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Updated: 4 days 9 hours ago

Poutine : les militaires russes se trouvent en Syrie pour assurer les intérêts vitaux de la Russie

Fri, 06/08/2018 - 18:18

Le président russe, Vladimir Poutine, a fait savoir que si les forces armées russes restaient en Syrie, les installations militaires n’avaient pas vocation à être permanentes, indiquant que les militaires russes se trouvent en Syrie «pour assurer les intérêts vitaux de la Russie», ont rapporté des médias.

S’exprimant dans le cadre de sa session annuelle de questions-réponses en direct avec les Russes, M. Poutine a précisé que si les forces armées russes restaient en Syrie, les installations militaires n’avaient pas vocation à être permanentes.

«Nos militaires se trouvent dans cette région pour assurer les intérêts vitaux de la Russie», a déclaré Vladimir Poutine évoquant le conflit en Syrie, ajoutant que 90% du territoire syrien était sous contrôle des forces syriennes et russes. «Pour l’instant, nous n’envisageons pas de retirer ces unités», a-t-il souligné, indiquant qu’«elles y resteront jusqu’à ce que (…) nos obligations internationales soient accomplies».

Vladimir Poutine a en outre souligné qu’en Syrie, les groupes armés terroristes avaient pu être concentrés en une seule et même région. «Mieux vaut les combattre là qu’en Russie», a-t-il estimé, alors que l’extension maximale de Daesh en Syrie, en 2014 et 2015, pouvait constituer une menace, à terme, pour le sud de la Russie.

Pour autant, d’après le président russe, la Russie n’a pas vocation à maintenir une présence, à terme, en Syrie. «Nous ne construisons pas des installations à long terme», a toutefois précisé le président russe, affirmant que «la Syrie n’est pas un terrain d’entraînement militaire».

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Categories: Afrique

Être artiste et se battre pour vivre de son art !

Fri, 06/08/2018 - 18:17

Vivre de son art demeure le vœu le plus exprimé par la majorité des artistes, à l’occasion de leur journée nationale célébrée le 8 juin de chaque année, en dépit de certains acquis  socioprofessionnels comme l’institution de la carte professionnelle d’artiste et le droit à la sécurité sociale et celui à la retraite.

Le président du Conseil national consultatif des arts et des lettres (CNAL), Abdelaker Bendameche, estime que la création de cette instance consultative, mise sous tutelle du ministère de la Culture, constitue en soi une « affirmation » de la reconnaissance du métier de l’artiste à part entière.

Pour M. Bendamache, il est indéniable que l’artiste algérien jouit aujourd’hui de nombreux avantages socioprofessionnels, tel que le droit à la sécurité sociale.

C’est dans ce sens qu’il a considéré que ce droit, institué par un décret promulgué en 2014, traduit la volonté affirmée de l’Etat à accompagner les artistes et améliorer leur situation sociale.

Pour cet interprète du chant chaabi, la nomenclature des métiers d’art fixée par décret, compte également parmi les acquis à mettre à l’actif des artistes pour qui le « métier de créateur » est désormais reconnu.

Il a fait savoir, dans le même ordre d’idées, qu’un décret exécutif, en cours de finalisation, sur la relation de travail sera promulgué prochainement. Ce décret constitue, estime-t-il, une « base juridique » pour la relation de travail des artistes, jusque-là non fixée par un texte de loi, et vise à lutter contre les « pratiques abusives » des employeurs.

Par ailleurs et selon le président du Cnal, l’opération d’attribution des cartes d’artistes a bien avancé. Ainsi cette instance consultative a reçu,  depuis 2015, 12.465 dossiers de demande de cartes d’artiste. Quelques 9.842 postulants ont effectivement reçu leurs cartes validant leur qualité d’artiste.

Créé en 2011 par décret exécutif, le Cnal est composé de treize membres dont des personnalités du monde des arts et des lettres.

Appel à sortir de la précarité

En dépit de la note optimisme qui se dégage du bilan d’activité dressé par le Président du Cnal, de nombreux artistes algériens s’accordent à dire que la situation de l’artiste demeure « précaire » malgré  ces quelques » acquis socioprofessionnels.

C’est ce qui ressort des propos de Bouchaoui M’hamed, musicien membre de l’Orchestre régional d’Alger, qui estime que « tout reste à faire » tant que le statut de l’artiste n’existe toujours pas.

Tout en reconnaissant que le musicien professionnel perçoit une rétribution « conséquente », ce violoniste admet que la situation financière est « difficile » pour les musiciens amateurs, qui sont rarement sollicités.

Pour le réalisateur Yahia Mouzahem, par contre, le climat n’est « pas favorable » à la création malgré la concrétisation de certains acquis notamment l’institution de la carte d’artiste.

Relevant un manque de débats et de réflexion autour de l’art, ce producteur et auteur de plusieurs courts métrages dont « Cheikh Mebrouk » (1998), « Oranges (2003), la « Cité des vieux (2009), appelle les professionnels du cinéma à s’unir en association pour mieux défendre leurs » intérêts » .

Il estime que la création est encouragée à travers le Prix Ali Maâchi, une récompense décernée annuellement aux créateurs dans tous les domaines artistiques.

S’ajoutent, a-t-il enchaîné, les aides à la création accordées aux jeunes cinéastes par le Fonds de développement de l’art, de la technique et de l’industrie cinématographique (Fdatic), un organisme public sous tutelle du ministère de la Culture .

Pour le comédien de théâtre, Abdelkader Djeriou, c’est bien l’absence d’un marché de l’art en Algérie qui déteint  négativement » sur le niveau de la création artistique et sur la situation socioprofessionnelle de l’artiste, réduit, selon son expression, à un « simple figurant » remplissant des « rôles ».

C’est ce qui l’a amené à plaider pour une stratégie « politique » à même de relancer l’activité théâtrale à travers l’élaboration de programmes financés par les fonds publics.

Abondant dans le même sens, le plasticien Rachid Djemaï regrette, pour sa part, l’absence d’un marché de l’art, susceptible de créer un circuit financier profitable aux artistes et aux galeristes.

Ce diplômé des Beaux-arts (promotion de 1969) déplore le ralentissement du marché durant les années de braises (Années 1990), du fait que de l’Algérie vivait une situation sécuritaire précaire engendrée par les actes  terroristes des groupes islamistes armés.

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Categories: Afrique

La loi relative au commerce électronique entre en vigueur !

Fri, 06/08/2018 - 17:47

La loi relative au commerce électronique, fixant les règles générales du commerce électronique des biens et des services, a été publiée au dernier journal officiel (N 28).

Au sens de cette loi, signée par le président de la République Abdelaziz Bouteflika, le Commerce électronique désigne l’activité par laquelle un e-fournisseur propose ou assure, à un e-consommateur, à distance et par voie de communications électroniques la fourniture de biens et de services.

Le Contrat électronique est, selon la loi, le même contrat défini par la loi du 23 juin 2004 fixant les règles applicables aux pratiques commerciales, conclu à distance sans la présence physique simultanée des parties par le recours exclusif à une technique de communication électronique.

