

Le vendredi 1er novembre 2019, les députés de la 8ème législature ont adopté à l'unanimité la loi nº2019-40 portant révision de la constitution.
Dans un entretien réalisé par l'Agence Bénin Médias, le Journal Collines Info et La Voix du Sud, l'honorable Eustache Akpovi, élu de la 9ème circonscription électorale a expliqué les raisons ayant conduit au vote de la révision de la Constitution. Il n'a pas manqué de relever quelques grandes innovations de cette loi et invité le peuple béninois à faire confiance au président Patrice Talon.

Selon Eustache Akpovi, le vote de la révision de la Constitution est intervenu à la suite des recommandations issues du dialogue politique organisé les 10, 11 et 12 Octobre 2019 parmi lesquelles figure l'organisation des élections générales. « Nous avons estimé qu'avec la proximité de la période électorale pour les élections municipales et communales, il est impérieux que nous faisions vite sinon, nous risquons de tomber sous le coup de loi qui stipule que toute disposition électorale doit être prise six mois avant les élections », a-t-il déclaré.
Les élections générales étant programmées pour 2026, les partis de l'opposition comme les Fcbe ayant pris part à ce dialogue politique ne voient pas l'urgence de la révision.
Selon l'élu de la 9ème circonscription électorale, « Les Fcbe, lors des discussions avaient accepté le principe des élections générales et dans le cas d'espèce, pour avoir ces élections générales, nous sommes dans l'obligation de toucher à la constitution (...) ». Moi, poursuit-il, je ne veux pas que les gens continuent de raconter des bêtises.
L'honorable Akpovi rappelle que les lois sur la charte des partis politiques et du code électorale ont été votées à une large majorité en présence des députés de la 7ème législature. « Comment se fait-il que ces mêmes députés se retrouvent après dans une position de remise en cause de l'application de ces lois votées ? Je trouve que ces opposants sont en train de faire de la diversion. Ils ont perdu le temps et n'ont pas pu remplir les formalités pour participer aux élections », a-t-il affirmé.
Pour M. Akpovi, « même s'ils ne sont plus députés aujourd'hui, ils doivent revoir leur politique ».
L'élu du peuple conseille aux opposants de s'apprêter pour les élections municipales qui se pointent à l'horizon. « Qu'ils s'organisent, ils peuvent avoir leur mot à dire pour revenir sur l'échiquier politique national. Pas question de remettre en cause la 8ème législature. L'opposition doit passer à autre chose », a-t-il déclaré.
C'est pourquoi, confie le député Eustache Akpovi, « j'ai tellement encouragé les actuels responsables des Fcbe qui ont compris qu'ils ne peuvent pas continuer à se sacrifier au profit de certains acteurs politiques de leur parti qui se retrouvent en exil parce qu'ils refusent de répondre pour des dossiers dans lesquels ils sont impliqués ». D'après l'honorable, le dialogue politique qui a abouti à des recommandations consensuelles était pour la décrispation de la crise.
L'élu de la 9ème circonscription électorale a indiqué que « le président Talon a été sincère dans sa démarche pour la révision et les députés aussi ». « Les populations en général, ont toujours peur d'une révision de la constitution parce qu'elles pensent que l'initiateur qui est le chef de l'Etat pourrait manœuvrer pour s'éterniser au pouvoir. Mais ici dans le cas d'espèce, à propos des articles qui ont été modifiés, l'article 42 par exemple, il est bel et bien précisé que personne de sa vie, n'exercera plus de deux mandats en tant que président de la République, et nous sommes allés beaucoup plus loin en précisant que cette révision constitutionnelle ne fait pas appel à la naissance d'une nouvelle République parce que nous n'avons pas modifié le préambule de la Constitution », a-t-il expliqué.
« La révision n'a pas été faite dans l'intérêt personnel du président Patrice Talon. Elle a été faite dans l'intérêt supérieur de la Nation. Patrice Talon ne pourra pas faire au-delà de deux mandats », souligne l'honorable Akpovi.
Selon lui, la révision de la Constitution a permis d'œuvrer « pour la promotion de la gente féminine à travers une disposition pour l'aider à connaître une émergence politique », la création de la Cour des Comptes qui « constitue une mesure de contre-pouvoir à l'Exécutif en matière de gestion des finances publiques. « Je crois que avec la nouvelle constitution, le Bénin a fait un grand pas pour son émergence économique », a-t-il indiqué.
Concernant les corrections à apporter au code électoral et la Charte des partis politiques qui ont fait objet de polémiques aux législatives passées, le député annonce que la 8ème législature se penchera sur deux dispositions du code électorale et la loi sur la Charte des partis politiques dans les prochaines semaines. « Nous allons assouplir un peu les conditions de ces différentes dispositions législatives pour permettre à tout le monde d'avoir la possibilité d'aller aux élections prochaines », informe l'honorable.
Eustache Akpovi invite le peuple béninois à la sérénité, à la culture de la paix, à faire confiance aux députés de la 8ème législature et aussi au président Patrice Talon.
A.A.A

