Algérie 360

ALGER – Des artistes, professionnels et amateurs, animeront durant un mois des concerts de musique à travers une trentaine de wilaya à la faveur d’une caravane culturelle qui débutera jeudi.

Organisé par l’Office national des droits d’auteur et droits voisins (Onda), l’évènement intitulé réunit une pléiade d’artistes algériens connus à l’image Lila Borsali, Idir, Behidja Rahal ou encore Amel Zen, qui animeront, jusqu’au 18 août prochain, des spectacles à travers de nombreuses villes d’Algérie. Outre Alger, Constantine et Oran où sont prévus des méga concerts, la caravane sillonnera également des villes de l’intérieur et du sud comme, Djelfa, Laghouat et Naâma.

Au total, quelque « 500 spectacles » sont programmés à cette manifestation culturelle, limitée à la musique. Lors de la présentation, le directeur général de l’Onda, Sami Bencheikh El Hocine, a indiqué que la caravane s’inscrivait « dans le cadre des missions de l’Office pour soutenir les activités culturelles et les artistes ».

Interrogé sur le budget consacré à cet évènement, M.Bencheik a dit que le montant n’était encore fixé et rappelé que l’Onda avait dégagé 270 millions pour les galas de l’été 2017, organisés par l’Office national de la culture et de l’information (Onci). « L’Office qui était partenaire des animations artistiques de l’été 2017 n’avait aucun contrôle dans la programmation et le choix des artistes », a-t-il affirmé.

L’Onda qui compte 21.000 membres, organise des manifestations culturelles, financées sur les fonds récoltés au titre du versement de la « copie privée », une redevance à laquelle sont soumis les fabricants et importateurs de supports et appareils d’enregistrement. Près d’un tiers de ces revenus est destiné à l’accompagnement financier des jeunes créateurs et à l’organisation de manifestations culturelles organisées en Algérie et à l’étranger, a précisé le responsable de l’Onda.

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ALGER- Cinquante-sept (57) personnes ont été victimes d’intoxication alimentaire au cours du premier semestre de l’année 2018, en raison de la consommation de denrées périssables, dont les règles d’hygiène, du froid et de stockage n’ont pas été respectées, a-t-on appris, mercredi, auprès du chef de service de prévention à la Direction de la santé de la wilaya d’Alger (DSP).

Au cours du premier semestre de l’année, 57 cas d’intoxication alimentaire collective ont été enregistrés dans plusieurs restaurants et fast-food (Alger), dont 38 personnes intoxiquées, entre les mois d’avril et mai écoulés, et transférées vers différentes structures sanitaires pour recevoir les soins nécessaires et éviter d’éventuelles complications, a indiqué à l’APS , le docteur Aittouares Boudjemaa précisant qu’aucun cas de décès n’a été déploré.

La majorité des cas enregistrés est due à la consommation de repas, de gâteaux et de pâtisseries impropres à la consommation, de la viande blanche (poulet et poisson), de lait et des dérivés, de la viande hachée, de cachir, d’oeufs et autres produits préparés au niveau de restaurants ou de fast-foods non conformes aux normes sanitaires, a-t-il précisé soulignant que la DSP d’Alger avait pris les mesures indispensables à l’établissement de procès-verbaux (PV) à l’encontre des personnes responsables de ces cas d’intoxication, allant jusqu’à fermeture, et ce en vue de protéger le  consommateur contre de tels dépassements.

Il a indiqué, à ce propos, que ces chiffres « ne reflètent pas la réalité », d’autant que les cas enregistrés sont des intoxications collectives déclarées dont les victimes se déplacent au niveau des centres sanitaires dès l’apparition des symptômes chez deux ou trois personnes ayant consommé le même plat durant les fêtes ou dans des restaurants collectifs des établissements éducatifs ou universitaires, relevant que de nombreux cas individuels « recourent à l’automédication et ne consulte un médecin qu’en cas de complications ».

Le responsable a, par ailleurs, mis en garde contre une augmentation des intoxications durant la saison estivale, marquée par une hausse du mercure, la multiplication des fêtes et par l’apparition des vendeurs ambulants sur les plages.

Il a cité le programme de prévention contre les intoxications alimentaires tracé par la wilaya pour la saison estivale, à travers notamment les actions sur le terrain des équipes de contrôle de la qualité des produits alimentaires au niveau des fast-food et des restaurants, ainsi qu’au niveau des campings d’été.

L’interlocuteur a mis l’accent sur la nécessité de respecter la température et la chaine de froid pour chaque aliment, cuit ou cru, le stockage selon les normes en vigueur, outre l’hygiène des cuisines, des ustensiles et de la tenue des travailleurs et des chefs-cuisiniers qui sont tenus de porter des gants, au cas où  leurs mains présentent des plaies et des maladies susceptibles de causer des intoxications qui menacent la santé des consommateurs.

Les symptômes liés aux intoxications alimentaires se manifestent par des troubles digestifs, des vomissements, douleurs abdominales, diarrhées aigues, ainsi que par des troubles neurologiques pouvant conduire à la paralysie, à la dyspnée ,voire même le décès, a rappelé le même responsable qui exhorte les personnes présentant ces symptômes à s’adresser impérativement aux services des urgences au niveau des hôpitaux ou à la clinique la plus proche de leur lieu de résidence, pour une prise en charge.

Il a indiqué que certains commerçants ne respectent pas les critères et conditions de conservation, la chaine de froid ainsi que l’hygiène sanitaire.