Pour le e-consommateur, il s’agit de toute personne physique ou morale qui acquiert, à titre onéreux ou gratuit, un bien ou un service par voie de communications électroniques auprès d’un e-fournisseur pour une utilisation finale.

Le e-fournisseur, est quant à lui, la personne physique ou morale qui commercialise ou propose la fourniture des biens ou des services par voie de communications électroniques.

Les moyen de paiement électronique sont définis par cette loi comme étant les instruments de paiement permettant à leurs titulaires d’effectuer des paiements de proximité ou à distance à travers un système électronique.

La nouvelle loi est applicable en matière de transactions de commerce électronique dans le cas où l’une des parties au contrat électronique est de nationalité algérienne, ou réside légalement en Algérie, ou étant une personne morale de droit algérien, ou bien si le contrat est conclu ou exécuté en Algérie.

Toutefois, est interdite toute transaction par voie de communications électroniques portant sur les jeux de hasard, paris et loteries, les boissons alcoolisées et tabac, les produits pharmaceutiques, les produits portant atteinte aux droits de propriété intellectuelle, industrielle ou commerciale, tout bien ou service prohibé par la législation en vigueur et tous les biens ou services qui requièrent un acte authentique.

En plus, toute transaction par voie de communications électroniques des matériels, équipements et produits sensibles définis par la réglementation est interdite ainsi que tout autre produit et/ou services pouvant porter atteinte aux intérêts de la défense nationale, à l’ordre et à la sécurité publics.

Les transactions opérées par voie de communications électroniques sont soumises aux droits et taxes prévus par la législation et la réglementation en vigueur, selon la loi qui stipule que les investissements destinés à l’appui des activités du commerce électronique peuvent faire l’objet de mesures incitatives, conformément à la législation en vigueur.

En outre, la vente par voie de communications électroniques d’un bien et/ou d’un service par un e-fournisseur résident à un e-consommateur établi dans un pays étranger est dispensée des formalités de contrôle du commerce extérieur et des changes, lorsque sa valeur n’excède pas l’équivalent en dinars de la limite fixée par la législation et la réglementation en vigueur.

Le produit de cette vente doit, après son paiement, être porté sur le compte du e-fournisseur domicilié en Algérie auprès d’une banque agréée par la Banque d’Algérie, ou auprès d’Algérie Poste.L’activité de commerce électronique est soumise à inscription, selon le cas , au registre du commerce ou au registre de l’artisanat et des métiers , et à la publication d’un site ou d’une page web hébergé en Algérie avec une extension « .com.dz ». Le site web du e-fournisseur doit être muni des outils permettant son authentification.

Il est institué auprès du centre national du registre du commerce un fichier national des e-fournisseurs inscrit au registre du commerce ou au registre de l’artisanat et des métiers.Selon la loi, le e-fournisseur doit présenter l’offre commerciale électronique de manière « visible, lisible et compréhensible ».

Cette offre doit comporter le numéro d’identification fiscale, les adresses physique et électronique ainsi que le numéro de téléphone du e-fournisseur, le numéro de registre du commerce ou le numéro de la carte professionnelle d’artisan, la nature, ainsi que les caractéristiques et le prix des biens ou services proposés en toutes taxes comprises.

Elle doit également préciser, entre autres, l’état de disponibilité du bien ou du service, les modalités, les frais et les délais de livraison, les conditions générales de vente, notamment les indications relatives à la protection des données à caractère personnel, les conditions de garantie commerciale et du service après-vente,  le mode de calcul du prix, les modalités et les procédures de paiement et les conditions de résiliation du contrat le cas échéant.

Le contrat électronique doit comporter notamment les spécifications détaillées des biens ou des services, les conditions et modalités de livraison, les conditions de garantie et de service après-vente, les conditions de résiliation du contrat électronique, les conditions et modalités de paiement, les conditions et modalités de retour du produit , les modalités de traitement des réclamations, les conditions et modalités de précommande, le cas échéant ainsi que les conditions et modalités particulières liées à la vente à essai.

Toute vente de produit ou prestation de service par voie de communications électroniques donne lieu à l’établissement, par le e-fournisseur, d’une facture, remise au e-consommateur.

Lorsque le e-fournisseur livre un produit ou un service non commandé par le e-consommateur, il ne peut exiger le paiement de son prix ou de ses frais de livraison. En cas de non-respect par le e-fournisseur des délais de livraison, le e-consommateur peut réexpédier le produit en l’état dans un délai n’excédant pas quatre (4) jours ouvrables, à compter de la date de la livraison effective du produit, et ce, sans préjudice de son droit de réclamer la réparation du dommage.

Le e-fournisseur est tenu de faire une nouvelle livraison conforme à la commande, ou une réparation du produit défectueux, ou un échange du produit par un autre identique, ou une annulation de la commande et un remboursement des sommes versées et ce, sans préjudice de la possibilité de demande de réparation par le e-consommateur, en cas de dommage subi.

Le remboursement doit intervenir, dans un délai de quinze (15) jours, à compter de la date de réception du produit.

Les personnes physiques et morales exerçant le commerce électronique à la date de publication de la loi, sont tenues de se conformer à ses dispositions, dans un délai n’excédant pas six (6) mois.

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Bac 2018 : Benghabrit met en garde les candidats contre d’éventuels faux sujets sur les réseaux sociaux

Fri, 06/08/2018 - 17:47

La ministre de l’Education nationale, Mme Nouria Benghabrit, confirme son attachement constant à la coordination et à la concertation avec le partenaire social en vue d’améliorer la situation du secteur. C’est ce qui a été publié dans un communiqué sur la page facebook du ministère.

La ministre affirme par ailleurs que tout le gouvernement est mobilisé pour sécuriser l’examen du Baccalauréat, elle appelle les parents à sensibiliser leurs enfants aux sanctions prévues à l’encontre des fraudeurs et à les prémunir contre les réseaux sociaux qui tendent à les déconcentrer avec de feux sujets.

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« Sonatrach œuvre à figurer parmi les 5 plus grandes sociétés pétrolières d’ici 2030 »

Fri, 06/08/2018 - 17:26

Le Président directeur général, (PDG) du groupe Sonatrach, Abdelmoumèn Ould Kadour a affirmé jeudi soir à Skikda que ‘‘Sonatrach œuvre à figurer parmi les 5 plus grandes sociétés pétrolières au monde à horizon 2030’’.

Cette stratégie de figurer parmi les plus grandes sociétés pétrolières ‘‘ne se concrétisera qu’à travers le développement du facteur humain qui représente une des priorités stratégiques et centre d’intérêt de Sonatrach’’, a considéré Ould Kadour lors de sa visite au complexe pétrolier de Skikda.

‘‘Avec la confiance entre les travailleurs, leurs responsables et les partenaires de la société, la société parviendra à réaliser ses objectifs’’, a assuré le PDG estimant qu’ ‘‘un travail colossal a été accompli depuis une année au niveau de Sonatrach’’.

L’année en cours sera celle ‘‘de la réforme globale axée sur la ressource humaine sans négliger les autres activités’’, a encore soutenu Ould Kadour.

