Merzougui Mohamed
Le wali de Msila, M. Hadj Mokdad, a affirmé, la fin de la semaine passée, lors de sa visite d’inspection dans les communes de la zone ouest de la ville de Msila, que toutes ces dernières seront alimentées de manière régulière en eau potable, à court terme, à partir du transfert de l’eau du barrage de Koudiat Acerdoun (wilaya de Bouira), des forages de Birine (wilaya de Djelfa) et du forage profond de la commune de Tarmount. En ce qui concerne les quartiers situés dans la périphérie ouest du chef-lieu de la wilaya, notamment le pôle universitaire, qui accusent un déficit en eau, le wali a confirmé que le forage, d’une profondeur de 900 mètres du champ captant de Lougman, garantira quotidiennement un volume de 4.320 m³ d’eau qui sera transité par une station de traitement de désulfuration avant sa distribution vers la ville de Msila, prévue pour le mois de novembre 2018.L’autre volet sensible, sur lequel le wali a insisté, est celui de la gestion de ce précieux liquide. Pour ce faire, il dira que dans le cadre du plan d’urgence initié par le président de la République, un programme conséquent est en cours de concrétisation, basé essentiellement sur le renforcement, la réhabilitation et l’homogénéisation des canalisations et autres équipements liés à l’alimentation en eau pour les populations qui sont en quête de l’amélioration de leurs conditions de vie et de santé. Par ailleurs, le nouveau directeur des ressources en eau et le directeur gestionnaire de l’Algérienne des eaux de la wilaya de Msila se sont concertés pour lutter contre le gaspillage et les fuites d’eau, ainsi que les branchements illicites et les suppresseurs anarchiques installés par certaines personnes indélicates.
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M.Y.
Il y a quelques jours, disparaissait dans la plus grande discrétion une figure historique importante de la scène musicale algérienne. Si, comme c’est malheureusement trop souvent le cas, les institutions avaient, apparemment, perdu jusqu’au souvenir de sa contribution humaine, pédagogique et scientifique au rayonnement national et international de notre patrimoine culturel, nombreux étaient, par contre, les musiciens, musicologues et amoureux de la Sanâa qui continuaient à entretenir avec lui des liens d’estime et de reconnaissance. De fait, ce n’est que justice, compte tenu du parcours exemplaire de feu Djelloul Yelles.Né à Tlemcen le 10 février 1922, dans une modeste famille d’artisans tlemcéniens, il manifeste très tôt des prédispositions évidentes pour la musique. Malgré les rigueurs de la condition coloniale, soutenu par un père lui-même sensible à l’importance de la tradition maghrébo-andalouse, il réussit à acquérir les rudiments de la formation musicale. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il se retrouve à Alger où il suivra les cours de musique du Conservatoire d’Art dramatique. Dans la même période, lorsqu’il revient à Tlemcen, pour les congés scolaires, à la suite d’autres maîtres et amoureux de la Sanâa tlemcénienne, il entame un travail de collecte et de notations du répertoire tlemcénien, sous la houlette du grand maître Cheikh Larbi Bensari. Cette vaste entreprise ne cessera de l’occuper sa vie durant.
Par la suite, désireux de se doter de tous les outils théoriques et méthodologiques à même de lui permettre de contribuer à une meilleure connaissance et à une transmission rationnelle du patrimoine musical maghrébo-andalou, il décide de partir en France. Il fait alors partie de cette poignée de jeunes intellectuels «indigènes» qui affronte les rigueurs de l’exil, dans le contexte particulièrement difficile de l’immédiat après-guerre. Sensibilisé très jeune aux enjeux politiques de la domination coloniale, militant du PPA, puis du Parti communiste, il poursuit également son engagement, à Paris aux côtés de ses camarades.
Inscrit au Conservatoire de Paris, ses études supérieures déboucheront sur un premier prix de clarinette. Dans le même temps, il aura suivi les cours d’Olivier Messiaen à la Schola Cantorum. Parvenu à la dernière étape de sa formation supérieure (direction d’orchestre), il décide de rentrer en Algérie, conscient que, dans le contexte colonial, il est inconcevable qu’un orchestre de chambre français puisse être jamais dirigé par un «Arabe» De plus, il a la conviction que son devoir l’appelle dans sa patrie et que, fort de ses acquis, il lui faut à présent poursuivre la tâche de prise en charge du patrimoine musical algérien.
Les hasards de l’histoire -l’élection d’un maire communiste à Sidi-Bel-Abbès (René Justrabo) -lui permettent de candidater à un poste d’enseignant au Conservatoire municipal de cette ville. Il y est nommé en 1950 et s’installe ainsi avec sa famille dans la «capitale de la Mekkera». Il est, officiellement, chargé de la «Classe de musique orientale» (une terminologie, ô combien révélatrice des fantasmes coloniaux de l’époque). Il formera, plusieurs générations de jeunes musiciens et musiciennes (exclusivement «indigènes», cela va de soi). En parallèle, il poursuit son travail de recherche sur la Sanâa et maintient des liens personnels et intellectuels très forts avec ses pairs et amis musiciens et musicologues tlemcéniens. Il est, en particulier, très proche des membres et animateurs de la grande association musicale, la SLAM.
Dès l’indépendance, il est tout, naturellement, nommé directeur du Conservatoire municipal de Sidi Bel-Abbès. En plus de ses fonctions administratives, il continue à assumer ses tâches de pédagogue -comme en témoigne le nombre de ses anciens élèves, professeurs de musique, en poste dans l’ouest du pays. Il s’implique, également, au niveau local et régional dans l’organisation de nombreuses manifestations culturelles (festivals) pour ce qui relève du volet musical.
