La Direction Générale de l'Enseignement Supérieur (DGES) mène une opération de contrôle dans les universités privées du 19 août au 6 septembre 2024.
Des équipes de la Direction Générale de l'Enseignement Supérieur descendent dans les universités privées du Bénin. Il s'agit d'une mission de contrôle de routine. Elle s'inscrit aussi dans le cadre de la collecte de données. Ces missions ont pour but de « suivre l'évolution des activités pédagogiques dans ces universités privées ». Les contrôles prennent fin le 6 septembre 2024.
La DGES est chargée de la conception, du pilotage, de l'exécution et du contrôle de la politique de l'éducation dans les domaines de l'enseignement supérieur et des équivalences de diplômes.
A.A.A
C'est historique. Aïnonvi FC est arrivé à valider son ticket pour la finale des éliminatoires de la Ligue des Champions féminine de la Zone Ouest B. C'est notamment en battant l'AO Étincelle en demi finale (1-0).
Une qualification historique pour le football féminin béninois. Auteure du seul but de la partie en demi-finale, Yasminath DJIBRIL a même été désignée joueuse du match.
Avec ce succès des Béninoises, l'affiche de la finale de ces éliminatoires de la Ligue des Champions féminine est Aïnonvi FC - EDO Queens. Face à l'équipe du Nigeria le vendredi prochain au stade de la Paix à Bouaké, les Aïnonvi n'ont qu'un seul objectif. Remporter la partie et entrer plus dans l'histoire.
J.S
C'est historique. Aïnonvi FC est arrivé à valider son ticket pour la finale des éliminatoires de la Ligue des Champions féminine de la Zone Ouest B. C'est notamment en battant l'AO Étincelle en demi finale (1-0).
Une qualification historique pour le football féminin béninois. Auteure du seul but de la partie en demi-finale, Yasminath DJIBRIL a même été désignée joueuse du match.
Avec ce succès des Béninoises, l'affiche de la finale de ces éliminatoires de la Ligue des Champions féminine est Aïnonvi FC - EDO Queens. Face à l'équipe du Nigeria le vendredi prochain au stade de la Paix à Bouaké, les Aïnonvi n'ont qu'un seul objectif. Remporter la partie et entrer plus dans l'histoire.
J.S
Le Programme Spécial d'insertion dans l'emploi (PSIE) recrute à 139 postes pour le compte de plusieurs entreprises. Les jeunes diplômés détenteurs de Bacs professionnels (BTS, DUT, Licence Professionnelle, Master, Ingénieur) peuvent postuler au recrutement. Les salaires nets pour les profils varient de 100.000 à 250.000 FCFA.
Les jeunes diplômés peuvent consulter ou postuler dans le cadre des 139 postes ouverts au PSIE en cliquant : https://cutt.ly/FVZDlF8
Les postulants non inscrits sur la plateforme du PSIE doivent d'abord le faire avant de soumettre leur candidature. Il faut s'inscrire sur https://cutt.ly/0VZDT77
Le Programme Spécial d'Insertion des jeunes dans l'Emploi (PSIE) est une initiative présidentielle qui consiste « ...à recruter, chaque année, à la charge de l'État, 2000 jeunes diplômés à placer dans des entreprises privées ou publiques, sur une période de deux ans, avec l'espoir qu'ils sauront se rendre utiles et efficaces pour se faire recruter à l'issue de la période d'insertion, ou alors qu'ils sauront voler de leurs propres ailes dans l'auto emploi… ».
Cette initiative volontariste du Président Patrice Talon vise à : améliorer l'employabilité des bénéficiaires du Programme en vue de leur insertion professionnelle durable dans les nouveaux postes d'emploi créés grâce aux actions d'immersion et d'encadrement ; soutenir financièrement les entreprises, par la prise en charge des salaires des titulaires des nouveaux emplois créés dans le cadre du programme.
L'Etat soutient à travers le PSIE la rémunération des postes d'emploi dans les entreprises en vue de satisfaire d'une part, le besoin quantitatif et qualitatif en ressources humaines des entreprises en marche vers la croissance et le développement ; d'autre part, le besoin d'apprentissage et / ou de révélation des potentialités des jeunes diplômés au sein des entreprises.
Le coût global du PSIE est estimé à 40 milliards de francs CFA pour les 5 années. Il est entièrement financé sur le budget national.