Categories: Afrique

04 marins enlevés au large de Lomé

Mon, 11/04/2019 - 20:50

Après l'attaque d'un cargo norvégien en rade du port de Cotonou samedi dernier, le port de Lomé a enregistré ce lundi 04 novembre 2019, l'attaque d'un cargo pétrolier. Quatre marins dont deux Philippins, un Grec et un Géorgien ont été enlevés non loin du port de Lomé.

Le tanker Elka Aristotle battant pavillon grec a été attaqué aux environs de 03h 00 à 10 nautiques, soit environ 18 km du port de Lomé par des individus armés. Selon un communiqué de la préfecture maritime togolaise, « la garde armée qui avait été embarquée à bord de ce navire a tenté de repousser les brigands ».
Sur les 24 membres de l'équipage, les ravisseurs ont réussi à s'enfuir avec 04 otages dont deux Philippins, un Grec et un Géorgien.
L'un des membres de l'escorte armée a été blessé par balle, selon les informations.
La marine togolaise a lancé une patrouille sur zone.
Une enquête a été ouverte par la gendarmerie maritime sous la direction du Parquet de Lomé.
Au Bénin, le navire Bonita a été attaqué samedi 2 novembre dans la zone de mouillage du port de Cotonou par des pirates armés à 16 kilomètres des passes d'entrée du port. Des ravisseurs non encore identifiés ont enlevé 09 marins philippins dont le commandant sur les 19 membres de l'équipage.
Les enquêtes se poursuivent avec la tenue de réunions de crise par les forces navales.

A.A.A

Categories: Afrique

Le Bénin parmi les 10 premiers importateurs de la Mauritanie

Mon, 11/04/2019 - 18:58

L'Office national de la statistique mauritanien a fait part des échanges commerciaux avec les pays africains et autres.
Pour le compte du 2eme trimestre 2019, le Bénin a importé des marchandises pour une valeur de 938,9 millions FCFA.
Les produits importés sont les métaux et les minéraux, les produits de la pêche et autres.
Le Bénin fait partie des 10 premiers pays africains importateurs de produits mauritanien.
La valeur des exportations de la Mauritanie d'avril en juin 2019 est de 0.2 % pour le Bénin.
Le montant des transactions est estimé à 59,6 millions ouguiya, soit 938,9 millions FCFA représentant uniquement les importations avec 4 015 tonnes de marchandises à destination du Bénin pour le deuxième trimestre de 2019.
Les produits importés par le Bénin sont les poissons frais, réfrigérés ou congelés pour une valeur de 917,3 millions FCFA. Concernant les autres produits exportés par la Mauritanie, ils pèsent 84 tonnes et sont estimés à 21,6 millions de FCFA.
S'agissant des importations de la Mauritanie, elles proviennent principalement de l'Algérie (28,0%), du Royaume du Maroc (23,9%), du Togo (14,6%) et du Mali (9,5%).
Les exportations africaines sont constituées essentiellement de produits alimentaires, de biens d'équipement, de produits pétroliers et de matériaux de construction.
L'Office National de la Statistique révèle que « Les échanges commerciaux de la Mauritanie avec le reste du monde sont en hausse (+56,5%) au terme du deuxième trimestre2019. Cette hausse trimestrielle est liée à celle des importations (+65,5%) et des exportations (+46,2%) ».
« La part de l'Afrique dans les échanges est évaluée à 9,2% au deuxième trimestre2019.
Les échanges se font principalement avec l'Algérie (19,0%), le Royaume du Maroc (16,2%), la Côte d‘Ivoire (15,9%) et le Togo (10,8%) », indique le rapport.
Selon le document, les exportations de produits de la pêche ont connu un bond de 40,7% au cours du deuxième trimestre 2019 et « la valeur de ces exportations s'élève à 13 250 millions MRU ». Les exportations de la Mauritanie vers les pays africains tels que Côte d'Ivoire, Nigéria, Cameroun, Mali, Afrique du Sud, Ghana, Togo, Congo, République Démocratique, Bénin, Congo (Brazzaville) et autres représentent au total 7% soit une somme de 2,2 milliard ouguiya, (34,6 milliards FCFA).

