You are here

Algérie 360

Subscribe to Algérie 360 feed Algérie 360
Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
Updated: 2 days 5 min ago

Allemagne: Expulsion des migrants algériens

Wed, 07/18/2018 - 16:58

Le gouvernement allemand souhaiterait accélérer les renvois de demandeurs d’asile originaires d’Algérie, du Maroc et de la Tunisie en les inscrivant, avec la Géorgie, comme “pays sûrs”, selon un projet de loi adopté aujourd’hui en conseil des ministres.

C’est la seconde tentative des autorités allemandes après le premier projet de loi qui a été rejeté l’an dernier par la chambre haute du Parlement.

Le gouvernement allemand veut inscrire ces trois pays du Maghreb et l’ancienne république soviétique sur sa liste des pays dits “sûrs”, ce qui permettrait aux services de l’immigration de rejeter de façon automatique les demandes d’asile de leurs ressortissants.

Le ministère de l’Intérieur allemand, espère que cette mesure aura “un effet de signal” et permettra “une diminution drastique” des demandes d’asile émanant de ces quatre pays.

The post Allemagne: Expulsion des migrants algériens appeared first on .

Categories: Afrique

Deux films turcs y ont été projetés: Le soufisme à l’honneur à la Cinémathèque

Wed, 07/18/2018 - 16:55

L’ambassade de Turquie en Algérie a organisé, lundi, deux projections de films à la Cinémathèque d’Alger du réalisateur Kürsat Kizbaz, autour du thème de l’amour dans sa dimension soufie.
La Turquie, plus précisément la ville de Konya, est, comme tout le monde le sait, le berceau de la confrérie des Derviches tourneurs fondée par le mystique afghan Jalal-Eddine Rumi. Le pays reste marqué par l’héritage de ce soufi dont la pensée, traduite dans toutes les langues, rencontre un engouement mondial. Le cinéma turc est également empreint de cette culture de la tolérance, de la paix, de l’amour universel et de la spiritualité délestée du dogme.
Deux films, une fiction et un documentaire ont été projetés autour de ce thème à la Cinémathèque algérienne à l’initiative de l’ambassade de Turquie : Somuncu Baba Askin Sirri (Père boulanger – Les mystères de l’amour) et Mevlana askin Dansi (Mawlana, la danse de l’amour). Le premier, un long-métrage d’une durée de 100 minutes est un bio-pic du célèbre mystique turc Somuncu Baba, de son vrai nom Cheikh Hamidi Vali  (1331-1412), qui enseigna les préceptes du soufisme dans la ville turque de Bursa sous l’égide du sultan ottoman Bayezid 1er. Plusieurs de ses disciples deviendront à leur tour de grands maîtres soufis.
Rythmé par le son de la flûte, un instrument emblématique de la musique soufie, le film raconte la trajectoire et les enseignements de l’ascète, surnommé le boulanger en référence à ce métier humble qu’il a choisi d’exercer à Bursa pour s’éviter le culte de la personnalité. La facture classique et la dimension didactique du film ne lèsent pas pour autant le travail approfondi sur le personnage dont le réalisateur réussira à mettre en relief le style de vie dépouillé et la beauté d’une pensée transcendante.
Le second film, signé par le même réalisateur, est un documentaire consacré à Jalal Eddine Rumi, certainement le soufi le plus célèbre au monde à l’heure actuelle, en raison de l’accessibilité et la popularité de certains de ses ouvrages. En effet, le fondateur des Derviches tourneurs et de la spiritualité du «Samaâ» (l’écoute) a, certes, laissé un livre phare et, néanmoins, ésotérique (El mouthnawi) mais aussi des recueils de poésie et autres œuvres dont la simplicité du style et l’universalité du contenu en font des livres de chevet pour des millions de personnes à travers le monde grâce à un réseau de traduction étendue.
Dans ce film intitulé Mevlana, la danse de l’amour, Kürsat Kizbaz alterne entre reconstitution et interventions d’universitaires, notamment américains, pour suivre la trace de ce mystique hors pair dont les vers et les enseignements continuent d’influencer et de guider des centaines de milliers de personnes, sept siècles après sa mort. De son arrivée à Baghdad à la fondation des derviches à Konya (Turquie), en passant par le récit de son amitié fusionnelle avec Shams de Tabriz et l’effroyable assassinat de ce dernier par les disciples de Rumi, le documentaire passe au crible le cheminement exceptionnel du maître tout en apportant des éclairages variés sur son œuvre grâce aux interviews avec des chercheurs et spécialistes du soufisme. Kürsat Kizbaz est un jeune réalisateur passionné de soufisme dont les trois films sont consacrés à des personnages emblématiques de cette philosophie spirituelle.
En plus de Rumi et de Somuncu Baba, il signe un bio-pic autour d’un autre mystique incontournable de Turquie, le poète Yunus Emre (1240-1321).
Sarah H.

The post Deux films turcs y ont été projetés: Le soufisme à l’honneur à la Cinémathèque appeared first on .

Categories: Afrique

Un plan d’urgence a été déclenché: Un foyer de fièvre aphteuse signalé à Médéa

Wed, 07/18/2018 - 16:50

Malgré toutes les dispositions prises afin de faire face au virus, un premier foyer de fièvre aphteuse vient d’être signalé dans le chef-lieu de la wilaya. Dès la suspicion d’un foyer de fièvre aphteuse dans l’une des wilayas limitrophes, les services vétérinaires de la wilaya de Médéa ont déclenché un véritable plan de bataille pour endiguer la transmissibilité de cette maladie qui décime le bétail dont les bovins, les ovins et les caprins aussi.
Outre la campagne de vaccination qui a démarré au mois de mai et qui a touché plus de 22 000 bêtes, une grande opération de sensibilisation a été lancée à l’adresse des agriculteurs et des éleveurs de la région. Dans ce sens, la tâche n’est pas toujours facile. La mise en œuvre de ladite opération d’intéressement qui se poursuit d’ailleurs, est assurée par un dispositif humain professionnel et qualifié en l’occurrence les zootechniciens y compris ceux du secteur privé. Dans la même optique, un dispositif spécial de contrôle et de prospection a été déployé au niveau des marchés à bestiaux. Il a été ordonné également la limitation des déplacements des agriculteurs et des bêtes notamment vers les wilayas tangentes afin d’éviter les risques de contamination et de prolifération de la pathologie.
D’autre part, la plateforme d’épidémio-surveillance qui a pour rôle justement de veiller à la santé animale entre autres, a impliqué tous les acteurs susceptibles de mettre au point son rôle et de le perfectionner.
D’après M. Mohamed Slama, inspecteur vétérinaire à la DSA de Médéa, ce fléau est en nette diminution dans le Titteri mais la vigilance reste de mise. Il a rappelé dans ce sens que l’épidémie avait frappé fort dans les années 90, 99, 2014 et 2017 où il a été enregistré pour cette dernière, 30 foyers de fièvre aphteuse soit 209 cas. Ainsi, 300 bovins ont dû être abattus. Dans ce même sillage, 67 éleveurs ont été indemnisés.
Selon les experts en santé animale, la prévention reste le moyen le plus efficace susceptible de minimiser les risques de contamination et d’atteinte des cheptels par ce virus virulent et par d’autres.
La vaccination n’est pas toujours garante d’une immunité absolue car comme pour d’autres virus, celui de la fièvre aphteuse mute, rendant éventuellement la vaccination inefficace. Il est à savoir que Médéa est forte d’un cheptel excédant les 60 000 bovins, 8 500 000 ovins et 95 000 caprins. Cependant et paradoxalement, la wilaya à vocation agro-pastorale par excellence ne compte que deux abattoirs; seulement deux abattoirs pour 64 communes ! Le premier vétuste, datant des années 1970, situé dans le centre-ville, est en pleine réhabilitation. Le deuxième est érigé dans la ville de Berrouaghia; il appartient à un particulier. Fonctionnel depuis trois années seulement, il a été conçu de façon plus moderne et doté d’équipements et de matériels permettant d’observer les conditions d’hygiène requises pour l’abattage. Les autres sites au nombre de 9, «des pseudo-abattoirs», répartis sur le territoire de la wilaya, ne sont en fait que des tueries traditionnelles et archaïques où les conditions d’hygiène et d’asepsie font souvent défaut.
M. L.

