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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
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Mouloud Bakli : L’énergie solaire coûte 4 fois moins cher que les énergies traditionnelles

Wed, 06/27/2018 - 23:00

L’Algérie à tout intérêt à rattraper son retard et à investir dans l’énergie solaire, estime Mouloud Bakli, Responsable monde du développement solaire au sein du groupe Air Liquide.

Invité à s’exprimer dans l’émission Invité de la rédaction de la radio Chaine, M. Bakli a indiqué que ce retard à un coût exorbitant et occasionne d’énormes pertes à l’économie nationale. A titre d’exemple, le spécialiste en énergie solaire, évoque les subventions  de l’électricité. «Nous subventionnons l’électricité à un montant exorbitant, puisque, explique-t-il, le coût de production est 10,4 DA le KW et on le paye seulement à 4 DA le Kw…, c’est une perte sèche parce qu’on a une alternative».

Cette alternative, pour l’invité de la Chaine 3, réside dans l’investissement dans les énergies solaires qui permettent non seulement de réaliser des économies importantes, mais également d’exporter le gaz utilisé dans la production de l’électricité et de créer plus de 500 000 postes d’emploi.


Selon lui, le coût de production de l’énergie solaire, contrairement aux idées répandues, est insignifiant, soit 4 fois moins cher comparativement aux énergies traditionnelles. Plus précis, M. Bakli indique que le prix des équipements a baissé de près de 80% durant ces 10 dernières années. «Les installations pourraient, aujourd’hui, s’autofinancer. On parlait d’un coût installé au watt de 3 à 4 dollars en 2008 aujourd’hui on l’estime à 0,6 dollars le watt», avance le spécialiste.

Se voulant optimiste quant à la réalisation du programme nationale de développement des énergies renouvelable, M. Benakli invite, toutefois, les autorités à appuyer cette démarche par une batterie de mesures. Il recommande, entre autres, la subvention de l’installation des panneaux solaires à la place de la subvention de l’électricité et une imposition aux entreprises énergivores de combler au moins 20% de leur consommation par la production de l’énergie solaire, en suivant l’initiative prise, récemment, par le ministère de l’intérieur.

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« Arlequin, valet de deux maîtres » bientôt sur les planches

Wed, 06/27/2018 - 22:58

«Khedam Seyadou», l’une des pièces phare d’Abdelkader Alloula, sera bientôt sur les planches grâce à un travail de collaboration entre le Théâtre national Algérien et le théâtre régional d’Oran. L’annonce a été faite par les deux directeurs de ces établissements lors d’une conférence de presse animée, mardi, au Théâtre national Algérien (TNA).      

La pièce, qui sera mise en scène par Chérif Ayad, est tirée de l’œuvre du dramaturge italien Carlo Goldoni, qu’Abdelkader Alloula avait adapté avec beaucoup d’adresse et de finesse en 1993.

Pour les protagonistes, cette collaboration est une aubaine offrant la chance à la nouvelle génération de découvrir l’œuvre de ce monument du quatrième art. Elle ouvre, également, la porte aux échanges d’expérience et de savoir faire entre les théâtres algériens.

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Alger s’enquiert des expériences internationales en matière de création de « villes intelligentes »

Wed, 06/27/2018 - 22:56

ALGER- La séance matinale de la conférence internationale sur les villes intelligentes, les technologies globales et l’investissement, tenue mercredi à Alger, a été une occasion pour les responsables locaux de la capitale de s’enquérir des expériences internationales en matière de développement et de gestion des villes intelligentes.

Les experts intervenant lors d’un panel dédié à l’examen des différentes stratégies internationales en la matière, ont laissé entendre que la capitale algérienne disposait des éléments utiles pour l’émergence d’une Smart city à condition de poursuivre les efforts en termes de soutien de l’investissement privé, et notamment des startups, ainsi qu’en matière de numérisation.

Le responsable des Smart-cities au niveau de la Banque Mondiale Hyoug Gun Wang a ainsi noté que l’émergence des villes intelligentes nécessitait le développement de partenariats de type public-privé et l’encouragement de l’investissement privé dans tous les domaines et surtout dans les TIC.

L’expert Didier Nkurikiyimfura, chef de la technologie et de l’innovation au niveau de la Smart Africa, un projet portant sur la construction d’une infrastructure télécom en Afrique sub-saharienne, en connectant à Internet ses neuf pays, a de son côté souligné que la concrétisation d’une ville intelligente est tributaire du degré d’inclusion des citoyens et de leur niveau de numérisation.

« Pour mettre en place une Smart city il faut avoir une très bonne collaboration entre le Gouvernement et toute la composante de la société civile », a-t-il dit.

La responsable de la Smart city d’Oslo (Norvège), Mme Siije Bareksten, a pour sa part estimé que l’aboutissement de ce type de projet est lié à l’efficacité des mesures entreprises pour encourager et motiver les jeunes compétences.

Le marché des Villes Intelligentes est un marché en constante évolution dans le monde. Selon un rapport du cabinet Grand View Research, le marché de la ville intelligente atteindra 1.400 milliards de dollars d’ici deux ans.

De son côté, l’expert en TIC Younes Guerrar s’est réjoui de la volonté politique affichée pour la transformation progressive d’Alger en ville intelligente, c’est-à-dire une ville utilisant massivement les technologies de l’information et de la communication (TIC) pour améliorer la qualité des services urbains, en y appliquant les citoyens, les startups et l’ensemble de la société civile.

Cependant M. Guerrar a souligné la nécessité d’aller rapidement dans la résolution des problèmes techniques qui risquent de ralentir la concrétisation d’un tel projet, notamment en ce qui concerne les problèmes liés à la faiblesse du débit d’Internet et au nombre très réduit des fournisseurs d’Internet en Algérie.

« Car avant d’avoir des villes intelligentes, il faut d’abord avoir des villes connectées », a-t-il observé.

La rencontre se poursuit jusqu’à jeudi après-midi avec au menu l’organisation d’une cinquantaine de conférences-débats auxquelles assistent plus de 3.000 experts et professionnels algériens et étrangers.

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Ouverture de zones de rétention pour migrants : L’Algérie dit non

Wed, 06/27/2018 - 22:45

Il est exclu que l’Algérie ouvre une quelconque zone de rétention, a affirmé mercredi le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, au sujet de la crise migratoire, soulignant à ce propos que l’Algérie est confrontée aux mêmes problèmes de l’Europe. « Il est exclu que l’Algérie ouvre une quelconque zone de rétention. Nous sommes déjà confrontés aux mêmes problèmes. Nous procédons à des reconductions, mais nous le faisons selon des arrangements que nous avons avec les pays voisins », a indiqué le chef de la diplomatie algérienne dans une interview à RFI, soutenant que lorsqu’il s’agit de la migration clandestine « il faut que les choses soient bien comprises ». « Nous sommes confrontés aux mêmes problèmes. Quand il s’agit de la migration clandestine, il faut que les choses soient bien comprises. Nous connaissons les mêmes phénomènes, nous devons lutter contre la migration clandestine, dans le cadre des conventions des Nations unies, dans le cadre de l’arrangement avec les pays d’origine et les pays de transit », a-t-il souligné, ajoutant que « c’est ce que nous faisons en tous les cas en tant qu’Algérie ».

