You are here

Algérie 360

Subscribe to Algérie 360 feed Algérie 360
Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
Updated: 12 hours 10 min ago

Saison estivale 2018: 21 plages interdites à la baignade à Alger (Responsable)

Wed, 06/27/2018 - 12:57

Quelque 66 plages ont été autorisées à la baignade par les services de la wilaya d’Alger qui ont interdit 21 plages à la baignade pour la saison estivale 2018 au niveau de la wilaya d’Alger,  a-t-on appris de la Direction de la Protection civile de la wilaya d’Alger.

Le lieutenant Khaled Ben Khalfallah a déclaré à l’APS que « les autorités de la wilaya ont décidé d’interdire la baignade dans ces plages en raison du manque d’aménagement, de l’inexistence de voies d’accès aux plages, de la pollution et de la qualité des eaux non conformes aux normes de santé et d’hygiène publiques ».

« Il s’agit des plages Champs de tir (Zeralda), traitement par les eaux de mer (Staoueli), la Fayette, Belverde (Hammamet), Dominique (Ain Benian), Aouina Hosni 2, la plage des sports aquatiques (Rais Hammidou), la plage le petit Bassin, El-Djemiline, l’Olivier (Bologhine), Remila (Bab El-Oued),  Kaa Sour (Casbah), Sablettes (Belouizdad), Mazela, Lido (Mohammadia),  Stamboul (Bordj El Kiffan) et Coco plage (Bordj El Bahri) et Zerzouria (Ain Taya).

La protection civile mobilise environs 600 maitres-nageurs saisonniers  afin de sécuriser les plages d’Alger

M. Benkhelfallah a souligné que la Direction de la Protection civile de la wilaya d’Alger a mobilisé cette année 685 agents de la Protection civile et  maitres-nageurs dont 574 saisonniers et plongeurs ainsi que des moyens  matériels englobant des équipements à l’image de bateaux de sauvetage et des ambulances.

Le responsable a saisi cette occasion pour appeler les estivants à la  vigilance pour éviter les cas de noyade et à surveiller les enfants,  notamment au niveau des plages qui connaissent une grande affluence.

La Direction générale de la protection civile lancera, la semaine  prochaine, comme chaque année, des compagnes de sensibilisation aux dangers  qui guettent la saison estivale, a souligné M. Benkhelfallah.

Le même responsable a rappelé le bilan de la saison estivale 2017, qui  avait enregistré plus de 3,5 millions d’estivants à travers les différentes  plages d’Alger où le nombre d`interventions de la protection civile était  de 2.865 interventions durant lesquels 671 personnes ont été sauvées dont  369 enfants et 1.679 personnes ont été secourues enregistrant 6 cas de noyade à travers les plages. APS

The post Saison estivale 2018: 21 plages interdites à la baignade à Alger (Responsable) appeared first on .

Categories: Afrique

Union nationale des entrepreneurs publics (UNEP): La dépénalisation de l’acte de gestion, encore et toujours

Wed, 06/27/2018 - 12:51

 G. O.

Lakhdar Rekhroukh avait rappelé en mai dernier aux pouvoirs publics que «la dépénalisation de l’acte de gestion est restée au stade de l’approche sans toutefois aboutir à l’orthodoxie en la matière».

A cette date, Lakhdar Rekhrouk-en tant que président de l’organisation des gestionnaires publics-, réunissait le conseil national, (organe dirigeant de l’Union, après l’Assemblée générale). «Le règlement définitif de la question de la dépénalisation de l’acte de gestion demeure, bien évidemment, la dynamique essentielle visant la libération des énergies et des initiatives», a-t-il soutenu. «Les démarches entreprises, à ce propos, par les pouvoirs publics sont restées au stade de l’approche sans toutefois aboutir à l’orthodoxie en la matière». Il a souligné à cet effet, que «le dernier amendement du code de procédure pénale recentre le statut de l’entité économique en lui conférant les prérogatives pour l’initiation de l’action publique (le dépôt de plainte est désormais du ressort des organes sociaux de l’entreprise), mais le code pénal dans son article 119 bis en relation avec la loi relative à la prévention et à la lutte contre la corruption (06-01) dans son article 02 autorise l’interpellation des cadres gestionnaires en leur qualité d’agents publics dès lors qu’ils sont définis comme tels». L’UNEP a revendiqué «notamment lors des tripartites et à l’occasion des différents débats sur la question, d’extirper de l’article 02 de la loi en question, l’entreprise publique quel que soit son statut».

La mise en place d’une politique de rémunération de la responsabilité et la rétribution de l’effort économique «indispensable à la valorisation, au maintien et à la stabilité de l’encadrement et de la main-d’œuvre qualifiée» a aussi figuré parmi les revendications de l’UNEP. Elle a aussi appelé à la mise en place d’«un dispositif additif amendant la réglementation en vigueur relative à la mobilité de la main-d’œuvre qualifiée, la formation et l’utilisation permanente du personnel spécialisé».

Son président avait tout au début de son intervention regretté «les effets des réactions et opinions qui stigmatisent l’absence d’initiatives des entreprises publiques économiques (EPE), lesquelles se complairaient dans des situations de bénéficiaires exclusifs des apports et des actions d’assainissement de l’Etat».

Il a estimé alors que «ces mesures des pouvoirs publics doivent être restituées dans leur véritable contexte et être présentées dans leur portée d’exception par certains cas, ce qui ne veut en aucun cas dire que ces actions ponctuelles sont générales».

Comme pour rappeler que l’organisation publique a été interdite de siéger au niveau des tripartites pendant longtemps sur instruction de Ahmed Ouyahia alors 1er ministre, Rekhroukh a noté que «quand l’opportunité lui a été donnée, l’UNEP a milité pour l’organisation institutionnelle du secteur encadrant les capitaux marchands de l’Etat. «Cette revendication est de nature à clarifier les rapports entre l’Etat actionnaire et l’entité économique publique que la législation et la réglementation en vigueur conçoivent selon des concepts universels qui lui confèrent des statuts privés pour une appartenance au secteur concurrentiel à risque», a-t-il précisé.

Or, relève-t-il, «aujourd’hui les pratiques qui ont prévalu à l’époque de l’entreprise socialiste semblent reprendre du chemin avec le retour, de manière frontale, au concept de ministère chargé de la supervision pour lequel l’appellation de tutelle semble prévaloir».

Il s’est exclamé alors «chassons le naturel, il revient au galop !» L’UNEP avait proposé, a-t-il noté, «la création d’une entité ou d’une structure ayant un statut particulier qui soit chargée de la supervision du secteur public économique dont les prérogatives seraient encadrées par la législation et la réglementation en vigueur en matière de gestion des capitaux marchands de l’Etat où les actions seraient omniprésentes». Autres propositions, «les alternatives pour le financement des projets publics, dans le cadre du partenariat public/privé consacré par la règlementation sous l’initiative de délégation de service public». L’on note que l’UNEP a été la première organisation à exposer la problématique du PPP. C’était lors de la tripartite qui s’était tenue à Biskra en présence du directeur général du BIT.

