La réunion de travail prévue, hier, entre le ministère de l’Éducation nationale et les syndicats du secteur et qui devait porter sur l’épineux dossier des œuvres sociales n’a pas eu lieu. Le report est justifié officiellement par la maladie de l’inspecteur général au MEN, qui devait présider les travaux de ce conclave. Les syndicats devraient donc patienter avant de reprendre langue avec la tutelle. L’attente risque d’être longue, puisque les vacances des personnels de l’éducation débutent dans une semaine.
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Comme chaque année, la Société nationale des transports ferroviaires (SNTF) a mis en route son « programme spéciale été 2018 », appelé également « train bleu », pour faire face à la hausse habituelle de la demande de transport en cette période de départs en vacances.
A ce titre, la SNTF a décidé de renforcer ses dessertes, notamment sur la ligne Alger-Oran qui bénéficie d’un doublement des capacités de transports, pour faire face à la trop forte demande des voyageurs, a annoncé le directeur général de la SNTF, M. Bendjaballah Yacine qui était, jeudi matin, l’Invité de la rédaction de la Chaine 3 de la Radio Algérienne.
« Nous avons doublé notre capacité de transport de 4 train à 8 trains en aller actuellement, pour faire face la demande qui dépasse l’offre sur cette ligne », a déclaré le DG de la SNTF, qui n’écarte pas « la mise en circulation des trains de nuit sur cette ligne saturé ».
Fait nouveau, le programme spécial été, de cette année, bénéficie d’une injection de nouveaux matériels, ce qui permettre, selon M. Bendjaballah, d’assurer le service « dans les meilleures
De nouveau trains, neuf ou rénové, sont redéployés « progressivement », à travers les grandes villes, comme Oran, Sidi Bel Abbès, Bejaia, Constantine et Batna.
« Actuellement nous sommes en phase de substitution, on est en train de retirer progressivement l’ancien matériel et le remplacer par le nouveau », a expliqué M. Bendjaballah, qui précise qu’il s’agit « d’un programme de réhabilitation qui s’étale jusqu’en 2020 et qui porte sur 202 voitures, techniquement récupérables. Actuellement, une quarantaine de voitures ont été réhabilités et injectées dans l’exploitation, ce qui nous a permis de gagner près de 30% sur nos investissements ».
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Par Antonio Guterres.
Le terrorisme est une menace mondiale persistante en évolution constante.Aucun pays n’est à l’abri.Les médias sociaux, les communications chiffrées ou le dark Web sont utilisés pour diffuser de la propagande, radicaliser les nouvelles recrues et planifier des atrocités. La menace s’étend des tactiques brutes d’acteurs isolés à des actes coordonnés et élaborés, en passant par l’horrible perspective d’un attentat chimique, biologique ou radioactif.Notre réponse,également, doit être souple et diversifiée.C’est pourquoi je convoque cette semaine, à New York, la toute première Conférence de haut niveau des Nations Unies sur la lutte contre le terrorisme.Les chefs d’organismes nationaux de lutte contre le terrorisme et des représentants d’institutions internationales et de la société civile examineront les moyens d’améliorer la coopération internationale et de mettre en place de nouveaux partenariats.
La conférence portera sur quatre grands points.Premièrement, comment les gouvernements, les services de sécurité et les forces de l’ordre peuvent-ils améliorer le partage rapide d’informations et de stratégies essentielles visant à détecter, perturber et poursuivre les réseaux terroristes ? Deuxièmement, qu’est-ce que l’ONU peut faire de plus pour aider les pays touchés par le terrorisme ?
Troisièmement, comment faire face à la menaceque représentent les combattants terroristes étrangers ? Compte tenu de la défaite militaire de l’État islamique d’Iraq et du Levant en Syrie et en Iraq, un grand nombre de ces mercenaires idéologiques se déplacent vers d’autres théâtres de conflit ou rentrent chez eux, où ils transmettent le savoir-faire qu’ils ont acquis sur le champ de bataille, recrutent de nouveaux adeptes et planifient de nouvelles attaques.
Quatrièmement, comment prévenir le terrorisme et l’extrémisme violent ? Je tiens à ce que la conférence réponde à cette question. Renforcer la sécurité ne sera jamais suffisant. Nous devons nous attaquer aux causes mêmes qui fontque des personnes deviennent sensibles à des idéologies toxiques.
