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24 Heures au Bénin

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Webzine, Quotidien Béninois indépendant, d'analyses et d'information en ligne
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Talon accueilli avec ferveur à Djougou

Tue, 11/17/2020 - 16:08

Le Chef de l'Etat poursuit sa tournée nationale dans les communes du Bénin. Il s'est rendu ce mardi 17 novembre 2020 dans la commune de Djougou.

Talon a été accueilli avec ferveur depuis l'entrée de la cité de Kpetoni jusqu'à l'École normale des instituteurs. La population de Djougou scandait, « " Talon 10 ans ! ", " Le Bénin en avant ! ».
La rencontre de reddition de compte a eu lieu à la salle de conférence de l'Ecole normale dets instituteurs. Patrice Talon a exposé les actions de développement menées ces dernières années. Pour le compte de cette 6e journée, le chef de l'Etat a également foulé le sol de Bassila.

A.A.A

Categories: Afrique

Le Bénin 2e dans l'Uemoa, 4e dans l'espace Cedeao et 13e en Afrique

Tue, 11/17/2020 - 12:15

La Fondation Mo Ibrahim a publié ce lundi 16 novembre, l'indice Ibrahim de la gouvernance en Afrique (IIAG) 2020. Le Bénin se positionne à la 13e place devant 41 pays africains.

Le Bénin a fait des progrès en matière de gouvernance. Il est classé à la 13e position sur 54 pays. Le Bénin totalise 58,6 points sur 100 avec une marge de progression de + 1.1 par rapport à 2010 à 2019.
Dans l'espace UEMOA, le Bénin est le deuxième pays puisque le Sénégal est 9e en Afrique avec 63.2 points et une marge de progression de +3.3 par rapport à 2010 à 2019. Il y a ensuite le Burkina-Faso (17e) ; la Côte d'Ivoire (18e) ; le Togo (25e) ; le Niger (28e) ; le Mali (31e) et la Guinée-Bissau (41e). Ces pays ont tous enregistré une marge de progression à l'exception du Mali (-2.5).
En général, la Fondation Mo Ibrahim a noté un recul de la gouvernance en Afrique. L'Indice Ibrahim de la Gouvernance Africaine encourage la gouvernance et le leadership afin d'accélérer la transformation du continent africain.

A.A.A

Categories: Afrique

L'Arcep-Bénin confie l'enquête annuelle de satisfaction à RightCom

Tue, 11/17/2020 - 12:05

L'entreprise RightCom a été choisie par l'Autorité de régulation des communications électroniques et de la poste du Bénin pour la conduite de l'enquête annuelle des entités régulées, des partenaires, des associations de consommateurs et des abonnés.

L'enquête permet de mesurer chaque année le niveau de satisfaction des clients. L'entreprise RightCom va conduire l'enquête qui prend en compte tous les acteurs et un échantillon d'abonnés des 77 communes du pays.
RightCom accompagne l'Arcep-Bénin avec son offre de services professionnels (conseil et gestion de projet) et ses produits RightSurvey (logiciel de sondage) et RightData (logiciel d'analyse de données).
RightCom est ravie « de contribuer à l'amélioration de l'expérience client dans le secteur des communications électroniques et de la poste du Bénin ».

A propos de RightCom

RightCom fournit aux organisations de toutes tailles des solutions d'expérience client SaaS qui donnent aux employés les données d'expérience en temps réel dont ils ont besoin pour fournir le meilleur service client. Les produits de la société comprennent RightSurvey, RightCare, RightQ, RightFlow, RightData, RightTime, RightPlayer. RightCom est leader en gestion d'expérience client en Afrique.

A.A.A

Categories: Afrique

Un enseignant séjourne en prison pour abus sexuel sur mineure

Tue, 11/17/2020 - 09:57

Un enseignant a été placé sous mandat de dépôt ce lundi 16 novembre 2020 pour abus sexuel sur mineure.

Âgé d'une cinquantaine, l'enseignant d'une école de Cotonou est accusé d'abus sexuel sur une mineure de 7 ans. Présenté au procureur de la République, informe Frissons Radio, il a été déposé en prison en attendant son procès.

A.A.A

Categories: Afrique

Talon rassure les populations de Kérou et environs

Tue, 11/17/2020 - 09:09

Plus de doute sur le démarrage des travaux de la route Djougou-Péhunco-Kérou-Banikoara. Le financement est déjà bouclé et les travaux pourront démarrer très bientôt. Le président de la République, Son Excellence Patrice Talon à l'occasion de sa visite dans la ville de Kérou ce dimanche 15 novembre 2020 a rassuré les populations.

