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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
Updated: 1 day 17 hours ago

Marché automobile mondial : Volkswagen ouvre la première usine de voitures du Rwanda

Thu, 06/28/2018 - 00:00

Volkswagen ouvre ce mercredi une usine d’assemblage de véhicules au Rwanda, la première du genre dans ce pays d’Afrique de l’Est, le constructeur automobile allemand cherchant à étendre sa présence dans la région.

Le taux d’équipement automobile au Rwanda, un pays de 12 millions d’habitants, est relativement faible, avec un peu plus de 200.000 voitures privées immatriculées depuis 1997, selon l’organisme de recouvrement des impôts.

Volkswagen, qui assemble déjà des véhicules au Kenya, un État voisin, veut non seulement vendre des véhicules à des particuliers mais espère également qu’ils seront utilisés via des systèmes d’autopartage sur le modèle d’Uber.

Le constructeur automobile allemand avait déclaré en janvier prévoir, dans un premier temps, de produire jusqu’à 5.000 véhicules par an au Rwanda, à commencer par les modèles Polo et Passat.

Monique Nsanzabaganwa, vice-gouverneure de la banque centrale du Rwanda, a salué cette décision comme un exemple d’investissement nécessaire dans le pays, qui reçoit plus d’un milliard de dollars (858 millions d’euros) d’aide étrangère et d’aide au développement.

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Aston Martin : DBS Superleggera, de la classe et de la puissance à en revendre

Wed, 06/27/2018 - 23:58

Aston Martin lève le voile sur la DBS Superleggera, remplaçante de la Vanquish, et troque le fabuleux V12 atmosphérique par un V12 5.2 biturbo de 725 chevaux.

Un moteur déjà vu sur la DB11 et Vantage mais également sur la DB11 AMRet ses 639 chevaux, le V12 5.2 bi-turbo affiche sur ce modèle une puissance plus impressionnante de 725 canassons et 900 Nm de couple, loin des 603 ch et 630 Nm de la Vanquish S. Associé à une nouvelle boîte automatique à huit rapports signée ZF, la DBS Superleggera affiche un 0 à 100 km/h en 3,4 s et une vitesse maximale de 340 km/h.

Le châssis est une évolution de la structure légère en aluminium de dernière génération, visible pour la première fois sur la DB11, avec des doubles triangles forgés à l’avant et un système multibras sophistiqué à l’arrière. Les amortisseurs adaptatifs retravaillés sont équipés de série de capteurs détectant les conditions de conduite en vigueur, ainsi que les exigences du conducteur vis-à-vis de la voiture. En fonctions de ses besoins, le conducteur a le choix entre trois modes dynamiques : GT, Sport et Sport Plus .

Cette GT 2+2, dotée d’une carrosserie en carbone spécifique mais frôlant néanmoins les 1600 kilos, se caractérise par des touches esthétiques qui lui sont propres comme sa lame avant, ses deux versions de jantes spécifiques chaussées de pneus Pirelli P Zero, son double diffuseur ou son petit becquet. L’habitacle reprend largement l’ambiance de la DB11 et adopte des sièges et le volant sport Performance Plus et de nouveaux inserts.

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Oran : Des actions de volontariat pour nettoyer les plages

Wed, 06/27/2018 - 23:56
Sur instruction du wali d’Oran M. Cherifi Mouloud qui lors de son retour du voyage de la ville de ‘’Taragona’’ d’Espagne n’a pas manqué avant hier, pour instruire tous les maires de la côte de la wilaya d’Oran pour entamer en toute urgence aux actions de volontariat et de nettoyage des 33 plages surveillées que compte  la wilayas d’Oran. Ces actions  de nettoyage des plages de la corniche oranaise et lesquelles ont été lancées avant hier lundi matin, par les membres des associations civiles,  sur instruction du wali d’Oran, ont été bien organisées par les services de la wilaya d’Oran, du fait que cette action, à laquelle sont associés les jeunes scouts, les comités de quartiers, les clubs verts, le mouvement associatif et les associations activant dans le secteur de l’environnement, vise à donner une belle image des plages de la côte oranaise , en prélude à la saison estivale dont l’ouverture aura lieu jeudi prochain à la plage des andalouses. Le coup d’envoi de cette campagne a été donné, avant hier lundi matin sur la plage de paradis plage  et cap Falcon dans la commune d’Ain El Turck . Cette campagne qui se poursuivra jusqu’à jeudi prochain, concernera les plages des Corales, cap Falcon,  bomo plage ainsi que les Grottes de la plage penica de Bousfer plage en compagnie de celle des andalouses dans la commune d’El Ançor qui possède un riche patrimoine touristique et agricole notamment ceux de la mer et  la montagne. Medjadji H

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Takhemaret (Tiaret) : La police enquête sur le détournement de couffins de Ramadhan

Wed, 06/27/2018 - 23:52
En exclusivité, le journal « Réflexion » vient d’apprendre auprès de sources sécuritaires que les éléments de la police judiciaire relevant de la sûreté extra-muros de la commune de Takhemaret ont ouvert une enquête et ont auditionné sur procès-verbal tous les membres de la commission des offres relevant de l’APC de Takhemaret, à quelque 100 km du chef-lieu de wilaya de Tiaret. Cette enquête, a été ouverte suite aux diverses correspondances adressées à toutes les instances concernées dont le wali de Tiaret par un fournisseur qui a présenté toute la documentation justifiant et argumentant sa plainte. En effet, il s’agit de dépassements qui ont été révélés et dont le journal « Réflexion » détient des exemplaires et ou la marche de l’opération du couffin du Ramadan a été entachée d’irrégularités concernant le prix du couffin qui est passé de 4.060,00 dinars le couffin à 4.361,00 dinars tout à signaler que l’enveloppe du couffin du Ramadan pour la commune de Takhemaret est estimée à un milliard de centimes. Le fournisseur plaignant a déclaré qu’en voulant retirer le cahier de charge, on lui a répondu au bureau de la commission des offres et des plis que les cahiers de charges se trouvent chez le maire et qu’il est en stage de formation à Tiaret, cependant un autre fournisseur a décroché avec un abracadabra les cahiers de charges et le grand hic, la plainte a été déposée le jour-même de l’ouverture des plis et le marché a été de la part d un fournisseur ayant pignon sur rue et lequel a bénéficié de ce marché depuis plusieurs années en complicité avec certains responsables au niveau de l’APC de Takhemaret. Le maire contacté par nos soins accuse le fournisseur d’être hors délais et le fournisseur de son côte déclare être en possession de preuves irréfutables, qui ont été remis aux enquêteurs et qui feront révéler à l’opinion publique un véritable scandale. Pour l’heure, l’enquête suit son cours. Abdelkader Benrebiha