A.A.A

Categories: Afrique

WANEP-Bénin exprime ses inquiétudes

Mon, 11/04/2019 - 17:55

A travers une déclaration rendue publique lundi 04 octobre 2019, l'Ong WANEP-Bénin s'est prononcé sur la révision de la constitution du 11 décembre 1990 dans la nuit du jeudi 31 octobre au vendredi 1er novembre 2019 par les députés de la 8ème législature. L'organisation de la société civile dit avoir suivi avec « consternation, le processus de révision […] en procédure d'urgence par les 83 députés issus des législatives contestées d'avril 2019 et sur la base d'une proposition de loi modificative gardée secrète jusqu'à la fin du processus ».
Selon les membres de ce réseau, près de 30% des articles de la Constitution ont été révisés avec de « nouvelles dispositions de constitutionnalisation d'un vice-président et de renforcement des pouvoirs du Président de la République jamais discutées dans le pays. « Les caractéristiques de cette manœuvre donnent définitivement raison aux opinions qui soutiennent que les législatives d'avril 2019 ont été sciemment organisées, de manière non inclusive, pour servir cette cause de révision de la Constitution sans débat national et à l'unanimité d'un Parlement intégralement acquis à la cause de l'Exécutif », souligne la déclaration.
Pour ce regroupement d'acteurs de la société civile, les dénonciations des formations politiques non représentées au Parlement et des citoyens s'étant, à plus de 70%, abstenu lors des législatives d'avril 2019 révèlent que cette révision constitutionnelle n'apaise pas la situation de crise que traverse le pays depuis plusieurs mois.
« Le potentiel de renforcement de cette crise reste élevé pour les mois à venir », indique le WANEP-Bénin qui s'inquiète et alerte l'opinion nationale et internationale.

F. A. A.

Categories: Afrique

Les circonstances de la piraterie du navire Bonita

Mon, 11/04/2019 - 16:34

Piraterie au large du port de Cotonou

Le navire Bonita a été attaqué samedi 2 novembre dans la zone de mouillage du port de Cotonou par des pirates armés à 16 kilomètres des passes d'entrée du port. Des ravisseurs non encore identifiés ont enlevé neuf otages philippins.
Selon les informations publiées sur le site de RFI Afrique, le Cargo Bonita, battant pavillon norvégien arrivé en rade le 28 octobre a été attaqué samedi vers 3h30 du matin. « Il venait débarquer au port de Cotonou du gypse, une pierre à plâtre. Il était en rade et attendait d'être programmé pour le quai, quand derrière lui une petite embarcation est arrivée à vive allure », informe la même source.
Les pirates armés ont pris d'assaut le navire en y montant à l'aide d'une échelle. 08 membres de l'équipage plus le Commandant du navire ont été enlevés et emmenés dans leur embarcation. Les membres de l'équipage sont au nombre de 19 et tous de nationalité philippine.
Les pirates ayant procédé à l'attaque échangeaient dans la langue anglaise.
Sur les lieux, après l'alertée donnée par les agents de garde de la capitainerie du port, les forces navales béninoises n'ont trouvé que l'échelle utilisée par les ravisseurs.
« Le navire est maintenant à quai et les habitués du port disent qu'il est régulier à Cotonou », rapporte RFI.
A la date du dimanche 03 novembre 2019, il n'a pas eu d'autres informations sur les ravisseurs ni la position de otages.
Les enquêtes se poursuivent avec la tenue des réunions de crise par les forces navales. Il est possible que le président Patrice Talon prenne part à une de ses réunions ce lundi 04 novembre 2019.

A.A.A

Categories: Afrique

Près de 250 enseignants pour combler le déficit à Kandi

Mon, 11/04/2019 - 09:43

Un déficit de 247 enseignants dans la commune de Kandi. C'est le point fait jeudi dernier par le maire Abibou Orou Gani Bachabi lors de la tournée statutaire du préfet.
Après avoir exposé à l'autorité de tutelle les avancées enregistrées dans sa commune, le maire Abibou Orou Gani Bachabi a fait part des difficultés que rencontre sa cité.
Dans le secteur de l'éducation, il a évoqué le besoin pressant d'environ 227 enseignants au primaire et 22 à la maternelle, soit au total 247 dans les 112 écoles publiques que compte la commune de Kandi.

G.A.

