La Direction de l’environnement de la wilaya de Médéa a rendu public un communiqué dans lequel elle incite les promoteurs privés à investir dans le créneau du recyclage des déchets ménagers et de conclure des partenariats avec ses services.
Dans son exposé des motifs, ladite direction met en avant les avantages du recyclage des déchets ménagers qui pourraient constituer pour l’investisseur « un gisement de matière brute dont la récupération et la valorisation représentent un enjeu économique important ».
En effet, « l’objectif essentiel du tri des déchets est de permettre de réduire leur volume et leur impact sur l’environnement, un objectif qui relève aussi de la responsabilité du citoyen » en tant que partie prenante du processus de préservation du milieu naturel.
Une autre opportunité est offerte aux investisseurs après la mise en service d’un nouveau centre d’enfouissement technique (CET) à Ksar El-Boukhari, qui est de nature à encourager l’activité de récupération et de recyclage des déchets ménagers dans le cadre d’un partenariat public-privé, comme souhaité à travers le communiqué émis via le site de l’administration de la Direction de l’environnement.
Cette dernière a indiqué que le nouveau CET, qui dessert les communes de la daïra de Ksar El-Boukari pour une population agglomérée de 83 267 habitants, dispose d’un casier d’enfouissement de 239 000 m3, d’un pont bascule de 60 tonnes, d’un hangar de tri de 960 m2 et d’un atelier de maintenance, et ce d’une durée de 10 ans.
On indique, par ailleurs, que l’entreprise publique de wilaya de gestion des centres d’enfouissement technique (EPWG-CET), dénommée Titteri Nadhafa, est confrontée ces jours-ci au problème de mise à feu de la décharge contrôlée de Draâ Smar, près de Médéa.
Située à l’ouest du chef-lieu de wilaya et à proximité d’une route à grande circulation, la décharge incommode les automobilistes de passage par les odeurs pestilentielles qu’elle dégage et par les fumées qui emplissent les environs, rendant la visibilité quasi nulle sur des centaines de mètres.
Dans le but de mettre fin à cette situation, la Direction de l’environnement annonce qu’une enveloppe de 15 milliards de centimes a été allouée au titre du Fonds national de l’environnement et du Sahel en vue de réhabiliter ladite décharge.
Selon la même source, l’opération de réhabilitation a été confiée, au mois d’août dernier, à l’Agence nationale des déchets, qui lancera les travaux dès l’achèvement de l’opération d’étude qui est toujours en cours.
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L’année 2018 a été pour le géant français des matériaux de construction, Lafarge-Holcim, une année fructueuse durant laquelle il a renforcé ses capacités de production. Le groupe qui ne compte pas s’arrêter en si bon chemin, œuvre désormais à conquérir les marchés extérieurs.
Estimant que le parcours de Lafarge en Algérie depuis 2009 a été un grand succès, Serge Dubois, directeur des relations publiques, s’est montré confiant quant à la capacité d’imposer le ciment algérien sur le marché international. Serge Dubois a annoncé hier, lors d’une conférence de presse à Alger, que Lafarge-Holcim Algérie compte exporter pas moins de 5 millions de tonnes de ciment vers l’Afrique de l’Ouest à l’horizon 2020, soit 30% du marché. Selon lui, Lafarge-Holcim Algérie est arrivé au bout de ses objectifs et les a même dépassés durant l’année 2018. Le géant de la cimenterie a entamé cette année par une feuille de route marquée par l’innovation et l’ambition d’apporter de la valeur sur l’ensemble du marché du ciment. Selon Serge Dubois, la feuille de route repose sur trois axes importants, à savoir l’exportation, la simplification du rapport avec le client ainsi que la valorisation des déchets en cimenterie.
Le choix d’exporter vers l’Afrique de l’Ouest s’est imposé vu la surcapacité du marché de la Méditerranée et vu la demande importante en matière de ciment et clinker exprimée par ces marchés. Cette ambition portée vers le marché ouest-africain entre dans le cadre d’un plan qui vise à écouler sa production à l’exportation. « En Algérie, on a une surcapacité de production de 20 millions de tonnes/an de ciment à l’horizon 2020. Il y a un consensus autour de ce chiffre et vu les capacités qui sont en train d’être installées, on se prépare déjà à exporter nos excédents », a expliqué Serge Dubois. Pour l’année 2018, Lafarge-Holcim a projeté d’atteindre 300 000 tonnes pour l’exportation, mais selon son responsable des relations publiques, le groupe a pu dépasser son objectif en atteignant 400 000 tonnes. Serge Dubois affirme que son entreprise s’inscrit dans la politique publique de promouvoir l’exportation en renforçant ses capacités logistiques. Pour réussir son coup, Lafarge-Holcim dispose d’une société de trading qui assure l’acheminement de ses produits.
