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Updated: 3 days 6 hours ago

La venue de Belmadi, une aubaine pour les joueurs indésirables!

Mon, 08/06/2018 - 16:22

La désignation de Djamel Belmadi à la tête du staff technique des Verts, est perçu par certains comme une nouvelle chance qui se profile au profit des joueurs qui étaient marginalisés par les deux précédents staffs conduits respectivement par le technicien espagnol Lucas Alcaraz et Rabah Madjer.

Pour nombre d’observateurs, la venue de Djamel Belmadi sonne come une aubaine pour certains éléments mis à l’écart dernièrement, notamment par Madjer dont les choix tactiques et les changements effectués sur l’effectif des Guerriers du désert ont suscité polémique.

Si le technicien espagnol n’a pas fait beaucoup de ménage dans son effectif, Madjer a, quant à lui, écarté plusieurs joueurs qui étaient presque   titulaires en sélection, à l’image de Boudebouz, Taïder, Ghezzal, Benzia et Henni.

Le joueur qui aurait poussé un ouf de soulagement, ne serait autre que Saphir Taïder qui en veut certainement à son coach (Madjer) pour ne pas l’avoir incorporé lors des joutes amicales disputées face à la Tanzanie et l’Iran.

Outre Taïder, Sofiane Henni serait lui-aussi content après le départ de l’ancien joueur de FC Porto, lui qui souhaite s’accaparer d’une place de titulaire en équipe nationale.

Idem pour le pensionnaire de Bétis Séville, Boudebouz qui n’a pas caché sa joie après la nomination de Belmadi. D’ailleurs, il n’a pas tardé pour adresser un petit message à son nouvel entraîneur lui souhaitant “Bonne chance coach”.  Ce dernier lui a répondu:”Merci Ryad”.

Sur la liste élargie qu’annoncera Belmadi, il serait fort probable de voir les noms des joueurs qui souhaitent avoir une nouvelle chance de briller en équipe place, notamment Ghezzal, Fares, Benzia et Ounas.

Et ce sans oublier M’bolhi et Feghouli qui ont poliment décliné la convocation de Rabah Madjer, qui avait cédé face à la pression des fans des Verts qui ont réclamé leur rappel en sélection.

Samir Hamza / Traduit par: Moussa. K.

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Conjoncture économique: Il y a matière à craindre…

Mon, 08/06/2018 - 16:07

Rappelons-nous, avant de boucler une année 2017 de façon plutôt morose, l’économie nationale avait pourtant réussi un premier trimestre qui avait de quoi augurer une bien meilleure performance que le à peine plus du demi-point de fin d’année dernière.
Un mauvais finish auquel a succédé, au premier trimestre de cette année, un très léger mieux certes, avec un taux de croissance de 1,3%, mais pas de quoi appréhender la suite d’un bon œil, tant les incertitudes se sont accumulées ces derniers mois.
Petit indicateur : au premier trimestre 2018, l’activité commerciale, un secteur qui pèse dans le pays, a connu une baisse, selon l’opinion des détaillants et grossistes sondés par une enquête de l’Office national des statistiques (ONS), notamment chez ceux des machines et matériel d’équipement et de la droguerie, quincaillerie, appareils électroménagers et parfumerie. Un tout petit indicateur qui reflète l’état d’esprit des opérateurs économiques algériens en général qui, pourtant, avaient de quoi espérer une entame d’année d’un tout autre acabit, comme le leur promettaient les prévisions des autorités du pays qui, il faut le dire, n’ont pas été très regardantes sur les dépenses publiques pour couper définitivement avec les austères deux années précédentes.
Avec le 1,3% de croissance enregistré au bout du premier trimestre 2018, l’on se retrouve donc loin du compte, surtout lorsque l’on se rappelle que durant le même trimestre en 2017, et malgré les investissements budgétaires de moindre envergure, le taux de croissance frisait la tendance mondiale en accrochant les 3,4%. La «faute» incombe, pour le plongeon du premier trimestre 2018, en tout premier lieu à la locomotive de l’économie nationale. Les hydrocarbures ont, en effet, connu une baisse du taux de croissance de 2% durant la période considérée, pour demeurer dans la spirale des trois derniers trimestres de 2017, lorsque ce taux de croissance était respectivement de -2,2%, -6,1 % et surtout le dernier trimestre lorsqu’il avait atteint -9,0%.
Un coup d’œil sur l’état des comptes nationaux durant les trois premiers mois de cette année s’avère très révélateur sur la situation globale de la croissance.
Selon les chiffres publiés par l’ONS, il en ressort que le premier trimestre 2018 a été, donc, caractérisé par une baisse de la croissance dans le secteur des hydrocarbures de 2,0% alors qu’il avait enregistré une forte croissance au premier trimestre 2017. La croissance hors hydrocarbures enregistrée entre janvier et mars 2018 demeure presque comparable à celle de la même période en 2017 (2,0% au 1er trimestre 2018 contre 2,5%, au 1er trimestre 2017).
Cette croissance est de nouveau expliquée par celle de l’agriculture et celle des secteurs du bâtiment-travaux publics et hydraulique (BTPH y compris services et travaux publics pétroliers) et de l’industrie qui connaissent respectivement des taux d’accroissement de 4,2%, 4,7%, et 4,1%.
Le PIB en valeur courante a décliné durant le premier trimestre 2018 de 5,3 % par rapport à la même période en 2017. La croissance hors hydrocarbures, (2%) par rapport au 1er trimestre 2017, le doit surtout à l’agriculture et la pêche, le bâtiment, travaux publics et hydraulique (BTPH, y compris services et travaux publics pétroliers), et certaines branches de l’industrie.
En dehors de la «défaillance» des hydrocarbures et de leur impact sur la croissance durant le premier trimestre de l’année, il faut relever la passe difficile que traversent nombre de filières du secteur industriel. Elles sont, en effet, cinq filières à avoir influé sur le taux de croissance global pas insignifiant mais presque. Les bons points, ils sont à chercher dans les filières des matériaux de construction (+12,1%), l’eau et l’énergie (+8,2%), l’industrie agroalimentaire (+6,1%), de la chimie, plastique et caoutchouc (+3%) et le bois, papier et liège (+1,8%). Des performances qui ont à peine de quoi occulter la difficile réalité des opérateurs dans les mines et carrières (-10,2%), les industries sidérurgique, métallique, mécanique et électrique (-7,4%), les industries diverses (-6,9%), les textiles (-1,1%) et les cuirs et chaussures (-1,1%).
Des performances qui tranchent avec l’optimisme des pouvoirs publics d’en finir avec l’austérité et de la politique induite dans les dépenses budgétaires. Des autorités qui ne manquent pas de contrer le pessimisme, notamment celui des institutions internationales, avec des discours que beaucoup n’hésitent pas à qualifier de «en complet décalage» avec la réalité économique. En tous les cas, à l’allure prise par l’économie nationale et ses chiffres qui ne sont en aucune commune mesure conformes à une économie en principe émergente comme la nôtre, il y a matière à craindre pour ce second semestre et, partant, les années qui viennent.
Azedine Maktour

