2 cervelles de veau, 6 œufs, 8 gousses d’ail hachées, 4 c. à s. d’huile d’olive, sel, cumin, piment doux
Faire dégorger les cervelles dans de l’eau froide vinaigrée ; après les avoir débarrassé de la mince membrane qui les enveloppe, les couper en morceaux. Mettre 1 verre d’eau dans une poêle épaisse, ajouter les morceaux de cervelle, les gousses d’ail hachées, laisser cuire jusqu’à évaporation de l’eau, ajouter l’huile d’olive, les épices, les œufs battus et remuer avec une cuillère en bois. Servir aussitôt.
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Un dialogue véridique entre le cardinal Mazarin et Jean-Baptiste Colbert a été reconstitué dans la pièce de théâtre Le Diable rouge écrite par Antoine Rault et mise en scène par Christophe Lidon en 2009. Le cardinal Mazarin fut un diplomate et homme politique au service des rois de France Louis XIII et Louis XIV. Jean-Baptiste Colbert fut un des principaux ministres de Louis XIV, contrôleur général des finances de 1665 à 1683.
Colbert : Pour trouver de l’argent, il arrive un moment où tripoter ne suffit plus. J’aimerais que Monsieur le surintendant m’explique comment on s’y prend pour dépenser encore quand on est déjà endetté jusqu’au cou.
Mazarin : Quand on est un simple mortel, bien sûr, et qu’on est couvert de dettes, on va en prison. Mais l’État, l’État, lui, c’est différent. On ne peut pas jeter l’État en prison. Alors, il continue, il creuse la dette ! Tous les États font ça.
Colbert : Ah oui ? Vous croyez ? Cependant, il nous faut de l’argent. Et comment en trouver quand on a déjà créé tous les impôts imaginables ?
Mazarin : On en crée d’autres.
Colbert : Nous ne pouvons pas taxer les pauvres plus qu’ils ne le sont déjà.
Mazarin : Oui, c’est impossible
Colbert : Alors, les riches ?
Mazarin : Les riches, non plus. Ils ne dépenseraient plus. Un riche qui dépense fait vivre des centaines de pauvres.
Colbert : Alors, comment fait-on ?
Mazarin : Colbert, tu raisonnes comme un fromage ! Il y a quantité de gens qui sont entre les deux, ni pauvres ni riches. Des Français qui travaillent, rêvant d’être riches et redoutant d’être pauvres ! C’est ceux-là que nous devons taxer, encore plus, toujours plus ! Ceux-là ! Plus tu leur prends, plus ils travaillent pour compenser. C’est un réservoir inépuisable.
Avec son style plus direct, l’humoriste américain George Carlin a expliqué la situation en 1992 : «Vous savez comment je définis les classes sociales et économiques dans ce pays ? La haute société garde tout l’argent, ne paye aucun impôt. La classe moyenne paye tous les impôts, fait tout le travail. Les pauvres sont là… simplement pour donner une putain de frayeur à la classe moyenne. Pour qu’ils se pointent à leurs boulots.»
En effet, ces «Ni-ni» (ni riches ni pauvres) sont aujourd’hui ce qu’on appelle «la classe moyenne».
K. B.
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Elles contiennent une puce UHF saisie et authentifiée automatiquement par les lecteurs. Ces étiquettes à RFID sont réparties en quatre catégories selon les droits d’accès. Les informations correspondantes sont enregistrées sur la puce indiquant quelles zones sont accessibles à quelles heures. Dans le passé, les collaborateurs devaient contrôler les plaques d’immatriculation à la main. « Contrairement aux autres produits de ce secteur, il s’agit dans le cas de notre étiquette à RFID tout comme pour l’IDeSTIX d’une étiquette de sécurité. Elle combine des éléments optiques comme des hologrammes transparents et des couleurs qui changent quand on l’incline avec une puce UcodeDNA Chip de NXP. Une falsification est ainsi impossible » déclare Dietmar Mönning, directeur de Tönnjes E.A.S.T.. Saudi Aramco y a accordé une importance toute particulière lors du choix d’une nouvelle solution étant donné que la compagnie pétrolière souhaite augmenter la sécurité et l’efficacité de ses contrôles d’accès. Selon M. Mönning « Ce système a déjà été introduit avec succès.
Nous nous attendons à recevoir de nouvelles commandes encore en 2018 ». Après avoir répondu à un appel d’offres de Saudi Aramco en 2016 par le biais d’un distributeur local, Tönnjes E.A.S.T. a commencé l’an dernier la production et la livraison des 237 000 autocollants pour pare-brise. « C’est la première fois qu’une entreprise utilise les étiquettes de sécurité à RFID pour le contrôle des accès » a déclaré le directeur. Dans d’autres pays comme les Philippines ou le Kenya, les étiquettes à RFID IDeSTIX sont utilisées au niveau national pour l’identification automatique des véhicules. En Turquie, les péages sont prélevés de cette façon. L’autocollant pour pare-brise est un élément révolutionnaire du système d’IDePLATE de Tönnjes E.A.S.T.. La plaque d’immatriculation IDePLATE avec puce UHF intégrée ainsi que le logiciel IDeTRUST et les lecteurs correspondants en font également partie.
« La particularité de la puce UcodeDNA UHF intégrée est qu’ainsi nous allions une portée de plus de dix mètres aux technologies de cryptage les plus modernes, et ce même pendant la conduite » explique M. Mönning. Les produits de Tönnjes E.A.S.T. et de ses partenaires sont déjà utilisés dans plus de 120 pays. Cette entreprise allemande est le leader mondial dans le domaine de l’identification automatique des véhicules. Vous trouverez ci-joint le communiqué de presse complet et les photos disponibles pour la publication éditoriale en rapport avec cet article dans les références citées. Actualités de l’entreprise, images haute résolution et informations de fond sur Tönnjes E.A.S.T. peut être trouvé en ligne dans notre dossier de presse. N´hésitez pas à me contacter pour davantage d´information.