Lafarge table sur l’innovation et le respect de l’environnement
Lors de sa rencontre avec la presse nationale, Serge Dubois a mis l’accent sur les solutions innovantes pour réhabiliter les routes abîmées. Des solutions « vertes », respectueuses de l’environnement et « moins coûteuses », ont-ils assuré. Lafarge-Algérie compte développer des « solutions routes » et la promotion de leur utilisation, notamment auprès des autorités publiques en charge du secteur des travaux publics. Le groupe veut construire des routes plus vite, qui coûtent moins cher, en réduisant l’empreinte environnementale avec plus de durabilité. Pour 2018, Lafarge-Algérie table aussi sur le renforcement de son activité de valorisation des déchets pétroliers et d’incinération de médicaments, avec l’objectif d’atteindre, à l’horizon 2030, un volume de 80 millions de tonnes de déchets traités. Par ailleurs, le groupe précise que l’ambition de « Geocycle » en Algérie est de « contribuer à la politique nationale de gestion intégrée des déchets par des solutions locales sûres et durables, d’apporter des solutions de gestion des déchets à haute performance environnementale, s’appuyant sur une expertise internationale de longue date », a fait savoir Serge Dubois. Dans cette optique, le groupe évoque le développement de l’« Airium », qui est une solution pour améliorer l’efficacité énergétique des bâtiments. A ce sujet, il y a lieu de préciser qu’entre 30 et 40% de la consommation globale de l’énergie est utilisée pour le chauffage et la climatisation des bâtiments. Et c’est à ce niveau qu’intervient la technologie de rupture sur l’isolation thermique, Airium, dont les performances thermiques de sa mousse cent pour cent minérale permettent de diminuer durablement et d’une manière significative ce coût énergétique.
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L’ES Sétif a battu mardi soir à Sétif, le club Al Ahly du Caire (2-1), en match retour, pour le compte de la demi-finale de la Ligue des champions d’Afrique mais a raté sa qualification pour la finale de la prestigieuse compétition africaine.
En match aller, la formation sportive sétifienne sÆest inclinée face à Al Ahly par 2-0.
Les égyptiens ont ouvert le score lors de ce match retour disputé au stade du 8 mai 1945 à la 61′ par lÆinternational Walid Slimane.
Les buts de lÆES Sétif ont été signés aux 67′ et 71 ‘ par Bakir et Ghacha.
Al-Ahly affrontera en finale de la Ligue des champions d’Afrique lÆEspérance de Tunis qui s’est qualifiée en battant la formation angolaise, Primeiro De Agosto (4-2).
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Des agents de la police nationale espagnole ont procédé à l’arrestation, mardi dans les localités d’Alaquas (Valence) et Cocentaina (Alicante), dans l’Est de l’Espagne, de deux personnes pour appartenance aux organisations terroristes « Daech » et « Al Qaida ». Selon un communiqué du ministère espagnol de l’Intérieur, les deux individus arrêtés, âgés respectivement de 55 et 58 ans, seront poursuivis pour « appartenance à une organisation terroriste, endoctrinement et apologie du terrorisme ».
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Une nouvelle centrale photovoltaïque d’une capacité de 10 mégawatts sera mise en service en novembre prochain dans la wilaya d’Ouargla, a-t-on appris auprès de Sonatrach. Inscrit dans le cadre d’un partenariat entre les groupes pétroliers algérien et italien Sonatrach et Eni, ce projet est implanté sur une superficie de 20 hectares au niveau du champ de BRN (Bir Rebaa Nord, Ouargla), opéré par la société mixte GSA (Groupement SONATRACH-Agip), selon la même source. Cette centrale vise à alimenter les installations du champ de Bir Rebaa en générant 20 GWh/an d’énergie électrique et libérer du gaz naturel pour une meilleure valorisation, a-t-on souligné.
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VILLEPINTE (Ile-de-France) – Des produits alimentaires algériens sont exposés au Salon international de l’alimentation de Paris (SIAL), le plus grand marché international pour les professionnels de la restauration et de l’agroalimentaire en quête d’inspiration ou de débouchés à l’export.
Même si la présence algérienne à ce salon reste timide mais les produits exposés, aux côtés d’autres mondialement réputés, n’ont rien à envier vue leur qualité/prix.
De la datte, les pâtes alimentaires, le vin, le chocolat, l’huile d’olive et de table, l’olive de table et la conserverie, le label Algérie est en train de faire son chemin à l’export, en tout cas ce qui ressort des discussions de l’APS avec la trentaine d’entreprises privées présentes à ce salon, en présence du représentant de la Safex.
L’ambassadeur d’Algérie en France, Abdelkader Mesdoua, s’est déplacé mardi pour encourager ces opérateurs économiques à aller de l’avant dans la pénétration du marché français.
