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Coopération Algérie-UE : un livrable sur la stratégie d’innovation industrielle élaboré

Mon, 09/24/2018 - 20:33

 Un livrable sur la stratégie d’innovation industrielle a été élaboré à l’issue du projet de jumelage institutionnel entre l’Algérie et l’UE a indiqué lundi à Alger le Secrétaire général du ministère de l’Industrie et des Mines (MIM), Kheireddine Medjoubi.

Le document comprend les axes principaux de la stratégie, l’aspect de la gouvernance et les mesures incitatives à prévoir en faveur de l’innovation industrielle.

Parmi les actions lancées suite au projet de jumelage avec un consortium européen (France- Espagne-Finlande) qui a duré 24 mois et intitulé « Appui au Ministère de l’Industrie et des Mines dans sa stratégie d’innovation industrielle », une enquête nationale sur l’état de l’innovation dans les entreprises industrielles afin d’évaluer leurs potentialités en matière de compétitivité et de développement industriel. Une fois validée, les données de cette enquête seront exploitées par un système d’information aux standards internationaux.

« L’enquête est en cours », a précisé le même responsable, « Nous voyons que les passerelles avec les universités et les centres de recherche se mettent en place, les entreprises publiques et privées commencent à donner plus d’importance à l’innovation et l’érigent comme socle de compétitivité », a ajouté le SG du MIM à propos des premiers éléments de l’enquête, sans préciser l’échéance de la publication de ses résultats.

Autre action issue du jumelage, le lancement du pôle de compétitivité agroalimentaire au niveau de la wilaya de Blida.

Interrogé à ce propos, M. Medjoubi a expliqué qu’il existe d’autres pôles qui activent à travers le pays, citant les pôles mécanique et pharmaceutique à Constantine et le pôle électronique de Sétif. « Nous avons également le secteur de la plasturgie qui est sur la même voie à Blida et à Setif, il s’agit maintenant de les encadrer sur l’aspect juridique », a-t-il fait observer.

« Le projet de jumelage Algerie-UE a permis de rassembler l’ensemble des acteurs du système national d’innovation dans un cadre de dialogue de concertation et d’échange », a-t-il affirmé, estimant que le rôle de la stratégie d’innovation industrielle sera d’accentuer « la synergie » entre les universités, les centres de recherche et les centres techniques et le monde industriel.

Quant aux secteurs concernés par ce jumelage,M. Medjoubi a expliqué que l’ensemble des secteurs de l’activité industrielle bénéficient de cette coopération.

Par ailleurs, le même responsable a fait savoir qu’il subsiste d’autres étapes telles que la préparation du secteur industriel et minier à l’ère de l’industrie 4.0, l’appui au système d’information statistique du secteur et la formation dans le domaine des technologies de l’information et de la communication.

« Ce projet revêt une importance indéniable et devrait contribuer à développer l’innovation comme outil de compétitivité des entreprises sur le marché national et international », a-t-il souligné, estimant que l’innovation demeure un facteur indissociable des objectifs de compétitivité recherchés par les entreprises algériennes dans une conjoncture particulière marquée par une forte concurrence sur les marchés internationaux.

Les évolutions de l’environnement économique et technologique international, a-t-il poursuivi, « nous poussent à œuvrer au renforcement de notre potentiel productif et à l’orienter vers les secteurs à forte valeur ajoutée où l’innovation devrait en constituer le socle ».

Pour sa part, le directeur de la coopération avec l’UE et les institutions européennes auprès du ministère des Affaires étrangères, Ali Mokrani, a noté « l’importance accordée à l’instrument de jumelage » en tant qu’outil « par excellence » de transfert d’expertises et de bonnes pratiques.

« Il est vrai que le jumelage qui est une forme de coopération qui nécessite un long temps d’attente avant son engagement, a pour mérite une fois lancé, d’être un moyen d’échange et de contact entre experts et institutions contractantes », a estimé M. Mokrani, renouvelant son appel à l’UE et ses Etats membres pour « une plus forte mobilisation » des administrations partenaires et des experts en vu d’un montage rapide des jumelages institutionnels dont les dix jumelages « en instance ».

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Ministre qatari: Jijel possède des atouts naturels pour un avenir touristique prometteur !

Mon, 09/24/2018 - 20:25

Le ministre qatari de l’énergie et de l’industrie, Mohamed Ben Salah Essada, a affirmé lundi au second jour de sa visite à Jijel que cette wilaya possède des atouts naturels rassemblant verdure et mer lui augurant d’un avenir prometteur pour le secteur touristique.

Le ministre qatari qui était accompagné du wali de Jijel, Bachir Far et de l’ambassadeur du Qatar en Algérie Hassane Ibrahim El Maliki s’est rendu par autocar de la ville de Jijel jusqu’à El Aouana après avoir visité le port de Boudis.

Le ministre qui s’est dirigé ensuite par bateau d’El Aouaba vers la commune de Ziama Mansouria, située à l’extrême Ouest de la wilaya, a exprimé à la presse son émerveillement devant les atouts naturels de la région rassemblant mer verdure de vastes forêts le long de la corniche et des massifs d’alentours.

M. Ben Salah Essada a salué les efforts déployés dans le domaine de la préservation de l’environnement et de cette diversité biologique. Dans la forêt de Taza à Ziama Mansouria. Il a suivi des explications sur la biodiversité de cette région qui, est-il indiqué, renferme plus de 3.000 espèces faunistiques et florales dont le singe de Barbarie et la sitelle de Kabylie qui vit à Jijel, au Babor (Sétif) ainsi qu’en Turqui et France.

Le ministre honoré sur ce même site naturel par les autorités locales a qualifié la wilaya de Jijel de « réserve naturelle fabuleuse séparée de quelques mètres de la mer ».

Le ministre qui avait visité dimanche en compagnie du ministre algérien de l’Industrie et des Mines, Youcef Yousfi, le complexe sidérurgique de Bellara à El Milia, a réitéré la fierté de son pays par ce projet mixte pionnier entre le Qatar et l’Algérie le qualifiant de « modèle à imiter en matière de coopération fraternelle entre les deux pays » lui espérant « succès et prospérité ».

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Categories: Afrique

Les Pays-Bas pourraient accompagner l’Algérie dans la promotion de ses exportations

Mon, 09/24/2018 - 20:21

Deuxième plus gros exportateur mondial de fruits et légumes, les Pays-Bas vont accompagner l’Algérie dans le stockage et l’exportation des produits agricoles, a indiqué lundi à Alger, l’ambassadeur du Royaume des Pays-Bas, Robert Van Embden.