« Je crois qu'il faut considérer que, globalement, Kérou est déjà désenclavé », a déclaré le chef de l'Etat. Pour lui, le projet de construction de la route Djougou-Péhunco-Kérou-Banikoara « qui est un grand dossier très technique a mis du temps pour être bouclé ». Mais les financements rassure-t-il, sont signés et acquis complètement par la BAD, un des partenaires techniques qui financent le projet. A en croire le chef de l'Etat, les appels d'offres ont été lancés au plan international, les entreprises déjà adjugées, et il ne reste que leur déploiement.
S'il n'y avait pas eu Covid, toutes les formalités nécessaires auraient été effectuées, a fait savoir le président de la République précisant qu'il s'agit d'un programme qui a été financé par les partenaires internationaux sur la base de la confiance. Mais la Covid a paralysé pratiquement le monde entier, a ajouté Patrice Talon.
« Vous allez constater de vos yeux que la route cotonnière est désormais une réalité au Bénin », a poursuivi le chef de l'Etat rassurant de l'engagement de son gouvernement à « aménager les vallées, faire les digues et les retenues là où il faut pour utiliser l'eau au moment opportun pour développer des terres agricoles, pour développer des terres sur lesquelles les gens vont s'installer durablement, pour produire au lieu d'être victime de manière cyclique des dégâts d'une eau qui dévale ». Pour Patrice Talon, c'est une préoccupation qui désormais fait partie des actions que le gouvernement a engagées du Nord au Sud, de l'Est à l'Ouest pour « aménager ces espaces de richesse et les transformer définitivement de sorte que l'eau ne soit plus un danger », au lieu d'être exclusivement une richesse.
Le président Talon a poursuivi sa tournée ce lundi dans les villes de Matéri, Cobly et Boukoumbé dans le département de l'Atacora.

F. A. A.

Categories: Afrique

L'opposition participera à l'élection (Talon)

Mon, 11/16/2020 - 20:53

Le président de la République Patrice Talon a rassuré de la tenue d'une élection inclusive en 2021. ‹‹ Pour les prochaines élections présidentielles, les FCBE, Les Démocrates auront leurs candidats et ils auront les parrainages›, a confié le chef de l'Etat, lundi 16 novembre 2020, aux élus locaux, têtes couronnées et sages de la commune de Cobly dans le département de l'Atacora.
Dans le cadre de sa tournée nationale dans les communes, le président de la République avait fait la même promesse lors de son passage à Nikki.

M. M.

Categories: Afrique

Dossi annonce sa séparation avec Willy Mignon

Mon, 11/16/2020 - 20:53

L'artiste Dossi n'est plus avec Willy Mignon. C'est à travers un message sur sa page Facebook qu'elle annonce la nouvelle au public après la naissance de sa fille. ''Au fait, Wily et moi c'est fini.'', a écrit Dossi sur sa page.
Absente de la scène depuis près d'un an, l'artiste Dossi annonce son retour pour bientôt. C'est pour raison de maternité qu'elle a disparu des antennes des radios et télévisions selon un post sur sa page Facebook. Dossi a saisi l'occasion pour annoncer de façon laconique la fin de ses relations avec l'artiste et manager Willy Mignon.

M. M.

Categories: Afrique

Deux receleurs arrêtés dans le Couffo

Mon, 11/16/2020 - 20:16

En prison, le voleur de motos Abdoul Razack a reçu au téléphone la commande d'une moto de marque Haojue. Les agents de police ont organisé la livraison. L'équipe de policiers du département de l'Atlantique s'est rendue à Djakotomey dans le département du Couffo pour livrer la moto. Ne sachant pas que le téléphone était aux mains des policiers, les deux receleurs sont tombés dans les mailles. Il s'agit de Cyrille Ardicres Anagonou, un braqueur recherché par les services de police des départements du Mono et du Couffo et du sieur Rigobert Agbelebgedji, un conducteur de taxi-moto âgé de 40 ans. Les deux individus ont été arrêtés. La perquisition de leur domicile a permis de retrouver 2 motos de différentes marque, 1 vélo, 19 demies-pièces de pagnes neufs, 17 plaquettes SIM de différents réseaux, 4 téléphones portables, une somme de 225.000 FCFA, un faux billet de 10.000 FCFA, un billet naira du Nigeria, des cartes Lépi de différentes personnes, plusieurs actes de naissance, plusieurs décharges de vente de motos, des mandats de libération de prison, et autres documents compromettants.
Les enquêtes se poursuivent pour démanteler le réseau.
Le sieur Abdoul Razack Dansou avait été arrêté à Houegbo à hauteur d'Agbotagon dans l'Atlantique. Il était en possession d'un tricycle et d'une moto de marque Dayang volés.

M. M.

Categories: Afrique

Un jeune homme échappe à la vindicte populaire à Pahou

Mon, 11/16/2020 - 20:07

Un jeune homme âgé de la trentaine a été arrêté dans la matinée de ce lundi 16 novembre 2020 en flagrant délit de vol de décompteurs à Pahou, un arrondissement de la commune de Ouidah. Il était en pleine opération comme à son habitude quand des jeunes l'ont pris la main dans le sac.