Il a insisté auprès des responsables de privilégier dans leurs contacts les membres de la communauté algérienne qui sont déjà dans les circuits commerciaux et les marchés, tout en les assurant de l’accompagnement de l’Etat algérien.
Plusieurs d’entre eux ont soulevé des problèmes d’ordre organisationnel liés notamment à la préparation de la délégation algérienne à ce genre de salon qui se tient une fois tous les deux ans.
En effet, les stands des opérateurs algériens ne sont pas regroupés et se trouvent parfois dans des endroits peu fréquentés par les visiteurs qui sont généralement des professionnels.
Parce qu’elles ont été prises de retard en ce qui concerne leur participation, les entreprises algériennes ne figurent pas dans le guide du salon, une situation déplorée par les présents qui souhaitent plus de visibilité pour les produits algériens.
Mais ils restent cependant « optimistes » d’autant que la plupart d’entre eux sont déjà dans le marché international comme pour les pâtes alimentaires de Amor Benamor et les pâtes Extra du groupe Benhamadi, ou pour les boissons Ifri et Ngaous qui ont déjà conquis le marché français à forte clientèle de la communauté algérienne.
Sur ce plan, l’ambassadeur leur a demandé beaucoup d’agressivité et d’efforts en matière de packaging.
Les représentants de la Société des grands crus de l’Ouest ont indiqué qu’ils ont déjà pénétré le circuit de la restauration pour les vins d’Algérie qui, jadis, venaient soigner le vin français, précisant que 250.000 bouteilles sont écoulées au niveau de la chaîne Metro et sont présents dans 350 restaurants à Paris.
Les boissons Ifri connaissent, selon les responsables de l’entreprise, un « gros succès » en France, notamment auprès de la communauté algérienne, grâce, ont-ils dit, aux efforts et au soutien de l’Etat algérien.
L’entreprise, qui revient en France après deux ans d’absence, a consenti de « grands » investissements pour présenter un produit d’innovation et de qualité, a-t-on ajouté.
Pour les pâtes alimentaires Extra, Zyna et Lella des Moulins Gerbior du groupe Hamadi, le chargé d’opération export, Laïd Mokrani a indiqué à l’APS que leurs produits marchent bien en Tunisie, en Libye, aux Emirats arabes unis et au Bahreïn, expliquant que sa participation au SIAL vise le marché français et pourquoi pas d’autres pays européens.
Il est à signaler que la Safex accompagne les exposants algériens en prenant en charge le transport de leurs produits et le paiement des stands à hauteur de 80%.
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NOUAKCHOTT (Mauritanie) – De nombreux opérateurs économiques algériens et mauritaniens traversent le Sahara, supportant les aléas et les peines de la route, en vue de consolider les liens économiques entre les deux pays, contribuant ainsi à la redynamisation du marché mauritanien en y introduisant plusieurs produits algériens de qualité, fort demandés dans ce pays.
A 75 km du chef-lieu de la wilaya de Tindouf, les chemins accidentés de la route menant vers Nouakchott via le poste frontalier Mustapha Ben Boulaid, rendent pénible le voyage des caravanes commerciales entre les deux pays, affirment les premiers arrivants de la caravane « Ponts de fraternité », venus d’Algérie la semaine dernière.
Rabah, conducteur de l’un des camions composant cette caravane, a dit que cette route constituait un véritable défi pour les opérateurs économiques, et nécessitait son aménagement et son entretien par les deux pays.
Pour traverser cette route, il est impératif de recourir à un guide expérimenté pour éviter les tempêtes de sables, notamment en raison de l’absence d’éléments de signalisation et de signalétiques.
Approchés par l’APS, des passagers ont formé le vœu que cette route soit aménagée, de façon à éviter que les repères et les panneaux de signalisation ne soient couverts et cachés par le sable, outre le fait qu’un tronçon de 800 km de cette route n’est pas goudronné.
Cette route nécessite de nombreuses structures d’importance majeure pour les voyageurs, à l’instar des stations de services et des aires de repos, très rares sur cette voie, une situation qui contraint les voyageurs à s’approvisionner en carburants et en denrées alimentaires en Algérie.
Souvent les voyageurs sur cette route font face à de rudes conditions météorologiques (tempêtes de sables), qui freinent leur avancée et épuisent leurs provisions avant même leur arrivée à destination.
Le conducteur Mohamed et ses collègues disent être prêts à supporter les difficultés et les risques encourus dans le but d’approvisionner le marché mauritanien en marchandises algériennes, tout en souhaitant l’aménagement rapide de cette route.
« Nous accomplissons cette mission en toute satisfaction pour servir notre pays et le pays frère la Mauritanie.
Nous aspirons à une plus grande coopération entre les gouvernements des deux pays en vue de la réhabiliter, et nous sommes déterminés à relever ce défi », ont ajouté les participants à cette caravane.