De son côté, Fethi Arabi, conseiller à la direction générale du groupe Sonatrach, a évoqué lors d’une conférence sur la stratégie de la société à horizon 2030,  l’ambition de la société de multiplier les explorations sur le territoire national, de recourir aux énergies renouvelables pour assurer la production de 1,3 mégawatts pour couvrir 80 % des besoins de la société et de développer ses ressources naturelles par la formation continue, la valorisation des talents et l’amélioration des conditions de travail.

Pour sa part,  Ahmed Mezighi, également conseiller à la direction générale de Sonatrach a indiqué que 63 % des commandes de gaz durant les 12 prochaines années viendront de l’Asie et 50 % de la Chine à elle seule tandis que la demande du marché européen baissera, à partir de l’année 2025.

La majorité des contrats signés avec des sociétés internationales par le groupe Sonatrach prennent fin à compter de 2019, a ajouté le même cadre estimant que ‘‘le renouvellement de ces contrats ne sera pas effectué dans les termes des précédents et le plus long contrat sera au maximum de cinq ans’’.

Ould Kadour a inspecté dans la zone industrielle le complexe gazier GL1K qui produit 4,5 millions tonnes de gaz naturel liquéfié et 164.700 tonnes d’éthane ainsi que la raffinerie en activité depuis 1980.

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Tunisie : la Conect appelle à abandonner la nouvelle taxe exigée des transporteurs algériens à leur entrée sur le territoire tunisien

Fri, 06/08/2018 - 17:26

La décision relative à l’imposition d’une nouvelle taxe, d’une valeur de 200 dinars tunisiens (14000 dinars algériens) , aux transporteurs algériens à leur entrée sur le territoire tunisien constitue une nouvelle entrave aux échanges commerciaux entre la Tunisie et l’Algérie, a regretté la Confédération des Entreprises Citoyennes de Tunisie (Conect).

Dans un communiqué reproduit jeudi par l’agence TAP, la CONECT exprime sa préoccupation suite à cette décision, estimant que ce «genre de dispositions créent une instabilité règlementaire et constituent des obstacles pour les opérateurs économiques de nos deux pays frères et voisins».

«La conjoncture actuelle nécessite une batterie de mesures de facilitation et de soutien en faveur des opérateurs économiques afin d’augmenter le volume des échanges commerciaux entre la Tunisie et l’Algérie qui est en deçà du potentiel existant», indique la même source, appelant les autorités concernées à «lever ces entraves à l’export qui freinent le développement de la PME tunisienne à l’International».

Pour sa part, la Direction générale des douanes tunisiennes, réagissant aux informations faisant à propos d’»une nouvelle taxe d’entrée aux transporteurs algériens», a expliqué que l’article 42 de la loi de finances 2018 a instauré un droit de scannage des conteneurs, estimé à 200 dinars et payé automatiquement à travers la souscription d’une déclaration «UC» relative aux unités de charges.

Dans un communiqué publié lundi dernier, la Douane tunisienne a précisé que les bus et les véhicules touristiques sont exempts de cette imposition et que les mesures de cet article sont appliquées par les services de la douane, à partir du 1er janvier 2018, à tous les passages frontaliers équipés de scanners.

Pour les autres passages terrestres, a-t-on ajouté, cette mesure sera appliquée progressivement en parallèle avec la mise en place des scanners spécifiques aux unités de charges.

Les unités de charges importées à travers les ports tunisiens sous le régime transit et orientées vers les passages frontaliers terrestres payent le droit de scannage, au niveau du premier bureau d’entrée où les déclarations douanières type «UC « sont déposées, sachant qu’aucune taxe de sortie ne leur est imposée, a également indiqué la Douane tunisienne.

La direction générale des douanes a également expliqué que ce droit a été décidé pour couvrir les coûts d’acquisition et de maintenance des scanners et que cette mesure est appliquée dans tous les pays.

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communiqué de presse des journalistes du supplément Étudiant d’El Watan

Fri, 06/08/2018 - 15:45

Nous, journalistes du supplément étudiant d’El Watan, dénonçons avec grande vigueur l’attitude et le comportement indigne qui frise l’hystérie de Omar Belhouchet, Directeur de publication du journal, suite à la démission collective déposée ce mardi 5 juin 2018.

Sans aucun égard aux règles de bienséance, ni même celles bien plus contraignantes des lois de la République, ce personnage qui a fait de la démocratie un emblème, des droits de l’homme un étendard et de la liberté d’expression un fonds de commerce, se comporte comme un potentat devant un fait tout à fait ordinaire, à savoir une rupture de relation de travail. Avant les délais réglementaires suivant le dépôt de la démission – qu’une première provocation de la direction du journal a fait collective –, Omar Belhouchet a séquestré les affaires personnelles des démissionnaires, ainsi que le matériel informatique mis à leur disposition sans leur laisser le temps de retirer leurs données personnelles.

Faisant fi de la réglementation et des règles d’éthique qu’un journaliste ne peut ignorer, ce directeur a même eu l’outrecuidance de bloquer l’accès aux messageries et changé les mots de passe des ordinateurs du supplément et des journalistes, un procédé digne des barbouzes que le journal ne cesse de dénoncer. Et tout cela avant que la fin de contrat ne soit officiellement signifiée – documents et droits en suspens – ce qui fait valoir notre décision de porter plainte devant les juridictions compétentes, non plus seulement pour avoir des droits de compensation, mais pour ce qui pourrait être assimilé à un licenciement abusif.

Nous, journalistes du supplément étudiant annonçons saisir les autorités compétentes pour lancer une expertise dans l’optique de contrôler l’utilisation probable de nos données personnelles qu’elles soient numériques ou physiques, à notre insu ainsi que la protection de nos sources.

Nous exhortons les membres du conseil d’administration et les actionnaires du journal à se démarquer de ces pratiques dignes d’un « autoritarisme d’un autre âge ». Rappelons que le 5 juin 2018, suite à une décision contestée de la direction relative au changement de rubrique pour l’équipe rédactionnelle fondatrice du supplément, dans l’optique de procéder au muselage d’El Watan Etudiant dont le professionnalisme, la probité et la crédibilité ne souffrent d’aucune ambigüité, l’équipe rédactionnelle du supplément étudiant d’El Watan a déposé une démission collective tout en respectant leurs obligations professionnelles et réglementaires.

Cette décision collective n’est en aucun cas motivée par de quelconques considérations socioéconomiques, ni par la pseudo-crise dans laquelle s’enfoncerait le journal depuis quelques années (selon les affirmations de sa direction), mais il s’agit bien d’une question de dignité et de ligne de conduite face au mépris de ce personnage.

Zouheir Ait Mouhoub, fondateur et ex-rédacteur en chef d’El Watan Etudiant Samir Azzoug, membre fondateur, journaliste Fatma Zohra Foudil, membre fondateur, journaliste scientifique Faten Hayed, journaliste.

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La loi sur les hydrocarbures modifiée sera prête début 2019

Fri, 06/08/2018 - 14:01

Le ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni, a affirmé jeudi que la loi sur les hydrocarbures dans sa version modifiée, en cours d’élaboration, sera fin prête en janvier ou février prochains, précisant que cette loi requiert une étude approfondie en ce sens où elle “concerne l’avenir du pays”.