Ismain

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Le commerce des drogues profite à certains groupes terroristes

Wed, 06/27/2018 - 22:42

Le commerce des drogues « profite à certains groupes terroristes, groupes d’insurgés et groupes armés non étatiques », selon les conclusions du nouveau rapport mondial sur les drogues, publié mardi par l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC). « Il est établi avec certitude, que des terroristes et groupes armés non étatiques tirent profit du commerce de la drogue », a souligné le Directeur exécutif de l’ONUDC, Yury Fedotov, dans le rapport. M. Fedotov a indiqué, dans le préface du rapport, que l’Assemblée générale, dans le document final qu’elle a adopté en 2016 à sa session extraordinaire sur le problème mondial de la drogue, et le Conseil de sécurité, dans différentes résolutions, « se sont inquiétés des bénéfices que le trafic de drogues, entre autres formes de criminalité transnationale organisée, procurait aux groupes terroristes ».

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Mondial 2018 : l’Allemagne, tenante du titre, éliminée

Wed, 06/27/2018 - 21:00

L’Allemagne, championne du monde en titre, est éliminée du Mondial 2018 après avoir été battue par la Corée du Sud (2-0), ce mercredi, à l’occasion de la 3e et dernière journée du groupe G. C’est incontestablement la plus grosse surprise du premier tour du rendez-vous russe.

A la suite de cette surprenante défaite, la Mannschaft finie bonne dernière de son groupe avec 3 petites unités seulement, alors que les Sud Coréens (3e – 3 pts) quittent également le tournoi mais avec les honneurs.

Dans l’autre rencontre de la même poule, la Suède a corrigé le Mexique (3-0). Par ce succès retentissant, les Suédois compostent leur billet pour les 8es de finale et prennent par la même la tête du groupe G (6 pts). De leur côté, les Mexicains passent également le cap du premier tour en dépit de cette lourde défaite en terminant à la 2e place (6 pts).

Au prochain tour, la Suède rencontrera le deuxième du groupe E qui comporte le Brésil, la Suisse, la Serbie et le Costa Rica. Pour sa part, le Mexique jouera face au premier du quatuor E.

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La population algérienne à 42,2 millions d’habitants au 1er janvier 2018

Wed, 06/27/2018 - 20:50

La population résidente totale en Algérie a atteint 42,2 millions d’habitants au 1er janvier 2018 (contre 41,3 millions d’habitants au 1er janvier 2017 et 40,4 millions au 1er janvier 2016), a appris l’APS auprès de l’Office national des statistiques (ONS).

L’année 2017 a connu un volume de naissances vivantes dépassant pour la  quatrième année consécutive le seuil d’un (1) million de naissances.

Il a ainsi été enregistré 1,06 million de naissances vivantes auprès des services de l’état civil en 2017, en recul de 0,7% par rapport à 2016, composées de 541.189 garçons et de 518.325 filles.

Ce qui donne une répartition des naissances par sexe de 104 garçons pour 100 filles.

Les 5 premières wilayas qui ont enregistré le plus grand nombre de naissances vivantes sont Alger (102.025 naissances), Sétif (53.328), Oran (41.285), Constantine (38.112) et Batna (36.808).

Par ailleurs, on assiste à une stagnation de la fécondité par rapport au niveau observé en 2016, avec un niveau de 3,1 enfants par femme.

Selon l’ONS, l’accroissement naturel enregistré durant l’année 2017 a atteint 870.000 personnes, soit un taux d’accroissement de 2,09%.

Depuis 1990, la population algérienne est passée de 25 millions d’habitants à 34,1 millions en 2007 et à 42,2 millions au 1er janvier 2018.

Entre 2000 et 2009, le taux d’accroissement naturel était inférieur à 2% avant de franchir ce taux depuis 2010, observe l’ONS.

Quant à la répartition de la population algérienne par sexe, le nombre d’hommes dépasse légèrement celui des femmes: Sur une population de 41,72 millions enregistrée au 1er juillet 2017, 21,1 millions sont de sexe mâle et 20,59 millions sont de sexe féminin.

Pour ce qui concerne les tranches d’âge de la population, il est constaté que les moins de 25 ans ont été de 18,76 millions d’individus, soit 45% de la population globale.

La population des moins de 30 ans a été de 22,48 millions, soit 54% de la population globale.

Augmentation des décès, stagnation de l’espérance de vie

Concernant la mortalité générale, l’année 2017 a enregistré 190.000 décès, soit 10.000 décès de plus par rapport à 2016.

Quant à l’espérance de vie, elle a été de 77,6 ans avec 76,9 ans pour les hommes et 78,2 ans pour les femmes.

Pour ce qui est la mortalité infantile, le volume des décès des enfants de moins d’un (1) an a atteint 22.240 en 2017, correspondant à une diminution pratiquement négligeable (31 décès en moins).

Quant au nombre de mort-nés, il a connu une diminution de 7% par rapport à 2016, avec un nombre de 13.412 cas en 2017.

Par ailleurs, l’ONS indique que le volume des mariages enregistrés continue son recul enclenché depuis 2014, alors qu’il y a eu une hausse significative de l’effectif des divorces.

Dans ce sens, l’Office relève que l’année 2017 a connu une baisse substantielle dans le volume des mariages, soit 340.000 unions, en baisse de 5% par rapport à 2016.

L’effectif des divorces enregistrés par les services du ministère de la Justice fait ressortir un volume de 65.637 ruptures d’unions prononcées au cours de l’année 2017, soit une augmentation relative de 5,3% par rapport à l’année 2016.

Plus de 57 millions d’habitants en 2040

Sous l’hypothèse que le rythme de croissance de l’année 2017 se maintiendrait pour l’année 2018, l’ONS prévoit une population résidente totale de 43,4 millions au 1er janvier 2019.

Dans ses perspectives de l’évolution de la population algérienne jusqu’à 2040, l’ONS avance que sous l’hypothèse d’atteindre un indice conjoncturel de fécondité de 2,4 enfants/femme et d’une espérance de vie de 82 ans pour les hommes et de 83 ans pour les femmes, la population résidente en Algérie atteindra un nombre de 44,253 millions en 2020, de 51,352 millions en 2030 et de 57,65 millions en 2040.

Ces mêmes projections montrent que la population des plus de 70 ans passera de 1,6 million de personnes en 2018 à 5 millions en 2040.

Quant à la population des moins de 30 ans, elle passera de 22,73 millions en 2018 à 27,1 millions en 2040. APS

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Mort du photographe sud-africain David Goldblatt

Wed, 06/27/2018 - 17:11

S. F.

C’était un monstre sacré de la photographie sud-africaine et un homme engagé dans la lutte contre l’apartheid. Avec ses images, il était un témoin extraordinaire de la vie et de l’injustice sous le système de l’apartheid. David Goldblatt est décédé ce lundi 25 juin, à l’âge de 87 ans.

Quand les étudiants sud-africains manifestaient en 2015 contre le maintien d’un monument célébrant le colonisateur britannique Cecil Rhodes, il était là. «Déboulonnage de la statue de Cecil Rhodes, après qu’elle a été maculée d’excréments humains et que l’université a accédé aux demandes des étudiants de la retirer.»
C’est le titre d’une image prise le 9 avril 2015 à l’Université du Cap par David Goldblatt. Jusqu’au bout, le photographe est resté fidèle à son engagement pour la justice et un témoin sans faille des soubresauts de son pays, l’Afrique du Sud. David Goldblatt reste un modèle pour la jeune génération de photographes comme Zanele Muholi, une des artistes sud-africaines contemporaines les plus percutantes de nos jours. «Goldblatt est un mentor pour moi et j’admire son travail. C’est quelqu’un qui nous a donné le droit de nous exprimer. Grâce à lui nous pouvons parler avec des voix différentes à partir du même espace.»

