24 Heures au Bénin

Une forte délégation de Moov Africa, constituée notamment, du personnel de la direction générale, des équipes des régions et des masters, était ce samedi 15 mai 2021, aux côtés des populations de Djougou. Elle a fait don d'un important lot de matériels de salubrité et a pris part à l'action de salubrité initiée. Le matériel remis par la secrétaire exécutive de la Fondation de Moov Africa, Dolores CHABI KAO, en présence d'une population sortie massivement, a été reçu par le premier adjoint au maire de la commune, Djibril AMADOU.

Ce lot de matériels offert par Moov Africa est composé, entre autres, de brouettes, de pioches, de pèles, de balais et des gants. De façon pratique et dans un mouvement d'ensemble, Moov Africa et la population ont balayé les rues des quartiers Batoulou et Baparapei et la mairie de Djougou.

Cette action, soutient la directrice exécutive de la Fondation de Moov Africa, en plus de témoigner de la place de choix qu'accorde Moov Africa à la commune de Djougou, vient accompagner la vision du maire Malick GOMINA, de faire de Djougou une ville propre.

« Djougou est une ville que nous affectionnons beaucoup et comme nous avons su que le maire de Djougou dès sa prise de fonction s'est engagé pour rendre la ville de Djougou propre. Nous sommes venus leur apporter notre soutien », a indiqué, Dolores CHABI KAO. Au-delà du matériel que nous donnons, précise-t-elle, c'est surtout notre présence pour faire le travail qui est aussi impactant. « Moov Africa est une entreprise citoyenne et le personnel de Moov Africa est aussi un personnel engagé », soutient la directrice exécutive de la Fondation Moov Africa.

Le responsable régional de l'Atacora et de la Donga de Moov Africa, Rafiou BAKARY, a, quant à lui, appelé à un usage efficient du matériel, pour l'atteinte des objectifs du conseil communal de Djougou.

« Nous sommes particulièrement très heureux, parce que dès sa prise de service le maire de Djougou a fait de la salubrité de la ville de Djougou sa priorité. Cette volonté affichée a eu un écho favorable et Moov Africa est venu renforcer celà. Djougou a besoin d'être assaini et l'appui considérable que nous avons reçu nous permet de poursuivre et de faire en sorte que d'ici quelques mois Djougou va compter parmi les villes les plus propres du Bénin. C'est un matériel de qualité et nous l'apprécions à sa juste valeur. Je remercie Moov Africa pour cet accompagnement », a laissé entendre, au nom du conseil communal et de la population de Djougou, le premier adjoint au maire de la commune, Djibril AMADOU.

Quelques images

La communauté musulmane a célébré ce jeudi 13 mai 2021, l'Aid el-Fitr sur tout le territoire national. La grande prière de la fin du mois de Ramadan à la place Idi à PK5 (Akpakpa) a connu la présence du porte-parole du gouvernement béninois M. Alain Orounla et du haut dignitaire du culte musulman Dr Zul Kifl Salami.

L'Iman Ousmane Ibrahim de la mosquée centrale de Jonquet a axé son message sur la bénédiction. « Le message de mon serment s'articule spécialement sur l'imploration de bénédictions. Il s'agit de l'ange Gabriel qui est l'émissaire principal de Dieu : entre Dieu et ses messagers sur terre », a-t-il indiqué.

La présence du ministre Alain Orounla à cette grande prière est la preuve « de l'attachement du président de la République Patrice Talon et de son gouvernement au bien-être physique matériel et spirituel de tous les béninois et de cette composante importante qu'est la communauté musulmane ».

« Nous venons de passer grâce à Dieu et aux prières des uns et des autres, une période qui aurait pu être une période de turbulence. Tout s'est bien passé », s'est réjoui le porte-parole du gouvernement.

Durant tout le jeûne, les fidèles musulmans ont prié pour la paix et l'homme qui dirige le Bénin. « Nous avons passé notre jeûne à demander à Allah de consolider la paix et l'évolution positive de notre pays. Nous avons fait beaucoup de prières pour notre président », a déclaré Dr Zul Kifl Salami, haut dignitaire du culte musulman.