Dans son discours de mai dernier, le président de l’UNEP avait mis en avant en même temps «la mise en place d’un dispositif pour l’exportation des activités des entreprises (…)». Rekhroukh avait souligné que «les procédures auxquelles l’EPE est soumise sont lourdes et ne lui permettent pas de s’acquitter des missions qui lui sont imparties dans cette perspective, avec le souci d’une conduite efficace des charges qui lui incombent».

The post Union nationale des entrepreneurs publics (UNEP): La dépénalisation de l’acte de gestion, encore et toujours appeared first on .

Categories: Afrique

Marketing hôtelier: des journées pour s’informer

Wed, 06/27/2018 - 12:45

C’est aujourd’hui que s’ouvriront à l’hôtel El Aurassi, les 5èmes Journées internationales du marketing hôtelier. Elles se tiendront sous le parrainage du ministre du Tourisme et de l’Artisanat, avec la participation active du Groupe HTT et de la Fnth. Des questions inhérentes à la formation occuperont une bonne partie du programme. Pour Les organisateurs «l’hôtellerie doit se préparer dès maintenant à repenser ses lieux publics pour permettre les rencontres professionnelles, les discussions et les échanges. Comment faire du client l’excellent ambassadeur, c’est la question qui sera au coeur de cet événement. Il est impossible d’aborder le thème de la gestion hôtelière sans aborder celui des services, les gestionnaires des établissements hôteliers anciens ou nouveaux relevant du groupe HTT ou pas saisiront cette opportunité pour s’informer des nouveautés qui caractérisent le marketing hôtelier, parce que selon des experts, l’hôtellerie et le marketing hôtelier font face à une révolution depuis plusieurs années: une révolution due à une évolution des modes de vie et modes de consommation, de nouvelles attentes des clients, mais également une évolution technologique entraînant de nouveaux moyens de recherche d’information, de comportement d’achat, de partage d’avis. De nombreux établissements indépendants ferment leurs portes alors que de nouveaux modes d’hébergements avec des concepts novateurs se développent et de grands enjeux pour le recrutement en hôtellerie, c’est l’analyse des professionnels qui évoquent avec insistance l’importance de cet outil de communication dans le développement de l’hôtellerie. Le Gabon sera présent à ces journées, il sera représenté par des experts du tourisme et du commerce, pour exposer leur expérience et bénéficier des échanges qui auront lieu lors de cet événement Les écoles de formation y prendront part notamment l’Eshra, l’Enst, l’Ecole nationale de formation du tourisme de Tizi Ouzou. On évoquera durant les 48h de débat, le système d’information et son rôle dans l’amélioration de la qualité de gestion, le phénomène foodies, une réelle tendance pour booster l’attractivité hôtelière, dualité tourisme hôtelier et tourisme, pays à l’épreuve des produits-concepts- la potentialité de l’Algérie. Pour enrichir ce programme, il était indispensable que l’on évoque «le revenu management» et sa relation avec le marketing. Le P-DG du Groupe Medialgeria, quant a lui évoquera pour la première fois l’impact des influencers ou encore Vision algérienne réalisation concrète: l’apport de l’Eshra, l’expérience gabonaise dans l’hôtellerie d’hier à aujourd’hui, le développement de l’hôtellerie dans le secteur touristique et bien d’autres thèmes.

The post Marketing hôtelier: des journées pour s’informer appeared first on .

Categories: Afrique

Paramètres de gestion et chiffres clés du groupe Cosider: Le redéploiement comme issue pour la survivance de l’entreprise

Wed, 06/27/2018 - 12:42

Par Ghania Oukazi.

«Durant l’exercice 2017, le cumul des contraintes a réduit considérablement le champ d’action des entreprises économiques du fait de la réduction des projets de développement rendue obligatoire par les restrictions des finances publiques».

C’est le directeur général de Cosider qui l’a affirmé lundi dernier lors d’une cérémonie organisée à l’hôtel El Aurassi en l’honneur de l’ensemble des travailleurs du groupe. «Un espace de reconnaissance à l’ensemble des travailleurs de notre entreprise(…) consacré chaque année à la présentation des principaux paramètres de gestion et les chiffres clés réalisés par le groupe Cosider», a souligné Lakhdar Rekhroukh.

Si 2016 était, selon lui, «une année ordinaire par la progression des performances de l’entreprise, et ce en relation avec un climat des affaires et un environnement favorable», 2017 a été marquée par «le cumul des contraintes» qui ont engendré la réduction du champ d’action des entreprises économiques «du fait de la réduction des projets de développement», conséquence «des restrictions des finances publiques.»

Rekhroukh fait part alors du « rétrécissement de la commande publique, du climat d’incertitude pesant sur la poursuite de certains projets déjà lancés, l’annulation ou le gel de projets en cours de lancement, les lenteurs dans la prise de décision liées aux expropriations nécessaires à la prise de possession des emprises de projets…» Avec ça, le DG assure que «durant cet exercice, Cosider a été parmi les entités qui ont réussi le maintien de leur croissance». Il avoue toutefois que ça a été fait «non sans des sacrifices consentis au détriment des équilibres de la trésorerie et de quelques principes au niveau de l’organisation.»

L’exercice 2017 a été marqué, souligne encore Rekhroukh, «par des contraintes économiques d’une tendance structurelle (qui) nous a obligé à plus de rigueur et de discipline.» Ceci étant, Cosider reste «forte», selon son DG, par «les marques de reconnaissance de notre environnement, la confiance de nos clients du fait de la qualité des prestations avec lesquelles nous mettons en exécution nos réalisations». Ces particularités, dit-il encore, sont aussi « le résultat d’un long parcours de pratique du marché, d’un apprentissage de la valeur et de la conduite cohérente d’un ensemble d’activités organisées et menées autour de métiers supplémentaires». Le groupe Cosider, assure-t-il, « a acquis dans le secteur du bâtiment, des travaux publics et de l’hydraulique, des références que nous tenons à défendre et à promouvoir». Il estime que « Cosider devient ainsi de plus en plus un partenaire important, voire incontournable pour le secteur (de la réalisation), notamment pour le rôle qu’elle peut jouer et doit jouer dans la réduction des transferts, suscités par le recours à l’expertise étrangère». Rekhroukh rappelle que «l’option prise par les pouvoirs publics pour le recentrage de l’économie sur l’outil national et notamment la consolidation des grandes entreprises et des grands groupes économiques, constitue pour nous un choix qui nous met devant de grandes responsabilités». Il explique que « cette situation, bien qu’elle nous soit profitable, nous soumet à une pression permanente qui requiert de nous une amélioration soutenue de nos moyens de réalisation du fait que seuls les projets de développement stratégiques seront mis en vigueur». Il estime ainsi qu’ «un effort de redéploiement constituerait désormais l’issue pour la survivance de l’entreprise.»