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Un plan en cours de réalisation dont les travaux ont atteint en certaine région les 100 % et couvert la totalité de l’ouvrage, en d’autre où il n’est à mi- chemin, les chantiers battent leurs pleins. le plein taux nous dit-on concerne le versant gauche de la vallée de la Soummam entre autres Seddouk, M’cisna, mais aussi Amalou sur la rive droite. Fenaia. Il Maten par contre sur la plaine du versant droit n’est pour l’heure selon la cellule de communication qu’à 50 % de la finalisation de l’ouvrage. Ces travaux de réhabilitation et parfois d’extensions et de raccordements de réseaux AEP ont touché dans un premier temps plus d’une vingtaine de communes de la wilaya, pour s’étendre par la suite au bénéfice de la rallonge de 300 millions de dinars à une dizaine d’autres. La rallonge a certes couvert pour les mêmes taches ce quota supplémentaire à travers des extensions, des raccordements de plusieurs centaines de linéaires reliant des réservoirs vers des réseaux en extensions. Une partie de cette seconde enveloppe a également servi au projet de réhabilitation de la chaine de refoulement sise en zone nord du village Ighil lalouenen dans la commune d’Amizour. Un plan d’où découlerait vraisemblablement des améliorations dans l’alimentation en cette denrée vitale dont seules 11 communes bénéficient pour l’heure continuellement, alors que 41 ne sont servies qu’un jour sur deux. Situation qui durera jusqu’en 2019, puis verra les 52 communes de la wilaya y être livrées sans interruptions en eau, dont la gestion pour le moins délicate que sensible quitterait progressivement les communes pour y être confié à l’entreprise chargée des eaux. Sur un autre plan et en hors programme la commune d’Aokas vient de réaliser un forage qui draine 20 litres secondes en renforcement de son réseau traditionnel. Un projet nous dit-on qui relève de l’année 2014 et couvrira 5 000 habitants des villages Ait Aissa, Akkar, Tizi et Taremnat.
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Par Kamel BOUDJADI.
Ce phénomène qui devait objectivement causer le manque flagrant de ce fruit sur le marché n’a pas eu l’effet logique attendu.
La cerise, ce fruit succulent, autrefois propriété exclusive des rois, moisit à Tizi Ouzou sur les routes. Bien que la récolte ne soit pas tellement abondante comme les deux dernières saisons, les vendeurs se bousculent sur les abords des routes. Deux signes qui indiquent suffisamment que la filière ne va pas bien cette année. Deux raisons essentielles font que les propriétaires des cerisaies à Tizi Ouzou vivent encore des difficultés qui dépassent leurs moyens. Malgré l’accompagnement des services agricoles, il s’avère que le créneau n’est pas tellement maîtrisé.
D’abord, il convient de signaler que la cerise, comme l’arbre qui la porte, sont fragiles. Très sensible aux conditions climatiques, ce fruit a été décimé par les dernières grêles et les pluies abondantes du mois de mai. A Aïn El Hammam, Larbaâ Nath Iraten et bien d’autres localités encore, les propriétaires des cerisaies regardent les fruits tomber avec amertume. Les conditions climatiques dépassent le cadre technique prodigué soigneusement par les techniciens de la DSA qui sont constamment sur le terrain. Cette année donc, la filière de la cerise ne répond pas aux attentes.
Paradoxalement, ce phénomène qui devait objectivement causer le manque flagrant de ce fruit sur le marché n’a pas en l’effet logique attendu. Le prix est resté le même que l’année passée malgré ce manque. Plus paradoxal encore, ce fruit est vendu sur les abords des autoroutes dans des conditions d’hygiène dramatiques.
Actuellement, sur les abords de la RN12, reliant Tizi Ouzou à Alger, les cabanes faites de roseaux poussent comme des champignons. De la cerise est exposée dans des paniers de vannerie fabriqués par les mains des artisans locaux. Les conditions de sa vente ne répondent aucunement aux normes commerciales encore moins à l’hygiène étant donné qu’elle est exposée à la poussière dégagée par le passage rapide des véhicules.
Le phénomène montre que la filière n’est pas encore maîtrisée pour la remettre sur les circuits commerciaux légaux. Les propriétaires des cerisaies courent toujours derrière des jeunes vendeurs à qui ils cèdent leur produit afin de l’écouler sur les routes et les places publiques dans des conditions qui échappent à toute réglementation. Il y a quelques années, les services concernés reconnaissaient que seuls 4% de la production écoulée passaient par les circuits légaux. Le reste échappait au contrôle des services de la DSA et du commerce.
Aussi, il devient clair que le fruit ne participe aucunement au développement ni du secteur de l’agriculture ni à celui du tourisme. La cerise continue encore de passer à côté même des espérances des producteurs. Le créneau est pourtant très porteur d’espoir à Tizi Ouzou étant donné qu’il couvre 21% de la production nationale. Les producteurs rencontrés affirment à l’unanimité que leur filière a besoin d’un vrai marché organisé pour se développer et s’intégrer aux efforts globaux des services concernés visant à développer tous les vecteurs de l’industrie touristique.
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Confrontés à de grosses pertes, les différents acteurs de la filière lait tunisienne, jadis prospère, souffrent depuis de nombreux mois. L’augmentation des coûts d’élevage et de production n’a pas été suivie de celle du lait et produits dérivés. Parade du gouvernement tunisien, inonder le marché de lait en poudre d’importation afin de stabiliser le marché.
Cette solution a mis en colère les représentants des éleveurs, soit l’Union tunisienne de l’agriculture et de la pêche (Utap), qui sont en désaccord avec le ministère du Commerce concernant l’importation du lait. L’Utap appelle à l’augmentation du prix du lait à la production et à limiter la montée des prix des fourrages afin de soutenir les agriculteurs.