M. M.
Le Programme Spécial d'insertion dans l'emploi (PSIE) recrute à 139 postes pour le compte de plusieurs entreprises. Les jeunes diplômés détenteurs de Bacs professionnels (BTS, DUT, Licence Professionnelle, Master, Ingénieur) peuvent postuler au recrutement. Les salaires nets pour les profils varient de 100.000 à 250.000 FCFA.
Les jeunes diplômés peuvent consulter ou postuler dans le cadre des 139 postes ouverts au PSIE en cliquant : https://cutt.ly/FVZDlF8
Les postulants non inscrits sur la plateforme du PSIE doivent d'abord le faire avant de soumettre leur candidature. Il faut s'inscrire sur https://cutt.ly/0VZDT77
Le Programme Spécial d'Insertion des jeunes dans l'Emploi (PSIE) est une initiative présidentielle qui consiste « ...à recruter, chaque année, à la charge de l'État, 2000 jeunes diplômés à placer dans des entreprises privées ou publiques, sur une période de deux ans, avec l'espoir qu'ils sauront se rendre utiles et efficaces pour se faire recruter à l'issue de la période d'insertion, ou alors qu'ils sauront voler de leurs propres ailes dans l'auto emploi… ».
Cette initiative volontariste du Président Patrice Talon vise à : améliorer l'employabilité des bénéficiaires du Programme en vue de leur insertion professionnelle durable dans les nouveaux postes d'emploi créés grâce aux actions d'immersion et d'encadrement ; soutenir financièrement les entreprises, par la prise en charge des salaires des titulaires des nouveaux emplois créés dans le cadre du programme.
L'Etat soutient à travers le PSIE la rémunération des postes d'emploi dans les entreprises en vue de satisfaire d'une part, le besoin quantitatif et qualitatif en ressources humaines des entreprises en marche vers la croissance et le développement ; d'autre part, le besoin d'apprentissage et / ou de révélation des potentialités des jeunes diplômés au sein des entreprises.
Le coût global du PSIE est estimé à 40 milliards de francs CFA pour les 5 années. Il est entièrement financé sur le budget national.
M. M.
Le Programme Spécial d'insertion dans l'emploi (PSIE) recrute à 139 postes pour le compte de plusieurs entreprises. Les jeunes diplômés détenteurs de Bacs professionnels (BTS, DUT, Licence Professionnelle, Master, Ingénieur) peuvent postuler au recrutement. Les salaires nets pour les profils varient de 100.000 à 250.000 FCFA.
Les jeunes diplômés peuvent consulter ou postuler dans le cadre des 139 postes ouverts au PSIE en cliquant : https://cutt.ly/FVZDlF8
Les postulants non inscrits sur la plateforme du PSIE doivent d'abord le faire avant de soumettre leur candidature. Il faut s'inscrire sur https://cutt.ly/0VZDT77
Le Programme Spécial d'Insertion des jeunes dans l'Emploi (PSIE) est une initiative présidentielle qui consiste « ...à recruter, chaque année, à la charge de l'État, 2000 jeunes diplômés à placer dans des entreprises privées ou publiques, sur une période de deux ans, avec l'espoir qu'ils sauront se rendre utiles et efficaces pour se faire recruter à l'issue de la période d'insertion, ou alors qu'ils sauront voler de leurs propres ailes dans l'auto emploi… ».
Cette initiative volontariste du Président Patrice Talon vise à : améliorer l'employabilité des bénéficiaires du Programme en vue de leur insertion professionnelle durable dans les nouveaux postes d'emploi créés grâce aux actions d'immersion et d'encadrement ; soutenir financièrement les entreprises, par la prise en charge des salaires des titulaires des nouveaux emplois créés dans le cadre du programme.
L'Etat soutient à travers le PSIE la rémunération des postes d'emploi dans les entreprises en vue de satisfaire d'une part, le besoin quantitatif et qualitatif en ressources humaines des entreprises en marche vers la croissance et le développement ; d'autre part, le besoin d'apprentissage et / ou de révélation des potentialités des jeunes diplômés au sein des entreprises.
Le coût global du PSIE est estimé à 40 milliards de francs CFA pour les 5 années. Il est entièrement financé sur le budget national.
M. M.
Le Programme Spécial d'insertion dans l'emploi (PSIE) recrute à 139 postes pour le compte de plusieurs entreprises. Les jeunes diplômés détenteurs de Bacs professionnels (BTS, DUT, Licence Professionnelle, Master, Ingénieur) peuvent postuler au recrutement. Les salaires nets pour les profils varient de 100.000 à 250.000 FCFA.