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Emigré dans ma ville

Wed, 06/27/2018 - 23:10
Passant un sale moment à examiner les publications de certains amis sur les réseaux sociaux, je me suis glissé dans la peau d’un thérapeute pour décoder les images qui peuplent les pages Facebook.
J’ai eu l’impression comme si je voyageais dans une ville inconnue à la recherche d’un repère ou d’une plaque signalétique pour retourner dans ma ville natale, Mostaganem.
Je ne connais ni la ville où je me trouve ni le nom de la ruelle. Sans itinéraire, je n’ai pas d’autre choix que de marcher pour la retrouver.
Offusqué par des images de tas d’ordures, des sachets bleus qui couvrent les petits arbres plantés sur des trottoirs flambants neufs, des débris, des dos d’ânes à la taille d’un âne, des voitures garées en sens inverse et d’autres sur les trottoirs. Je ne me retrouve plus !
Soudain, je vois un immense chantier de tramway abandonné, avec des rails qui sectionnent les ruelles de cette agglomération en fragments de petites voies ceinturées par des tonnes de bordures, des routes presque impraticables pour les voitures, coupant la circulation aux piétons. Aucune fiche signalétique du projet, à part un écriteau en lettres déformées, intitulé ‘’cosider’’
Marchand un peu plus loin pour cesser de tourner en rond, je me trouve devant une petite chapelle, j’avais le pressentiment de connaitre cet endroit, puisque je vois un grand écriteau en haut, oui, c’est l’ancien siège de la daïra, mais je doute encore, puisque juste à côté , un portrait terrifiant d’amas de carcasses de maisons démolies, et des murs rasés, des commerces fermés ou abandonnés , un vide absolu et une cité déserte me fait revivre encore dans le suspense , comme si je pénétrais dans un champs de guerre ou une ville occupée par Daesh.
Le sentiment d’isolement m’invite à quitter l’anarchie du centre-ville et les malheurs des artères et aller retremper mon angoisse à la mer. Arrivant aux ‘’Sablettes’’ je l’ai bien reconnue cette plage avec ses commerces de bidonvilles qui décorent son accès principal, j’ai failli me perdre encore une fois à la vue de certains buildings qui cachent la vue à la mer,  ainsi que d’autres, squattent quelques parties de la plage. A côté, des dizaines de voitures se disputent des places devant les parkings à la matraque et les nids d’alcool. Je ne connais personne ! Tous ces nouveaux ‘’boss’’ qui dirigent ces nouveaux palaces et ces chauffeurs de 4X4 qui ne parlent pas l’accent de ma ville. Etranger dans ma propre ville, malgré le matricule 27 de mon véhicule, je suis resté hébété, étonné comme un émigré sans papier !
J’ai l’impression d’avoir voyagé dans le temps et surtout le sentiment de tristesse de voir ces quartiers massacrés et laissés à leur sort, cet émoi  m’invite encore une fois à observer la répétition d’un comportement irresponsable des responsables qui tournent le dos à cette merveilleuse ville d’antan ,jusqu’à  me détourner de la bonne route, et à prendre le chemin d’une ville sinistre qui ne ressemble guerre à cette Mostaganem , la perle de la méditerranée.

Belkacem

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L’Algérie œuvre à mettre en place un environnement numérique dans tous les domaines (Ouyahia)

Wed, 06/27/2018 - 23:07

ALGER – Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, a mis en avant mercredi à Alger, lors du sommet international des villes intelligentes, les efforts de l’Algérie en matière de mobilisation des technologies numériques au service du développement, assurant que le gouvernement travaille à la mise en place d’un environnement numérique dans tous les domaines.

« Nous travaillons à la mise en place d’une administration numérique et d’un environnement numérique dans tous les domaines », a indiqué M. Ouyahia à l’ouverture de ce sommet, mettant en exergue « tous les efforts et toute la volonté que l’Algérie mobilise à ce sujet ».

Le Premier ministre a rappelé, dans ce sens, que l’Algérie enregistre annuellement « plus de 20.000 diplômés universitaires dans le domaine du numérique » et « dispose de dizaines de milliers de kilomètres de fibre optique à travers tout le pays ».

« Certes, nous ne disposons pas encore de villes intelligentes, mais nous avons déjà quelques noyaux appelés à se développer », a-t-il dit, ajoutant que « la wilaya d’Alger travaille à promouvoir des projets prometteurs dans ce domaine ».

Concernant le sommet, qui rassemble deux jours durant quelque 4.000 experts algériens et internationaux ainsi que 40 pays et 15 institutions de renommées mondiales, il a indiqué que cette rencontre « revêt un intérêt particulier pour notre Gouvernement car elle se penche sur quelques-uns de nos défis nationaux majeurs ».

Il s’agit de « l’association de notre jeunesse au développement du pays » et de « la valorisation des nouvelles technologies de l’information » et de « l’association des capacités de notre communauté à l’étranger au développement national ».

S’agissant de l’association de la jeunesse au développement national, il a relevé que « les jeunes de moins de 30 ans représentent la majorité de notre population » et que « ce mois de juin qui s’achève a vu l’organisation des épreuves et des examens pour près de 10 millions d’élèves dans tous les cycles scolaires alors que se préparent aussi les examens de fin d’année ou de fin d’étude pour près de 1.500.000 étudiants ».

« Même s’il a été fortement réduit ces deux dernières décennies, le chômage demeure pesant sur la catégorie des jeunes et notamment des jeunes diplômés qui sont très nombreux dans toutes les spécialités », a-t-il encore noté.

Le Premier ministre a indiqué dans ce sens que « l’Algérie a mis en place sous la direction du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, une politique volontariste de soutien des jeunes à créer leurs micros entreprises en mettant à leur disposition des ressources financières fortement bonifiées, pour un montant de 10 millions de DA chacune, soit l’équivalent de près de 90.000 dollars ou de près de 75.000 euros ».

Au fil des années, cette politique « a permis la création de centaines de milliers de micros entreprises par les jeunes, dont plus de 500.000 ont été des réussites », a-t-il ajouté.

S’agissant des Startup, basées sur les nouvelles technologies de l’information, M. Ouyahia a indiqué, toutefois, qu' »elles se comptent encore par centaines seulement en Algérie, car, a-t-il dit, c’est un modèle nouveau dans notre pays, un modèle qui connaîtra certainement un développement futur accéléré ».

« Nul doute que vos échanges et vos recommandations finales contribueront à cette accélération », a-t-il déclaré à l’assistance composée d’experts, de représentants d’universités locales et internationales.

M. Ouyahia a souligné « combien l’Algérie attend de votre Conférence pour éclairer davantage sa marche sur la voie du développement de l’économie numérique », assurant les participants au sommet que l’engagement du gouvernement « à étudier avec intérêt les recommandations pratiques » dégagées lors du sommet.

« Certes, l’Algérie a encore des retards dans plusieurs domaines. Mais, ceux qui l’observent avec objectivité témoigneront que mon pays rattrape ces retards à une vitesse très honorable, grâce aux politiques et programmes arrêtés par le Président Bouteflika », a-t-il affirmé.