Le mode opératoire du présumé voleur selon des témoins consiste à cibler une rangée de boutiques nouvellement construites au bord de la route Pahou-Tori-Bossito, et de passer après sur les lieux pour dévisser les décompteurs. Il était en pleine activité ce lundi matin quand des jeunes l'ont surpris au quartier Adjarra-Devoukanmè. Lynché, il n'a eu la vie sauve que grâce à l'intervention des éléments de la police républicaine.

F. A. A.

Categories: Afrique

Le Maroc érige un mur à la frontière avec la Mauritanie

Mon, 11/16/2020 - 20:07

Après la mise en place d'un cordon de sécurité pour sécuriser le flux des biens et des personnes dans la zone tampon de Guerguarate, les Forces armées royales (FAR) ont édifié un mur de sécurité le long de la frontière avec la Mauritanie sur une distance de 14 km.

« Ce mur de sécurité, solide et infranchissable, a bouclé et totalement isolé [la zone située] le long de la frontière avec la Mauritanie, soit sur une distance de 14 kilomètres, entièrement sécurisée, avec El Guerguerat et la zone tampon du Maroc avec la Mauritanie », a confié une source gouvernementale au site marocain indépendant d'information, Le 360.
La décision a été prise par le Roi Mohammed VI, Chef Suprême et chef d'Etat-Major général des Forces armées royales.
Le 21 octobre dernier, des miliciens armés du Polisario se sont introduits dans la zone tampon de Guergarat au Sahara marocain. Ils ont mené « des actes de banditisme, bloqué la circulation des personnes et des biens sur cet axe routier, et harcelé continuellement les Observateurs militaires de la Minurso ».
Selon un communiqué du ministère des Affaires Étrangères, de la Coopération Africaine et des Marocains Résidant à l'Étranger, « depuis 2016, le "Polisario" a multiplié ces agissements dangereux et intolérables dans cette zone tampon, en violation des accords militaires, au mépris des rappels à l'ordre lancés par le Secrétaire Général de l'ONU et en transgression des résolutions du Conseil de Sécurité, notamment 2414 et 2440, qui ont enjoint au Polisario de mettre fin à ces actes déstabilisateurs ».
Face aux provocations du Polisario, le Maroc a décidé d'agir. Dans la nuit du jeudi au vendredi 13 novembre 2020, les forces armées royales du Maroc ont procédé à la mise en place d'un cordon de sécurité à la zone tampon de Guergarat, reliant le Maroc à la Mauritanie.

A.A.A

Categories: Afrique

05 personnes interpellées à Kpondéhou

Mon, 11/16/2020 - 20:07

La police a démantelé un réseau de trafic de stupéfiants en fin de semaine à Akpakpa (Cotonou).
L'opération a permis d'interpeler cinq personnes dont une femme dans un ghetto à Kpondéhou (Akpakpa). Une importante quantité de chanvre indien a été saisie.

A.A.A

Categories: Afrique

2884 cas confirmés, 262 sous traitement et 43 décès

Mon, 11/16/2020 - 20:07

Le Bénin continue d'enregistrer de nouveaux cas de Covid-19. Selon les derniers chiffres publiés par le gouvernement, 63 nouveaux cas de coronavirus ont été enregistrés dans le pays.
Le bilan des autorités béninoises fait état de 2884 cas confirmés, 262 sous traitement, 2579 cas guéris et 43 décès.
Le 05 novembre dernier, le Bénin comptait 2.781 cas confirmés de Covid-19.
A.A.A

Categories: Afrique

La Fondation Mo Ibrahim note un recul de la gouvernance

Mon, 11/16/2020 - 16:45

La Fondation Mo Ibrahim a publié ce lundi 16 novembre, l'édition 2020 de l'Indice Ibrahim de la gouvernance en Afrique (IIAG). Les responsables de la Fondation Mo Ibrahim Camilla Rocca et Abdoulie Janneh ont au cours d'un point de presse en ligne présenté les principaux résultats de l'IIAG 2020 en Afrique.