Les jeunes diplômés peuvent consulter ou postuler dans le cadre des 139 postes ouverts au PSIE en cliquant : https://cutt.ly/FVZDlF8
Les postulants non inscrits sur la plateforme du PSIE doivent d'abord le faire avant de soumettre leur candidature. Il faut s'inscrire sur https://cutt.ly/0VZDT77
Le Programme Spécial d'Insertion des jeunes dans l'Emploi (PSIE) est une initiative présidentielle qui consiste « ...à recruter, chaque année, à la charge de l'État, 2000 jeunes diplômés à placer dans des entreprises privées ou publiques, sur une période de deux ans, avec l'espoir qu'ils sauront se rendre utiles et efficaces pour se faire recruter à l'issue de la période d'insertion, ou alors qu'ils sauront voler de leurs propres ailes dans l'auto emploi… ».
Cette initiative volontariste du Président Patrice Talon vise à : améliorer l'employabilité des bénéficiaires du Programme en vue de leur insertion professionnelle durable dans les nouveaux postes d'emploi créés grâce aux actions d'immersion et d'encadrement ; soutenir financièrement les entreprises, par la prise en charge des salaires des titulaires des nouveaux emplois créés dans le cadre du programme.
L'Etat soutient à travers le PSIE la rémunération des postes d'emploi dans les entreprises en vue de satisfaire d'une part, le besoin quantitatif et qualitatif en ressources humaines des entreprises en marche vers la croissance et le développement ; d'autre part, le besoin d'apprentissage et / ou de révélation des potentialités des jeunes diplômés au sein des entreprises.
Le coût global du PSIE est estimé à 40 milliards de francs CFA pour les 5 années. Il est entièrement financé sur le budget national.
M. M.
Le Programme Spécial d'insertion dans l'emploi (PSIE) recrute à 139 postes pour le compte de plusieurs entreprises. Les jeunes diplômés détenteurs de Bacs professionnels (BTS, DUT, Licence Professionnelle, Master, Ingénieur) peuvent postuler au recrutement. Les salaires nets pour les profils varient de 100.000 à 250.000 FCFA.
Les jeunes diplômés peuvent consulter ou postuler dans le cadre des 139 postes ouverts au PSIE en cliquant : https://cutt.ly/FVZDlF8
Les postulants non inscrits sur la plateforme du PSIE doivent d'abord le faire avant de soumettre leur candidature. Il faut s'inscrire sur https://cutt.ly/0VZDT77
Le Programme Spécial d'Insertion des jeunes dans l'Emploi (PSIE) est une initiative présidentielle qui consiste « ...à recruter, chaque année, à la charge de l'État, 2000 jeunes diplômés à placer dans des entreprises privées ou publiques, sur une période de deux ans, avec l'espoir qu'ils sauront se rendre utiles et efficaces pour se faire recruter à l'issue de la période d'insertion, ou alors qu'ils sauront voler de leurs propres ailes dans l'auto emploi… ».
Cette initiative volontariste du Président Patrice Talon vise à : améliorer l'employabilité des bénéficiaires du Programme en vue de leur insertion professionnelle durable dans les nouveaux postes d'emploi créés grâce aux actions d'immersion et d'encadrement ; soutenir financièrement les entreprises, par la prise en charge des salaires des titulaires des nouveaux emplois créés dans le cadre du programme.
L'Etat soutient à travers le PSIE la rémunération des postes d'emploi dans les entreprises en vue de satisfaire d'une part, le besoin quantitatif et qualitatif en ressources humaines des entreprises en marche vers la croissance et le développement ; d'autre part, le besoin d'apprentissage et / ou de révélation des potentialités des jeunes diplômés au sein des entreprises.
Le coût global du PSIE est estimé à 40 milliards de francs CFA pour les 5 années. Il est entièrement financé sur le budget national.
M. M.
Le Programme Spécial d'insertion dans l'emploi (PSIE) recrute à 139 postes pour le compte de plusieurs entreprises. Les jeunes diplômés détenteurs de Bacs professionnels (BTS, DUT, Licence Professionnelle, Master, Ingénieur) peuvent postuler au recrutement. Les salaires nets pour les profils varient de 100.000 à 250.000 FCFA.
Les jeunes diplômés peuvent consulter ou postuler dans le cadre des 139 postes ouverts au PSIE en cliquant : https://cutt.ly/FVZDlF8
Les postulants non inscrits sur la plateforme du PSIE doivent d'abord le faire avant de soumettre leur candidature. Il faut s'inscrire sur https://cutt.ly/0VZDT77
Le Programme Spécial d'Insertion des jeunes dans l'Emploi (PSIE) est une initiative présidentielle qui consiste « ...à recruter, chaque année, à la charge de l'État, 2000 jeunes diplômés à placer dans des entreprises privées ou publiques, sur une période de deux ans, avec l'espoir qu'ils sauront se rendre utiles et efficaces pour se faire recruter à l'issue de la période d'insertion, ou alors qu'ils sauront voler de leurs propres ailes dans l'auto emploi… ».