S’exprimant lors d’une conférence de presse en prévision de la 17e édition du salon de l’élevage et de l’équipement agricole (Sipsa-Sima) prévu du 8 au 11 octobre au palais des expositions (Alger) , et dont les Pays-Bas a été choisi pays invité d’honneur, M. Van Embden, a fait part d’un projet en partenariat avec le ministère du Commerce pour accompagner les opérateurs algériens désireux de placer leur produits sur les marchés extérieurs.

Il a annoncé à cette occasion, un forum Algéro-Néerlandais sur le stockage, la préservation et l’exportation des produits agricoles, prévu  à l’occasion du salon dans le cadre de la participation du Conseil d’Affaires Algéro-Néerlandais à cet évènement, rappelant que le conseil a été agrée en septembre 2017.

L’ambassadeur qui a mis en avant le savoir-faire et l’expérience néerlandaise dans le secteur agricole et agroalimentaire, a affirmé que son pays, en tant que principal exportateur mondial de produits agricoles avec 91,7 milliards d’euro en 2017, et parmi les principaux exportateurs d’équipements agricoles et de semences et génisses avec 9,1 milliards d’euros à la même année, constitue un apport pour le développement de l’Agriculture en Algérie en terme d’expertise et de transfert de technologie et du savoir-faire.

Le diplomate néerlandais a évoqué dans ce sens le partenariat agricole de son pays avec l’Algérie en énumérant de multiples projets en cours de réalisation.

Il a évoqué la construction de deux (2) étables à Guelma d’une capacité allant de 15 à 60 vaches. Le projet géré par un groupe néerlandais assure une formation de deux ans aux éleveurs de cette wilaya ainsi qu’aux responsables du groupe Giplait.

« Le choix de ces fermes correspond au modèle de production algérien qui est un modèle familiale. », a-t-il expliqué.

Il a également évoqué des projets à Biskra, Ouargla et El Oued  toujours dans le domaine de la formation, selon la spécificité de chaque wilaya.

A Biskra par exemple l’assistance consiste à développer les cultures maraichères et la construction de serre de types néerlandaises tout en permettant d’économiser l’eau et augmenter la production de 30% dans cette wilaya aride.

A El Oued, la formation des jeunes agriculteurs et étudiants agronomes porte sur la fertilisation des terres et le renforcement de l’irrigation goutte à goutte.

Il a évoqué par ailleurs un autre projet dans le renforcement du contrôle phytosanitaire pour le diagnostic rapide des semences importées. Un domaine qu’il considère très important d’autant que l’Algérie importe 90% de ses semences.

« Ce projet est destiné aux inspecteurs de contrôle et aux cadre des ministère du Commerce et de l’Agriculture », a-t-il indiqué.

L’ambassadeur a enfin assuré le soutien de son pays à la politique du gouvernement qui consiste à diversifier l’ économique nationale.

Il a affirmé que son pays participe cette année à ce salon professionnel avec une vingtaine d’entreprises .

Pour sa part, le président de Sipsa et président du Cercle de réflexion Filaha Innove (CRFI) , Amine Bensemmane, a tenu à préciser que le choix des Pays-Bas en tant « invité d’honneur » du salon, n’est pas fortuit.

Il a fait savoir que ce pays très en avance dans le secteur agricole et un partenaire de l’Algérie et l’un de ses principaux fournisseurs de semences de pommes de terre.

« L’agriculture néerlandaise est une des fleurons de l’Agriculture et de l’agro-industrie européenne notamment à l’export ainsi qu’en expertise de la logistique.

« De nombreux projets communs de coopération avec l’Algérie sont en cours de développement dans les filières de l’horticulture et des productions agricoles sous serre », a-t-il fait valoir.

Concernant la 18e édition du Sipsa Sima, qui se tiendra cette année sous le thème « pour une agriculture intelligente, face au défi d’une sécurité alimentaire et sanitaire durable, il a affirmé qu’elle sera consacrée aux recommandations issues des assises nationales de l’Agriculture, priorité nationale du gouvernement de l’organisation interprofessionnelle des filières.

« En adoptant cette thématique, le salon Sipsa poursuit sa contribution dans l’édification des stratégies les plus adaptées pour augmenter durablement la productivité et la résilience des cultures et œuvres dans la continuité de la consolidation des bases de notre sécurité alimentaire », a-t-il conclu.

Selon les organisateurs, cet évènement de quatre jours sera ponctué par des rencontres B To B destinées ? favoriser les échanges entre les investisseurs porteurs de projets, ainsi que des forums et conférences sur les questions liées au monde agricole.

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Développer les moyens de lutte contre extrémisme en fonction des nouvelles donnes

Mon, 09/24/2018 - 20:13

Le président de l’Assemblée populaire nationale (APN), Said Bouhadja a mis l’accent, lundi à Alger, sur l’impératif de « développer les moyens de lutte contre l’extrémisme en fonction des nouvelles donnes » pour mieux préserver l’unité religieuse, indique un communiqué de l’APN.

M. Bouhadja qui recevait en audience une délégation de la Ligue islamique mondiale (LIM), conduite par son Secrétaire général, Mohamed Ben Abdelkarim Al-Aissi, en présence du président du Haut conseil islamique (HCI), Bouabdallah Ghlamallah, a souligné « la nécessité de développer les moyens de lutte contre l’extrémisme en fonction des nouvelles donnes, afin de préserver l’unité religieuse », précisant que « les principes de la politique étrangère de l’Algérie reposent sur la paix, la stabilité et la non-ingérence dans les affaires internes des pays ainsi que le règlement des conflits par voies pacifiques et politiques, ce qui la qualifie pour entretenir des relations de confiance et de coopération avec les peuples et les pays », ajoute le communiqué.

Les relations bilatérales qualifiées de « fraternelles » étaient au centre de cette rencontre où les deux parties ont mis l’accent sur « le développement de ces relations dans divers domaines, tout en mettant en avant l’échange positif des vues sur diverses questions, notamment celles relatives à la mise en exergue des véritables valeurs de l’islam et la lutte contre l’extrémisme qui menace la stabilité de la nation musulmane ».

Par la même, M. Bouhadja a passé en revue la formation politique de l’Assemblée, « notamment après les réformes politiques initiées par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, lesquelles ont consacré de nouveaux acquis en faveur des droits de la femme algérienne » qui joue un rôle important au sein de la société, évoquant, en outre, « l’un des plus piliers les plus importants de l’identité musulmane, à savoir l’Islam en tant que religion de l’Etat, et l’Arabe en tant que langue du Coran, et première langue officielle après l’officialisation, récemment, de la langue amazighe en reconnaissance de l’amazighité du peuple algérien, dans le but de constituer un rempart contre toutes les ambitions visant à déstabiliser le peuple algérien en créant récemment l’Académie de la langue amazighe ».