« L’Algérie est un pays d’avenir par sa jeunesse, par ses capacités économiques diverses et par la détermination de son peuple. J’espère que votre rencontre permettra à nos participants étrangers de s’en convaincre eux mêmes », a-t-il conclu.

Auparavant, le Premier ministre a visité une exposition au sein du Centre internationale des Conférences où se tient le sommet, dédiée aux nouvelles technologies du numérique.

Ce sommet, unique en son genre en Algérie, mais également dans les pays émergents, réunit plus de 4.000 participants et 150 experts internationaux, incluant des sommités mondiales en technologie, finance, industrie et autres. De nombreuses métropoles comme Paris, Séoul, Caracas, Kigali, San Francisco, Vancouver ou encore Londres, sont représentées par leurs décideurs à cette rencontre.

Les institutions et organisations internationales telles que la NASA, le Forum économique mondial, La Banque Islamique de Développement, la Banque Mondiale, les Nations Unies, ou encore les institutions universitaires, telles que le MIT ou l’Université de Toronto, ainsi que les acteurs technologiques de la Silicon Valley et d’autres hubs technologiques participent aussi à cet évènement.

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Mouloud Bakli : L’énergie solaire coûte 4 fois moins cher que les énergies traditionnelles

Wed, 06/27/2018 - 23:00

L’Algérie à tout intérêt à rattraper son retard et à investir dans l’énergie solaire, estime Mouloud Bakli, Responsable monde du développement solaire au sein du groupe Air Liquide.

Invité à s’exprimer dans l’émission Invité de la rédaction de la radio Chaine, M. Bakli a indiqué que ce retard à un coût exorbitant et occasionne d’énormes pertes à l’économie nationale. A titre d’exemple, le spécialiste en énergie solaire, évoque les subventions  de l’électricité. «Nous subventionnons l’électricité à un montant exorbitant, puisque, explique-t-il, le coût de production est 10,4 DA le KW et on le paye seulement à 4 DA le Kw…, c’est une perte sèche parce qu’on a une alternative».

Cette alternative, pour l’invité de la Chaine 3, réside dans l’investissement dans les énergies solaires qui permettent non seulement de réaliser des économies importantes, mais également d’exporter le gaz utilisé dans la production de l’électricité et de créer plus de 500 000 postes d’emploi.


Selon lui, le coût de production de l’énergie solaire, contrairement aux idées répandues, est insignifiant, soit 4 fois moins cher comparativement aux énergies traditionnelles. Plus précis, M. Bakli indique que le prix des équipements a baissé de près de 80% durant ces 10 dernières années. «Les installations pourraient, aujourd’hui, s’autofinancer. On parlait d’un coût installé au watt de 3 à 4 dollars en 2008 aujourd’hui on l’estime à 0,6 dollars le watt», avance le spécialiste.

Se voulant optimiste quant à la réalisation du programme nationale de développement des énergies renouvelable, M. Benakli invite, toutefois, les autorités à appuyer cette démarche par une batterie de mesures. Il recommande, entre autres, la subvention de l’installation des panneaux solaires à la place de la subvention de l’électricité et une imposition aux entreprises énergivores de combler au moins 20% de leur consommation par la production de l’énergie solaire, en suivant l’initiative prise, récemment, par le ministère de l’intérieur.

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« Arlequin, valet de deux maîtres » bientôt sur les planches

Wed, 06/27/2018 - 22:58

«Khedam Seyadou», l’une des pièces phare d’Abdelkader Alloula, sera bientôt sur les planches grâce à un travail de collaboration entre le Théâtre national Algérien et le théâtre régional d’Oran. L’annonce a été faite par les deux directeurs de ces établissements lors d’une conférence de presse animée, mardi, au Théâtre national Algérien (TNA).      

La pièce, qui sera mise en scène par Chérif Ayad, est tirée de l’œuvre du dramaturge italien Carlo Goldoni, qu’Abdelkader Alloula avait adapté avec beaucoup d’adresse et de finesse en 1993.

Pour les protagonistes, cette collaboration est une aubaine offrant la chance à la nouvelle génération de découvrir l’œuvre de ce monument du quatrième art. Elle ouvre, également, la porte aux échanges d’expérience et de savoir faire entre les théâtres algériens.

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Alger s’enquiert des expériences internationales en matière de création de « villes intelligentes »

Wed, 06/27/2018 - 22:56

ALGER- La séance matinale de la conférence internationale sur les villes intelligentes, les technologies globales et l’investissement, tenue mercredi à Alger, a été une occasion pour les responsables locaux de la capitale de s’enquérir des expériences internationales en matière de développement et de gestion des villes intelligentes.

Les experts intervenant lors d’un panel dédié à l’examen des différentes stratégies internationales en la matière, ont laissé entendre que la capitale algérienne disposait des éléments utiles pour l’émergence d’une Smart city à condition de poursuivre les efforts en termes de soutien de l’investissement privé, et notamment des startups, ainsi qu’en matière de numérisation.

Le responsable des Smart-cities au niveau de la Banque Mondiale Hyoug Gun Wang a ainsi noté que l’émergence des villes intelligentes nécessitait le développement de partenariats de type public-privé et l’encouragement de l’investissement privé dans tous les domaines et surtout dans les TIC.

L’expert Didier Nkurikiyimfura, chef de la technologie et de l’innovation au niveau de la Smart Africa, un projet portant sur la construction d’une infrastructure télécom en Afrique sub-saharienne, en connectant à Internet ses neuf pays, a de son côté souligné que la concrétisation d’une ville intelligente est tributaire du degré d’inclusion des citoyens et de leur niveau de numérisation.

« Pour mettre en place une Smart city il faut avoir une très bonne collaboration entre le Gouvernement et toute la composante de la société civile », a-t-il dit.

La responsable de la Smart city d’Oslo (Norvège), Mme Siije Bareksten, a pour sa part estimé que l’aboutissement de ce type de projet est lié à l’efficacité des mesures entreprises pour encourager et motiver les jeunes compétences.

Le marché des Villes Intelligentes est un marché en constante évolution dans le monde. Selon un rapport du cabinet Grand View Research, le marché de la ville intelligente atteindra 1.400 milliards de dollars d’ici deux ans.

De son côté, l’expert en TIC Younes Guerrar s’est réjoui de la volonté politique affichée pour la transformation progressive d’Alger en ville intelligente, c’est-à-dire une ville utilisant massivement les technologies de l’information et de la communication (TIC) pour améliorer la qualité des services urbains, en y appliquant les citoyens, les startups et l’ensemble de la société civile.

Cependant M. Guerrar a souligné la nécessité d’aller rapidement dans la résolution des problèmes techniques qui risquent de ralentir la concrétisation d’un tel projet, notamment en ce qui concerne les problèmes liés à la faiblesse du débit d’Internet et au nombre très réduit des fournisseurs d’Internet en Algérie.