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Pour cause de fièvre aphteuse qui frappe les bovins: Mesures draconiennes dans les marchés de vente du mouton de l’Aïd à Bouira

Mon, 08/06/2018 - 16:03

Des mesures draconiennes ont été prises par la Direction des services agricoles et l’inspection vétérinaire de la wilaya de Bouira pour les points de vente du mouton de l’Aïd. Selon l’inspection vétérinaire, ces mesures ont été prises à titre préventif pour éviter tout risque de contamination du mouton de l’Aïd même si pour le moment, la fièvre aphteuse n’a touché que le bovin.
Ainsi, entre autres mesures prises, il y a d’abord l’interdiction de la vente anarchique du mouton de l’Aïd. En effet, contrairement aux années précédentes où les éleveurs vendaient leurs bêtes partout et sans aucun carnet de santé, surtout aux abords des routes nationales et à la sortie des villes, cette année, l’inspection vétérinaire a autorisé seulement 21 points de vente, répartis au niveau des 12 daïras de la wilaya.
Sur place au niveau de ses points de vente agréés, les maquignons et autres éleveurs sont tenus d’avoir des carnets de vaccination de leurs cheptels, ou s’il s’agit d’une marchandise venue d’une autre wilaya, des documents signés par un vétérinaire, attestant la bonne santé du bêtes ainsi que la wilaya d’origine.
En sus de toutes ces mesures, l’inspection vétérinaire de la wilaya de Bouira a mis à la disposition de ces vendeurs, des équipes de vétérinaires travaillant pour le compte des communes ou dépendant de la DSA, prêtes à intervenir à chaque fois pour vérifier la marchandise et délivrer les documents nécessaires concernant la bonne santé du cheptel proposé à la vente.
En somme, une batterie de mesures a été déployée pour éviter toute atteinte à la santé publique et barrer la route aux personnes sans scrupules qui exploitent pareilles occasions pour écouler les bêtes malades ou ayant une santé douteuse, en visant les citoyens aux conditions sociales vulnérables et qui sont souvent appâtés par les prix.
Rappelons que le marché régional aux bestiaux de Bouira a été fermé depuis le 12 juillet dernier, par décision du wali suite à l’apparition des cas avérés de la fièvre aphteuse qui a touché plusieurs régions de la wilaya, causant l’abattage de plus de 24 vaches et veaux, spécialement dans les régions de Aïn Bessem et M’chédallah dans la commune d’Aghbalou.
Y. Y.

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Selon Tahar Hadjar: 1 740 000 étudiants sur les campus à la prochaine rentrée

Mon, 08/06/2018 - 16:01

M. Tahar Hadjar, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, a effectué hier une visite d’inspection et de travail au Centre universitaire Ahmed-Ben-Bella, accompagné de Mme Nacéra Brahmi, wali de Relizane. Lors de son intervention devant un parterre de la presse écrite et audiovisuelle, M. Hadjar a assuré les nouveaux bacheliers que «toutes les mesures nécessaires ont été prises pour les accueillir au niveau des établissements éducatifs», ajoutant que «le nombre de sièges pédagogiques augmentera à 1 452 000 sièges avec la réception de plus de 71 000 nouveaux sièges, ce qui permettra d’accueillir près de 1 750 000 étudiants».

Le ministre a précisé que le dossier concernant la promotion de sept à huit centres universitaires au rang d’universités est à l’étude et englobe le Centre universitaire de Relizane qui dispose des conditions requises. Concernant les capacités d’hébergement et de restauration, le ministre a annoncé la réception «de 45 500 nouveaux lits pour augmenter les capacités d’hébergement à 629 500 lits, et de 6 restaurants centraux», appelant, à cette occasion, à «la nécessité d’accélérer la cadence de réalisation des projets inscrits au niveau des cités universitaires pour les réceptionner avant la rentrée universitaire et à la rationalisation des moyens disponibles».

Outre l’élargissement de l’inscription via le programme «Progress» pour bénéficier de la bourse et du transport, M. Hadjar a souligné, par ailleurs, qu’il a été procédé à l’élargissement de l’utilisation de ce programme dans l’opération d’inscription au master qui avait débuté le 28 juin dernier et restera ouverte durant le mois de septembre prochain comme deuxième chance afin de permettre aux étudiants de s’inscrire, s’étendant dans une prochaine étape pour s’inscrire au doctorat, a fait savoir M. Hadjar.
A. Rahmane

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L’été dans la Wilaya de Aïn Defla: Entre léthargie et fuite de la canicule