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Les revenus du Maroc tirés du transport du gaz algérien vers l’Europe, qui traverse les territoires marocains, ont augmenté de 52% au cours des quatre premiers mois de 2018, selon le journal électronique marocain Le Desk. Ces revenus ont atteint 64 millions de dollars, contre 42 millions de dollars pour la même période en 2017, selon la même source qui explique que cette augmentation «signifie que les recettes pour 2018 devraient dépasser le budget prévisionnel du gouvernement correspondant à cette ressource pour l’année, qui s’élève à 121 millions de dollars». Le journal marocain précise que «le gazoduc Maghreb-Europe, mis en service en 2002, transporte chaque année près de 12 milliards de mètres cubes de gaz algérien vers l’Europe via le Maroc, mais le contrat qui régule le gazoduc prendra fin en 2021».
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Par Saïd Boucetta,
La montée en cadence de la production de carburant, figure de fait, parmi les priorités de Sonatrach.
Le cabinet britannique de recherche économique et de conseil Oxford Business Group (OBG) a valorisé, dans un rapport rendu public, hier, les actions entreprises par Sonatrach dans l’amont comme dans l’aval gazier. Enumérant de manière assez exhaustive les projets entrés en activité cette année et ceux projetés dans le courant de l’année prochaine, OBG a mis en exergue une dynamique remarquable de la Compagnie nationale des hydrocarbures, suggérant qu’en matière de management, Sonatrach a atteint un niveau d’efficacité appréciable qui l’amène à annoncer, avec une perspective quasi certaine de réalisation, des investissements de l’ordre de 56 milliards de dollars à l’horizon 2022. Une échéance très rapprochée qui augure d’une intense activité dans un délai très rapproché. Dans son rapport, OBG croit déceler dans les intentions des autorités centrales du pays, une volonté qui va au-delà d’une «augmentation de la production gazière, (les autorités) entendent également développer la transformation en aval et le rôle des énergies renouvelables pour assurer davantage d’efficacité et de rentabilité au secteur énergétique». Retenant que la production de gaz de 2017 avoisinait les 95 milliards de m3, avec un niveau d’exportation de l’ordre de 55%, le rapport d’OBG met en exergue la détermination de Sonatrach de faire de la pétrochimie un axe essentiel de sa stratégie SH2030.
«L’aval a toujours été négligé en Algérie et cela devient un important problème stratégique», souligne OGB, reprenant le P-DG de Sonatrach, Abdelmoumen Ould Kaddour. «Nous importons plus d’un milliard de dollars de carburant par an, ce qui n’a aucun sens. Nous voulons créer de la valeur ajoutée pour notre gaz et la transformation pétrochimique sera le développement le plus important que Sonatrach connaîtra au cours du siècle», avance le même responsable dans l’entretien accordé à OBG. La montée en cadence de la production de carburant, figure de fait, parmi les priorités de Sonatrach, à travers la modernisation de la raffinerie de Sidi R’cine et l’acquisition de la raffinerie Augusta en Italie, en sus de trois terminaux, illustrent le caractère urgent de l’intervention. Cela en plus de la réalisation, dans un second temps, de deux autres raffineries d’ici à 2022. Dans l’aval, OBG cite le contrat signé par Sonatrach et Total pour la construction d’une usine pétrochimique à Arzew. Un investissement de 1,5 milliard de dollars. «Cette unité devra produire 550.000 tonnes/an de polypropylène, avec une partie de la production qui pourra être exportée vers l’Europe, la Turquie et l’Afrique du Nord», lit-on dans le rapport.
La révolution, la vraie, que Sonatrach entreprend de réaliser tient dans la déclaration de son P-DG. «Nous envisageons d’utiliser l’énergie solaire dans tous nos champs pétroliers et gaziers. Dans la mesure où chaque installation consomme jusqu’à 20% de la production, l’utilisation de l’énergie solaire pour alimenter les opérations est absolument nécessaire», a noté Ould Kaddour. Il fixe l’échéance de 2030, pour que tous les champs fonctionnent à l’énergie solaire.
Une bonne partie de l’ambition de Sonatrach est cependant lié à la modification de la loi sur les hydrocarbures. Objectif de la manoeuvre: attirer des investissements étrangers. «Une hausse des investissements et des projets de diversification devraient soutenir la croissance dans le secteur de l’énergie. Les autorités ont également évoqué des modifications à la législation actuelle dans le cadre d’une stratégie visant à attirer une plus grande participation des acteurs internationaux», souligne OBG. Il faut savoir qu’outre les changements fiscaux, il est prévu que la réforme de la loi aboutisse à la simplification des procédures, actuellement trop bureaucratisées, selon les professionnels. Ces deux freins ne seront pas aisés à lever, pour ce qu’ils recèlent comme fond idéologique, qui risque d’enflammer la scène politique au moment de l’annonce des amendements. Mais OBG qui n’a pas abordé l’aspect politique du projet, affiche un optimisme certain quant à la capacité de Sonatrach de rebondir à court et moyen terme.
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Des scientifiques chinois ont inventé des batteries flexibles au lithium-soufre, ouvrant la voie à la production d’une génération de dispositifs intelligents flexibles. Les batteries traditionnelles sont produites en versant des électrolytes liquides sur des électrodes solides, alors que la nouvelle approche met des électrolytes dans des couches métalliques ultra-minces afin de créer des réseaux 3D dans des matériaux flexibles comme du tissu. « En procédant ainsi, l’électrolyte ne coulera pas hors des réseaux, qu’importe comment seront tordus ou pliés les matériaux flexibles », a indiqué Zhang Hongzhang, chercheur à l’Institut de la physco-chimie de Dalian relevant de l’Académie des sciences de Chine.