Des constats et des combats contre l’apartheid en Afrique du Sud
Goldblatt avait une sensibilité et un talent sans pareil de se promener entre les lignes, entre le noir et le blanc, pour en extraire une vérité minant les injustices d’un système politique ou moral. Pour ses premières photos, il était obligé de se contenter de faire des constats. Devenu photographe de presse en 1948, il observe avec sa caméra l’apparition des panneaux de ségrégation raciale, manifestation de la politique d’apartheid. Ensuite il documente avec une persistance incroyable pendant des décennies la vie quotidienne des Blancs et des Noirs en Afrique du Sud. Ses dernières photos résonnent comme un appel : «plus jamais ça». Par exemple, en 2016, quand il prend en photo une simple passerelle et la transforme en mémorial anti-apartheid.
Le double escalier conçu pour séparer les Blancs des Non-Blancs devient un monument de la honte rappelant la loi n° 49 sur les équipements publics séparés (Reservation of Separate Amenities Act) de 1953. Et il insiste aussi pour nous dire que si les panneaux indiquant les files séparées ont bien été retirés après la victoire et la libération de Nelson Mandela, les traces et certaines pensées restent ancrées dans le territoire, les corps et les esprits jusqu’à aujourd’hui.
«David Goldblatt était l’une des figures majeures de la photographie de notre époque, une conscience éthique et morale du rôle de l’artiste dans nos sociétés», a réagi Bernard Blistène, directeur du Musée national d’art moderne. La grande rétrospective dédiée à David Goldblatt au Centre Pompidou-Paris a fermé ses portes début mai, mais son testament photographique restera pour toujours.

Extrait de l’une de ses interviews :
«Je devais prendre des photos, non seulement de Johannesburg mais de toute l’Afrique du Sud. Je dirais que je voulais explorer la société dans laquelle je vivais, voir à quoi elle ressemblait. Je vais citer un grand photographe du nom de Garry Winogrand. On prend des photos pour voir à quoi ressemble le monde en photos. Si je devais me définir, je ne suis certainement pas un journaliste. Si j’avais été journaliste, j’aurais été viré tout de suite. Pourquoi ? Mais parce que je suis si mauvais. J’oublie des choses, je suis incapable de prendre des notes correctement. Donc, je ne suis pas un journaliste. Je ne suis pas un sociologue. Je ne suis pas un criminologue. Je ne suis pas un psychiatre. Je suis juste un observateur, un observateur critique de la société dans laquelle je vis».

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Coup d’envoi de la 3e édition à Boumerdès

Wed, 06/27/2018 - 17:02

R. C.

Le coup d’envoi de la 3e édition du Salon national mère-enfant, organisée sous le thème «Espoir», a été donné lundi à Boumerdès avec au programme de nombreuses activités éducatives, didactiques, récréatives et ludiques.

Abritée par la maison de la culture Rachid-Mimouni, la cérémonie d’ouverture de cet événement culturel, qui se poursuivra jusqu’au 1er juillet, a été marquée par la tenue de nombreuses activités ludiques, sportives et de détente au profit des enfants. Une vingtaine d’exposants, entre entreprises nationales privées et publiques, écoles, jardins d’enfants et maisons d’édition spécialisées dans le livre d’enfant, prennent part à ce salon, parrainé par le wali de Boumerdès et organisé par la maison de la culture en collaboration avec une entreprise privée, a indiqué à l’APS le directeur de la maison de la culture Benzef-Abdelmadjid. L’animation de cette 3e édition du genre, inscrite au titre des activités majeures de la maison de la culture de Boumerdès, est assurée par des associations et organismes dédiés à la promotion de la mère et de l’enfance, outre les services de la Protection civile et de la sûreté nationale, a-t-il ajouté. Le programme mis au point englobe de nombreuses activités éducatives, didactiques, récréatives et ludiques, a souligné le responsable, citant notamment des circuits automobiles pour les enfants, des pièces théâtrales, des spectacles de clowns, des concours de dessin, de danse, de lecture et de chant. Pour permettre au plus grand nombre possible de visiteurs de profiter de ce Salon, les organisateurs ont adapté ses horaires d’ouverture et de fermeture (14h à 21h) avec les vacances scolaires et la saison estivale. «L’entrée des enfants à ce salon est conditionnée par un accompagnement de leurs parents», a-t-il relevé, précisant que cette mesure vise à éviter tout problème d’ordre sécuritaire ou organisationnel. Benzef a également noté que chaque enfant se verra remettre, à l’occasion, une brochure d’entrée gratuite, qui lui ouvrira droit de participer à une tombola, avec des prix qui seront remis aux gagnants à la clôture de la manifestation. La 2e édition de ce salon mère et enfant a eu lieu du 15 au 20 mars dernier à Constantine. Elle a enregistré, selon les organisateurs, une affluence de plus de 30.000 visiteurs, avec la distribution de plus de 200 prix aux enfants.

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Les Arabes minoritaires dans la nouvelle liste des membres des Oscars

Wed, 06/27/2018 - 16:58

Par Amira Soltane.

Malgré ses promesses de diversité et de couleur, les artistes arabes sont minoritaires dans la liste des 928 nouveaux membres de l’Académie des arts et des sciences du cinéma, connue pour remettre chaque année les Oscars du cinéma.
Seulement sept artistes arabes sont sur la nouvelle liste, soit moins de 7% des nouveaux membres: la Palestinienne Hiam Abbas, le Franco-Algérien Tahar Rahim, le Franco-Marocain Saïd Taghmaoui, les Libanais Nadine Labaki et Ziad Doueiri, et les Tunisiens Dora Bouchoucha et Saïd Ben Saïd. Pas de nouveaux membres syriens et encore moins égyptiens ou des pays du Golfe. Il faut dire aussi que la majorité des artistes choisis travaille ou a des connexions avec la production cinématographique américaine. Il y a lieu de souligner aussi que le cinéma arabe ne s’est pas encore imposé dans la sphère cinématographique américaine.
Reste que ce chiffre est bien supérieur à celui qui était déjà adopté il y a quelques années, où la majorité des votants de l’académie est constituée d’Américains ou d’Européens. La grande nouveauté, c’est l’apport important des femmes dans la nouvelle composante. Un quota en augmentation suite à l’affaire Weinstein. 49% des 928 nouveaux membres potentiels sont des femmes, ce qui porterait leur taux à 31%, contre 25% il y a trois ans; 38% sont des personnes de couleur, ce qui porterait la part à 16% du total des membres de l’académie, contre 8% en 2015. L’académie avait été contrainte de réagir à la suite de la polémique «Oscars so white» sur le manque de diversité parmi les personnes et les oeuvres nommées pour la précieuse statuette.
Parmi les nouveaux arrivants conviés, l’actrice et humoriste Mindy Kaling (la série The Mindy Project, Ocean’s 8), la jeune Quvenzhané Wallis (14 ans, la plus jeune à avoir été nommée pour l’Oscar de la meilleure actrice en 2013 pour Les Bêtes du Sud sauvage), l’acteur Daniel Kaluuya (Get Out, Black Panther), l’humoriste Dave Chappelle et les musiciens Nitin Sawhney, Kendrick Lamar ou Carlinhos Brown. L’actrice américaine Ann Dowd (The Handmaid’s Tale: La Servante écarlate) fait aussi partie de ce cru tout comme les Britanniques Emilia Clarke (Game of Thrones) et Daisy Ridley (l’héroïne de la dernière série de films Star Wars), l’égérie de Pedro Almodovar, Rossy de Palma, ou encore l’Allemande Diane Kruger (Prix d’interprétation à Cannes en 2017 pour In the Fade). L’auteure de la série des Harry Potter, J. K. Rowling, Emmanuelle Seigner, la femme de Roman Polanski, Timothée Chalamet (Call Me by Your Name), les réalisateurs français Bertrand Bonello, Emmanuel Bourdieu, Laurent Cantet, Arnaud Desplechin, Michel Gondry, Alain Guiraudie, Jean-Pierre Genet, et Rebecca Zlotowski, le compositeur Eric Serra, la productrice Sylvie Pialat font aussi partie de la «promo 2018», avec la comédienne Léa Seydoux, qui avait joué notamment dans un James Bond. Si tous les invités acceptaient de rejoindre l’académie, le nombre de ses membres passerait à 9 226 personnes.