Mon, 08/06/2018 - 16:01

La wilaya de Aïn Defla se caractérise par une longue période de grosses chaleurs, auxquelles viennent s’ajouter, phénomène nouveau depuis quelques années, un fort taux d’humidité provenant des cinq grands barrages qui se trouvent  dans son territoire ou à proximité, en plus des centaines de bassins d’irrigation.
L’été, c’est aussi, à l’instar des autres régions du pays, la période où écoles, collèges, lycées sont fermés et la population scolaire est vouée dans sa très grande majorité au désœuvrement, à l’oisiveté, à l’ennui qui figent les esprits,  ce qui induit un mal-être où chacun se sent mal dans sa peau. L’été, c’est aussi la période des congés pour la population active.
Dans la journée, les jeunes s’éclipsent, voire se terrent, à l’ombre dans les cages d’escalier en essayant de s’occuper à qui mieux mieux, à«tuer le temps» comme ils disent, accrochés à leur téléphone. Pour ce qui est des adultes, notamment les désœuvrés, les inactifs, principalement les nombreux retraités, si en hiver, ils trouvent refuge dans les cafés, en été, ils déambulent entre les étals des marchés, font quelques courses, rentrent chez eux pour se mettre à l’abri de la chaleur et des vents brûlants et profiter de la fraîcheur que génèrent les climatiseurs prenant le risque d’avoir des factures salées d’électricité. Ce n’est qu’en fin d’après-midi, vers 18h, que les habitations se vident au profit de la rue. La nuit, la cité  reste animée généralement jusqu’à 22h. Les adultes réintègrent chez eux, les moins jeunes improvisent des lieux de rencontre pour s’adonner à leur jeu favori, les dominos en l’occurrence.
Les jeunes, on les voit partout, alignés et adossés aux murs des bâtiments, à la recherche d’un peu de fraîcheur, accrochés à leur téléphone tout en se fondant dans le monde virtuel des réseaux sociaux, et ce, parfois jusqu’aux aurores.
La nuit, c’est aussi le moment propice des cortèges nuptiaux, où de jeunes conducteurs, au volant de voitures à papa, s’adonnent à leur folie, parfois meurtrière, en faisant de la vitesse et des dépassements dangereux, assis sur les portières, poussant des cris de joie ou de rage, on ne sait. Cortèges et salles des fêtes deviennent des bases de lancement de feux d’artifice qui illuminent le ciel quand ce n’est pas les déflagrations de gros pétards, tout ceci au détriment du repos auquel aspirent les habitants des grands ensembles. Pour aider les enfants et les adolescents à survivre à cette période de léthargie, la Direction de la jeunesse et des sports a lancé un programme qui s’articule autour de plusieurs volets.
En effet, dès le 1er juillet, des centaines d’enfants et adolescents ont bénéficié de séjours en bord de mer, à Mostaganem, Tipasa et  Alger.
Dans le cadre du programme appelé «Mobilité des jeunes», quelque 500 jeunes de plus de 18 ans bénéficient de sessions de 5 jours dans deux camps à Mostaganem et un autre à Béjaïa ; la DJS leur assurant le transport, l’assurance et l’hébergement, la restauration étant à leur charge.  Pour les enfants, un camp de colonie de vacances a été mis en place sur le budget de la wilaya à Azeffoun et une première session de 12 jours a débuté le 27 juin pour 322 colons. On indique qu’une population de quelque 650 enfants issus de différentes communes vont en bénéficier.
Pour diversifier l’offre de loisirs, la DJS, en collaboration avec la Direction des forêts, travaille à la création d’espaces récréatifs en milieu forestier. Pour ce faire, deux sites ont été retenus. L’un dans la forêt de Sidi Sbaâ, entre Miliana et Khemis-Miliana, et le second au pied du mont Doui sur le territoire de la commune de Aïn Defla. Cependant, il est à signaler que le camp de jeunes, construit sur la rive ouest du barrage du Ghrib, n’est toujours pas opérationnel en raison du manque du fonds nécessaire à l’acquisition d’équipement (cuisine, literie, installations sportives…)
Le second camp de jeunes prévu au niveau du lieudit Kouadri est dans la même situation. Pour  faire face à la canicule, la DJS a doté 14 communes de piscines mobiles, cependant dans certains cas des communes trouvent des difficultés à trouver de l’eau pour les remplir régulièrement.
Dans ce contexte, peut-on évoquer l’activité touristique ? L’emploi de ce terme serait inapproprié eu égard à sa définition, à savoir qu’il s’agit d’une «activité d’une personne qui voyage pour son agrément, visite une région, un pays, un continent autre que le sien, pour satisfaire sa curiosité, son goût de l’aventure et de la découverte, son désir d’enrichir son expérience et sa culture».
Ce genre de tourisme est quasi inexistant, et les raisons sont multiples, dont la principale est la rareté des structures hôtelières et celles qui existent pratiquent des prix qui ne sont pas à la porte du touriste moyen ou bien situées loin des sites à visiter. Quelques hôtels ont ouvert leurs portes comme à Hammam Righa où l’hôtel du Mont Rose est en voie de finition et à Aïn Defla où l’hôtel Essalam récemment devenu opérationnel ou encore Miliana qui est en passe d’être inauguré.
Par ailleurs, le tourisme thermal continue à être attractif mais souffre aussi du manque d’infrastructures d’accueil. A ce sujet, on annonce la mise en service de l’hôtel Mont Rose pour le début de l’année 2019. Pour ce qui est de la remise en état des 109 bungalows de Hammam Righa relevant de l’EGT, les travaux n’avancent pas et ne sont qu’à 36%. Et à ce rythme, il n’est pas près d’être livré. L’entreprise en charge de sa réalisation, nous a-t-on dit, n’est pas à la hauteur de la tâche qui lui a été confiée.
Par contre, pour l’autre source thermale située dans la commune d’El- Attaf, Hammam Bounedjma, la concession a été accordée à un privé qui faute de crédit bancaire a arrêté les travaux depuis quelques années.
Il reste le tourisme interne à caractère religieux lors des manifestations qui se tiennent périodiquement au niveau des zaouïas telles que celles de Sidi Ahmed Bencherki à El-Attaf, des Fekir de Tiberkanine, de Sidi Ahmed Benyoucef de Miliana. A ces grandes manifestations religieuses, qui suscitent des déplacements d’adeptes de différentes contrées, vient s’ajouter la multitude des taâm (couscous géant) en guise d’offrandes aux saints et qui continuent à attirer des fidèles de tous les coins de la wilaya.
A ce sujet, on citera les taâm de Sidi Abdelaziz, à l’extrême nord de la wilaya, Sidi Moussa Ennedjar de Bourached, Sidi Abdallah d’El-Amra, Sidi Djelloul à Djendel, si Belhadj à Arrib et sidi Ahmed El-Ferki où c’est une tradition dans la région de M’khatria, le taâm marque généralement le début de la saison des unions nuptiales au début du mois d’août.
Karim O.

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Une liste à dévoiler

Mon, 08/06/2018 - 15:57

La liste des daïras de la région des Hauts-Plateaux devant accéder au statut de wilaya-déléguée sera dévoilée avant la fin de l’année, affirment des sources crédibles.
Cette opération, qui fait partie des promesses faites par le président de la République, concernera 10 wilayas-déléguées et constituera l’un des thèmes de la campagne pour un 5e mandat, explique-t-on.