Le terrorisme est une menace transnationale qu’un gouvernement ou une organisation ne sauraient vaincre seuls.Il appelle une réponse multilatérale et concertée aux niveaux mondial, régional et national.Nous devons renforcer les structures et les institutions de lutte contre le terrorisme, mais nous devons également nous attaquer à ses causes profondes par la promotion de l’éducation et la lutte contre le chômage des jeunes et la marginalisation. Nous devons donc engager le dialogue avec les populations locales, les organisations religieuses et les médias.La société civile est non seulement au cœur de cette conférence, mais aussi de nos stratégies plus vastes de lutte contre le terrorisme. Bien entendu, la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme violent doit respecter les droits de l’homme et le droit international. Il ne s’agit pas seulement de justice, mais bien d’efficacité. Lorsque les politiques antiterroristes sont utilisées pour réprimer des manifestations pacifiques et des mouvements d’opposition légitimes, mettre fin au débat, cibler les défenseurs des droits de l’homme ou stigmatiser les minorités, elles échouent et nous sommes tous perdants. En effet, ces mesures peuvent exacerber le ressentiment et l’instabilité et contribuer à la radicalisation.
Aucune cause ni aucun grief ne saurait justifier le terrorisme. Mais nous ne pourrons atténuer cette menace qu’en mettant fin aux conflits, aux atteintes aux droits de l’homme, à la pauvreté et à l’exclusion, qui poussent tant à l’extrémisme violent.La plupart des nouvelles recrues des organisations terroristes ont entre 17 et 27 ans.Nous devons leur offrir de meilleures perspectives économiques et sociales. Nous devons inverser la polarisation, la xénophobie et les discours de haine qui se multiplient partout dans le monde.
Songeons également aux dizaines de milliers de personnes tuées, blessées et traumatisées par le terrorisme. Les survivants ont besoin de notre appui pour obtenir justice et reconstruire leur vie, financièrement et psychologiquement. Nous devons également les écouter et tirer parti de leur expérience.
Enfin, le terrorisme et l’extrémisme violent ont une forte dimension sexiste. Les terroristes continuent de porter atteinte aux droits des femmes et des filles par la violence sexuelle, les enlèvements, les mariages forcés ainsi queles obstacles à la liberté de circulation et d’accès à l’éducation. Nombre d’entre eux ont une histoire de violence familiale. C’est pourquoi il est urgent de donner la priorité aux droits, à la participation et au rôle de premier plan des femmes.
La communauté internationale a beaucoup progressé dans la lutte contre le terrorisme.Elle a mis en place un cadre international clair qui permet de poursuivre les terroristes, démanteler leurs réseaux financiers et prévenir la radicalisation en ligne. Toutefois, beaucoup reste à faire.
Les groupes terroristes partagent les mêmes principes d’autoritarisme, de misogynie et d’intolérance, qui vont à l’encontre des valeurs universelles consacrées par la Charte des Nations Unies et la Déclaration universelle des droits de l’homme.Il nous appartient d’unir nos efforts pour bâtir un monde de paix et de sécurité, de dignité et de possibilités pour tous, partout, afin de priver les extrémistes violents du combustible dont ils ont besoin pour propager leurs idéologies haineuses.
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AIN TEMOUCHENT – La relance du secteur touristique en Algérie est un moyen de sortie de crise économique, ont estimé, mercredi à Ain Temouchent, des journalistes participant à la caravane médiatique, organisée par l’Office national du tourisme (ONAT) au profit de la presse nationale.
Le journaliste Ismail Bouflih de la chaine « Numidia TV » a souligné que le progrès que connaît le secteur touristique en Algérie contribuera efficacement à la sortie de crise économique traduisant une volonté politique de relancer le secteur.
L’Algérie, qui dispose d’atouts touristiques importants dont un long littoral, une vaste Sahara et des régions riches en patrimoine et en monuments historiques et archéologiques, n’a besoin que de la promotion de la destination Algérie dont se charge actuellement les médias nationaux, a-t-on évoqué.