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Ces précipitations ayant empêché les opérations de plantation à cause de la stagnation des eaux situées dans les zones basses. Les services agricoles de la wilaya font état dans ce cadre de 600 mm de pluviométrie. Une superficie de 1 600 hectares a été déjà réalisée jusqu’à présent, soit 70% de l’objectif prévu, de l’ordre de 2 310 hectares avec une augmentation de 400 ha par rapport à l’exercice 2016/2017, a tenu à préciser le directeur des services agricoles de wilaya, M. Mohamed Kharoubi. Ce dernier a estimé qu’une production avoisinant les 1 386 000 quintaux est attendue à la fin de cet exercice, soit une augmentation de 17% par rapport à l’année passée avec un rendement moyen de 600 quintaux à l’hectare. L’amélioration des rendements de la tomate devra passer nécessairement par le développement de l’irrigation au goutte à goutte et la mécanisation de la filière laquelle commence à se généraliser à l’échelle de la wilaya.
Cette année, les services agricoles de wilaya tablent sur l’irrigation de 1 000 hectares au goutte à goutte contre 150 ha, durant les trois dernières années. Cela a été rendu possible grâce aux dernières mesures prises par le ministère de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, lors des récentes assises nationales d’Alger consacrant un soutien financier de l’Etat aux producteurs de la tomate industrielle dans le but d’encourager cette culture stratégique. Le directeur des services agricoles, Mohamed Kharoubi, a indiqué que l’utilisation de ce système d’irrigation au goutte à goutte va engendrer certainement des rendements qui dépassent les 500 qx à l’hectare. Pour ce qui est des unités de transformation de la tomate industrielle, le DSA a indiqué que la wilaya compte trois conserveries en plus de huit autres unités implantées dans les wilayas d’El Tarf, Guelma et Skikda. Il est attendu la mise en service cet été de deux nouvelles conserveries à El Tarf et Guelma, a-t-il ajouté. Ce qui permettra de transformer toute la production de la wilaya sans aucune contrainte. Il convient de rappeler que de nouvelles unités de transformation de la tomate sont en cours de réalisation à l’échelle de la wilaya dans le but d’augmenter les capacités de transformation de ce fruit stratégique. Une rencontre de coordination régionale est prévue dans la ville du jujube à la veille du début de la campagne de collecte de la tomate industrielle et qui va regrouper l’association interprofessionnel de la filière, les conserveurs ainsi que l’association des agriculteurs. Ce rendez-vous aura pour objectif de mettre l’accent sur la nécessité d’éviter les chaînes interminables devant les unités de transformation et les pertes de la récolte.
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Par Yazid Alilat,
Infernal ! C’est le terme le plus courant des utilisateurs des transports urbains dans la capitale, où un trajet Place des Martyrs vers Ain Benian (environ 15 km) dure deux heures. Le plan de transport dans la capitale algérienne a été confié à une nouvelle institution, l’autorité organisatrice des transports urbains, qui est en train de mettre progressivement de l’ordre dans ce dossier pour améliorer la qualité des transports dans l’Algérois.
Krim, président de l’autorité organisatrice des transports urbains et DG de l’entreprise de transports urbains et suburbains d’Alger (ETUSA), a expliqué hier dimanche à la radio nationale que cette autorité «organise tous les transports urbains dans la capitale. Elle a été créée en 2012 suite à la mise en place des nouveaux modes de transport dans la capitale (métro, tram et téléphériques). Le but est de proposer une meilleure offre aux utilisateurs des transports à Alger». Mais cette autorité n’a été mise en place «réellement qu’en 2015», a-t-il précisé. «Nous avons mis en place des bases de données, une cartographie, lancé une étude d’amélioration des plans de déplacements urbains à Alger pour une meilleure organisation des transports dans la capitale». «Nous avons lancé une étude sur le plan de déplacement dans la capitale financée par l’UE», a-t-il ajouté. «L’autorité est là pour fédérer les différents modes de transports à Alger avec le programme des déplacements et des horaires. Quand on descend du métro, on doit trouver un bus ou un tramway». Dans la capitale, «le téléphérique se développe de plus en plus avec le train de banlieue, mais le gros problème c’est le transport privé par bus», insiste M. Krim. L’Etusa dispose, «avec le réseau affrété d’une flotte de 1.000 bus. Et, avec le réseau privé à Alger, on a 6.000 bus et 3.000 opérateurs. Donc chaque opérateur a une moyenne de deux bus». Mais, estime-t-il, «il reste encore des zones très mal desservies, même en dépit de ce nombre de bus ; 6.000 bus c’est peu ! Nous attendons les études des plans de déplacement urbain». Selon M. Krim, le dossier des transports urbains dans la capitale a été ouvert «avec l’apport des experts de l’UE qui nous ont proposé une démarche. On va organiser dans les mois à venir un forum avec les partenaires, dont les opérateurs, les banques, la SNVI, les fabricants de bus pour trouver une solution». Il s’agit, souligne-t-il, d’ «organiser et fédérer tous les transports dans la capitale». «L’étude lancée sur ce dossier sera restituée vers le mois d’octobre».
Il a annoncé par ailleurs qu’il y aura de nouvelles lignes de bus pour le rabattement vers les stations de métro, ou de tramway, et pout desservir d’autres zones comme Ain Benian, Bab El Oued…
Le DG de l’ETUSA a signalé d’autre part que toutes les grandes villes du pays ont un établissement de transports urbains et suburbains, et les entreprises sont en place. Il a également rappelé que l’ETUSA utilise «l’affrètement de bus pour répondre à la demande, et on a affrété des bus pour répondre à la demande à Oran». Cependant, face à la densité du trafic urbain dans la capitale et la difficulté des bus de l’ETUSA à circuler, il estime qu’Alger «n’est pas la ville la plus congestionnée dans le monde ; les études en cours permettent une meilleure visibilité».
Sur le coût du ticket de bus à Alger, il a indiqué que sans la subvention de l’Etat, il serait de 56 DA, alors que le prix moyen (une section) est de 25DA. «Nous sommes subventionnés à 50% et la subvention est de 150 millions de DA», a-t-il révélé. Quant au ticket unique annoncé depuis un certain moment, le DG de l’Etusa a expliqué qu’il faudrait que le système de billetterie soit compatible entre les différents modes de transports et d’opérateurs. La charte d’interopérabilité et de compatibilité sera «bientôt signée».