Cette initiative volontariste du Président Patrice Talon vise à : améliorer l'employabilité des bénéficiaires du Programme en vue de leur insertion professionnelle durable dans les nouveaux postes d'emploi créés grâce aux actions d'immersion et d'encadrement ; soutenir financièrement les entreprises, par la prise en charge des salaires des titulaires des nouveaux emplois créés dans le cadre du programme.
L'Etat soutient à travers le PSIE la rémunération des postes d'emploi dans les entreprises en vue de satisfaire d'une part, le besoin quantitatif et qualitatif en ressources humaines des entreprises en marche vers la croissance et le développement ; d'autre part, le besoin d'apprentissage et / ou de révélation des potentialités des jeunes diplômés au sein des entreprises.
Le coût global du PSIE est estimé à 40 milliards de francs CFA pour les 5 années. Il est entièrement financé sur le budget national.
M. M.
Le Programme Spécial d'insertion dans l'emploi (PSIE) recrute à 139 postes pour le compte de plusieurs entreprises. Les jeunes diplômés détenteurs de Bacs professionnels (BTS, DUT, Licence Professionnelle, Master, Ingénieur) peuvent postuler au recrutement. Les salaires nets pour les profils varient de 100.000 à 250.000 FCFA.
Les jeunes diplômés peuvent consulter ou postuler dans le cadre des 139 postes ouverts au PSIE en cliquant : https://cutt.ly/FVZDlF8
Les postulants non inscrits sur la plateforme du PSIE doivent d'abord le faire avant de soumettre leur candidature. Il faut s'inscrire sur https://cutt.ly/0VZDT77
Le Programme Spécial d'Insertion des jeunes dans l'Emploi (PSIE) est une initiative présidentielle qui consiste « ...à recruter, chaque année, à la charge de l'État, 2000 jeunes diplômés à placer dans des entreprises privées ou publiques, sur une période de deux ans, avec l'espoir qu'ils sauront se rendre utiles et efficaces pour se faire recruter à l'issue de la période d'insertion, ou alors qu'ils sauront voler de leurs propres ailes dans l'auto emploi… ».
Cette initiative volontariste du Président Patrice Talon vise à : améliorer l'employabilité des bénéficiaires du Programme en vue de leur insertion professionnelle durable dans les nouveaux postes d'emploi créés grâce aux actions d'immersion et d'encadrement ; soutenir financièrement les entreprises, par la prise en charge des salaires des titulaires des nouveaux emplois créés dans le cadre du programme.
L'Etat soutient à travers le PSIE la rémunération des postes d'emploi dans les entreprises en vue de satisfaire d'une part, le besoin quantitatif et qualitatif en ressources humaines des entreprises en marche vers la croissance et le développement ; d'autre part, le besoin d'apprentissage et / ou de révélation des potentialités des jeunes diplômés au sein des entreprises.
Le coût global du PSIE est estimé à 40 milliards de francs CFA pour les 5 années. Il est entièrement financé sur le budget national.
M. M.
L'Ordre des Avocats du Bénin a réagi à l'interpellation de Steve Amoussou alias Frère Hounvi à travers une déclaration en date du 20 août 2024. Il invite les autorités de poursuite judiciaire à faire preuve de lucidité en se comportant comme des professionnels guidés par le respect des lois.
Les circonstances d'interpellation du Frère Hounvi continuent de susciter des réactions. Il aurait été appréhendé nuitamment dans le voisinage de son domicile à Lomé et embarqué manu militari dans un véhicule par des personnes inconnues selon ses avocats. « Les informations qui sont parvenues à l'Ordre des Avocats du Bénin renseignent que les règles régissant la poursuite pénale, en la circonstance n'ont pas été respectées », a indiqué l'Ordre des Avocats du Bénin. Aucune autorité publique du Bénin n'a encore démenti les circonstances de l'interpellation du Frère Hounvi telles que exposées par ses avocats.
Selon le bâtonnier Angelo Aimé Hounkpatin « s'il est admis que dans, un Etat de droit, nul n'est au-dessus de la loi et que toute violation y afférente mérite d'être réprimée, il est tout aussi prescrit, voire exigé, que les modalités de poursuite et de répression des infractions y soient strictement conformes ».