Categories: Afrique

L'opposition doit jeter l'éponge ou passer la main

Sun, 11/03/2019 - 21:44

A quoi sert l'opposition politique sous le régime du Nouveau Départ et de la Rupture ? C'est la question que peut se poser tout citoyens en raison des échecs cuisants que connaissent les acteurs politiques béninois hostiles au mode de gouvernance du président Patrice Talon.
Pas la moindre victoire sur un champ de bataille politique.
Exclus de la course aux élections législatives d'avril 2019, ces acteurs composés essentiellement des anciens présidents Yayi Boni et Nicéphore Soglo, de l'homme d'affaires Sébastien Ajavon, de l'ancien ministre de la défense, Candide Azannaï et autres, ont clamé haut et fort qu'il n'y aura jamais d'élections sans l'opposition, que les députés élus au terme desdites élections ne seront jamais installés, qu'il n'y aura jamais de révision de la constitution. Mais tout ceci s'est déroulé sous leurs yeux sans qu'ils ne puissent remettre le processus en cause.
Etonné, le candidat malheureux à la présidentielle de 2016, Bertin Koovi, connu pour ses diatribes contre le pouvoir en place à travers ses audios sur les réseaux sociaux par une publication sur sa page Facebook, aurait invité les opposants béninois à redéfinir leur stratégie de lutte et de combat, ou tout simplement se mettre en retrait afin que le jeu politique, et ses acteurs soient redéfinis.
Face au pouvoir de Talon, « l'opposition n'a visiblement rien gagné […] pour le rétablissement et le renforcement de la démocratie au Bénin. La honte est trop. L'ennemi est redoutable », a regretté Bertin Koovi. Pour lui, l'heure n'est plus aux conférences de presse. Il s'agit plutôt de parler de lutte suivant le respect des règles démocratiques. « Ça suffit la phraséologie. Si la loi est contre le peuple, nous serons hors-la-loi », aurait-il écrit.
Il urge donc pour les opposants de changer de fusil d'épaule pour pouvoir véritablement faire face au pouvoir en place lors des prochaines consultations électorales.

F. A. A.

Categories: Afrique

Topanou se prononce sur la révision de la constitution

Sun, 11/03/2019 - 21:16

Le professeur Victor Topanou était sur les antennes de radio soleil FM ce dimanche 3 novembre 2019. Il a abordé la question de la révison de la constitution et le rôle du comité des experts qui a travaillé sur la réforme constitutionnnelle.
Le professeur Topanou a d'abord précisé que « Le comité technique n'était pas un comité constitutionnel ».
« Il y a eu un dialogue à la suite des législatives contestées. Malgré mes interventions, les élections ont eu lieu », a-t-il indiqué.
Victor Topanou ne voit pas l'importance pour lui de continuer la lutte puisque les élections ont eu lieu et l'Assemblée a été installée. « Ce n'est plus à moi de continuer la lutte mais les politiques », a-t-il précisé.
M. Topanou
estime que malgré tout, une ouverture a été laissée pour que la tension soit apaisée. « Ce n'est pas parce qu'on a dit qu'il y a une porte de sortie que cela soit étroite que je ne vais pas adhérer », a-t-il précisé.
« Lorsqu'on est allé au dialogue, le président a demandé que la mouvance désigne un rapporteur adjoint ainsi que l'opposition. En dehors du facilitateur, le professeur Dorothée Sossa et moi qui suis le rapporteur, il y a eu deux rapporteurs adjoints. C'est comme ça on a fonctionné », a rappelé le professeur.
Après les travaux, le chef de l'Etat a demandé à ce qu'un comité technique travaille pour transcrire les recommandations en propositions de loi. C'est ainsi qu'en plus des quatre membres, cinq ont été ajoutés. « Le comité technique est constitué de neuf membres en dehors des quatre du dialogue politique. Sur les neuf membres, cinq ont un acte de nomination. C'est au cours des travaux que la liste des neuf membres est venue et on nous a dit que c'est le ministre qui prendra l'acte », a-t-il ajouté.
Sur les questions de fond, le ministre Topanou souligne qu' « En ce qui concerne la loi d'amnistie, on a compris qu'avec la grâce présidentielle, certains ne pourront pas en bénéficier. C'est le cas du président Boni Yayi. Nous avions pensé qu'il faille prendre en compte tous ceux qui sont poursuivis dans le cadre des ces législatives contestées ». Ceci parce que la grâce présidentielle prend en compte ceux qui sont déjà condamnés alors que l'amnistie prend en compte tous ceux qui sont poursuivis.
Victor Topanou explique qu'il ne faut pas confondre la question de la responsabilité individuelle et celle de la responsabilité publique.
Le professeur n'a pas occulté la question des élections générales.
Ceux qui ont sorti cela se sont basés sur la raison financière et économique et le coût des élections qui n'est pas seulement valable à l'Etat mais aussi aux partis politiques, a expliqué le professeur.
Il souligne entre autres que « L'impact économique fait que presque tout est bloqué pendant la période électorale. Ainsi donc, pour arriver aux élections générales, il faut modifier l'article 4 de la constitution. Victor Topanou indique aussi que pour les élections générales,
« La contrainte, c'est en cas de décès du président où le président de l'Assemblée nationale conduit pendant trois mois pour organiser les élections ».
Aussi, note-t-on quand le président est poursuivi, le président de la Cour constitutionnelle prend et organise les élections en trois mois.
Cela va décaler l'idée des élections générales.
M. Topanou indique que c'est suite à cela qu' « On a pensé à trois schémas. Le président de l'Assemblée ou le président de la Cour conduisent le mandat jusqu'à la fin dans l'un ou l'autre des cas, soit on opte pour un poste de vice-président ».
Le professeur a évoqué aussi la question du parrainage. Pour lui, « Ça ne sera pas un moyen qui empêchera certains d'aller aux élections », simplement parce que la question de parrainage est étendue jusqu'aux maires.
Victor Topanou regrette l'image qui lui est collée à la suite du vote par l'Assemblée. « On est dans un pays où s'afficher aux côtés du président de la République est un crime. Ce n'est pas bien d'avoir ces perceptions », regrette-t-il.
Le professeur explique qu' « Une révision constitutionnelle est une question de forme et une question de fond. On s'est juste penché sur les questions de forme ».
« Malgré toutes les suspicions, quand le texte est parti, je priais pour qu'il revienne intact », a-t-il avoué.