The post Un plan d’urgence a été déclenché: Un foyer de fièvre aphteuse signalé à Médéa appeared first on .

Categories: Afrique

Stratégie économique du gouvernement: Le FMI pointe «des risques majeurs»

Wed, 07/18/2018 - 16:42

La mission effectuée, entre le 27 février et le 12 mars derniers, par une délégation d’experts du Fonds monétaire international (FMI) en Algérie, conformément à l’article IV de ses statuts, et le rapport qui en a suivi, rendu public au début du mois de juin dernier, n’en a pas fini avec les commentaires et surtout les mises en garde de l’institution de Bretton Woods contre la nouvelle stratégie préconisée par les autorités algériennes pour aboutir à la préservation de la croissance.
C’est ainsi qu’un nouveau rapport a été publié, lundi en fin d’après-midi, par le FMI pour revenir, d’une part, sur ce que les autorités du pays ont décidé de mettre en œuvre afin de redresser la situation et, d’autre part, sur l’avis des experts membres de la mission sur ces dispositions et, bien entendu, les potentielles conséquences du recours de l’Algérie au financement non conventionnel, la planche à billets. Le passage au crible de l’état de l’économie nationale a, comme rapporté dans nos éditions du 3 juin et du 17 du même mois, suscité une pléthore de remarques et surtout des craintes clairement émises quant aux perspectives de l’économie algérienne par le FMI. En fait, dans son document publié lundi, l’institution monétaire internationale s’est surtout adonnée à un «démontage» en règle des solutions préconisées par les autorités du pays. Le FMI dit admettre que sur le court terme, voire le moyen, la démarche décidée par le gouvernement pourrait s’avérer à bon escient, mais au-delà de l’année 2020, la croissance risque un très grand ralentissement, avec comme conséquence un fort taux de chômage.

Selon ce qui est rapporté dans le document rendu public il y a deux jours, les autorités algériennes ont confié à la délégation du FMI que la nouvelle stratégie vise à préserver la croissance et l’emploi. «Confrontées à la hausse du chômage, devant rembourser des arriérés domestiques, et réticentes à recourir à l’emprunt extérieur ou à laisser le taux de change se déprécier davantage, les autorités ont vu leur choix se limiter à deux possibilités : poursuivre l’assainissement rapide des finances publiques en 2018, ce qui nuirait encore à l’activité, ou dégager des marges budgétaires pour augmenter les dépenses en recourant au financement monétaire. Confiantes que les risques associés au financement monétaire pourraient être maîtrisés, elles ont choisi la deuxième voie.» Une nouvelle stratégie qui repose sur, d’abord, une augmentation des dépenses budgétaires en 2018 qui finira par se traduire par un déficit dépassant de plus de 6% du PIB les prévisions pour la période 2017-2019. Les dépenses d’investissement augmenteraient de 21,2% en termes nominaux par rapport à 2017, notamment pour épurer les arriérés, et les dépenses courantes de 6,9%, en raison notamment d’un important transfert en faveur de la Caisse nationale des assurances sociales (CNAS). La masse salariale restera pratiquement inchangée en termes nominaux. Les autorités prévoient de reprendre l’assainissement en 2019, avec des coupes sombres dans les dépenses, et de rétablir l’équilibre budgétaire d’ici à 2022.

La stratégie mise au point par les autorités algériennes a prévu, en guise de second axe, le recours au financement par la Banque centrale, en rappelant que la loi sur la monnaie et le crédit a été modifiée en octobre 2017 afin de permettre à la Banque d’Algérie de financer directement, entre autres, le déficit budgétaire, le rachat de créances du secteur public et le Fonds national d’investissement (FNI). Pour le financement monétaire, la Banque d’Algérie achète des titres d’Etat émis dans ce but spécifique, présentant de longues échéances et un taux d’intérêt de 0,5%. Selon l’estimation des services du FMI, le financement monétaire pourrait, d’ici à la fin 2018, représenter l’équivalent d’environ 23% du PIB de 2017. Afin d’éponger une partie des liquidités injectées au moyen du financement monétaire, la Banque d’Algérie a relevé le taux de réserves obligatoires de 4% à 8% en janvier 2018, et elle a repris ses opérations d’absorption en prenant des dépôts bancaires à sept jours. Elle envisage également une augmentation modérée du taux directeur.

Le troisième axe de la stratégie algérienne consiste en le renforcement des obstacles à l’importation. Ceci, a-t-on expliqué à la délégation du FMI, afin d’enrayer la diminution des réserves de change et de promouvoir la substitution de produits nationaux aux importations. L’Algérie a, ainsi, remplacé son régime de licences d’importation par une interdiction temporaire frappant les importations d’environ 850 catégories de biens. Elle a également allongé la liste des marchandises soumises à un droit d’accises de 30% et considérablement relevé les droits de douane, jusqu’à 60%, pour d’autres produits. Quatrième et dernier point de la stratégie algérienne, l’adoption des réformes structurelles. Là, le document du FMI note que le budget 2018 a poursuivi la réforme des subventions à l’énergie en relevant les taxes sur les carburants et l’électricité. Les autorités travaillent avec la Banque mondiale pour approfondir la réforme et mieux cibler leur aide en faveur des ménages vulnérables, la mise en œuvre étant prévue à compter de 2019, a donc noté le FMI sans prendre en compte le cafouillage né des déclarations de Raouya et des répliques d’Ouyahia, il y a quelques jours.