Il a souligné que la DSP participe au même titre que les bureaux d’hygiène au niveau de l’ensemble des communes d’Alger, lesquelles sont également composées d’éléments des directions du Commerce et d’Agriculture, de médecins et de vétérinaires, en vue d’intensifier  le contrôle de la qualité des repas et des aliments et de s’enquérir du respect des mesures sanitaires, et ce, par souci de préservation de la santé du citoyen tout au long de l’année, notamment pendant la saison estivale.

A cet égard, il a évoqué les campagnes de sensibilisation, organisées par le ministère de la Santé, en coordination avec les autres secteurs dans les espaces publics et les instituts universitaires, en vue de sensibiliser aux risques des intoxications et mettre en exergue l’importance de la « sûreté sanitaire des aliments ».

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ALGER – L’approche globale adoptée par le Haut commandement de l’Arméee nationale populaire (ANP) a permis, ces dernières années, de réunir les conditions de l’instauration de la sécurité et de la stabilité sur l’ensemble du territoire national, rapporte la revue El-Djeich dans son numéro de juillet.

« Le haut niveau atteint par l’ANP, ces dernières années, a démontré la justesse, l’efficacité et l’efficience de l’approche globale adoptée par le Haut commandement de l’ANP, qui en a fait la digne héritière de l’Armée de libération nationale (ALN) », indique la publication dans son éditorial.

Selon la publication, il s’agit d’une approche « inspirée de la vision clairvoyante et de long terme du président de la République, chef suprême des forces armées, ministre de la Défense nationale, qui a permis de réunir les conditions de l’instauration de la sécurité et de la stabilité sur l’ensemble du territoire national et, ainsi, de préserver le message des valeureux Chouhada et des Moudjahidine, message par lequel la défense de l’indépendance nationale et la sécurisation des frontières du pays en toutes circonstances s’inscrivent comme une exigence ».

Mettant en avant les efforts « inlassables » déployés par les éléments de l’ANP qui « s’acquittent avec persévérance de leur devoir envers la patrie », la revue note que la nation « peut s’enorgueillir de ses enfants, éléments de l’ANP, conscients de la lourde responsabilité de préserver le riche capital révolutionnaire et national, dont les repères se sont enracinés dans la conscience collective du peuple algérien ».

Les festivités commémoratives du 56e anniversaire de l’indépendance et de la jeunesse constituent, selon la même source, « un moment particulier en ce qu’elles permettent de s’arrêter sur un peu plus d’un demi siècle de l’Histoire de l’Algérie indépendante ainsi qu’une occasion pour évoquer la Révolution, afin de nous inspirer des hauts faits d’armes d’hommes qui ont fait serment à Dieu et qui ont été fidèles à ce serment en endurant les pires épreuves et consentant les plus grands sacrifices ».

La Révolution du 1er Novembre 1954 « a ébranlé les fondements de l’occupant et sonné le glas du système colonial de par sa portée et ses dimensions, et suscité l’admiration du monde de par les principes qui l’animaient ».

La société algérienne, dans toutes ses composantes, a été « un soutien pour l’Armée de libération nationale, reflétant ainsi l’expression de l’unité et de l’homogénéité du peuple et de son armée libératrice pour, d’abord, affranchir la patrie de ses chaînes et, ensuite, penser à jeter les fondements de l’Algérie indépendante », rappelle El-Djeich, ajoutant que l’Armée nationale populaire a été « une des forces à qui a été confiée cette mission et, à ce titre, elle a joué plusieurs rôles dont le plus important a été d’assumer à la fois les missions de défense de la souveraineté nationale et de contribuer au processus d’édification nationale ».

A ce propos, relève la même source, les acquis réalisés par l’ANP « n’auraient pu se concrétiser sans la haute conscience de ses éléments de l’Histoire nationale et des leçons qu’ils ont tirées des sacrifices consentis », estimant que ces sacrifices « ont valeur d’exemple » et « sont devenus une source d’inspiration pour les peuples encore sous occupation ».

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Le président du Venezuela, Nicolas Maduro Moros, a effectué mercredi une escale technique à Alger.

Le président vénézuélien, qui revenait de Turquie où il a assisté lundi à l’investiture officielle du président turc, Recep Tayyip Erdogan, a été accueilli à son arrivée à l’aéroport international Houari-Boumediene, par le président de l’Assemblée populaire nationale, Saïd Bouhadja et des membres du gouvernement.

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Concours de recrutement d’enseignants du primaire, 121.564 candidats, ayant obtenu la moyenne à l’examen du 20 juin dernier, ont été retenus, a annoncé la ministre de l’Education, Nouria Benghabrit, mercredi, sur les ondes de la radio Chaine 3.

Mme Benghabrit a appelé les prétendants à souscrire à la formation pédagogique qui sera lancée le 25 juillet courant pour acquérir les aptitudes d’enseignement avant la rentrée scolaire 2018-2019.

Par ailleurs, la ministre annonce que la plateforme du concours professionnel du 20 juillet courant reste ouverte via ces examens professionnels internes de promotion.

Il y a 11.487 postes à pourvoir. Plus de 38.000 professeurs sont inscrits pour passer cet examen qui concerne 27 grades.

Les examens se dérouleront au niveau de 166 centres d’examen et les candidats passeront 115 sujets respectifs aux grades ciblés (directeur, inspecteur, surveillant général, intendant,,,,) .

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La Côte d’Ivoire a pris le meilleur sur le Sénégal (25-21), à l’occasion de la 2e journée de la Rugby Africa Silver Cup (zone Nord), disputée ce mercredi au stade Michel Coulon de Toulouse (France).