« Car avant d’avoir des villes intelligentes, il faut d’abord avoir des villes connectées », a-t-il observé.

La rencontre se poursuit jusqu’à jeudi après-midi avec au menu l’organisation d’une cinquantaine de conférences-débats auxquelles assistent plus de 3.000 experts et professionnels algériens et étrangers.

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Ouverture de zones de rétention pour migrants : L’Algérie dit non

Wed, 06/27/2018 - 22:45

Il est exclu que l’Algérie ouvre une quelconque zone de rétention, a affirmé mercredi le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, au sujet de la crise migratoire, soulignant à ce propos que l’Algérie est confrontée aux mêmes problèmes de l’Europe. « Il est exclu que l’Algérie ouvre une quelconque zone de rétention. Nous sommes déjà confrontés aux mêmes problèmes. Nous procédons à des reconductions, mais nous le faisons selon des arrangements que nous avons avec les pays voisins », a indiqué le chef de la diplomatie algérienne dans une interview à RFI, soutenant que lorsqu’il s’agit de la migration clandestine « il faut que les choses soient bien comprises ». « Nous sommes confrontés aux mêmes problèmes. Quand il s’agit de la migration clandestine, il faut que les choses soient bien comprises. Nous connaissons les mêmes phénomènes, nous devons lutter contre la migration clandestine, dans le cadre des conventions des Nations unies, dans le cadre de l’arrangement avec les pays d’origine et les pays de transit », a-t-il souligné, ajoutant que « c’est ce que nous faisons en tous les cas en tant qu’Algérie ».

Ismain

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Le commerce des drogues profite à certains groupes terroristes

Wed, 06/27/2018 - 22:42

Le commerce des drogues « profite à certains groupes terroristes, groupes d’insurgés et groupes armés non étatiques », selon les conclusions du nouveau rapport mondial sur les drogues, publié mardi par l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC). « Il est établi avec certitude, que des terroristes et groupes armés non étatiques tirent profit du commerce de la drogue », a souligné le Directeur exécutif de l’ONUDC, Yury Fedotov, dans le rapport. M. Fedotov a indiqué, dans le préface du rapport, que l’Assemblée générale, dans le document final qu’elle a adopté en 2016 à sa session extraordinaire sur le problème mondial de la drogue, et le Conseil de sécurité, dans différentes résolutions, « se sont inquiétés des bénéfices que le trafic de drogues, entre autres formes de criminalité transnationale organisée, procurait aux groupes terroristes ».

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Mondial 2018 : l’Allemagne, tenante du titre, éliminée

Wed, 06/27/2018 - 21:00

L’Allemagne, championne du monde en titre, est éliminée du Mondial 2018 après avoir été battue par la Corée du Sud (2-0), ce mercredi, à l’occasion de la 3e et dernière journée du groupe G. C’est incontestablement la plus grosse surprise du premier tour du rendez-vous russe.

A la suite de cette surprenante défaite, la Mannschaft finie bonne dernière de son groupe avec 3 petites unités seulement, alors que les Sud Coréens (3e – 3 pts) quittent également le tournoi mais avec les honneurs.

Dans l’autre rencontre de la même poule, la Suède a corrigé le Mexique (3-0). Par ce succès retentissant, les Suédois compostent leur billet pour les 8es de finale et prennent par la même la tête du groupe G (6 pts). De leur côté, les Mexicains passent également le cap du premier tour en dépit de cette lourde défaite en terminant à la 2e place (6 pts).

Au prochain tour, la Suède rencontrera le deuxième du groupe E qui comporte le Brésil, la Suisse, la Serbie et le Costa Rica. Pour sa part, le Mexique jouera face au premier du quatuor E.

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La population algérienne à 42,2 millions d’habitants au 1er janvier 2018

Wed, 06/27/2018 - 20:50

La population résidente totale en Algérie a atteint 42,2 millions d’habitants au 1er janvier 2018 (contre 41,3 millions d’habitants au 1er janvier 2017 et 40,4 millions au 1er janvier 2016), a appris l’APS auprès de l’Office national des statistiques (ONS).

L’année 2017 a connu un volume de naissances vivantes dépassant pour la  quatrième année consécutive le seuil d’un (1) million de naissances.

Il a ainsi été enregistré 1,06 million de naissances vivantes auprès des services de l’état civil en 2017, en recul de 0,7% par rapport à 2016, composées de 541.189 garçons et de 518.325 filles.

Ce qui donne une répartition des naissances par sexe de 104 garçons pour 100 filles.

Les 5 premières wilayas qui ont enregistré le plus grand nombre de naissances vivantes sont Alger (102.025 naissances), Sétif (53.328), Oran (41.285), Constantine (38.112) et Batna (36.808).

Par ailleurs, on assiste à une stagnation de la fécondité par rapport au niveau observé en 2016, avec un niveau de 3,1 enfants par femme.

Selon l’ONS, l’accroissement naturel enregistré durant l’année 2017 a atteint 870.000 personnes, soit un taux d’accroissement de 2,09%.

Depuis 1990, la population algérienne est passée de 25 millions d’habitants à 34,1 millions en 2007 et à 42,2 millions au 1er janvier 2018.

Entre 2000 et 2009, le taux d’accroissement naturel était inférieur à 2% avant de franchir ce taux depuis 2010, observe l’ONS.

Quant à la répartition de la population algérienne par sexe, le nombre d’hommes dépasse légèrement celui des femmes: Sur une population de 41,72 millions enregistrée au 1er juillet 2017, 21,1 millions sont de sexe mâle et 20,59 millions sont de sexe féminin.

Pour ce qui concerne les tranches d’âge de la population, il est constaté que les moins de 25 ans ont été de 18,76 millions d’individus, soit 45% de la population globale.

La population des moins de 30 ans a été de 22,48 millions, soit 54% de la population globale.

Augmentation des décès, stagnation de l’espérance de vie

Concernant la mortalité générale, l’année 2017 a enregistré 190.000 décès, soit 10.000 décès de plus par rapport à 2016.

Quant à l’espérance de vie, elle a été de 77,6 ans avec 76,9 ans pour les hommes et 78,2 ans pour les femmes.

Pour ce qui est la mortalité infantile, le volume des décès des enfants de moins d’un (1) an a atteint 22.240 en 2017, correspondant à une diminution pratiquement négligeable (31 décès en moins).

Quant au nombre de mort-nés, il a connu une diminution de 7% par rapport à 2016, avec un nombre de 13.412 cas en 2017.

Par ailleurs, l’ONS indique que le volume des mariages enregistrés continue son recul enclenché depuis 2014, alors qu’il y a eu une hausse significative de l’effectif des divorces.

Dans ce sens, l’Office relève que l’année 2017 a connu une baisse substantielle dans le volume des mariages, soit 340.000 unions, en baisse de 5% par rapport à 2016.