Lors d’une plénière du Conseil de la nation, consacrée aux questions orales, le ministre a indiqué que “cette révision est indispensable car cette loi n’est plus attractive pour les opérateurs et investisseurs algériens”, ajoutant que tous les pays producteurs ont adapté leurs lois qui ont été reformulées en adéquation avec les changements que connaissent les cours du pétrole marqués par une baisse ces dernières années.

“Il est n’est plus possible de continuer à travailler avec une loi appliquée lorsque le prix du baril était à 140 USD alors qu’il est actuellement de 30 dollars. Nous ne pouvons restés comme ça figés”, a déclaré le ministre.

Le ministre a fait état, dans ce sens, de l’infructuosité de 5 à 6 appels d’offres internationaux, estimant que cette loi “manque d’attractivité”.

Rappelant que le secteur travaille avec les partenaires étrangers dans le cadre d’une relation “gagnant-gagnant”, le ministre de l’Energie a déclaré: “nous ne céderons pas nos droits”.

A une question sur l’octroi de l’étude technique relative à la nouvelle loi sur les hydrocarbures à un bureau étranger (américain), le ministre a précisé que “l’octroi de l’étude à un bureau américain ne veut pas dire qu’il n y a pas de compétences en Algérie”. Cependant, “il est inconvenable que le pays se mette dans une situation d’isolement, car de telles lois requièrent une expérience nationale et étrangère”, a-t-il ajouté.

Guitouni considère que la nationalité du bureau d’étude n’était pas importante. L’essentiel  est de parvenir à formuler des lois qui soient bénéfiques pour le pays, à attirer les investisseurs et à préserver les stocks nationaux.

“Le plus important est que le secteur bouge, d’autant plus que les investisseurs ont de nouveau confiance en l’Algérie”, a soutenu le premier responsable du secteur.

Pour lui, il est essentiel d’œuvrer actuellement à l’attrait des investisseurs eu égard à la diversité des offres et de la concurrence au niveau du marché international.

“Le prix du pétrole change chaque heure et l’investisseur doit trouver un intérêt pour accepter de travailler avec nous. C’est pour cela que Sonatrach a entamé sa restructuration. Si nous n’accordons pas des garanties suffisantes aux investisseurs, ils n’accepteront pas de venir”, a-t-il expliqué.

Concernant la demande formulée par des sociétés étrangères, dans le cadre des consultations en cours pour l’élaboration de la loi amendée sur les hydrocarbures, pour un retour au travail avec des contrats du partage de la production, le ministre a indiqué qu’il n’est pas pertinent de travailler avec une loi qui “muselle” le secteur, d’où la nécessité pour cette loi de s’adapter avec toutes les problématiques posées.

S’agissant de la règle 49/51 appliquée sur les investissements étrangers contenus dans la loi sur l’investissement en Algérie, le ministre a indiqué que cette règle restera de mise et “notre travail sera dans le cadre de celle-ci”.

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Affaire des pieds noirs: L’organisation des Moudjahidines dénonce les propos des responsables

Fri, 06/08/2018 - 14:00

Le secrétaire général de l’Organisation Nationale des Moudjahidines, a réitéré, en marge d’un communiqué récemment rendu public, dont une copie est parvenue à notre rédaction,le refus de cette dernière ainsi la famille révolutionnaire de toute normalisation avec l’Etat français, sans présentation d’une excuse formelle.

La même organisation n’a notamment pas apprécié les déclarations du premier ministre Ahmed Ouyahia, incitant les hommes d’affaires à s’appuyer sur les anciens pied-noir d’Algérie pour constituer des lobbys.

L’ONM a dénoncé des déclarations attentant à la dignité du peuple algérien et portant atteinte à son histoire, faites par de hautes responsables de l’Etat.

«De telles déclarations constituent une insulte pour la mémoire de la nation. Elles proviennent de hauts responsables ignorant les crimes commis par les pieds noirs contre le peuple algérien durant la colonisation », affirme le communiqué.

Selon la même source, ces déclarations démontrent une erreur de jugement et une sous-estimation des sacrifices consentis par les fidèles parmi les enfants du peuple algérien ».

«Ces déclarations sont  contradictoires avec les constantes nationales et les principes de sa révolution », ajoute le communiqué.

Pour rappel, M. Ouyahia a appelé les entrepreneurs algériens à s’appuyer sur la communauté algérienne mais aussi sur les anciens d’Algérie ou les pieds noirs pour exporter.

Imane Kimouche / version française: Rachel Hamdi

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Vidéo hostile à Bouteflika: le Parlement européen exprime ses « regrets » à l’Algérie

Fri, 06/08/2018 - 13:54

Le Parlement européen a exprimé jeudi ses « regrets » à l’Algérie suite à la diffusion d’une vidéo attentatoire aux symboles de l’Etat algérien, enregistrée dans les espaces de l’UE et grâce à des moyens mis par celle-ci à la disposition des médias, a affirmé l’ambassade d’Algérie à Bruxelles.

Le chef de cabinet du président du Parlement européen, Diego Canga Fano « a exprimé à l’ambassadeur d’Algérie, Amar Belani, ses regrets suite à cet incident », a-indiqué l’ambassade dans un communiqué.

Fano a affirmé à l’ambassadeur d’Algérie qu’ « une enquête interne » a été menée par ses services pour connaitre les circonstances dans lesquelles cette vidéo a été tournée, a ajouté la même source.

« Les  éléments de l’enquête ont fait ressortir que Mme Haddad-Lefèvre a délibérément enfreint les règles internes de l’institution et a abusé de la confiance des opérateurs du plateau de télévision du Parlement européen en dissimulant ses intentions malveillantes », a-t-on souligné.

Selon l’ambassade d’Algérie à Bruxelles, la direction générale de la Communication au Parlement européen a adressé, suite à l’enquête, « une lettre d’avertissement » à Mme Haddad-Lefèvre.

La direction générale de la Communication au Parlement européen a décidé également le 6 juin, et à titre conservatoire, de suspendre l’accès de Mme Haddad-Lefèvre aux studios d’enregistrement de l’institution européenne, « jusqu’à ce qu’elle rende compte de ses agissements irresponsables devant une commission appelée à statuer sur son accréditation », a-t-on encore affirmé.

L’ambassadeur d’Algérie à Bruxelles a « pris acte » de ces explications ainsi que des mesures adoptées en vue de « mettre un terme à cette manœuvre malveillante ».

Sur instruction du ministère des Affaires étrangères, l’ambassadeur d’Algérie à Bruxelles,  Amar Belani, a effectué « une démarche pressante » auprès de M. Diego Canga Fano, afin de demander des explications et clarifications sur l’utilisation frauduleuse par la correspondante de la Chaîne satellitaire « Al-Hiwar TV » des installations du Parlement pour l’enregistrement d’une vidéo attentatoire à l’honneur et à la dignité des symboles et des institutions algériennes.