Quoi qu’il en soit, pour le FMI, les Algériens ont également adopté un ambitieux plan de réformes structurelles visant à simplifier la réglementation relative aux entreprises, à améliorer la gouvernance et la transparence, à réformer le régime de retraites et à moderniser le secteur financier. Un plan qui s’appuie sur les efforts déjà réalisés pour améliorer le climat des affaires, dont l’ouverture du fret maritime et aérien au secteur privé. Les autorités s’emploient, note le FMI, à renforcer la gestion des finances publiques, à moderniser leurs instruments de politique monétaire et à favoriser le développement d’un marché des changes à terme. Un décret récent charge la Banque d’Algérie d’évaluer régulièrement la mise en œuvre du programme de réformes des autorités et de communiquer ses conclusions au président de la République.
Une nouvelle stratégie de la part des autorités algériennes qui suscite toutes les appréhensions du FMI tant elle comporte de sérieux risques, selon les mots utilisés par l’institution que dirige Christine Lagarde. «Dans un environnement où les aléas extérieurs risquent d’entraîner une révision à la baisse des perspectives, la nouvelle stratégie pourrait exacerber encore les déséquilibres macroéconomiques, voire les tensions sociales», explique le FMI avant d’énumérer ces risques. Il y a d’abord le risque de compliquer la gestion macroéconomique. Puis au FMI de se lancer dans une explication selon laquelle si les taux d’intérêt restent bas et ne réagissent pas aux variations de l’endettement, le montant du financement monétaire sera moins sujet aux contraintes budgétaires que ne le serait le financement sur les marchés. Ceci risque de dégrader encore la discipline budgétaire, et d’augmenter encore les besoins de financement monétaire.
Si les autorités demandent de façon répétée des injections de liquidités, la capacité de la Banque d’Algérie à maîtriser les conditions monétaires et à assurer la stabilité des prix s’en trouvera compromise et son bilan en sera affaibli. Cette situation, combinée au nouveau rôle de suivi des réformes structurelles qui vient d’être confié à la Banque centrale, mettrait encore plus à mal son indépendance de fait, assure le FMI.
La stratégie algérienne est tout indiquée, selon l’institution internationale, pour attiser les tensions inflationnistes. Faute de stérilisation adéquate, l’augmentation de la liquidité relèverait la richesse nominale, perçue ou réelle, et stimulerait la demande, ce qui se traduirait par une hausse des prix à court terme en raison de l’insuffisance de l’offre intérieure et des possibilités d’épargne. Dans le même temps, le durcissement des barrières à l’importation risquerait d’alimenter les pressions inflationnistes en réduisant l’offre, voire en débouchant sur des pénuries pour certains produits. Les attentes en matière de salaire et de prix pourraient s’ajuster rapidement et se renforcer mutuellement. Les autorités pourraient alors se trouver obligées de recourir au financement monétaire au cours des années suivantes, ce qui risquerait d’entraîner l’économie dans une spirale inflationniste, craint le FMI qui s’attend, en guise de conséquence également de la stratégie adoptée par les autorités algériennes, à un accroissement des tensions sur les réserves de change.

En raison du peu de flexibilité de l’offre intérieure, tout au moins à court terme, les injections de liquidités alimenteront la demande d’importations. La réponse à cette demande dépendra de l’efficacité des nouvelles barrières commerciales, mais les tensions qui ne pourront être apaisées via la balance des paiements (ce qui entraînerait une baisse encore plus importante des réserves) viendront alimenter davantage l’inflation. A mesure que les réserves de change diminueront, les tensions exercées sur le taux de change augmenteront. La probabilité d’assister à une dépréciation marquée du taux de change intensifierait la demande de devises sur le marché parallèle, ce qui encouragerait encore la recherche de rente, prévient le FMI. L’autre risque que pourrait induire la solution adoptée par le gouvernement c’est que cela pourrait nuire à la croissance. «En effet, l’expansion budgétaire donnera initialement un coup d’accélérateur à l’activité économique, mais cela sera pour une courte durée, non seulement en raison de l’assainissement des finances publiques programmé pour la suite, mais aussi du fait que, compte tenu des entraves considérables au développement du secteur privé, les injections de liquidités profiteront principalement à la consommation et non à l’investissement.» En conséquence, raisonne le FMI, la hausse de l’inflation pourrait réduire progressivement l’efficience économique et dissuader les investisseurs.

Et puis, ce que pourrait induire la stratégie du gouvernement, si l’on se fie au raisonnement du FMI, c’est d’aggraver les risques pour la stabilité financière à moyen terme. Selon les experts de l’institution de Bretton Woods, à court terme, l’amélioration des conditions de liquidité, l’apurement des arriérés domestiques de l’Etat et l’augmentation de la croissance amélioreront les indicateurs de solidité des banques, mais les risques pesant sur le système bancaire pourraient ensuite s’aggraver. L’abondance de liquidité bancaire pourrait alimenter la croissance du crédit et entraîner un relâchement des conditions d’octroi de prêts. Le risque de crédit pourrait alors s’aggraver si la croissance économique ralentit, surtout si les mesures de stérilisation et les tensions inflationnistes poussent les taux d’intérêt à la hausse. Sur la base des données récoltées et se fiant aux détails de la politique annoncée par les autorités, le FMI trouve que l’économie algérienne «avance sur une voie étroite» et surtout «une voie sujette à des risques majeurs».
Az. Maktour

The post Stratégie économique du gouvernement: Le FMI pointe «des risques majeurs» appeared first on .

Categories: Afrique

Chez certaines banques ça se passe comme ça

Wed, 07/18/2018 - 16:35

La Banque d’Algérie et le ministère des Finances devraient s’intéresser à certaines banques privées en matière de virement de compte à compte. Les délais réglementaires pour la compensation sont souvent largement dépassés. La Banque d’Algérie devrait communiquer sur les modalités de réclamation auprès de la commission bancaire.

The post Chez certaines banques ça se passe comme ça appeared first on .

Categories: Afrique

ASM Oran: Bentiba et Mebarki en renfort

Wed, 07/18/2018 - 16:34

L’ASM Oran poursuit son recrutement avec l’engagement cette fois-ci de deux joueurs chevronnés, en l’occurrence Mohamed Bentiba et Bilel Mebarki, qui ont signé hier un contrat de deux ans chacun, a-t-on appris du club de Ligue 2 de football. Bentiba (29 ans), vient de résilier son contrat avec l’USM Alger, qu’il a rejoint en début d’intersaison, alors que Mebarki (31 ans), a quitté l’USM Bel-Abbès après seulement six mois de son passage dans cette formation détentrice de la Coupe d’Algérie. L’arrivée des deux éléments devrait soulager le nouvel entraîneur de l’ASMO, Mounir Zeghdoud, qui a réclamé le recrutement de joueurs d’expérience «pour encadrer les nombreux jeunes composant l’effectif actuel de l’équipe», a-t-il justifié. Auparavant, la direction de l’ASMO, qui a mis beaucoup de temps pour recruter un nouvel entraîneur, causant un retard sensible en matière de préparation d’intersaison, avait engagé pas moins de huit joueurs. Mais Zeghdoud, qui avait raté de peu l’accession en Ligue 1 la saison passée sous les couleurs de la JSM Béjaïa, a clairement signifié qu’il n’était pas «totalement satisfait de l’effectif en place», prévenant qu’il comptait libérer «quatre à cinq joueurs». Par ailleurs, et compte tenu des difficultés financières que rencontre le club de «M’dina Jdida», les protégés de Zeghdoud vont se contenter d’un stage en Algérie, probablement à Alger, et ce, à partir du 20 juillet, selon le coach. S’agissant des ambitions de l’ASMO, qui a terminé sixième au classement du championnat de la saison passée, les Vert et Blanc «vont viser d’abord le maintien puis espérer éventuellement revoir à la hausse l’objectif en ciblant l’une des trois premières places donnant accès à la Ligue 1», a précisé Zeghdoud qui succède à Salem Laoufi, dont le contrat n’a pas été renouvelé et qui a atterri cet été à l’USM El-Harrach, club relégué en Ligue 2 à l’issue de l’exercice précédent.