En 1967, il est contacté par feu Mohamed Seddik Benyahia, alors ministre de l’Information. Ce dernier envisage de lancer un vaste programme visant à développer l’enseignement, la pratique et la recherche de la musique, en Algérie. Ce programme se propose d’assurer une véritable prise en charge de l’éducation musicale, à tous les niveaux (de la maternelle au lycée), de former des virtuoses (dans les différentes classes d’instruments), de relancer la recherche dans le domaine musicologique et de constituer des archives musicales aussi complètes que possible (dans l’objectif de permettre l’étude scientifique de ce riche patrimoine).
Djelloul Yelles accepte cette lourde responsabilité et il devient ainsi le premier directeur de l’Institut national de Musique dont il assume la création. Il s’agit d’un chantier complexe qui lui prendra plusieurs années de dur labeur. Car tout est à faire. Depuis la réhabilitation de l’ancien immeuble haussmannien de la rue Hocine Tiah, jusqu’à la mise en place des équipements techniques (pour l’archivage) en passant par la constitution de l’équipe de recherche (à laquelle participent des chercheurs algériens et étrangers). Commence alors pour Djelloul Yelles une période passionnante mais souvent harassante où, en dehors des aspects administratifs de sa charge, il multiplie les missions de collecte, à l’intérieur du pays, profitant souvent, avec son équipe, des participations aux jurys des nombreux festivals, organisés par les diverses wilayas du pays. Conscient des contradictions idéologiques d’un jeune Etat encore souvent incapable de trancher sur certains dossiers cruciaux (à ses yeux), il n’en demeure pas moins fidèle à une vision fondamentalement «patriotique» de sa mission. Pour lui, et pour reprendre une des expressions favorites des dirigeants de l’époque, «les hommes passent, seules demeurent les institutions ». Mais aussi et surtout, pour le musicologue et pédagogue, demeure la formation (aussi poussée et pertinente que possible) des générations montantes, seule à même de permettre la prise en charge scientifique et la transmission fructueuse de notre mémoire culturelle nationale.
Fort du soutien de sa tutelle, et grâce à la contribution de la quasi-totalité des grandes figures de la musique algérienne (tous genres, «écoles» et générations confondus, de Boudali Safir à Abdelkrim Dali, en passant par Kheireddine Aboura, Ahmed Serri, Sadek El-Bedjaoui, Sadek Dersouni et tant d’autres), il réussit à constituer d’importantes et précieuses archives (aujourd’hui transférées dans les nouveaux locaux de l’INSM). Des centaines d’heures d’enregistrements et des centaines de documents originaux ou en copies sont, ainsi, mis à la disposition des chercheurs/euses algérien/nes et étrangers. Pour ce qui relève de la tradition musicale et poétique maghrébo-andalouse, Djelloul Yelles décide de mettre sur pied une commission représentative des trois grandes «écoles» (Tlemcen, Alger et Constantine). Ce travail long et exigeant débouche sur une publication, en trois volumes, aujourd’hui mentionnée dans la plupart des travaux universitaires et référencée dans toutes les grandes bibliothèques du monde : Al-Muwashshahat w-al-ajzâl (1975, 1982).
Co-écrit avec son collaborateur Amokrane Hafnaoui (pour la partie de mise en forme des textes), cette contribution majeure offre, pour la première fois, une recension méthodique et raisonnée de la quasi-totalité des répertoires de la nûba algérienne (avec les différentes variantes régionales). A noter que ce travail est depuis longtemps épuisé mais que l’ENAL (ex-SNED) n’a jusqu’ici pas jugé utile d’en programmer une réédition.
Durant ces années 1970, Djelloul Yelles continue à être très sollicité, tant sur la scène culturelle nationale qu’internationale. C’est ainsi qu’il représentera, à plusieurs reprises, l’Algérie dans les instances panarabes de la musique et qu’il fera partie des délégations algériennes, en mission dans divers pays «frères et amis». Dans son pays, il participe en tant qu’organisateur et membre des jurys des festivals de musique «andalouse», mais aussi des festivals de musiques, de chants et de poésies «populaires».
De fait, sa grande curiosité intellectuelle, sans cesse à l’affût, son attachement personnel, éthique et politique à la «culture du peuple » -dans le sens le plus fort et le plus noble du terme -, à ses beautés et à ses valeurs, l’avait, très tôt, placé dans une distance fondamentalement critique vis-à-vis des cercles élitistes et des milieux conservateurs qui monopolisent souvent le débat culturel, et plus particulièrement musical. Cet engagement se manifestera concrètement en 1975 par la publication du volume Al-Muqâwama al-jazâiriya fi-chi’r al-malhûn (co-écrit avec Amokrane Hafnaoui), anthologie regroupant des textes parmi les plus remarquables du répertoire de poésie populaire (melhûn) des Guwwâla et Mdâdha de notre pays sur la thématique de la guerre de Libération. En 1985, on retrouve la même position de principe -quant à l’importance de ne pas dévaloriser ; telle ou telle partie de la création artistique nationale ; au bénéfice de telle autre sur des critères purement idéologiques -lorsqu’il préside le jury du 1er Festival de Raï, à Oran.
Ce sens de la responsabilité morale et politique d’une génération envers celle qui la suit, cette vigilance intellectuelle, à la fois ferme et généreuse, ne se sont jamais démenties, tout au long de sa vie et constituent, pour ceux et celles qui l’ont approché, parmi les constantes de sa personnalité. Lorsqu’il prend sa retraite au début des années 1980, il poursuit ses recherches avec ténacité, accumulant des milliers de fiches et de notes qu’il n’aura malheureusement, pas le temps de réunir pour la publication. Jusqu’à la fin de sa vie, il prêtera la plus grande attention à l’évolution des pratiques musicales, aux derniers développements de la recherche musicologique, de manière générale, et en particulier dans le domaine du p atrimoine maghrébo-andalou. Doté d’une érudition remarquable et d’une mémoire exceptionnelle, il n’a, de fait, jamais cessé d’être ouvert aux grands débats nationaux et mondiaux de son temps tout en restant viscéralement attaché aux valeurs et au meilleur de la tradition culturelle de son pays.