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Medjani : «Nous n’avons pas notre mot à dire concernant les décisions de la FAF»(vidéo)

Fri, 06/08/2018 - 13:52

Tout d’abord, une analyse sur ce match perdu contre le Portugal ?
Je pense qu’il va falloir analyser le match à tête reposée pour pouvoir  parler du contenu. Je crois qu’on a vu quand même la différence centre une grande équipe et nous ce soir. Ce n’est pas à moi de tirer sur l’ambulance. Dans un match, il y a toujours des choses bonnes et d’autres moins bonnes. Le seul regret que l’on a, c’est que les trois buts qu’on concède, on aurait pu éviter. Ce sont des erreurs corrigeables c’est ce qui laisse des regrets sur le match.
La possession de balle était pour le Portugal, ça on le savait, mais bon il faut regarder devant. On est aujourd’hui une équipe qui est en difficulté, il ne faut pas se le cacher, maintenant il faut garder la tête haute.
On a annoncé le départ de Madjer et son staff après ce match, êtes-vous au courant ?
Vous savez, on suit un peu les choses de l’extérieur. On suit comme tout le monde les déclarations des uns et des autres. Après, une chose est sûre, tout le monde a des responsabilités. Après, la seule chose qu’on ne peut enlever à Rabah Madjer, c’est qu’il a voulu bien faire et quand il a parlé, il l’a fait avec son cœur.
Qu’avez-vous à dire sur cette décision ?
Maintenant, concernant les décisions qui seront prises par la fédération, je crois que nous n’avons pas notre mot à dire là dessus. On ne nous a pas demandé notre avis  pour ramener le coach et on ne le fera pas s’il doit y avoir une décision. On est là pour donner le meilleur de nous-mêmes sur le terrain. Malheureusement sur ces trois derniers matchs, on est en difficulté. Maintenant, il faut faire le constat et essayer de trouver des solutions à nos maux. Il faut être prêts pour le mois de septembre.
Vous avez subi presque tout le match, un commentaire ?
On a subi parce qu’on avait décidé de jouer bas, on avait décidé de jouer en bloc, donc on a eu des difficultés à remonter le ballon. C’est normal parce qu’on a décidé de jouer bas et essayer d’être dangereux sur les attaques rapides. C’est un jeu qu’on maitrisait bien en 2014, puis sous l’ère Gourcuff en 2015, lorsqu’il avait bien sûr décidé de reprendre les choses en main. C’est des choses qu’on a perdues depuis. Après, je crois qu’il  y a des choses à prendre en compte, car l’équipe n’est plus la même.
C’est-à-dire ?
Je veux dire que l’équipe des années passées n’est pas celle d’aujourd’hui. C’est difficile d’avoir une cohésion lorsqu’on est en recherche. Le coach l’a bien dit, il était en période de prospection. Il a donné la chance à pas mal de joueurs, donc quand on est en période de recherche, il nous faut forcément du temps et beaucoup de travail pour y arriver.
Comment vous voyez l’avenir de la sélection ?
Une équipe ne se construit pas en 6 ou 7 mois mais en deux ou 3 ans. Il va falloir être patient. Comme je l’ai dit, il y a quelque temps, nous avons besoin de reconstruire une équipe et le plus important est d’être opérationnel pour les prochaines éliminatoires de la Coupe du monde 2022.

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Produits Algériens refoulés par plusieurs pays !

Fri, 06/08/2018 - 13:43

Le président de l’Association nationale des exportateurs Algériens (ANEXAL), Ali Bey Nasri, affirmé que plusieurs cargaisons de dattes et pommes de terre ainsi d’autres produits agricoles viennent d’être refoulées par la Fédération de la Russie, le Canada, La France ainsi le Qatar  car, elles ne sont pas conformes aux normes et ne correspondant nullement aux termes du contrat conclus entre les deux parties.

En effet, le commerce vire au cauchemar, la France qui avait saisi les autorités, a notamment découvert une énorme quantité de verres de terre dans les dattes algériennes. Résultat : celle-ci avait été entièrement brûlée.

Le président d’ANEXAL a fait savoir que la quantité des produits agricoles algériens exportés durant les quatre derniers mois de l’année en cours a atteint les 20 millions de dollars, un chiffre déclaré « très bas » par rapport au nombre attendu, chose qui a été provoquée par l’énorme quantité de produits renvoyés.

«Il ne suffit pas de produire. Il faut également savoir produire et respecter des normes afin qu’on n’entache pas la bonne réputation des produits algériens » a,-t-il estimé.

Selon lui, l’Etat algérien ne fait pas suffisamment pour stimuler l’acte d’exporter correctement. Les exportateurs doivent être encadrés et préparés pour ne pas se retrouver dans des situations de retour de leurs marchandises avec tout ce que cela induit comme pertes financières.

Dans le même contexte, M.Nasri a appelé à la nécessité de conquérir le marché international. À cet effet, il s’est notamment déclaré optimiste, relevant l’existence de signaux d’espoir.

«Il faut se diriger vers la communauté algérienne établie un peu partout dans le monde et qui peut être un relais pour la promotion des produits algériens», a-t-il ajouté.

La même source a annoncé la tenue d’une réunion prévue le 12 du mois en cours au niveau du ministère de l’agriculture, afin de résoudre ce problème.

Imane Kimouche / version française: Rachel Hamdi

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Secousse tellurique à Batna !

Fri, 06/08/2018 - 13:41

Une secousse tellurique de magnitude de 3,7 sur l’échelle ouverte de Richter a eu lieu, vendredi à 03h15 dans la wilaya Batna, indique le Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG) dans un communiqué.

L’épicentre de la secousse a été localisé à 8 km au nord-est de la commune de Sefiane à l’ouest de la wilaya de Batna, précise la même source.

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CAN-2018 dames (qualifications) Algérie-Ethiopie 3-1: petite option pour les Vertes

Fri, 06/08/2018 - 03:00

ALGER- La sélection algérienne féminine de football a pris une petite option pour la qualification à la Coupe d’Afrique des nations CAN-2018 au Ghana, en battant mercredi soir au stade 5-Juillet d’Alger son homologue éthiopienne (3-1), en match aller du 2e et dernier tour qualificatif.

Après la traditionnelle période d’observation, les Ethiopiennes ont ouvert le score par l’entremise du capitaine Erehima Biza (15e). La réaction algérienne n’a pas tardé à survenir, puisque dans la foulée (19e) Ramdani Madina est parvenue à égaliser d’une reprise de la tête.

Une égalisation qui a complètement libéré les joueuses de l’entraineur Azzedine Chih, qui ont exercé un pressing haut qui leur a permis de prendre l’avantage grâce à Assia Sidhoum (32e), concluant une contre-attaque algérienne bien menée. L’avant-centre de l’Algérie Bouhani Benziane Naima a marqué un but à la 35e minute, mais refusé par l’arbitre pour une position d’hors-jeu peu évidente.

En seconde période, les Algériennes, conscientes que le score de 2 à 1 était loin d’être rassurant en vue de la seconde manche d’Addis-Abeba, sont revenues avec des intentions plus offensives. Après deux actions dangereuses, l’équipe nationale a réussi à corser l’addition à la 64e grâce au capitaine Sekouane Fatima, à la suite d’un coup de pied arrêté.

Complètement déchaînées, les coéquipières de l’entrante Merrouche Imene auraient pu donner plus d’ampleur à leur victoire, n’était le manque de concentration et de lucidité au niveau du compartiment offensif.