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Le Ministre du tourisme juge raisonnable pour le citoyen moyen le prix de 5000 DA pour une nuitée en demi-pension dans un hôtel 5 étoiles

Wed, 06/27/2018 - 16:54

Le Ministre du tourisme Abdelkader Benmessaoud, a jugé ce mardi, que les prix pratiqués dans les hôtels 5 étoiles en Algérie sont raisonnables et accessibles aux couches moyennes.

«Un hôtel 5 étoiles dans notre pays c’est à quel prix ? Je pense que c’est l’un des pays (Algérie) où les prix pratiqués sont très raisonnables, comparativement à d’autres pays touristiques dont parlent les gens», a estimé le Ministre, qui a ajouté que «5000 DA à 6000 DA pour une nuitée en demi-pension dans un hôtel, est abordable pour les couches moyennes, le salarié moyen, peuvent se permettre une semaine».

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Alger assiste à la disparition des librairies: Le monde du livre se disloque

Wed, 06/27/2018 - 16:51

Par Hocine NEFFAH.

La fermeture de la librairie des Beaux-Arts apporte sa part de climat lugubre, d’un endroit qui constituait une allée harmonieuse, le long de la place Maurice Audin et ses terrasses longeant toute la rue menant vers la Fac centrale.

Elles pullulaient dans les grands boulevards, en leur donnant une vitalité et du charme. Leur présence imposait une espèce de rapport où l’espace propre est foncièrement respecté et marqué par un haut sens des belles-lettres et de l’esprit raffiné. Les librairies, puisque c’est d’elles qu’il s’agit, n’ont plus cette présence qui contribuait dans la dynamique socioculturelle et historique d’une ville, voire d’une capitale.
On ne retrouve plus les grands noms de librairies dans nos villes, le cas d’Alger-Centre est édifiant dans ce sens. Du haut de la rue Didouche-Mourad et en amont en arrivant à Ahmed Hamani, l’ex-rue Charasse, on peut constater «l’éclipse» totale et de la manière la plus spectaculaire d’un nombre effarant de librairies qui faisaient jadis la fierté de la ville et des grands quartiers auxquels faisait-on référence en matière de rencontres et une espèce de repère-phare que ce soit en termes d’endroits qui s’imposent de par ce qu’elles suscitaient comme engouement chez les affidés de la culture en général et de la lecture en particulier.
Ce tableau auréolé et orné de décors spirituels dégageant une odeur où la force des lettres et de leur sens incarnait le nectar estampillé et suave d’un lieu et d’un nom a cédé sa place à un «monde» envahissant et charriant ce qui constitue l’antithèse de ce qu’il y avait avant. A la place des librairies, on peut voir visiblement des fast-foods s’ériger avec ostentation et de la façon la plus manifeste dans les ruelles d’Alger-Centre, c’est l’ère de la «société de consommation» où le ketchup remplace le livre et où les boutiques de«chawarma» détrônent les lieux de la connaissance et du monde des lettres.

Être libraire, ce n’est pas une sinécure!
Le métier de libraire traverse une période des plus dures et difficiles, être libraire dans le contexte d’aujourd’hui n’offre pas de perspectives fastes pour l’avenir dans le sens où ce métier n’est pas stable, il est menacé de disparition à cause de la politique de la «promotion» du livre telle qu’assumée actuellement par les pouvoirs publics, le ministère de la Culture en l’occurrence.
Faire une descente en visitant ce qui reste comme librairies, permet d’approcher la situation des libraires et les risques qui les guettent quant à la poursuite de ce métier alors que l’asphyxie est là, omniprésente, c’est une question de temps comme disait notre interlocuteur, Ali Bey, le gérant de la célèbre librairie Tiers-Monde, située au milieu de la rue Larbi Ben M’hidi, en face de la place Emir Abdelkader. Le gérant Ali Bey a exprimé clairement et nettement la situation des libraires et aussi ce qui attend les librairies comme avenir très sombre. Il a souligné que «c’est clair que le métier de libraire soit menacé de disparition à cause de l’absence d’une vraie politique qui motive ce segment important de la culture pour se maintenir et faire face aux difficultés qu’il rencontre», a asséné le gérant de la librairie Tiers-Monde.
Avant d’aborder ce volet propre au devenir des libraires qui viennent de tirer la sonnette d’alarme quant à ce métier noble qui assure le rôle de transmetteur du savoir et de la culture sous la forme d’un livre pluridisciplinaire, il est judicieux de s’attarder sur quelques repères de ce monde. Il est tout à fait clair que chaque ville a ses librairies qui constituent sa référence propre et sa spécificité en tant qu’ensemble urbain se démarquant par sa propre personnalité dans ce domaine. Alger-Centre en fait partie, mais aujourd’hui elle est témoin d’une autre réalité qui caractérise les librairies et le métier de libraire. L’une des situations annonçant davantage de drames à ce métier, voire à ce noble monde des lettres et des arts, c’est la fermeture de la prestigieuse librairie «Les Beaux-Arts». Cette annonce est venue confirmer la spirale dans laquelle sont empêtrés les libraires et les tenants de ce métier menacé par le spectre de la disparition au quotidien. La fermeture de la librairie des Beaux-Arts apporte sa part de climat lugubre d’un endroit qui constituait une allée harmonieuse le long de la place «Audin» et ses terrasses longeant toute la rue menant vers la Fac centrale. Au début on croyait que la fermeture de la librairie Les Beaux-Arts était motivée par des travaux durant le mois de Ramadhan comme cela se fait à l’accoutumée pour beaucoup de commerces et activités libérales.
La nouvelle nous a été confirmée par la gérante de l’ancienne librairie Idjtihad, ex-Dominique située à la rue Ahmed-Hamani. Cette fermeture de plus ne fait que porter préjudice à la mémoire de son ancien gérant Vincent Grau qui est resté ici en Algérie refusant d’aller vivre dans son pays d’origine, la France. Vincent a trouvé la mort dans le pays qu’il a choisi. Il a été assassiné par la horde barbare des islamistes.
Vincent s’est donné à fond pour faire de sa librairie les Beaux-Arts un lieu où règne effectivement l’édition et la vente de tout ce qui est en rapport avec les arts, les lettres et l’esprit raffiné en termes littéraires. Voilà que le temps a eu raison de sa mission culturelle et son rôle intellectuel consistant à maintenir le lien à travers l’ouverture de sa librairie pour servir les lecteurs et les spécialistes avides d’art et de littérature.
Le métier de libraire n’est pas une sinécure, c’est ce qui est arrivé avec la librairie des Beaux-Arts du regretté Vincent Grau. La série des drames se poursuit au niveau de la librairie Idjtihad. Et à ce niveau de constat, nous comprenons parfaitement cette descente aux abysses du métier de libraire et la situation des librairies qui vivent au rythme de la fermeture.
Beaucoup de librairies ont fermé sans la moindre résistance. La librairie Idjtihad sise rue Hamani, connue, surtout par son ancienne appellation, à savoir Dominique, résiste tant bien que mal à cette situation qui s’abat à la fois sur les librairies et les libraires. Mais cette librairie n’est plus celle qui avait l’avantage d’attirer les lecteurs et les amoureux des belles-lettres et autres activités relevant du domaine de la littérature à l’image des rencontres-débats et des tables rondes autour d’un roman avec la présence de son auteur. Aujourd’hui, cette célèbre librairie est désertée, voire délaissée même. La visite nous a permis de voir de près sa situation en particulier et celle des autres librairies du pays en général.
La gérante, Meriem Belkmakem, a essayé de faire dans le factuel en soulignant que «le lectorat connaît un recul monstre au niveau de notre librairie Idjtihad. Certes, le recul est constaté dans toutes les librairies, mais la nôtre se fait sentir de plus en plus sachant qu’elle avait ses disciples et ses abonnés depuis plusieurs décennies», a rétorqué la gérante.