Au même titre que beaucoup de grands artistes, chercheurs et intellectuels avant lui, l’enfant de Tlemcen, le Bel-abbésien de cœur, le patriote algérien et citoyen du monde laisse, derrière lui, une œuvre pédagogique, scientifique et humaine de premier plan dont on espère que son pays et ses institutions sauront se souvenir et la faire fructifier pour le bien des générations futures d’Algériens et d’Algériennes.
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Rachid Boutlelis
L’envahissement de masures hideuses, érigées en parpaing et tôles ondulées, constituant, désormais, un bidonville, qui ne cesse de prendre de l’ampleur, suscite la consternation devant ce laisser-faire, ayant des connotations de complaisance, chez les habitants du quartier Ibn Sina’, mitoyen au cimetière européen, juste en face de la base aérienne, à la sortie-sud de la municipalité de Bousfer, qui ont exprimé leur ras-le-bol au Quotidien d’Oran’. Nos interlocuteurs ont, vivement, désapprouvé ce déplorable état de fait, à l’origine de la dégradation qui va crescendo, de leur cadre de vie.«Nous avons avisé les gendarmes qui se sont déplacés sur les lieux pour constater les faits», ont fait remarquer nos interlocuteurs, avant de renchérir, avec une pointe de dépit, « nous sommes durement confrontés aux répercussions négatives, sur notre cadre de vie, enfantées par l’installation de ce bidonville qui ne cesse de s’étendre, dans l’indifférence de tout un chacun. Dès l’apparition des premières masures, près de trois années auparavant, nous avons aussitôt signalé, à plusieurs reprises, cette transgression aux responsables concernés, sans pour autant suscité une réaction, à même d’annihiler la multiplication des constructions illicites».
En effet, selon le constat établi sur le terrain par Le Quotidien d’Oran’ un hideux regroupement de baraques vient, en effet, de naître, tout près du cimetière européen de la commune de Bousfer, juste en face de la base aérienne Gasmi’, sur une assiette où ont été lancés, un peu plus de deux ans plus tôt, des travaux de réalisation d’une cité de logements sociaux. Ce nouveau bidonville, constitué de près d’une centaine de masures, a pris forme dès le lancement des travaux de réalisation de cette cité de logements sociaux. Selon un recoupement d’informations, glanées sur les lieux, la construction d’une baraque dans ce regroupement de constructions illicites, une superficie d’environ quatre mètres carrés, est proposée à partir de sept millions de centimes, négociables. La main-d’œuvre est disponible sur place, en contrepartie, évidement, d’une autre somme d’argent.
Au sein de ce bidonville, visible à l’œil nu, pour les usagers du chemin vicinal, reliant la commune de Bousfer à celle d’Aïn El Turck, des individus, faisant partie probablement des réseaux, veillent au grain et construisent des habitations illicites à la demande en contrepartie d’importantes sommes d’argent. Il importe de noter qu’en contrebas de la cité des 72 logements sociaux participatifs, LSP, sise au lieu-dit Ouadite’, dans cette même commune de Bousfer, la même activité lucrative, de vente de lopins de terre et de baraques, a été constatée par Le Quotidien d’Oran’. A l’instar du bidonville mitoyen au cimetière européen, situé derrière la cité des 72 logements LSP du lieu-dit Ouadite’, est entouré d’amas de détritus et autres déchets de matériaux de constructions, véritable garde à manger pour les chiens errants, rats et autres animaux nuisibles.
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J. Boukraâ
Les habitants des cités AADL 2.500 et 2.700 logements d’Ain Beida viennent de monter au créneau pour dénoncer ce qu’ils considèrent comme des lacunes, en tenant un sit-in, hier samedi, dans leur cité. Ces derniers mettent au premier plan la non ouverture de la route qui devrait relier ces deux cités et faciliter ainsi les déplacements des riverains, le retard dans le raccordement des deux écoles de façon définitive, aux réseaux électrique et du gaz naturel, le retard dans la réception de nouveaux établissements scolaires: deux écoles primaires et deux collèges, qui, en principe, permettraient à leurs enfants d’éviter de ce déplacer vers d’autres localités.Ces habitants dénoncent, surtout, le manque d’un poste de police pour se sentir en sécurité et protéger, ainsi, leurs enfants ainsi que le manque de sérieux de la part des opérateurs en transport urbains qui desservent leurs cités alors que la rentrée scolaire est dans quelques jours. Les habitants déplorent, aussi, l’inexistence de commerces dits de base. Ils soulèvent, également, le problème de l’accès à la cité qui demeure fermé. Un accès, juste entre le cimetière de Ain El Beida et la caserne militaire, ce qui les oblige à faire un long détour pour accéder à leur cité, en passant par la cité 200 logements Es Senia’ et ce, en prenant le 4ème boulevard périphérique. Il faut signaler qu’il s’agit là d’une énième protestation des habitants qui n’ont cessé d’attirer l’attention des responsables locaux pour la prise en charge de leurs doléances qui datent depuis leur installation sur site, il y a plus de deux années.
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La 23éme édition du salon international du livre d’Alger, débutera le 29 octobre 2018, a annoncé le ministre de la culture Azzedine Mihoubi via son compte twitter.