L’effectif des divorces enregistrés par les services du ministère de la Justice fait ressortir un volume de 65.637 ruptures d’unions prononcées au cours de l’année 2017, soit une augmentation relative de 5,3% par rapport à l’année 2016.

Plus de 57 millions d’habitants en 2040

Sous l’hypothèse que le rythme de croissance de l’année 2017 se maintiendrait pour l’année 2018, l’ONS prévoit une population résidente totale de 43,4 millions au 1er janvier 2019.

Dans ses perspectives de l’évolution de la population algérienne jusqu’à 2040, l’ONS avance que sous l’hypothèse d’atteindre un indice conjoncturel de fécondité de 2,4 enfants/femme et d’une espérance de vie de 82 ans pour les hommes et de 83 ans pour les femmes, la population résidente en Algérie atteindra un nombre de 44,253 millions en 2020, de 51,352 millions en 2030 et de 57,65 millions en 2040.

Ces mêmes projections montrent que la population des plus de 70 ans passera de 1,6 million de personnes en 2018 à 5 millions en 2040.

Quant à la population des moins de 30 ans, elle passera de 22,73 millions en 2018 à 27,1 millions en 2040. APS

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Mort du photographe sud-africain David Goldblatt

Wed, 06/27/2018 - 17:11

S. F.

C’était un monstre sacré de la photographie sud-africaine et un homme engagé dans la lutte contre l’apartheid. Avec ses images, il était un témoin extraordinaire de la vie et de l’injustice sous le système de l’apartheid. David Goldblatt est décédé ce lundi 25 juin, à l’âge de 87 ans.

Quand les étudiants sud-africains manifestaient en 2015 contre le maintien d’un monument célébrant le colonisateur britannique Cecil Rhodes, il était là. «Déboulonnage de la statue de Cecil Rhodes, après qu’elle a été maculée d’excréments humains et que l’université a accédé aux demandes des étudiants de la retirer.»
C’est le titre d’une image prise le 9 avril 2015 à l’Université du Cap par David Goldblatt. Jusqu’au bout, le photographe est resté fidèle à son engagement pour la justice et un témoin sans faille des soubresauts de son pays, l’Afrique du Sud. David Goldblatt reste un modèle pour la jeune génération de photographes comme Zanele Muholi, une des artistes sud-africaines contemporaines les plus percutantes de nos jours. «Goldblatt est un mentor pour moi et j’admire son travail. C’est quelqu’un qui nous a donné le droit de nous exprimer. Grâce à lui nous pouvons parler avec des voix différentes à partir du même espace.»

Des constats et des combats contre l’apartheid en Afrique du Sud
Goldblatt avait une sensibilité et un talent sans pareil de se promener entre les lignes, entre le noir et le blanc, pour en extraire une vérité minant les injustices d’un système politique ou moral. Pour ses premières photos, il était obligé de se contenter de faire des constats. Devenu photographe de presse en 1948, il observe avec sa caméra l’apparition des panneaux de ségrégation raciale, manifestation de la politique d’apartheid. Ensuite il documente avec une persistance incroyable pendant des décennies la vie quotidienne des Blancs et des Noirs en Afrique du Sud. Ses dernières photos résonnent comme un appel : «plus jamais ça». Par exemple, en 2016, quand il prend en photo une simple passerelle et la transforme en mémorial anti-apartheid.
Le double escalier conçu pour séparer les Blancs des Non-Blancs devient un monument de la honte rappelant la loi n° 49 sur les équipements publics séparés (Reservation of Separate Amenities Act) de 1953. Et il insiste aussi pour nous dire que si les panneaux indiquant les files séparées ont bien été retirés après la victoire et la libération de Nelson Mandela, les traces et certaines pensées restent ancrées dans le territoire, les corps et les esprits jusqu’à aujourd’hui.
«David Goldblatt était l’une des figures majeures de la photographie de notre époque, une conscience éthique et morale du rôle de l’artiste dans nos sociétés», a réagi Bernard Blistène, directeur du Musée national d’art moderne. La grande rétrospective dédiée à David Goldblatt au Centre Pompidou-Paris a fermé ses portes début mai, mais son testament photographique restera pour toujours.

Extrait de l’une de ses interviews :
«Je devais prendre des photos, non seulement de Johannesburg mais de toute l’Afrique du Sud. Je dirais que je voulais explorer la société dans laquelle je vivais, voir à quoi elle ressemblait. Je vais citer un grand photographe du nom de Garry Winogrand. On prend des photos pour voir à quoi ressemble le monde en photos. Si je devais me définir, je ne suis certainement pas un journaliste. Si j’avais été journaliste, j’aurais été viré tout de suite. Pourquoi ? Mais parce que je suis si mauvais. J’oublie des choses, je suis incapable de prendre des notes correctement. Donc, je ne suis pas un journaliste. Je ne suis pas un sociologue. Je ne suis pas un criminologue. Je ne suis pas un psychiatre. Je suis juste un observateur, un observateur critique de la société dans laquelle je vis».

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Coup d’envoi de la 3e édition à Boumerdès

Wed, 06/27/2018 - 17:02

R. C.

Le coup d’envoi de la 3e édition du Salon national mère-enfant, organisée sous le thème «Espoir», a été donné lundi à Boumerdès avec au programme de nombreuses activités éducatives, didactiques, récréatives et ludiques.

Abritée par la maison de la culture Rachid-Mimouni, la cérémonie d’ouverture de cet événement culturel, qui se poursuivra jusqu’au 1er juillet, a été marquée par la tenue de nombreuses activités ludiques, sportives et de détente au profit des enfants. Une vingtaine d’exposants, entre entreprises nationales privées et publiques, écoles, jardins d’enfants et maisons d’édition spécialisées dans le livre d’enfant, prennent part à ce salon, parrainé par le wali de Boumerdès et organisé par la maison de la culture en collaboration avec une entreprise privée, a indiqué à l’APS le directeur de la maison de la culture Benzef-Abdelmadjid. L’animation de cette 3e édition du genre, inscrite au titre des activités majeures de la maison de la culture de Boumerdès, est assurée par des associations et organismes dédiés à la promotion de la mère et de l’enfance, outre les services de la Protection civile et de la sûreté nationale, a-t-il ajouté. Le programme mis au point englobe de nombreuses activités éducatives, didactiques, récréatives et ludiques, a souligné le responsable, citant notamment des circuits automobiles pour les enfants, des pièces théâtrales, des spectacles de clowns, des concours de dessin, de danse, de lecture et de chant. Pour permettre au plus grand nombre possible de visiteurs de profiter de ce Salon, les organisateurs ont adapté ses horaires d’ouverture et de fermeture (14h à 21h) avec les vacances scolaires et la saison estivale. «L’entrée des enfants à ce salon est conditionnée par un accompagnement de leurs parents», a-t-il relevé, précisant que cette mesure vise à éviter tout problème d’ordre sécuritaire ou organisationnel. Benzef a également noté que chaque enfant se verra remettre, à l’occasion, une brochure d’entrée gratuite, qui lui ouvrira droit de participer à une tombola, avec des prix qui seront remis aux gagnants à la clôture de la manifestation. La 2e édition de ce salon mère et enfant a eu lieu du 15 au 20 mars dernier à Constantine. Elle a enregistré, selon les organisateurs, une affluence de plus de 30.000 visiteurs, avec la distribution de plus de 200 prix aux enfants.