Dans un match à rebondissement, les éléphants de Côte d’Ivoire ont su se montrer costauds, sur tous les plans, pour plier la rencontre en leur faveur. Mené par 13 points à 7, à l’issue de la première mi-temps, le XV de la Côte d’Ivoire a réussi à renverser la vapeur en seconde mi-temps pour s’imposer sur le score de 25 à 21.

A l’image de la Côte d’Ivoire, l’Algérie, troisième nation composant le groupe de la zone Nord, avait également réussi son entame dans cette compétition en battant le Sénégal (22-18), dimanche dernier à Toulouse.

Les « Lionceaux » doivent confirmer, samedi prochain (15h00 heure algérienne), face à la Côte d’Ivoire afin de prétendre à une place en finale. Si les Guerriers du désert parviennent à terminer en tête de leur zone, ils défieront le premier de la zone Sud (Botswana, Madagascar, Zambie) dans un match couperet, prévu le 25 août en Afrique. Le vainqueur de cette finale accèdera à la Gold Cup et rejoindra, tout simplement, la cour des grands.

Mohamed Kermia

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Une importante quantité de kif traité s’élevant à plus 670 kg a été saisie mercredi par un détachement combiné de l’Armée nationale populaire (ANP) près de la zone frontalière de Béni Ounif, dans la wilaya de Béchar, indique un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN). 

«Dans le cadre de la sécurisation des frontières et de la lutte contre la criminalité organisée et lors d’une patrouille opérée près de la zone frontalière de Béni Ounif à Béchar (3ème Région militaire), un détachement combiné de l’Armée nationale populaire a saisi, aujourd’hui 11 juillet 2018, une grande quantité de kif traité s’élevant à six (6) quintaux, 78 kilogrammes et 200 grammes», précise le communiqué.

«Cette nouvelle opération ayant permis de mettre en échec la tentative d’introduction de cette quantité de poisons dans notre pays, dénote de la permanente vigilance et l’entière disposition des Forces de l’Armée nationale populaire mobilisées le long des frontières nationales», souligne  la même source. APS

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Qui sera l’adversaire de la France en finale de la Coupe du monde 2018 ? L’identité du futur adversaire des Bleus sera connue ce mercredi soir à l’issue du déroulement de la seconde demi-finale du Mondial Russe, prévue à Moscow, entre la Croatie et l’Angleterre.

Les amoureux du ballon rond auront droit à un autre derby européen en demi-finale du rendez-vous planétaire. Dans cette rencontre, il est très difficile de faire un pronostic au vu de la production des deux protagonistes dans cette compétition.

Toutefois, la clé du match pourrait bien être la fraicheur physique. En effet, les Anglais pourraient bien être plus frais par rapport à leur adversaire du jour. Les Trois Lions restent sur une victoire nette et sans bavure face au Danemark (2-0), en quarts de finale, alors les camarades de Modrić ont dû passer par la séance des tirs au but, deux fois, pour atteindre le carré d’as.

Jamais deux sans trois

Pour les férus de chiffres, il y a une petite statistique qui pourrait déterminer l’issue de cette partie. Les Anglais restent sur deux victoires de suite face à leur adversaire du jour. Deux succès enregistraient lors des qualifications pour le Mondial 2010, en aller (4-1) et retour (5-1).

Pour sa part, la Croatie, qui reste sur une belle série de 6 victoires consécutives, aura à cœur de prendre sa revanche.

Tout le monde est là

Côté effectif, les deux protagonistes vont se présenter avec l’ensemble de leur armada. Un petit doute subsiste concernant la disponibilité du milieu de terrain anglais Jordan Henderson, qui souffrait de douleurs musculaires aux ischio-jambiers, néanmoins, ce dernier pourra tenir sa place au grand bonheur de son coach, Gareth Southgate.

Composition des deux équipes :

Croatie : Subasic, Vrsaljko, Lovren, Vida, Strinic, Modric, Brozovic, Rakitic, Rebic, Mandzukic, Perisic.

Angleterre : Pickford, Walker, Stones, Maguire, Trippier, Lingard, Henderson, Alli, Young, Sterling, Kane.

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Exigée par certains établissements scolaires, la paperasse devient un problème récurent pour les parents d’élèves ou leurs tuteurs à chaque réinscription scolaire durant l’été.

Des parents d’élèves et des responsables d’établissements scolaires continuent de se jeter la balle concernant l’exigence des documents de l’état civile demandés à chaque sortie en vacances pour réinscrire les enfants scolarisés. Les uns et les autres négligent la loi qui a suspendu, depuis 2015, cette exigence à l’objet d’alléger les opérations d’inscription ou de réinscription des élèves dans leurs établissements respectifs.

Le secrétaire général du ministère de l’Education, Abdelhamid Belabed, affirme au micro de Chkib Benzaoui, que le décret exécutif N° 204/2015 qui dispense les citoyens de présenter des documents administratifs de l’état civile est toujours en vigueur, et donc cette pratique n’est plus de mise.

Toutefois, explique M. Belabed, l’obligation demeure pour les élèves entrants ainsi que ceux des classes d’examens nationaux car authentification des informations personnelles oblige.

Le ministère compte sévir si cette pratique est constatée sur le terrain.