Réduction de la durée de transport des marchandises de 45 à 10 jours
Avant l’ouverture du poste frontalier, les entreprises algériennes étaient obligées de passer par une ligne maritime indirecte via l’Espagne ou Malte par atteindre la Mauritanie en 30 ou 45 jours, ce qui induisait une rupture des stocks dans les dépôts avant l’arrivée de la nouvelle marchandise. Après l’ouverture de la ligne terrestre, il faut entre 7 à 10 jours pour faire parvenir la marchandise.
Lors de sa visite à plusieurs stands de la Foire des produits algériens qui s’étalera du 23 au 29 octobre à Nouakchott, le ministre du Commerce, Saïd Djellab, a affirmé dimanche la détermination de son secteur à faciliter les conditions d’exercice de cette activité entre les deux pays à travers le renforcement du transport terrestre.
Des accords sont prévus dans ce domaine en vue d’intensifier les opérations commerciales vers ce pays, a indiqué le premier responsable du secteur qui a ajouté que le « ministère du Commerce œuvrera à la facilitation de ce commerce à la faveur d’un accord pour soutenir le transport routier ».
« Pour ce faire, un soutien sera apporté à la Société Nationale de Transports Routiers « Logitrans », a-t-il ajouté.
Le ministre a estimé que les marchandises algériennes doivent être disponibles en grande quantité sur le marché mauritanien pour préserver leur forte compétitivité.
En parallèle à la commercialisation de leur marchandises dans ce pays, il est attendu des entreprises algériennes de superviser la formation des jeunes mauritaniens dans plusieurs spécialités liées à la qualité des produits exposés, notamment l’électronique et le matériel agricole, outre la création de postes de travail au profit de ces jeunes.
Pour sa part, le président du conseil d’administration du groupe Condor, Abderrahmane Benhamadi, a fait savoir que les efforts étaient en cours pour former les jeunes mauritaniens dans la wilaya de Bordj Bou Arreridj sur les techniques de maintenance et de montage des produits de l’entreprise.
Un accord devrait être conclu pour encadrer les différentes opérations de formation avec les autorités mauritaniennes, a-t-il ajouté.
Les exportations de Condor vers la Mauritanie ont atteint 1 million de dollar durant 2017.
Le groupe compte étendre ses activités au Cameroun et à la Côte d’Ivoire, après avoir investi avec brio les marchés mauritanien, sénégalais et sahraoui.
Pour sa part, Sidi Mohamed Hassan, gérant de l’entreprise El walati des dattes algériennes a souligné que son entreprise occupait la première place en matière de vente.
Selon M. Mohamed Hassan, un mauritanien titulaire d’un master en affaires de l’Université d’Alger, activant dans le commerce des dattes algériennes a affirmé que la qualité de ce produit explique la forte demande, précisant que l’ouverture de ce passage a permis la levée de plusieurs obstacles.
L’entreprise El walati activant dans ce domaine depuis 2012, a assuré en 2017 seulement, le transport de plus de 20 conteneurs de dattes et 21 autres de produits divers et elle aspire actuellement à élargir son activité de Nouakchott vers Nouadhibou et Bamako sur une distance de 1500 km.
Dans l’agroalimentaire, la conserverie de viandes d’Algérie (CVA-groupe Bellat) a investi le marché mauritanien et a fait profiter la partie mauritanienne de son expérience dans le domaine des produits carnés.
L’ouverture de ce nouveau poste frontalier constitue une grande opportunité pour les entreprises algériennes désirant approvisionner le marché mauritanien en quantités importantes de marchandises, a estimé le conseiller du directeur général du groupe, Abdelhamid Boukahnoun.
Le groupe a établi ses premiers contacts avec les parties mauritaniennes et les médiateurs traitant avec les pays voisins de la Mauritanie, notamment le Sénégal pour évaluer les besoins et examiner les moyens de promouvoir les investissements.
La Foire des produits algériens, dont l’ouverture est prévue, mardi après-midi, est un rendez-vous extrêmement important pour l’établissement des relations avec les parties mauritaniennes et leurs voisins en Afrique de l’ouest, a-t-il poursuivi.
Les citoyens mauritaniens fondent de grands espoirs sur ce passage frontalier, estime un économiste et expert en commerce mauritanien, Mohamed Mokhtar.
En dépit des difficultés de transport, les Mauritaniens traversaient le Sahara pour s’approvisionner à Tindouf ce qui explique l’apport qualitatif de ce nouveau passage pour l’activité commerciale entre les deux pays.
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Les opérateurs économiques algériens s’attèlent à mettre les dernières retouches en prévision de la Foire des produits algériens à Nouakchott, dont le coup d’envoi est prévu pour mardi soir, et ce, dans le but d’assurer aux opérateurs économiques et visiteurs mauritaniens les meilleurs conditions d’accueil qui reflètent la profondeur des relations de coopération et d’amitié liant les deux pays.