Il prévient que «même si nous clôturons l’exercice avec un plan de charge de plus de 425 milliards de DA, représentant un peu plus de 30 mois d’activité, les difficultés économiques actuelles, si elles s’inscrivent dans la durée, un impact de déclin sera fatal pour tous les acquis de l’entreprise».

The post Paramètres de gestion et chiffres clés du groupe Cosider: Le redéploiement comme issue pour la survivance de l’entreprise appeared first on .

Categories: Afrique

Les escaliers mécaniques du métro d’Alger en panne

Wed, 06/27/2018 - 12:24

Le métro d’Alger brille par ses désagréments ces derniers jours. Après le manque de monnaie au niveau de ses guichets et les pannes techniques récurrentes des trains, c’est la panne des escaliers mécaniques qui suscite la colère des usagers. Les escaliers en question sont en panne en effet au niveau de plusieurs stations, comme c’est le cas à Tafourah, El Hamma et Mer et soleil. «Ce n’est pas une panne de quelques heures, mais de plusieurs jours», précisent les usagers ayant sollicité notre rédaction. Les escaliers mécaniques sont pour rappel très importants pour les personnes âgées et aux enfants en bas âge pour accéder au métro, particulièrement au niveau des stations où les quais se trouvent très bas.

The post Les escaliers mécaniques du métro d’Alger en panne appeared first on .

Categories: Afrique

Recherche scientifique: L’autre révolution de l’Algérie

Wed, 06/27/2018 - 12:22

Par Walid Ait Said.

Un Salon national des produits de la recherche sera organisé la semaine prochaine. Quelque 650 produits innovants seront présentés, parmi eux le premier test «made in bladi» de dépistage du cancer du col de l’utérus. Il coûtera 100 fois moins cher que ceux qui existent actuellement sur le marché…Une vraie révolution!

Dépister le cancer du col de l’utérus à moindre coût sera désormais possible! Un Algérien vient d’inventer le premier test «made in bladi» de dépistage de ce fléau. Développé par un chercheur algérien, ce test révolutionnaire doit bientôt être commercialisé. On parle du mois de septembre prochain.
L’usine est quasiment prête, elle est implantée à Béjaïa. Le test de dépistage du deuxième cancer féminin le plus répandu dans le monde existe certes, mais la révolution se situe dans son coût.
Il est estimé 100 fois moins cher que ceux qui existent actuellement sur le marché! Ils sont vendus à un peu plus de 40 euros, alors que ce test ne devrait pas dépasser les 50 euros. Une innovation qui redonne espoir en l’avenir du pays, surtout que celle-ci n’est pas un cas isolé! À la veille du 56e anniversaire de l’indépendance nationale, le Palais des expositions (Safex) d’Alger arbitrera ce qui pourrait être la seconde révolution de l’Algérie, à savoir celle de la recherche scientifique…
En effet, la direction générale de la recherche scientifique et du développement technologique (Dgrsdt) organise les 2, 3 et 4 juillet 2018 la deuxième édition du Salon national des produits de la recherche.

Un traitement contre le cancer «made in bladi»?
Quelque 650 produits innovants seront présentés, parmi eux ce fameux test «made in bladi» de dépistage du cancer du col de l’utérus. Mais pas seulement! «Un hub biotechnologique a été créé. Nous sommes en train de mettre en place un écosystème qui doit permettre à nos jeunes génies du domaine d’éclore», a fièrement fait savoir Hafid Aourag, directeur général de la recherche scientifique au ministère de l’Enseignement supérieur, hier, lors d’une conférence de presse pour la présentation de ce salon.
Une bonne nouvelle qui permettra donc à l’Algérie de devenir un acteur majeur de la biotechnologie. Allons-nous assister à la découverte d’un médicament contre le cancer «made in bladi»? On n’en est pas encore là, mais Hafid Aourag révèle qu’un groupe de chercheurs algériens avance bien sur la question. Refusant de donner plus de détails, on apprend par d’autres sources que ces chercheurs seraient même arrivés à l’étape des tests cliniques. Celles-ci indiquent qu’ils seraient en train d’être effectués en Chine, donnant des résultats des plus probants.
En tout cas, la deuxième édition du Salon national des produits de la recherche promet de belles surprises à découvrir…sans modération! «Loin d’être de simples produits à exhiber, ceux présentés lors de cet événement répondent à des problématiques réelles et apportent des solutions réfléchies et élaborées par des équipes de chercheurs et d’universitaires compétents, volontaires et dévoués», indiquent les organisateurs. «Ce sera des produits à haute valeur technologique ajoutée et surtout qui apporteront un plus économique. Il ne s’agira pas de produits de services comme c’est le cas actuellement», précise le professeur Aourag.
Ainsi, dans le domaine de la biotechnologie et de la santé on peut citer que: différents kits seront dévoilés (kit antoxidant, kit d’activité anti-inflamatoire, kits d’activité anzymatique ainsi que la mise au point de techniques de diagnostic, fabrication de vaccins et de médicaments.
Dans le domaine des technologies numériques et du digital on trouve: les appareils de contrôle et de suivi de patients tels que «Diab-check», plateforme de télémédecine, la circulation routière (diffusion de l’alerte sismique, solution intelligente pour le transport en commun par bus, application mobile qui permet aux utilisateurs de signaler les routes dangereuses et dégradées), Maison intelligente et sécurité des êtres vulnérables et fragiles, Réalité augmentée et impression 3D.

Des produits à haute valeur technologique
En agriculture, développement de variétés à haut potentiel de rendement.
En Energies renouvelables, on pourra y découvrir des produits mettant en valeur le potentiel solaire et éolien tels que le chauffage, concentrateur, capteur autostockeur d’énergie, contrôleur de charge, onduleur, chalumeau à hydrogène renouvelable.
Un événement incontournable donc à travers lequel le secteur de la recherche scientifique lance un appel aux entrepreneurs publics et privés ainsi qu’aux hommes d’affaires afin de prendre connaissance des capacités des chercheurs algériens à répondre à des problématiques réelles du secteur socio-économique et des potentialités offertes par les centres de recherche pour apporter des solutions et innover dans tous les domaines d’activité. «L’objectif principal de la Dgrsdt étant d’arriver à instaurer la confiance entre le monde de la recherche, celui de l’industrie et la société en général», précise-t-on. «L’autre objectif du salon est de valoriser les compétences et mettre sous les feux de la rampe les talents créatifs et les esprits innovateurs des chercheurs et des universitaires. N’attendons pas que ces lumières aillent briller sous d’autres cieux pour reconnaître leurs savoirs et savoir-faire», ajoute la même source. Mais la visée principale de ce salon appelé à être un espace incontournable de mise en avant des produits de la recherche scientifique est de donner ce coup de boost indispensable à l’économie nationale et à l’Etat algérien.
Loin d’être un idéal fantasmé, l’option est réaliste et réalisable. Si une quarantaine de produits sur les 650 présentés au salon trouvent preneurs, ce sera autant d’options à éliminer de la lourde facture d’importation, voire à exporter.
Le rêve du vrai «made in bladi» passe donc par ici..