Pour sa part, Mohamed Al-Aissi s’est félicité « des relations historiques séculaires » entre l’Algérie et l’Arabie Saoudite, lesquelles demeurent « prometteuses », qualifiant le peuple algérien d' »humain » lorsqu’il s’agit de faire primer le Bien ».

Il a « salué », en outre, les efforts du président de la République, Abdelaziz Bouteflika dans « la préservation de l’unité du peuple algérien à travers les deux politiques de la Concorde civile et de la Réconciliation nationale ».

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L’Association des retraités de l’ANP appelle les protestataires à faire prévaloir le dialogue

Mon, 09/24/2018 - 20:13

l’Association nationale des retraités de l’Armée nationale populaire (ANP),  a appelé, lundi, les protestataires qui observent un sit-in à Reghaïa (à l’est d’Alger), dont entre autres d’anciens militaires de l’activité et contractuels, à faire prévaloir le dialogue pour le règlement de leurs problèmes.

Dans une déclaration à l’APS, le président de l’Association, Tamer M. Ghodbane a appelé les protestataires à « faire prévaloir la sagesse et le dialogue », plaidant pour « l’ouverture des canaux du dialogue et de la communication permanents avec cette catégorie », qui a enclenché, depuis près d’une semaine, un mouvement de protestation, suivi par des centaines de retraités et également de radiés de l’ANP.

Ce mouvement de protestation, formé de catégories hétérogènes, dont d’anciens militaires de l’activité, d’anciens contractuels, d’invalides, de radiés, de rappelés et d’appelés du contingent maintenus, porte des revendications, à l’instar de l’augmentation de la pension ainsi que la prise en charge médicale et sociale.

Faisant remarquer que « parmi ces protestataires, figurent des radiés de l’ANP » M. Ghodbane a affiché la disposition de l’organisation à contribuer à la résolution des problèmes de cette catégorie, indiquant que la majorité des retraités protestataires « sont sortis suite à des informations fallacieuses selon lesquelles l’organisation ne leur serait d’aucune aide ».

Le Commandement de l’ANP « avait pris toutes les dispositions pour la prise en charge des préoccupations des retraités de l’ANP depuis 2013, selon une source proche du dossier qui précise, dans ce cadre, que plusieurs réunions ont été tenues avec les invalides et que 100.000 dossiers ont été réglés », ajoutant que les portes de dialogue « demeurent ouvertes » devant les retraités de l’ANP, les invalides et les ayants droit.

La même source a fait savoir que les radiés de l’ANP pour « des raisons disciplinaires et judiciaires » et prenant part à ce mouvement n’étaient pas concernés par les revendications relatives à l’amélioration des conditions sociales et pensions de retraites.

Soulignant que ce mouvement a troublé l’ordre public et la circulation routière, la même source a indiqué que les autorités publiques ont pris en charge les revendications légitimes des retraités et invalides de l’ANP, précisant néanmoins que certaines revendications étaient « inacceptables et à caractère rédhibitoire ».

Ce mouvement de protestation, enclenché depuis une semaine, a perturbé la circulation routière dans la région est de la capitale, suite notamment au rassemblement observé au niveau de Haouch El-Makhfi (wilaya de Boumerdès).

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OMS: Seuls 3.2% des Algériens consomment de l’alcool !

Mon, 09/24/2018 - 20:05

Plus de 90% de la population algérienne n’a jamais consommé d’alcool durant sa vie, selon les données de l’Organisation mondiale de la Santé publiées il y a deux jours dans un nouveau rapport sur la consommation d’alcool dans le monde.

Le rapport de l’OMS se base sur les données de l’année 2016,dans le détail, 90.1% des hommes n’ont jamais bu d’alcool de leur vie. Ce chiffre passe à 97% chez les femmes.

5.1% des hommes sont également définis comme anciens buveurs, contre 1.5% des femmes considérées comme anciennes buveuses. Dans l’ensemble, seulement 1.5% des femmes consomment de l’alcool en Algérie, contre 4.8% de consommateurs d’alcool chez les hommes.

La consommation globale d’alcool divisée par le nombre d’Algériens concernés a légèrement augmenté ces dernières années, passant de 0.7 litre par personne en 2010 à 0.9 litre par personne en 2016, dont 1.6 litre par homme et 0.2 litre par femme cette même année. Ces chiffres restent toutefois très en deçà de la moyenne de la région africaine, qui s’établit à 6.3 litre par personne.

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Grand Prix Assia Djebar du roman: le jury de la 4e édition installé

Mon, 09/24/2018 - 20:05

Le jury du Grand Prix Assia Djebar du roman, composé de sept membres, a été installé dimanche à Alger, indique un communiqué de l’Entreprise nationale de communication, d’édition et de publicité (ANEP) qui finance ce prix littéraire.

Les universitaires Aicha Kassoul (présidente) et Hamid Bouhbib, la plasticienne Karima Mendil, les journalistes Boukhalfa Amazit et Youssef Saiah, le romancier et journaliste Hamid Abdelkader ainsi que le poète Achour Fenni ont été installés au siège de l’ANEP.

Cofinancé par l’ANEP et l’Enag, le prix- du nom de l`écrivain, historienne et cinéaste algérienne disparue en 2015, récompense les meilleures œuvres littéraires en langue arabe, amazighe et française.

Les lauréats de cette distinction littéraire dotée d’une valeur d’un (1) million de dinars pour chacune des trois langues, seront connus « fin décembre », avait annoncé l’ANEP.

Décerné pour la première fois au 20e Salon international du livre d’Alger (Sila, 2015), le prix avait été remporté en 2017 par Merzak Bektache pour son roman en Arabe « La pluie écrit ses mémoires », Mustapha Zaarouri pour « Dwagi i d assirem-iw (C’est mon espoir, en Tamazight).

Le « Boulevard de l’Abime », paru en Français, a été décerné à titre posthume à Nourredine Saadi, disparu peu avant la remise du prix.

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La protection du patrimoine est la responsabilité de tous

Mon, 09/24/2018 - 19:35

Le secrétaire général du Haut commissariat à l’amazighité (HCA) Si El Hachemi Assad a souligné, lundi à Ain Témouchent, que « la protection du patrimoine est la responsabilité de tous et non pas le monopole d’une instance ».

A l’APS en marge des travaux du colloque international sur le royaume de Massassyl et la rencontre de Siga 206 av JC, qui se poursuit à Ain Témouchent, M. Assad a déclaré « notre conviction dans la HCA est que la préservation du patrimoine est la responsabilité de tout un chacun et non pas d’une seule instance ».