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Nouvelle ville (Oran): Les travaux du nouveau parking à étages se poursuivent

Mon, 08/06/2018 - 15:56

Le ton est donné par le chef de l’exécutif et se veut irrévocable, pour répondre aux demandes de certains, qui, d’ailleurs, mettent la pression, afin de reconvertir le parking à étages, dont les travaux sont en cours, à la ville-nouvelle, en centre commercial.
Amel Bentolba – Oran (Le Soir) – «Certains veulent le transformer en locaux commerciaux, ceci est impossible, non seulement la ville a besoin de parkings, mais surtout c’est insensé, il a été conçu en parking et sa conception architecturale ne le permet pas », a répondu Miloud Chérifi lors du forum d’El Djoumhouria.
Un sujet qui semble banal mais qui ne l’est pas dans le fond puisque l’incendie qui a eu lieu sur le chantier des travaux de ce parking au mois de juin passé laisse penser qu’il s’agirait d’un acte volontaire en lien avec ce conflit. Avec cette déclaration, le chef de l’exécutif a voulu mettre un terme à un faux débat et clore toute tentative de pression. «Le projet conservera sa vocation de parking à étages», avait-il répété.
Questionné à l’occasion sur l’annonce faite par la wilaya d’Alger qui serait en phase d’éradiquer les parkings sauvages, le chef de l’exécutif d’Oran était plutôt sceptique: «L’éradication des parkings sauvages, ce n’est qu’un simple effet d’annonce médiatique, dans la réalité, il n’en est rien.» D’où la nécessité de construire justement des parkings comme celui de la ville nouvelle. Mais faut-il pour autant que ces projets dont les travaux durent depuis des années et cumulent les retards soient enfin réceptionnés.
Le projet en question, dont le lancement remonte à 2006, avant l’incendie, devait être dans sa phase de finition pour la structure avant que soit entamée celle des équipements. Un incendie qui vient, une fois de plus, retarder la réception de ce projet.
D’un montant (aux dernières infos) de 100 milliards de centimes, ce parking à étages initié en 2006 a été stoppé puis a repris en 2011, puis connaitra plusieurs arrêts/reprises… Le principal justificatif quant au retard dans la réalisation de ce projet d’une capacité de 500 véhicules, revient au fait que cette structure, érigée sur les ruines de l’ex-minoterie, son sous-sol n’a pas été exploré comme il faut.
Des fouilles ont mis à jour des caves et autres cavités avec des risques d’inondation et de glissement de terrain, obligeant ainsi le maître d’ouvrage à revoir le plan de construction. Toutefois, un problème persiste et les responsables locaux devront vite le régler, il s’agit des voies d’accès, la ville nouvelle connue pour l’affluence qu’elle enregistre chaque jour tout au long de l’année sans oublier le nombre important des commerces légaux et informels, l’accès au parking ne sera pas des plus aisés.
Ainsi, Oran enregistre un autre projet d’utilité publique qui pourrait être réceptionné en 2019, une année qu’on avance, bien souvent ces jours-ci, pour la réception de bien des projets en retard, pour peu que cela se concrétise.
A. B.

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Bouira: Des travailleurs de l’APC de Sour-el-Ghozlane en colère… contre le directeur de l’hôpital

Mon, 08/06/2018 - 15:54

Tout a commencé le jeudi dernier lorsque, au niveau de l’APC de Sour-el-Ghozlane, un fonctionnaire a eu subitement un malaise. Immédiatement après, ses collègues l’ont transporté vers l’hôpital de la ville. Sur place et après des soins au niveau des urgences, le malade a été autorisé à quitter l’hôpital. Rentré chez lui, il se sentait toujours mal à l’aise. C’est alors que ses collègues qui ne l’ont jamais quitté, lui proposèrent de l’évacuer vers l’hôpital de Bouira. Pour ce faire, ils ont contacté d’autres collègues pour faire venir l’ambulance de l’APC mais, celle-ci n’était pas disponible. C’est alors qu’ils solliciteront une ambulance auprès du directeur de l’hôpital mais celui-ci a refusé puisque le malade n’était pas à l’intérieur de l’hôpital. Après ce refus, il a été quand même évacué mais à bord d’un véhicule loué par ses collègues.
Ce dimanche, alors que leur collègue se portait beaucoup mieux, les travailleurs de l’APC ont observé un piquet de grève pour dénoncer l’attitude du directeur de l’hôpital de Sour-el-Ghozlane qui aurait refusé selon eux, de prêter assistance à une personne en danger. Ils demandent à la tutelle d’ouvrir une enquête sur cette affaire qu’ils assimilent à de la «hogra».
Y. Y.

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Constantine: L’APC ouvre deux points de vente des moutons

Mon, 08/06/2018 - 15:53

Les services de l’APC de Constantine ont ouvert, hier, deux points réglementaires de vente des moutons en prévision de l’Aïd el Adha, qui sont soumis au contrôle des vétérinaires, à savoir l’ex-«ferme Gérard» de la cité du Chalet-des-Pins et au niveau de la décharge de la cité Boudraâ-Salah, située dans sa partie inférieure.
Les ventes se font à partir de 6 heures et ce, jusqu’à 18 heures et la date-butoir a été fixée au 20 du mois en cours selon l’arrêté municipal 987 en date du 16 juillet dernier qui concerne l’exposition du seul cheptel ovin à l’exclusion des bovins et rappelle que toutes les bêtes exposées pour la vente en dehors de ces points autorisés, à savoir en bas des immeubles, dans des terrains vagues et même dans des entrepôts de fortune, seront abattues ou feront l’objet de saisies, car ne pouvant répondre aux conditions d’hygiène et de santé exigées.
Cependant, les points de vente officiels arrêtés à l’occasion de l’Aïd el-Adha ne diffèrent pas des points des mêmes marchés traditionnels de bétail et des marchés hebdomadaires existant au niveau de chacune des 12 APC qui ne doit posséder qu’un seul point de vente, sauf Constantine qui en a deux.
Par ailleurs, les prix des moutons sont en nette hausse. Cette cherté est due selon les bouchers à une pluviométrie importante et les éleveurs n’ont plus de soucis. Pourtant, ils font état d’un excédent qui avoisine trois millions d’ovins.
Les prix jusqu’à présent s’envolent et le prix de l’agneau antenais, qui frôlait la barre de 27 000 DA, a enregistré une hausse de plus de 60% par rapport à ceux des mois derniers selon l’estimation d’un éleveur de la région de Constantine.
Comme d’habitude, le marché continue à subir le diktat des maquignons qui achètent au plus bas prix des troupeaux aux éleveurs. En plus, le problème de la chaîne d’intermédiaires et des spéculateurs souvent mise à l’index perdure sans toutefois que la direction du contrôle des prix ou le ministère du Commerce interviennent. Au niveau du souk de l’abattoir, les maquignons de Constantine et d’autres venus des régions comme Khenchela, Batna, Aïn M’lila… sont déjà au rendez-vous mais pas les acheteurs. Il faut dire que le coût du mouton, qui se situe entre 40 000 et 55 000 DA, en a refroidi plus d’un. «Comment un simple salarié pourrait-il se permettre ?», reconnaissent les vendeurs mêmes. «Ce n’est pas pour moi que je voudrais acheter le mouton, c’est pour mes enfants qui me pressent, mais les prix sont encore au-dessus de mes moyens», note un citoyen.
Ilhem Tir