Les Algériennes seront appelées à rester vigilantes en vue de la seconde manche décisive prévue dimanche prochain à Addis-Abeba (16h00 locales/14h00 algériennes), un rendez-vous qui sera certainement difficile, au moment où les Ethiopiennes tenteront de renverser la vapeur chez elles et devant leur public.

Les deux sélections se sont déjà rencontrées deux années plus tôt dans le cadre du 1er tour des éliminatoires de la CAN-2016 disputée au Cameroun.

En match aller disputé au stade Omar-Hamadi (ex-Bologhine), les Algériennes l’avaient emporté sur le score de 1 à 0, avant de tenir en échec les Ethiopiennes à Addis-Abeba (1-1). L’équipe nationale a, par la suite, été sortie au dernier tour par le Kenya à la faveur du but marqué à l’extérieur (aller : 2-2, retour : 1-1).

La 13e édition de la CAN se jouera du 17 novembre au 1er décembre prochains au Ghana.

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La loi sur la poste et les communications électroniques publiée

Fri, 06/08/2018 - 02:59

ALGER- La loi fixant les règles générales relatives à la poste et aux communications électroniques visant à définir le cadre et les modalités de régulation des activités dans ce secteur, vient d’être publiée dans le Journal officiel.

Ce texte de loi a pour objectif de promouvoir le développement et l’utilisation des communications électroniques, définir les conditions générales d’exploitation des activités de la poste et des communications électroniques par les opérateurs, ainsi que le cadre institutionnel d’une autorité de régulation indépendante.

Il est précisé ainsi que les activités de la poste et des communications électroniques sont soumises au contrôle de l’Etat, qui « dispose de l’usage exclusif du domaine postal et en assure l’exploitation par des opérateurs, exerce le monopole en matière d’émission de timbres-poste et de toutes autres marques d’affranchissement des objets postaux et fixe les tarifs d’affranchissement et de toute prestation relevant du régime de l’exclusivité ».

La loi énonce que l’Etat, dans le cadre de ses prérogatives de contrôle des communications électroniques, « exerce, conformément aux dispositions constitutionnelles, la souveraineté sur l’ensemble de son espace hertzien et dispose de l’usage exclusif du spectre des fréquences radioélectriques ».

L’Etat instaure également, dans le cadre de ses missions de développement de la poste et des communications électroniques, le service universel de la poste et le service universel des communications électroniques et veille à leur mise en œuvre par les opérateurs. Ces services « sont fournis de manière permanente au profit de tous sur l’ensemble du territoire national », note le texte de loi.

L’article 8 prévoit la création d’un fonds d’appui du service universel de la poste et du service universel des communications électroniques dont la gestion est assurée par une commission multisectorielle présidée par le ministre chargé de la poste et des communications électroniques ou son représentant.

Une Autorité de régulation de la poste et des communications électroniques

Dans son article 11, la nouvelle loi énonce la création d’une Autorité de régulation indépendante chargée d’assurer la régulation des marchés postal et des communications électroniques pour le compte de l’Etat avec pour missions de « veiller à l’existence d’une concurrence effective et loyale sur les marchés postal et des communications électroniques ».

En vertu de ce texte, les opérateurs de la poste et des communications  électroniques sont tenus de respecter les dispositions légales et réglementaires relatives notamment à la poste, aux communications électroniques et à la cyber sécurité.

L’Autorité de régulation est consultée par le ministre chargé de la poste et des communications électroniques pour la préparation de tout projet de texte réglementaire relatif aux secteurs de la poste et des communications électroniques, la préparation des cahiers des charges, la préparation de la procédure de sélection des candidats pour l’exploitation des licences de communications électroniques, la formulation de toute recommandation à l’autorité compétente préalablement à l’octroi, la suspension, le retrait ou le renouvellement de licences.

Algérie Poste autorisée à créer un service d’épargne

L’opérateur public Algérie Poste peut désormais diversifier sa gamme de prestations financières à travers la création d’un service d’épargne, selon la nouvelle loi.

« Algérie Poste est autorisé à créer un service d’épargne et à élargir la gamme des prestations financières offertes à sa clientèle sur une base commerciale conformément aux dispositions de la loi relative à la monnaie et au crédit », stipule l’article 29 de la présente loi.

Le même article indique, par ailleurs, que l’Etat concède à Algérie Poste le développement, l’exploitation et la fourniture des services de la poste entrant dans le régime de l’exclusivité. Algérie Poste est chargée, en outre, de la fourniture du service universel de la poste.

D’autre part, le texte de loi offre la possibilité à tout abonné de conserver son numéro de téléphone lorsqu’il change d’opérateur. Ce dernier est tenu de « garantir la portabilité des numéros pour l’ensemble des abonnés dans les conditions et modalités fixés par voie règlementaire ».

Le nouveau texte de loi annonce également la création auprès du ministre en charge des communications électroniques d’une entité chargée des points d’échange internet qui consiste en « une infrastructure physique permettant l’interconnexion de services internet en vue de garantir un routage local du trafic internet échangé entre les opérateurs de communications électroniques, établis sur le territoire national ».

L’opérateur historique tenu de donner suite aux demandes de dégroupage de sa boucle locale

Dans son article 102, la présente loi énonce que « l’opérateur historique titulaire d’une licence d’établissement et d’exploitation d’un réseau de communications électroniques fixe ouvert au public, est tenu, dans des conditions objectives, transparentes et non discriminatoires, de donner suite aux demandes de dégroupage de sa boucle locale formulées par les opérateurs de services de communications électroniques titulaires d’autorisation générales ».

L’opérateur historique « est tenu de prendre toutes les mesures nécessaires pour aménager ses infrastructures ainsi que ses locaux techniques existants afin de permettre aux demandeurs de dégroupage la co-localisation de leurs installations nécessaires à la fourniture de leurs services ».

La loi stipule que « lorsque la boucle locale filaire est partiellement ou totalement inexistante, ou lorsqu’elle présente un caractère d’obsolescence ou de vétusté, l’opérateur historique autorise, pour son compte, l’opérateur bénéficiaire à déployer une infrastructure de distribution dans  le cadre d’une convention séparée de déploiement d’infrastructure de distribution, approuvée par l’Autorité de régulation ».

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Installation de la commission intersectorielle de la biodiversité

Fri, 06/08/2018 - 02:57

ALGER- La ministre de l’Environnement et des Energies renouvelables, Fatma Zohra Zerouati, a présidé jeudi à Alger l’installation  de la commission intersectorielle de la biodiversité dans le cadre de la Stratégie et du Plan d’action nationaux de la biodiversité 2016-2030.

Mme Zerouati a précisé avoir été chargée par le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, d’installer cette commission intersectorielle de la biodiversité qui aura pour mission, a-t-elle dit, la gestion et le suivi de la mise en œuvre de la Stratégie nationale et l’aide des différents secteurs dans l’élaboration de leurs plans d’action respectifs.

La ministre a fait savoir que des commissions sectorielles de la biodiversité seront mises en place pour assurer la gestion, le suivi et l’évaluation du plan d’action sectoriel de la biodiversité. Un cadre consultatif sur les orientations prévues dans la Stratégie nationale sera également mis en place, a-t-elle dit.