Pour cette édition, c’est la Chine qui sera à l’honneur: « La république populaire de Chine sera l’invite d’honneur à l’occasion du 60e anniversaire des relations historiques entre l’Algérie et la Chine » Précise le ministre de la culture.
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Khaled Boumediene
La visite d’inspection et de travail effectuée, jeudi dernier, par le wali de Tlemcen, Benyaiche Ali, dans la daïra de Fellaoucène a dévoilé l’aspect désagréable et le visage peu reluisant de l’agglomération d’Aïn Fettah, blottie au pied des grands monts de Trara, à une vingtaine de kilomètres de Nedroma.Dès son arrivée sur les lieux, le premier responsable de l’exécutif est exaspéré par l’insalubrité criarde qui saute aux yeux de n’importe quel visiteur qui arpente les ruelles de cette cité de plus de 6.000 âmes. Des ordures entassées devant des maisons individuelles, des tas de déchets, des ruissellements d’eaux usées, des sacs en plastique de toutes les couleurs composent le triste paysage de la majorité des rues de ce village et portent un coup fatal à la santé publique et à l’environnement en général. Cette situation catastrophique a été fortement décriée par M. Benyaiche.
«Je n’ai jamais vu une agglomération aussi sale et étranglée par les déchets ! Je ne comprends pas pourquoi personne ne s’est inquiété de cette situation. Où sont les élus, que font les responsables ? Pourquoi tout cet abandon, il faut nettoyer tous les points noirs de la ville ! Organisez des campagnes de nettoyage, impliquez tout le monde, les élus, les citoyens et les agents de nettoiement ! Il faut également changer les mauvais réflexes et l’incivisme des habitants pour éviter de telles carences qui sévissent à Aïn Fettah ! », s’est exclamé le wali à l’adresse du président d’APC d’Aïn Fettah, qui n’a point trouvé d’arguments à faire valoir. Il faut rappeler que durant la décennie noire du terrorisme, Aïn Fettah a souffert le martyre à cause des incursions répétitives des groupes armés qui prenaient les immenses forêts de Fellaoucène comme base de repli. En 1994, le parc de la commune d’Aïn Fettah a été complètement incendié et plusieurs personnes ont été froidement assassinées devant leurs proches.
A Fellaoucène (10 kilomètres d’Aïn Fettah), le wali qui a procédé à l’inauguration d’un nouveau service de maternité au sein de la polyclinique et visité les projets de réalisation de 50 et 100 logements sociaux, une salle omnisports, une école primaire et 04 logements d’astreinte pour la police, a écouté les réclamations des habitants portant sur les fortes nuisances dues aux fumées insupportables des déchets brûlés de la décharge publique de Mahrez.
Cette problématique d’incinération des déchets touche aussi la population d’Aïn Fettah. Le premier chef de l’exécutif a instruit les responsables concernés à exploiter la décharge implantée à Hammam Boughrara. Il a promis dans ce cadre de doter les deux communes de camions bennes à ordures ménagères et de réhabiliter le tronçon routier du chemin de wilaya n°105 reliant Sidi Ali Benzemra. M. Benyaiche a clôturé sa visite par la commune d’Aïn Kébira où il s’est enquis des travaux du projet des 30 logements sociaux à Heumri Benamar et visité une aire de repos à El Hashas et une école coranique à Zaouiat Sidi Bénamar.
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K. Assia
Un important lot de boissons alcoolisées soit 15.496 bouteilles de différentes marques, a été saisie par les gendarmes d’Oran. C’est sur la base d’informations parvenues aux gendarmes de Hassi Bounif et faisant état de la commercialisation, sans autorisation, dans une maison, de boissons alcoolisées qu’une enquête a été ouverte. Les investigations ont permis de déterminer l’emplacement de l’habitation sachant que le propriétaire profitait des constructions illicites pour s’adonner à cette activité. Dans ce registre, les gendarmes de Benfreha, de Boufatis appuyés par les unités d’intervention de Béthioua ont procédé à une perquisition ordonnée par la procureur, dans l’habitation en question, et découvert le lot suscité. Le propriétaire de cette marchandise illicite reste inconnu et les recherches se poursuivent.The post Hassi Bounif: 15.496 bouteilles de boissons alcoolisées saisies appeared first on .
Bencherki Otsmane
Avec la fin des vacances et la rentrée sociale en ce début de mois de septembre, des embouteillages sont constatés à l’entrée de la ville notamment au niveau des trois accès à Chlef. En effet, les automobilistes venant de l’ouest de la wilaya (Boukadir, Oued Sly, etc.), de l’Est (Oued Fodda, Karimia, etc.) ou du Sud (Ténès, Abou El Hassan, La Marsa, etc.) éprouvent des difficultés pour accéder au centre-ville en raison des embouteillages relevés particulièrement aux heures de pointe. Ainsi pour améliorer la circulation, les services de la wilaya ont introduit récemment de nouvelles mesures telles que l’installation de feux tricolores aux carrefours les plus fréquentés à l’image de celui de Hay Houria. Pour contourner la ville par le côté ouest, une trémie qui reliera la RN4 au nouveau quartier El Bradai est en voie de construction.La nouvelle organisation du plan de circulation du chef-lieu de wilaya prévoit également de nouveaux pont et de trémies. Il s’agit du dédoublement du pont de Hay Meddahi (Zeboudj). Concernant le point noir que constitue le marché populaire de Hay Bensouna, nous avons appris que des propositions ont été faites. En ce qui concerne les 122 bus affectés à l’université qui font quotidiennement la navette entre Ouled Farès et Chlef sur une distance de 15 km, il a été proposé aux responsables de l’ONOU (œuvres universitaires) un nouvel itinéraire qui permettra de décongestionner le centre-ville. Toutefois les usagers de la route demeurent sceptiques et se demandent si cette nouvelle organisation va leur permettre de sentir un soulagement du trafic routier. Quoi qu’il en soit, la réponse à cette question interviendra dans un avenir très proche, après une période transitoire d’adaptation.