The post ASM Oran: Bentiba et Mebarki en renfort appeared first on .

Categories: Afrique

Argentine: La succession de Sampaoli plonge le pays dans une grande incertitude

Wed, 07/18/2018 - 16:33

L’Association argentine de football (AFA) a obtenu dimanche la démission du sélectionneur Jorge Sampaoli et doit désormais lui trouver un successeur pour construire et conduire l’Albiceleste vers la Copa América 2019 et le Mondial-2022.
Sampaoli était devenu indésirable en raison de la mauvaise prestation de l’équipe de Lionel Messi au Mondial, 2e de son groupe et éliminée dès les huitièmes de finale après avoir atteint la finale en 2014. Les relations de Sampaoli avec les joueurs étaient en outre tendues.

Départ forcé de Sampaoli
Le soir de la défaite contre la France, Sampaoli avait dit son intention de rester à son poste, alors que la majorité des Argentins réclamaient son départ. Il ne s’est pas exprimé depuis. C’est un communiqué de l’AFA qui a annoncé un accord, après deux semaines de négociations entre la fédération et l’entraîneur, alors que le monde du football avait les yeux braqués sur Moscou et la finale du Mondial. D’après la presse argentine, il touchera une indemnisation de 2 millions de dollars (1,7 million d’euros), au lieu des 8 à 20 millions prévus en cas de rupture anticipée de son contrat. Sampaoli avait quitté Séville en juin 2017 pour un contrat de 5 ans avec la sélection argentine. En rupture avec les joueurs et son staff, il avait célébré seul les buts de son équipe contre la France, sans que personne ne s’approche de lui, alors que les autres membres du groupe argentin se congratulaient.

Succession : catalogue de noms
Les plus souvent cités sont Ricardo Gareca, qui a conduit le Pérou à son premier Mondial depuis 36 ans, José Pekerman, à la tête de la Colombie depuis 2010 après avoir dirigé l’Albiceleste (2004-2006), et Matias Almeyda (ex-Lazio, Inter), qui a tout remporté avec le club mexicain des Chivas de Guadalajara après avoir entraîné River Plate. Marcelo Gallardo (River Plate) et Gerardo Martino (Atlanta United, USA) apparaissent aussi. L’AFA avait embauché Sampaoli faute de pouvoir convaincre Diego Simeone (Atlético de Madrid), Mauricio Pochettino (Tottenham) et Marcelo Bielsa (Lille, aujourd’hui à Leeds). Les noms de Simeone et Pochettino circulent, mais les Argentins ne se font plus d’illusions quant à leur venue.
Deux candidats se sont officiellement déclarés, les anciens champions du monde Diego Maradona (1986) et Mario Kempes (1978), mais leurs chances semblent infimes. Maradona a déjà dirigé l’Albiceleste entre 2008 et 2010. Seul étranger, Pep Guardiola est également cité mais il est peu probable qu’il claque la porte de Manchester City, avec qui il vient de gagner le titre de champion d’Angleterre.

Des dirigeants en question
Le président de la fédération argentine Claudio Tapia, premier président élu après le FifaGate et le placement sous tutelle de l’AFA, est lui aussi dans l’œil du cyclone. Il avait débauché Sampaoli du FC Séville et lui avait offert un contrat longue durée. L’échec de Sampaoli est aussi le sien. Il a également été critiqué pour sa gestion de l’organisation du match amical Israël-Argentine, finalement annulé sous la pression d’organisations pro-palestiniennes, ne voulant pas voir Israël utiliser l’image de Lionel Messi à l’occasion d’une rencontre prévue à Jérusalem. D’après un sondage du journal La Nacion après l’élimination argentine, 86% des Argentins souhaitaient la démission de Sampaoli et 87% celle de Claudio Tapia.

Instabilité du poste
Depuis Marcelo Bielsa (1998-2004), l’Argentine a usé huit sélectionneurs, dont trois depuis 2014: José Pekerman (2004-2006), Alfio Basile (2006-2008), Diego Maradona (2008-2010), Sergio Batista (2010-2011), Alejandro Sabella (2011-2014), Gerardo Martino (2014-2016), Edgardo Bauza (2016-2017) et Sampaoli (2017-2018). Durant cette période, aucun sélectionneur n’a atteint la barre des 30 matchs.

Avec Messi
Le prochain sélectionneur pourra probablement compter sur Lionel Messi. Les milieux Javier Mascherano (34 ans) et Lucas Biglia (32 ans) ont annoncé leur retraite internationale mais pas le capitaine argentin, qui aura 35 ans lors du prochain Mondial au Qatar. Sous le coup de la déception après trois finales perdues en 2 ans (Mondial-2014, Copa America 2015 et 2016), Messi avait annoncé en juin 2016 sa retraite, avant de faire machine arrière.

The post Argentine: La succession de Sampaoli plonge le pays dans une grande incertitude appeared first on .

Categories: Afrique

Australie: Tim Cahill prend sa retraite internationale

Wed, 07/18/2018 - 16:33

L’attaquant Tim Cahill, qui détient le record du nombre de buts inscrits avec la sélection australienne, a annoncé hier mettre un terme à une carrière internationale qui l’a vu participer à quatre Coupes du monde.
«Aujourd’hui je mets officiellement un terme à ma carrière internationale avec les Socceroos», a écrit sur Twitter le joueur de 38 ans, auteur de 50 buts en 107 sélections. «Aucun mot ne peut décrire ce qu’a représenté le fait de jouer pour mon pays. Un immense merci à tout le monde pour votre soutien à travers toutes ces années où j’ai porté les couleurs de l’Australie», a-t-il ajouté. La dernière sélection de Cahill est intervenue lors du Mondial en Russie: il est entré en jeu à la 53e minute du troisième match de poule des Australiens, face au Pérou le 26 juin (défaite 2-0). L’ancien attaquant d’Everton en Premier League, l’un des meilleurs joueurs australiens de l’histoire, n’a pas précisé s’il allait poursuivre sa carrière en club. Au mois de janvier il avait rejoint Millwall, en 2e division anglaise, pour un contrat de six mois, dans le but d’assurer sa place avec les Socceroos pour la Coupe du monde. Il portait auparavant les couleurs de Melbourne City dans son championnat national. Tim Cahill a joué 14 ans en Angleterre, à Millwall et Everton. Il a aussi porté les couleurs des New York Red Bulls en MLS, et a joué en Chine, au Shanghai Shenhua et à Hangzhou Greentown. En 2006, alors joueur d’Everton, il avait permis à l’Australie d’atteindre les huitièmes de finale de la Coupe du monde, son meilleur résultat de l’histoire. Enorme travailleur sur le plan physique, il a également participé aux Mondiaux 2010, 2014 et 2018.

The post Australie: Tim Cahill prend sa retraite internationale appeared first on .