Dans le cas de Steve Amoussou qui réside hors du territoire national, poursuit-t-il, la meilleure modalité de le faire comparaitre devant les autorités judiciaires du Bénin eût consisté à décerner à son encontre un mandat d'arrêt. « Le cas échéant, les autorités judiciaires de son pays de résidence, en l'occurrence le Togo auraient été mises à contribution à l'effet de l'interpeller puis d'organiser son transfert au Bénin », ajoute l'Ordre des Avocats du Bénin. Il appelle les autorités en charge de la police judiciaire et de la poursuite pénale à plus de retenue dans leurs actes qui doivent être, à tous égards et à chaque instant, respectueux de la loi et de la personne humaine.
L'Ordre des Avocats du Bénin a réagi à l'interpellation de Steve Amoussou alias Frère Hounvi à travers une déclaration en date du 20 août 2024. Il invite les autorités de poursuite judiciaire à faire preuve de lucidité en se comportant comme des professionnels guidés par le respect des lois.
Les circonstances d'interpellation du Frère Hounvi continuent de susciter des réactions. Il aurait été appréhendé nuitamment dans le voisinage de son domicile à Lomé et embarqué manu militari dans un véhicule par des personnes inconnues selon ses avocats. « Les informations qui sont parvenues à l'Ordre des Avocats du Bénin renseignent que les règles régissant la poursuite pénale, en la circonstance n'ont pas été respectées », a indiqué l'Ordre des Avocats du Bénin. Aucune autorité publique du Bénin n'a encore démenti les circonstances de l'interpellation du Frère Hounvi telles que exposées par ses avocats.
Selon le bâtonnier Angelo Aimé Hounkpatin « s'il est admis que dans, un Etat de droit, nul n'est au-dessus de la loi et que toute violation y afférente mérite d'être réprimée, il est tout aussi prescrit, voire exigé, que les modalités de poursuite et de répression des infractions y soient strictement conformes ».
Dans le cas de Steve Amoussou qui réside hors du territoire national, poursuit-t-il, la meilleure modalité de le faire comparaitre devant les autorités judiciaires du Bénin eût consisté à décerner à son encontre un mandat d'arrêt. « Le cas échéant, les autorités judiciaires de son pays de résidence, en l'occurrence le Togo auraient été mises à contribution à l'effet de l'interpeller puis d'organiser son transfert au Bénin », ajoute l'Ordre des Avocats du Bénin. Il appelle les autorités en charge de la police judiciaire et de la poursuite pénale à plus de retenue dans leurs actes qui doivent être, à tous égards et à chaque instant, respectueux de la loi et de la personne humaine.
L'Ordre des Avocats du Bénin a réagi à l'interpellation de Steve Amoussou alias Frère Hounvi à travers une déclaration en date du 20 août 2024. Il invite les autorités de poursuite judiciaire à faire preuve de lucidité en se comportant comme des professionnels guidés par le respect des lois.
Les circonstances d'interpellation du Frère Hounvi continuent de susciter des réactions. Il aurait été appréhendé nuitamment dans le voisinage de son domicile à Lomé et embarqué manu militari dans un véhicule par des personnes inconnues selon ses avocats. « Les informations qui sont parvenues à l'Ordre des Avocats du Bénin renseignent que les règles régissant la poursuite pénale, en la circonstance n'ont pas été respectées », a indiqué l'Ordre des Avocats du Bénin. Aucune autorité publique du Bénin n'a encore démenti les circonstances de l'interpellation du Frère Hounvi telles que exposées par ses avocats.
Selon le bâtonnier Angelo Aimé Hounkpatin « s'il est admis que dans, un Etat de droit, nul n'est au-dessus de la loi et que toute violation y afférente mérite d'être réprimée, il est tout aussi prescrit, voire exigé, que les modalités de poursuite et de répression des infractions y soient strictement conformes ».
Dans le cas de Steve Amoussou qui réside hors du territoire national, poursuit-t-il, la meilleure modalité de le faire comparaitre devant les autorités judiciaires du Bénin eût consisté à décerner à son encontre un mandat d'arrêt. « Le cas échéant, les autorités judiciaires de son pays de résidence, en l'occurrence le Togo auraient été mises à contribution à l'effet de l'interpeller puis d'organiser son transfert au Bénin », ajoute l'Ordre des Avocats du Bénin. Il appelle les autorités en charge de la police judiciaire et de la poursuite pénale à plus de retenue dans leurs actes qui doivent être, à tous égards et à chaque instant, respectueux de la loi et de la personne humaine.