The post Recherche scientifique: L’autre révolution de l’Algérie appeared first on .

Categories: Afrique

4 ème consultation nationale sur la stratégie nationale à l’export: La filière de l’exportation passée au scanner

Wed, 06/27/2018 - 12:20

Par Hocine Neffah.

La démarche est appuyée par une nouvelle orientation qui sélectionnera des fonctions prioritaires.

Le ministère du Commerce en collaboration avec le centre de commerce international (CCI)-Genève, a organisé hier la 4e Consultation nationale autour du projet d’élaboration d’une stratégie nationale à l’export (SNI), au siège de l’Agence Algex.
Les travaux de cette Consultation nationale vont se donner comme tâche prioritaire, l’élaboration finale et le peaufinage d’une stratégie qui englobera tous les secteurs et les acteurs qui ont un rapport direct ou indirect avec la filière de l’exportation et la promotion du commerce extérieur. Donc, elle corrobore tout le processus entamé depuis les premières consultations nationales enclenchées en octobre 2017. La 4e Consultation sera sanctionnée par «l’établissement d’un diagnostic approfondi des problématiques sous-tendues par le défi de l’émergence d’exportation hors hydrocarbures massives, diversifiées, compétitives et à haute valeur ajoutée», a précisé le coordinateur national du projet de la stratégie nationale à l’export (SNE), Aissa Zeghmati.
La rencontre portera aussi sur l’urgence de prendre en considération «les analyses auxquelles ont procédé les panelistes et les acteurs de la filière de l’exportation lors des premières consultations qui ont conduit à trancher la vision et les grands choix stratégiques de la future SNE», nous a déclaré le secrétaire général d’Algex, Hocine Boubtina, en marge de la cérémonie d’ouverture de cette 4e consultation.
Selon la directrice de l’analyse des produits au niveau d’Algex, Ghania Ouchait, la consultation «se chargera de déterminer les priorités à entreprendre pour asseoir une vraie stratégie qui boostera le commerce extérieur et qui donnera un sens concret à l’exportation. Ça sera une occasion pour réaffirmer les choix adoptés lors des échanges et des réflexions qui ont caractérisé les consultations précédentes», et d’ajouter que «la SNE va être portée sur des secteurs pilotes de par leur présence sur le marché et aussi leur potentiel et leur intérêt. Ce sont; l’agroalimentaire, les produits pharmaceutiques, les composants automobiles et électroniques ainsi que les nouvelles technologies de l’information et de la communication (Ntic)», nous a déclaré, la directrice de l’analyse des produits, Ghania Ouchait.
Ce souci de booster le commerce extérieur et promouvoir la filière de l’exportation s’est fait sentir avec acuité après la chute drastique des prix du pétrole. L’agriculture à travers la filière de l’agroalimentaire est considérée comme un instrument idoine et efficace pour faire face à cette situation et de trouver d’autres ressources susceptibles de parer aux dysfonctionnements engendrés par les fluctuations que connaît le marché mondial des hydrocarbures et la dépendance de l’économie nationale à la rente pétrolière.
Dans le même sillage, le ministre du Commerce, Saïd Djellab a installé dernièrement un groupe de travail dans la même lancée qui tient compte de l’urgence de mettre en place un mécanisme qui se chargera de la promotion des produits agricoles en développant toute une chaîne en mesure d’être compétitive en matière d’exportation. Dans ce sens, Saïd Djellab à souligné que «l’installation de ce groupe de travail s’inscrit dans le cadre de la concrétisation des instructions du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, aux participants aux Assises nationales de l’agriculture, appelant les autorités concernées à accorder une grande importance au secteur et aux produits agricoles», et d’ajouter que «la nécessité de mettre en oeuvre les instructions et les recommandations qui s’inscrivent dans le cadre de la Stratégie nationale des exportations 2019-2023, adoptée par le ministère dans le cadre d’un plan d’action national pour accompagner les exportateurs dans les filières agricoles et lever les obstacles entravant la relance et le développement des exportations hors hydrocarbures», a assuré le ministre du Commerce, Saïd Djellab.
La notion de l’exportation a été disséquée par les spécialistes de la promotion du commerce extérieur au niveau d’Algex. La démarche est appuyée par «une nouvelle orientation qui sélectionnera des fonctions prioritaires en raison de leur caractère transversal et de leur portée déterminante dans la libération des potentiels nationaux à l’export. Ce sont, la qualité, les échanges et la logistique, les financements à l’export, ainsi que l’information et la promotion des exportations», a indiqué le coordinateur national du projet de la stratégie nationale à l’export, Aïssa Zeghmati.
L’assainissement du climat des affaires et l’assouplissement qui a trait à l’aspect administratif et le montage financier ont été soulevés avec intérêt lors des travaux de la 4e consultation nationale autour du projet d’élaboration d’une stratégie nationale à l’export. Dans ce sens, la question du financement à l’export est vue comme l’une des entraves, voire un casse-tête pour les acteurs de la filière de l’exportation. Le change destiné au processus de l’exportation des produits est délimité à 20%, contrairement aux importateurs qui n’ont pas ce seuil délimitant l’éventail du change. De ce point de vue, les banques doivent «assouplir les procédures et aussi réviser en coordination avec l’ensemble des acteurs et des institutions dans l’objectif de permettre à la stratégie nouvelle destinée à promouvoir l’exportation d’apporter une valeur ajoutée et booster le commerce extérieur», a asséné le coordinateur national du projet SNE, Aïssa Zeghmati.
La 4e consultation sera l’espace aussi pour sensibiliser les acteurs et les opérateurs dans la perspective de «regrouper les protagonistes, à savoir les producteurs, les promoteurs et les experts de ce domaine dans un consortium pour coordonner et faire dans la pédagogie relative à cette filière complexe et multisectorielle», a attesté la directrice de l’analyse des produits, Ghania Ouchait.
La stratégie que vise à entreprendre le ministère du Commerce et qui s’étalera de 2019 à 2023, sera orientée vers le développement en synergie avec tous les secteurs concernés par la promotion de l’exportation. Ce qui implique que cette stratégie s’exprime comme un plan d’action intersectoriel dans l’objectif «de consolider les orientations stratégiques et opérationnelles respectives aux quatre secteurs et aux quatre fonctions d’appui ainsi que le développement du plan d’action pour chacun de ces quatre secteurs et chacune de ces quatre fonctions», a souligné Aissa Zeghmati. La stratégie nationale à l’export n’est pas une sinécure, voire une démarche simple, c’est une vision complète et exhaustive où tous les secteurs et institutions doivent s’impliquer mordicus.
Le ministère des Transports, de l’Agriculture, du Commerce et autres segments de l’économie nationale figurent parmi les secteurs en question, pour réussir le challenge de l’exportation et de la promotion du commerce extérieur.