Categories: Afrique

Ligue des champions d’Afrique (phase de poules, groupe B-3e journée): Le MCA tombe à Lubumbashi

Wed, 07/18/2018 - 16:30

Après leur carton à domicile face à l’ES Sétif (4-1), les Corbeaux de Lubumbashi ont enchaîné en s’imposant 2-0 au Maroc face au Difaâ El Jadida. Pour le compte de cette 3e journée l’équipe du MC Alger n’a pu faire mieux. Les poulains de Casoni ont été vaincus par la plus petite des marges au stade «Tout Puissant Mazembe». Après une première période assez brouillonne pour les deux équipes, les mouloudéens ont évolué sans automatisme et une coordination approximative. Le retour précoce à la compétition aura été visible sur le groupe de Bernard Casoni qui a opté pour la prudence face à une équipe congolaise nettement meilleure que le MCA sur le plan physique. Juste après la pause-citron, Casoni procède à quelques réglages, le MCA gagne en confiance et se rue vers l’attaque. A la 52’ une énorme opportunité au profit de Derrardja qui, seul face au gardien congolais, rate lamentablement le cadre. Quatre minutes plus tard, Souibaa n’exploite pas un retrait venant de Derrardja alors qu’il était face aux bois. Ouverte, la fin de match a vu l’équipe congolaise plus menaçante et c’est ainsi qu’à la 87’ Elia Meschak, idéalement servi par un coéquipier dans l’intervalle de jeu, ouvre le score grâce à un tir croisé devant une défense mouloudéenne absente. Grâce à ce succès, le TPM s’envole en tête de la poule B avec 9 points devant le MCA (4 points) et le DHJ (1 point) et l’ESS (0 point). Ces deux formations avaient rendez-vous à Sétif, hier, en début de soirée.
A. A.

The post Ligue des champions d’Afrique (phase de poules, groupe B-3e journée): Le MCA tombe à Lubumbashi appeared first on .

Categories: Afrique

Constantine – En présence de leur directeur général: Les travailleurs des impôts vident leur sac

Wed, 07/18/2018 - 16:21

Par A.El Abci.

  Les travailleurs des impôts ont organisé, hier à Constantine, une rencontre nationale et ce, dans le sillage de quatre autres réunions régionales tenues au cours des mois d’avril et mai derniers (à Skikda, Djelfa, Relizane et El Oued), pour débattre d’une plateforme de revendications, en présence du directeur général, M. Zekkara. Selon le secrétaire général du Syndicat des impôts, B. Kiboua, la rencontre sera la synthèse des revendications des sections syndicales régionales, qui auront l’occasion d’écouter les réponses du directeur général sur les différents points de la plateforme. Et de nous remettre une copie contenant 24 points de revendications. On peut lire dans ce document que les travailleurs insistent sur la nécessité d’une amélioration de leur situation professionnelle, sociale et matérielle, au vu des missions qui leur sont assignées et aux incitations de l’administration concernant plus d’efforts dans les recouvrements en matière de fiscalité ordinaire. L’importance du rôle des impôts et des recouvrements à l’aune de la crise économique que vit le pays n’est plus à démontrer et les travailleurs en sont conscients, malgré le fait que leurs salaires restent insuffisants, est-il encore noté. Mais au-delà, ils réclament en priorité plus de moyens et la sécurité pour les agents dans l’accomplissement de leurs missions. En effet, des intervenants de plusieurs wilayas ont parlé du peu de moyens matériels mis à leur disposition, aussi bien en matière de moyens informatique, qu’en papier ou en véhicules.

Les agents ont évoqué également les agressions dont ils sont victimes de la part de certains contribuables mécontents, et exigent une protection de la part de l’administration, car souvent leurs plaintes et rapports ne sont pas suivis d’effets, notent-ils. Après avoir assisté à une partie des débats, le directeur général insistera pour dire : « Pour nous, le Syndicat des impôts est un partenaire social à part entière et ses revendications sont légitimes. Certains des points de revendication sont du ressort de la DG et nous sommes en train d’y répondre favorablement, à l’instar de l’intégration des emplois temporaires. Tandis que d’autres, comme la révision du point indiciaire du salaire de base et la révision du statut particulier, ne dépendent pas de nous mais de la fonction publique ». Et le DG de revenir sur les recouvrements et la nécessité de faire plus d’efforts, en la matière, pour améliorer le niveau des rentrées d’argent dans les caisses de l’Etat, dans l’espoir que 1 à 3% de ces derniers seront reversés aux impôts et serviront alors à des améliorations en moyens humains et matériels du secteur.

The post Constantine – En présence de leur directeur général: Les travailleurs des impôts vident leur sac appeared first on .

Categories: Afrique

Constantine – Cité du 1er Novembre à Oued Hamimime: Les robinets à sec depuis 10 jours !

Wed, 07/18/2018 - 16:20

Par A. Mallem.

  Enormément gênés par la situation qu’ils endurent en ces journées de chaleur à cause d’un manque d’eau dans leur lotissement, les résidents de la cité du 1er Novembre de Oued Hamimime, située à la frontière administrative entre la commune d’El-Khroub et la commune de Constantine, ont lancé hier un appel de détresse, affirmant que l’eau du robinet leur a été coupée, il y a plus d’une dizaine de jours. « Nous sommes complètement à sec », ont affirmé nos correspondants au téléphone, en expliquant que les vannes leur ont été fermées à partir de la cité Lejdour qui fait face à leur lotissement. Nos interlocuteurs ont déclaré qu’ils s’alimentent pour leurs besoins quotidiens à l’eau des citernes ramenées par des marchands et vendues l’unité de 1.000 litres à 1.500 dinars. « Nous ne savons pas d’où ces marchands ramènent l’eau qu’ils nous vendent, ont avoué nos interlocuteurs, mais nécessité oblige, nous sommes contraints de l’accepter à cause de notre situation ». Angoissés, ces citoyens ont pointé du doigt leur association de quartier qui, selon eux, ne fait rien pour intervenir auprès des autorités, ni de la Seaco d’ailleurs pour alléger leurs souffrances. Interrogés hier sur leur cas, les responsables de la direction générale de la Seaco, par l’intermédiaire de la cellule de communication, ont répondu que les craintes des résidents sont totalement injustifiées. « D’ailleurs, les perturbations d’eau dont ils se plaignent n’ont commencé qu’il y a 6 jours seulement », nous a déclaré M. Chelfi, de la cellule de communication et relations presse de la Seaco. Et, contrairement aux allégations des résidents concernant leurs représentants, ce dernier expliquera que « les représentants du comité de quartier de ce nouveau lotissement ont été reçus dernièrement à la direction générale de la Seaco et il a été convenu avec eux d’ouvrir les vannes deux jours par semaine, le lundi et le jeudi, parce que la réception des réservoirs qui ont été construits à proximité est en cours ». Et qu’il fallait aussi procéder aux essais avant que la société ne fasse la réception officielle de ce projet. Donc, l’interruption du service de l’eau dans ce lotissement est justifiée et elle est tout à fait temporaire, dira-t-il.

The post Constantine – Cité du 1er Novembre à Oued Hamimime: Les robinets à sec depuis 10 jours ! appeared first on .

Categories: Afrique

Constantine – Nouvelle ville Ali Mendjeli: Des cités sans nom !

Wed, 07/18/2018 - 16:19

Par A. E. A.

  Les habitants de la nouvelle ville de Ali Mendjeli, se plaignent de l’absence de panneaux d’indication aussi bien ceux identifiant les groupements d’habitations que les sièges d’administration, demandant de palier à ce manque pour les aider à s’orienter, dans une cité qui n’en finit pas de s’étendre.