Il y a, poursuit-il, une certaine universalité que véhicule le message du Ramadan 2021. A cette universalité, s'ajoute également l'œcuménisme de l'Islam.

A.A.A

​La croissance démographique et la piété agissante des fidèles d'Allah et de ceux de Dieu en Jésus-Christ ont couvert le Bénin de lieux de culte musulmans et chrétiens. Clochers et minarets invitent les cœurs à se tourner vers l'Absolu. Les Eglises du Réveil battent son plein. Et pendant le saint Ramadan qui vient de s'achever, le chant psalmodié s'est fait persistant les nuits, afin d'en appeler à la Miséricorde d'Allah pour la purification de l'âme dans un corps allégé, comme l'avaient fait les chrétiens durant le saint Carême. Et l'esprit s'illumine à sentir « sur toutes faces de ce monde » le parfum du temps de Dieu-Allah !
​Allah de toute Miséricorde. Dieu de tout Amour. Amour et Miséricorde. Aussi l'homme ne s'avise-t-il pas à faire porter par Dieu-Allah la croix de ses intolérances mortifères et de ses turpitudes rances. « Humain, trop humain. » Au XXème siècle, catholiques ou luthériens jusqu'au bout des ongles, les croisés de la Croix Gammée ont assumé la Shoah, plus tard les Hutus, plutôt catholiques jusqu'au bout des ongles, assumeront leur tentative immonde d'en finir avec les Tutsis, et les Iraniens et les Irakiens, shiites et sunnites, tous musulmans jusqu'au bout des ongles, ont assumé une guerre entre coreligionnaires au coût d'environ 1.200.000 macchabées. Quant aux vodouisants d'Haïti et du Bénin, ils assument au quotidien zombification et sorcellerie, très haut sommet de la méchanceté de l'homme, sur fond du Vodun qui sécrète en permanence peur et violence. Son coût annuel au Bénin approcherait les 800.000 macchabées (environ) rwandais en trois mois du « seul génocide du XXème siècle qu'il eût été possible d'empêcher ». Et seul l'homme aurait pu l'empêcher.
​Car, « Allah est Grand », chante l'islam, et le christianisme explicite en cantique : « Tu es le Dieu fidèle, éternellement ». Dieu d'Amour, Allah de Miséricorde, ne saurait commanditer horreurs et méchancetés de l'homme sur l'homme. Et pourrait se poser la question : pourquoi Allah-Dieu ne retient-Il pas l'homme sur les pentes de l'horreur ? Ne pas empêcher signifie-t-il permettre ? Et si Amour-Miséricorde retenait la main de l'homme de s'abattre sur l'homme, l'homme serait-il encore libre ? L'homme est-il libre s'il ne peut choisir et ne faire que le bien ? Trêve de questions gênantes, parole au père Lacordaire au XIXème siècle : « Entre le fort et le faible, entre le riche et le pauvre, entre le maître et le serviteur, c'est la liberté qui opprime et c'est la loi qui affranchit. » L'homme libre a le choix.
​Et l'homme seul, et non pas Allah-Dieu, est en charge de réguler la liberté pour qu'elle ne produise pas oppression et servitude, mais justice. Et c'est en vain que les puissants invoquent Allah-Dieu pour justifier croisades, inquisitions, jihad, esclavages, qu'ils imposent aux hommes et aux femmes leurs semblables. Allah-Dieu n'est pas responsable. Pour autant il ne faut pas conclure à son absence. Quand l'homme se met sur l'axe vertical et invoque Allah-Dieu, l'homme crée les couleurs et l'architecture de la Grande Mosquée de Porto-Novo, il crée les couleurs et l'architecture du Requiem de Mozart. Au contraire du vodouisant : cantonné à l'axe horizontal, il ignore l'élévation, il ignore beauté et bonté.
​Hasard du calendrier, les solennités de l'Ascension et de l'Aïd El Fitr ont été célébrées de concert au Bénin le 13 mai 2021. Heureux hasard ? Peut-être. Mais Allah-Dieu ne commandite aucun hasard. Malgré donc cette heureuse et belle coïncidence, les macchabées musulmans béninois ne partageront pas le même cimetière que les autres macchabées béninois. Car c'est l'homme qui commande et qui décide du pur et de l'impur. S'il ne tenait qu'à l'homme, il créerait dans l'au-delà deux Ciels, un pour les musulmans, l'autre pour tous les autres. Deux Enfers aussi. Mais l'immense capacité d'initiative de l'homme s'arrête à ce monde-ci, qu'il peut prendre l'initiative, librement, de transfigurer.