The post 4 ème consultation nationale sur la stratégie nationale à l’export: La filière de l’exportation passée au scanner appeared first on .

Categories: Afrique

Migration : qu’y a-t-il derrière la campagne virulente contre l’Algérie?

Wed, 06/27/2018 - 12:20

L’Algérie fait l’objet d’une campagne agressive basée sur de fausses informations évoquant l’abandon de 13.000 migrants africains au Sahara.

Cette campagne coïncide avec démarches que comptent aussi bien l’Union européenne (UE) que les États-Unis en vue de faire face au phénomène de migration.

Plusieurs organes de presse et médias étrangers ont pointé du doigt les autorités algériennes d’avoir abandonné des migrants africains sans eau et sans vivres au Sahara algérien, entre autres Associated Press (États-Unis),  Haaretz (Israël), France 24 (France), Daily Mail (Royaume-Uni), Al Jazeea (Anglais) ainsi que des médias africains.

Ils se sont référés en effet à une vidéo montrant quelques dizaines de migrants clandestins au Sahara. Ce qui dément les chiffres avancés, soit 13.000 migrants, car pour transporter un tel nombre il aurait fallu mobiliser quelque 300 bus.

Ces rapports n’ont d’ailleurs pas précisé également s’il s’agissait bel et bien d’une opération de rapatriement ou d’un flux de migrants provenant des pays du Sahel. A ce propos, il est utile de rappeler que l’Algérie organise des opérations de rapatriement en concertation avec les pays d’origine.

Ce qui suscite des interrogations sur les motifs de cette campagne, surtout si l’on sait qu’elle intervient parallèlement au débat suscité aux États-Unis par la décision du président américain, Donald Trump  séparant les enfants des migrants clandestins de leurs familles, avant de se rétracter sur la pression politique et médiatique.

En outre, elle coïncide avec les efforts consentis par les pays européens pour freiner le flux migratoire, à travers l’installation des camps pour migrants dans la rive sud de la Méditerranée (Algérie, Tunisie, Libye). Ce que celles-ci ont rejeté.

Mohamed Meslem / Traduit par: Moussa. K.

The post Migration : qu’y a-t-il derrière la campagne virulente contre l’Algérie? appeared first on .

Categories: Afrique

Plus de 40 pays au sommet des villes intelligentes à Alger

Wed, 06/27/2018 - 12:10

Plus de 40 pays et 15 institutions de renommée mondiale participeront au séminaire international des villes intelligentes (ou Smart Cities Global Technology and Investment Summit) qui s’ouvrira ce mercredi au centre internationale des conférences (CIC) d’Alger. Plus de 4000 experts nationaux et étrangers dans les domaines des technologies de l’information et de la communication (TIC) ainsi que de nombreuses startups sont attendus au séminaire, en sus des pionniers de l’investissement en la matière. Cette manifestation internationale, qui ambitionne d’être un espace d’échange d’expertises et expériences en matière de villes intelligentes, a pour objectif d’évaluer les stratégies mondiales de croissance des villes intelligentes et les opportunités de partenariat entre les entreprises nationales et internationales activant dans le domaine, en mettant l’accent sur l’Afrique et les marchés émergents.

The post Plus de 40 pays au sommet des villes intelligentes à Alger appeared first on .

Categories: Afrique

Pétrole: Pressions US sur l’Arabie Saoudite et la Russie

Wed, 06/27/2018 - 12:01

Les Etats-Unis pourraient demander à l’Arabie Saoudite et à la Russie d’augmenter davantage leur production pétrolière en prévision de la baisse attendue de l’offre iranienne, prévoient mardi des analystes. Le secrétaire américain à l’Energie, Rick Perry, et son homologue russe Alexander Novak, devraient se rencontrer mardi à Washington, où ils participent tous les deux à la conférence mondiale sur le gaz, pour discuter de l’évolution du marché pétrolier. La rencontre pourrait être une étape préparatoire à une autre réunion au sommet entre les présidents Trump et Poutine.

The post Pétrole: Pressions US sur l’Arabie Saoudite et la Russie appeared first on .

Categories: Afrique

La Russie emprunte 3 milliards de dollars sur les marchés étrangers

Wed, 06/27/2018 - 11:47

Le ministère russe des Finances a annoncé qu’il prévoyait d’emprunter jusqu’à 3 milliards de dollars américains sur les marchés étrangers d’ici la fin de 2018, ont rapporté mardi les médias  locaux. « Je pense que pour la deuxième fois cette année nous pourrons emprunter sur les marchés étrangers jusqu’à trois milliards de dollars d’ici la fin de l’année », a déclaré le premier vice-Premier ministre et ministre des Finances, Anton Silouanov, cité par l’agence de presse russe Tass. M. Silouanov a indiqué que son ministère emprunterait à la fois sur les marchés intérieurs et sur les marchés étrangers, même si la majeure partie des fonds proviendra des premiers.

The post La Russie emprunte 3 milliards de dollars sur les marchés étrangers appeared first on .

Categories: Afrique

Le pétrole continue de grimper en Asie

Wed, 06/27/2018 - 11:46

Les cours du pétrole continuaient à grimper en Asie mercredi après l’avertissement de Washington demandant aux autres pays de cesser d’importer du brut iranien d’ici novembre s’ils veulent éviter les sanctions américaines. Vers 04H00 GMT, le baril de « light sweet crude » (WTI), la référence américaine du brut, pour livraison en août, prenait 29 cents, à 70,82 dollars. Le baril de Brent de la mer du Nord, principale référence sur le marché mondial, pour la même échéance, gagnait 25 cents à 76,56 dollars. Le président américain Donald Trump a annoncé le 8 mai son retrait de l’accord international de 2015 censé empêcher l’Iran de se doter de la bombe atomique, qu’il juge trop laxiste. Il a rétabli, à cette occasion, toutes les sanctions américaines levées dans le cadre de cet accord.

The post Le pétrole continue de grimper en Asie appeared first on .

Categories: Afrique

Djellab met en place un système de contrôle strict

Wed, 06/27/2018 - 11:43

Zahra Kefane.

Le ministre du Commerce, Saïd Djellab a déclaré, hier à Alger, que son département est en train de mettre en place un processus de contrôle de la marchandise destinée à l’exportation.