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Rentrée universitaire: 5 000 nouveaux étudiants attendus à Oum-el-Bouaghi

Mon, 08/06/2018 - 15:50

Plus de 5 000 nouveaux étudiants sont attendus pour la prochaine rentrée universitaire et seront répartis sur les 7 facultés et trois instituts que compte l’université Larbi-Ben-M’hidi d’Oum-el-Bouaghi. Dans une conférence de presse organisée au rectorat, Mme Houbar, directrice de l’université, devant un parterre de journalistes de différents organes de presse, nous déclara que 3 000 nouvelles places pédagogiques sont attendues pour la rentrée 2018-2019 scindées en 2 000 places pour la nouvelle faculté des sciences économiques et 1 000 autres places pour l’institut technologique et sciences appliquées ISTA de Aïn M’lila cela en plus des 1 500 lits entre Oum-el-Bouaghi et Aïn M’lila. Selon Mme Houbar, l’université Larbi-Ben-M’hidi compte actuellement plus de 24 000 étudiants parmi lesquels 8 275 demandeurs de post graduation en master en précisant qu’une formation de 40 filières réparties entre 62 spécialités est assurée en licence et 71 autres en master.
Selon la directrice de l’université, ces 24 000 étudiants sont encadrés par 954 enseignants parmi lesquels 30% sont de rang magistral, une trentaine d’enseignants, 13 recrutements par voie de concours sont prévus pour la prochaine rentrée, cinq postes pour les étudiants ayant bénéficié d’une formation à l’étranger et une douzaine d’enseignants venus dans le cadre de mutations inter universités.
Par ailleurs, l’université Larbi-Ben-M’hidi a enregistré durant l’année universitaire passée 147 soutenances de thèses de doctorat et 54 habilitations, pas moins de 42 spécialités pour 127 postes de post-graduation sont ouverts pour la prochaine rentrée universitaire.
L’université ouvrira également et pour la première fois dans le cadre de la post-graduation spécifique à l’environnement économique pas moins de 110 postes, soit 50 postes en droit et 60 autres en sciences économiques.
Moussa Chtatha

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Les vendeurs ambulants sur les plages: Un phénomène qui prend de l’ampleur à Jijel

Mon, 08/06/2018 - 15:50

Si la saison estivale est synonyme de repos et de détente pour de nombreux Algériens, elle est par contre une opportunité pour d’autres pour se faire de l’argent en ces temps de crise caractérisée par l’érosion du pouvoir d’achat d’une large couche sociale.
Une simple virée aux plages de la wilaya de Jijel en cette saison estivale nous renseigne sur la prolifération des vendeurs ambulants essentiellement des gosses dont l’âge ne dépasse guère 15 ans. Un phénomène qui prend de plus en plus d’ampleur ces dernières années, signe d’une société à deux vitesses.
Rencontré sur la plage de Tassoust dans la commune Emir-Abdelkader, le lycéen Ammar est le modèle type de ces commerçants gosses sillonnant à longueur de journée sous un soleil torride le long de cette plage sur une distance de plus de deux kilomètres pour vendre des beignets aux milliers de baigneurs dans le but de gagner un peu d’argent en ces temps de vaches maigres. Approché par nos soins, Ammar en tenue d’été, portant short et un tricot, de faible corpulence, visage frêle, de teint mat, timide, cherche difficilement ses mots pour raconter son histoire. Visiblement issu d’un milieu social modeste.
«J’habite la commune de Kaous à quelques kilomètres d’ici. Je débute d’habitude ma journée à 10h mais aujourd’hui, je commence après la prière du vendredi pour vendre des beignets afin de me faire un peu d’argent. Et de poursuivre, je suis lycéen et je dois acheter mon trousseau scolaire et aider ma famille car mon père est travailleur occasionnel. Yelzam en’debbar rassi el hala rahi saâiba (il faut que je me débrouille la vie est difficile). J’achète ces beignets auprès de quelqu’un, ensuite je les vends avec une marge bénéficiaire,
30 DA la pièce. C’est un prix abordable pour les estivants», nous a confié notre jeune interlocuteur avec un discours d’une personne visiblement marquée par les aléas du temps. Derrière son regard triste, se cachent l’attente de sa famille et la dureté de la vie qui a ôté à ce gamin le droit de profiter de ses vacances pour se baigner et s’amuser avec ses copains du quartier.
Il y a lieu de souligner que le cas de Ammar relance de nouveau le travail des enfants en Algérie et me fait rappeler un ouvrage intitulé Les gosses de guerre au moment où le matraquage du JT de 20h montrant les enfants de toute l’Algérie s’amusant sur nos plages dans des sites paradisiaques se poursuit quotidiennement.
Ammar, à l’instar des gosses de son âge, rêve d’avoir des vacances pour faire des voyages et s’amuser. A la plage de Tassoust, ils sont une trentaine, sinon plus, de vendeurs ambulants dont la majorité sont âgés entre 10 et 15 ans qui sillonnent, sous un soleil torride, la plage tout au long de la journée pour gagner quelques sous. Un parcours du combattant pour «ces petits soldats».
Les scènes de Ammar, Zinou, Ahmed, Farès avec leurs étals de fortune accrochés à leurs épaules chétives vendant des beignets, des mhadjeb, des gâteaux secs, des cigarettes, du thé, des objets décoratifs, parcourant des dizaines de kilomètres quotidiennement sur un sable brûlant résument le quotidien difficile d’une bonne partie d’Algériens qui ne figure pas dans la liste des priorités de nos politicards atteints de cécité vis-à-vis de ce décor truffé de tristesse.
Bouhali Mohammed Cherif

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L’obésité dans le monde a triplé depuis 1975, les maladies en augmentation

Mon, 08/06/2018 - 15:28

ALGER – L’obésité dans le monde a pratiquement triplé depuis 1975, et elle s’est accompagnée d’une augmentation des cardiopathies, des cancers et des diabètes, a indiqué l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) sur son site web.

Les pays ont élaboré des directives diététiques adaptées à leur situation alimentaire et à leurs populations locales, pour conseiller des régimes alimentaires sains, ajoute la même source.

« Les régimes alimentaires varient considérablement d’un pays à l’autre en fonction des aliments disponibles, des cultures et des habitudes alimentaires. Mais quel que soit l’endroit où on vit, lorsqu’il s’agit de nourriture, on sait ce qui est bon pour nous et ce qui ne l’est pas », précise la FAO.