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Rachid Boutlélis
Le phénomène des cordages de petits et de gros calibres, fixés sur la chaussée et installés en travers de la route, a pris des proportions démesurées, dans la contrée d’Aïn El Turck. Destinés, initialement, à amarrer les bateaux, ces cordages, sont désormais utilisés, par les riverains, en guise de ralentisseurs’ dans pratiquement toutes les rues des quartiers, essaimés à travers les quatre municipalités que compte cette contrée, selon le constat établi sur le terrain par «Le Quotidien d’Oran». Cette infraction, qui met à rude épreuve les plus solides des châssis des véhicules, allant jusqu’à les détériorer, irrite, grandement, les automobilistes, notamment les non avertis. Comble de l’ironie, cette transgression, constituant une piètre spécificité pour cette région côtière, s’est carrément intégrée dans les paysages et ce, en l’absence d’une opération d’assainissement à même d’endiguer ce phénomène. Il importe de signaler que ces cordages, qui sont solidement fixés avec des boulons sur les chaussées et suscitent l’ire des usagers, ont causé d’importants dégâts aux voitures.Des altercations ont même opposé des automobilistes, outrés au plus haut point, à des riverains suspectés d’être les auteurs de cette infraction. «Le cardan de ma voiture a été détérioré. Je dois, obligatoirement, le changer mais cependant, qui donc va me dédommager maintenant ? A qui dois-j m’adresser ? Je ne comprends pas cette innommable anarchie», s’est insurgé un automobiliste dépité, originaire de la région du centre du pays, de passage dans cette contrée et dont la voiture a buté sur un gros cordage, dans une rue de la municipalité d’Aïn El Turck. Notre interlocuteur a, encore, renchéri avec colère «n’y a-t-il donc personne pour arrêter ce massacre à ciel ouvert ?». Il est utile de noter, dans ce même contexte, que cette transgression est déplorablement majorée par l’installation, par des riverains également, de ralentisseurs’ hors normes, construits avec du béton en travers les chaussées, qui sont en plus tapissées de nids de poules et autres crevasses béantes. Notons, encore, que ces infractions, qui se sont généralisé avec le temps à la faveur de l’indifférence manifeste des uns et des autres, sont répertoriées dans presque toutes les rues des quatre municipalités de la contrée d’Aïn El Turck. Notons, aussi, que cette infraction est lamentablement additionnée au déplorable état des chaussées qui deviennent carrément impraticables pendant la saison des pluies. Un phénomène dans un phénomène qui suscite le courroux des automobilistes et a été à l’origine de plusieurs accidents de la circulation, dans cette contrée, qui a été désignée comme zone tampon pour les Jeux méditerranéens qu’organisera la capitale de l’Ouest en 2021.
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Bencherki Otsmane
Les services de la wilaya ont engagé depuis plus d’une année des opérations de nettoyage hebdomadaire pour débarrasser de nombreux sites de leurs ordures. Lancée le 1er septembre 2017 par l’actuel wali M. Abdallah Benmansour, ce lifting visait à rendre la ville plus agréable à vivre et surtout dans un environnement sain et propre. Pour cela, le wali a impliqué tous les chefs de son exécutif, qui ont supervisé l’opération de nettoyage et d’enlèvement d’ordure, chacun ayant sous sa responsabilité un site bien déterminé et cela chaque journée de samedi. C’est le cas de la journée du samedi dernier où une opération d’envergure a touché l’ensemble des quartiers de la commune de Chlef. Le dernier bilan fait état de plus de 6 tonnes de détritus enlevées. Pour cela, des moyens matériels ont été renforcés suivis de campagnes de sensibilisation destinées aux citoyens de la ville de Chlef. Aujourd’hui, les habitants ont vu leur ville se moderniser, s’embellir et aussi être sécurisée.Par ailleurs, il est important de souligner que quelques fois l’incivisme de certains citoyens nuit à la gestion des déchets ménagers. A titre d’exemple les bacs à ordures installés au niveau de certains quartiers ont fait l’objet de destruction quand ce n’est pas le vol qui est constaté. Il y a également la sortie des ordures à tout moment de la journée alors que le passage des camions s’effectue à des horaires bien précis pour chaque quartier. Toutefois, malgré ces «carences», il faut reconnaître que la ville de Chlef respire mieux. A ce sujet, le wali dira: «Notre action ne sera pas limitée dans le temps car nous continuerons à œuvrer pour un environnement propre et sain». M. Abdallah Benmansour a également invité la population à «s’animer de bons gestes et d’inciter particulièrement les nouvelles générations d’écoliers et de jeunes de prendre conscience des dangers qui guettent l’environnement notamment ceux découlant du comportement humain et de la mauvaise gestion des ressources naturelles».
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Au pays des 200 mille mosquées, du saint coran dans les bus, dans les taxis, dans les sonneries des portables, dans les administrations et autres, des agriculteurs algériens et musulmans irriguent leurs champs avec des eaux d’égouts pour empoisonner des musulmans et des kidnappeurs violent des enfants et des criminels noient le pays par la drogue emportée même dans des conteneurs, de la viande destinée pour la consommation durant le mois sacré de ramadhan ! Faut-il encore une fatwa du cheikh ‘’Chems Eddine’’ pour interdire aux agriculteurs d’irriguer leurs champs avec des eaux d’égouts, ou une campagne sur les réseaux sociaux à l’image de ‘’ khaliha takhemadj’’ pour obliger ses faux fellahs aux crédits bancaires à se repentir de leur grand péché !