Quelques jours après l’affaire des produits exportés refoulés dans les pays auxquels ils étaient destinés, dont la Russie, la France, le Qatar et le Canada, en raison de leur non-conformité avec les normes sur lesquelles se sont mises d’accord les deux parties, le ministre du Commerce a déclaré, hier lors d’une rencontre sur la stratégie nationale de l’exportation, que sa tutelle est en train de mettre en œuvre un système de contrôle de cette marchandise pour éviter ce genre de situation à l’avenir.
Lors de cette rencontre tenue à l’Agence nationale de la promotion du commerce extérieur (ALGEX), le premier responsable du secteur du commerce a expliqué que «8 secteurs ont été identifiés et 4 secteurs pilotes ont été sélectionnés en raison de leur potentiel avéré pour l’exportation et la diversité de leurs caractéristiques technico-économiques et commerciales». En outre, il a noté que «ces quatre secteurs ont été sélectionnés en raison de leur portée déterminante sur la compétitivité internationale».

Agriculture : «Une réunion pour mieux encadrer l’exportation»
Dans un communiqué du ministère de l’Agriculture, rendu public hier, il est annoncé qu’une réunion regroupant les cadres du ministère, les inspecteurs phytosanitaires de toutes les wilayas et ceux exerçant au niveau des postes frontaliers, terrestres, maritimes et aéroportuaires s’est tenue hier, où il était question du «traitement du renforcement des mesures de facilitation initiées par le secteur afin d’encadrer au mieux les opérateurs d’exportations». Le même document détaille que «les services phytosanitaires, qui contribuent d’une manière substantielle dans le développement durable de l’agriculture, jouent un rôle important dans le contrôle des produits végétaux à l’exportation en veillant à ce que les exigences phytosanitaires des pays d’importation soient respectées, facilitant ainsi leur entrée et contribuant par la même à leur promotion».
Pour rappel, suite à cette affaire de marchandise refoulée de l’étranger, à l’instar de la pomme de terre, le département de l’Agriculture, suite à une enquête avait tranché que “les causes sont liées au non-respect de la chaîne de froid par l’exportateur”. Selon les investigations, «il s’agit d’un exportateur privé qui n’a pas respecté la chaîne de froid en n’ayant pas utilisé le conteneur frigorifique. Ce qui a provoqué la multiplication du nombre d’insectes dans les dattes exportées», d’après un responsable du ministère de l’Agriculture. Quant à la quantité de la marchandise refoulée, il s’agissait de 18 tonnes de dattes exportées vers le Canada entre septembre et octobre 2017.

Selon le même responsable, des procédures de contrôle ont été effectuées au préalable par des laboratoires nationaux qui ont démontré que les normes phytosanitaires avaient été respectées. Par ailleurs, il est à rappeler que depuis novembre dernier à ce jour, 36 opérations d’exportations ont été bloquées par les services algériens du contrôle phytosanitaire en raison du non-respect des normes phytosanitaires. Ces opérations ont porté sur des produits maraîchers (pomme de terre, tomate, poivron…). Pour la même source, ces quantités exportées démontrent la bonne qualité des produits agricoles algériens exportés et le respect des normes internationales.
A noter que le département de l’Agriculture avait réagi, précédemment, dans un communiqué rendu public, sur l’histoire de la marchandise destinée à l’exportation, refoulée du Canada, de Russie, du Qatar et de France, expliquant que les causes ne sont pas «d’ordre phytosanitaires “.
Le même département avait affirmé qu’il était chargé d’encadrer les opérations d’exportation des produits agricoles en «veillant à ce qu’ils répondent aux normes phytosanitaires exigées par le pays d’importation». Dans ce sens, le ministère avait assuré que ses services phytosanitaires ont simplifié «les procédures de contrôle en réalisant des prélèvements des échantillons sur sites au niveau des plates formes d’exportation des wilayas exportatrices afin que la marchandise soit admise directement au niveau du point de sortie (port ou aéroport) où le certificat phytosanitaire d’exportation est établi», avait-on affirmé dans le même document.

The post Djellab met en place un système de contrôle strict appeared first on .

Categories: Afrique

4E consultation nationale sur la stratégie nationale à l’export : La filière de l’exportation passée au scanner

Wed, 06/27/2018 - 11:39

La démarche est appuyée par une nouvelle orientation qui sélectionnera des fonctions prioritaires.