A quelques heures du coup d’envoi de la manifestation, les espaces externes de la Foire connaissent une affluence importante des citoyens mauritaniens, venus des quatre coins du pays pour voir de près la qualité des produits algériens.
Cette édition devra être couronnée par la signature de plusieurs accords dans les secteurs de l’industrie agro-alimentaire, des industries mécaniques, de l’électronique, des industries chimiques, des industries du matériel et de plastique, en sus d’accords dans le domaines des services, à l’image des transports et la coopération dans le secteur de la santé.
Dans ce cadre, le Président-directeur général (Pdg) de la Société Algérienne des Foires et Expositions « Safex », Tayeb Zitouni, a fait état d’un nombre important de contrats qui devraient être signés mardi soir.
Cette foire est considérée comme la plus grande manifestation économique initiée par l’Algérie en dehors du pays, a indiqué M. Zitouni, relevant, à ce propos, que les accords qui seront signés, dans le cadre de cette édition, renforceront davantage les relations de coopération et de partenariat existant entre l’Algérie et la Mauritanie.
Il a ajouté que les opérateurs économiques ont accordé un intérêt particulier à cet évènement de par son importance pour l’accès aux marchés africains.
Cette participation, a-t-il expliqué, s’inscrit dans le cadre du rôle des opérateurs économique algériens en tant que professionnels ayant un rôle dans la promotion du produit algérien à l’international.
L’Algérie a déployé tous les moyens matériels et logistiques pour la réussite de cette manifestation, a assuré M. Zitouni, estimant qu’en dépit de certaines insuffisances, les opérateurs algériens sont déterminé à investir de nouveaux marchés mondiaux.
Plus de 350 participants représentant plus de 170 sociétés algériennes prennent part à cette foire. Pour ce qui est de l’affluence considérable des citoyens mauritaniens, avant même l’ouverture de la foire, la même intervenant a expliqué que le citoyen mauritanien est bien informé de la qualité des produits algériens commercialisé dans son pays à la faveur de précédentes opérations d’exportation.
Les différents pavillons de la foire connaissent une affluence des opérateurs et organisateurs ainsi que des citoyens mauritaniens venus en masse pour découvrir les produits algériens.
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Le groupe de cimenterie LafargeHolcim Algérie lancera en décembre prochain une station de traitement de déchets pétroliers par incinération, a indiqué mardi à Alger un responsable de cette société. Situé à Oggaz (wilaya de Mascara), ce projet est réalisé pour un montant de plus de 700 millions de dinars, a indiqué le directeur de la communication de LafargeHolcim Algérie, M. Serge Dubois, lors d’une conférence de presse. Selon lui, il s’agit de la première étape d’un programme comprenant la réalisation d’autres stations similaires notamment dans les wilayas de M’sila et de Biskra.
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ALGER -Le Haut conseil islamique (HCI) a préparé un projet sur l’amendement des lois permettant d’accélérer le développement de la finance islamique en Algérie, a indiqué mardi à Alger le professeur Mohamed Boudjellal, membre de cette instance consultative auprès de la Présidence de la République.
« Le projet déposé auprès de la Présidence de la République depuis près d’une année propose des amendements de lois relatifs à différents segments de la finance islamique », a déclaré M. Boudjellal en précisant que celle-ci ne se limite pas aux produits bancaires » S’exprimant à l’occasion d’une conférence de presse sur le Symposium algérien de l’assurance et de la finance islamique prévu les 24 et 25 novembre 2018 à Alger, ce spécialiste de la finance islamique a expliqué que le projet concerne notamment la création d’une haute instance juridique nationale pour accompagner le développement et l’expansion de l’industrie de la finance islamique avec le HCI en concertation avec les partenaires de la place financière nationale.
Le projet concerne également des propositions pour l’amendement de la loi sur la monnaie et le crédit.
Sur ce point, il a rappelé que la Banque d’Algérie avait déclaré à maintes reprises qu’elle est en phase de préparer un règlement spécifique aux produits bancaires islamiques, ouvrant la possibilité aux banques publiques de commercialiser les produits financiers conformes à la Charia islamique.
Il a toutefois estimé que ce nouveau règlement a pris beaucoup de retard, ralentissant ainsi le développement de la finance islamique au sein des banques étatiques.
M. Boujellal a également évoqué des propositions relatives à la loi sur les assurances, émises par le HCI, en introduisant l’assurance islamique baptisée « Takaful ».
Parmi les suggestions contenues dans le projet du HCI, figurent aussi deux propositions de lois pour la création de deux institutions dont la mission est d’encadrer la gestion des financements et les dons caritatifs.
La première concerne le Fonds de la Zakat, qui n’a jusqu’à présent pas, d’encrage juridique tandis que la seconde concerne la création d’un complexe « wakf », une vision innovante qui devrait contribuer largement à la lutte contre la pauvreté et au développement de l’économie nationale, selon lui.