Moov Africa en collaboration avec la mairie de Djougou a lancé, vendredi 14 mai 2021, le projet d'initiation des artisans de la commune de Djougou à l'utilisation des services de Moov money.

Contribuer à la promotion de l'économie locale grâce à l'utilisation des services de Moov money. Tel est l'objectif du projet d'initiation des artisans de la commune de Djougou à l'utilisation des services de Moov money d'une durée de quatre semaines qui a été lancé le vendredi 14 mai 2021. Selon l'état des lieux, les artisans sont en grande partie exclus du système bancaire traditionnel plus difficile d'accès. Il s'agira donc de permettre l'inclusion financière grâce à la plateforme Moov money qui est un service facile et sécurisé et adapté au secteur artisanal, commercial et agricole de Djougou. Ce qui permettrait à ces acteurs de l'économie locale de recevoir, conserver, transférer et dépenser de l'argent en utilisant leur téléphone portable. Le projet entend impacter plus de mille (1000) artisans, commerçants et agriculteurs de la commune de Djougou, les rendre capables d'activer et de transférer des forfaits et crédits Moov Africa à partir de leur compte Moov money. Il est prévu la distribution gratuite de kits Moov Africa et la réactivation des comptes des abonnés Moov Africa. Le projet s'inscrit dans le cadre de la politique de développement des autorités communales qui entendent renforcer les capacités des acteurs qui contribuent au développement de l'économie locale, notamment les artisans, les commerçants et les agriculteurs. Pour cette première semaine d'activité, le projet débute par la formation des formateurs et la présentation de l'initiative au Collectif des artisans et aux organisations des producteurs et des commerçants.
La Mairie et Moov Africa entendent donner des opportunités aux personnes qui ne sont pas « bancarisées » et qui doivent recourir à l'argent liquide ou à des services financiers informels, lesquels sont souvent non sécurisés, peu pratiques, et coûteux mais qui disposent des téléphones portable, d'avoir accès à des services financiers mobiles comprenant paiements, transferts, assurance, épargne et crédit pour une meilleure contribution au développement local.
M. M.

La syndicaliste Waounwa Thérèse s'est prononcée, vendredi 14 mai 2021, dans un entretien sur Couffo FM, sur l'obligation faite aux hommes d'établir désormais un acte de paternité dans les trois premiers mois de grossesse aux femmes dont ils seraient les présumés auteurs.

Selon Waounwa Thérèse, on a aucune assurance qu'une grossesse ira à son terme et que le bébé vivra. Mieux, les futures mères sont exposées, contrairement aux réalités socioculturelles en Afrique en général et au Bénin en particulier, qui exigent qu'une grossesse soit cachée. C'est le point de vue de la syndicaliste et présidente du Comité national des revendeurs, vendeurs et artisans du Bénin (Conarab), sur l'obligation faite aux époux de produire un acte de reconnaissance de grossesse dans les trois premiers mois.
Pour Waounwa Thérèse, cette obligation permet plutôt de fixer une « taxe sur les grossesses », puisque le père de l'enfant qui naîtra, doit dépenser environ 15 000 FCFA pour se faire établir l'acte de reconnaissance de grossesse.
Selon la loi n°2015-08 du 08 décembre 2015 portant code de l'enfant en République du Bénin, « aucune sage-femme, aucun médecin accoucheur ne peut inscrire sur la fiche de naissance, le nom d'un quelconque présumé père, si la femme n'apporte pas au moment de l'accouchement, la preuve du mariage ou de la reconnaissance de la grossesse ».
M. M.

Le président équato-guinéen Obiang Nguema Mbasogo félicite Patrice Talon pour sa réélection à la tête du Bénin. Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération Aurelien Agbenonci a reçu des mains du Consul général de la Guinée Équatoriale au Bénin M. Eduardo Abeso Ndong, les messages de félicitations pour transmission au président Patrice Talon.