Le lectorat et l’abandon de la lecture
L’état de l’ex-Dominique est désastreux, il ne reste que le souvenir d’une époque qui était animée par le rêve d’une société à vocation culturelle et de progrès. Les images et les photos affichées à l’intérieur rappellent à ceux qui ne connaissent pas cette librairie qu’il y avait des noms et des personnalités littéraires qui ont pu contribuer à l’émergence de la pensée rationnelle et les idées de progrès en général. Pour la gérante Meriem Belkmakem, même «le lectorat n’existe plus, ce n’est plus comme il y a une vingtaine d’années où les lecteurs se faisaient connaître à travers le choix des livres et des lectures. Avoir une librairie en assurant la vente des livres, ne fait pas bon marché avec le laisser-aller qui ronge le monde du livre et du métier de libraire», a tonné Meriem, la gérante de la librairie Idjtihad.
C’est le même constat affiché par le gérant de la librairie Tiers-Monde, Ali Bey, qui a fait un véritable réquisitoire quant à la situation du métier et aussi du lectorat qui connaît une dégradation effarante. Dans ce sens, le gérant Ali Bey déclare que l’«on fait tout pour pousser les librairies vers la fermeture. C’est une réalité où les pouvoirs publics sont responsables en premier lieu», a mentionné le gérant Ali Bey.
Il est évident que la question de la fermeture des librairies est d’abord et avant tout une question qui relève d’une mauvaise appréciation politique de ce volet sensible de la lecture et de la promotion de la culture, de ce point de vue, il est nécessaire de rappeler que le livre est subventionné partout dans le monde, surtout dans les pays les plus développés. Le livre en Algérie vient de subir la loi du «marché», alors que le créneau n’est pas semblable ni de la même nature que les autres marchandises. Dans ce sens, le libraire de formation et gérant de librairie, Boussad Ouadi qui connaît bien le secteur du livre puisqu’il a fait ses preuves même dans le domaine de l’édition, souligne à propos de la situation à laquelle sont livrés les libraires que «neuf librairies ont fermé leurs portes ces dernières années sur la rue Ben M’hidi et la rue Didouche-Mourad, dans le silence le plus total car aucun des occupants ne s’est plaint. Plus grave encore, trois d’entre elles ont été vendues par des anciens employés de la Sned-Enal, ancienne entreprise étatique, à des marchands de vêtements ou de chaussures en empochant une confortable plus-value au passage. Aucune autorité officielle ne s’est interposée dans les transactions ni n’a jugé regrettable que des espaces culturels aient changé de vocation. A Oran, Constantine, Annaba, Tlemcen, etc. Le même processus a été observé», a expliqué Boussad Ouadi à propos de la situation des librairies et le sort qui leur a été réservé depuis l’enclenchement du processus de liquidation des entreprises du livre en premier lieu à l’image de l’Enal et la Sned et après les librairies qui étaient rattachées à ces deux entreprises qui constituaient la matrice de l’activité livresque à l’échelle nationale. La transformation des librairies en activité autre que la sienne est un signe annonciateur d’un mode de vie très grave, qui remet en cause les valeurs et aussi les critères d’une société qui aspire au progrès et à la modernité.
Le gérant Ali Bey affirme: «Depuis que je travaille dans le monde des livres en tant que libraire, je n’ai jamais remarqué autant de recul dans le lectorat et l’achat de livres. D’ailleurs c’est simple, les gens qui viennent à la librairie Tiers-Monde pour se procurer un livre, leur âge est de 50 ans et plus, c’est ce qui renseigne sur l’état de la lecture et le niveau culturel des générations montantes», a souligné Ali Bey, gérant de la librairie Tiers-Monde. Ali Bey considère que le ministère de la Culture est responsable de l’état des libraires dans la mesure où le premier rôle revient à la tutelle pour revoir beaucoup de choses dans le domaine. Ali Bey exige que «la révision fiscale soit appliquée par rapport à ce créneau et il faut donner aux libraires les prérogatives quant à la vente de livres scolaires et ne pas les laisser au niveau des directeurs des établissements scolaires», a indiqué Ali Bey.
La faillite des librairies est plus que tonitruante, mais la société assiste à ce phénomène de la disparition de ce métier fabuleux sans que des mesures soient prises en urgence.

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Les donneurs de sang honorés

Wed, 06/27/2018 - 16:43

«Soyez là pour les autres, donnez votre sang, et partagez la vie.» Tel est le slogan de l’OMS cette année, pour célébrer la Journée mondiale du don de sang le 14 Juin dernier.

A cette occasion et fidèle à ses traditions, l’association Solidarité don de sang de Béjaïa, a tenu à marquer l’évènement en programmant plusieurs activités au niveau du Centre culturel islamique d’Aamriw. En somme, cette soirée avait regroupé non seulement les adhérents et les membres de l’association, mais aussi les donneurs fidèles et réguliers, au nombre de 30, qui se sont vu décerner des médailles d’honneur et des diplômes de reconnaissance.
Les centres de transfusion sanguine de la wilaya, ainsi que le mouvement associatif qui a contribué à la réussite des programmes de collecte, les médias (la presse écrite, Radio Soummam, et Radio Web) qui ont coopéré à la promotion du don de sang bénévole, n’ont pas été du reste et chaque organisme a eu droit non seulement à de chaleureuses ovations, mais aussi à des honneurs bien mérités.
En dehors de cette cérémonie de mise à l’honneur, des affiches et des courts métrages ont permis aux présents de s’informer sur les actions de l’association et sur sa noble mission. Curieux et habitués, ils ont donc eu des réponses justes et précises à toutes leurs questions, et à tout ce qui concerne le don de sang et l’acheminement de cette matière vitale vers les établissements sanitaires pour permettre aux malades de recevoir la goutte salvatrice qui sauvera leur vie. Lors de cette manifestation aussi, un hommage particulier a été rendu à l’association Solidarité et don de sang, qui, en deux années d’existence, a pu créer des dizaines de comités dans la région de Béjaïa, a fidélisé plus de 6000 donneurs réguliers pour finir par collecter 3000 pochettes de sang. Mieux encore, un fichier de donneurs prêts à répondre à tout moment à l’appel, a été créé avec les coordonnées de chacun….Un autre geste, fort louable, qui confirme la bonne volonté des uns et des autres.
Cette cérémonie, si elle a été consacrée aux honneurs, n’a pas empêché les convives de participer à la collecte nocturne. Quelques habitués et citoyens n’ont pas hésité à retrousser leurs manches et à présenter leurs bras aux infirmiers sur place pour donner quelques gouttes du précieux liquide. Entre autres, nous avons remarqué la présence d’un élu de l’APW de Béjaïa. En fin de parcours, le docteur Boussalem a tenu à remercier de vive voix tous ceux qui ont contribué de près ou de loin à la réussite des activités de l’association, particulièrement durant le mois sacré de Ramadhan, qui a vu une affluence assez importante de donneurs, au niveau des mosquées et des lieux publics de la ville, des résidences universitaires, de la Maison de la culture et du Centre culturel islamique. Le nombre d’inscrits au don s’est élevé à 335 personnes, et le nombre de pochettes à 235. En parallèle à ces actions, l’association avait organisé le séminaire caritatif du mois de Ramadhan 2018 dans sa 5ème édition. Le docteur Rafik Boussalem soulignera cependant le manque de moyens dont souffre l’association, qui, jusqu’à ce jour, n’a bénéficié d’aucun don de la part des autorités locales. Il ajoutera dans son intervention, une déclaration de l’OMS, qui considère que le don de sang en tant qu’acte de solidarité, met en avant les valeurs fondamentales humaines, qui sont l’altruisme, le respect, l’empathie et la compassion. Ces qualificatifs représentent la pierre angulaire du système de don de sang volontaire.