Pour la journaliste Sara Faridi de « Canal Algérie », cette caravane médiatique organisée par l’ONAT constitue une occasion pour faire découvrir davantage la beauté de l’Algérie et les atouts touristiques dont disposent les wilayas côtières de l’ouest du pays et contribuer à la promotion de l’aspect économique du pays.
Le même avis est partagé par Karima Sidi Moussa de la chaîne « Chems TV » spécialisée dans le domaine du tourisme, qui a déclaré que l’Algérie possède un potentiel naturel, des sites historiques et archéologiques, un patrimoine culturel et artistique diversifié, ainsi que des établissements hôteliers et d’importants édifices de cure qui doivent bénéficier de la publicité et de la promotion pour drainer les familles algériennes et les étrangers.
Elle a ajouté que le secteur du tourisme en Algérie recèle d’importants possibilités permettant de constituer un atout majeur pour l’économie nationale et une alternative économique dans la phase d’’après-pétrole.
Cette caravane touristique enregistre la participation de 18 journalistes d’organes médiatiques. La wilaya d’Ain Témouchent constitue la troisième étape après Oran et Tlemcen à l’Ouest algérien, a souligné le représentant de l’ONAT, Amel Mezdad.
Cette caravane, qui se poursuivra jusqu’à la fin de juillet prochain, vise à informer la délégation de journalistes des atouts touristiques disponibles dans les wilayas côtières et les efforts déployés par l’Etat pour relancer le secteur touristique, a indiqué Mme Mezdad.
La direction du tourisme de la wilaya d’Aïn Temouuchent a programmé la visite de six hôtels, quatre plages et une croisière au profit des participants à cette caravane, a souligné le directeur du secteur, Maameri Hammouda.
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Par Mahi Ahmed.
La ministre de l’Environnement et des Energies renouvelables Fatima Zohra Zerrouati en visite dans la wilaya de Relizane mardi a exhorté la société civile et les associations à caractère social à plus de civisme pour la protection et la préservation de l’environnement pour affronter les défis écologiques et économiques auxquels fait face le pays mettant l’accent sur la pollution écologique constatée à travers plusieurs wilayas. Le combat est rude pour mettre un terme aux agressions multiples qui touchent notre écosystème et des efforts colossaux doivent être fournis pour assurer un environnement sain à la population algérienne. La ministre dit que son département mise sur le partenariat avec les entreprises publiques ou privées pour le recyclage des déchets sous toutes leurs formes notamment dans les grandes wilayas du pays.Mme Zerrouati a affirmé dans ce contexte que toutes contraintes seront surmontées afin de permettre le recyclage des déchets pour produire du plastique, du carton ou encore des engrais. La gestion des ordures ménagères qui doivent subir le tri sélectif constitue aussi un défi pour la préservation de l’écologie. Celle-ci représente un atout majeur pour encourager l’investissement dans plusieurs domaines économiques. Un environnement sain facilite toutes les options d’investissement, fait-elle remarquer. Le développement national repose sur le développement local de chaque wilaya.
La ministre a visité à la maison de la culture des stands des activités des clubs verts, des entreprises activant dans la préservation de l’écologie et a présidé l’ouverture d’une journée d’étude réservée à l’environnement et les énergies renouvelables avec la participation de spécialistes du domaine.
Ensuite à la cité 2.000 logements AADL, une opération de reboisement a été effectuée avec l’inauguration d’un centre d’enfouissement technique. Au barrage Gargar, une manifestation relative à l’environnement a été organisée par différents secteurs avec des activités distractives destinées aux enfants pour les initier à la protection de leur cadre de vie.
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A. Mallem.
La Conservation des forêts et la Fédération des chasseurs de la wilaya de Constantine vont collaborer pour lancer une formation pour les chasseurs afin de leur permettre d’avoir le permis de chasse qualificatif pour cette activité réglementée de poursuite et d’abattage d’animaux sauvages. Selon le communiqué émis par la Conservation des forêts que nous avons reçu hier à notre bureau, il s’agit de la première d’une série de sessions de formation qui s’inscrit dans le cadre des lois et règlements concernant le secteur et fixant les conditions d’obtention du permis de chasse.D’après les informations recueillies hier auprès de cadres de la Conservation des forêts de Constantine, cette première session débutera le 1er juillet prochain au centre de formation Sid Mohamed de la cité Daksi Abdesselem de Constantine avec la participation de 50 candidats. La formation durera trois jours et sera dispensée par des cadres de la Conservation des forêts de Constantine, des cadres de la direction des services agricoles (DSA) de la wilaya ainsi que des cadres de la Protection civile.