G.A.

Categories: Afrique

9 personnes kidnappées dans l'attaque du navire Bonita

Sun, 11/03/2019 - 20:08

« Un acte de piraterie a été perpétré dans la zone de la rade du Port de Cotonou le samedi 2 novembre 2019 dans la matinée », informe la direction du Port Autonome de Cotonou.

Le communiqué précise que « Le navire Bonita, arrivé en rade le 28 octobre, a été attaqué à environ 9 miles de la passe d'entrée du port et 8 membres de l'équipage plus le Commandant du navire, ont été enlevés ».
La Capitainerie et le Commandant du Port ont été alertés.
Le Commandant de la Base Navale et le Commissaire Spécial du Port ont pris des dispositions pour l'intervention des Forces navales. Une enquête est ouverte par la Police judiciaire et une cellule de crise s'est réunie samedi à l'Etat-Major des Forces navales.
Le navire a accosté au poste 9 de Bénin Terminal, en vue de faire les contacts et l'audition des membres de l'équipage.
Les patrouilles sont renforcées sur les côtes béninoises.
Les autorités assurent que tous les moyens seront mis en œuvre pour retrouver les otages et leurs ravisseurs.
Bonita est un navire battant pavillon lettonien.

G. A.

Categories: Afrique

Un conflit intercommunautaire en gestation entre commerçants

Sun, 11/03/2019 - 18:20

La mesure protectionniste du Nigéria qui vise à fermer ses frontières terrestres avec les pays voisins n'est pas sans conséquence sur ces citoyens exerçant dans les pays de la sous-région. A Kumasi, une des grandes villes du Ghana, des magasins tenus par des Nigérians ont été fermés la semaine écoulée par les commerçants réunis au sein de GUTA (Ghana Union of Traders Association). Selon la législation de ce pays, le commerce de détails n'est pas ouvert aux étrangers. Pourtant, les Nigérians résidant dans ce pays s'adonnent à cette activité et vendent les produits parfois moins chers, rendant ainsi la concurrence difficile.
Dans un entretien accordé à l'AFP, le président du GUTA, Joseph Obeng, a dénoncé que « beaucoup de commerces, tenus notamment par les Nigérians, ne sont pas en règle ». « Nos membres sont agités car cela fait des années que l'on nous dit que les marchés illégaux vont être fermés mais ce n'est toujours pas le cas », a-t-il déploré. Les commerçants de Kumasi appellent le gouvernement ghanéen à prendre des mesures de rétorsion contre ces Nigérians.
Afin d'éviter tout incident diplomatique entre les deux pays, le ministre ghanéen du commerce, Carlos Ahenkorah a invité les membres du GUTA à éviter les blocages et les fermetures des commerces. « Leur économie est six fois plus importante que la nôtre, pourquoi aller à l'affrontement avec eux ?, s'interroge-t-il. Carlos Ahenkorah affirme être du côté de GUTA mais veut juste qu'on prenne le temps pour trouver une solution.
Depuis le 20 août dernier, le gouvernement du président Muhammadu Buhari a décidé de fermer ses frontières terrestres avec les pays voisins, violant les accords de la CEDEAO (Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest) sur la libre circulation des personnes et des biens. Une décision qui a eu de lourdes conséquences sur les économies des pays de la sous-région.
Aux dernières nouvelles, les autorités d'Abuja prorogent la fermeture des frontières jusqu'au 31 janvier 2020.