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Les Arabes minoritaires dans la nouvelle liste des membres des Oscars

Wed, 06/27/2018 - 16:58

Par Amira Soltane.

Malgré ses promesses de diversité et de couleur, les artistes arabes sont minoritaires dans la liste des 928 nouveaux membres de l’Académie des arts et des sciences du cinéma, connue pour remettre chaque année les Oscars du cinéma.
Seulement sept artistes arabes sont sur la nouvelle liste, soit moins de 7% des nouveaux membres: la Palestinienne Hiam Abbas, le Franco-Algérien Tahar Rahim, le Franco-Marocain Saïd Taghmaoui, les Libanais Nadine Labaki et Ziad Doueiri, et les Tunisiens Dora Bouchoucha et Saïd Ben Saïd. Pas de nouveaux membres syriens et encore moins égyptiens ou des pays du Golfe. Il faut dire aussi que la majorité des artistes choisis travaille ou a des connexions avec la production cinématographique américaine. Il y a lieu de souligner aussi que le cinéma arabe ne s’est pas encore imposé dans la sphère cinématographique américaine.
Reste que ce chiffre est bien supérieur à celui qui était déjà adopté il y a quelques années, où la majorité des votants de l’académie est constituée d’Américains ou d’Européens. La grande nouveauté, c’est l’apport important des femmes dans la nouvelle composante. Un quota en augmentation suite à l’affaire Weinstein. 49% des 928 nouveaux membres potentiels sont des femmes, ce qui porterait leur taux à 31%, contre 25% il y a trois ans; 38% sont des personnes de couleur, ce qui porterait la part à 16% du total des membres de l’académie, contre 8% en 2015. L’académie avait été contrainte de réagir à la suite de la polémique «Oscars so white» sur le manque de diversité parmi les personnes et les oeuvres nommées pour la précieuse statuette.
Parmi les nouveaux arrivants conviés, l’actrice et humoriste Mindy Kaling (la série The Mindy Project, Ocean’s 8), la jeune Quvenzhané Wallis (14 ans, la plus jeune à avoir été nommée pour l’Oscar de la meilleure actrice en 2013 pour Les Bêtes du Sud sauvage), l’acteur Daniel Kaluuya (Get Out, Black Panther), l’humoriste Dave Chappelle et les musiciens Nitin Sawhney, Kendrick Lamar ou Carlinhos Brown. L’actrice américaine Ann Dowd (The Handmaid’s Tale: La Servante écarlate) fait aussi partie de ce cru tout comme les Britanniques Emilia Clarke (Game of Thrones) et Daisy Ridley (l’héroïne de la dernière série de films Star Wars), l’égérie de Pedro Almodovar, Rossy de Palma, ou encore l’Allemande Diane Kruger (Prix d’interprétation à Cannes en 2017 pour In the Fade). L’auteure de la série des Harry Potter, J. K. Rowling, Emmanuelle Seigner, la femme de Roman Polanski, Timothée Chalamet (Call Me by Your Name), les réalisateurs français Bertrand Bonello, Emmanuel Bourdieu, Laurent Cantet, Arnaud Desplechin, Michel Gondry, Alain Guiraudie, Jean-Pierre Genet, et Rebecca Zlotowski, le compositeur Eric Serra, la productrice Sylvie Pialat font aussi partie de la «promo 2018», avec la comédienne Léa Seydoux, qui avait joué notamment dans un James Bond. Si tous les invités acceptaient de rejoindre l’académie, le nombre de ses membres passerait à 9 226 personnes.

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Le Ministre du tourisme juge raisonnable pour le citoyen moyen le prix de 5000 DA pour une nuitée en demi-pension dans un hôtel 5 étoiles

Wed, 06/27/2018 - 16:54

Le Ministre du tourisme Abdelkader Benmessaoud, a jugé ce mardi, que les prix pratiqués dans les hôtels 5 étoiles en Algérie sont raisonnables et accessibles aux couches moyennes.

«Un hôtel 5 étoiles dans notre pays c’est à quel prix ? Je pense que c’est l’un des pays (Algérie) où les prix pratiqués sont très raisonnables, comparativement à d’autres pays touristiques dont parlent les gens», a estimé le Ministre, qui a ajouté que «5000 DA à 6000 DA pour une nuitée en demi-pension dans un hôtel, est abordable pour les couches moyennes, le salarié moyen, peuvent se permettre une semaine».

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Alger assiste à la disparition des librairies: Le monde du livre se disloque

Wed, 06/27/2018 - 16:51

Par Hocine NEFFAH.

La fermeture de la librairie des Beaux-Arts apporte sa part de climat lugubre, d’un endroit qui constituait une allée harmonieuse, le long de la place Maurice Audin et ses terrasses longeant toute la rue menant vers la Fac centrale.

Elles pullulaient dans les grands boulevards, en leur donnant une vitalité et du charme. Leur présence imposait une espèce de rapport où l’espace propre est foncièrement respecté et marqué par un haut sens des belles-lettres et de l’esprit raffiné. Les librairies, puisque c’est d’elles qu’il s’agit, n’ont plus cette présence qui contribuait dans la dynamique socioculturelle et historique d’une ville, voire d’une capitale.
On ne retrouve plus les grands noms de librairies dans nos villes, le cas d’Alger-Centre est édifiant dans ce sens. Du haut de la rue Didouche-Mourad et en amont en arrivant à Ahmed Hamani, l’ex-rue Charasse, on peut constater «l’éclipse» totale et de la manière la plus spectaculaire d’un nombre effarant de librairies qui faisaient jadis la fierté de la ville et des grands quartiers auxquels faisait-on référence en matière de rencontres et une espèce de repère-phare que ce soit en termes d’endroits qui s’imposent de par ce qu’elles suscitaient comme engouement chez les affidés de la culture en général et de la lecture en particulier.
Ce tableau auréolé et orné de décors spirituels dégageant une odeur où la force des lettres et de leur sens incarnait le nectar estampillé et suave d’un lieu et d’un nom a cédé sa place à un «monde» envahissant et charriant ce qui constitue l’antithèse de ce qu’il y avait avant. A la place des librairies, on peut voir visiblement des fast-foods s’ériger avec ostentation et de la façon la plus manifeste dans les ruelles d’Alger-Centre, c’est l’ère de la «société de consommation» où le ketchup remplace le livre et où les boutiques de«chawarma» détrônent les lieux de la connaissance et du monde des lettres.