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Le jardin Sofia d’Alger confirme sa nouvelle vocation

Wed, 06/27/2018 - 16:34

Jadis un lieu où les toxicomanes s’adonnaient à leurs activités favorites, le jardin Sofia, en contrebas de la Grande Poste à Alger, a pris, depuis quelques années de nouvelles couleurs et assume parfaitement sa nouvelle vocation de lieu familial pour les Algérois. Et pour cause, c’est sur ce jardin que les services de la sûreté de la wilaya d’Alger ont jeté leur dévolu pour y organiser des portes ouvertes sur les dangers de la consommation de drogues. L’organisation de ces portes ouvertes s’est tenue à l’occasion de la Journée internationale contre l’abus et le trafic de drogues célébrée par l’Algérie le 26 juin de chaque année en vue de «jeter la lumière sur les effets psychologiques et sociaux» de la consommation des drogues, et présenter les efforts déployés par les services de la police en matière de prévention et de dissuasion afin de faire face à ce fléau dans les milieux juvéniles.

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L’été à Skikda: Sous l’oeil bienveillant de la Gendarmerie nationale

Wed, 06/27/2018 - 16:32

Par Ikram Ghioua.

Les opportunistes qui harcèlent les estivants seront «pris en chasse», on parle bien des «parkingueurs» et des «loueurs» de parasols.

Skikda, ville côtière de l’Algérie, possède de très belles plages. De Collo jusqu’à Stora, la ville au relief très accidenté sur la frange littorale est, dans les massifs de Azzaba et la Marsa très convoitée par les estivant durant la période de l’été. Elle se distingue par trois types de zones topographiques: les zones de montagnes, de plaines et de piémonts. Elle reste l’une des plus belles villes du pays. Il était presque 12 heures quand nous sommes arrivés sur l’un des lieux les plus fréquentés en cette période, Jeanne d’Arc. Sur le chemin, des barrages fixes de la Gendarmerie nationale étaient positionnés le long du chemin.
Les gendarmes n’hésitaient pas à orienter les visiteurs tout en les conseillant. Parfois ils procèdent à des vérifications. Le long des plages de Jeanne d’Arc, ce même corps de sécurité veillait à la sécurité des estivants. Il y avait peu de monde à cause des examens du baccalauréat, en d’autres temps la zone connaît un flux impressionnant de touristes venant des quatre coins du pays, même du sud. La mer est un bon lieu de repos pour l’esprit et le bien être d’où toutes ces mesures de sécurité appliquées par la Gendarmerie nationale. On dit également de Skikda qu’elle possède lune des plus belles plages du pays, «la Grande Plage», située à l’ouest de la ville dans la petite commune d’Aïn-Zouit, vue à partir du club de plongé sous-marine «le dauphin». On écrit à son propos «lors de leurs visites des touristes de Tunisie (Sousse) et de Malte (Valette) ont été surpris par cette plage en pleine nature». C’est tout simplement le charme et la beauté. Pour la tranquillité des estivants, dont le nombre va connaitre une hausse les jours à venir, la Gendarmerie nationale qui travaille de nuit comme de jour, a tout prévu. Ainsi, les opportunistes qui harcèlent les estivants seront pris en chasse, on parle bien des parkings sauvages et de ceux qui comptent louer des parasols de force aux visiteurs. Seuls les hôtels situés au bord de la mer, qui ont droit à un certain espace, peuvent installer leurs équipements pour leurs clients.
Autrement, l’accès aux plages comme l’a si bien souligné le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, est gratuit. L’incident ayant conduit à la mort d’un père de famille à cause d’un stationnement, semble avoir réveillé les consciences pour que les autorités réagissent en faveur de la sécurité. Rencontrés sur les lieux, des citoyens confient que «depuis que la Gendarmerie est là, on est tranquilles», ajoutant «sous les yeux bienveillant de ce service on peut se permettre la tranquillité». Effectivement, à perte de vue et même dans des endroits isolés, la Gendarmerie nationale patrouille et observe.
On parle de la mobilisation de 20 000 à 27 000 gendarmes à travers le territoire pour assurer la mise en place d’un dispositif sécuritaire spécial dans le cadre de l’application du plan exceptionnel estival (Plan Delphine), en vue d’assurer la sécurité des plages, les quartiers sensibles et les routes qui connaissent une activité intense des citoyens. Cela concerne 331 plages autorisées à la baignade, soit 82% du total des plages. Véhicules, motocycles et brigades cynotechniques, ont été également concernés et mobilisés.
Le trafic routier sera également pris en charge pour faciliter la circulation afin de préserver l’ordre public. Rien que pour Skikda, en plus d’une vaste opération de réaménagement des plages dont l’action s’inscrit dans le cadre d’une stratégie nationale d’intégration des collectivités locales dans la dynamique du développement que connait le secteur du tourisme, six postes de police, neuf autres de la Gendarmerie nationale ainsi que 36 centres de la Protection civile sont mobilisés tout au long de la saison estivale. Dans cette même stratégie nationale, les squatteurs des plages sont sous la loupe, ceux-là même qui rendent l’accès aux estivants payants le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales a encore une fois instruit les walis dans ce sens.
Il a déclaré dans ce contexte: «Nous exhortons les walis à consolider le rôle des commissions de sécurité dans les wilayas côtières pour faire face aux squatteurs de plages et mettre un terme à tout dépassement en vue de protéger les droits et acquis des estivants et préserver ces espaces qui sont, par la force de la loi, la propriété des citoyens.» Enfin, pour rester dans la wilaya de Skikda, il y a lieu de rappeler que plus de 6 millions de visiteurs ont été comptabilisés l’année dernière.

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Sensibilisation contre la drogue: La police d’Alger ouvre ses « portes »

Wed, 06/27/2018 - 16:29

Par Ilhem TERKI.

28 cas de toxicomanie ont été accueillis lors des cinq premiers mois de l’année en cours dont 21 ont été transférés vers des centres spécialisés contre 84 cas en 2017.