F. A. A.

Categories: Afrique

Les passionnés du livre et de la lecture ont lancé l'initiative « Lire ensemble »

Sun, 11/03/2019 - 18:19

Les passionnés du livre et de la lecture se sont retrouvés ce samedi 2 novembre 2019 au jardin des plantes à Porto-Novo pour la 1ère édition de l'initiative « Lire ensemble ».

L'objectif que vise l'initiative est d'exprimer d'une part la passion pour la lecture et surtout les bonnes écritures à travers les livres dans un monde où, le numérique via le smartphone influence les bonnes habitudes de lecture des ouvrages et d'autre part de retrouver le goût perdu de la lecture compte tenu le plus souvent des préoccupations quotidiennes.
Le principe est de se retrouver pour passer un peu de temps dans un espace où chacun avec son ouvrage se donne à la lecture, avec pour précaution d'oublier durant ce bout de temps consacré à la lecture, tous les outils modernes de communication.
Pour l'organisateur de l'événement, le journaliste Josaphat Dah-Bolinon, « le concept consiste à se débarrasser de son téléphone portable et ordinateur pour une lecture en continu de 3 heures d'horloge. Ce n'est qu'après ce temps qu'une discussion s'en suit pour la présentation de l'œuvre lue par chacun ».
Pour la 1ère édition de la lecture en communauté, Ils étaient un peu plus d'une dizaine de participants regroupés au jardin des plantes à Porto-Novo. Plusieurs corps professionnels y étaient. Notamment des écrivains, des journalistes et même un banquier. Tous avaient un point commun la passion pour la lecture dans les livres.
L'écrivaine et littéraire béninoise, Adélaïde Fassinou, initiatrice du projet a salué les participants surtout pour l'intérêt porté au projet en cette période où dame nature n'accorde pas un climat favorable dans un espace ouvert.
Mais la volonté affichée d'en faire une réussite annonce déjà la prochaine édition avec le principe de rotation dans les différentes villes du Bénin
« Nous nous retrouverons bientôt pour l'acte 2 de l'initiative. Mais déjà, le concept de rotation est adopté et toutes les villes du Bénin seront à l'honneur. C'est désormais parti pour des numéros à l'infini », a expliqué l'écrivain et vice-président du projet Denis Avimadjessi.
« Notre ardent désir, c'est d'enregistrer plus de participants les fois à venir », a vivement souhaité Cécile Avougnlankou, membre du comité d'organisation et responsable de fémicriture.
Les participants ont salué l'initiative et félicité les responsables pour cet espace de lecture et de partage en communauté autour des œuvres littéraires de son choix.

Marcel HOUETO

Categories: Afrique

Abdoulaye Gounou et Ibrahim Salami donnent leurs avis

Sun, 11/03/2019 - 18:13

Sur l'émission ‘'90 mn pour convaincre'' de la radio nationale ce dimanche 03 novembre 2019, le député Abdoulaye Gounou du Bloc Républicain et le professeur de droit, Ibrahim Salami se sont prononcés sur la révision de la constitution du 11 décembre 1990 intervenue vendredi 1er novembre 2019 avec les députés de la 8ème législature, 29 ans après son adoption.
Analysant les modifications ayant trait à la convocation du corps électoral et au parrainage des candidats à la présidentielle, Abdoulaye Gounou, estime qu'il s'agit des avancées importantes. Suivant les nouvelles dispositions de la loi, le chef de l'Etat ne pourra plus convoquer le corps électoral, a-t-il expliqué.
Se référant à tout ce qui se passe à la fin de chaque mandature, surtout à la fin du régime du général Mathieu Kérékou, le député estime que la suppression d'une telle disposition était devenue une contrainte. « On a voulu inscrire une certaines auto participé », a-t-il précisé.
Avec les nouvelles dispositions, la Cena selon lui, « s'engage d'elle-même au regard des dates fixées qu'il y ait de l'argent ou pas ». Pour Abdoulaye Gounou, « la démocratie n'a pas de prix ». La constitution insiste-t-il, a été révisée dans l'intérêt supérieur de la Nation, pour le meilleur fonctionnement des institutions, et pour le renforcement du système démocratique du Bénin. L'élu du Bloc Républicain a par ailleurs appelé les uns et les autres à lire le document et à éviter de s'emballer dans des diatribes et des injures.
« Une constitution, c'est une loi politique. Sa révision est aussi politique. Elle est plus politique que juridique », a souligné Ibrahim Salami, professeur de droit à l'Université d'Abomey-Calavi. Cette révision observe-t-il, est très importante avec 36 articles modifiés, et d'autres supprimés. Pour lui, le parlement s'est privé ou a été privé de réviser pendant 29 ans, et lorsqu'elle en a eu l'occasion, elle ne s'est pas privée. A en croire l'homme de droit, le régime politique béninois qui est un régime présidentiel n'a pas été dénaturé avec cette constitution.
Le poste de vice-président en soi existe dans beaucoup de régimes présidentiels. Citant l'exemple de la Côte d'Ivoire, il souligne qu'en dehors d'un poste de vice-président, il y a aussi un premier ministre qui est chef du gouvernement, et c'est toujours considéré comme étant un régime présidentiel.
Pour Ibrahim Salami, c'est chaque pays, chaque nation qui définit ce qu'il considère comme étant le régime qui lui convient le mieux. « On fera l'expérience, ça va peut-être nous plaire, ça va peut-être ne pas nous plaire, et à un moment donné, on fera le bilan et le texte dont on est entrain de débattre aujourd'hui peut ne pas être définitif », a-t-il confié.