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Par Mohamed Mehdi,
«L’Algérien consomme six fois plus (d’électricité) que le Tunisien et six fois plus que le Marocain», a déclaré la semaine dernière le ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni. A défaut d’appuyer ses déclarations par des chiffres, le ministre s’est contenté d’une sentence : «C’est parce que nous gaspillons beaucoup et ça, tout le monde le sait». Nous avons quand même essayé d’en savoir davantage. Les résultats sont à des années-lumière des affirmations de M. Guitouni.Pour cela, il a juste suffi de consulter les statistiques de production et de consommation d’énergie que fournissent des organismes internationaux comme la Banque mondiale et l’Agence internationale de l’énergie (AIE) et qui permettent d’établir une comparaison plus précise à ce sujet entre ces trois pays du Maghreb.
Sur le site web de l’AIE, la recherche statistique par pays (les chiffres les plus récents sont de l’année 2015) montre que la consommation d’électricité est de : 1,45 MWh/capita (mégawatheure par habitant) en Algérie, contre 0,89 MWh/capita au Maroc et 1,46 MWh/capita en Tunisie. Donc, d’après l’AIE, la consommation d’électricité de l’Algérien correspond à 1,62 fois celle du Marocain, alors qu’elle est quasiment identique à celle du Tunisien.
Par ailleurs, les données de l’AIE donnent plus de détails sur la production totale d’électricité pour chaque pays, les pertes d’énergie, la consommation finale (égale à la production moins les pertes et l’utilisation énergétique des centrales), ainsi que la consommation par secteurs. En comparant ces données, l’on s’aperçoit aussi que la consommation d’électricité de l’Algérien (résidentiel) n’est pas excessivement plus grande que celle de nos voisins. Ainsi, pour l’année 2015, la consommation finale en Algérie a été de 50.153 GWh dont 34,77% par le secteur de l’industrie, 2% par les transports, 39,2% par le résidentiel, 2,7% par l’agriculture et 21,3% par «autres secteurs».
Au Maroc et en Tunisie nous retrouvons quasiment les mêmes proportions de consommation par secteurs. Ainsi, toujours en 2015, pour une consommation finale d’électricité de 29.939 GWh au Maroc, 36,3% revient au secteur industriel, 1,15% aux transports, 33,6% au secteur résidentiel, 11,9% à l’agriculture et 17% pour le secteur commercial et les services publics (cette donnée est absente dans le cas de l’Algérie). En Tunisie, la consommation finale a été de 15.437 GWh, dont 35,4% pour l’industrie, 0,6% pour les transports, 30,12% pour le secteur résidentiel, 6,78% pour l’agriculture et 27% pour le secteur commercial et les services publics.
Même constat dans les indicateurs de la Banque mondiale
Dans les données de la Banque mondiale, nous retrouvons les mêmes rapports de consommation électrique par habitant dans les trois pays. Dans la rubrique «indicateurs», nous choisissons deux années comparaison (2004 et 2014), pour chacun des trois pays, pour avoir une vision de l’évolution de la consommation sur une décennie.
Ainsi, sur la période 2004-2014, la consommation d’électricité est passée de : 801 à 1356 KWh/hab (+40,9%) en Algérie, de 611 à 901 KWh/hab (32,2%) au Maroc et de 1035 à 1444 KWh/hab (28,3%) en Tunisie.
En comparant les rapports de consommation d’électricité entre ces pays, celle de l’Algérien est 24% et 33% supérieure à celle du Marocain, respectivement en 2004 et 2014. Par contre, comparée à celle du Tunisien, l’Algérien a consommé 22% de moins en 2004 et 6% de moins en 2014.
On constate donc, selon les données de l’AIE et de la Banque mondiale, que la consommation électrique de l’Algérien est très loin du facteur «six» avancé par le ministre de l’Energie. Elle n’atteint même pas un facteur «deux». En attendant d’autres chiffres, l’Algérien consomme donc autant que le Tunisien (si ce n’est légèrement moins) et environ 30% de plus que le Marocain. Rappelons qu’il y a exactement une année, M. Guitouni, alors PDG de Sonelgaz, avait déclaré que «l’Algérien consomme 10 fois plus d’électricité qu’un Européen». A ce rythme des surenchères, l’inflation va toucher aussi le KWh Algérien !
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Par Abdelkrim Zerzouri,
Depuis le temps qu’on vante les bienfaits du GPLc, ou comme on le surnomme le Sirghaz (rouler au gaz), meilleure solution pour réduire et la pollution et les coûts des carburants, on serait tenté de croire que la conversion des véhicules a touché plus de 90 % du parc auto national. Hélas, il n’en est rien. Depuis environ 17 ans, les autorités algériennes n’arrêtent pas de faire de la pub gratuite en faveur du GPLc sans s’occuper de l’essentiel, l’élargissement du réseau des installateurs des kits GPL à travers le pays. Leur nombre relativement réduit n’a pas permis de répondre à la forte demande exprimée par les automobilistes. On en est arrivé à chercher des connaissances pour conclure la conversion dans un délai réduit, sinon il faut attendre des rendez-vous lointains, dont la durée varie d’une région à une autre, puisque certaines localités n’ont aucun centre d’installation des kits GPL et il leur faut du temps pour arriver à cette conversion, qu’ils iront chercher dans d’autres wilayas. Les automobilistes dans leur grande majorité sont convaincus qu’il faut passer au GPLc, à cause de son prix qui n’a pas connu de hausse et qui reste maintenu à 9 dinars/litre, seulement ils ne trouvent pas où opérer la conversion de leurs véhicules. Il y a tout un monde entre le discours officiel et la réalité du terrain. L’Etat encourage les taxieurs à rouler au Sirghaz, en prenant sur son compte 50 % des charges d’installation des kits GPLc, dont la facture varie entre 6 et 7 millions. On a pensé également à exempter de la vignette auto les propriétaires de véhicules roulant au Sirghaz, en guise de compensation des frais déboursés pour l’installation du kit GPLc. C’est sérieux, on a tout fait pour convertir le maximum de véhicules au GPLc, mais on a occulté deux éléments de base, en l’occurrence l’installateur et le matériel.En sus de penser à approvisionner les centres existants en kits, pourquoi n’a-t-on pas encouragé et facilité l’ouverture de centres d’installation des kits GPLc à travers tout le territoire national ? Franchement incompréhensible. Peut-être qu’on croit que le nombre d’installateurs en activité peut faire l’affaire. Peut-être qu’on a intérêt à garder le monopole entre les mains de quelques centres. Peut-être qu’il y a un problème chez Naftal pour répondre à la demande des investisseurs et la fabrication des kits en nombre suffisant.