Le ministère du Commerce en collaboration avec le centre de commerce international (CCI)-Genève, a organisé hier la 4e Consultation nationale autour du projet d’élaboration d’une stratégie nationale à l’export (SNI), au siège de l’Agence Algex.
Les travaux de cette Consultation nationale vont se donner comme tâche prioritaire, l’élaboration finale et le peaufinage d’une stratégie qui englobera tous les secteurs et les acteurs qui ont un rapport direct ou indirect avec la filière de l’exportation et la promotion du commerce extérieur. Donc, elle corrobore tout le processus entamé depuis les premières consultations nationales enclenchées en octobre 2017. La 4e Consultation sera sanctionnée par «l’établissement d’un diagnostic approfondi des problématiques sous-tendues par le défi de l’émergence d’exportation hors hydrocarbures massives, diversifiées, compétitives et à haute valeur ajoutée», a précisé le coordinateur national du projet de la stratégie nationale à l’export (SNE), Aissa Zeghmati.
La rencontre portera aussi sur l’urgence de prendre en considération «les analyses auxquelles ont procédé les panelistes et les acteurs de la filière de l’exportation lors des premières consultations qui ont conduit à trancher la vision et les grands choix stratégiques de la future SNE», nous a déclaré le secrétaire général d’Algex, Hocine Boubtina, en marge de la cérémonie d’ouverture de cette 4e consultation.
Selon la directrice de l’analyse des produits au niveau d’Algex, Ghania Ouchait, la consultation «se chargera de déterminer les priorités à entreprendre pour asseoir une vraie stratégie qui boostera le commerce extérieur et qui donnera un sens concret à l’exportation. Ça sera une occasion pour réaffirmer les choix adoptés lors des échanges et des réflexions qui ont caractérisé les consultations précédentes», et d’ajouter que «la SNE va être portée sur des secteurs pilotes de par leur présence sur le marché et aussi leur potentiel et leur intérêt. Ce sont; l’agroalimentaire, les produits pharmaceutiques, les composants automobiles et électroniques ainsi que les nouvelles technologies de l’information et de la communication (Ntic)», nous a déclaré, la directrice de l’analyse des produits, Ghania Ouchait.
Ce souci de booster le commerce extérieur et promouvoir la filière de l’exportation s’est fait sentir avec acuité après la chute drastique des prix du pétrole. L’agriculture à travers la filière de l’agroalimentaire est considérée comme un instrument idoine et efficace pour faire face à cette situation et de trouver d’autres ressources susceptibles de parer aux dysfonctionnements engendrés par les fluctuations que connaît le marché mondial des hydrocarbures et la dépendance de l’économie nationale à la rente pétrolière.
Dans le même sillage, le ministre du Commerce, Saïd Djellab a installé dernièrement un groupe de travail dans la même lancée qui tient compte de l’urgence de mettre en place un mécanisme qui se chargera de la promotion des produits agricoles en développant toute une chaîne en mesure d’être compétitive en matière d’exportation. Dans ce sens, Saïd Djellab à souligné que «l’installation de ce groupe de travail s’inscrit dans le cadre de la concrétisation des instructions du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, aux participants aux Assises nationales de l’agriculture, appelant les autorités concernées à accorder une grande importance au secteur et aux produits agricoles», et d’ajouter que «la nécessité de mettre en oeuvre les instructions et les recommandations qui s’inscrivent dans le cadre de la Stratégie nationale des exportations 2019-2023, adoptée par le ministère dans le cadre d’un plan d’action national pour accompagner les exportateurs dans les filières agricoles et lever les obstacles entravant la relance et le développement des exportations hors hydrocarbures», a assuré le ministre du Commerce, Saïd Djellab.
La notion de l’exportation a été disséquée par les spécialistes de la promotion du commerce extérieur au niveau d’Algex. La démarche est appuyée par «une nouvelle orientation qui sélectionnera des fonctions prioritaires en raison de leur caractère transversal et de leur portée déterminante dans la libération des potentiels nationaux à l’export. Ce sont, la qualité, les échanges et la logistique, les financements à l’export, ainsi que l’information et la promotion des exportations», a indiqué le coordinateur national du projet de la stratégie nationale à l’export, Aïssa Zeghmati.
L’assainissement du climat des affaires et l’assouplissement qui a trait à l’aspect administratif et le montage financier ont été soulevés avec intérêt lors des travaux de la 4e consultation nationale autour du projet d’élaboration d’une stratégie nationale à l’export. Dans ce sens, la question du financement à l’export est vue comme l’une des entraves, voire un casse-tête pour les acteurs de la filière de l’exportation. Le change destiné au processus de l’exportation des produits est délimité à 20%, contrairement aux importateurs qui n’ont pas ce seuil délimitant l’éventail du change. De ce point de vue, les banques doivent «assouplir les procédures et aussi réviser en coordination avec l’ensemble des acteurs et des institutions dans l’objectif de permettre à la stratégie nouvelle destinée à promouvoir l’exportation d’apporter une valeur ajoutée et booster le commerce extérieur», a asséné le coordinateur national du projet SNE, Aïssa Zeghmati.
La 4e consultation sera l’espace aussi pour sensibiliser les acteurs et les opérateurs dans la perspective de «regrouper les protagonistes, à savoir les producteurs, les promoteurs et les experts de ce domaine dans un consortium pour coordonner et faire dans la pédagogie relative à cette filière complexe et multisectorielle», a attesté la directrice de l’analyse des produits, Ghania Ouchait.
La stratégie que vise à entreprendre le ministère du Commerce et qui s’étalera de 2019 à 2023, sera orientée vers le développement en synergie avec tous les secteurs concernés par la promotion de l’exportation. Ce qui implique que cette stratégie s’exprime comme un plan d’action intersectoriel dans l’objectif «de consolider les orientations stratégiques et opérationnelles respectives aux quatre secteurs et aux quatre fonctions d’appui ainsi que le développement du plan d’action pour chacun de ces quatre secteurs et chacune de ces quatre fonctions», a souligné Aissa Zeghmati. La stratégie nationale à l’export n’est pas une sinécure, voire une démarche simple, c’est une vision complète et exhaustive où tous les secteurs et institutions doivent s’impliquer mordicus.
Le ministère des Transports, de l’Agriculture, du Commerce et autres segments de l’économie nationale figurent parmi les secteurs en question, pour réussir le challenge de l’exportation et de la promotion du commerce extérieur.

Par Hocine NEFFAH

The post 4E consultation nationale sur la stratégie nationale à l’export : La filière de l’exportation passée au scanner appeared first on .

Categories: Afrique

Ce qu’a dit Renard de coacher l’équipe algérienne!

Wed, 06/27/2018 - 02:24

Le sélectionneur de l’équipe du Maroc, Hervé Renard n’a pas tranché sur son avenir préférant ainsi prolonger le suspense lui qui serait sur les tablettes des dirigeants du football national algérien.

C’est ce qu’a laissé entendre lundi soir, soit à l’issue du match du Maroc – Espagne (2-2) comptant pour la 3e journée du groupe (B) de la coupe du monde 2018 en Russie.

“On aura le temps de se tourner vers l’avenir”, c’est ainsi qu’a répondu le technicien français à une question de savoir s’il compte continuer son aventure avec les Lions de l’Atlas.

A rappeler qu’Hervé Renard (49 ans) avait pris en mains les destinées de l’équipe du Maroc en février 2016, avant de renouveler récemment son contrat qui arrivera à échéance en 2022.

Il y a lieu de souligner que les dirigeants du football national seraient bel et bien intéressés par Renard qui a qualifié le Maroc pour ce grand rendez-vous footballistique, après 20 ans de disette, dont la dernière participation remonte à 1998.

En effet, le premier vice-président de la FAF, en l’occurrence Rabouh Haddad qui l’avait engagé début 2011 à la tête du staff technique de l’USM Alger.

Par ailleurs, Renard a fait savoir à demi-mot avoir rencontré quelques problèmes au Maroc en disant qu’il a accepté de venir coach la sélection marocaine grâce à Nacer Larguet, actuellement directeur technique national (DTN).

Toutefois, il a regretté que Larguet soit la cible des pierres “injustifiées” de la presse marocaine.

Ce qui était reproché à Nacer Larguet, formé en France, c’était d’être souvent du côté du technicien français, ce qui n’a pas été du goût des entraîneurs marocains.

Ceci dit, l’aventure de Renard avec la sélection marocaine n’était pas un long fleuve tranquille, sachant que ce pays compte d’éminents  techniciens, à l’image de Badou Zaki, Rachid Taoussi, Mohamed Fakher et Hocine Amouta. Ceux-ci souhaitent prendre les règnes de leur équipe nationale.

Ali Bahlouli / Traduit par: Moussa. K.

The post Ce qu’a dit Renard de coacher l’équipe algérienne! appeared first on .

Categories: Afrique

L’Algérie “salue” la fetwa de Khamenei

Wed, 06/27/2018 - 02:22

Le Haut conseil islamique (HCI) a insisté sur l’interdiction de porter atteinte au Prophète Mohamed (QSSSL) ainsi qu’à ses épouses “Mères des croyants”.

Ainsi le HCI a salué la fetwa – allant dans ce même sens- émise par le guide suprême de la révolution islamique en Iran, en l’occurrence Ayatolla Ali Khamenei.