« Le peuple de la République de Guinée Équatoriale et son Gouvernement unissent leurs voix à la mienne pour exprimer à votre Excellence, les vives et sincères félicitations pour votre réélection en tant que Président de la République », a souligné le président Obiang Nguema Mbasogo. Il a souhaité au président Patrice Talon ses meilleurs vœux de succès.

Le président Obiang Nguema Mbasogo a aussi exprimé son engagement à renforcer davantage les relations d'amitié et de coopération entre les deux peuples.

A.A.A

Le Parquet du tribunal de première instance de deuxième classe de Comè vient d'ouvrir une enquête pour élucider l'affaire de vingt-six (26) sacs de jutes contenant des plaquettes de boules de feuilles et graines desséchées de cannabis découverts dans une barque motorisée à Agoué.

Une enquête est ouverte par le Parquet du tribunal de première instance de deuxième classe de Comè suite à l'arraisonnement, dimanche 09 mai 2021, d'une barque motorisée à Agoué dans la commune de Grand-Popo.
Les agents du commissariat d'Agoué ont fait une opération en mer. A la vue des agents de Police, les présumés trafiquants de stupéfiants se sont jetés en mer. La barque a été arraisonnée avec une importante quantité de stupéfiants.
M. M

Pour n'avoir pas obtenu une somme de 2000 FCFA, un jeune homme a mis le feu à la case de sa mère. Les faits se sont déroulés jeudi 13 mai 2021 à Kpahouignan, un arrondissement de la commune de Dassa Zoumè, département des collines.

Une mère a perdu tous ses biens dans un incendie causé par son fils. Selon Frissons Radio, le jeune homme a incendié la case de sa mère « parce que celle-ci n'a pu lui donner un billet de 2000 FCFA qu'il lui avait demandé ». A l'arrivée des policiers sur les lieux, le fils a pris la fuite.

A.A.A

L'opération de libération des occupations illégales de la plage de Fidjrossè jusqu'à Adounko a été reportée au mois d'Août 2021.

Après la visite du président Patrice Talon sur le terrain, l'opération de libération de la plage entre l'aéroport et Adounko initialement prévue pour ce vendredi 15 mai a été reportée pour le mois d'Août 2021. Et ce, afin de permettre aux pêcheurs et autres squatteurs d'y rester jusqu'à la fin de l'année scolaire.

« C'est en août que nous allons probablement libérer ces sites avec un accompagnement social de l'Etat à l'égard des noyaux villageois », a indiqué le préfet du Littoral Jean-Claude Codjia au micro de Frissons Radio.

Les maquis et restaurants ne seront pas détruits. Le président Patrice Talon a instruit le Comité en charge de l'opération d'« échanger avec les promoteurs pour analyser la meilleure façon de les accompagner, par exemple en mettant en place des baux conséquents pour qu'ils se sentent en sécurité et investissent davantage ».

A en croire le préfet, les maquis et restaurants qui ne respectent pas les normes seront détruits à moins que les promoteurs décident de se conformer au nouveau plan d'aménagement global de cette bande côtière qui sera approuvé par le gouvernement béninois.

Dès demain, annonce Jean-Claude Codjia, « il y aura un travail qui se fera pour identifier de façon exacte le nombre non seulement de ces restaurants mais également des noyaux villageois ».

A.A.A

Ce vendredi 14 mai 2021, la Cour d'appel a confirmé le renvoi du dossier de 39 hectares à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet).

Georges Bada et ses co-accusés seront jugés par la Criet dans l'affaire des 39 hectares à Abomey-Calavi. Lors du procès du 05 février 2021, le tribunal d'Abomey-Calavi s'est déclaré incompétent pour juger de l'affaire. Il a renvoyé le dossier devant la Cour de Répression des Infractions Économiques et du Terrorisme. Un des mis en cause a fait appel de la décision du tribunal d'Abomey-Calavi.