M. Saighi, chef du service de la faune et de la flore à la Conservation des forêts, que nous avons interrogé, a expliqué que le programme de formation portera aussi bien sur des cours sur la réglementation organisant la chasse au gibier et le maniement des armes utilisées dans cette discipline, que des cours sur le secourisme et la connaissance du gibier visé par la chasse réglementaire. Ce disant, notre interlocuteur a indiqué aussi que les chasseurs concernés par cette formation doivent obligatoirement être adhérents à l’une des 12 associations de chasseurs agréées et chapeautées par la fédération de wilaya. Le représentant de la Conservation des forêts a déclaré aussi qu’il y aura chaque semaine une session de formation qui réunira invariablement une cinquantaine de chasseurs de façon à permettre, durant le mois de juillet, de former un nombre de 200 chasseurs. Il y a environ 600 adhérents à la fédération des chasseurs de la wilaya de Constantine.
Notre interlocuteur terminera en précisant qu’après le mois de juillet, les 400 chasseurs qui restent à former seront concernés par d’autres programmes de formation qui seront fixés et communiqués au moment opportun.
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Par Ali Chabana.
Les dernières intempéries, ayant causé des pertes humaines et des dégâts matériels très importants (ovins emportés par les eaux), ont fait vite réagir les autorités de la wilaya, le wali Attallah Moulati en personne, à travers des mesures d’urgence, en annonçant, entre autres, la nécessité des travaux d’aménagement et de réhabilitation de l’oued Abla et les périmètres limitrophes, cours d’eau aux crues mortelles, sur une distance linéaire de 3,5 km. Ainsi que la rénovation des canalisations d’assainissement de certains quartiers de la ville de Cheria. A ce sujet, une enveloppe de 8 millions de dinars vient d’être allouée à ces travaux. L’objectif étant d’éviter à la population d’autres catastrophes similaires, souvent aux conséquences dramatiques, comme c’était le cas la semaine passée où les eaux en crue d’oued Abla avaient emporté un véhicule dont l’un des passagers décéda. Les inondations avaient révélé toute la légèreté de la prise en charge des habitants du quartier Makhlouf à Cheria où 1.800 habitations précaires manquent de tout. D’autre part, à Bir El Ater, une campagne de volontariat s’est déroulée samedi dernier pour le nettoyage de la cité, une opération de bénévolat qui s’est soldée par le ramassage de 1.740 tonnes de déchets solides et 120 tonnes d’ordures ménagères et ce, avec la mobilisation de moyens matériels de 14 communes, au titre de la solidarité intercommunale, soit 50 camions, 9 chargeurs, 6 camions-citernes, ainsi que d’autres engins étaient sur site. Le wali s’était déplacé sur les lieux où il a émis des critiques sur la passivité des citoyens, très peu enthousiasmés pour nettoyer leurs quartiers.
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Par Adjal Lahouari.