Selon les résultats de la Fondation Mo Ibrahim, « le score moyen africain de 2019 pour la gouvernance globale a chuté de -0,2 point ». Il s'agit d'une première depuis 2010. Cette baisse est due à la détérioration des performances dans trois des quatre catégories de l'IIAG à savoir : participation, droits et inclusion, sécurité et règle du droit et du développement humain.
Les responsables de la Fondation Mo Ibrahim notifient que « les progrès avaient déjà ralenti depuis 2015 ». En ce qui concerne la performance globale de la gouvernance en Afrique, elle a légèrement progressé au cours de la décennie.
« En 2019, 61,2% de la population africaine vit dans un pays où la gouvernance globale est meilleure qu'en 2010 », indique la Fondation Mo Ibrahim.
Le rapport de l'Indice Ibrahim de la gouvernance l'IIAG 2020, révèle aussi que « les progrès enregistrés sont dus principalement à l'amélioration des opportunités économiques et du développement humain ».
Les évolutions dans les domaines de l'infrastructure, de la Santé et l'environnement durable ont favorisé les progrès au niveau de Fondements des opportunités économiques (+4,1) et le développement humain (+3,0).
La participation, les droits et l'inclusion ainsi que la sécurité et l'État de droit ont enregistré des baisses (respectivement -1,4 et -0,7).
Pour le président de la Fondation, Mo Ibrahim « les fragilités de gouvernance mises en exergue par l'IIAG 2020 sont exacerbées par la COVID-19, qui menace en outre les progrès réalisés dans les domaines économique et humain. L'insatisfaction et la méfiance des citoyens à l'égard de la gouvernance publique s'aggravent un peu partout ».
« Les gouvernements peuvent saisir cette occasion unique de démontrer à la fois leur détermination à sauvegarder la démocratie et leur capacité à définir un nouveau modèle de croissance, plus résilient, plus équitable, plus durable, et plus autonome », a déclaré Mo Ibrahim.
L'IIAG 2020 a fait l'objet d'une révision en profondeur. Il reflète le contexte de gouvernance actuel prenant en compte le nouveau paysage de la gouvernance et la mise en exergue des opinions des citoyens africains. Des indicateurs ont été aussi renforcés du fait de l'amélioration de la disponibilité des données

À propos de l'IIAG en Afrique

L'lIAG fournit une évaluation des performances en matière de gouvernance dans 54 pays africains. Reposant sur un ensemble de données particulièrement complet, tant dans le temps que dans l'espace, l'IIAG propose un tableau de bord permettant à tout public intéressé d'évaluer l'état de la gouvernance dans les pays africains, à l'aune de la prestation de biens et de services publics et des résultats des politiques publiques.
L'ensemble des données et les portails de données de l'IIAG fournissent des scores, des classements et des tendances au niveau continental, régional ou national, sur un éventail complet des différentes dimensions de la gouvernance : sécurité, justice, transparence, démocratie, droits humains, opportunités économiques, santé, etc.
À ce jour, l'IIAG est le recueil de données le plus complet sur la gouvernance en Afrique.
La Fondation Mo Ibrahim fondée en 2006 concentre ses efforts sur la définition, l'évaluation et l'amélioration de la gouvernance et du leadership en Afrique, à travers des initiatives suivantes : l'Indice Ibrahim de la gouvernance en Afrique ; le Prix Ibrahim pour un leadership d'excellence en Afrique ; le Forum Ibrahim et les bourses et subventions Ibrahim.

A.A.A.

Categories: Afrique

Des enseignants privés de diplôme CAMES

Mon, 11/16/2020 - 13:03

Des enseignants des universités du Bénin déclarés admis au concours d'agrégation du Conseil Africain et Malgache de l'Enseignement Supérieur (CAMES) sont privés de leur diplôme. Le non-paiement des frais d'inscription qui s'élèvent à un million quatre cent mille (1.400.000) francs CFA en est la raison.
Les enseignants attendaient que le gouvernement prenne en charge leurs frais d'inscription à l'image de ce qui se fait dans les autres Etats membres du CAMES. Selon les enseignants, des Etats ont pris en charge non seulement les frais d'inscription de leurs ressortissants mais aussi leur hébergement, la restauration, ainsi que leur déplacement pendant leur séjour au Congo. Les enseignants n'entendent pas payer les frais d'inscription.
Le gouvernement du Bénin avait suspendu depuis 2019 le paiement des frais d'inscription au CAMES à ses enseignants. Ces frais s'élèvent à 113,3 millions FCFA soit 175.000 euros environ. Selon l'Intersyndicale des universités nationales du Bénin, la suspension est contraire à la convention signée entre le CAMES et le Bénin.

M. M.

Categories: Afrique

Le football féminin a perdu sa présidente

Mon, 11/16/2020 - 13:00

Deuil dans le football ! Floriane Afoutou en charge du football féminin au sein de la Fédération Béninoise de football (FBF) est décédée ce lundi 16 novembre 2020. Les causes du décès restent encore inconnues.
Le responsable du service média de la FBF a confirmé la mort de la présidente du football féminin.
Floriane Afoutou est âgée d'une quarantaine d'années. Elle s'occupait de l'organisation du championnat féminin au sein de la FBF.
M. M.

Categories: Afrique

Le groupe Teriba s'engage pour les sans espoir

Mon, 11/16/2020 - 10:58

Quatre (04) artistes-musiciens et groupes musicaux du Bénin (Teriba, Fati, Nikanor, Zeynab, Pépit'art et les Gangbé Brass Band) ont lancé le 14 Octobre 2020,
à Cotonou la campagne dénommée ‘'L'Afrique remercie Mercy Ships. Une initiative coordonnée par Tatiana Ahissou du groupe Teriba. Dans cet entretien, elle explique l'engagement des artistes pour ladite campagne et annonce la sortie de leur nouvel album ‘'Atèléni''.