La Cour d'appel a confirmé ce jour, le transfert du dossier à la Criet. Les accusés seront finalement jugés par la Criet. Le dossier de 39 hectares à Abomey-Calavi implique une vingtaine de personnes en détention provisoire dont le maire Georges Bada. Elles sont poursuivies pour association de malfaiteurs, faux et usage de faux et escroquerie.

A.A.A

47 nouveaux récipiendaires sont retenus au titre de de la campagne spéciale d'inscription au Fichier national d'admission et de nomination de cadres aux emplois de la chaîne des dépenses publiques.

Selon les informations publiées sur le site du gouvernement, 395 candidatures ont été reçues au total pour cette dernière campagne d'inscription au fichier, dont 102 pour le poste de DSI et 293 pour celui de SMP. Le nombre de candidatures retenues après étude des dossiers est de 149, dont 34 pour le poste de DSI et 115 pour celui de SMP.

« A l'issue du test psychotechnique et des entretiens individuels, 53 de ces 149 candidats ont été présélectionnés pour la phase d'enquête de moralité, dont 13 pour le poste de DSI et 40 pour le celui de SMP », informe le gouvernement. Après l'étude des rapports d'enquête de moralité, les 47 cadres ont été définitivement retenus (11 au poste de DSI et 36 à celui de SMP).

196 cadres dans le fichier national

A l'issue des deux premières campagnes, 149 cadres avaient été sélectionnés. Avec l'inscription des nouveaux récipiendaires, les effectifs du fichier national passent à 196 cadres répartis à raison de : 79 pour le poste de DAF ; 16 pour le poste de DSI ; 31 pour le poste de SGP et 70 pour le poste de SMP.
Par décret n°2016-477 du 11 août 2016, il a été créé en République du Bénin, un fichier national d'admission et de nomination de cadres aux emplois de la chaîne des dépenses publiques. Il s'agit d' « une base de données informatisée qui constitue la fondation d'une réforme majeure destinée à rompre avec le système de nomination classique ».
Le fichier est constitué au terme une procédure comprenant les étapes suivantes : un appel à candidatures en ligne, un test psychotechnique, une phase d'entretiens individuels, et une phase d'enquête de moralité assurée par les services compétents de la Police Républicaine.
Trois campagnes ont été déjà organisées dans le cadre de la mise en place du fichier. La troisième dénommée ‘'campagne spéciale'' dont l'objectif est de renforcer les effectifs des cadres susceptibles de servir aux postes de Directeur des Systèmes d'Information (DSI) et de Spécialiste des Marchés Publics (SMP) a permis de retenir 47 nouveaux récipiendaires.

Selon le gouvernement béninois, « la mise en œuvre de la réforme a déjà permis de tirer de ce fichier, suivant une procédure impartiale et transparente, une cinquantaine de cadres qui ont été nommés aux postes de Directeur de l'Administration et des Finances, Spécialiste en Gestion de Projets et Spécialiste des Marchés Publics, aux titres desquels ils ont été respectivement inscrits ».
Le fichier national d'admission et de nomination de cadres aux emplois de la chaîne des dépenses publiques est disponible et accessible via l'adresse : fichiernational.gouv.bj.