Les services de la sûreté de la wilaya d’Alger ont organisé avant-hier soir, au jardin Sofia à Alger, des portes ouvertes sur les dangers de la consommation des drogues. L’organisation de ces portes ouvertes est intervenue à l’occasion de la Journée internationale contre l’abus et le trafic de drogues célébrée par l’Algérie le 26 juin de chaque année en vue de «jeter la lumière sur les effets psychologiques et sociaux» de la consommation des drogues, et de mettre en exergue les efforts déployés par les services de la police en matière de prévention et de dissuasion afin de faire face à ce fléau dans les milieux juvéniles, a souligné le commissaire divisionnaire, chef du service de wilaya de la police judiciaire, Sidhoum Hassan. «Conformément au principe de le police de proximité, il existe des services spécialisés activant sur le terrain à l’instar des cellules d’écoute installées au niveau des 13 circonscriptions administratives, des brigades de lutte contre le trafic de drogues et de psychotropes, des brigades de protection des catégories vulnérables et des brigades de la police scientifique relevant du service de wilaya de la police judiciaire» a déclaré le même responsable lors de l’ouverture de ces portes auxquelles ont participé des groupes des Scouts musulmans algériens (SMA). Indiquant que les cellules d’écoute organisent des campagnes de sensibilisation de proximité au niveau des établissements scolaires, des centres de formation professionnelle, des maisons de jeunes et des espaces publics, Sidhoum Hassen a fait savoir que 28 cas de toxicomanie ont été accueillis lors des cinq premiers mois de l’année en cours dont 21 ont été transférés vers des centres spécialisés, contre 84 cas en 2017, précisant que 136 campagnes de sensibilisation ont été organisées lors de la même période. L’officier supérieur a salué dans ce sens, l’action de coordination effectuée par les services compétents avec les partenaires sociaux. Concernant l’activité des services de police de la wilaya d’Alger durant le mois de Ramadhan, le commissaire divisionnaire a présenté au nom du chef de la sûreté de la wilaya d’Alger, le contrôleur de police Noureddine Berrachdi, un bilan marqué, a-t-il signalé, par l’organisation et la sérénité, notamment en ce qui concerne la régulation de la circulation durant les nuits ramadhanesques. Le nombre des accidents a reculé, a-t-il ajouté, de 74 accidents en 2017 à 53 accidents en 2018 faisant 69 blessés contre 58, pendant que le nombre de morts a augmenté cette année à 3 morts contre 1 seul durant le Ramadhan précédent. Concernant l’action dissuasive des services de sûreté de la wilaya, le responsable a fait état de plus de 9 000 infractions dressées et 2 661 retraits de permis de conduire (3 019 en 2017).
Plusieurs descentes ont été effectuées durant le mois sacré ce qui a permis de contrôler plus de 31 000 personnes et 18 000 voitures à même de déférer 3300 personnes devant la justice. Les éléments de la sûreté ont saisi, en outre, 3.549 kg de kif traité, 11 gr d’héroïne et 89 g de cocaïne. Noureddine Berrachdi a fait état, en outre, de 3367 affaires liées aux crimes et à la violence. Il a mis en avant, dans ce sillage, l’action de proximité et de sensibilisation des services de sûreté de la wilaya durant les heures d’El Iftar à travers les centres de contrôle et l’installation de tentes d’ El Iftar partagées entre la police et les citoyens.

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Tamanrasset: Reddition de 3 terroristes aux autorités militaires

Wed, 06/27/2018 - 16:21

Trois terroristes se sont rendus, hier, aux autorités militaires à Tamanrasset, a indiqué un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN).

Dans le cadre de la lutteantiterroriste et dans la dynamique des efforts de qualité fournis par les forces de l’Armée nationale populaire, visant à faire régner lasécurité et la quiétude dans l’ensemble du territoire national, trois terroristes se sontrendus,ce matin du 26 juin 2018, aux Autorités militaires à Tamanrasset en 6e Région militaire.

Il s’agit en l’occurrence des dénommés M’hamdi Boubakr, dit – Abou Ahmed – qui a rallié les groupes terroristes en 2010 ; Ben Arouba Ennasser, dit – Abou Moussa – qui a rallié les groupes terroristes en 2014 et Ghedir Echikh, dit – Abou Omar – qui a rallié les groupes terroristes en 2016. L’opération a permis, également, de récupérer deux pistolets mitrailleurs de type Kalachnikov, unfusil à lunettes et cinq chargeurs garnis. Ces résultats de qualité réitèrent la détermination de toutes les composantes de l’ANP, notamment les unités chargées de la lutte antiterroriste, à assainir lepays des groupuscules terroristes.

Destruction d’une casemate à Skikda et d’une bombe artisanale à Aïn-Defla

Une casemate pour terroristes a été détruite avant-hier à Aïn-Zouit, dans la wilaya de Skikda, lors d’un opération de ratissage menée par des détachements de l’Armée nationale populaire, qui ont également détruit une bombe de confection artisanale à Aïn-Defla, indique mardi le ministère de la Défense nationale, dans un communiqué.

« Dans le cadre de la lutte antiterroriste et lors d’opération de fouille et ratissage, des détachements de l’Armée nationale populaire ont découvert et détruit le 25 juin 2018, une casemate pour terroristes contenant des effets decouchage à Aïn-Zouit, wilaya de Skikda.

D’autre part, une bombe de confection artisanalea été détruite à Aïn-Defla », précise la même source. En outre, et dans le cadre de la lutte contre la contrebande et la criminalitéorganisée, un détachement de l’ANP, en coordination avec les services de la Sureté nationale, « a saisi, à Tlemcen une grande quantité de kif traité s’élevant à 2,57 quintaux », tandisque d’autres détachements de l’ANP ontarrêté à In-Guezzam et Tindouf, six contrebandiers et saisi 2,5 tonnes de denrées alimentaire,550 litres de carburant, 3 véhiculestout-terrain, 12 motocyclettes et 5détecteurs de métaux.

Par ailleurs, des gardescôtes »ont déjoué une tentative d’émigration clandestine de deux personnes, à bord d’uneembarcation de construction artisanale, àAnnaba, tandis que 33 immigrants clandestins de différentes nationalités ont été arrêtés à Tlemcen », rapporte, en outre, le communiqué.

Par R.N.

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Procès des assassins de l’homme d’affaires oranais, Lachaàchi Badreddine: peine capitale requise contre les quatre auteurs

Wed, 06/27/2018 - 16:20

Par Wahib Ait Ouakli.

Le forfait, accompli à la fin du mois de décembre 2013, a été tissé de toutes pièces à partir du quartier populaire El Hamri, dans un bus.