En tout cas, il y a un profond dysfonctionnement, pour ne pas dire étranglement, auquel il faut remédier sans plus tarder si on veut réaliser les prévisions sur ce registre, soit l’objectif de convertir 30% du parc automobile à motorisation essence à l’horizon 2030 (60.000 véhicules convertis en 2017). Tous les ministres de l’Energie de ces dernières années ont eu leur mot à dire sur ce sujet, plaidant pour une généralisation graduelle de l’utilisation du Sirghaz, mais tous partent sans donner un sérieux coup de dynamique à l’opération. Pourtant, on aurait à gagner des milliers de postes d’emploi et une réduction de la facture d’importation du gasoil et d’essence qui atteint un milliard de dollars/an. Si on cherchait bien, on trouverait peut-être qu’il y a un blocage pour empêcher le Sirghaz d’aller de l’avant.
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Par Ali Chabana.
L’économie de l’énergie électrique fait un sujet d’actualité de la Société de distribution Est, direction de Tébessa. Les campagnes d’information se succèdent, ciblant les usagers, particuliers et organismes publics et privés. Ainsi, après le porte-à-porte pour expliquer aux citoyens l’utilité de la maîtrise de la consommation en électricité, emploi d’ampoules économiques, appareils électroménagers mieux adaptés. Donc, les services de la direction de distribution de Tébessa se tournent vers les lieux de culte, comme vecteur pour faire parvenir ce message. Aussi, les imams sont appelés, à leur tour, à s’investir dans cette mission. Le prêche de vendredi est sollicité afin d’inciter les gens à se prémunir du gaspillage d’une énergie produite chèrement. Rationaliser son utilisation à travers un nouveau comportement, une approche économique, au final, ce sera l’usager lui-même le grand bénéficiaire, puisque outre la diminution des fameux délestages, avec la baisse de la tension sur le réseau au moment des pics, notamment en période estivale, et surtout la réduction de la facture de consommation, bête noire de nombreux abonnés à la fin du mois. Consommer moins, payer moins, en changeant tout simplement de comportement.
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par F. H.
Des dysfonctionnements dans l’alimentation en eau potable des communes d’Ath-Laâziz, Ath-Mensour, Ahnif, Chorfa et Oued El-Berdi, à partir du barrage de Tilesdit, ont été signalés. Renseignements pris, il s’agit de perturbations qui ont été observées dans le système de pompage de la station de traitement des eaux du barrage de Tilesdit. Pour mettre fin à cette perturbation, l’installation incessamment de 2 nouvelles pompes a été annoncée.Les habitants des communes concernées supportent péniblement les coupures fâcheuses et irrégulières dans l’alimentation en eau potable, en raison du système de pompage qui manque d’efficacité. Il faut noter que le barrage de Tilesdit, implanté dans la commune de Bechloul à une vingtaine de kilomètres à l’est de Bouira, est doté d’une capacité de stockage de 165 millions de m³. Conçu pour garantir de l’eau potable au profit de 12 communes de la wilaya de Bouira.
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Afin de fournir une feuille de route de développement durable, Sonatrach a dévoilé sa stratégie baptisée SH2030 Leading the Change (Conduire le Changement), qui fait la part belle à l’industrie pétrochimique et à la transformation locale, poursuit la même source.
« L’aval a toujours été négligé en Algérie et cela devient un important problème stratégique », explique le P-DG de Sonatrach, Abdelmoumen Ould Kaddour, à OBG. « Nous importons plus d’un (1) milliard de dollars de carburant par an, ce qui n’a aucun sens. Nous voulons créer de la valeur ajoutée pour notre gaz et la transformation pétrochimique sera le développement le plus important que Sonatrach connaîtra au cours du siècle », avance-t-il dans cet entretien. Afin d’améliorer la situation, la compagnie procède actuellement à une modernisation de la raffinerie de Sidi R’cine (Alger) qui verra sa capacité de transformation passer de 2,8 millions de tonnes à 3,7 millions de tonnes et sa capacité de stockage du carburant augmenter de 73%. De plus, Sonatrach a conclu en mai dernier un accord de 1,5 milliard de dollars avec le groupe français Total pour la construction d’une usine pétrochimique à Arzew, rappelle OBG. Cette unité devra produire 550.000 tonnes/an de polypropylène, avec une partie de la production qui pourra être exportée vers l’Europe, la Turquie et l’Afrique du Nord.Abordant l’acquisition récente de la raffinerie d’Augusta (Italie), d’une capacité de traitement de 10 millions de tonnes/an, OBG souligne que cet achat, qui comprend aussi trois terminaux pétroliers situés à Augusta, Palerme et Naples, « représente la première acquisition de Sonatrach à l’étranger dans le domaine pétrochimique ».