Elle a ajouté que certains secteurs tels que l’Energie, l’Industrie et les mines, l’Education nationale, la Pêche, les Travaux publics, les Transports, le Commerce, l’Enseignement supérieur, la Culture et le Tourisme avaient défini, lors de l’élaboration de la Stratégie nationale de la biodiversité, des plans d’action sectoriels dans ce domaine, soulignant que ces derniers seront adoptés progressivement.

La commission intersectorielle de la biodiversité est présidée par le secrétaire général du ministère de l’Environnement et des Energies renouvelables. Elle compte des représentants de quatorze (14) secteurs ministériels et deux (2) experts en biodiversité.

Par ailleurs, la ministre a mis l’accent sur l’importance de la biodiversité en tant que richesse nécessaire au développement et à la sécurité alimentaire.

Soulignant l’importance de la biodiversité en tant que ressource indispensable au développement et notamment à la sécurité alimentaire, la ministre a déclaré qu’il faut protéger cette richesse si nous voulons préserver l’équilibre mondial de l’environnement et relever le défi auquel fait face le monde à savoir les déplacements intensifiés des migrants et des réfugiés.

Mme Zerouati a fait savoir que le secteur de l’environnement, à l’effet d’évaluer les acquis du développement réalisé suite à la mise en œuvre du Plan stratégique de la convention de la biodiversité 2011-2020 notamment « la réduction de l’actuelle cadence relative à l’appauvrissement (épuisement) des ressources biologiques sur le plan national », il a été procédé à l’élaboration et l’adoption d’une Stratégie et d’un Plan national pour la biodiversité 2016-2030 sous le thème « biodiversité pour le développement socio-économique durable et l’adaptation avec le changement climatique ».

« L’Algérie parviendra à relever les défis socio-économiques et environnementaux liés au changements globaux à travers la préservation, la réhabilitation, l’utilisation durable et la mise en valeur de la biodiversité », a-t-elle ajouté.

Mme Zerouati a indiqué, dans ce sens, que l’Algérie aspire, à travers la Stratégie nationale, à élever sa responsabilité au niveau des exigences de la réalisation des objectifs de la Convention de biodiversité, d’une part et ceux du développement durable, d’autre part.

L’élaboration de la Stratégie nationale sur la biodiversité a associé 750 représentants des secteurs concernés.

La ministre a exhorté tous les secteurs à participer à la promotion du concept de la biodiversité pour garantir un développement socio-économique durable et s’adapter aux changements climatiques.

Mme Zerouati a précisé que la nouvelle stratégie sur la biodiversité reposait sur quatre principaux axes, à savoir l’adaptation du cadre  institutionnelle, stratégique et juridique pour une prise en charge optimale de la biodiversité, le développement, le partage et la valorisation des connaissances et du savoir-faire ainsi que la sensibilisation à l’importance de la biodiversité pour un développement durable et global, a-t-elle ajouté.

La stratégie repose par ailleurs sur la promotion de la préservation de la biodiversité pour garantir la pérennité et le développement des ressources naturelles algériennes ainsi que la valorisation de la biodiversité pour une économie verte.

Les quatre orientations précitées sont réparties sur 21 objectifs nationaux adaptés aux objectifs du développement durable, en sus de 113 actions ou activités.

Parmi les 113 actions ou activités définies, la ministre a cité les principales mesures prévues dans la Stratégie adoptée et à mettre en œuvre notamment la création d’un observatoire de la biodiversité, doté d’un système de pré-alerte prévu dans les propositions de la loi de finances 2019, outre la mise en place d’une commission intersectorielle de la biodiversité, adoptée en Conseil des ministres le 28 mars dernier. La commission a été installée jeudi au siège du ministère de l’Environnement et des énergies renouvelables.

La ministre a rappelé la célébration de la Journée mondiale de l’Océan, le 8 juin, placée cette année sous le thème « Océans propres » dans le cadre de la lutte contre la pollution des sacs plastiques.

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Bordj Menaiel (Boumerdès) : La ville croule sous les ordures

Fri, 06/08/2018 - 02:55

 La ville de Bordj Menaïel compte 75 000 habitants qui produisent en moyenne 60 tonnes déchets/jour. Les déchets ménagers associés aux gravats des travaux entrepris par des citoyens dans leurs habitations  sont visibles à chaque coin de rue, obstruant les entrées des établissements scolaires, des immeubles et même devant la mosquée de la cité “La capelle’’. Et pour cause la vétusté du parc roulant de la commune. “On n’a qu’une seule benne-tasseuse et 4 camions dont trois tombent souvent en panne”, lance un élu. Et d’enchaîner : “On a aussi un manque d’effectifs et d’organisation que nous avons héritées de nos prédécesseurs.’’ “Une centaine d’éboueurs sont listés au niveau du service des voiries, mais près de la moitié assure d’autres tâches parfois derrière les guichets. Les élus recrutent des agents de propreté avant de les placer dans des bureaux”, révèle un élu de l’ex-parti unique mieux aguerris aux méthodes opaques. Devant les quantités enregistrées depuis le début du mois de Ramadhan, la mission des agents de la voirie devient plus ardue. À la cité Jolie-Vue qui n’a gardé que le nom, l’entrée au quartier est repoussante : “Nous devons fermer nos fenêtres à longueur de journée pour éviter d’être envahi de moustiques’’, se lamente un habitant de la cité. Le décor n’est pas en reste au quartier de Bousbaâ, les poubelles débordent sur la voie publique, les tas de détritus sont partout même devant les administrations comme au niveau de la cité “les Galets” jouxtant le siège de la daïra. Ce qui attire non seulement les rats et les moustiques, mais aussi les chiens errants dès la tombée de la nuit. Les élus avancent que l’APC n’a ni les moyens de recruter encore moins de personnes pour restructurer le service de la voirie et mieux l’exploiter.

Wahab M.

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Sécurité: l’Algérie obtient un score de 79 sur cent, selon l’indice Gallup

Fri, 06/08/2018 - 02:54

WASHINGTON- L’Algérie a obtenu un score de 79 sur cent dans l’indice « Law and Order » (loi et ordre) de l’institut Gallup qui mesure le sentiment de sécurité dans 142 pays dans le monde.

L’Algérie a affiché un indice de 79 sur cent en 2017 , contre 90 sur cent en 2016, selon le rapport 2018 sur la loi et l’ordre dans le monde (2018 Global Law and Order), publié jeudi à Washington.

L’indice « Law and Order » mesure le sentiment de sécurité éprouvé au niveau personnel ainsi que les expériences personnelles concernant la criminalité.

Ce classement a été établi à partir d’entrevues téléphoniques et d’entretiens en face à face réalisés dans 142 pays, avec 148.000 personnes, selon cet institut de sondage, dont le siège se trouve à Washington.

Le sondage s’est basé sur quatre questions pour évaluer notamment la confiance des personnes en les forces de police et le degré de sécurité de nuit assuré dans leurs cités et quartiers.