Le groupe Teriba a été associé, il y a un mois, à une campagne dénommée ‘'L'Afrique dit merci Mercy Ships''. De quoi retourne cette campagne ?

Tatiana Ahissou : L'œuvre de Mercy Ships est une œuvre qui est digne de remerciements. C'est pour cela que le mot ‘'merci'' est pour nous très peu vu ce que Mercy Ships, par son organisation, met en place. Vous n'êtes pas sans savoir que Mercy Ships depuis déjà 1978 a commencé à côtoyer les côtes africaines pour apporter la guérison et l'espoir aux plus démunis puisque les soins chirurgicaux, les soins de qualité sont devenus très coûteux et presque inaccessibles. Dans les pays en voie de développement, Mercy Ships dans sa quête de bien-être pour tous a mis en place des bateaux hôpitaux qui vont partout sur les côtes africaines pour apporter des soins chirurgicaux comme des soins de première nécessité pour rendre heureux les plus démunis. Alors, nous les artistes, c'est notre rôle aussi parce que c'est nous qui portons la voix de toutes ces personnes qui ont retrouvé le sourire grâce aux soins de Mercy Ships. Nous, par notre contribution, portons la voix de ces personnes et nous disons simplement ‘'merci'' à Mercy Ships. C'est à cet exercice que Teriba s'est attelé aux côtés de Gangbé Brass Band, de Fati, de Nikanor, de Zeynab, et des Pépit'arts. Donc, ce sont six artistes qui ont mis la main à la pâte de cette initiative pour dire ‘'merci'' à Mercy Ships.

De quelle façon avez-vous organisé cette reconnaissance à Mercy Ships ?

Tatiana Ahissou : Chacun de nous (Gangbé Brass Band, Fati, Nikanor, Zeynab, les Pépit'arts et nous-mêmes Teriba) a dit ce merci à Mercy Ships dans sa discipline mais essentiellement dans la chanson. Beaucoup d'instruments, beaucoup de chansons. Les Gangbé Brass Band l'ont dit avec les brass, Teriba l'a dit avec le chant et les percussions à la calebasse, Nikanor l'a dit de sa plus belle voix tout comme Fati et Zeynab. Le groupe les Pépit'arts qui ont porté la voix de tous les enfants soignés par les bateaux Mercy Ships ont eux aussi, au son des tambours dit merci à Mercy Ships. De façon variée, nous l'avons dit et à différents endroits aussi pour montrer un peu au reste du monde la diversité culturelle béninoise. Les Teriba l'ont fait à travers un extrait du titre ‘'Tololo'' (toute suite) qui voudrait que la paix, l'amour, et l'harmonie règnent dans le monde entier et ce souhait n'est possible qu'en se donnant la main.

Quelles sont les actions de Mercy Ships au Bénin qui vous ont le plus marqué ?

Tatiana Ahissou : Mercy Ships a soigné des milliers de malades à travers le Bénin, du nord au sud sans distinction aucune en leur offrant des soins chirurgicaux gratuitement mais aussi Mercy Ships a formé du personnel médical pour renforcer leurs capacités. Il développe des cours de formation des formateurs, Il forme le personnel de ces hôpitaux afin que une fois le bateau parti, ces agents de santé continuent à offrir des soins de qualité aux populations. C'est aussi des équipements qu'ils donnent pour équiper beaucoup d'hôpitaux. Pour contrer la pandémie du nouveau coronavirus, Mercy Ships a aussi contribué dans la lutte contre la Covid-19 avec des dons de masques, des équipements de protection pour les personnels de santé. Autant d'actions concrètes. Nous avons reçu déjà cinq missions de Mercy Ships au Bénin et nous souhaitons vivement que ce bateau revienne, ils sont chez eux au Bénin.

Comment pensez-vous impliquer les artistes des autres pays dans la campagne ?

Tatiana Ahissou : Aucune mère ne reste insensible aux cris de son enfant. Et nous, nous ne pouvons pas rester insensibles non plus. Nous avions foi et nous pensions que les artistes des autres pays d'Afrique ne resteront pas insensibles à ce projet et vont nous rejoindre dans cette noble campagne. Nous irons à Lomé, Accra, Conakry, Dakar, Monrovia, Yaoundé, Kinshasa et Tana et ensemble. Tout comme nous, ils vont donner de la voix, ils vont jouer de leurs instruments pour dire merci à Mercy Ships.

Comment pensez-vous que les populations bénéficiaires puissent dire merci pour vous accompagner dans cette campagne ?

Tatiana Ahissou : Nous sommes d'une certaine façon les voix des populations, ce sont elles qui nous ont fait. Nous sommes donc leurs voix pour Mercy Ships et dans le monde parce que ce sont elles qui consomment notre musique, achètent nos produits, sont nos « followers » sur les réseaux sociaux. Ce sont elles qui nous accompagnent et assistent à nos spectacles. Ce sont elles, qui nous inspirent encore.