Par ailleurs, le projet du HCI suggère un « Comité Charia » pour valider la certification de ces produits conformes à la Charia.
« On a fait une conception typiquement algérienne en s’inspirant des différentes expériences des pays musulmans », a-t-il précisé.
Considérant que l’Algérie a pris un grand retard dans le développement de la finance islamique, il a estimé que le pays doit se rattraper en accélérant les réformes de son institution financière d’autant plus qu’il y a une demande pressante en ces produits de la part des opérateurs économiques et des particuliers.
« Nous avons fait notre travail en tant qu’institution consultative » et je n’ai aucun doute de la sincérité de l’institution de la présidence pour faire aboutir de telles propositions », a-t-il assuré.
La finance islamique, qui représente actuellement 2% du secteur financier mondial avec 2.200 milliards de dollars, sera largement abordé lors du Symposium algérien de la finance islamique, durant lequel un grand nombre de sociétés et d’acteurs institutionnels échangeront les meilleurs pratiques et solutions dans le domaine de la finance islamique, affirme les organisateurs de cette rencontre.
Ils considèrent par ailleurs que la finance islamique en Algérie doit permettre de mieux financer l’économie par utilisation des Sukuk et la création d’une offre au grand public.
Ainsi, ont-ils ajouté, l’utilisation des Sukuk doit permettre au pays de diversifier ses sources de financements externes et contribuer aussi au financement de ses entreprises nationales.
Quant à l’offre de produits bancaires grand public, il aura pour premier effet de soutenir le marché de l’immobilier et de la construction grâce à l’octroi de nouveau crédits, soutiennent les initiateurs de ce Symposium.
« Grace à la mise sur le marché d’une offre grand public de comptes d’épargne sans intérêts ou participatifs, les banques arriveront à drainer les ressources qui circulent actuellement sur le marché informel « , ont-ils soutenu.
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La force de l’espace voulue par le président américain Donald Trump sera dans un premier temps un « commandement unifié », un cran en-dessous d’une sixième branche des forces armées comme initialement envisagé, a annoncé le vice-président Mike Pence mardi. L’administration n’envisage pas de création d’une force de l’espace indépendante avant 2020, a-t-il déclaré lors d’une réunion du Conseil national de l’espace, une structure dépoussiérée et relancée par Donald Trump l’an dernier. Dans un premier temps, le président va demander au Congrès de rassembler l’ensemble des militaires et civils travaillant aujourd’hui sur la sécurité de l’espace sous un commandement unifié, sur un modèle similaire aux forces spéciales.
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Les ministres des Affaires étrangères du G7 ont déploré mardi que « les explications fournies » sur le meurtre du journaliste saoudien Jamal Khashoggi « laissent de nombreuses questions sans réponse », dans un communiqué. « La confirmation du meurtre » par les autorités saoudiennes « est un premier pas (…) mais les explications fournies laissent de nombreuses questions sans réponse », relève le texte, en appelant à une enquête « fouillée, crédible, transparente et rapide par l’Arabie saoudite, en collaboration avec les autorités turques ».
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Des échauffourées ont éclaté mardi à la frontière entre la Bosnie et la Croatie après que la police bosnienne a empêché environ 250 migrants de s’en approcher, a-t-on appris de source policière. « Ils ont essayé de franchir (la frontière) de force. La police les a refoulés. Il y a eu des échauffourées », a indiqué la porte-parole de la police bosnienne, Snezana Galic. L’incident s’est produit à proximité du poste-frontière de Maljevac, où une centaine de policiers ont été déployés.
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Le président russe Vladimir Poutine s’est autorisé mardi une plaisanterie teintée de sarcasme lors de sa rencontre au Kremlin avec le conseiller de la Maison Blanche à la Sécurité nationale, John Bolton. « Si ma mémoire est bonne, l’emblème des Etats-Unis représente un pygargue », a affirmé M. Poutine, le sourire aux lèvres, en faisant référence au rapace à tête blanche présent sur l’emblème des Etats-Unis. « D’un côté, il tient 13 flèches et de l’autre un rameau d’olivier comme symbole d’une politique pacifique et sur lequel se trouvent 13 olives », a-t-il poursuivi en s’adressant à M. Bolton.
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Une opération de récupération des gyrophares auprès des hauts responsables de l’État vient d’être lancée par le ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales, apprend-on de sources sûres. Sont concernés par cette opération de restitution des gyrophares aux services de la DGSN tous les PDG d’entreprises et de groupes publics, tous les responsables des ministères et d’institutions, etc. Exception faite des convois officiels et des véhicules affectés aux ministres. Tous les responsables concernés ont été contactés aux fins de remettre leurs gyrophares aux services de la police. Il y aurait un usage excessif des gyrophares à tel point que certains en font un moyen de pression et d’intimidation. C’est une opération qui s’accompagne d’une démarche visant à récupérer les véhicules blindés affectés à d’anciens responsables qui ne sont plus en poste. Cette action s’est soldée par la récupération de 142 véhicules blindés.