L'Ordre des Avocats du Bénin a réagi à l'interpellation de Steve Amoussou alias Frère Hounvi à travers une déclaration en date du 20 août 2024. Il invite les autorités de poursuite judiciaire à faire preuve de lucidité en se comportant comme des professionnels guidés par le respect des lois.
Les circonstances d'interpellation du Frère Hounvi continuent de susciter des réactions. Il aurait été appréhendé nuitamment dans le voisinage de son domicile à Lomé et embarqué manu militari dans un véhicule par des personnes inconnues selon ses avocats. « Les informations qui sont parvenues à l'Ordre des Avocats du Bénin renseignent que les règles régissant la poursuite pénale, en la circonstance n'ont pas été respectées », a indiqué l'Ordre des Avocats du Bénin. Aucune autorité publique du Bénin n'a encore démenti les circonstances de l'interpellation du Frère Hounvi telles que exposées par ses avocats.
Selon le bâtonnier Angelo Aimé Hounkpatin « s'il est admis que dans, un Etat de droit, nul n'est au-dessus de la loi et que toute violation y afférente mérite d'être réprimée, il est tout aussi prescrit, voire exigé, que les modalités de poursuite et de répression des infractions y soient strictement conformes ».
Dans le cas de Steve Amoussou qui réside hors du territoire national, poursuit-t-il, la meilleure modalité de le faire comparaitre devant les autorités judiciaires du Bénin eût consisté à décerner à son encontre un mandat d'arrêt. « Le cas échéant, les autorités judiciaires de son pays de résidence, en l'occurrence le Togo auraient été mises à contribution à l'effet de l'interpeller puis d'organiser son transfert au Bénin », ajoute l'Ordre des Avocats du Bénin. Il appelle les autorités en charge de la police judiciaire et de la poursuite pénale à plus de retenue dans leurs actes qui doivent être, à tous égards et à chaque instant, respectueux de la loi et de la personne humaine.
L'Ordre des Avocats du Bénin a réagi à l'interpellation de Steve Amoussou alias Frère Hounvi à travers une déclaration en date du 20 août 2024. Il invite les autorités de poursuite judiciaire à faire preuve de lucidité en se comportant comme des professionnels guidés par le respect des lois.
Les circonstances d'interpellation du Frère Hounvi continuent de susciter des réactions. Il aurait été appréhendé nuitamment dans le voisinage de son domicile à Lomé et embarqué manu militari dans un véhicule par des personnes inconnues selon ses avocats. « Les informations qui sont parvenues à l'Ordre des Avocats du Bénin renseignent que les règles régissant la poursuite pénale, en la circonstance n'ont pas été respectées », a indiqué l'Ordre des Avocats du Bénin. Aucune autorité publique du Bénin n'a encore démenti les circonstances de l'interpellation du Frère Hounvi telles que exposées par ses avocats.
Selon le bâtonnier Angelo Aimé Hounkpatin « s'il est admis que dans, un Etat de droit, nul n'est au-dessus de la loi et que toute violation y afférente mérite d'être réprimée, il est tout aussi prescrit, voire exigé, que les modalités de poursuite et de répression des infractions y soient strictement conformes ».
Dans le cas de Steve Amoussou qui réside hors du territoire national, poursuit-t-il, la meilleure modalité de le faire comparaitre devant les autorités judiciaires du Bénin eût consisté à décerner à son encontre un mandat d'arrêt. « Le cas échéant, les autorités judiciaires de son pays de résidence, en l'occurrence le Togo auraient été mises à contribution à l'effet de l'interpeller puis d'organiser son transfert au Bénin », ajoute l'Ordre des Avocats du Bénin. Il appelle les autorités en charge de la police judiciaire et de la poursuite pénale à plus de retenue dans leurs actes qui doivent être, à tous égards et à chaque instant, respectueux de la loi et de la personne humaine.
L'Ordre des Avocats du Bénin a réagi à l'interpellation de Steve Amoussou alias Frère Hounvi à travers une déclaration en date du 20 août 2024. Il invite les autorités de poursuite judiciaire à faire preuve de lucidité en se comportant comme des professionnels guidés par le respect des lois.