Être libraire, ce n’est pas une sinécure!
Le métier de libraire traverse une période des plus dures et difficiles, être libraire dans le contexte d’aujourd’hui n’offre pas de perspectives fastes pour l’avenir dans le sens où ce métier n’est pas stable, il est menacé de disparition à cause de la politique de la «promotion» du livre telle qu’assumée actuellement par les pouvoirs publics, le ministère de la Culture en l’occurrence.
Faire une descente en visitant ce qui reste comme librairies, permet d’approcher la situation des libraires et les risques qui les guettent quant à la poursuite de ce métier alors que l’asphyxie est là, omniprésente, c’est une question de temps comme disait notre interlocuteur, Ali Bey, le gérant de la célèbre librairie Tiers-Monde, située au milieu de la rue Larbi Ben M’hidi, en face de la place Emir Abdelkader. Le gérant Ali Bey a exprimé clairement et nettement la situation des libraires et aussi ce qui attend les librairies comme avenir très sombre. Il a souligné que «c’est clair que le métier de libraire soit menacé de disparition à cause de l’absence d’une vraie politique qui motive ce segment important de la culture pour se maintenir et faire face aux difficultés qu’il rencontre», a asséné le gérant de la librairie Tiers-Monde.
Avant d’aborder ce volet propre au devenir des libraires qui viennent de tirer la sonnette d’alarme quant à ce métier noble qui assure le rôle de transmetteur du savoir et de la culture sous la forme d’un livre pluridisciplinaire, il est judicieux de s’attarder sur quelques repères de ce monde. Il est tout à fait clair que chaque ville a ses librairies qui constituent sa référence propre et sa spécificité en tant qu’ensemble urbain se démarquant par sa propre personnalité dans ce domaine. Alger-Centre en fait partie, mais aujourd’hui elle est témoin d’une autre réalité qui caractérise les librairies et le métier de libraire. L’une des situations annonçant davantage de drames à ce métier, voire à ce noble monde des lettres et des arts, c’est la fermeture de la prestigieuse librairie «Les Beaux-Arts». Cette annonce est venue confirmer la spirale dans laquelle sont empêtrés les libraires et les tenants de ce métier menacé par le spectre de la disparition au quotidien. La fermeture de la librairie des Beaux-Arts apporte sa part de climat lugubre d’un endroit qui constituait une allée harmonieuse le long de la place «Audin» et ses terrasses longeant toute la rue menant vers la Fac centrale. Au début on croyait que la fermeture de la librairie Les Beaux-Arts était motivée par des travaux durant le mois de Ramadhan comme cela se fait à l’accoutumée pour beaucoup de commerces et activités libérales.
La nouvelle nous a été confirmée par la gérante de l’ancienne librairie Idjtihad, ex-Dominique située à la rue Ahmed-Hamani. Cette fermeture de plus ne fait que porter préjudice à la mémoire de son ancien gérant Vincent Grau qui est resté ici en Algérie refusant d’aller vivre dans son pays d’origine, la France. Vincent a trouvé la mort dans le pays qu’il a choisi. Il a été assassiné par la horde barbare des islamistes.
Vincent s’est donné à fond pour faire de sa librairie les Beaux-Arts un lieu où règne effectivement l’édition et la vente de tout ce qui est en rapport avec les arts, les lettres et l’esprit raffiné en termes littéraires. Voilà que le temps a eu raison de sa mission culturelle et son rôle intellectuel consistant à maintenir le lien à travers l’ouverture de sa librairie pour servir les lecteurs et les spécialistes avides d’art et de littérature.
Le métier de libraire n’est pas une sinécure, c’est ce qui est arrivé avec la librairie des Beaux-Arts du regretté Vincent Grau. La série des drames se poursuit au niveau de la librairie Idjtihad. Et à ce niveau de constat, nous comprenons parfaitement cette descente aux abysses du métier de libraire et la situation des librairies qui vivent au rythme de la fermeture.
Beaucoup de librairies ont fermé sans la moindre résistance. La librairie Idjtihad sise rue Hamani, connue, surtout par son ancienne appellation, à savoir Dominique, résiste tant bien que mal à cette situation qui s’abat à la fois sur les librairies et les libraires. Mais cette librairie n’est plus celle qui avait l’avantage d’attirer les lecteurs et les amoureux des belles-lettres et autres activités relevant du domaine de la littérature à l’image des rencontres-débats et des tables rondes autour d’un roman avec la présence de son auteur. Aujourd’hui, cette célèbre librairie est désertée, voire délaissée même. La visite nous a permis de voir de près sa situation en particulier et celle des autres librairies du pays en général.
La gérante, Meriem Belkmakem, a essayé de faire dans le factuel en soulignant que «le lectorat connaît un recul monstre au niveau de notre librairie Idjtihad. Certes, le recul est constaté dans toutes les librairies, mais la nôtre se fait sentir de plus en plus sachant qu’elle avait ses disciples et ses abonnés depuis plusieurs décennies», a rétorqué la gérante.