Liste des 47 nouveaux récipiendaires

DIRECTEUR DES SYSTEMES D'INFORMATION
1. AFFEDJOU Gbètondji Hermann
2. AZA-GNANDJI Sagbo Victorin Yvonnick
3. DEDJINOU Wachinou Vincent Anselme
4. HOUNDJO Kossi Eudes
5. KPODANHO FALIERE Maurille
6. LOKONON SETON PASCAL GELASE
7. MEDAGBE Tchélognon Achille
8. ODELOUI Gbadébô Aude Elvis
9. SAGBO Kouessi Arafat Romaric
10. SOBABE ALI TAHIROU Abdou-Aziz
11. TOBOSSI AGOSSOU OLIVIER
SPECIALISTE DES MARCHES PUBLICS
1. ABOU Abdou Gafar Olatondji
2. ADAHE VIGBE Félix Dieudonné
3. ADAM Abdoul Razak
4. ADJOVI Gentilis Jessica Blaned Finagnon
5. ADOUKONOU Mèdessou Rayode Gwladys
6. AGBE Narcisse Vignon
7. AHOTON Edwige Fifonsi
8. AKPOUE Ulrich Olivier Gbètondji
9. AVOCETIEN Abègnonhou Fummilayo Cynthia Claude
10. AYANOU HUBERT KUASSI
11. BALLO KODJOBOU ANGE-MARIE
12. BARIZI Soihabirou
13. BOCO Alain Armand
14. DANHOUNDO Firmin
15. DJOUHOLOU Guy
16. DOSSA Edwige
17. GANSOU Gbènakpon Richard
18. GBEDAYI Cyprien Charlemagne
19. GBEDOUROROU SANNI
20. GBEGAN Dieu-donné
21. GBEMENOU Mahoutondji Gabin
22. IMOROU Emmanuel Honoré Kayodé
23. KOUYE Médard Cazassus
24. MASSARY Aïcha
25. MASSEDE Théodor
26. MIDAHUEN Doria Mirmande Sidémèho Ablavi
27. MIGAN Solange Houefa Christelle
28. MONLADE C. Anick Victoire Chantal
29. MOUSSA Abassi
30. SAKA ZENABOU
31. SOKENOU Dossa H SOKENOU
32. TANGAH ABDOUL-HAMED
33. VIDEME Zinsi Cornélie
34. VIHO HOUNKPE Yaovi Edgar Sossou
35. ZINVOEDO AIHADJI JOSEPH DIEUDONNE
36. ZOHOUN Sègnidaho Jean-Baptiste Holmes

A.A.A

La question de la gestion des prochaines inondations a réuni ce matin à la salle du peuple de la Mairie différents acteurs. Membres du conseil communal, élus locaux, chefs village et population étaient autour du Maire pour réfléchir aux solutions susceptibles de jugulées un tant soit peu le problème récurrent des inondations dans la commune d'Abomey-calavi.

Comment faire pour anticiper et gérer au mieux la question préoccupante des inondations à Abomey-calavi. C'est la principale préoccupation ayant focalisé les réflexions. A cette occasion, le Maire de la commune d'Abomey-calavi a présenté à l'assistance le plan d'urgence 2021 bâti sur le thème ‘'la gestion des risques d'inondation''. Il s'agira d'anticiper sur les dispositions à prendre en vue de minimiser les impacts des risques d'inondation sur les populations au regard de l'imminence de la saison pluvieuse ;sensibiliser les élus locaux sur leur rôle et responsabilité dans l'accompagnement des populations et dans le suivi des actions du conseil communal afférentes au plan d'action d'une part et d'autre puis sensibiliser les populations sur les comportements à avoir en cas de catastrophes dues aux inondations sans oublier l'invite des différents acteurs communaux et locaux à être en état de veille permanente tout au long de la période. Après avoir inventorié les causes de ces inondations cycliques, le Directeur des Services Techniques de la Mairie d'Abomey-calavi Dieudonné Mèhinou a souhaité que les populations cessent d'occuper les exutoires naturels d'écoulement des eaux. Le Maire Angelo Evariste Ahouandjinou en annonçant la batterie de mesures, a rassuré de l'assistance constante des autorités aux populations. Des moustiquaires imprégnées à longue durée d'action ainsi que des biens manufacturés seront distribués dans quelques jours aux populations en zone à risque.

11 entreprises béninoises bénéficient de subventions variant de 10.129.100 FCFA à 29.580.000 FCFA au titre du Fonds d'Appui à l'Entrepreneuriat Numérique (FAEN) mis en place par le ministère du Numérique et de la Digitalisation. La liste des startups a été rendue publique par un arrêté du ministre du numérique et de la digitalisation Aurélie Adam Soulé Zoumarou en date du 12 mai 2021.

Selon l'arrêté, le financement octroyé par le ministère du Numérique et de la Digitalisation au travers du Fonds d'Appui à l'Entrepreneuriat Numérique (FAEN) désigne la subvention de l'Etat qui est mise à la disposition de la startup lauréate.
L'arrêté en son article 2 stipule qu' « une convention de partenariat entre le ministère du Numérique et de la Digitalisation et les startups précise les modalités de réception du financement et les obligations des deux parties ».