Les circonstances d'interpellation du Frère Hounvi continuent de susciter des réactions. Il aurait été appréhendé nuitamment dans le voisinage de son domicile à Lomé et embarqué manu militari dans un véhicule par des personnes inconnues selon ses avocats. « Les informations qui sont parvenues à l'Ordre des Avocats du Bénin renseignent que les règles régissant la poursuite pénale, en la circonstance n'ont pas été respectées », a indiqué l'Ordre des Avocats du Bénin. Aucune autorité publique du Bénin n'a encore démenti les circonstances de l'interpellation du Frère Hounvi telles que exposées par ses avocats.
Selon le bâtonnier Angelo Aimé Hounkpatin « s'il est admis que dans, un Etat de droit, nul n'est au-dessus de la loi et que toute violation y afférente mérite d'être réprimée, il est tout aussi prescrit, voire exigé, que les modalités de poursuite et de répression des infractions y soient strictement conformes ».
Dans le cas de Steve Amoussou qui réside hors du territoire national, poursuit-t-il, la meilleure modalité de le faire comparaitre devant les autorités judiciaires du Bénin eût consisté à décerner à son encontre un mandat d'arrêt. « Le cas échéant, les autorités judiciaires de son pays de résidence, en l'occurrence le Togo auraient été mises à contribution à l'effet de l'interpeller puis d'organiser son transfert au Bénin », ajoute l'Ordre des Avocats du Bénin. Il appelle les autorités en charge de la police judiciaire et de la poursuite pénale à plus de retenue dans leurs actes qui doivent être, à tous égards et à chaque instant, respectueux de la loi et de la personne humaine.
L'Ordre des Avocats du Bénin a réagi à l'interpellation de Steve Amoussou alias Frère Hounvi à travers une déclaration en date du 20 août 2024. Il invite les autorités de poursuite judiciaire à faire preuve de lucidité en se comportant comme des professionnels guidés par le respect des lois.
Les circonstances d'interpellation du Frère Hounvi continuent de susciter des réactions. Il aurait été appréhendé nuitamment dans le voisinage de son domicile à Lomé et embarqué manu militari dans un véhicule par des personnes inconnues selon ses avocats. « Les informations qui sont parvenues à l'Ordre des Avocats du Bénin renseignent que les règles régissant la poursuite pénale, en la circonstance n'ont pas été respectées », a indiqué l'Ordre des Avocats du Bénin. Aucune autorité publique du Bénin n'a encore démenti les circonstances de l'interpellation du Frère Hounvi telles que exposées par ses avocats.
Selon le bâtonnier Angelo Aimé Hounkpatin « s'il est admis que dans, un Etat de droit, nul n'est au-dessus de la loi et que toute violation y afférente mérite d'être réprimée, il est tout aussi prescrit, voire exigé, que les modalités de poursuite et de répression des infractions y soient strictement conformes ».
Dans le cas de Steve Amoussou qui réside hors du territoire national, poursuit-t-il, la meilleure modalité de le faire comparaitre devant les autorités judiciaires du Bénin eût consisté à décerner à son encontre un mandat d'arrêt. « Le cas échéant, les autorités judiciaires de son pays de résidence, en l'occurrence le Togo auraient été mises à contribution à l'effet de l'interpeller puis d'organiser son transfert au Bénin », ajoute l'Ordre des Avocats du Bénin. Il appelle les autorités en charge de la police judiciaire et de la poursuite pénale à plus de retenue dans leurs actes qui doivent être, à tous égards et à chaque instant, respectueux de la loi et de la personne humaine.
L'Ordre des Avocats du Bénin a réagi à l'interpellation de Steve Amoussou alias Frère Hounvi à travers une déclaration en date du 20 août 2024. Il invite les autorités de poursuite judiciaire à faire preuve de lucidité en se comportant comme des professionnels guidés par le respect des lois.
Les circonstances d'interpellation du Frère Hounvi continuent de susciter des réactions. Il aurait été appréhendé nuitamment dans le voisinage de son domicile à Lomé et embarqué manu militari dans un véhicule par des personnes inconnues selon ses avocats. « Les informations qui sont parvenues à l'Ordre des Avocats du Bénin renseignent que les règles régissant la poursuite pénale, en la circonstance n'ont pas été respectées », a indiqué l'Ordre des Avocats du Bénin. Aucune autorité publique du Bénin n'a encore démenti les circonstances de l'interpellation du Frère Hounvi telles que exposées par ses avocats.
Selon le bâtonnier Angelo Aimé Hounkpatin « s'il est admis que dans, un Etat de droit, nul n'est au-dessus de la loi et que toute violation y afférente mérite d'être réprimée, il est tout aussi prescrit, voire exigé, que les modalités de poursuite et de répression des infractions y soient strictement conformes ».