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Les réserves de change de l’Algérie ont baissé à 94,529 milliards de dollars à la fin du 1er trimestre 2018, a appris mercredi l’APS auprès de responsables de la Banque d’Algérie. Les réserves de change (or non compris) étaient à 97,33 milliards de dollars à la fin décembre 2017, ce qui donne une baisse du matelas de devises de 2,8 milliards de dollars entre décembre 2017 et fin mars 2018. Cette baisse, explique la même source, « est la conséquence des effets croisés, sur la période, d’un solde global négatif de la balance des paiements et de la valorisation positive du stock des réserves de change de 1,55 milliard de dollars ». Pour rappel, le ministre des Finances, Abderrahmane Raouya, avait indiqué que les réserves de change devraient s’établir à 85,2 mds usd à fin 2018 (l’équivalent de 18,8 mois d’importations), et à 79,7 mds usd en 2019 (18,4 mois d’importations) avant d’atteindre 76,2 mds usd en 2020 (17,8 mois d’importations).

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L’USM Bel-Abbès a entamé, hier, son deuxième stage de l’intersaison, cette fois-ci à Gammarth (Tunis), avec un effectif presque au complet, a-t-on appris de la direction de ce club de Ligue 1 de football.
L’entraîneur suisso-tunisien, Moez Bouakaz, qui retrouve cette formation après l’avoir quittée, il y a de cela près de deux ans et demi, table énormément sur ce regroupement pour bien préparer les siens en prévision de l’exercice 2018-2019, dont le coup d’envoi sera donné le 10 août prochain, a ajouté la même source. Le désormais ex-coach du MC Oran sait pertinemment qu’il devra rattraper le temps perdu, étant donné que la reprise des entraînements a été marquée par l’absence de plusieurs joueurs. A cet effet, un programme spécial a été établi aux retardataires afin qu’ils soient au même niveau de préparation par rapport au reste du groupe, précise-t-on encore de même source. En terre tunisienne, l’USMBA, appelée à disputer également la Coupe de la Confédération à partir de février prochain, et ce, grâce au trophée de la Coupe d’Algérie qu’elle a décroché en mai dernier, livrera «au moins quatre matchs amicaux», afin de parfaire la forme compétitive des joueurs avant le jour «J». Au menu des Vert et Rouge à leur retour à Sidi Bel-Abbès dans deux semaines, également un autre stage, probablement à Aïn Témouchent ou Sétif, avant d’entrer de plain pied dans la compétition officielle pour le compte d’un nouvel exercice sur lequel l’équipe table énormément. A souligner qu’outre le changement intervenu à la barre technique avec le retour de Bouakaz en remplacement de Si Tahar Cherif El Ouezzani, dont le contrat n’a pas été renouvelé, l’effectif de la formation de la «Mekerra», a connu aussi l’arrivée de pas moins de six nouvelles recrues.

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En fin de compte, le match «retour» devant opposer le 28 juillet prochain le MC Alger et les Congolais du TP Mazembe, comptant pour la 4e journée de la phase des poules (groupe B) aura lieu au stade Mustapha-Tchaker de Blida.
La rencontre dont le coup d’envoi a été fixé à 20h devait avoir lieu au stade du 5-Juillet réquisitionné à cette période par les Jeux africains de la jeunesse. Elle sera officiée par un trio arbitral sud-africain conduit par Victor Miguel De Freitas Gomes. Les deux équipes se retrouveront d’abord mardi prochain (17 juillet à partir de 14h locales) à Lubumbashi pour la reprise de cette compétition. Le rendez-vous sera arbitré par un trio angolais conduit par M. Helder Martins Carvalho. Le TPM auteur de deux victoires, une première face aux Sétifiens 4-1) puis une seconde face aux Marocains d’El-Jadida (0-2) occupe la première position du groupe (6 points) devant le MC Alger (4 points) auteur d’un nul à Alger (1-1) face au DHJ (Maroc) et une victoire (0-1) à Sétif face à l’ESS. Les Mouloudéens ont bouclé hier leur stage de Vichy où ils ont passé dix jours ponctués par trois matchs amicaux face respectivement à Clermont-Foot (1-0), Grenoble (1-1) et Bordeaux (1-1). L’équipe drivée par Bernard Casoni ralliera Alger aujourd’hui (13h). Elle se déplacera en RD Congo dimanche prochain.
M. B.

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Grande concurrence dans les bois.

Si les séances matinales sont généralement consacrées au travail physique, lors de l’après-midi, le coach préfère soumettre ses éléments à des séances mixtes. Autrement dit, ils se donnent à leur passe temps favori qui est de taper dans le ballon. L’entraîneur Badou Zaki qui continue à découvrir les talents individuels de ses protégés leur a organisé avant-hier un mini-match sur la moitié du terrain du complexe sportif d’Afyon. Convaincus que la concurrence va faire rage et que les places seront désormais chères, les joueurs voulaient tous impressionnés Badou Zaki qui a arbitré ses mini-matches lui-même, histoire de voir de plus près ses joueurs à l’œuvre mais surtout les corriger dans la foulée.
L’engagement est de mise
Pour taper dans l’œil vigilent du coach, les équipiers de Yettou ne ménageaient aucun effort sur le terrain et n’hésitaient pas à aller au contact pour impression Badou Zaki qui certainement commence à repérer les éléments prêts à jouer ce premier match amical prévu après demain face à la formation de Balikesir Spor. Si les attaquants faisaient preuve d’efficacité et de gestes techniques sans faille, les défenseurs n’allaient pas de mainmorte pour stopper les attaquants. Bref, la concurrence a commencé très tôt au sein de cet effectif du MCO composé actuellement de vingt-deux joueurs.
Plusieurs éléments s’illustrent
Pour cette rencontre jouée dans un terrain très réduit, plusieurs éléments se sont illustrés et ont été à la hauteur de leur réputation aussi bien sur le plan technique que de l’engagement. Les Yettou et Aït Ouamar ont fait preuve de bonnes organisations sur le terrain se présentant comme de sérieux concurrents à un certain Hamza Heriat. Même en attaque, Chibane a pris les devants en tirant un penalty avec tout le sérieux qu’il faut. Autrement dit, il sait que marquer ce genre de sentence lui permettra de gagner des points aux yeux du staff technique.
Grande concurrence dans les bois
Même dans les bois, la concurrence n’a pas révélé tous ses secrets. Si on pense dur comme fer que Litim est le mieux placé pour commencer dans les bois comme titulaire, il faut dire que Maâzouzi est en train de dégager une débauche d’énergie impressionnante lui qui a perdu des kilos depuis le début de la préparation. Même Della Krachaï n’a pas l’intention de céder à la concurrence. Le jeune portier issu de l’école du Mouloudia veut au moins défendre son statut de la saison passée qui est de deuxième gardien de but.
 Les jeunes ne lâchent rien
Apparemment, les jeunes du cru croient dur comme fer à leurs qualités sous les ordres de Badou Zaki. Eux aussi ne veulent rien lâcher au cours de ce stage en se donnant à fond aux entraînements et notamment lors des mini-matches. Les Toumi et Frifer ont montré de belles choses, idem pour Blaha et Belal. Ils ont évolué sans le moindre complexe par rapport à des éléments plus aguerris et plus affutés. Auteur : A.L.