F. A. A.

Categories: Afrique

Mme Tognifodé Mewanou prend part aux travaux d'Addis-Abeba

Sun, 11/03/2019 - 00:21

La ministre des Affaires Sociales et de la Microfinance, Mèdessè Véronique Tognifodé Mewanou à la tête d'une délégation a participé du 28 octobre au 1er novembre à Addis-Abeba (Éthiopie) à la Session du Comité Technique Spécialisé sur les questions de l'égalité homme/femme et de l'autonomisation économique des femmes.

Lors de la session, les participants de plusieurs pays se sont penchés sur les rencontres prévues pour l'année 2020. Il s'agit entres du 75e anniversaire des Nations Unies, du 5e anniversaire des ODD, du 25e anniversaire de la déclaration de Beijing et son programme, ainsi que la décennie de la femme.
Ils ont aussi abordé un point relatif à l'Agenda 2063 de l'Union Africaine.
Une synthèse des rapports des pays membres a été analysée et adoptée.
Au terme des travaux, plusieurs documents ont été adoptés tels que le rapport du Comité Technique Spécialisé, le rapport Beijing + 25, et la déclaration politique des pays membres de l'UA à la 64eme session du CSW (Sommet de la condition féminine).
En marge des travaux, la ministre Mèdessè Véronique Tognifodé Mewanou a échangé avec la Commissaire aux Affaires Sociales de l'Union Africaine. Les discussions ont porté sur la protection des enfants.
Aussi, la ministre a-t-elle pu obtenir des promesses de coopération et de renforcement de capacités des différents acteurs avec la Direction Genre et Développement.

A.A.A

Categories: Afrique

''Le Bénin est à sa troisième indépendance'' (A. Zinzindohoué)

Sat, 11/02/2019 - 22:47

La constitution du 11 décembre 1990 a été révisée ce vendredi 1er novembre 2019 après plusieurs tentatives infructueuses sous les régimes des présidents Mathieu Kérékou et Yayi Boni.

Un acte fort à l'actif des députés de la 8ème législature et du président Patrice Talon.
Invité sur les ondes de la radio nationale (ORTB) à se prononcer sur cette révision de la constitution longtemps querellée par les acteurs politiques béninois, l'ancien président de la Cour suprême et ancien ministre de la justice n'a pas caché son soulagement.
A travers cette révision, le Bénin est désormais sur l'orbite du développement et du décollage, a déclaré Me Abraham Zinzindohoué,
membre du parti Union Progressiste (UP).
Selon lui, cette réforme permettra de « moderniser la constitution, de l'adapter aux réalités du jour ».
« Notre modèle était démocratique mais il lui manquait l'efficacité économique. Avec ces amendements qui ont eu lieu, on peut dire que le Bénin a un modèle démocratique avec une efficacité économique », a expliqué Me Zinzindohoué. Rappelant être de ceux qui avaient écrit cette constitution, l'ancien président de la Cour suprême a regretté le blocage qu'elle a constitué pour tout le système socioéconomique et politique du pays. Un blocage que les députés de la 8ème législature ont réussi à débloquer, s'est réjoui le leader du parti UP. Pour lui, il s'agit d'un nouveau départ pour le Bénin.
A en croire l'ancien ministre de la justice, le pays est à sa troisième indépendance après celles de 1960, et de 1990, marquée par le Renouveau démocratique car, poursuit-il, c'est maintenant qu'on met le pays sur l'orbite du développement, de décollage.

F. A. A.

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La mairie de Cotonou lance la construction de 32 écoles

Sat, 11/02/2019 - 22:04

La mairie de Cotonou a décidé de construire quelques infrastructures scolaire dans le compte du budget communal, exercice 2019.
Le projet concernent 32 écoles. 25 sites sont identifiés pour abriter ces nouvelles infrastructures dont le délai de construction est de 04 mois.
Le maire de Cotonou par intérim Isidore Gnonlonfoun et le conseil communal ont décidé de combler le déficit en matière d'infrastructure.