En outre, Sonatrach « se penche de plus en plus vers les possibilités offertes par les énergies renouvelables, voyant dans celles-ci en particulier un moyen de réduire les coûts associés à la production énergétique ».« Nous envisageons d’utiliser l’énergie solaire dans tous nos champs pétroliers et gaziers. Dans la mesure où chaque installation consomme jusqu’à 20% de la production, l’utilisation de l’énergie solaire pour alimenter les opérations est absolument nécessaire », a noté M. Ould Kaddour, ajoutant que d’ici 2030, tous les champs fonctionneront à l’énergie solaire.
Modification de la loi sur les hydrocarbures « Si une hausse des investissements et des projets de diversification devraient soutenir la croissance dans le secteur de l’énergie, les autorités ont également évoqué des modifications à la législation actuelle dans le cadre d’une stratégie visant à attirer une plus grande participation des acteurs internationaux », souligne OBG. « Les acteurs du secteur critiquent depuis longtemps la législation en vigueur, considérée comme dissuasive pour les acteurs internationaux désireux de s’installer dans le pays, affirmant que certaines mesures ne correspondent plus à la réalité des activités du secteur dans un contexte de prix de l’énergie plus bas ». Outre les changements fiscaux, les propositions de réforme du code des hydrocarbures comportent une simplification des procédures bureaucratiques et administratives pour les investissements, ce qui devrait « encourager encore davantage les activités dans les secteurs pétrolier et gazier ». Saïd B.The post Selon Oxford Business Group : Ascension des investissements énergétiques algériens appeared first on .
Suite à la diffusion d’une vidéo jugée offensante envers le président de la république algérienne Abdelaziz Bouteflika, tournée au siège de l’Union Européenne en Belgique, par Leila Haddad, une ancienne correspondante de l’ENTV. John O’Rourk, l’ambassadeur de l’Union Européenne en Algérie, a régi à la convocation qu’il a reçu de la part du ministère algérien des affaires étrangères en Algérie.
A travers un Tweet John O’Rourk déclare avoir informer les autorités algériennes que l’institution qu’il représente ne porte en aucun cas la responsabilité des déclarations des journalistes qui sont accrédités auprès d’elle: « Nous avons souligné aux autorités algériennes que les journalistes accrédités auprès des institutions européennes ne parlent pas au nom des institutions mais en leur propre nom, en ligne avec les principes de liberté d’expression et liberté des médias » écrit l’ambassadeur de l’UE sur son compte twitter.
Le ministère des affaires étrangères, incite les autorités européennes à prendre des mesures contre la journaliste en question.
LDJ. Sarah
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«La médiation judiciaire évite des procès lents et coûteux et permet aux citoyens de se réapproprier le procès en évitant les aléas de la justice.»
Les praticiens de la médiation des tribunaux de Sidi-Aich, Akbou, Kherrata, Amizour et Béjaïa ont rendu public leur plan d’action pour l’année sociale 2017-2018. Réunis par le bureau de l’association des médiateurs judiciaires de la wilaya de Béjaïa au siège de la cour, ces derniers ont consacré cette opportunité pour débattre du plan d’action articulé sur quatre axes stratégiques devant répondre à un ensemble de besoins dans le but d’atteindre les résultats escomptés. Il s’agit de la médiation sociale, familiale, pénale et conventionnelle. Les participants ont mis en exergue les multiples facettes de la médiation, en particulier, ses différences avec d’autres modes de résolution des conflits. Au chapitre des affaires sociales, les participants se sont appuyés sur la loi du 6 février 1990 relative à la prévention des conflits collectifs du travail.
Dans le domaine de la médiation familiale, ils ont estimé que la priorité doit être donnée au médiateur pour résoudre les litiges avant que les couples ne décident d’aller se séparer devant le juge. Selon l’Office national des statistiques (ONS), 68.000 cas de divorce ont été enregistrés au niveau national par les tribunaux en 2017 et les litiges de tous ordres sur lesquels les juridictions doivent se prononcer pour les régler, ne cessent de croître. Des chiffres effarants et les conclusions de l’enquête de l’ONS, le montrent assez bien. Ainsi, le choix devait revenir aux époux de prendre la décision. Dans cette perspective, les médiateurs interpellent le ministère de la Justice pour revoir la réglementation et procéder à la modification des dispositions des articles 439 et suivants du Code de procédure civile et administrative, qui consacrent la tentative de conciliation par un juge. En matière pénale, le médiateur algérien est exclu du champ d’application pour la confier au procureur de la République, relève-t-on bien que lors d’un séminaire international sur la médiation judiciaire, tenu à Alger les 15 et 16 juin 2009, l’ancien ministre de la Justice, garde des Sceaux, Tayeb Belaïz, avait déclaré à l’époque: «La médiation judiciaire appliquée actuellement dans le domaine civil sera bientôt élargie au champ pénal.» Cette déclaration n’a pas été suivie d’effet. C’est pourquoi les médiateurs de Béjaïa souhaitent se réapproprier la médiation pénale. Pour ce qui est, enfin du cadre juridique de la médiation conventionnelle, il n’existe pour l’heure, aucune loi organisant son fonctionnement dans notre pays.
Il s’agit avant tout d’un processus «extrajudiciaire» par lequel les parties tentent de parvenir à un accord pour résoudre un différend sans passer par la case «justice».Aujourd’hui, la médiation ne doit plus être restreinte à son champ d’intervention actuel, mais doit s’élargir davantage, soutiennent les participants, relevant la nécessité de revoir le cadre réglementaire pour la porter plus loin afin d’aboutir à une médiation conventionnelle où le médiateur, en tant qu’expert en relation, est choisi en dehors des tribunaux. Aujourd’hui, les freins sont nombreux dans la pratique de la médiation judiciaire: les juges des tribunaux, contraints par la loi, recourent à la médiation mais pas toujours avec conviction, les parties n’assistent pas aux audiences civiles et les avocats craignant d’y perdre leur clientèle, pensent que la médiation leur enlève une partie de leurs prérogatives, sinon leur gagne-pain. La loi, telle qu’elle est conçue, est fermement responsable de la situation actuelle que vit le médiateur judiciaire en Algérie. Les médiateurs judiciaires de la cour, réitèrent leur demande à la chancellerie, pour la révision des dispositions de l’article 994 du Code de procédure civile et administrative, lequel constitue un «FREIN» pour le développement de la médiation judiciaire dans notre pays. Le citoyen algérien doit, en effet, être informé du recours possible à la médiation, avant toute saisine du tribunal.