A.A.A

Sponsor du Tour cycliste du Bénin prévu du 16 au 22 mai 2021, Moov Africa entend donner de la joie sur toutes les étapes. C'est la bonne nouvelle donnée, mardi 11 mai 2021, par Omar Nahli, le Directeur Général de Moov Africa, lors de la conférence de presse du lancement du 16e Tour cycliste international du Bénin.

« C'est le plus collectif du sport individuel. A Moov Africa, nous nous retrouvons dans toutes ses valeurs. Nous irons à la rencontre de nos clients là où le tour passera. Nous allons organiser des soirées. Nous allons apporter de la joie sur tout le Tour. La Fondation Moov Africa de Bénin va accompagner le tour et dans toutes les villes où nous allons passer, il va réaliser des actions sociales››, a indiqué Omar Nahli, Directeur Général de Moov Africa.
La meilleure équipe africaine du Tour sera récompensée par le "maillot Moov Africa", selon le directeur général.
Quarante-quatre coureurs venus du Burkina Faso, de la Côte-d'Ivoire, du Nigéria, du Niger, de la Rd Congo, du Sénégal et du Bénin (avec deux équipes) prennent part à la compétition qui se fera en six étapes pour une distance de 1802 Km dont 632 Km de cours et 1170 Km de transbordement.
Plusieurs communes dont Boukoumbé, Djougou, Parakou, Lokossa, Porto-Novo et Cotonou seront parcourues par les coureurs.
M. M.

La répression des infractions au code de la route débute ce samedi 15 mai 2021 sur le territoire national. Les motos sans plaque d'immatriculation seront aussi saisies selon le Commissaire principal de police Roger Tawès.

À partir de ce samedi 15 mai, toutes les motos sans plaque seront systématiquement arrêtées. « Il y a des motos encore en circulation qui ne sont pas dotées de plaques d'immatriculation. (…). Les services techniques ont encore beaucoup de plaques d'immatriculation qui ne sont pas encore retirées par les ayants-droit. (...) on roule la moto sans plaque. Je crois qu'il faut finir avec cette pagaille-là. On a assez dit aux gens, allez récupérer vos plaques », a déclaré le porte-parole de la police républicaine, Roger Tawès sur l'Ortb.

Après la sensibilisation, les agents de la police républicaine passent à la répression. L'opération va se dérouler 24 heures /24.

D'autres infractions sont aussi concernées par la répression selon la note du directeur général de la police républicaine en date du 06 mai 2021. Il s'agit du non-respect du couloir de circulation ; le surcharge des véhicules ; le non-port de casque et de ceinture de sécurité ; l'usage de téléphone au volant ou au guidon ; le non-respect des gestes barrières contre la Covid-19 et le défaut d'assurance et de visite technique.

En cas de violation des règles de circulation routière, les usagers de la route devront payer la contravention au trésor avant de récupérer leurs biens.
La contravention est fixée à 20.000 FCFA pour défaut de visite technique, 20.000 FCFA usage de téléphone au volant ou au guidon, 5.000 FCFA non-respect du couloir de circulation et les chargements hors gabarit 15.000 FCFA. Sans compter les frais de fourrière.

A.A.A

Le directeur de l'Office du Baccalauréat, à travers un communiqué en date du 14 mai 2021, invite les candidats libres au Baccalauréat, session 202, à retirer leur convocation.

Le retrait des convocations des candidats libres à l'examen du Bac 2021 se fera tous les jours ouvrables du mercredi 19 mai au vendredi 18 juin 2021 au CEG Sainte Rita en face de l'Office du Baccalauréat à Cotonou pour les candidats des départements de l'Atlantique et du Littoral. Les autres candidats sont invités à se rendre dans les Directions départementales des Enseignements secondaire, technique et de la formation professionnelle des départements dans lesquels ils se sont inscrits.
« Quant aux candidats officiels, leurs convocations seront imprimées en ligne et distribuées par leurs chefs d'établissement », précise le communiqué du Prof Alphonse da Silva.
Les candidats doivent procéder à la vérification des informations (nom, prénoms, date et lieu de naissance) qui se trouvent sur leur convocation respective afin de faire les corrections éventuelles avant le démarrage des phases écrites du Baccalauréat.
Les candidats libres sont tenus de vérifier leur centre de composition sur les convocations avant le démarrage de l'examen.
Les épreuves pratiques du Baccalauréat, session 2021, démarrent lundi 31 mai pour les séries F1 et F3, jeudi 03 juin pour la série G1 et vendredi 04 juin pour les candidats des séries E, F2, F4 et la filière Eau et Assainissement.
M. M.