Encadré

Les 25 sites retenus

1- EPP AVOTROU
2- EPP SURU LERE
3- EPP SENANDE 2
4- EPP KOWEGBO
5- EMP KPONDEHOU
6- EPP AGBATO
7- EPP AKPAKPA CENTRE
8- EMP GBENONKPO
9- EPP GBETO SUD
10- EPP HINDE 2/C
11- EPP SIKE SUD
12- EPP Ste Rita I
13- EPP SIKE NORD
14- EPP ZOGBO
15- EPP FIFADJI
16- ECOLE DES SOURDS
17- EPP GBEDAGBA
18- EPP GBEGAMEY 1
19- EPP GBEGAMEY SUD
20- EPP GBEGAMEY NORD
21- EPP HLAZOUNTO
22- EPP GBODJETIN
23- EPP YLOMAHOUTO
24- EPP MISSITE
25- EPP XWLACODJI A

G.A.

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Deux malfrats neutralisés à Cocotomey

Sat, 11/02/2019 - 20:23

Deux braqueurs ont été abattus dans la nuit de vendredi 1er novembre 2019, à Cocotomey par les éléments de la Police républicaine.
Les malfrats ont été neutralisés alors qu'ils préparaient une opération de braquage.
Le surnommé Gros bébé et son complice étaient sur le point d'arracher une moto Wave à une victime quand ils ont été repérés par une équipe de police en patrouille.
Ayant aperçu les hommes en uniforme, ils ont pris la fuite.
Dans la course poursuite, les divorcés sociaux ont ouvert le feu avec un pistolet de fabrication artisanale.
Dans leur riposte, les policiers ont réussi à les abattre.
Gros bébé est un repris de justice sorti de prison, il y a moins d'un mois. Il est soupçonné d'être l'auteur d'un braquage à Gbèdjromèdé, à Cotonou.

A.A.A

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La Soneb lance l'abonnement à coût réduit

Sat, 11/02/2019 - 19:18

Au regard de plusieurs difficultés des populations, le gouvernement, à travers la Soneb, a lancé l'initiative des branchements à coûts réduits. Une initiative qui auparavant avait permis à plusieurs ménages de revenus modestes d'avoir l'eau potable de la Soneb directement dans leur maison. Cette mesure revient de plus belle.
A travers un communiqué signé du directeur général de la Soneb, les populations sont invitées à s'abonner avec un coût plus réduit. « A la suite des investissements massifs réalisés par le gouvernement pour l'accès universel à l'eau potable au Bénin et dans le but de faciliter les abonnements aux services d'eau potable de la Soneb à toutes les couches de la population, la Soneb informe son aimable clientèle sur toute l'étendue du territoire national que les critères d'attribution des branchements à coût réduit ont été entièrement révisés », souligne le communiqué. Il s'agit de payer 50.000 FCFA en une fois pour avoir un compteur d'eau dans sa maison ou payer au moins 20.000 FCFA et les 30.000 FCFA restant à échelonner sur 10 mois maximum. Le Directeur Général de la Soneb rassure avoir pris toutes les dispositions pour faciliter les abonnements et les brachements.
G.A.

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L'assassin présumé d'un policier abattu

Sat, 11/02/2019 - 17:30

La Police républicaine a neutralisé dans la matinée de ce samedi 02 novembre 2019, à Azowlissè, un individu, qui serait l'auteur de l'assassinat d'un policier en 2018 dans la localité.
Désormais hors d'état de nuire, Adjimon Ahouanvoeke surnommé Anankpo était un repris de justice.
Le sieur Anankpo était recherché comme auteur de l'assassinat l'année dernière de l'agent de Police Adjovi, précédemment en service au Commissariat d'arrondissement d'Azowlissè.
Lors de son interpellation, il a ouvert le feu sur les forces de sécurité. La riposte des hommes en uniforme lui a été fatale, lors des échanges de tirs.
Selon les informations, la victime est fournisseur d'armes à feu à un grand réseau de malfaiteurs. Il serait aussi impliqué dans plusieurs opérations de braquage.
Les investigations se poursuivent pour interpeler les autres membres du réseau.

A.A.A

Categories: Afrique

Huit morts et un blessé grave dans un accident à Glo

Sat, 11/02/2019 - 12:36

Un grave accident de circulation est survenu ce samedi matin à Glo, dans la commune d'Abomey-Calavi faisant huit morts et un blessé grave. Selon l'information rapportée par Banouto, il s'agit d'une collision entre un véhicule de transport et un camion, qui s'est produit non loin de Cievra.
Le seul survivant parmi les victimes est conduit dans un état critique à l'hôpital.

G. A.

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