Les changements sociétaux rendent toutefois ces choix plus compliqués. Alors que de nombreux pays sont toujours confrontés à la dénutrition, la consommation d’aliments à haute teneur en énergie, en matières grasses, en sucres et en sel est en hausse un peu partout dans le monde.

L’urbanisation, les métiers plus sédentaires et l’évolution des moyens de transport entraînent une réduction de l’activité physique qui a pour effet d’exposer des populations entières au risque d’obésité et de maladies associées.

L’obésité a pratiquement triplé dans le monde depuis 1975 et elle s’est accompagnée d’une augmentation de problèmes de santé tels que le diabète, les maladies cardio-vasculaires et certains cancers.

Cette tendance ne concerne pas seulement les pays à revenu élevé. En effet, dans les pays à revenu faible ou intermédiaire, le nombre de personnes obèses ou en surpoids augmente à un rythme encore plus rapide, alors que dans ces mêmes pays la prévalence des retards de croissance, de l’émaciation et des carences en micronutriments est élevée.

En cette période où  l’obésité est en hausse, il est primordial d’avoir des directives diététiques. Ces directives, qui se fondent sur les dernières données disponibles, sont les recommandations qu’un pays fait à sa population pour manger mieux et être en meilleure santé.

La FAO contient la collection de recommandations alimentaires la plus complète au monde. Plus de 100 pays ont élaboré des directives diététiques adaptées à leur situation alimentaire et à leurs  populations locales.

Habitudes alimentaires saines

Il est recommandé de manger beaucoup de légumes et de fruits .Certains pays sont très précis sur le nombre de fruits et de légumes que l’on devrait consommer chaque jour (six, selon la Grèce et cinq selon le Costa Rica et l’Islande).

Le Canada indique même la couleur des légumes à consommer (un vert foncé et un orange par jour). Les tailles des portions peuvent varier selon le pays, cependant, toutes les directives recommandent de manger beaucoup de légumes et de fruits frais chaque jour.

Aussi, il est préconisé de limiter la consommation de matières grasses, les aliments riches en sucres industriels, et réduire le sodium/sel.

Il est également préconisé de boire de l’eau régulièrement et de pratiquer une activité physique.

Les habitudes alimentaires se prennent jeunes. En donnant des conseils nutritionnels, les directives diététiques donnent aux familles la possibilité de prendre en charge leur alimentation et leur santé.

Certaines directives insistent aussi sur la nécessité de préserver les ressources naturelles et la biodiversité tout en garantissant la sécurité alimentaire et nutritionnelle pour tous.

La FAO soutient les pays dans l’élaboration, la révision et la mise en œuvre de leurs directives diététiques.

Ces directives, qui servent de base aux politiques de nutrition et aux programmes d’éducation, aident les populations à acquérir des habitudes alimentaires et des modes de vies sains.

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Ministère de l’Intérieur: campagne de collecte des peaux des sacrifices de l’Aïd El-Adha

Mon, 08/06/2018 - 15:24

ALGER – Le ministère de l’Industrie et des Mines a annoncé lundi le lancement d’une campagne de collecte des peaux d’ovins, de bovins et de caprins, issues de l’abattage des sacrifices d’Aïd El Adha, afin de valoriser la filière cuir.

Cette opération, première du genre, consiste à collecter les peaux des bêtes sacrifiées et à les mettre à la disposition des tanneries pour leur valorisation et utilisation dans l’industrie du cuir, une filière à fort potentiel à l’export, indique le ministère dans un communiqué.

Le ministère prévoit la collecte de quelque 800.000 peaux sur un total de plus de 4 millions d’animaux qui doivent être sacrifiés durant  l’Aïd El-Adha de cette année.

Six wilayas pilotes, que sont Alger, Oran, Constantine, Jijel, Sétif et Batna, ont été choisies pour cette première campagne qui sera étendue vers le reste des wilayas à partir de l’année prochaine.

Pour assurer le bon déroulement de l’opération, les sites dédiés à l’abattage des sacrifices et au stockage des peaux seront aménagés dans chacune de ces wilayas, en plus du reste des abattoirs qui seront mobilisés durant les deux jours de l’Aïd.

Soulignant le caractère d’intérêt national que revêt cette campagne, le ministère indique qu’une démarche participative a été adoptée à l’effet de garantir la réussite des activités y afférentes.

A ce titre, plusieurs acteurs institutionnels, économiques (publics et privés) et relevant de la société civile collaborent avec le ministère aux niveaux central et local, ajoute la même source.

Il s’agit notamment des ministères de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du Territoire, des Affaires Religieuses et des Wakfs, de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, du Commerce, de l’Environnement et des Energies Renouvelables, de la Communication ainsi que celui de la Poste et des Télécommunications, des Technologies et du Numérique.

Il s’agit également des tanneurs représentés par l’Association des Tanneurs et Mégissiers (ATEMA) et des associations de protection des consommateurs.

Des comités de wilayas, installés par les walis et pilotés par les directeurs de l’Industrie et des Mines, ont entamé les préparatifs de cette campagne à travers l’identification des sites de collecte et d’entreposage des peaux.

L’implication des citoyens s’impose

Afin de pouvoir collecter le plus grand nombre de peaux, l’implication des citoyens est indispensable et constitue même un préalable pour la réussite de cette opération, souligne le ministère.

Ainsi, des campagnes de sensibilisation au niveau local, portant sur une communication de proximité, l’affichage dans les mairies et mosquées, des messages SMS et des spots publicitaires dans les télévisions et radios, seront lancées afin d’atteindre les objectifs escomptés.

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Industrie: Les capacités de production utilisées à moins de 75% au 1er trimestre

Mon, 08/06/2018 - 15:21

ALGER – La majorité des entreprises industrielles a utilisé les capacités de production à moins de 75% au 1er trimestre 2018, indique une enquête menée par l’Office national des statistiques (ONS).

Aussi, selon l’opinion des chefs d’entreprises enquêtés, l’activité industrielle a connu une baisse au premier trimestre 2018, notamment pour les Industries sidérurgiques, métalliques, mécaniques et électroniques (ISMMEE), l’Industrie Chimique et les Industries des Bois, précise l’enquête d’opinion effectuée par l’ONS auprès de chefs d’entreprises publiques et privées.