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Des individus suspects ont été interpellés dans plusieurs régions du pays par des brigades de la Gendarmerie nationale (GN) qui ont également saisi des quantités de substances prohibées, indique mardi un communiqué du commandement de ce corps de sécurité.
Ainsi, dans la wilaya de Sidi-Bel-Abbès et, lors d’un point de contrôle dressé sur l’autoroute Est-Ouest, dans la commune de Sidi-Ali-Ben-Youb, les gendarmes du peloton de sécurité routière d’Aïn-El-Berd ont interpellé trois individus en possession de trois (3) Kg de kif traité.
Dans la wilaya de Boumerdes, et agissant sur renseignements, les gendarmes des brigades de la compagnie territoriale de Dellys ont, lors d’un service de police de la route sur la RN25, reliant Boumerdes à Tizi-Ouzou, interpelé un individu, à bord d’un véhicule en possession d’un (1) Kg de kif traité.
En outre, agissant sur renseignements, les gendarmes de la brigade de Tiberguent, dans la wilaya de Mila, ont interpellé un individu en possession de trente-huit (38) comprimés de psychotropes.
Poursuivant les investigations et en vertu d’un mandat de perquisition, les gendarmes enquêteurs ont saisi dans son domicile, vingt-six (26) autres comprimés de psychotropes et un (1) sabre. APS
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Au moment où le prix du baril de pétrole Brent ne dépassait pas les 80 dollars dans les marchés mondiaux durant les semaines écoulées, l’Arabie Saoudite vient de faire une déclaration macabre !
Elle estime toutefois ne pas pouvoir garantir que les 100 dollars le baril ne seront pas dépassés. C’est ce qu’a dévoilé son ministre de l’Energie, Khaled Al Faleh, qui a tenu à clarifier également, que son pays n’a aucune intention de mettre en place un embargo sur le pétrole comme en 1973.
«Si les prix du pétrole montaient trop, cela ralentirait l’économie mondiale et déclencherait une récession mondiale. Et l’Arabie saoudite a été cohérente dans sa politique. Nous travaillons à stabiliser les marchés mondiaux et à faciliter la croissance économique mondiale », a dévoilé le ministre ce lundi.
Le ministre saoudien a par ailleurs déclaré «ne pas pouvoir garantir» que les prix du pétrole ne passent pas la barre des 100 dollars par baril.
«Nous avons des sanctions contre l’Iran et personne se sait ce qu’il adviendra des exportations iraniennes. De plus, il y a des déclins potentiels dans des pays tels que la Libye, le Nigeria, le Mexique et le Venezuela», a-t-il expliqué.
Alors que les relations avec l’Occident se sont refroidies après le meurtre du journaliste critique du prince héritier Mohammed ben Salmane et exilé aux États-Unis, Jamal Khashoggi, la relation entre les Etats-Unis et l’Arabie saoudite est vivement tourmentée, puisque Donald Trump avait évoqué un châtiment sévère contre l’Arabie saoudite.
Depuis, le président américain a changé et ménage son allié saoudien.
«Cet incident passera», a déclaré Khaled al-Faleh dans une interview accordée à l’agence de presse officielle russe Tass: «L’Arabie saoudite est un pays tout à fait responsable. Pendant des décennies, nous avons utilisé notre politique pétrolière comme un outil économique responsable et l’avons isolée de la politique», a-t-il ajouté.
Fateh.A/ version française: Rachel Hamdi
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Lors de sa prise de parole sur l’affaire Khashoggi tenue le 23 octobre, le Président turc Erdogan a déclaré que des responsables saoudiens avaient planifié l’assassinat du journaliste des jours avant sa mort.
L’assassinat de Jamal Khashoggi a été planifié des jours à l’avance par des responsables saoudiens, selon Recep Tayyip Erdogan.
Le Président a également indiqué que les accusations portées par l’Arabie saoudite contre des membres de ses services de renseignement ne satisfaisaient pas la Turquie. M. Erdogan a néanmoins affirmé ne pas douter de la sincérité du roi d’Arabie saoudite.
Le Président a en outre mis en avant la volonté de la Turquie de juger les suspects à Istanbul.
«Puisqu’il s’agit d’un assassinat politique, il est indispensable d’élargir l’enquête à des suspects résidant dans d’autres pays, s’il y en a quelques-uns, conformément aux normes de la loi internationale. La Turquie s’engage à mener l’enquête jusqu’au bout. Je voudrais m’adresser au gouvernement saoudien et en premier lieu au roi Salmane. L’assassinat a eu lieu à Istanbul. Ainsi, je propose de juger les 18 suspects à Istanbul. Mais certes, c’est à l’Arabie saoudite de décider.»