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Déficit physique chez certains

L’équipe harrachie est depuis hier à Aïn Témouchent pour une période de douze jours. C’est avec un effectif de 26 joueurs, dont 22 seniors et 4 jeunes promus de la catégorie espoir, que l’USMH a débarqué au complexe sportif d’Aïn Témouchent. Il s’agit d’un stage qui permettra au staff technique à sa tête Salem Laoufi d’appliquer son programme de travail. Bien entendu que le côté technico-tactique ne sera pas négligé, mais surtout le volet physique qui sera le plus privilégié. Quelques matches amicaux sont au programme face à des équipes dont le nom ne nous a pas été communiqué. Ce qui permettra à l’entraineur en chef d’avoir une idée plus précise sur la valeur de tous les éléments de l’effectif, notamment ceux qui viennent juste d’arriver. C’est la huitième fois que l’USMH y élit domicile pour les besoins de sa préparation. Ce site est depuis longtemps devenu le lieu privilégié de l’USMH pour les stages d’intersaison.
Voyage par route
C’est avec un effectif au complet que l’USMH est arrivée hier en début après-midi au complexe sportif d’Aïn Témouchent. Le voyage s’est effectué par route. Une bonne partie des joueurs ont fait le déplacement avec leurs véhicules, notamment ceux qui résident à l’Ouest. Ceux-là étaient présents au complexe aux environs de midi.
Belhani rejoint ses coéquipiers
Après avoir menacé de boycotter le stage, Belhani, le gardien de but, a finalement rejoint le groupe à Aïn Témouchent. A la veille du départ en stage, beaucoup de supporters se sont inquiétés sur les intentions de Belhani qui n’a pris part à aucune séance d’entrainement.
La présence des cadres rassure les fans  
Certains cadres maintenus de l’effectif de la saison passée et qui n’avaient pas repris les entrainements ont finalement tous rejoint leurs camarades. Il s’agit de Bougaroua, Belhani et Kherbache, qui se sont fait désirer pendant une bonne semaine, ont finalement décidé de reprendre les entrainements et compléter le groupe. Ce qui a rassure un tant soit peu les supporters et surtout le staff technique
Quatre jeunes parmi le groupe
A la veille du départ en stage, le coach Salem Laoufi a décidé d’intégrer quatre jeunes issus de la catégorie espoir qui feront partie de l’effectif de l’équipe première. Ces jeunes ont pour nom Riad Bousafsaf (attaquant), Ramzi Boussiala (attaquant), Sidali Alem (milieu récupérateur) et Boussaâda (défenseur central).
Première séance hier à 17 heures
Sitôt arrivés, les joueurs n’ont eu droit qu’à une sieste de deux heures avant d’entamer leur première séance d’entrainement qui s’est déroulée hier matin sur le terrain du stade Siki. Celle-ci qui a été consacrée à un travail physique et a duré deux bonnes heures.
Laoufi augmente la charge
Après une reprise des entraînements basée sur un travail léger, les joueurs sont désormais soumis à une forte charge. Le coach a décidé d’augmenter le dosage et le volume pour permettre à ses joueurs de retrouver petit à petit leurs moyens physiques. Cet accroissement ne sera pas interrompu. Au contraire, elle augmentera au fur et à mesure pendant deux semaines encore.
Du biquotidien à partir d’aujourd’hui
En technicien averti, le coach devrait alterner entre le physique et tactique en permettant aux joueurs de taper dans le ballon durant les séances d’après-midi. Celles du matin sont réservées essentiellement à l’aspect physique. L’entraineur harrachi estime que pour être prêt, il faut encore au moins quatre semaines de préparation physique qui sont indispensables.
Aucun relâchement ne sera toléré
Parlant du stage, l’entraîneur en chef a affirmé qu’aucun relâchement dans les entraînements ne sera toléré par le staff technique, qui a tenu à ce que le travail se poursuive avec la même cadence. Toutefois, certains éléments ont été soumis à un travail spécifique dans le but de leur permettre d’être au même diapason que leurs coéquipiers dans le domaine de l’endurance physique.
Déficit physique chez certains
Ceux qui suivent de près l’évolution de l’USMH depuis le début auront remarqué l’écart qui existe entre certains joueurs sur le plan physique. Des éléments n’éprouvent aucune difficulté sur ce plan, alors que d’autres tardent à retrouver leur rendement habituel. C’est dire que le staff technique a encore du pain sur la planche pour rendre plus homogène le niveau physique de l’ensemble de ses poulains. Auteur : N.R.