Ainsi, certains avouent, carrément, s’y perdre et ce, en considération que la plupart des bâtiments se ressemblent et ne présentent pas un indicateur suffisant pour s’orienter. L’un d’eux de déclarer, dans ce sillage, « j’y travaille et il m’est arrivé de rejoindre en retard mon boulot, car même les nombreuses artères principales, rues et ruelles se ressemblent ce qui n’aide pas à s’orienter. Toutes les villes dans le monde ont leurs repères désignés par des panneaux d’orientation portant les noms de célébrités du pays, ou dans le monde, de batailles et autre savants, dont l’absence, à Ali Mendjeli, contraint les gens à demander, à chaque fois, à des passants, de leur indiquer une Administration ou un site d’habitations », dira-t-il. Et d’estimer, dans ce cadre, que les grands noms d’hommes de lettres, de scientifiques, de héros historiques, mais aussi de martyrs tombés au champ d’Honneur, pour la liberté de l’Algérie, ne manquent pas dans le pays et il serait bon de leur rendre hommage. Ainsi en finir, ajoutent-ils, avec ces désignations à l’aide de simples chiffres, à l’instar de l’unité de voisinage n°1, 2, 14 etc., en les remplaçant par des cités portant des noms. Questionné sur ce sujet, le président de l’APC d’El Khroub, Boubeker Bouras, dira que les efforts ardus sont, actuellement, déployés pour donner des noms aux 22 unités de voisinages (UV), en coordination avec la direction des Moudjahidine. Le travail est avancé avec des propositions de noms de Chouhada et les PV sont, actuellement, auprès de la Commission de wilaya pour le ‘ok’ définitif. Et d’indiquer que des réunions ont été organisées à cet effet, entre les deux parties, à savoir : le comité de promotion de la nouvelle ville Ali Mendjeli et la municipalité d’El Khroub et la direction des Moudjahidine, sur cette question.

The post Constantine – Nouvelle ville Ali Mendjeli: Des cités sans nom ! appeared first on .

Categories: Afrique

Constantine – Solidarité: 300 aides alimentaires distribuées à des familles nécessiteuses

Wed, 07/18/2018 - 16:19

Par A. Mallem.

Selon l’information diffusée par la cellule de communication, la Direction de l’action sociale et de la solidarité (DASS) de la wilaya de Constantine a lancé hier, sous l’égide du wali de Constantine, la distribution à domicile de 300 couffins supplémentaires contenant des produits alimentaires, lequel quota vient en complément à ceux distribués auparavant lors du Ramadan ou en d’autres occasions, aux familles nécessiteuses. Seulement, ce nouveau quota touchera des catégories précises de familles nécessiteuses qui se trouvent dans le besoin, notamment les handicapés, les femmes en difficulté sociale, les personnes qui souffrent de maladies chroniques (les cancéreux et les personnes souffrant d’insuffisance rénale), les personnes âgées qui sont prises en charge au sein de familles nécessiteuses. « Cette dernière opération vient en complément à celle exécutée au mois de Ramadan dernier lorsque la DASS avait procédé à la distribution de 700 couffins de solidarité », a expliqué Mlle Bedlhamlaoui Romeissa, cadre chargé de la communication à la DASS de Constantine.

Cette dernière a ajouté que la distribution de ces 300 couffins supplémentaires au profit des mêmes personnes qui ont bénéficié de l’opération du Ramadan, notamment les cinquante qui ont bénéficié de l’aide financière spéciale consentie par le wali au mois de juin dernier, va se faire par le SAMU social et les quatre cellules de proximité affiliées à la DASS et implantées dans les communes d’El-Khroub, Ibn-Ziad, Benbadis et Constantine, entités chargées, chacune, d’un territoire limité mais couvrant les 12 communes de la wilaya de Constantine.

Notre interlocutrice a ajouté à la fin que l’opération sera certainement terminée dans les deux prochains jours. « Sinon avant », a-t-elle ajouté.

The post Constantine – Solidarité: 300 aides alimentaires distribuées à des familles nécessiteuses appeared first on .

Categories: Afrique

El-Tarf: Le triple concentré de tomate dans le collimateur

Wed, 07/18/2018 - 16:17

Par A. Ouelaa.

  Bouazgui Abdelkader, ministre de l’Agriculture, était lundi dans la wilaya d’El Tarf où il a inauguré la 3ème édition de la fête nationale de la tomate. Plus d’une centaine d’exposants, principalement de la wilaya d’El Tarf et de nombreuses autres wilayas, entre agriculteurs, conserveurs et autres partenaires de cette filière, étaient présents à cette manifestation qui a drainé la grande foule . Le ministre, en compagnie des autorités locales, s’est longuement attardé à chaque stand, écoutant au passage les doléances et les préoccupations des partenaires de cette filière. Il s’agit, entre autres, du non-paiement des créances de certains conserveurs détenus par l’Onirique de l’année 2017. Le ministre dira que c’est anormal, promettant au passage que ces cas seront pris en charge.

De son côté, le gérant de la Graf, Athanase Khair-eddine, dont le groupement est spécialisé dans la location et la vente du matériel et des équipements agricoles, a exposé la stratégie de développement de son groupe avec le lancement d’une usine de tracteurs, une pépinière, des chambres froides et l’exportation de certains produits agricoles.

Dans ses déclarations à la presse, le ministre a évoqué la stratégie du gouvernement visant à suspendre l’importation du triple concentré, l’amélioration des rendements agricoles et le cap vers l’exportation. Puis le ministre s’est rendu à Tonga où il a rendu visite à la colonne mobile, prête à intervenir en cas d’incendie. Sur la prévention et la lutte contre les incendies, le ministre a insisté sur la vigilance et la sensibilisation par le biais des commissions dont le nombre dépasse les 55000 à travers le pays. Au niveau du nouveau port d’El Kalam, le ministre a remis les attestions de deux concessions chacune de 20 Ha pour l’élevage de poissons. A Besbes, il a visité une exploitation agricole de plus de 600 Ha, de la filière tomate.

The post El-Tarf: Le triple concentré de tomate dans le collimateur appeared first on .

Categories: Afrique

Ghardaïa: 117 cas de brucellose et 127 de leishmaniose cutanée signalés au 1er semestre

Wed, 07/18/2018 - 00:37

GHARDAIA – Quelque 117 cas de brucellose humaine et 127 cas de leishmaniose cutanée ont été enregistrés dans la wilaya de Ghardaïa durant le premier semestre de l’année en cours, révèle un bilan de la direction locale de la Santé et de la Population (DSP).

L’ensemble des personnes affectées par ces pathologies ont été prises en charge par les structures sanitaires réparties sur le territoire de la wilaya et leur état de santé est hors de danger, ont assuré les responsables de la DSP.

La région de Guerrara, bassin laitier de la wilaya, détient le triste record des pathologies (50 cas de brucellose et 63 cas de leishmaniose) suivie de la vallée du M’zab (4 communes) avec 30 cas de brucellose et 33 cas de leishmaniose.

Les cas récurrents de ces pathologies sont attribués en premier lieu au non-respect des règles d’hygiène et sanitaire ainsi qu’à la détérioration de l’hygiène environnementale, signalent des praticiens.