Bien que l’autorité religieuse peu absente, occupée par les arnaques des fausses agences de voyages qui ont arnaqué même des hadjis en quête d’un pèlerinage aux lieux saints de l’islam, son partenaire, le chef du Syndicat des Imams, Cheikh Hadjimi, a volé au secours du ministre de la santé pour lui décrire un médicament fort capable d’abattre ce cholera . Le nouveau Epidémiologue à la barbe et au Kamis a bien trouvé la solution : combattre le Choléra avec 7 dattes, eau bénite et Rokia !
Pour cet Imam, le Choléra est une ‘’baraka’’ de Dieu, car Dieu quand il aime un peuple, il l’accable”. Un prêche qui encourage encore les fellahs d’irriguer leurs terres avec les eaux usées et ils seront remerciés pour leur largesse. Ainsi l’Algérie de ‘’Chemssou’’, D’Hassan Aribi et cheikh Belahmar bat son plein avec la Bédouinisation, le Choléra, la rougeole, la fièvre aphteuse et toutes les maladies du Moyen-âge.
C’est dans le monde de ces 20 mille mosquées, qu’un certain Kamel Bouchi a investi son argent sale pour blanchir son CV et se fait un bon statut religieux de ‘’Si El Hadj El Bouchi ‘’. Le terrain est gagné très vite puisque dans la religion il y a aussi des petits Bouchis, tel que l’imam de Palestro coincé dans l’affaire de la coke et en sa possession 3 milliards de cts, en guise de ‘’Ziara’’ de l’Escobar d’Alger Kamel Bouchi !
L’Algérie qui héberge le plus grand nombre de mosquées dans le monde islamique n’a pas pu transformer ses lieux de culte en un appareil pour combattre la drogue, la corruption, les crimes et les rapts d’enfants et les tricheries. Avec 200 mille mosquées, c’est 200 algériens par mosquée sans citer les ‘’medersa’’ et les salles de prières, mais malgré ce nombre important, ces mosquées restent immobiles devant le nombre grandissant d’algériens qui transgressent sans pudeur les principes de l’Islam, et qui causent le désordre dans la société, du plus petit mal aux plus grandes atrocités.
Un voyou musulman ça n’existe pas ! On ne peut être voyou, corrompu, tueur, tricheur, kidnappeur et aussi musulman ! Et c’est le comportement qui fait la différence entre le bon musulman et le mauvais musulman.
La mosquée ce n’est pas seulement un lieu de prière, c’est aussi une école et les imams sont des enseignants. En Islam, il existe une éducation, une orientation et un accompagnement pour ramener cette brebis égarée au troupeau ! Et c’est le rôle principal de l’imam, du voisinage, de la société civile et des parents ! Mais hélas, ils sont tous démissionnaires …
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L’entraîneur allemand de Liverpool avait déclaré « ne pas être un grand entraîneur » ce vendredi. Le portugais, visiblement encore très inspiré, a tenu à répondre au coach des Reds :
« Je suis le manager de l’un des plus grands clubs du monde, mais je suis également l’un des plus grands managers du monde. Klopp dit ça car il n’a jamais rien gagné au niveau international. C’est son problème. Je vous dis ce que je pense, je dis ce que je ressens. Jurgen vous dit ce qu’il veut. Et je vous réponds à la question, c’est facile. Je répète qu’il y a deux ans, nous avons connu une saison fantastique en remportant la Ligue Europa. Nous avons gagné la Ligue Europa parce que c’était notre niveau. Nous sommes la dernière équipe en Angleterre à avoir remporté un trophée européen » a ainsi déclaré José Mourinho dans des propos relayés par Metro et Le10sport.
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Islam Slimani a ouvert aujourd’hui son compteur but en SüperLig. L’attaquant de l’EN a inscrit un but lors de la rencontre qui a opposé son team à Kayserispor. Toutefois, ce but n’a pas servi à grand-chose pour Fenerbahçe qui s’est incliné au final sur le score de trois buts à deux.
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Manchester City 2 – Newcastle 1
Premier League – 4ème journée
Buts : Sterling (8′), Walker (52′) (Manchester City); Yedlin (30′) (Newcastle)
Mahrez a cédé sa place à Gundogan à la 76′ de jeu
Manchester City : Ederson – Walker, Stones, Laporte, Mendy – Mahrez, Fernandinho, D. Silva – Sterling, Agüero, Gabriel Jesus
Newcastle : Dubravka – Yedlin, Lascelles, Fernandez, Clark, Dummett – Kenedy, Sung-yueng, Diamé, Pérez – Rondon
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Devant l’échec de certaines parties concernées par la réalisation des routes à Tissemsilt, la situation n’était pas sans faire bouger la population particulièrement après l’arrêt des travaux engagés par les habitants de douar Douayat près de Beni Lahcen sur un tronçon routier récent.