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Les deux hommes savent très bien que la guerre d’usure sera déterminante. C’est à celui qui fera le moins de concessions.

Kheireddine Zetchi et Vahid Halilhodzic ont pris la parole lundi par médias interposés pour se prononcer sur les discussions en cours entre les deux parties dans la perspective d’un éventuel retour du technicien bosniaque aux affaires de l’équipe nationale, quatre ans après l’avoir quittée au terme du Mondial 2014. Chacun de son côté a confirmé les discussions et la rencontre que les deux hommes ont eue à Paris, il y a quelques jours. Cependant, Zetchi et Halilhodzic se sont empressés de nier catégoriquement un accord final, glissant au passage que les deux parties explorent d’autres pistes. Difficile du coup de ne pas voir à travers cette double sortie médiatique une véritable opération de communication afin de faire pression sur les négociations en cours. En effet, après avoir longtemps refusé de s’exprimer sur ses pourparlers avec l’Algérie, Halilhodzic est curieusement sorti de son mutisme, en réaction justement aux informations qui se sont répandues telle une traînée de poudre en Algérie au sujet d’un accord avec la FAF pour la reprise en main des Verts. Halilhodzic s’est montré tellement enclin à répondre aux nombreuses sollicitations des journalistes algériens, en quête d’une confirmation, qu’il est difficile de ne pas y déceler une volonté de ne pas céder à la pression. Du reste, la réponse de Zetchi ne s’est pas fait attendre : le président de la FAF adopte la même attitude que Halilhodzic, révélant qu’il n’était pas la seule piste de la fédération algérienne. Les deux hommes savent très bien que la guerre d’usure sera déterminante, c’est à celui qui fera le moins de concessions. Il va sans dire à ce titre que l’aspect financier pèsera lourd dans la balance. La FAF a formulé sa proposition pour un contrat jusqu’à 2022 avec comme objectif principal la qualification au Mondial 2022 prévu au Qatar. Halilhodzic souhaiterait en tirer plus sur le plan pécuniaire, surtout qu’il ne manque pas de propositions émanant d’autres fédérations, à l’image de celle récente de la Corée du Sud, capable sans aucun doute de payer plus que son homologue algérienne. Son salaire au Japon avoisinait déjà les 180 000 euros. Cependant, pour Halilhodzic qui compte ramener avec lui son propre staff, le challenge sportif prime. Il s’est déjà fait une idée sur le potentiel de l’équipe d’Algérie. Des interlocuteurs en Algérie qu’il n’est pas difficile de deviner l’ont également aidé pour faire le point de la situation. Malheureusement, certains, qui ont maille à partir avec l’actuelle équipe dirigeante de la FAF, l’ont découragé de revenir en Algérie. Désolant. “Nous avons fixé un ultimatum à Halilhodzic pour nous donner une réponse. Nous ne pouvons pas l’attendre éternellement. Je pense que d’ici la semaine prochaine nous serons fixés avec lui”, affirme une source proche du dossier qui ne cache pas l’agacement de la FAF après la dernière sortie médiatique de Halilhodzic. La fédération pourrait même passer plus vite que prévu au plan B.

SAMIR LAMARI

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Yousfi : «Je suis abattu»

C’est avant-hier après-midi que le Nasria a disputé son premier match amical   de cette intersaison. La rencontre qui s’est déroulée au stade annexe du 5-Juillet face à l’Olympique de Médéa a été marquée par la sortie d’Abrerrahmane Yousfi après dix minutes de jeu seulement. En effet, ayant ressenti des douleurs  de la cuisse, l’attaquant formé à l’Olympique de Marseille n’a voulu prendre aucun risque et a préféré céder sa place à son camarade, Nadjib Benrabah.
Il effectuera aujourd’hui des tests approfondis
Pris immédiatement en charge par les membres du staff médical, ce n’est qu’aujourd’hui qu’il devra effectuer des tests approfondis pour avoir plus de détails sur la nature de sa blessure et la durée de son indisponibilité. Pour rappel, ce n’est que  dans 48 heures que les résultats  vont être récupérés. En attardant, l’enfant d’Oran va se contenter de   des séances de soins à l’infirmerie du club à Bensiam.
Il a de grandes chances de faire l’impasse sur le stage de Gammarth
Même si pour le moment rien n’est encore officiel, tout porte à croire qu’il fera l’impasse sur le stage de Gammarth qui débutera ce dimanche. En effet, une telle blessure nécessite au moins une semaine de repos avant de reprendre progressivement le travail. Ce qui pourra inciter le coach à prendre la décision de le laisser à Alger afin de bien soigner sa blessure et le récupérer en forme  de retour au pays.
«Je suis abattu»
Le moral à plat, c’est hier que nous avons eu Abderrahmane Yousfi au bout du fil. L’attaquant se dit abattu de manquer cette période de préparation : «Je suis vraiment déçu de contracter cette blessure. Cette période est très importante pour chaque joueur, malheureusement pour moi, je dois manquer une partie de la préparation. Pour le moment, je n’ai pas beaucoup de détails à vous donner. J’espère qu’elle ne sera pas grave pour que je puisse retrouver les terrains les plus rapidement possible.» Auteur : Rachid C.