« Le HCA adopte une stratégie visant à se rapprocher de plusieurs partenaires dont le Centre national d’archéologie et les instituts d’histoire du pays », a-t-il ajouté, citant à titre d’exemple la signature de conventions avec les universités d’El Oued et d’Annaba.

L’opération se poursuit dans le cadre la mobilisation pour servir le patrimoine matériel algérien, a-t-il affirmé.

Si El Hachemi Assad a expliqué que la valorisation du patrimoine exige sa protection suivant une stratégie et un plan précis partant de la restauration et la réservation un budget pour cela, qui relèvent de la compétence du ministère de la Culture.

Le secrétaire général du HCA a insisté, au passage, sur la nécessité de prendre des mesures pour protéger et relancer les sites archéologiques en attirant des délégations de touristes du pays et de l’étranger, ainsi que sur la prise de conscience du citoyen de l’importance de ces sites et la sensibilisation au niveau des écoles comme conditions pour valoriser le patrimoine matériel.

En outre, il a mis l’accent sur l’implication des associations versées dans la culture et le tourisme pour valoriser ce patrimoine et le promouvoir en réunissant les conditions pour attirer les visiteurs, en distribuant des dépliants, en diffusant des spots publicitaires et en confectionnant des affiches, soit la participation de tous.

Le colloque international sur le royaume de Massassyl et la rencontre de Siga 206 av JC se poursuit, à la troisième et dernière journée, avec des tables rondes auxquelles prennent part des étudiants de doctorat en histoire ancienne, encadrés par des universitaires, ainsi que la programmation d’une sortie au site du sanctuaire du roi Syphax.

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Hadjar: ouverture de près de 6200 places pédagogiques pour le cycle de doctorat

Mon, 09/24/2018 - 19:35

Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Tahar Hadjar, a annoncé, lundi à Alger, l’ouverture de plus de 6200 places pédagogiques pour le cycle de doctorat au niveau national pour l’année universitaire 2018/2019.

Présentant un exposé sur son secteur devant la commission de l’éducation, de l’enseignement supérieur, de la recherche scientifique et des affaires religieuses de l’Assemblée populaire nationale (APN), le ministre a fait part de « l’ouverture de plus de 6200 places pédagogiques pour le cycle de doctorat, sans compter les postes réservés à la spécialité de médecine ».

53.481 candidats se sont inscrits jusqu’à dimanche au concours de doctorat, et ce depuis l’ouverture de la plateforme d’inscription le 16 septembre dernier, a-t-il fait remarquer.

Concernant le concours d’accès au cycle de Master, M. Hadjar a annoncé la poursuite de l’examen des dossiers à travers les établissements de l’Enseignement supérieur, notant que certains avaient procédé à l’annonce des résultats. Les autres résultats seront affichés dans les plus brefs délais, a assuré le ministre, rappelant l’inscription de 308.710 candidats.

Pour ce qui est de l’encadrement universitaire, il a fait savoir que 3000 nouveaux enseignants ont été recrutés durant l’année universitaire actuelle, en sus de 59.897 enseignants-chercheurs, tous grades confondus.

Dans le but d’actualiser la carte de formation, le ministre a annoncé l’installation d’une commission chargée de la révision de la carte de formation, regroupant un nombre d’enseignants-chercheurs qui s’attèlent à l’amélioration du niveau de qualification professionnelle des diplômés et à la consolidation de l’employabilité.

Le secteur a entamé la révision du programme de formation relatif à la spécialité de médecine, en vue de l’adapter aux exigences des professions et qualifications requises, vu les progrès scientifiques survenus à l’échelle internationale, d’où « l’actualisation des contenus de la formation pour la première et deuxième années universitaires, en prévision du parachèvement de l’actualisation progressive de l’ensemble des programmes de formation ».

A cette occasion, M. Hadjar a présenté un exposé exhaustif sur la rentrée universitaire 2018/2019, avec plus de 1,7 million d’étudiants ayant rejoint les bancs de l’université, citant les objectifs de modernisation du secteur à travers l’utilisation des technologies de l’information et de la communication.

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Saisie de près de 50 kg de kif traité à Nâama (MDN)

Mon, 09/24/2018 - 19:29

Des détachements de l’Armée nationale populaire (ANP) ont arrêté dimanche à Naâma un narcotrafiquant en possession de près de 50 kilogrammes de kif traité, et à El Oued, un contrebandier qui transportait 30 quintaux de feuilles de tabac, indique lundi un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN).

« Dans le cadre de la lutte contre la criminalité organisée, un détachement combiné de l’Armée nationale populaire a arrêté, le 23 septembre 2018 à Naâma (2ème Région militaire), un narcotrafiquant en possession de 47,5 kilogrammes de kif traité, tandis qu’un autre détachement a appréhendé, à El Oued (4ème RM), un contrebandier à bord d’un camion chargé de trente (30) quintaux de feuilles de tabac », a précisé la même source.

Selon le MDN, sept (07) contrebandiers ont été également interceptés à Tamanrasset (6ème RM) par un détachement de l’ANP qui a saisi, en outre, un camion, deux (02) véhicules tout-terrain, (1.800) litres de carburant et divers outils d’orpaillage.

Des éléments de la Gendarmerie nationale ont arrêté, par ailleurs, à Batna (5ème RM), un individu en sa possession sept (07) fusils de chasse, et arrêté également cinq (05) contrebandiers et saisi (1.659) unités de différentes boissons à Tlemcen et Mascara (2ème RM), ajoute-t-on.

D’autre part, des Garde-côtes ont déjoué, à Aïn Témouchent (2ème RM), une tentative d’émigration clandestine de neuf (09) personnes à bord d’une embarcation de construction artisanale, alors que quatorze (14) immigrants clandestins de différentes nationalités ont été interceptés à Oran et à Tlemcen, souligne le MDN dans son communiqué.

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Ces Algériens qui ont façonné la France !

Mon, 09/24/2018 - 19:29

Les générations de femmes et d’hommes qui ont façonné la France sous la troisième République, dont des familles algériennes, ont fait l’objet d’un documentaire intitulé Histoire d’une nation et programmé pour demain soir par France 2. Produit par Yann Coquart, ce documentaire retrace l’épisode allant de 1870 à 1927 sous l’intitulé “Le pays où l’on arrive”. Dans ce film, les témoins racontent 150 ans de l’histoire de France, 150 ans qui font qu’un quart de la population française trouve ses racines à l’extérieur du territoire. Des artistes, des ouvriers, des écrivains et autres poètes, des aventuriers et autres personnalités, ce documentaire donne la parole aux enfants, petits-enfants, arrière-petits-enfants d’Algériens, d’Italiens, de Polonais, d’Arméniens, de Russes, de Marocains ou de Chinois, célèbres ou inconnus, pour retracer le mérite de leurs aïeuls lors de la IIIe République, après la défaite de 1871.