En effet, après le mouvement de protestation du douar de Kearif lancé dernièrement pour réclamer la route, mardi dernier a été encore une fois relativement mouvementé dans cette partie de la wilaya, les habitants sont sortis à la rue et avaient stoppé les travaux engagés par une entreprise privée, dans leur mouvement. Ces habitants affirment qu’ils sont condamnés par tant d’années de négligence et de marginalisation à pourrir de l’intérieur à cause de ces problèmes qui sont l’infime petite partie apparente d’un laisser aller qui malheureusement fait leur quotidien depuis des lustres. Les habitants rappellent que le projet de cette route se trouve déjà dans un état de dégradation très avancé pourtant la route ne date que de quelques jours, visiblement, le bâclage et la précipitation ont caractérisé ce soit disant projet, les petits ouvrages d’art se sont effondrés alors que la couche de bitume s’effrite à mains nues, ce tronçon dont les travaux sont à l’ arrêt représente désormais une image réelle sur le gaspillage des deniers publics, ce tronçon mal fait est un grand danger qui pourra être fâcheux à l’avenir, dégradé déjà par endroits et complètement défoncé dans certains autres au point de l’impraticabilité complète, la présence des crevasses et autres cavités gênent énormément la circulation routière, une situation que les usagers ont fortement dénoncée Ils tiennent à préciser aux responsables que cette situation est devenue intenable et par ce mouvement de protestation, ils espèrent trouver une bonne compréhension de la part du premier responsable de la wilaya. Enfin, les habitants de cette partie de la wilaya de Tissemsilt qui endurent le calvaire de cette situation s’interrogent sur l’absence des élus locaux et du bureau chargé du suivi et interpellent ces mêmes responsables à se pencher en urgence sur ce problème de grande priorité.The post Arrêt des travaux de l’axe routier a douar Douala: Les citoyens interpellent le wali de Tissemsilt appeared first on .
Le nombre des malades suspectés d’être infectés par le choléra actuellement admis au niveau de l’hôpital des maladies infectieuses de Boufarik (Blida) a reculé à 52 cas, dont 18 confirmés, selon le dernier bilan enregistré dans la matinée de samedi, a-t-on appris auprès du wali, Mustapha Layadhi.
« 52 malades suspectés d’être infectés par le choléra se trouvent toujours en prise en charge à l’hôpital de Boufarik, dont 44 issus de Blida, deux de Tipasa et six d’Alger », a signalé le wali lors de son intervention à une rencontre l’ayant réunie avec les directeurs des écoles primaires, en perspective de la prochaine rentrée.
Sur ce total de cas, les analyses en laboratoire ont confirmé 18 cas d’atteintes par le choléra, a-t-il précisé.
Le chef de l’exécutif a, par ailleurs, fait cas de 135 personnes, qui ont quitté l’hôpital suite à leur rétablissement, sur un total de 187 accueillies au niveau du même établissement depuis l’apparition de cette épidémie, dont 61 cas confirmés de choléra.
Un bloc spécial a été affecté, au niveau du même hôpital, aux cas suspectés de choléra, au moment ou un autre a été affecté aux cas d’atteintes confirmées , en vue d’éviter la transmission de cette épidémie, a -t-il, également, fait savoir.
Au titre des mesures prises en vue d’endiguer la maladie, le wali a signalé l’ouverture d’un poste de police à l’entrée de l’hôpital, en vue d’interdire l’entrée des familles des malades n’ayant pas bien assimilé le bien-fondé de leur interdiction de visite, visant leur propre protection.
Près de 900 analyses ont été, aussi, réalisées, sur les familles de malades confirmés de choléra, a- t-il dit, signalant la poursuite « régulièrement » des actions de contrôle au niveau des sources d’eau et des réseaux AEP, en dépit de la confirmation de leur potabilité par les analyses.
Le contrôle des exploitations agricoles et des actions d’irrigation est toujours en cours, d’autant plus, a ajouté M.Layadhi que les services de la Gendarmerie nationale de la wilaya ont traité, dernièrement, deux affaires liées à l’irrigation de récoltes agricoles avec des eaux usées , dans la région de Ben Chaàbane de Boufarik.
Le Ministère de la santé rappelle qu’en cas d’apparition de diarrhée et vomissements, il est impératif de se présenter à la structure de santé la plus proche, de se réhydrater en prenant suffisamment d’eau et de sels de réhydratation orale (SRO) et d’apporter une attention particulière aux enfants et aux personnes âgées.
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Le porte-parole du mouvement de résistance islamique palestinien (HAMAS), Sami Abou Zouhri a salué, samedi dans la wilaya de Mascara, la position algérienne vis-à-vis de la cause palestinienne qu’il a qualifiée de « distinguée » et de « forte ».
Dans une déclaration à l’APS en marge d’une cérémonie de solidarité avec le peuple palestinien organisée, par le bureau de wilaya de l’association caritative « El Baraka », M. Abou Zouhri a souligné que les visites des dirigeants du Hamas en Algérie expriment la grande reconnaissance des Palestiniens de la position algérienne officielle et de son peuple envers la cause palestinienne, « qui demeure une position forte et distinguée ».
Le porte-parole du Hamas a déclaré « ma visite en Algérie intervient pour expliquer les enjeux et dangers auxquels fait face la cause palestinienne ».
« La paix ne se fera pas au détriment de la résistance palestinienne qui poursuit ses préparatifs sans être affectée par le sujet »
Sami Abou Zouhri a estimé, dans ce sens, que l’annulation totale des aides des Etats unis d’Amérique à l’Office des secours et des travaux des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) entre dans le cadre de « l’accord du siècle » lancé en exécution dernièrement par la proclamation d’El Qods occupée comme capitale de l’occupant Israélien et le transfert de l’ambassade US vers la ville sainte et aboutissant à la suppression des aides destinées aux réfugiés palestiniens via l’UNRWA.
Il a ajouté que le peuple palestinien est déterminé à rejeter cet accord notamment à travers des marches qui s’arrêteront que lorsqu’elles réaliseront leurs objectifs et le blocus d’Israël sur Ghazal sera brisé.
Au sujet d’apaisement dans le secteur de Ghazal, M. Abou Zouhir a souligné que les contacts à travers l’Organisation des Nations unies (ONU), l’Egypte et le Qatar se poursuivent et que Hamas traite la question suivant les intérêts du peuple palestinien.
Le bureau de wilaya de l’association caritative « El Baraka » dont le siège est basé à Alger a organisé cette cérémonie de solidarité avec le peuple palestinien, présidée par son président, Ahmed Brahim, en présence de citoyens.