Que demanderiez-vous d'autres à Mercy Ships pour le bonheur de la population ?
Tatiana Ahissou : Pour une fois, on a déjà vu des bateaux passer et ravager les côtes en Afrique, le navire hôpital de Mercy Ships, lui apporte espoir et transforme des vies. Teriba et tous les autres artistes ont été particulièrement touchés par le geste de Mercy Ships. Alors, nous demandons à Mercy Ships de continuer à visiter les côtes du Bénin et d'Afrique afin d'apporter encore plus de guérison et d'espoir aux plus démunis. C'est beaucoup de milliards qui sont dépensés dans chaque pays et pour qu'on puisse espérer que ces bateaux reviennent, je pense qu'il faut vraiment que les pays africains qui accueillent ces bateaux hôpitaux puissent également tendre la main.

Parlez-nous de votre tout nouvel album Atèléni mis sur le marché en septembre dernier ?

Tatiana Ahissou : Atèléni qui est un nom en yoruba veut dire ‘'le fidèle compagnon'' ; celui qui ne se détourne jamais de toi, celui sur qui tu peux compter, celui avec qui tu marches tous les jours. Ce titre de l'album a rapport à une chanson sur l'album et s'explique par tout ce que nous avons vécu récemment en termes de difficultés mais que nous avons eues la force de surmonter. Cet album, on l'a repris au moins trois fois et avant sa sortie notre manager est décédé puis après le départ de notre sœur Zékiath. Ce n'était donc pas évident. Mais nous avons compris qu'il y a une main au-dessus de nous qui nous guidait, qui nous redonnait espoir et nous permettait de ne pas baisser les bras. Voilà pourquoi on a donné ce nom ‘'Atèléni man kpada loba oluwa''. Teriba, c'est la voix ; ce sont les percussions. Atèléni parle de la femme et des enfants sous d'autres angles mais sans changer la couleur de Teriba. Dans Atèléni, Il y a de la voix, il y a de la percussion. En voulant parler de la femme, cette fois-ci, nous avons rapproché la femme à la terre. Notre terre est une femme et tout homme qui sait prendre soin de sa fille, de sa femme à la maison saura prendre soin de sa terre. Ce type d'homme ne pourra donc plus y jeter les ordures car, toute personne qui maltraite la terre, maltraite sa mère, sa femme et sa fille. Ecoutez cet album vous allez voir que Teriba reste et demeure le même.

Propos recueillis par Juliette MITONHOUN

Categories: Afrique

« Patrice Talon devrait formaliser cela » (Alassane Tigri)

Mon, 11/16/2020 - 10:53

Devant les jeunes, sages et têtes couronnées de Parakou jeudi 12 novembre, lors de sa tournée nationale, le Chef de l'Etat Patrice Talon a fait part de son souhait de se réconcilier avec son prédécesseur Boni Yayi. Au micro de Frissons Radio, l'ancien secrétaire général du gouvernement Alassane Tigri a réagi à la demande de Patrice Talon.

« Si le président Patrice Talon veut se réconcilier avec le président Boni Yayi, il devrait formaliser cela. Il a tout juste demandé aux sages de lui transmettre son souhait », a indiqué l'ancien Secrétaire Général du gouvernement de Boni Yayi.
Pour Alassane Tigri, « se parler est une bonne chose. Mais la situation actuelle dépasse une simple réconciliation entre les deux présidents ». Selon lui, il faut « qu'il y ait un dialogue national afin que les questions cruciales soient discutées sans tabou ».
A Parakou, le Chef de l'Etat Patrice Talon après avoir exprimé son souhait a confié la mission aux sages et têtes couronnées de la municipalité.

A.A.A

Categories: Afrique

Talon accueilli par une foule en liesse à Natitingou

Mon, 11/16/2020 - 10:49

Dans le cadre de sa 4e journée de la tournée nationale, le président Patrice Talon a foulé dimanche 15 novembre, le sol de Natitingou, dans le département de l'Atacora.
Patrice Talon a été accueilli par les autorités de la commune et aussi et en liesse avec chants et danses des populations. Il a échangé avec les populations à la maison des jeunes de Natitingou. Le même accueil lui a été réservé dans les communes de Kérou et Kouandé.

A.A.A

Categories: Afrique

Emigration clandestine : BRING BACK OUR BOYS ! Ils sont violés, vendus et tués par les libyens -

Mon, 11/16/2020 - 09:59

Partie 2 (Par Aliou TALL)

Pour les migrants africains, l'enfer existe, c'est la Libye : détention arbitraire dans des cachots improvisés, confiscation des documents d'identité, viols, humiliations sexuelles, prostitution forcée, travail forcé, coups, blessures et sévices psychologiques, exploitation domestique et champêtre, privation de nourriture, de sommeil et de soins, servitude pour dette arbitraire, ventes aux enchères comme de la marchandise ou du bétail. C'est du terrorisme racial. Imaginons que L'Etat islamique enlève 200 jeunes filles Blanches et en fait des esclaves. L'Amérique, l'ONU, l'Union européenne et l'OTAN coaliseraient leurs forces pour aller les libérer illico, au nom de la lutte contre le terrorisme et la traite d'êtres humains. Avec le rapt de filles nigérianes par Boko Haram, la communauté internationale s'est offusquée, et a encouragé la diffusion d'un slogan : « Bring Back our Girls ». La Libye fait pire. Alors maniez-vous, et BRING BACK OUR BOYS !