M.Erdogan a par ailleurs confirmé que quinze Saoudiens étaient arrivés à Istanbul le jour même de la disparition de Khashoggi. Il a ajouté que les caméras de sécurité installées à l’intérieur du consulat avaient été démontées. Il a révélé que trois agents saoudiens étaient arrivés en Turquie la veille de la disparition du journaliste.
Le trio, a-t-il ajouté, s’est rendu dans une forêt proche d’Istanbul ainsi qu’à Yalova, une ville située sur la mer de Marmara, à 90 km au sud d’Istanbul, deux sites où la police turque, qui n’a toujours pas retrouvé le corps de Khashoggi, a procédé à des fouilles.
Il a assuré qu’il voulait savoir où se trouvait à présent le corps de Jamal Khashoggi. Cependant, selon le président du parti turc VATAN, Dogu Perinçek, le corps de Jamal Khashoggi aurait déjà été retrouvé dans un puits situé sur le territoire de la résidence du consul saoudien à Istanbul.
«La conscience internationale ne sera apaisée que lorsque toutes les personnes impliquées, des exécutants aux commanditaires, auront été punies», a conclu M.Erdogan.
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L’Arabie saoudite a fini par reconnaître la mort du journaliste, disparu début octobre au consulat saoudien à Istanbul. Riyad assure que Jamal Khashoggi a été tué dans une rixe et dément avoir ordonné qu’il soit assassiné.
Dimanche 21 octobre, le ministre saoudien des Affaires étrangères, Adel al-Joubeir, a qualifié la mort du journaliste d’«énorme et grave erreur» et a dit «ne pas savoir où se trouve son corps».
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La production du ciment en Algérie, qui oscille actuellement entre 25 et 30 millions de tonnes, atteindra les « 40 millions de tonnes par an en 2020 » ce qui favorisera davantage son exportation, a affirmé mardi à Oum El Bouaghi le ministre de l’Industrie et des Mines, Youcef Yousfi.
« Cette augmentation de la production nationale permettra l’exportation de 10 millions de tonnes de ciments », a souligné le ministre en marge de sa visite dans cette wilaya.
L’Algérie entamera « avant la fin de l’année en cours » la production d’un type de ciment utilisé par l’industrie pétrolière, de sorte, a-t-il dit, « à couvrir les besoins de l’industrie pétrolière et gazière en ce produit et de l’exporter à l’étranger ».
Lors de sa visite, dans la commune de Sigus, d’une cimenterie relevant du groupe industriel des ciments d’Algérie (GICA) dont le taux de réalisation est de 79 % et devant avoir une capacité de production de 2,2 millions tonnes/an, le ministre a souligné que le groupe public GICA représente le premier producteur de ciment en Algérie.
« L’activité de ce groupe est révélatrice du développement de l’industrie en Algérie », a estimé Youcef Yousfi, précisant que la valeur financière des exportations du ciment du groupe industriel des ciments d’Algérie oscillera entre 3 et 5 millions de dollars cette année, alors que le pays en importait par le passé de grandes quantités.
Le ministre qui avait visité, au début de sa tournée de travail dans la wilaya, une briqueterie à Errehia, a exprimé sa satisfaction quant aux capacités de production de cette unité estimées à 210.000 tonnes/an, couvrant les besoins de la wilaya et de certaines wilayas voisines.
M. Yousfi s’est rendu ensuite à l’entreprise Grani-Est du groupe GICA, spécialisée dans la production du béton armée, gypse et granulats, où il a proposé à ses responsables d’étendre leur activité aux mines et marbre.
Le ministre devra également visiter une unité de production de gants médicaux à Ouled Gacem et deux autres de production de l’huile de table et des batteries automobile à Ain M’lila.
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Le 23e Salon international du livre d’Alger (Sila) débutera le 29 octobre jusqu’au 10 novembre 2018 au Palais des expositions des Pins maritimes (Safex).
Cette année c’est la Chine qui sera à l’honneur: « La Chine a été le premier pays à avoir reconnu, en 1958, le Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA). Comme nous fêtons le 60e anniversaire de la création du GPRA, nous avons choisi la Chine. La relation entre les deux pays est excellente dans tous les domaines. Nous attendons de recevoir les détails du programme culturel que la Chine a préparé pour le Sila. Je suis sûr que le programme sera riche avec la présence d’écrivains connus et l’exposition de 3000 titres en arabe et en anglais. Des rencontres professionnelles sont prévues entre éditeurs algériens et éditeurs chinois », précise Hamidou Messaoudi, commissaire du Sila lors du forum du journal Echaâb.
Chaque année le salon international du livre d’Alger, reçoit de nombreux visiteurs, un rendez vous culturel à ne pas rater.
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