Cette année, le Singapour a conservé la première place dans ce palmarès comme pays le plus sûr au monde avec un score de 97 sur cent, suivi de la Norvège, de l’Islande et de la Finlande avec un score de 93 sur cent chacun.

Les Etats Unis et la France viennent loin derrière avec un score de 84 sur cent chacun.

Pour la deuxième année consécutive, le Venezuela a enregistré le pire des scores avec un indice de 44 sur cent ce qui reflète, selon Gallup la persistance de la crise dans ce pays.

Seulement 17% des vénézuéliens interviewés ont déclaré se sentir en sécurité en marchant dans les rues la nuit, alors que 24% ont dit avoir confiance envers la police.

En bas de la liste, figure aussi l’Afghanistan, le Soudan du Sud, le Gabon, le Liberia et l’Afrique du Sud, considérés comme pays dangereux, selon cette enquête.

Le score indiciel mondial en 2017 a été de 81 sur cent, précise Gallup qui relève que 86 pays dans cette nouvelle édition du rapport ont affiché des résultats inférieurs à cette moyenne.

Globalement 69% des personnes interviewés à travers le monde disent avoir confiance en leur police et 68% et se sentent en sécurité lorsqu’ils se promènent seuls la nuit.

Toujours selon l’enquête, 13% des personnes interrogées affirment avoir été victimes d’un vol et 5% avoir fait l’objet d’une agression.

Par région et à l’instar des années précédentes, les pays d’Amérique Latine et les Caraïbes ont continué de cumuler les plus mauvais scores (62 sur cent) en 2017 contre 64 sur cent en 2016. Les personnes interrogées sont moins susceptibles de se sentir en sécurité.

En revanche, les résidents des Etats-Unis, du Canada, de l’Asie du Sud-Est, de l’Asie de l’Est et de l’Europe occidentale sont les plus susceptibles de se sentir en sécurité. Ces pays affichent des scores indiciels de 85 sur cent et plus.

L’institut précise, par ailleurs, qu’il existe des relations étroites entre les réponses des personnes interviewées et les mesures externes liées au développement économique et social du pays.

Ces relations renseignent sur la façon avec laquelle le taux élevé de criminalité peut affecter la cohésion sociale et les performances économiques d’un pays, explique cet institut,

Gallup rappelle qu’il est important de suivre ces indicateurs qui sont importants, en particulier pour les Nations Unies, pour continuer de surveiller l’évolution des sociétés.

« L’ONU vise à promouvoir des sociétés justes pacifiques et inclusives  » dans le cadre des objectifs du développement durable qu’elle s’est fixée d’atteindre, indique Gallup.

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Couverture internet: 193 Zones dans le Sud programmés entre 2018 et 2019

Fri, 06/08/2018 - 02:51

ALGER-  La ministre de la Poste, des Télécommunications,  Technologies et du Numérique, Houda-Imane Faraoun a fait état, jeudi à Alger, de la programmation de la couverture internet de 193 zones dans 14 wilayas du Sud, durant l’année 2018 et le premier semestre de l’année prochaine grâce à un financement du Fonds du service universel.

« 193 zones ont été programmé pour la couverture internet à travers le Fonds du service universel -prévu par la nouvelle loi du secteur parue au journal officiel mercredi- puisque aucun opérateur public ou privé n’a la capacité d’investissement pour couvrir ces zones d’ombre », a indiqué Mme Faraoun lors d’une plénière consacrée aux questions orales des membres du Conseil de la nation, précisant que l’Etat se chargera de leur couverture grâce au deniers publics durant 2018 et le premier semestre de 2019.

Le Gouvernement promulguera un décret exécutif encadrant l’utilisation de ce Fonds pour le financement des projets, a-t-elle ajoutée, soulignant qu’Algérie Telecom avait déjà procédé aux études techniques relatives à la couverture de ces régions.

la ministre a indiqué, à ce propos, qu’en vertu de la nouvelle loi du secteur, le Fonds du service universel est passé de la tutelle de l’Autorité de Régulation de la Poste et des Télécommunications (ARPT) à  celle du Gouvernement et sera utilisé pour l’aménagement du territoire numérique.

Le ministère a enregistré plus de 560 zones d’ombres à travers le territoire national dans des régions de moins de 1.000 habitants dans le Nord et moins de 500 habitants dans le Sud, dont « la moitié dispose uniquement du téléphone fixe tandis que l’autre ne dispose ni du fixe ni du mobile. »

« Sur 193 zones dans 14 wilayas du Sud, 127 zones disposent de téléphone fixe et 38 autres ne disposent ni de téléphone fixe ni de téléphone mobile » a-t-elle ajouté.

Concernant la généralisation de la couverture en téléphonie mobile des régions du Sud, notamment les 14 wilayas ciblées, la ministre a fait état de « la généralisation en cours du service de 2ème génération (2G) au niveau de 2.360 stations de base, de 3ème génération (3G) au niveau de 1.652 stations de base. Quant au service de 4ème génération (4G), lancé depuis plus d’une année, il  couvre 8 wilayas sur les 14″.

S’agissant du remplacement des câbles en cuivre par la fibre optique, la ministre a fait savoir 500.000 unités sont à remplacer d’ici la fin de l’année en cours ».

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EL-EULMA (SÉTIF): Plusieurs cas de brucellose confirmés

Fri, 06/08/2018 - 02:47

Le P/APC a rappelé aux habitants de la commune qu’il est impératif d’éviter la consommation de lait de vache cru non pasteurisé.

Le P/APC d’El-Eulma, à 27 km à l’est du chef-lieu de la wilaya de Sétif, a, dans une annonce adressée à la population de la commune, indiqué que plusieurs cas de brucellose confirmés ont été enregistrés au niveau de la commune. Le P/APC a rappelé aux habitants de la commune qu’il est impératif d’éviter la consommation de lait de vache cru non pasteurisé. Dans une annonce affichée à travers les quatre coins de la
ville, le premier responsable de la commune n’a pas précisé s’il s’agissait d’une épidémie et n’a pas rendu public le nombre de personnes atteintes.
Cependant, il a rappelé que les produits laitiers, dont le lait cru, le “l’ben” et les fromages frais non fermentés, présentent un risque de transmission de l’infection à l’homme. Rappelons aussi que la viande du bétail abattu peut être commercialisée sans risque pour l’homme car la bactérie n’y est pas présente. Selon des médecins, une fois le diagnostic confirmé, le traitement de la brucellose humaine repose sur l’administration d’antibiotiques spécifiques pendant plusieurs semaines. Il n’existe pas de vaccin commercialisé pour l’homme. “Chez l’homme, la brucellose se manifeste par des signes non spécifiques allant de la fièvre isolée ou du syndrome pseudo-grippal banal jusqu’à des infections focalisées des articulations (arthrites), des testicules (orchites) ou du système nerveux central (méningites). Non traitée, la brucellose peut devenir chronique et être responsable d’une atteinte invalidante des articulations en particulier”, nous dira un médecin. Et de renchérir : “L’infection peut ensuite demeurer silencieuse durant plusieurs mois, voire plusieurs années, et se réactiver à l’occasion d’une autre maladie ou événement de santé. Ce qui peut constituer un véritable problème de santé publique.”

F. SENOUSSAOUI

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