Peine capitale. Telle est la sentence requise par l’avocat général près le tribunal d’Oran à l’encontre de quatre individus accusés d’avoir perpétré un homicide volontaire avec préméditation contre la personne de l’homme d’affaires oranais, en l’occurrence Lachaâchi Badreddine. Les accusés, jugés en fin de journée de lundi dernier, ont, selon l’acte d’accusation, accompli leur forfait dans le bureau de la victime, situé dans l’enceinte de l’unité de production de chewing-gum sise rue Soufi Zoubida, ex-Boulanger, à l’ouest de la ville d’Oran.
Le crime, accompli à la fin du mois de décembre 2013, a été tissé de toutes pièces à partir du quartier populaire El Hamri, tandis que ses séquences ont été montées à l’intérieur d’un bus de marque Isuzu et dont le motif était de commettre un larcin en accaparant le magot emmagasiné par ladite unité, des suites de ses activités commerciales. Les mis en cause, dont l’un d’eux possède un casier judiciaire déjà noirci, ont, alors, mis à exécution leur plan en se déguisant en agents de la Sonelgaz dépêchés sur les lieux pour vérification des installations de ladite unité.
Cette affaire, ayant défrayé la chronique locale, a nécessité deux bonnes années d’investigations. Elle a impliqué quatre prévenus, tous jeunes: K.Kh. âgé de 38 ans, B.A., 37 ans, M.B.M., 30 ans et H.M., 25 ans. Elle a été tournée, alors que d’aucuns, pas moins l’agent de gardiennage du lieu du crime, ne s’attendaient pas à un assaut donné, furtivement, en plein jour le 29 décembre 2013. Les quatre individus, ayant accompli leur forfait, ont pris tout leur temps sans se soucier, de prendre la fuite à bord d’une voiture de marque asiatique.
Les justiciers ayant pris l’affaire en main, en particulier la présidente du tribunal, n’a pas été bercée par les déclarations des mis en cause. Pour peu que justice soit rendue, semble-t-elle vouloir dire à travers ses questions en quête d’autres vérités. D’ailleurs, ces derniers n’ont laissé aucun point au hasard en prenant en compte tous les éléments constitutifs du dossier judiciaire. Et parmi ces éléments, figure l’arrêt de la chambre d’accusation qui renvoie ce dossier devant le tribunal criminel, au terme d’une étude avancée, des procès-verbaux de la police judiciaire, l’ordonnance de mise en accusation du juge d’instruction et autres pièces du dossier.
Tout a commencé lorsque les enquêteurs ont été alertés. Se rendant sur les lieux, ils se sont mis à la besogne en empruntant plusieurs pistes susceptibles de tirer au clair une affaire tout à fait semblable aux films hollywoodiens comprenant des séquences de crimes parfaits et difficiles à décrypter. Les policiers se sont d’abord lancés à partir du cadavre retrouvé poignardé et gisant dans son sang.
Plusieurs fronts d’investigations ont été alors ouverts et appuyés par le rapport d’autopsie établi par les médecins légistes, soulignant que la victime a été attaquée à coups d’armes tranchantes et autres violences, d’où la mort sur le champ des suites d’une profonde plaie au niveau de l’artère fémorale. Toujours sur les lieux du crime, les policiers sont également tombés nez à nez avec un petit coffre
retrouvé ouvert dont la contenance ne dépassait pas la somme dérisoire de 300 000 DA qui a d’ailleurs disparu. Par contre, le grand coffre-fort, situé dans une autre pièce, n’a pas été touché vu qu’il avait été fermé méticuleusement, d’où les difficultés qui auraient été rencontrées par les présumés meurtriers quant à la combinaison.
A l’entrée de l’immeuble, située au rez-de-chaussée, le gardien, laissé pour mort après avoir été lâchement poignardé de plusieurs coups de couteau, a été ligoté à l’aide d’un cache-nez et bâillonné au ruban adhésif. Celui-ci s’en est sorti miraculeusement. Il a joué un grand rôle en assistant les policiers dans leur quête de la vérité. À partir du portrait-robot puis d’un album-photos, il a réussi à identifier l’un des auteurs du crime répondant aux initiales K. Kh., un multirécidiviste. Ce dernier, arrêté aussitôt, est passé aux aveux, reconnaissant les faits, ce qui a facilité énormément la tâche des enquêteurs, et permis en un temps record, l’arrestation de ses complices. Durant l’instruction, les mis en cause, bien qu’ils aient été accablés par des preuves indiscutablement irréfutables, ont, toutefois, tenté de récuser les griefs qui leur ont été reprochés.

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Ensencement de 40.000 alevins depuis 2017

Wed, 06/27/2018 - 16:03

R. R.

Quelque 40.000 alevins de différentes espèces de poissons d’eau douce ont été ensemencés, depuis le début de l’année 2017 à ce jour, à travers la région Sud-est du pays, a-t-on appris auprès de la direction de la Pêche et des Ressources halieutiques (DPRH) d’Ouargla qui coiffe les wilayas d’Ouargla, Biskra, El-Oued, Illizi, Ghardaïa et de Laghouat.

Acquis à titre gracieux dans le cadre du programme d’insertion des activités d’aquaculture au système agricole, initié par le ministère de tutelle en coordination avec l’Organisation mondiale pour l’agriculture et l’alimentation (FAO), ces alevins de différentes espèces de poissons d’eau douce, dont le Tilapia rouge, le Tilapia argenté et le Silure africain (Poisson-chat) ont été ensemencés au niveau des bassins d’irrigation agricole à travers les wilayas précitées, a-t-on précisé. Ce programme vise notamment à diversifier les revenus de l’exploitation agricole, enrichir l’eau destinée à l’irrigation en produits organiques et minéraux (azote, phosphore, potassium et autres), diminuer les l’utilisation d’engrais chimiques et à accroître les rendements agricoles, a-t-on souligné. Pour cela, la DPRH organise périodiquement des sessions de formation appliquée aux agriculteurs sur les techniques d’élevage de poisson d’eau douce dans les bassins d’irrigation agricole, avec le concours de la station expérimentale de l’aquaculture saharienne (commune de Hassi-Benabdallah, relevant du Centre National de Recherche et de Développement de la Pêche et de l’Aquaculture (Cnrdpa) et la Chambre inter-wilayas de la pêche et de l’aquaculture (Ciwpa) afin d’améliorer leurs connaissances dans le domaine de l’aquaculture intégrée dans l’agriculture. Selon la même source, la production de poissons d’eau douce développée dans le cadre de la pisciculture artisanale et l’aquaculture a dépassé, l’an dernier, les 300 tonnes de différentes espèces de poissons d’eau douce, telles que le Tilapia du Nil et le Silure africain. Parallèlement, la DPRH s’emploie à consolider les capacités de production et de commercialisation et à encourager la consommation de poissons d’eau douce pour faire face à l’indifférence des gens qui préfèrent, toujours, les produits halieutiques marins. Il s’agit de la mise à niveau de la chaîne de production et de commercialisation des produits de l’aquaculture, conformément aux normes en vigueur, en multipliant les initiatives de dégustation pour faire connaître les différentes variétés de poisson produites dans la région, ainsi que leurs vertus nutritives et les recettes pour les préparer, a-t-on fait savoir. La région Sud-est du pays recèle d’énormes potentialités susceptibles de promouvoir l’aquaculture, appelée à jouer un rôle socio-économique, notamment en matière de création de richesse et d’emplois, a-t-on souligné à la Dprh.

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Une premiere école coranique avec internet

Wed, 06/27/2018 - 15:55

R.R.

Une école coranique dotée d’un internat a été ouverte dimanche dans la soirée au niveau de la mosquée « Zeid Ibn Thabet » au chef lieu de wilaya d’Illizi.

Première du genre dans la wilaya, cette structure entre dans le cadre du programme arrêté par la Direction locale des Affaires religieuses et des Wakfs visant à impulser l’enseignement coranique dans la région et à attirer le plus d’élèves issus de différentes contrées de la wilaya, y compris des zones enclavées, a indiqué à l’APS le directeur de wilaya du secteur, Abdelhaï Sebaghou. Un riche programme pédagogique, comprenant différentes matières et sanctionné par un examen de fin d’année, a été arrêté pour permettre aux élèves de disposer en fin de cursus d’une attestation de niveau donnant la possibilité de participer aux concours de recrutement aux instituts relevant du secteur à travers le pays, a-t-il précisé. Il est attendu de cette école, qui présente déjà une capacité de 20 places pédagogiques, en plus d’offrir une opportunité d’accompagnement des jeunes, de contribuer à la dynamisation de l’enseignement coranique dans la région pour préparer une génération attachée au saint Coran et lui donner l’occasion de participer aux concours nationaux et internationaux sur le Coran, a-t-il ajouté. Deux écoles similaires seront ouvertes prochainement au niveau des communes de Djanet et d’In-Amenas, sachant que la structure est déjà disponible au quartier Ifri à Djanet et les procédures administratives en voie de finalisation pour la création de celle d’In-Amenas, a révélé M.Sebaghou.

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Categories: Afrique

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