Dans le cas de Steve Amoussou qui réside hors du territoire national, poursuit-t-il, la meilleure modalité de le faire comparaitre devant les autorités judiciaires du Bénin eût consisté à décerner à son encontre un mandat d'arrêt. « Le cas échéant, les autorités judiciaires de son pays de résidence, en l'occurrence le Togo auraient été mises à contribution à l'effet de l'interpeller puis d'organiser son transfert au Bénin », ajoute l'Ordre des Avocats du Bénin. Il appelle les autorités en charge de la police judiciaire et de la poursuite pénale à plus de retenue dans leurs actes qui doivent être, à tous égards et à chaque instant, respectueux de la loi et de la personne humaine.
L'Ordre des Avocats du Bénin a réagi à l'interpellation de Steve Amoussou alias Frère Hounvi à travers une déclaration en date du 20 août 2024. Il invite les autorités de poursuite judiciaire à faire preuve de lucidité en se comportant comme des professionnels guidés par le respect des lois.
Les circonstances d'interpellation du Frère Hounvi continuent de susciter des réactions. Il aurait été appréhendé nuitamment dans le voisinage de son domicile à Lomé et embarqué manu militari dans un véhicule par des personnes inconnues selon ses avocats. « Les informations qui sont parvenues à l'Ordre des Avocats du Bénin renseignent que les règles régissant la poursuite pénale, en la circonstance n'ont pas été respectées », a indiqué l'Ordre des Avocats du Bénin. Aucune autorité publique du Bénin n'a encore démenti les circonstances de l'interpellation du Frère Hounvi telles que exposées par ses avocats.
Selon le bâtonnier Angelo Aimé Hounkpatin « s'il est admis que dans, un Etat de droit, nul n'est au-dessus de la loi et que toute violation y afférente mérite d'être réprimée, il est tout aussi prescrit, voire exigé, que les modalités de poursuite et de répression des infractions y soient strictement conformes ».
Dans le cas de Steve Amoussou qui réside hors du territoire national, poursuit-t-il, la meilleure modalité de le faire comparaitre devant les autorités judiciaires du Bénin eût consisté à décerner à son encontre un mandat d'arrêt. « Le cas échéant, les autorités judiciaires de son pays de résidence, en l'occurrence le Togo auraient été mises à contribution à l'effet de l'interpeller puis d'organiser son transfert au Bénin », ajoute l'Ordre des Avocats du Bénin. Il appelle les autorités en charge de la police judiciaire et de la poursuite pénale à plus de retenue dans leurs actes qui doivent être, à tous égards et à chaque instant, respectueux de la loi et de la personne humaine.
L'Ordre des Avocats du Bénin a réagi à l'interpellation de Steve Amoussou alias Frère Hounvi à travers une déclaration en date du 20 août 2024. Il invite les autorités de poursuite judiciaire à faire preuve de lucidité en se comportant comme des professionnels guidés par le respect des lois.
Les circonstances d'interpellation du Frère Hounvi continuent de susciter des réactions. Il aurait été appréhendé nuitamment dans le voisinage de son domicile à Lomé et embarqué manu militari dans un véhicule par des personnes inconnues selon ses avocats. « Les informations qui sont parvenues à l'Ordre des Avocats du Bénin renseignent que les règles régissant la poursuite pénale, en la circonstance n'ont pas été respectées », a indiqué l'Ordre des Avocats du Bénin. Aucune autorité publique du Bénin n'a encore démenti les circonstances de l'interpellation du Frère Hounvi telles que exposées par ses avocats.
Selon le bâtonnier Angelo Aimé Hounkpatin « s'il est admis que dans, un Etat de droit, nul n'est au-dessus de la loi et que toute violation y afférente mérite d'être réprimée, il est tout aussi prescrit, voire exigé, que les modalités de poursuite et de répression des infractions y soient strictement conformes ».
Dans le cas de Steve Amoussou qui réside hors du territoire national, poursuit-t-il, la meilleure modalité de le faire comparaitre devant les autorités judiciaires du Bénin eût consisté à décerner à son encontre un mandat d'arrêt. « Le cas échéant, les autorités judiciaires de son pays de résidence, en l'occurrence le Togo auraient été mises à contribution à l'effet de l'interpeller puis d'organiser son transfert au Bénin », ajoute l'Ordre des Avocats du Bénin. Il appelle les autorités en charge de la police judiciaire et de la poursuite pénale à plus de retenue dans leurs actes qui doivent être, à tous égards et à chaque instant, respectueux de la loi et de la personne humaine.