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Zaâlane: livraison du projet de la ligne ferroviaire El Bayadh-Mecheria en 2020

Mon, 09/24/2018 - 19:25

Le projet de la ligne ferroviaire reliant El Bayadh à Mécheria (Naâma) sera livré à l’horizon 2020, a annoncé, lundi à El Bayadh, le ministre des Travaux publics et des Transports, Abdelghani Zaâlane.

Lors de sa visite d’inspection dans la wilaya d’El Bayadh, Abdelghani Zaâlane a souligné que la stratégie de son département ministériel est de diversifier les moyens de transport pour toucher les wilayas du pays en vue de redynamiser les différents secteurs.

Dans ce contexte, il a qualifié le projet de la ligne ferroviaire El Bayadh-Mécheria, e longue de 130 km, de « très important » pour la vie socio-économique de ces deux régions. Il a relevé que le plus grand tronçon de cette ligne se trouve sur le territoire de la wilaya d’El Bayadh, soit une distance de 95 km.

Le ministre a ajouté que cette ligne revêt une grande importance étant donné qu’elle relie la wilaya d’El Bayadh et des wilayas du Nord et du Sud du pays, via la station de Mécheria, traversée également par la ligne ferroviaire Oran-Béchar.

Selon le groupe initiateur du projet, composé de sept entreprises de réalisation publiques, le taux d’avancement des travaux est de l’ordre de 55%, avec l’achèvement de la réalisation de 21 ouvrages d’art en attendant 6 autres que compte ce projet ayant nécessité une enveloppe financière de 46 milliards DA.

L’opération de terrassement du tracé de cette ligne ferroviaire tire à sa fin et sera suivie par la pose des rails, le long de ce tracé, ainsi que la signalisation lumineuse.

A cette occasion, le ministre a appelé les responsables de ce projet à accélérer le lancement des projets des gares ferroviaires d’El Bayadh et de Tasmouline, pour qu’elles soient prêtes une fois le projet réceptionné.

Il a également annoncé le lancement de l’étude d’un projet de ligne ferroviaire reliant El Baydh à Saida et une autre entre El Bayadh et Djelfa via Aflou (Laghouat). « Ces projets revêtent une importance particulière », a-t-il estimé.

Par ailleurs, M. Zaâlane a signalé que le dédoublement des voies de la RN 06 reliant Bougtob à El Kheithar et la RN 06 A entre El Bayadh et Bougtob, sur une longueur de 150 km « sera la priorité du secteur » étant donné l’importance de cet axe. La réalisation de cette voie se fera par tranches en fonction de la situation financière du pays, a-t-il expliqué.

Dans le même contexte, le ministre a annoncé qu’un montant supplémentaire de 400 millions DA a été alloué à la maintenance et à l’aménagement du réseau routier vétuste de la wilaya d’El Baydah. Cette somme s’ajoutera au milliard DA débloqué, cette année, à cette collectivité locale pour la maintenance de ses routes.

D’autre part, le ministre a procédé à l’inauguration du projet d’extension de la piste d’atterrissage de l’aérodrome d’El Bayadh sur 600 mètres, sachant que la longueur de cette piste est de 3 km. La compagnie « Tassili Airlines » assure un vol hebdomadaire à destination d’Alger à partir de cette infrastructure aéroportuaire.

Il a inauguré ensuite trois ouvrages d’art édifiés sur les cours des oueds de la commune de Boualem, traversée par la RN 47 reliant El Bayadh et Laghouat. Ces ouvrages sont très importants et faciliteront la circulation automobile sur cet axe important notamment en période des crues et des fortes précipitations hivernales.

Le chemin vicinal reliant la commune de Sidi Teifour et le village de Dir Hassiane, long de 8 km, a été inauguré pour désenclaver ce village.

Le ministre des Travaux publics et des Transports inspectera le projet de la nouvelle voie reliant Sidi Teifour à Tadjrouna (Laghouat), rappelle-t-on.

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La Russie livrera des « S-300 » à l’armée syrienne

Mon, 09/24/2018 - 19:25

La Russie a annoncé lundi la livraison d’ici 15 jours des systèmes antiaériens « S-300 » à l’armée syrienne afin de renforcer ses capacités de défense nationale après le grave incident du crash de l’avion russe Il-20 près des côtes syriennes provoqué par l’armée israélienne.

Le ministre russe de la Défense, Sergueï Choïgou a indiqué qu’un système moderne de missiles sol-air S-300 sera livré aux forces armées syriennes d’ici deux semaines, a rapporté l’agence russe Sputnik. « Ce système moderne est capable d’aider l’armée syrienne à se protéger des agressions étrangères en interceptant des missiles aériens sur une distance de plus de 250 km et de frapper simultanément plusieurs cibles aériennes ennemis », a assuré le ministre de la Défense lors d’un discours diffusé à la télévision russe.

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L’Agence Française de Développement en Algérie: 50 ans d’un partenariat de qualité

Mon, 09/24/2018 - 17:35

1968-2018 : depuis 50 ans, l’Agence Française de Développement accompagne les politiques de développement économique et social des autorités algériennes, en contribuant au financement de projets d’infrastructures, de valorisation et préservation du patrimoine naturel (agriculture – ressources en eaux – aires protégées de biodiversité – etc…), de développement des secteurs productifs publics et privés, de développement du capital humain.

Ses modalités d’intervention répondent au double objectif de cohérence avec les priorités des autorités algériennes et les mandats que lui ont confiés les autorités françaises.

L’AFD a maintenu sa présence en Algérie pendant la décennie noire des années 1990 et son activité s’est redéveloppée intensivement de 1999 à 2004.

L’AFD intervient depuis 2005 uniquement sous forme de subvention pour des opérations ciblées d’expertise et de renforcement des capacités (Fonds d’Etude et de Renforcement des Capacités – FERC), d’appuis à la société civile en partenariat avec des ONGs françaises et de projets de maintien de la biodiversité avec le Fonds Français pour l’Environnement Mondial (FFEM).

Au 31 juillet 2018, le montant net cumulé des engagements du groupe AFD en Algérie s’élève à :

  • 156,5 M€ sous forme de prêts (octroyés entre 2000 à 2005 dont 147,3 M€ pour l’AFD dans les Infrastructures (habitat social, hydraulique urbaine, transport ferroviaire) et les lignes de crédit aux PMEs et 9,2 M€ pour PROPARCO (deux opérations en téléphonie mobile et une prise de participation dans une société de leasing) ;
  • 17,4 M€ sous forme de subventions de 2005 à septembre 2018 pour le renforcement des capacités, les formations CEFEB, les ONGs, le FFEM).