La réalisation d'un test PCR Covid-19 au niveau national n'est possible désormais que sur ordonnance d'un médecin. L'information a été rendue publique par le ministre de la Santé Benjamin Hounkpatin à travers la note de service en date du 11 mai 2021 adressée aux acteurs de la pyramide sanitaire.

A l'exception du dispositif mis en place pour les voyageurs (sites de l'aéroport, du palais des congrès et VIP), la réalisation d'un test PCR n'est possible désormais que sur prescription médicale. Il s'agit d'une décision de l'autorité ministérielle qui « s'inscrit dans le cadre du processus d'intégration de la gestion de la pandémie de Covid-19 au dispositif sanitaire existant ». Les tests PCR seront intégrés au paquet d'activités des formations sanitaires publiques et privées.

Désormais, le citoyen béninois qui veut réaliser un test PCR doit obtenir une ordonnance médicale. Il sera orienté vers une formation sanitaire pour bénéficier du test. Ce dernier reste toujours gratuit.

Le test de la "PCR" ("polymerase chain reaction") ou "virologique" consiste à la recherche du matériel génétique, c'est-à-dire de l'ARN du virus sur un prélèvement naso et/ou oropharyngé (gorge, nez, nasopharynx). Le délai de manipulation pour l'obtention du résultat varie entre 3 à 6 heures pour les tests réalisés au Bénin.

A.A.A

Des investigations sont en cours pour connaître les causes et circonstances du dernier incendie survenu au marché Dantokpa. C'est ce qu'a déclaré, mercredi 12 mai 2021, le porte-parole du gouvernement Alain Orounla à l'issue du point de presse du Conseil des ministres.

Dans la nuit de vendredi à samedi 08 mai 2021, un incendie a détruit environ 3500 mètres carrés de superficie au marché Dantokpa. Il s'agit du deuxième incendie après celui du 04 avril qui a fait des dégâts matériels au niveau du secteur céréalier connu sous le nom de Kpodji.

« La police est saisie parce que nous ignorons les origines des incendies. Est-ce que c'est criminel, c'est volontaire ou accidentel, c'est aux différentes investigations en cours de nous le dire », a déclaré le ministre Alain Orounla.

Selon le porte-parole du gouvernement, il faut aussi prendre en compte la vétusté des installations électriques. « Il y a des gens qui dorment dans ce marché et qui s'amusent à faire la cuisine », ajoute-t-il.

Alain Orounla a rappelé que des incendies spectaculaires ont été enregistrés avant même l'entrée en scène du président Patrice Talon. Le gouvernement Talon a donc envisagé le projet de construction du nouveau marché. A en croire le ministre de la communication et de la poste, les travaux de construction prévus pour trente-six mois ont démarré il y a trois mois.

« C'est l'occasion d'expliquer aux usagers tous les intérêts qu'il y aurait à regagner le nouveau site en construction, à renoncer à ce site qui n'est plus adapté », a indiqué Alain Orounla.

A.A.A

L'accident est survenu à Cotonou à quelques mètres du carrefour Sica Toyata à l'aube du mercredi 12 mai 2021.

Selon les informations rapportées par Frissons Radio, l'accident s'est produit entre un véhicule et un camion mercredi au carrefour Sica Toyata. A bord du véhicule, il y avait trois jeunes âgés de 19, 22 et 23 ans. Ces derniers seraient de retour d'une virée nocturne. Le jeune garçon de 22 ans n'a pas eu la vie sauve. Il est décédé avant l'arrivée des secours. L'un des deux autres rescapés serait dans le coma. « Les circonstances de cet accident mortel ne sont pas vraiment connues », précise la même source.

A.A.A