Au volet formation, il a été relevé plusieurs sessions de formation dispensées par des experts internationaux en médiation de l’UE. Il est attendu la sortie de 15 promotions pour la formation de base et huit promotions pour la formation approfondie. Le président Khimoum nous a déclaré qu’«outre sa rapidité, l’intérêt de la médiation judiciaire évite des procès lents et coûteux et permet aux citoyens de se réapproprier le procès en évitant les aléas de la justice. Ainsi, la médiation civile va demeurer la meilleure manière qui va inculquer la paix dans la société».
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D’aucuns parmi ce groupe politique minoritaire du reste annoncent sans relâche des bouleversements de grande envergure, n’ayant de » nids » que dans leurs rêves, formulant des suggestions politiques, démocratiques et socio-économiques » nouvelles » susceptibles à leurs yeux d’arrêter à mi-chemin le renouveau national , pourtant en campagne saine depuis 1999 avec l’appui et le soutien populaire. On se demande, en discernant tous ces phénomènes, à quelles fins ces fossoyeurs se sont rassemblés et passent tant de temps à amuser la galerie.
Il faut également ajouter que ces derniers comptent parmi eux des gens qui sont historiquement responsables des crises passées, de la situation tragique vécue par les Algériens durant une décennie, de taupes au service de capitales arabes et occidentales et que, du haut de leur mépris, ils osent s’attaquer, toute honte bue, aux acquis de la nation.
Ils ne sont pas là pour dire la vérité aux citoyens. Ils occupent l’actualité politique dans le but de tromper qui veut les entendre. Donc une tribune creuse et hypocrite de la nécessité de » vaincre » le programme politique en vigueur et la démocratie, assortie de fausses promesses qui ne représentent que le préambule rhétorique au projet d’intensification de plan contre la stabilité de l’Algérie. Voilà pourquoi, il est question pour le Pouvoir de répondre à ce groupe dont font partie beaucoup de larbins dont leur » impériale » arrogance est de freiner la démocratie et de polluer le climat social. Et à travers cette arrogance, ils ont interprété la sagesse du Pouvoir face à leurs innombrables et constantes provocations comme un signe de faiblesse.
Une » faiblesse terrible » ; vient de déclarer l’ancien président de l’APN, Abdelaziz Ziari dans un entretien accordé à notre confrère » TSA « . Donnant son avis sur la lettre adressée par quatorze personnalités au président de la République pour lui demander de renoncer à un cinquième mandat, M. Ziari répond : » Généralement, on fait une pétition ou une lettre pour demander à quelqu’un de se présenter. Demander à quelqu’un de ne pas se présenter n’a aucun sens politique.
La politique, c’est aussi les projets de société et un combat d’idées. Là, ça ressemble beaucoup plus à une réaction émotionnelle qu’à une démarche politique. Ce qui importe est de savoir que veut-t-on faire de l’Algérie ? qui est en mesure de faire avancer le pays et nous faire dépasser les crises politiques et financières du moment ? Et puis, que veulent-ils dire ? » Ne vous présentez-pas car si vous vous présentez, vous serez élu. S’il ne s’agissait pas d’un sujet aussi sérieux, je vous dirais que ça devient risible. Cette initiative traduit une faiblesse terrible. Elle traduit ce qu’est devenue la classe politique et ce qu’est devenu l’exercice de la politique en Algérie ». La détérioration de la pratique politico-démocratique en Algérie est arrivée à un tel point qu’elle comporte plus de désirs de paralysie que de la défense de l’intérêt général. Voilà que le mot de la fin circule dans les milieux populaires avertis qui se méfient davantage de ces individus politiciens qui se disent représentatifs de l’opposition, tout ce monde-là, sur un terrain politique illicite, se retrouve chaque jour dans une impasse, n’ayant aucun soutien populaire. Ils vont de défaite en défaite. B. C.The post Abdelaziz Ziari au sujet de l’exercice politique en Algérie : » ça devient risible et traduit une faiblesse terrible « appeared first on .
L’Office national du Hadj et de la Omra (Onpo) a annoncé, hier, que l’opération d’hébergement électronique des Hadjis pour cette saison débutera le lundi 11 juin en cours. «L’hébergement électronique via le site officiel de l’Office débutera le lundi 11 juin 2018», a indiqué l’Office, précisant que «ce service d’information, adopté durant ces deux dernières saisons du Hadj, permet au pèlerin algérien de réserver sa chambre à La Mecque et de choisir ses compagnons du Hadj, en accédant au portail d’hébergement électronique sur le site de l’Office, en vue de choisir les hadjis avec qui il aimerait partager sa chambre et choisir l’une des chambres proposées par le système électronique». Dans le même contexte, l’Office a indiqué que le lancement officiel de l’opération d’acquisition des billets du Hadj est prévu à partir du 10 juin jusqu’au 1er juillet au niveau de toutes les agences d’Air Algérie agrées à cet effet à travers le territoire national.
Le premier vol des Hadjis vers les Lieux saints est prévu le 25 juillet prochain. L’opération sera encadrée par 44 agences de voyages, en sus de deux établissements publics.
Le nombre des pèlerins pour l’année en cours s’élève à 36 000 hadjis dont la moitié sera transportée par Air Algérie, tandis que les compagnies saoudiennes et une compagnie de transport privée prendront en charge l’autre moitié, sur décision de l’Autorité de l’aviation civile saoudienne.
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