A titre d’exemples, l’AFD a contribué, par la mise en place de prêts à des conditions bonifiées, aux projets et programmes suivants :

  • Restructuration de quartiers dégradés avec le Ministère de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la ville – 17 M€ ;
  • Programme de reconstruction suite au séisme de Boumerdes en 2003 : 41 M€
  • Transfert d’eau potable depuis le barrage de Takseb (Ministère des Ressources en eau) – 26 M€
  • Développement du réseau des trains de banlieue (SNTF) : 72,5 M€
  • Mise en place de lignes de crédit, sous forme de refinancement bancaire, auprès de banques publiques algériennes – 29,2 M€

Par son activité de subvention, l’AFD a accompagné des programmes de structuration et de renforcement de capacité, dont à titre d’exemples :

  • Appuis au développement de formations de qualité et de renforcement de capacités auprès de différents ministères : Ministère des Finances – Ministère de L’intérieur, des Collectivités Locales et de l’Aménagement du Territoire – Ministère des Ressources en Eau – etc…
  • Appuis au développement de formations de qualité et de renforcement de capacités auprès des établissements bancaires de la place ;
  • Etude de faisabilité de plusieurs clusters ;
  • Appuis au renforcement de capacité des organisations de la société civile (programme JOUSSOUR).

Une ambition pour la période 2018-2022 

Conformément à ses mandats, aux objectifs du gouvernement algériens dont ceux fixés par le Nouveau Modèle de Croissance Economique approuvé en 2016, l’AFD se propose d’accompagner trois axes stratégiques d’action pour la période 2018-2022 : la transition énergétique, la transition territoriale et écologique, la diversification économique et deux axes transversaux : la transition numérique et la poursuite de l’appui à la société civile algérienne

Axes principaux :

  1. Transition énergétique : Agir pour le développement des Energies Renouvelables et pour l’amélioration de l’efficacité énergétique ;
  • Appui à la conception et au développement de projets d’Energie renouvelable, notamment solaire ;
  • Contribution au développement du réseau de transport d’électricité et à l’interconnexion des réseaux Energie renouvelable / énergie classique ;
  • Appui au ministère de l’Energie pour l’élaboration d’une prospective 2050 ;
  • Contribution aux programmes d’efficacité énergétique.
  1. Transition territoriale et écologique: Améliorer la mobilité urbaine et contribuer à la revalorisation du foncier dans un contexte de « Ville Durable » ;
  • accompagnement des Wilayas dans leur stratégie Smart City et ville durable ;
  • Mobilité urbaine : appui à une plus grande intermodalité via la rénovation des gares du Grand Alger ;
  • Développement des réseaux de transport collectif : tramway – métro – métro-câble ;
  • Appui aux politiques de rénovation des quartiers anciens dans le cadre de politiques d’aménagement des centres pour des villes durables et moins carbonées.
  1. Diversification économique : poursuivre le soutien au secteur privé et appuyer la modernisation de l’agriculture
  • Sur financement délégué, programme « économie verte des PME » et appui à la création de start-up, notamment dans l’Economie sociale et solidaire ;
  • Contribution au développement et à la diversification de l’offre de financement aux PME – TPE et création d’entreprises ;
  • Développement de projets pour la modernisation des filières de l’agro-industrie et de la pêche : gestion des ressources en eau – énergie renouvelable de proximité – accès aux marchés…

Deux axes transversaux :

  1. Appuyer l’Algérie dans sa transition numérique
  • Extension du numérique, en termes d’accessibilité et d’utilisation afin d’encourager le développement économique du pays ;
  • Soutenir la transition vers la e-Administration ;
  • Appui au développement des incubateurs – accélérateurs et FabLab.
  1. Transition publique et citoyenne
  • Soutien des associations œuvrant à l’insertion et la participation des jeunes dans la société et la protection des personnes vulnérables (femmes et enfants) ;
  • Soutien des projets d’Economie sociale et solidaire pour le développement et l’attractivité des territoires ;
  • Soutien des associations pour la préservation de la biodiversité, des zones de culture en Oasis et la valorisation du patrimoine naturel, économique, social et culturel.

L’AFD poursuivra également ses activités de renforcement de capacité des institutions publiques conformément aux objectifs du gouvernement algérien, ainsi que ses appuis financiers pour un renforcement des partenariats entre collectivités locales algériennes et françaises.

Accès à l’assemble des résultats : https://www.afd.fr

 

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Des groupes armés affichent leur hostilité – Syrie: l’accord russo-turc sur Idleb menacé

Mon, 09/24/2018 - 17:16

Le président turc Recep Teyyip Erdogan dispose de peu de temps avant le 15 octobre pour convaincre les groupes armés à se conformer à l’accord qu’il a conclu avec son homologue russe Vladimir Poutine sur la province syrienne d’Idleb.

Les membres de l’opposition syrienne dite modérée, réunie autour de l’Armée syrienne libre (ASL), ont affirmé hier qu’ils ne déposeraient pas les armes et ne quitteraient pas leurs positions, même s’ils se déclarent prêts à coopérer avec la Turquie, un des signataires de l’accord sur la création d’une “zone démilitarisée” autour de la province d’Idleb. Les rebelles qui se font appeler “Front national d’indépendance”, qui rassemble plusieurs groupuscules armés, ont déclaré dans un communiqué, repris par Reuters : “Nous sommes prêts à coopérer avec notre allié turc pour atteindre notre objectif afin d’éviter aux civils les affres de la guerre. Mais nous resterons éveillés et vigilants à toute surprise russo-iranienne, surtout après leur déclaration prouvant que cet accord est temporaire.” Et d’ajouter : “Nos doigts restent sur la gâchette… Nous n’abandonnerons pas nos armes ni notre territoire ni notre révolution”, lit-on encore sur Reuters. Plus déterminés encore, les membres du groupe terroriste Djamaat houras eddine al-islamiya (Mouvement des gardiens de la religion musulmane) ont rejeté en bloc l’accord russo-turc et ont appelé les autres groupuscules islamistes à en faire de même, en menant de nouvelles opérations armées contre les soldats russes, turcs et syriens. Si le principal groupe terroriste Tahrir al-Cham (issu d’une scission d’Al-Qaïda) ne s’est pas encore prononcé sur l’accord conclu entre les Russes et les Turcs sur Idleb, l’on s’attend à ce qu’il s’aligne sur la position des autres voix qui refusent de céder leur dernier bastion des groupes armés en Syrie.