La demande en produits fabriqués a connu une hausse durant la période considérée. La hausse est plus prononcée pour le secteurs des matériaux de constructions et de l’agro-alimentaire, selon les chefs d’entreprises privées concernés par l’enquête. Plus de 66% des chefs d’entreprises du secteur public et 87% de ceux du privé ont satisfait toutes les commandes reçues. Cependant, il subsiste des stocks de produits fabriqués pour la majorité des concernés des deux secteurs, situation jugée « normale » par plus de 74% des intéressés du secteur public et par près de la moitié de ceux du privé.

Concernant le niveau d’approvisionnement en matières premières, il a été inférieur à la demande exprimée, selon plus de 34% des enquêtés du secteur public et près de 19% de ceux du privé. Ce qui a engendré des ruptures de stocks à plus de 64% de chefs d’entreprises du secteur public enquêtés et à près de 40% de ceux du secteur privé.

Concernant l’emploi, les chefs d’entreprises enquêtés du secteur public ont déclaré une baisse de leurs effectifs, alors que ceux du secteur privé ont fait part d’une stabilité. Plus de 88% des enquêtés du secteur public et la majorité des enquêtés du secteur privé jugent le niveau de qualification du personnel « suffisant« . Par ailleurs, 74% des patrons des entreprises publiques et la plupart de ceux du privé pensent que même s’ils recrutaient du personnel supplémentaire, cela n’augmentera pas davantage le volume de leur production actuelle. Cependant, en matière de recrutement des compétences, plus de 15% des enquêtés du secteur public et près de 40% de ceux du privé peinent à trouver du personnel d’encadrement et de maîtrise, fait savoir l’ONS.

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Alimentation en eau potable à Béjaïa

Mon, 08/06/2018 - 15:21

R. R.

Une enveloppe financière supplémentaire estimée à 300 millions de dinars a été octroyée pour la wilaya de Béjaïa afin de prendre en charge les projets de raccordement des communes à partir du barrage de Tichi Haf ainsi que l’extension des réseaux d’alimentation en eau portable.

Les communes concernées sont Kendira, Adekar, Taourirt Ighil, Tifra. Cette enveloppe va prendre en charge aussi le projet de réhabilitation de la chaîne de refoulement de la zone Nord et Ighil Ialoulene, commune d’Amizour, la réhabilitation des tronçons d’AEP reliant le réservoir 500 m3 au réservoir Ait Yahia à Amizour et la réhabilitation des réseaux de distribution des localités Amegaz et Tighrimine, commune de Mcisna. Il y aura également la réhabilitation du réseau d’AEP d’Agbala, commune de Beni Djellil, ainsi que le raccordement et l’extension de la commune de Kendira à partir du barrage de Tichi Haf. Le plan d’urgence arrêté pour améliorer l’alimentation en eau potable au niveau de la wilaya de Béjaia est en cours de concrétisation. Un montant estimé à 1,5 milliard a été dégagé pour financer les projets retenus. Les travaux de réhabilitation des réseaux de distribution de l’eau potable ont été entamés à travers plusieurs communes et enregistrent un taux d’avancement satisfaisant (entre 50 et 100%) Ce plan d’urgence porte sur la réhabilitation des tronçons d’AEP des communes d’Ighil Ali et Ait R’zine, de Tazmalt, Beni Melikeche Boudjellil, Fenaia (Ilmatène). le taux d’avancement est de 50% alors que celui concernant la réhabilitation des tronçons d’AEP des communes de Seddouk, Amalou, Mcisna et Beni Maouche est à 100%. Ainsi toutes les communes seront touchées par cette opération, entre autres Chemini, Souk Oufella, Tibane, Akfadou et Boukhelifa. Il y aura la réhabilitation des réseaux d’AEP des communes d’Aokas, Tichy, Melbou et Kherrata et l’extension des réseaux d’AEP des communes de Barbacha, Tala Hamza et Tichy. Enfin, Toudja aura également sa part avec la réhabilitation et l’extension des infrastructures de l’alimentation en eau potable.

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Pour l’Aïd et la rentrée scolaire, il faut un budget de 20 millions!

Mon, 08/06/2018 - 15:19

Les ménages algériens sont confrontés ces derniers jours à une période de grandes dépenses et de lourdes charges financières accentuée par les multiples fêtes qui se succèdent pendant cette saison, à commencer par l’Aïd El Fitr, en passant par les grandes vacances, l’Aïd El Adha et puis la rentrée scolaire.

Ce qui ne manquera surtout pas de compromettre les budgets des familles, en particulier celles ayant un faible revenu, ce qui les contraint de recourir à l’endettement pour pouvoir subvenir à leurs besoins.

A  ce propos, l’expert en économie, Dr Kamel Rezig a affirmé un important recul du tourisme tant intérieur qu’extérieur estimé à 40% comparativement aux années précédentes.

De l’avis de l’expert, les familles préfèrent aller à la plage deux fois seulement par semaine, c’est-à-dire pendant le weekend. Ce qui s’explique, aux yeux de Kamel Rezig, par les difficultés matérielles et la cherté de la vie, sachant que la saison estivale ait commencé juste après le mois de Ramadhan. Il n’est d’ailleurs secret pour personnes que les Algériens dépensent plus pendant le mois sacré que dans d’autres.

Pour lui, une famille de six membres devrait consacrer entre 20 et 30 millions pour les frais des vacances d’été, l’Aïd El Adha et la rentrée scolaire, dont le prix du mouton à sacrifier est affiché entre 5 et 7 millions de centimes. A cela s’ajoutent les dépenses relatives à la rentrée scolaire, dont chaque aura besoin d’un million de centimes pour pouvoir se procurer les fournitures scolaires (cartable, blouse, cahiers…) ainsi que les livres scolaires.

Certains ménages ont également l’habitude d’acheter des vêtements neufs pendant ces occasions, ce qui les oblige de dépenser plus.  A défaut de moyens, ils empruntent pour s’offrir ce dont ils ont besoin.

Selon notre interlocuteur, les prix des moutons de l’Aïd devraient s’envoler, surtout que le ministre de l’Agriculture s’est contenté de parler de la mobilisation des vétérinaires sans pour autant souffler mot sur les prix.

Par ailleurs, il a estimé que même avec un salaire mensuel de 100.000 DA (10 millions de centimes),  les ménagent ne peuvent plus se permettre de mener une vie ordinaire, ajoutant que ce montant ne suffit qu’à couvrir les frais du lait, du pain et quelques produits de première nécessité.

Ainsi, il reproche au gouvernement l’absence d’une vision sur un mode de vie adéquat pour la majorité des Algériens, qui se trouve, à ses yeux, loin des standards mondiaux.