Pour les cas de la brucellose, la consommation de lait cru ou de produits à base de lait cru notamment la « Kamaria », un fromage traditionnel du terroir, ainsi que le refus de quelques éleveurs de vacciner leurs cheptels prétextant que les vaccins sont à l’origine des avortements chez les femelles en gestation (sans preuves) et l’utilisation par plusieurs éleveurs d’un géniteur mâle porteur de bactéries, sont à l’origine de ces cas de brucellose appelé également « fièvre de Malte ».

Les cas de leishmaniose cutanée, zoonose parasitaire, transmise par un insecte « le phlébotome », diagnostiqués dans la wilaya de Ghardaïa continuent de résister et cela en dépit de la mise en place d’un dispositif de lutte contre les vecteurs de cette maladie épidémiologique et la réalisation de réseaux d’assainissement et autres stations d’épuration dans les différentes localités de la wilaya.

Les gestionnaires de structures de santé ont déploré que ces zoonoses constituent « un lourd fardeau financier pour le secteur de la santé », avertissant que ces maladies, particulièrement la leishmaniose, risquent de s’accroitre en raison de la dégradation de l’hygiène du milieu, du cadre de vie et de l’urbanisation anarchique qui constituent un « facteur à risque ».

La sensibilisation des citoyens sur la nécessité de consommer les produits contrôlés, de faire bouillir le lait dans tous les cas et de lutter contre la dégradation du milieu, constitue le seul moyen d’éradiquer ces zoonoses, en absence de vaccin, selon la DSP.

The post Ghardaïa: 117 cas de brucellose et 127 de leishmaniose cutanée signalés au 1er semestre appeared first on .

Categories: Afrique

Calcul mental/Championnat d’Algérie: plus de 2000 enfants à Alger

Wed, 07/18/2018 - 00:36

ALGER – Plus de 2000 enfants, de 5 à 15 ans, participeront, jeudi prochain au Palais des expositions à Alger à « la première édition » du championnat d’Algérie de calcul mental qualifiant au championnat du monde, prévu le 5 août prochain au Japon, a-t-on appris mardi des organisateurs.

Le président du championnat, Haîthem Charef a déclaré à l’APS que « la première édition du championnat d’Algérie de calcul mental qualifiant au championnat du monde au Japon 2018 verra la participation de plus de 2000 enfants venus des différentes wilayas du pays », indiquant que « les wilayas de l’est à l’instar de la wilaya d’Annaba auront la part du lion en termes de nombre des participants ».

« Cette manifestation, première du genre, qui se déroule sous le Haut patronage du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, est organisée par le Forum national des générations contemporaines en coordination avec la Fondation des amis de la vie spécialisée dans la formation et l’entrainement des enfants », a précisé le même responsable.

Les résultats du championnat seront connus jeudi où une commission composée de 200 correcteurs et surveillants procédera à la sélection « d’une quinzaine d’enfants et leurs entraineurs pour participer au championnat du monde de calcul mental par le boulier japonais (le soroban) au Japon, a ajouté M. Charef.

Selon M. Charef, l’objectif de cette activité ( le calcul mental par le boulier japonais) est le développement de la confiance en soi chez l’enfant et le renforcement de l’équilibre mentale de l’enfant.

The post Calcul mental/Championnat d’Algérie: plus de 2000 enfants à Alger appeared first on .

Categories: Afrique

Tissemsilt commémore l’anniversaire de la mort du médecin de la W. IV historique, le Dr. Yahia Farès

Wed, 07/18/2018 - 00:32

TISSEMSILT – Le 58ème anniversaire de la mort du Chahid Yahia Farès, médecin de la wilaya historique IV, a été célébré mardi au musée du moudjahid de Tissemsilt

Cette manifestation comprend une exposition de photos, des publications et des posters mettant l’accent sur le parcours militant du docteur Yahia Farès durant la période au cours de laquelle il a assumé la responsabilité du secteur de la santé de la wilaya historique IV durant la guerre de libération nationale.

Cette festivité de deux jours prévoit l’organisation d’une visite au musée du chef-lieu de wilaya au profit des adhérents des structures juvéniles des différentes daïras pour découvrir le parcours et l’apport de cette personnalité historique.

A cette occasion, le même musée a lancé une campagne d’information pour faire connaitre la personnalité du chahid à travers son portail électronique et sa page officielle sur les réseaux sociaux.

Ould Benmokrane Benmouloud, connu le nom de guerre « Yahia Farès » est né le 14 septembre 1929 à Medjana (Bordj Bouarréridj) où il a fréquenté l’école primaire avant de poursuivre son parcours scolaire jusqu’à la faculté de médecine à l’université de Montpellier (France). Il fut membre de l’Union générale des étudiants algériens, après le déclenchement de la guerre de libération.

Après avoir milité dans les rangs de la Fédération de France du FLN il a été nommé, en 1957, responsable de la santé de la wilaya historique IV.

Arrêté lors d’une bataille menée contre l’armée française, Yahia Fares a succombé, le 11 juillet 1960, après avoir été torturé sauvagement par les militaires français.

The post Tissemsilt commémore l’anniversaire de la mort du médecin de la W. IV historique, le Dr. Yahia Farès appeared first on .

Categories: Afrique

Sahel de Zemmouri-El-Bahri, un lieu de prédilection pour les amateurs de villégiature et de la nature

Wed, 07/18/2018 - 00:29

BOUMRDES – La forêt du Sahel de Zemmouri-El-Bahri dans la wilaya de Boumerdes est devenue, depuis le début de la saison estivale, un lieu de prédilection pour les amateurs de villégiature et de repos dans un décor naturel enchanteur, bordé de plages au sable doré.

L’absence de commodités n’a pas empêché ce site, distant d’une quinzaine de kilomètres à l’est du chef-lieu de wilaya et qui se distingue par sa végétation luxuriante et diversifiée, de devenir un point de convergence des amateurs de camping, des familles, des associations et des scouts, qui affluent des wilayas voisines telles que Tizi-Ouzou, Bouira et Blida et même du Sud du pays.

Il a été parallèlement constaté une fréquentation timide des quelques établissements et structures hôteliers privés de la région, qui sont restés, à ce jour, boudés par les « vrais touristes » locaux ou étrangers, alors qu’ils sont installés à intérieur de la forêt du Sahel de Zemmouri-El-Bahri ou à sa proximité, selon des opérateurs du secteur.

Les vacanciers semblent ainsi privilégier les camps de vacances, au nombre d’une dizaine sur le site, qui sont pris d’assaut par les familles et autres associations amatrices du camping à l’air libre.

Des estivants, rencontrés par l’APS, ont assuré « préférer de loin le tourisme de masse représenté par le camping en pleine nature ». D’autres ont mis en avant l’accessibilité de ce type de tourisme au plus grand nombre, du fait qu’il soit aisé pour le citoyen modeste de passer sa journée, seul ou avec sa famille, sur la plage ou dans la forêt, avant de retourner le soir chez lui, même s’il habite loin, vu la disponibilité des moyens de transport.

Cette forêt, longée par la route nationale N 24, a conservé « son état sauvage » avec une superficie de plus de 800 ha qu’elle partage avec les communes de Zemmouri, Legata et Cap Djinet, toutes recouvertes de pins maritimes et d’Alep.