En tout cas, le président turc Recep Teyyip Erdogan dispose de peu de temps avant le 15 octobre pour convaincre les groupes armés à se conformer à l’accord qu’il a conclu avec son homologue russe Vladimir Poutine sur la province syrienne d’Idleb. Dépassé ce délai, l’armée syrienne se tient déjà prête à lancer une vaste offensive, avec l’appui russe et iranien, pour reprendre le contrôle d’Idleb, où vivent actuellement près de trois millions de civils. Pour rappel, après l’échec du dernier sommet tripatite à Téhéran, Moscou et Ankara se sont mis d’accord, en milieu de semaine dernière, sur la mise en place d’une “zone démilitarisée” de 15-20 km de large qui doit servir de zone-tampon entre Idleb et le reste du territoire syrien, sous contrôle de Damas. L’accord en question prévoit le départ des groupes armés d’Idleb, après avoir déposé leurs armes. Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov a assuré, vendredi, que “cette zone vise avant tout à éradiquer la menace terroriste”, a rapporté l’AFP. “C’est une mesure intermédiaire (…) mais indispensable, car la création d’une telle zone permettra d’éviter que se poursuivent les tirs depuis la zone de désescalade d’Idleb sur les positions des forces syriennes et la base russe d’Hmeimim”, a-t-il ajouté. Mais dès l’annonce de l’accord sur Idleb, peu de monde avait été convaincu que les groupes armés allaient accepter de céder le dernier territoire soumis à leur contrôle.

Lyès Menacer

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Libye: Les combats redoublent de violence à Tripoli

Mon, 09/24/2018 - 17:14

Le nombre de morts a atteint 115 depuis le 26 août, date du début des combats entre les milices armées.

La situation reste non maîtrisable dans le sud de la capitale libyenne Tripoli, où les combats ont repris de plus belle encore hier dans le carrefour menant vers l’aéroport et le pont des courses hippiques, ainsi que dans l’avenue du Prince héritier. Selon Djaridat al-ayam al-libiyya, les soldats de la brigade Essoumoud, dirigée par Salah Badi, affrontaient les éléments de la sécurité centrale menés par Ghinoua. Le bruit des obus et des missiles Grad déchirait le ciel de Tripoli, a souligné la même source. Le quotidien Al-Moutawasit, qui a confirmé la violence des affrontements entre ces deux groupes, a également souligné l’extension des zones de combat qui ont touché hier la route As-Siwani, toujours au sud de Tripoli.

Quant à la chaîne Al-An, elle a annoncé que des combats se déroulaient du côté de la ferme agricole Khalifa-Hanniche, pas très loin de la capitale. Par ailleurs, un rapport de l’hôpital de campagne de Tripoli, chargé de recevoir les victimes de cette zone, cité par le journal libyen Alwasat, indiquait hier que le nombre de morts a atteint 115 et 560 blessés, dont 383 graves, depuis le début des combats, le 26 août dernier. La même source ajoute que des milices de Misrata se rendent sur les lieux de combat, d’où le risque de complication de la situation, déjà hors de contrôle pour les autorités libyennes. Il faut dire que cela rajoute aux difficultés rencontrées par le gouvernement d’union nationale à gérer les conséquences qui en résultent, comme l’indique la réunion tenue hier par Fayez as-Sarraj avec les responsables concernés du plan d’aides aux familles fuyant les zones de combat.

Le président du GNA a réuni Mohamed Haithem, le chargé de gestion du ministère de la Santé, Mustafa Krima, le président de l’organe de secours et d’urgence de Tripoli, Tarek Hamchari, le directeur chargé de la gestion des blessés, et du président du Croissant-Rouge libyen, Youssef Mohamed, afin de mettre en œuvre le plan d’aide à ces familles et les prendre en charge. Ainsi, en dépit de la mise en garde du Congrès des tribus libyennes de sanctionner les responsables et les membres de ces milices armées, et les appels du Secrétaire général de l’ONU à appliquer des sanctions contre les personnalités libyennes impliquées de près ou de loin dans ces violences, la situation reste non seulement incontrôlable dans le sud de Tripoli, mais risque de s’envenimer davantage avec l’arrivée sur les lieux d’autres milices. Devant ces développements regrettables, Aguila Salah, le président du Parlement de Tobrouk, reconnu par la communauté internationale, a estimé hier dans des déclarations reprises par Djaridat al-ayyam al-libiyya, que seule l’élection d’un nouveau président en Libye permettra de sortir le pays de la crise.

Merzak Tigrine

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Israël veut les obliger à partir avant le 1er octobre: Les habitants de Khan Al-Ahmar rejettent l’ultimatum

Mon, 09/24/2018 - 17:12

Les Palestiniens de Khan al-Ahmar, en Cisjordanie occupée, ont rejeté, hier matin, l’ultimatum fixé par l’occupant israélien pour quitter leur village d’ici le 1er octobre, ont rapporté les médias palestiniens. “Personne ne partira, il faudra nous expulser par la force”, a déclaré à l’Agence AFP, Eid Abou Khamis, un porte-parole du collectif du village, avant d’ajouter que “si Khan Al-Ahmar est démoli, ce sera uniquement par la force”. Selon l’agence de presse Wafa, les forces de répression israéliennes ont pris d’assaut la tente de sit-in dans le village, et ont effectué un tour entre les habitations du village, de manière provocante.

Le responsable de la campagne “Sauvez Khan Al-Ahmar”, Abdullah Abu Rahma, a exprimé son inquiétude suite à cette incursion dans le village, tout en indiquant que c’est la deuxième incursion depuis le matin. Abu Rahma a souligné que les citoyens craignent que cette incursion vise à organiser la démolition de maisons et de l’école dans le village ciblé. L’occupant israélien a fixé, hier, la date du 1er octobre aux Palestiniens habitant le village bédouin de Khan Al-Ahmar pour démolir eux-mêmes toutes les structures du site. Khan Al-Ahmar, où vivent environ 200 Palestiniens à l’est d’Al-Qods occupée, est coincé entre deux colonies israéliennes. Ce village palestinien est devenu emblématique du sort de ces communautés confrontées à l’occupation et la colonisation de la Cisjordanie. Huit pays européens ont réclamé à Israël de ne pas démolir ce hameau, estimant que sa destruction permettrait d’étendre les colonies israéliennes et de couper en deux la Cisjordanie, rendant encore plus compliquée l’éventuelle création d’un État palestinien sur ce territoire.

Merzak T.

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L’ex-ambassadeur de France à Alger révèle dans son livre: Bajolet : “La corruption a touché la famille de Bouteflika”

Mon, 09/24/2018 - 17:11

“La demi-douzaine d’hommes d’affaires que l’on présentait comme tels étaient plutôt des capitalistes d’État, voire des affairistes, liés aux services ou au pouvoir, qu’ils contribuaient à corrompre”, a indiqué cet ex-diplomate.