Pour vivre selon les standards mondiaux, il a précisé qu’une famille de six membres doit gagner 50 millions de centimes par mois, et ce pour pouvoir manger trois légumes par jour et autant pour les fruits, de la viande rouge, de la viande blanche, des poissons, des fromages, du lait et dérivés, d’aller en vacances et se soigner correctement.

Zahira Medjrab / Traduit par: Moussa. K.

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Nouveaux horaires pour la rentrée universitaire 2018/2019

Mon, 08/06/2018 - 15:18

Du nouveau pour la prochaine rentrée universitaire, en effet le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique a annoncé les nouveaux horaires des cours.

Les horaires des cours seront prolongés pour la prochaine rentrée, ils débuteront à 8H et prendront fin à 18H. La durée du semestre sera également réduite à 14 semaines,

D’après les informations de la chaîne Ennahar TV, la rentrée universitaire est d’ailleurs fixée pour la mi septembre prochain.

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Intempéries: Sonelgaz annonce des coupures d’électricité

Mon, 08/06/2018 - 15:18

Outre les inondations et ce qu’elles ont causé comme dégâts, les wilayas de l’Est et du Sud-Est ont également été privées d’électricité.

La Société algérienne de distribution d’électricité et du gaz (Sonelgaz) a annoncé hier des perturbations dans l’alimentation en électricité à l’est et au sud-est du pays. »Faisant suite aux pluies torrentielles accompagnées d’orages et de foudres qu’a connus l’est du pays la nuit du 4 au 5 août 2018, les directions de distribution de Annaba, El-Tarf, Souk-Ahras, Illizi et Tamanrasset ont enregistré des perturbations majeures dans la fourniture de l’énergie électrique »,indique un communiqué de la Sonelgaz. La Sonelgaz rassure, par ailleurs, en affirmant que la mobilisation »rapide et efficace des moyens humains et matériels a induit à la reprise de l’alimentation dans des délais record en dépit des conditions climatiques difficiles ».

Par R.N.

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Deux ateliers clandestins découverts: Plus de 34 tonnes de Chema saisies à Es-Sénia

Mon, 08/06/2018 - 15:15

Par K. A.

  Suite à des informations parvenues à la section de recherches de la gendarmerie d’Oran faisant état de l’existence de trois ateliers clandestins spécialisés dans la fabrication du tabac à priser «Chema», situés dans la zone industrielle d’ Es-Sénia, une enquête a été diligentée par les gendarmes. Celle-ci a abouti à la saisie de pas moins de 34 tonnes et 814 kg de tabac à priser d’un montant global de plus de 5, 3 milliards de centimes.

Les faits de cette affaire remontent au week-end dernier, lorsqu’une perquisition est ordonnée par le procureur dans les trois ateliers. Dans le premier, la section de recherches a saisi 3.342 boîtes de 200 sachets de 30 grammes totalisant un poids de 20 tonnes et 52 kg, en plus de 630 kg entreposés dans des seaux en plastique, et 234 sachets de 30 kg. La quantité globale de tabac à priser saisie dans le premier atelier avoisine les 27 tonnes et 702 kg pour une valeur de plus de 4,1 milliards. Les gendarmes parvienrent à saisir également dans le deuxième atelier clandestin 880 cartons de 240 boîtes, 37 sachets de 11 kg, 2.820 cartons vides, 19 bandes portant la mention «Rimel» pour l’emballage et d’autres équipements pour le conditionnement. La quantité globale saisie dans cet atelier est de 7.112 kg de tabac à priser pour une valeur de plus de1,2 milliard. Dans le troisième atelier, conformément aux instructions du procureur de la république près le tribunal d’Es-Sénia, on saura que rien n’a été saisi, puisque le propriétaire disposait d’une autorisation d’ouverture délivrée par la direction du commerce. Notons que l’enquête suit son cours.

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Béjaïa: 1166 retraits de permis en juillet

Mon, 08/06/2018 - 15:10

Par Arezki SLIMANI 

Les routes de Béjaïa ont été moins meurtrières durant le mois de juillet, nous dit la police de Béjaïa dans un bilan mensuel axé uniquement sur les méfaits et les accidents de circulation.

Le nombre d’accidents de la route a sensiblement baissé au cours du mois de juillet de cette année. C’est la sûreté de wilaya de Béjaïa qui l’affirme dans un communiqué portant sur le bilan de ses activités. 42 accidents ont été enregistrés sur les routes de Béjaïa, précise un communiqué faisant état d’un mort et de 52 blessés. Le dernier en date s’est produit vendredi sur la Route nationale 09, faisant à lui seul 12 blessés dont sept enfants (3 ans et 14 ans) dans un état grave, rapporte la radio locale, qui fait état d’une collision entre deux véhicules sur la Route nationale 09 à Aboudaou, dans la commune de Tala Hamza. Quant aux causes à l’origine de ces accidents, la cellule de communication parle de faits humains. Dans le même sillage, la police a dressé 3456 procès-verbaux dont 351 concernant les deux-roues pour le non-port du casque de sécurité, l’absence de casque et les manoeuvres dangereuses. 259 autres procès ont été dressés pour défaut d’assurance, dont 60 cas ont été dressés contre les conducteurs des deux-roues. 1166 permis de conduire ont été retirés au courant de cette période pour des délits de conduite nécessitant un retrait sur le champ. Sur les 12.489 véhicules contrôlés durant le mois de juillet, 94 d’entre eux ont été mis en fourrière.
125 autres ont été saisis, dont 88 motos pour défaut de papier d’identification, ajoute le communiqué de la sûreté de wilaya de Béjaïa.
Le bilan des services de police de la wilaya de Béjaïa s’est contenté des méfaits de la route, ne faisant état d’aucun autre dépassement, notamment ceux liés au cambriolage de domiciles qui a connu, une recrudescence des plus inquiétantes. Plusieurs domicilies et commerces ont été visités par les voleurs, qui profitaient de l’absence des propriétaires en cette période de vacances; le butin s’élève à plusieurs millions de DA si l’on se fie aux déclarations des victimes.Des bijoux, de l’argent liquide, des appareillages électroniques y ont été volés. Plusieurs plaintes ont été déposées par les victimes qui attendent toujours les résultats. Le bilan ne fait pas également état des différentes agressions signalées sur les plages et au niveau des villes côtières, actuellement envahies par les vacanciers. Le cas du parkingueur qui est auteur d’une agression sur un citoyen est un cas significatif des méfaits qui se produisent sur les plages et au niveau des stations balnéaires. Même la Protection civile, qui s’est chargée de l’évacuation de la victime n’a pas soufflé mot sur cet acte. Tout cela figurera sans doute dans un prochain bilan plus détaillé.

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