Un magnifique décor menacé 

Le site offre un magnifique décor naturel avec une flore forestière riche et variée et de superbes plages, qui s’étendent sur plus de 4 km. Cette richesse naturelle en fait, tout au long de l’année, un lieu de prédilection d’un flux considérable de familles en quête de détente et de repos pour déjeuner à l’ombre de ses pins loin du brouhaha de la ville et de ses tracas.

Réputée pour être un lieu de détente, ce site, délaissé, a perdu ce pendant de sa superbe en raison de la coupe illicite de bois dont il fait l’objet et une exploitation anarchique de sa végétation, dont certaines essences sont uniques, au moment où nombre de ses plages sont la proie de pillage de sable.

La région abrite, par ailleurs, l’hippodrome « Emir Abdelkader », qui a quelque peu repris ses activités ces dernières années, en organisant de nombreux concours hippiques nationaux et internationaux, sanctionnés par des prix, dont le plus important est le grand prix annuel du président de la République.

Lors de sa dernière visite sur site, le wali de Boumerdes Abderrahmane Madani Fouatih, avait ouvertement réprimandé les responsables de ce complexe sur la situation « déplorable » dans laquelle il se trouve.

Le chef de l’exécutif leurs a alors proposés d' »affecter l’argent nécessaire à la valorisation et la promotion de cet acquis touristique public » ou alors la wilaya destinera « des assiettes de ce complexe à l’investissement privé ».

The post Sahel de Zemmouri-El-Bahri, un lieu de prédilection pour les amateurs de villégiature et de la nature appeared first on .

Categories: Afrique

Les conditions d’accueil des voyageurs connaissent une « nette amélioration »

Wed, 07/18/2018 - 00:22

ORAN – Le président de la Commission des Affaires étrangères, de la Coopération et de la communauté, relevant de l’APN, Abdelhamid Si Affif, a estimé mardi à Oran que les conditions d’accueil des voyageurs au niveau de l’aéroport d’Oran Ahmed Benbella connaissent des améliorations.

Dans une déclaration à la presse, en marge d’une visite des 14 membres de cette commission, venus s’enquérir des conditions d’accueil des membres de la communauté nationale établie à l’étranger, au niveau de l’aéroport d’Oran, M. Si Afif, a affirmé avoir constaté des « améliorations » dans la qualité d’accueil des voyageurs.

« Ces améliorations sont les fruits des efforts déployés, conformément aux directives du Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, pour garantir les meilleures conditions d’accueil à notre communauté établie à l’étranger » (Si Affif)

Plusieurs mesures et facilitations ont été adoptées pour accueillir la communauté algérienne dans les meilleures conditions, au niveau de l’aéroport d’Oran, telles que le couloir vert réservé aux familles et aux personnes âgées, le couloir d’urgence et la multiplication des scanners pour un contrôle plus rapide et plus efficace, a expliqué le directeur régional des douanes, Issolah Noureddine, lors d’une réunion de la commission avec les responsables du secteur.

Le même responsable a relevé que l’amélioration des conditions d’accueil s’explique par la désignation de personnels récemment formés, au niveau des guichets, en mesure d’accueillir et d’accompagner les voyageurs, la mise en place d’un site internet pour effectuer les déclarations des devises et le lancement d’un numéro vert (1023).

Pour sa part, le contrôleur de police Braika Ali, chef de la 2ème brigade de police des frontières algériennes (BPFA), a soulevé, lors de cette même réunion, le problème de l’exigüité de l’espace de traitement au niveau de l’aéroport d’Oran, conçu pour recevoir les passagers de deux vols alors qu’il en reçoit jusqu’à sept. Pour lui, la réception de la nouvelle aérogare, prévue pour la fin de l’année 2018, réglera le problème.

Enfin, le directeur de l’aéroport a assuré, dans son intervention, que la nouvelle aérogare sera réceptionnée dans les temps et toutes les dispositions ont été prises pour garantir de meilleures conditions, pour le déroulement de la saison du Hadj, dont le premier départ d’Oran est prévu pour le 26 juillet en cours.

Cette année, les accompagnateurs des futurs hadjis auront à leur disposition un chapiteau d’une superficie de 5.000 m3, avec toutes les commodités nécessaires (sanitaires, restauration …), alors qu’un autre chapiteau de 20.000 m3 sera réservé aux pèlerins.

Des passagers d’un vol en provenance de Marseille ont été accueillis par les membres de la commission, qui ont écouté leurs doléances et attentes, par rapport aux conditions d’accueil.

Certains passagers se sont dits satisfaits. D’autres ont relevé certains manques. Plusieurs personnes ont signalé la cherté des billets d’avion à destination de l’Algérie, une doléance que Si Afif dit « comprendre », expliquant que des discussions pour trouver des moyens de baisser les prix sont en cours avec Air Algérie.

The post Les conditions d’accueil des voyageurs connaissent une « nette amélioration » appeared first on .

Categories: Afrique

Exploitation illégale des plages à Tipasa: 2 ans de prison ferme contre 5 personnes à Cherchell

Wed, 07/18/2018 - 00:17

TIPASA – Le tribunal de Cherchell (Ouest de Tipasa) a prononcé une peine de deux ans de prison ferme à l’encontre de cinq personnes accusées d’exploiter illégalement la plage d’El Hamdania en usant de la violence, dans la première affaire du genre jugée pour cette saison estivale 2018, a-t-on appris, mardi auprès de la Gendarmerie nationale de la wilaya.

Les cinq mis en cause dans cette affaire ont été arrêtés vendredi dernier par les forces de la gendarmerie nationale de Cherchell, avant d’être présentés lundi devant le procureur de la République prés le tribunal de Cherchell, qui a ordonné leur comparution immédiate. Suite à quoi ils ont été condamnes à deux années de prison ferme assortie d’une amande de 100.000 da, a-t-on ajouté de même source.

Les chefs d’accusation retenus contre eux sont « exploitation d’une plage sans autorisation », « violenter des estivants pour leur soustraire de l’argent », « possession d’armes prohibées et constitution d’une bande de malfaiteurs », est-il précisé.

Cette première affaire du genre à Tipasa est inscrite au titre de la lutte contre l’exploitation illégale des plages et la garantie de la gratuité de leurs accès aux citoyens.

La neutralisation de cette bande avait, également, permis la saisie d’une quantité d’armes prohibées, dont deux fusils harpon, des bombes lacrymogènes et des armes blanches (couteaux et épées), utilisées pour faire pression sur les citoyens et les menacer.

A noter que la wilaya de Tipasa compte 43 plages autorisées à la baignade, qui font régulièrement l’objet de patrouilles de contrôle par les services compétents de la wilaya, dans l’objectif de mettre un terme aux activités illicites de certaines bandes, qui obligent les citoyens à verser de l’argent en contrepartie de leur accès à ces plages.

The post Exploitation illégale des plages à Tipasa: 2 ans de prison ferme contre 5 personnes à Cherchell appeared first on .

Categories: Afrique

Pages

THIS IS THE NEW BETA VERSION OF EUROPA VARIETAS NEWS CENTER - under construction
the old site is here

Copy & Drop - Can`t find your favourite site? Send us the RSS or URL to the following address: info(@)europavarietas(dot)org.