L’ex-ambassadeur de France en Algérie (2006-2008), Bernard Bajolet, qui avait révélé sur les colonnes du quotidien Le Figaro que le président Bouteflika “est maintenu en vie artificiellement”, vient de jeter un autre pavé dans la mare dans son dernier livre Le soleil ne se lève plus à l’Est : mémoires d’un ambassadeur peu diplomate (Éditions Plon), où il revient sur son passage à Alger en tant que chef de la mission diplomatique française. Abordant la situation économique du pays, M. Bajolet s’est dit impressionné par l’ampleur de la corruption en Algérie. “Je fus pris de vertige par les sommets que la corruption avait atteints, touchant jusqu’à la famille du chef de l’État”, a écrit l’auteur, qui explique comment le privé algérien a été écarté dans la prise de décision. Enfonçant le clou, M. Bajolet dira qu’“il n’y avait pas non plus en Algérie de grands capitalistes prêts à investir massivement dans le pays”. “La demi-douzaine d’hommes d’affaires que l’on présentait comme tels étaient plutôt des capitalistes d’État, voire des affairistes, liés aux services ou au pouvoir, qu’ils contribuaient à corrompre”, assène le diplomate. Selon lui, “il aurait fallu pousser le secteur privé, seul moteur de croissance”.

“Mais, déplore-t-il, le pouvoir, de toute évidence, ne le voulait pas, comme s’il craignait l’émergence d’une classe d’entrepreneurs qui aurait pu un jour le contester et exiger un partage de la décision. Ainsi, je découvris un tissu, encore embryonnaire, de PME dynamiques. Mais le gouvernement ne l’aidait pas à se développer, et Bouteflika lui-même m’avoua un jour qu’il n’y croyait pas.” Pour M. Bajolet, “l’Algérie venait à peine de se libérer de dix ans de terrorisme. Elle avait perdu beaucoup de temps, et l’administration qui la dirigeait n’était pas de nature à le lui faire rattraper : les ministères s’étaient vidés d’une grande partie de leurs cadres de qualité et, au fond, l’État se résumait pratiquement à l’armée, véritable ossature du pays, et à Sonatrach. Le processus de décision paraissait grippé, le système de représentation en panne”. Raison pour laquelle, explique-t-il encore, “l’Algérie n’a pas réussi la diversification économique et la remise à niveau des équipements publics a eu un effet limité sur l’économie”. Selon Bajolet, le président Bouteflika n’appréciait pas que “le président Chirac ne se cachait pas d’entretenir des relations quasiment familiales avec le roi du Maroc (…) On nous a parlé de relations privilégiées avec l’Algérie, se plaignit Bouteflika. Mais en réalité, les privilèges ont été réservés au Maroc et à la Tunisie.

L’Algérie, elle, n’a rien vu”.  Autre sujet abordé, et pas des moindres, l’arrêt du processus électoral en 1992 en Algérie, après la victoire du FIS, et qui ne constituait, selon lui, qu’une hypothèse au sein du Comité interministériel du renseignement (CIR). Selon l’ex-patron de la DGSE, “si le FIS prenait le pouvoir en Algérie, il ne le rendrait pas. Sa victoire risquerait de provoquer une émigration massive vers la France (…) Si, au contraire, on le lui laissait, il devrait se montrer pragmatique et compter avec la France. Il  évoluerait vers plus de modération”. Il révélera que François Mitterrand avait tranché afin que “les dirigeants algériens renouent le fil de la démocratisation”. Selon M. Bajolet, Mitterrand dit avoir regretté, a posteriori, le fait de n’avoir pas donné sa chance à Mohamed Boudiaf, figure emblématique de la Révolution algérienne et homme intègre, que la junte militaire avait rappelé de son exil.

FARID BELGACEM

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Réaction de Driencourt face aux déclarations de Bajolet sur l’Algérie

Mon, 09/24/2018 - 15:45

Suite aux déclarations de l’ex-patron de la DGSE Bernard Bajolet sur l’Algérie, l’ambassadeur de France en Algérie Xavier Driencourt, a régi aujourd’hui.

Pour rappel l’ex-patron de la DGSE Bernard Bajolet avait remis en cause la légitimité des autorités algériennes.

Lors du lancement du groupe d’amitié algéro-français à l’APN (Assemblée populaire nationale), l’actuel ambassadeur Xavier Driencourt, a affirmé que les propos tenus par son prédécesseur n’engagent que sa personne, en ajoutant que ces propos n’étaient pas forcément celles de l’Etat français:   » Il ne faut pas ajouter de l’huile sur le feu , bien au contraire, les relations algéro-françaises ont besoin d’un apaisement », conclut Xavier Driencourt.

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Le marché de proximité du village Moussa (Jijel): Marché ou dépotoir

Mon, 09/24/2018 - 15:43

Les marchés de proximité dans la wilaya de Jijel se trouvent dans un état critique. Réalisés à coups de milliards de centimes par les pouvoirs publics dans le cadre de la démarche initiée par l’Etat en vue de résorber le commence informel qui prend de plus en plus de l’ampleur.

A cet effet, Boumehraz Larbi, cadre à la Direction du commerce a magistralement dressé un réquisitoire acerbe lors de son passage à l’émission Zouiate Nikache de la radio locale à l’encontre du marché de proximité du village Moussa, relevant de la commune de Jijel qui se trouve dans un état d’abandon. Sans aller par quatre chemins et avec une tonalité inhabituelle chez les cadres de cette direction, Boumehraz a qualifié la situation de ce marché fortement fréquenté par les citoyens de catastrophique : ordures jonchant le sol à chaque coin de cette infrastructure commerciale, odeurs nauséabondes, avaloirs bouchés, la marchandise exposée sur un sol boueux, des amas d’ordures qui s’entassent à l’entrée de ce marché, a déploré ce cadre qui n’a pas hésité à pointer du doigt les services de la commune qui, selon lui, n’assurent même pas la collecte des ordures.

Par ailleurs, lors de notre passage dans ce marché, nous avons été désagréablement surpris par son état déplorable. Les lieux dégagent des odeurs nauséabondes, des produits périssables exposés sous un soleil de plomb et sur un sol boueux à une heure tardive de la journée. On vend n’importe quoi et n’importe comment dans cet espace. On peut trouver des légumes, des fruits, des brocantes, de la friperie et des objets dont l’origine suscite des suspicions. La wilaya de Jijel compte pas moins de 15 marchés de proximité sur l’ensemble des 28 communes de la wilaya dont la majorité demeure fermée et que le taux d’exploitation de ceux qui sont opérationnels ne dépasse pas les 30%. Un vrai gâchis en ces temps où le discours officiel met l’accent sur la rationalisation de la dépense publique. Un vain mot !
Bouhali Mohammed Cherif

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