L'enfer, c'est la Libye.
La colère et le ressentiment m'ont envahi quand une africaine, que je conseillais pour son droit d'asile, m'a montré des images d'elle après son viol collectif par trois libyens. J'ai été sidéré d'apprendre que ces trois lamentables violeurs revenaient de la prière musulmane du vendredi, où ils ont rebattus des « Allahou Akbar » hypocrites. Il y a lieu de se révolter contre cette abjection. L'homme Noir ne doit point passer sa vie dans une obscure résignation, à l'instar des animaux que la nature a formatés pour la survie et les besoins primaires. Crier son indignation face à l'infamie libyenne, et s'en arrêter là, une fois le buzz éteint, ramènerait l'homme Noir à cet état néandertalien. La révolte ne doit pas frémir. Les images de la vidéo filmée par une journaliste de la CNN font encore froid dans le dos. Des migrants africains vendus aux enchères, comme du bétail, au prix moyen de 450 euros, trois fois moins cher qu'un chien Chihuahua. Avec un marchandage qui rappelle les tristes temps de la traite des Nègres en Amérique.

En avril 2014, quand le Groupe islamiste Boko Haram a enlevé 276 lycéennes au Nigéria, de nombreuses personnalités et célébrités ont exprimé leur indignation en brandissant le slogan devenu viral : « Bring back our gilrs ! » Pourquoi leur silence face aux crimes contre l'humanité que subissent les migrants africains en Libye ? Leur action était-elle juste un prétexte pour combattre l'idéologie islamiste, et non un réel engagement pour la liberté des filles enlevées ? Je suppose que non. Alors j'invite les Michèle Obama, Puff Diddy, Sylvester Stallone, Hilary Clinton, Jessica Alba, Alicia Keys aux Etats-Unis ; les Christiane Taubira, Sonia Rolland, Carla Bruni, Najat Wallaud-Belkacem, Julie Gayet, Nathalie Kosciusko-Morizet en France, à s'activer pour la libération des africains asservis ou retenus contre leur gré en Libye. BRING BACK OUR BOYS !

L'arsenal juridique contre l'esclavage moderne et les traitements inhumains et dégradants ne sert à rien en Libye.

Il existe un cadre légal et des organisations internationales susceptibles de mettre un terme au terrorisme racial que subissent les migrants Noirs en Libye ; et de poursuivre les criminels. Les traitements esclavagistes et les travaux forcés illégaux sont prohibés par la communauté internationale depuis la convention de la Société des Nations en date du 25 septembre 1926 ; puis par une convention du bureau international du travail en 1930 ; par la déclaration universelle des droits de l'homme de 1948 qui édicte dans son article 4 que nul ne sera tenu en esclavage, ni en servitude, et que l'esclavage et la traite des esclaves sont interdits sous toutes leurs formes ; de même que par deux convention des Nations Unies de 1949 et 1956 prohibant la traite des êtres humains et des pratiques analogues, la servitude pour dette, la vente ou la mise à disposition d'un enfant pour exploiter son travail. Au niveau européen l'article 3 de la convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales incrimine les peines et traitements inhumains ou dégradants infligés à un être humain.

Mais l'enfer libyen démontre que toutes ces législations constituent un droit très mou, voire désuet, quand il s'agit de défendre des africains. Les réactions timorées des organisations internationales chargées de lutter contre ces atteintes aux droits fondamentaux sont déconcertantes. Avec ce silence bruissant de culpabilité, les tortionnaires libyens, nostalgiques de leur héritage esclavagiste, sont persuadés de perpétuer une coutume normale : acheter, vendre et asservir des Noirs. Hormis l'entrée irrégulière des migrants africains sur le territoire libyen, c'est cette normalité culturelle et sociétale, renforcée par l'absence d'une normativité punitive, qui justifient la condition servile à laquelle les libyens réduisent les migrants, et les crimes odieux qu'ils commettent impunément contre eux. A quoi servent alors le droit pénal international et le droit international humanitaire, que les européens aiment tant promouvoir à travers le monde ?

Par devoir d'ingérence, l'Europe, l'ONU et l'OTAN doivent intervenir en Libye pour arrêter ces crimes contre l'humanité.