Une première, le conseil que préside l’ancien ministre des Affaires religieuses, Bouabdallah Ghlamallah a salué lundi dans un communiqué la toute dernière fetwa émanant du guide suprême de la révolution islamique d’Iran, Ayatolla Ali Khamenei stipulant qu’il est défendu de porter atteinte ou d’insulter les compagnons du Prophète (QSSSL) ainsi que les Mères des croyants.

Pour le Haut conseil islamique, porter atteinte au Prophète et à ses compagnons est “une agression flagrante contre le Prophète QSSSL” et “contraire à la croyance”.

Le Haut conseil a de par ce communiqué appuyé la fetwa de Khamenei, soutenant que cette attitude a pour objet d’”unifier la Oumma (Nation) et la parole” et de faire face “aux mauvais comportements, entre autres les injures et les atteintes contre les pieux prédécesseurs” (Salaf salih).

La position du HCI traduit les fortes relations qu’entretiennent l’Algérie et l’Iran dans divers domaines, ce qui explique qu’il n’y ait point de sensibilité quant aux questions relatives à la religion, sachant que le ministre des Affaires religieuses, Mohamed Aissa ait dédouané de toute responsabilité dans les campagnes de “chiisme” que connaît l’Algérie.

Asma Bahlouli / Traduit par: Moussa. K.

The post L’Algérie “salue” la fetwa de Khamenei appeared first on .

Categories: Afrique

JM-2018/Lutte gréco-romaine: deux médailles d’argent pour les Algériens Sidazara et Boudjemline

Wed, 06/27/2018 - 02:19

Les lutteurs algériens Bachir Sidazara (87 kg) et Adem Boudjemline (97 kg) se sont contentés, lundi soir à Tarragone (Espagne), des médailles d’argent du tournoi de lutte gréco-romaine des Jeux méditerranéens 2018.

Opposés à des champions du monde en finales des deux catégories, les lutteurs algériens n’ont pas démérités, prouvant qu’ils possèdent les qualités pour rivaliser avec les meilleurs athlètes de la planète.

Les deux médailles d’argent décrochées par Boudjemline et Sidazara permettent à l’Algérie d’étoffer sa moisson de médailles, pointant désormais à la 10e place du tableau des médailles avec un total de 6 breloques (2 or, 3 argent, 1 bronze).

Dans la catégorie 87 kg, Sidazara a tenu la dragée haute au Turc Basan Methan, réussissant à prendre l’avantage en début de combat, mais le champion du monde turc, habitué à disputer les finales des grands tournois, a renversé le cours du combat pour s’adjuger la médaille d’or sur le score de 2 à 1.

« J’aurai voulu offrir une nouvelle médaille d’or à l’Algérie, mais je suis tombé sur un adversaire coriace et plus expérimenté. Je suis satisfait de ma performance et cette médaille d’argent va me pousser à travailler encore plus pour d’autres consécrations », a déclaré Sidazara à l’issue du combat.

Dans la catégorie des 97 kg, Boudjemline également opposé à un champion du monde, le Français Melonin Noumonvi, a mené durant tout le combat (1-0), mais une seule erreur de main à une minute de la fin du combat a permis au Français d’effectuer une prise à quatre points qui lui a offert la victoire (4-1).

« J’ai abordé cette finale avec beaucoup d’assurance. J’ai réussi à mener d’entrée de jeu, mais il a suffit d’un instant de relâchement pour laisser filer la victoire. Je suis tout de même très content de cette médaille d’argent », a déclaré l’enfant de Ras el Oued (Bordj Bou Arrerdij).

Cette journée a également vu le début des épreuves de lutte libre, ou trois algériens étaient en course.

Mohamed Boudraa engagé dans la catégorie (74kg) a échoué aux portes de la finale, s’inclinant face à l’Egyptien Samy Mustapha (9-3). Boudraa jouera mardi le match de repêchage pour la médaille de bronze.

Les deux autres algériens Fares Lakal (65 kg) et Mohamed Fardj (97 kg) ont été éliminés dés les premiers tours de la compétition.

The post JM-2018/Lutte gréco-romaine: deux médailles d’argent pour les Algériens Sidazara et Boudjemline appeared first on .

Categories: Afrique

Espagne: vaste coup de filet contre la mafia arménienne

Wed, 06/27/2018 - 02:17

La police espagnole a effectué mardi un vaste coup de filet contre la mafia arménienne active notamment dans le trafic de drogue ou les paris sportifs. « Plus de mille agents » de la police nationale et de la police catalane, les Mossos d’Esquadra, ont participé à cette opération avec le soutien d’Interpol et Europol, a indiqué la police nationale dans un communiqué. Au total, 142 personnes, en majorité arméniennes, devaient être arrêtées à l’issue de cette opération, a précisé la police. 73 perquisitions ont été menées dans six provinces dont celles de Madrid, Barcelone, Valence et Alicante.

The post Espagne: vaste coup de filet contre la mafia arménienne appeared first on .

Categories: Afrique

Les migrants au centre de discussions américano-brésiliennes

Wed, 06/27/2018 - 02:17

Le vice-président américain Mike Pence est arrivé mardi à Brasilia pour des entretiens avec le président Michel Temer notamment sur les migrants, la crise humanitaire du Venezuela et la question spatiale. M. Pence est arrivé en début de matinée dans la capitale du Brésil pour sa troisième visite en Amérique du Sud mais la première seulement dans ce pays. Les discussions devraient notamment porter sur une utilisation par les Etats-Unis de la base d’Alcantara, dans l’Etat septentrional de Maranhao, pour le lancement de satellites. Cette base est idéalement située près du cercle de l’Equateur, ce qui permet d’embarquer des charges plus lourdes et de réaliser d’importantes économies de combustible.

The post Les migrants au centre de discussions américano-brésiliennes appeared first on .

Categories: Afrique

Fusillade à Hong Kong: un mort et trois blessés

Wed, 06/27/2018 - 02:14

Une femme a été tuée et trois personnes ont été blessées par balle mardi, dont deux grièvement, dans un parc de Hong Kong lors d’une attaque rarissime, a annoncé la police dans un nouveau bilan. Selon la police, il s’agirait d’un conflit familial et l’auteur des tirs  est une femme qui a été arrêtée dans un centre commercial voisin. « Nous pensons que la femme est l’assaillant et nous avons retrouvé une arme à feu en sa possession », a expliqué l’inspecteur en chef Hui Hong Kit. Une femme de 80 ans touchée à la tête est décédée à l’hôpital, a indiqué un responsable du gouvernement de Hong Kong. Une autre victime présentant une blessure à la tête est dans un état critique. Les deux autres victimes ont été touchées au bras.

The post Fusillade à Hong Kong: un mort et trois blessés appeared first on .

Categories: Afrique

Pages

THIS IS THE NEW BETA VERSION OF EUROPA VARIETAS NEWS CENTER - under construction
the old site is here

Copy & Drop - Can`t find your favourite site? Send us the RSS or URL to the following address: info(@)europavarietas(dot)org.