Le lectorat et l’abandon de la lecture
L’état de l’ex-Dominique est désastreux, il ne reste que le souvenir d’une époque qui était animée par le rêve d’une société à vocation culturelle et de progrès. Les images et les photos affichées à l’intérieur rappellent à ceux qui ne connaissent pas cette librairie qu’il y avait des noms et des personnalités littéraires qui ont pu contribuer à l’émergence de la pensée rationnelle et les idées de progrès en général. Pour la gérante Meriem Belkmakem, même «le lectorat n’existe plus, ce n’est plus comme il y a une vingtaine d’années où les lecteurs se faisaient connaître à travers le choix des livres et des lectures. Avoir une librairie en assurant la vente des livres, ne fait pas bon marché avec le laisser-aller qui ronge le monde du livre et du métier de libraire», a tonné Meriem, la gérante de la librairie Idjtihad.
C’est le même constat affiché par le gérant de la librairie Tiers-Monde, Ali Bey, qui a fait un véritable réquisitoire quant à la situation du métier et aussi du lectorat qui connaît une dégradation effarante. Dans ce sens, le gérant Ali Bey déclare que l’«on fait tout pour pousser les librairies vers la fermeture. C’est une réalité où les pouvoirs publics sont responsables en premier lieu», a mentionné le gérant Ali Bey.
Il est évident que la question de la fermeture des librairies est d’abord et avant tout une question qui relève d’une mauvaise appréciation politique de ce volet sensible de la lecture et de la promotion de la culture, de ce point de vue, il est nécessaire de rappeler que le livre est subventionné partout dans le monde, surtout dans les pays les plus développés. Le livre en Algérie vient de subir la loi du «marché», alors que le créneau n’est pas semblable ni de la même nature que les autres marchandises. Dans ce sens, le libraire de formation et gérant de librairie, Boussad Ouadi qui connaît bien le secteur du livre puisqu’il a fait ses preuves même dans le domaine de l’édition, souligne à propos de la situation à laquelle sont livrés les libraires que «neuf librairies ont fermé leurs portes ces dernières années sur la rue Ben M’hidi et la rue Didouche-Mourad, dans le silence le plus total car aucun des occupants ne s’est plaint. Plus grave encore, trois d’entre elles ont été vendues par des anciens employés de la Sned-Enal, ancienne entreprise étatique, à des marchands de vêtements ou de chaussures en empochant une confortable plus-value au passage. Aucune autorité officielle ne s’est interposée dans les transactions ni n’a jugé regrettable que des espaces culturels aient changé de vocation. A Oran, Constantine, Annaba, Tlemcen, etc. Le même processus a été observé», a expliqué Boussad Ouadi à propos de la situation des librairies et le sort qui leur a été réservé depuis l’enclenchement du processus de liquidation des entreprises du livre en premier lieu à l’image de l’Enal et la Sned et après les librairies qui étaient rattachées à ces deux entreprises qui constituaient la matrice de l’activité livresque à l’échelle nationale. La transformation des librairies en activité autre que la sienne est un signe annonciateur d’un mode de vie très grave, qui remet en cause les valeurs et aussi les critères d’une société qui aspire au progrès et à la modernité.
Le gérant Ali Bey affirme: «Depuis que je travaille dans le monde des livres en tant que libraire, je n’ai jamais remarqué autant de recul dans le lectorat et l’achat de livres. D’ailleurs c’est simple, les gens qui viennent à la librairie Tiers-Monde pour se procurer un livre, leur âge est de 50 ans et plus, c’est ce qui renseigne sur l’état de la lecture et le niveau culturel des générations montantes», a souligné Ali Bey, gérant de la librairie Tiers-Monde. Ali Bey considère que le ministère de la Culture est responsable de l’état des libraires dans la mesure où le premier rôle revient à la tutelle pour revoir beaucoup de choses dans le domaine. Ali Bey exige que «la révision fiscale soit appliquée par rapport à ce créneau et il faut donner aux libraires les prérogatives quant à la vente de livres scolaires et ne pas les laisser au niveau des directeurs des établissements scolaires», a indiqué Ali Bey.
La faillite des librairies est plus que tonitruante, mais la société assiste à ce phénomène de la disparition de ce métier fabuleux sans que des mesures soient prises en urgence.

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Les donneurs de sang honorés

Wed, 06/27/2018 - 16:43

«Soyez là pour les autres, donnez votre sang, et partagez la vie.» Tel est le slogan de l’OMS cette année, pour célébrer la Journée mondiale du don de sang le 14 Juin dernier.

A cette occasion et fidèle à ses traditions, l’association Solidarité don de sang de Béjaïa, a tenu à marquer l’évènement en programmant plusieurs activités au niveau du Centre culturel islamique d’Aamriw. En somme, cette soirée avait regroupé non seulement les adhérents et les membres de l’association, mais aussi les donneurs fidèles et réguliers, au nombre de 30, qui se sont vu décerner des médailles d’honneur et des diplômes de reconnaissance.
Les centres de transfusion sanguine de la wilaya, ainsi que le mouvement associatif qui a contribué à la réussite des programmes de collecte, les médias (la presse écrite, Radio Soummam, et Radio Web) qui ont coopéré à la promotion du don de sang bénévole, n’ont pas été du reste et chaque organisme a eu droit non seulement à de chaleureuses ovations, mais aussi à des honneurs bien mérités.
En dehors de cette cérémonie de mise à l’honneur, des affiches et des courts métrages ont permis aux présents de s’informer sur les actions de l’association et sur sa noble mission. Curieux et habitués, ils ont donc eu des réponses justes et précises à toutes leurs questions, et à tout ce qui concerne le don de sang et l’acheminement de cette matière vitale vers les établissements sanitaires pour permettre aux malades de recevoir la goutte salvatrice qui sauvera leur vie. Lors de cette manifestation aussi, un hommage particulier a été rendu à l’association Solidarité et don de sang, qui, en deux années d’existence, a pu créer des dizaines de comités dans la région de Béjaïa, a fidélisé plus de 6000 donneurs réguliers pour finir par collecter 3000 pochettes de sang. Mieux encore, un fichier de donneurs prêts à répondre à tout moment à l’appel, a été créé avec les coordonnées de chacun….Un autre geste, fort louable, qui confirme la bonne volonté des uns et des autres.
Cette cérémonie, si elle a été consacrée aux honneurs, n’a pas empêché les convives de participer à la collecte nocturne. Quelques habitués et citoyens n’ont pas hésité à retrousser leurs manches et à présenter leurs bras aux infirmiers sur place pour donner quelques gouttes du précieux liquide. Entre autres, nous avons remarqué la présence d’un élu de l’APW de Béjaïa. En fin de parcours, le docteur Boussalem a tenu à remercier de vive voix tous ceux qui ont contribué de près ou de loin à la réussite des activités de l’association, particulièrement durant le mois sacré de Ramadhan, qui a vu une affluence assez importante de donneurs, au niveau des mosquées et des lieux publics de la ville, des résidences universitaires, de la Maison de la culture et du Centre culturel islamique. Le nombre d’inscrits au don s’est élevé à 335 personnes, et le nombre de pochettes à 235. En parallèle à ces actions, l’association avait organisé le séminaire caritatif du mois de Ramadhan 2018 dans sa 5ème édition. Le docteur Rafik Boussalem soulignera cependant le manque de moyens dont souffre l’association, qui, jusqu’à ce jour, n’a bénéficié d’aucun don de la part des autorités locales. Il ajoutera dans son intervention, une déclaration de l’OMS, qui considère que le don de sang en tant qu’acte de solidarité, met en avant les valeurs fondamentales humaines, qui sont l’altruisme, le respect, l’empathie et la compassion. Ces qualificatifs représentent la pierre angulaire du système de don de sang volontaire.

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Le jardin Sofia d’Alger confirme sa nouvelle vocation

Wed, 06/27/2018 - 16:34

Jadis un lieu où les toxicomanes s’adonnaient à leurs activités favorites, le jardin Sofia, en contrebas de la Grande Poste à Alger, a pris, depuis quelques années de nouvelles couleurs et assume parfaitement sa nouvelle vocation de lieu familial pour les Algérois. Et pour cause, c’est sur ce jardin que les services de la sûreté de la wilaya d’Alger ont jeté leur dévolu pour y organiser des portes ouvertes sur les dangers de la consommation de drogues. L’organisation de ces portes ouvertes s’est tenue à l’occasion de la Journée internationale contre l’abus et le trafic de drogues célébrée par l’Algérie le 26 juin de chaque année en vue de «jeter la lumière sur les effets psychologiques et sociaux» de la consommation des drogues, et présenter les efforts déployés par les services de la police en matière de prévention et de dissuasion afin de faire face à ce fléau dans les milieux juvéniles.

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