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17 joueurs à la disposition de Taoussi contre les Marocains

A l’approche du match contre le Difaa Hassani El Jadida qui aura lieu mardi prochain, la direction de l’ESS va essayer, dans un premier temps, de qualifier cinq joueurs parmi les nouvelles recrues pour qu’ils puissent prendre part à cette rencontre qui relève d’une grande importance pour les Sétifiens. C’est hier que le directeur administratif de l’ESS s’est déplacé au siège de la LFP à Alger pour déposer les dossiers d’une majorité de l’effectif afin de pouvoir les enregistrer. La Ligue de football professionnel transférera par la suite lesdits dossiers à la FAF, mais cette dernière ne va pas délivrer de licences aux nouveaux joueurs car, comme on le sait, l’ESS est interdite de recrutement. Cela ne semble pas poser de problèmes aux dirigeants sétifiens qui vont régler ce problème ultérieurement, mais ce qui les préoccupe le plus, c’est la qualification des nouveaux joueurs à la Ligue des champions africaine pour qu’ils puissent les utiliser mardi prochain. On apprend en effet que l’Entente peut qualifier ses nouveaux joueurs à la compétition africaine, mais elle ne pourra pas le faire pour la compétition nationale jusqu’à ce qu’elle éponge ses dettes vis-à-vis de la CRL.

Les dossiers de Boultif, Redouani, Ferhani, Bouguelmouna et Ghecha déposés hier
Rachid Djeroudi a fait hier une demande de cinq nouvelles licences africaines que la FAF va transférer à la Confédération africaine de football, sachant que l’Entente en a droit à sept. Les cinq nouveaux qu’on a décidé de qualifier sont Boultif, Redouani, Ferhani, Bouguelmouna et Ghecha. Le choix répond aux besoins de l’équipe pour cette reprise de la compétition africaine bien que Taoussi ait aimé bénéficier des sept licences à la fois. Il est à noter que le coach sétifien a préféré à la dernière minute Ghecha à Debih après que Hammar lui a demandé de choisir l’un d’entre eux.

Djabou doit attendre sa lettre de sortie de la Fédération saoudienne
Comme on peut le remarquer, il n’y a pas le nom de Abdelmoumen Djabou dans cette liste. Et pour cause, le joueur ne pourra pas être qualifié avant de recevoir sa lettre de sortie de la part de la Fédération saoudienne de football là où il évoluait avant de retourner à l’Entente. Les nouvelles lois de la CAF exigent depuis quelques années la lettre de sortie des joueurs qui évoluaient dans des championnats étrangers même s’ils y étaient prêtés. En d’autres termes, le capitaine de l’ESS risque de rater le prochain match contre le Difaa El Jadida si sa lettre de sortie ne parvient pas à temps.

Son contrat avec Anasr a expiré le 30 juin
Toujours en ce qui concerne Djabou, il faut savoir que son contrat avec Anasr Assaoudi a expiré le 30 juin dernier. Il fallait que la direction de l’ESS l’enregistre dès lors au système de régulation de transferts internationaux (TMS), mais l’opération a été un peu retardée en raison du décès du frère du directeur administratif chargé d’effectuer ladite opération. Ces circonstances douloureuses ont été à l’origine de ce petit retard, mais les responsables du club espèrent que la lettre de sortie de Djabou arrive dans les prochains jours pour pouvoir le qualifier mardi prochain.

La septième licence sera pour Daoudi
Nous connaissons maintenant les noms de six nouveaux joueurs que l’Entente va rajouter à la liste africaine et il s’agit donc des cinq cités ci-dessus, à savoir Boultif, Redouani, Ferhani, Bouguelmouna et Ghecha, en plus de Djabou qui va bénéficier de sixième licence. Il n’en reste qu’une seule et on apprend qu’elle a été réservée au dernier arrivé, le Burkinabé Isla Daoudi. Ce dernier ne jouera évidemment pas le match de mardi prochain, non seulement parce qu’il ne peut pas être qualifié à temps, mais aussi en raison de sa méforme physique. Il se pourrait, si les choses ne trainent pas trop, qu’il prenne part au match retour face au Difaa El Jadida. Cela dit, même pour Daoudi, il va falloir attendre l’arrivée de sa lettre de sortie pour pouvoir le qualifier.

17 joueurs à la disposition de Taoussi contre les Marocains
Si les choses se passent comme on le souhaite et si les cinq nouveaux joueurs sont qualifiés à la compétition africaine à temps, le staff technique de l’Entente pourra bénéficier d’un effectif de 17 joueurs pour le match de mardi prochain, car de l’effectif de la saison dernière, il n’en reste que douze éléments titulaires de licences africaines. Sans oublier la possibilité de pouvoir rajouter Djabou si la lettre de sortie de ce dernier arrive dans les délais. En tout cas, pour ce premier match officiel de la nouvelle saison, Taoussi n’aura pas une marge beaucoup de choix, sa marge de manœuvre est plus ou moins limitée.

Auteur : Akram F.

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«Si on joue à Tchaker, on devra s’y adapter»

Lors de son intervention au micro d’El Heddaf TV, Bernard Casoni a évoqué ce problème de manque d’efficacité qui fait défaut et perdure depuis un certain temps. «On aurait pu faire la différence en première mi-temps qui était très aboutie. Mais bon, comme on le sait, on manque toujours de réalisme au niveau de l’attaque. Ce problème ne date pas d’aujourd’hui.»
«On a bien défendu et cela ne nous a pas empêchés de nous créer des occasions de scorer»
Très performant défensivement, le Mouloudia s’est pourtant offert plusieurs situations nettes de scorer, surtout en première période. «Vous l’avez vu, lorsqu’on défend bien, cela ne nous a pas empêchés de nous créer des occasions nettes de scorer. Lorsqu’on défend, cela ne veut pas dire qu’on n’attaque pas.»