Lors d'un cours de Sciences politiques que j'animais pour un Master, j'expliquais aux étudiants que la rhétorique humaniste qui sous-tend le fameux devoir d'ingérence humanitaire est une fumisterie politique. Une idéologie impérialiste qui sert de camouflage aux velléités dominatrices des grandes puissances, pour justifier l'usage de leur force et contraindre les plus faibles. Pourquoi des pays comme les Etats-Unis, la France, le Royaume-Uni, la Chine, qui avaient proposé au Nigéria leur aide pour pourchasser les ravisseurs de Boko Haram et libérer les filles qu'ils avaient enlevées, ne font pas la même chose pour libérer les africains traités ou vendus comme esclaves en Libye ? Pourquoi, d'un côté, on fait la guerre aux Talibans pour les mauvais traitements qu'ils font à leurs femmes, et que, de l'autre, on deal avec les libyens qui font pire aux migrants africains ? La notion de devoir d'ingérence humanitaire, qu'ils ont fomentée, justifie pourtant que ces pays et la communauté internationale interviennent en Libye pour mettre un terme à la barbarie criminelle contre les migrants. Alors pourquoi cette inertie ? Parce que la Libye fait le sale boulot pour l'Europe ? Parce qu'aucun pays développé ne veut perdre sa part du gâteau pétrolier, quand ce pays sera pacifié par une réconciliation et des élections ? Ou bien parce la vie des Noirs ne compte pas ?

L'Union européenne et l'Italie sous-traitent avec les garde-côtes libyens pour la traque en mer, la détention et le refoulement des migrants africains. Alors qu'elles sont conscientes de leur brutalité et du fait qu'ils empêchent le sauvetage en mer de migrants africains par des ONG. Il est donc indéniable que l'Europe a une lourde responsabilité, en fermant l'œil sur l'engouffrement des migrants africains dans la gueule maléfique du loup libyen, et sur atrocités et les terribles conditions de détention des africains dans d'abominables geôles surpeuplées, où ils sont entassés comme des mouches venimeuses. Ils y souffrent de faim, de maladies dermatologiques, et d'autres pathologies causées par la saleté et la promiscuité dans ces lieux. Ils y meurent d'épuisement et de défaut de soins, dans une indifférence révoltante. L'Europe serait coupable de non assistance à personnes en danger de mort, si elle faisait de la Libye son bourreau, recruté pour mater l'immigration clandestine africaine, par le sang et par le crime.
Aliou TALL,
Président du RADUCC.
Email : raducc@hotmail.fr

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AFRICABOURSE mobilise 2 milliards au GROUPE VETO SERVICES (GVS S.A)

Mon, 11/16/2020 - 09:51

​Le Groupe Véto Services (GVS SA) procède à une émission de billets de trésorerie d'un montant de FCFA 2 milliards représentant la première tranche de son deuxième programme d'émission de billets de trésorerie d'un montant total de 4 milliards de francs CFA reparti en deux tranches égales. Du 16 novembre au 04 décembre 2020, se déroule la phase de souscription à cette tranche de 2 milliards FCFA soit 400 titres d'une valeur nominale de 5 millions de francs CFA, de maturité 24 mois avec un taux d'intérêt de 7% brut par an. Les intérêts y afférents seront payés trimestriellement et le remboursement sera effectué par amortissement trimestriel constant.

La première tranche de ce programme est autorisée par la BCEAO sous le numéro B301031B2 BT 7,00% 10 2020-2022 et garantie à 100% par le Fonds de Solidarité Africain (FSA). Les ressources à mobiliser sur cette première tranche permettra à GVS de financer ses activités en République du Bénin.
Cette opération fait suite à un premier programme d'émission de billets de trésorerie de 03 Milliards, arrangé par la SGI AFRICABOURSE et ayant connu un franc succès en 2019. Ces recours au marché financier par GVS S.A permettent à la société de diversifier ses sources de financement tout en optimisant ses coûts. Plusieurs fois arrangeur, chef de file, co-chef de file ou membre d'un syndicat de placement, AFRICABOURSE fournit un accompagnement technique complet aux entreprises et Etats dans le cadre d'opérations de levée de fonds sur le marché des capitaux notamment par émission de billets de trésorerie ou d'obligations par appel privé comme public à l'épargne et par introduction en bourse.
A propos de GVS – SA
Société Anonyme au capital de 512,42 millions de francs CFA, le Groupe Véto Services exerce dans les domaines de l'importation et la distribution de médicaments vétérinaires et d'intrants zootechniques, de la production d'aliments pour animaux, ainsi que de la transformation et du stockage des produits d'origine animale et végétale en République du Bénin.
A propos de AFRICABOURSE
Opérant sur le marché financier régional de l'UEMOA depuis 15 ans, AFRICABOURSE S.A est une Société de Gestion et d'Intermédiation (SGI) agréée par le CREPMF sous le numéro d'agrément 021/2005. Présente en Côte d'Ivoire, au Togo et au Bénin, elle offre une gamme variée de services financiers. AFRICABOURSE est filiale de la holding FINANCIA GROUP au capital de FCFA 02 milliards.

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