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Le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Abdelkader Bouazghi, a affirmé samedi à Alger que « les fruits et légumes produits sont sains et soumis au contrôle continu des services concernés », indiquant que la consommation de ces produits n’a aucune lien avec les cas du choléra enregistrés récemment dans certains wilayas du pays.
« Je rassure les citoyens que les fruits et légumes produits en Algérie sont sains car les services concernés relevant du ministère de l’Agriculture en coordination avec ceux des ministères de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire et du Commerce, veillent sans cesse au contrôle de leurs qualités »,
« L’Algérie exporte régulièrement et constamment de grandes quantités de fruits et légumes vers les marchés étrangers connus pour leurs rigueurs et nous n’avons enregistré aucun problème, mais plutôt ces produits sont fortement demandés vu leur bonne qualité », a-t-il soutenu.
Le ministère de l’Agriculture, rappelle-t-on, avait assuré dans un communiqué que « les eaux destinées à l’irrigation des fruits et légumes sont saines et ne peuvent en aucun cas être à l’origine de la propagation de l’épidémie du choléra ».
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Le navire car-ferry Tassili II appartenant à l’Entreprise nationale de Transport maritime de voyageurs (ENTMV) en partance du port d’Oran vers le port d’Alicante a heurté samedi lors de manœuvres de sortie, un navire battant pavillon panaméen, accosté à proximité de la passe du port, a indiqué l’ENTMV dans un communiqué.
L’incident du navire car-ferry Tassili II à son bord 1.287 passagers et 305 véhicules s’est produit à 2h30 du matin, et a provoqué au navire une déchirure longitudinale de la coque sans gravité au-dessus de la ligne de flottaison et un enfoncement de coque à l’autre navire, précise la même source.
Dés survenance de l’incident, l’ENTMV a procédé à la mise en place d’une cellule de crise pour la gestion de l’évènement.
L’Entreprise nationale de réparation navale (ERENAV) a dépêché une équipe de techniciens à l’effet de procéder à la réparation de la brèche, sous la supervision d’un expert de la société de classification bureau Veritas.
Les travaux de réparation sont en cours et seront achevés en fin de journée pour permettre au navire de prendre la mer en toute sécurité et regagner le port de destination (Alicante), ajoute le communiqué.
L’ENTMV a pris les dispositions utiles pour la prise en charge des passagers en attente à Alicante à destination du port d’Oran.
Par ailleurs, une équipe de responsables relevant du groupe algérien de transport maritime CATMA et de l’ENTMV a été dépêchée par le ministre des Travaux publics et des Transports pour s’enquérir de la situation du navire et des passagers.
Une équipe technique administrative sera diligentée par l’autorité maritime compétente à l’effet d’identifier les causes ayant été à l’origine de cet incident, conclut le communiqué.
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Le groupe Sonatrach et la compagnie publique bolivienne, Yacimientos Petroliferos Fiscales (YPF) ont convenu de renforcer leur coopération en vertu d’un mémorandum d’entente signé vendredi à Santa Cruz de la Sierra en Bolivie, a appris l’APS auprès de Sonatrach.
Le document, prévoyant l’établissement d’une coopération entre les deux groupes pétroliers en matière d’exploration et d’exploitation des hydrocarbures, a été paraphé par le patron de la Sonatrach, Abdelmoumen Ould kaddour, et le PDG de YPF, Oscar Javier Barriga Arteaga, en marge du premier forum international sur le gaz, la pétrochimie et les combustibles verts qui a clôturé vendredi ses travaux à Santa Cruz.
Aux termes de cet accord, les deux compagnies se sont engagées à asseoir un cadre de coopération dans les domaines de la pétrochimie, la commercialisation du gaz et des produits raffinés avec la possibilité de créer des associations à cet effet.
Le protocole d’entente prévoit, par ailleurs, un échange d’informations incluant également celles se rapportant aux règles et règlements régissant l’exploration des hydrocarbures, précise-t-on de même source.A cette fin, Sonatrach et YPF se sont mis d’accord pour mettre en place un comité qui sera chargé de coordonner ces actions de coopération.
Le premier groupe énergétique africain qui s’est fixé l’ambition de se placer à l’horizon 2030 parmi les cinq grandes compagnies pétrolières nationales au monde, a accéléré ces derniers mois la cadence pour renforcer son redéploiement à l’international.
Le groupe présent à l’étranger, notamment en Afrique, a mis le cap cette fois ci sur l’Amérique Latine où il exploite déjà au Pérou un gisement de pétrole et de gaz (Camisea) avec l’américain HuntOil, le sud-coréen SK et le péruvien Tecpetrol.
La visite de M. Ould Kaddour au Pérou et en Bolivie s’inscrit dans le cadre de cette nouvelle stratégie d’internationalisation devant permettre au premier groupe énergétique africain, qui a pâti de la chute des cours de brut, de soutenir sa quête de nouveaux marchés et de projets d’investissement à l’international.
Le dirigeant de Sonatrach a multiplié durant son déplacement les entretiens avec les responsables du secteur énergétique péruvien ainsi qu’avec les dirigeants des compagnies pétrolières intervenant dans ce pays.
Ces discussions ont permis de faire un point de situation sur les projets en exploitation, Camisea et TgP et d’évoquer la possibilité de renforcer la présence de Sonatrach au Pérou.
A Santa Cruz de la Sierra, M. Ould Kaddour a rencontré le ministre de l’Energie Bolivien, Lui Alebrto Sanchez Fernandez et le PDG de YPF avec lesquels il a discuté des possibilités de coopération dans l’amont pétrolier en Bolivie, selon les mêmes sources.
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