«Hachi n’est pas encore au point, il manque de rythme»
Questionné sur le rendement de Hachi lors de ce match, Casoni nous dira avec franchise : «Logique, Hachi n’est pas encore au point. Il manque de rythme dans les jambes. C’est normal, du fait que cela fait un moment qu’il n’a plus joué.»
«On n’ira pas à Lubumbashi avec la fleur au fusil mais pour réussir une belle perf’»
A propos de ce match contre le TP Mazembe qui se dessine à l’horizon, le technicien français annonce la couleur : «Comme je le dis très souvent, on joue tous les matches pour les gagner car la victoire procure de la confiance aux troupes. Il est certain qu’on n’ira pas à Lubumbashi avec la fleur au fusil mais pour réussir un bon résultat.»
«Si on joue à Tchaker, on devra s’y adapter»
Sur le fait de jouer le math retour face au TP Mazembe à Tchaker, le technicien français se prépare à toute éventualité. «Si le 5-Juillet est fermé, on ne pourra rien faire. Si on doit jouer à Tchaker, on n’aura pas le choix, on doit s’adapter aux conjonctures du moment.»
«On va demander des créneaux à Blida pour avoir nos repères»
D’ailleurs, Casoni prépare déjà l’avenir en prenant ses dispositions car on dit bien qu’un homme averti en vaut deux. «Il va sans dire qu’on va demander des créneaux d’entraînement à Blida pour avoir nos repères», dira Casoni.

Auteur : T. Che.

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Par fortes chaleurs, les mécaniques et les organismes sont mis à rude épreuve. Cela nécessite un bon usage de la climatisation et quelques précautions pour le bien-être des passagers tout autant que pour la voiture.
Il convient de garder à l’esprit certaines règles et de veiller à disposer d’un véhicule en bon état et entretenu. Une voiture négligée peut être victime de surchauffe, surtout dans les embouteillages. Voici un petit tour des éléments sur lesquels il faut rester vigilant :
– Vérifier le liquide de refroidissement : faire l’appoint si nécessaire. Pareil pour l’huile.
– Avoir assez de lave-glace adapté aux fortes chaleurs.
– Les pneus : gonfler les pneumatiques avec la pression «en charge» indiquée par le constructeur.
– Avoir des lunettes de soleil (indispensables pour le conducteur).
– Porter des vêtements légers, de préférence en coton (mais porter de bonnes chaussures, pas des tongs ou des savates).
– Mettre les smartphones et boîtiers divers à l’abri du soleil, ou éventuellement les placer dans le flux d’air frais de la climatisation.
– Prévoir de l’eau pour les personnes à bord (dont une réserve peut se ranger dans une boîte à gants réfrigérée ou dans un Frigobox éventuellement alimenté par l’allume-cigare).
– À défaut de vitres arrière surteintées ou de store intégré, prévoir un pare-soleil ou une protection système D avec un essuie (serviette) pour les passagers arrière.
– Dans la mesure du possible : garer la voiture à l’ombre ou sous un abri, voire en laissant deux fenêtres entrouvertes s’il n’y a que très peu de risque de vol (terrain privé ou parking surveillé). Il est aussi possible de placer une protection derrière le pare-brise.
– Ne jamais laisser un passager ou un animal dans l’habitacle d’une voiture stationnée en plein soleil et, en cas de fortes chaleurs, même dans un abri ou à l’ombre.
– Penser à faire des pauses pour se reposer et s’hydrater pour se prémunir du coup de chaleur (tant pour le conducteur que pour les passagers).
– Et pour ne pas conduire pendant les heures les plus chaudes, si c’est possible, il vaut mieux éviter de se déplacer entre 12h et 16h, voire — à condition d’être suffisamment reposé — tôt le matin ou en fin de soirée.

La climatisation
L’air conditionné de la voiture doit être correctement entretenu (notamment au niveau du filtre), sans quoi il pourrait lâcher au plus mauvais moment. Pour profiter au mieux de la climatisation, voici quelques règles à avoir en tête :
– Prendre le temps de lire le mode d’emploi.
– Ne pas programmer ou régler le système sur une température trop froide (risque de rhume à cause du choc thermique, mais aussi de givre sur le bas du pare-brise). L’idéal est d’avoir une température de 20°C à bord si la température extérieure est inférieure à 30°C pour monter jusqu’à 25°C pour des températures extérieures supérieures à 30°C.
– N’engager le recyclage de l’air qu’au démarrage pour le couper dès que la température devient supportable.
– Éviter de diriger le flux d’air vers le visage ou le torse (préférer la diffusion indirecte et vers les pieds pour créer une circulation d’air dans l’habitacle).

Abaisser la température
En cas d’effet sauna dans une voiture exposée au soleil : d’abord aérer la voiture en ouvrant les portes avant de démarrer. Enclencher la climatisation en laissant les fenêtres ouvertes pour les premiers kilomètres, histoire d’évacuer l’air chaud. Fermer les fenêtres une fois que l’air a été brassé. En tout cas, il faut éviter de laisser les vitres abaissées au-delà de 70 km/h, cela augmente la consommation et crée des courants d’air gênants dans l’habitacle. Il en va de même avec le toit ouvrant, très utile pour évacuer rapidement l’air chaud accumulé lors du stationnement.

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