A défaut de rencontres de haute volée technique, cette Coupe du monde est en train de nous livrer des scénarios inattendus dignes d’Hitchcock, à couper le souffle aux supporters, qui ont même versé des larmes sous le poids de l’émotion. Ces derniers aussi sont sous pression, tout comme les joueurs sur le terrain. Tel fut le scénario de ce Nigéria – Argentine, un match couperet où une seule équipe devait arracher sa qualification au second tour. C’est finalement l’Argentine qui est passée de justesse grâce surtout à son capitaine Messi, auteur du premier but et qui, mardi soir, lorsqu’il le fallait, lui, l’artiste, a enfilé le bleu de chauffe pour sortir son équipe de ce guêpier. Il faut rendre hommage aux Nigérians, fidèles à la tradition, répliquant du tac au tac à un adversaire dominateur certes mais tout de même inquiet. Le Nigéria a sans doute trop misé sur le nul qui lui aurait permis de passer aux huitièmes de finale. Après le but de Messi, ils ont trop tardé à réagir. Il a fallu que l’arbitre leur accorde un penalty généreux, le joueur nigérian à la lutte avec Mascherano, se laissant tomber. Tout était à refaire pour les Argentins qui ont jeté toutes leurs forces dans la bataille face à des adversaires occupant bien les espaces, et même supérieurs aux Argentins dans les duels aériens. Il faut reconnaître que le coach Sampaoli a eu la bonne initiative de lancer l’ailier Pavon qui a perturbé la défense du Nigéria par ses courses et ses centres en retrait. C’est sur l’un de ces centres que le défenseur Rojo, avec de la réussite, a inscrit le but de la victoire. Même qualifiés, les Argentins en voulaient terriblement à l’arbitre turc Cuneyt Cakir qui, à l’inverse de ses collègues ces derniers jours, a refusé de revoir l’action litigieuse sur la VAR. Les Argentins ont fait du point trois de ce procédé concernant les pénaltys et dont le texte officiel est le suivant : « Veiller à ce qu’aucune décision clairement incorrecte ne soit prise au moment d’accorder ou ne pas accorder un penalty ». Le dernier point de la procédure précise que la décision finale revient toujours à l’arbitre après le visionnage de la séquence vidéo. Ceci dit, il se confirme que l’Argentine est en deçà des favoris comme le Brésil, l’Allemagne, l’Espagne, et la Croatie. Répétons-le encore une fois, c’est à cause du coach Sampaoli qui a procédé à trop de changements depuis qu’il est en place. Cela a débouché sur la Messi-dépendance, actuellement de plus en plus accrue. Un arbre ne peut cacher la forêt, et Messi est un être humain à qui ne doit pas trop demander, surtout en cette période où le doute s’est installé après la raclée subie face à la Croatie. Le tableau des huitièmes va nous offrir un France – Argentine qui fera saliver les amateurs de suspense. Les Bleus, bien pâles face au Danemark parviendront-ils à battre l’Argentine, dont on ne sait pas si les joueurs auront retrouvé leurs esprits après la grosse peur de mardi soir.
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Par M. Benboua.
Lors de la dernière réunion statutaire tenue dimanche dernier, le bureau fédéral de la FAF a pris la décision de ne pas autoriser la délivrance de nouvelles licences aux clubs endettés vis-à-vis de la CRL (Chambre de résolution des litiges). Selon le BF, tout club ayant une dette supérieure à 10.000.000 DA (soit un milliard de centimes), n’aura pas droit à la délivrance de licences aux nouveaux joueurs recrutés. Ce club sera également privé de l’encaissement des droits TV et sponsoring jusqu’à l’assainissement de sa situation financière. Du coup, et selon des responsables de la CRL, 13 clubs (Ligues 1 et 2) sont aujourd’hui concernés par cette procédure.Il s’agit du CRB, de l’USMH, de l’USB, du MCO, de l’ESS, de l’USMBA, du MOB, du RCK, du CAB, de la JSMB, du RCR, de l’USMB et de l’ASMO. Tout porte à croire que cette affaire de dettes s’annonce comme le nouveau feuilleton de l’été, surtout que l’on sait que les clubs algériens en général sont au bord de l’asphyxie sur le plan financier, même si cela ne les empêche pas de renforcer les rangs de leurs effectifs. A ne rien comprendre ! Ce qu’il faut retenir, c’est que ce n’est pas la première fois que la fédération brandit la menace de l’interdiction de recrutement, avant de se rétracter à chaque fois. C’est dire que cette fois encore, on risque de se diriger vers un bras de fer entre la FAF et les clubs endettés.
Ces derniers auront d’ailleurs jusqu’au 8 août prochain, soit le dernier jour du mercato estival, pour revoir à la baisse leurs dettes, au moins à hauteur d’un milliard de centimes, pour pouvoir qualifier leurs nouvelles recrues. Il n’est pas interdit de penser que la FAF accorde un délai supplémentaire à ces clubs pour qu’ils puissent assainir leur situation, d’autant que le montant global des dettes des clubs concernés est faramineux : 45 milliards de centimes, selon des responsables de la CRL.
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plus de 2500 jeunes algériens sont venus acclamer la nouvelle star du rap au théâtre de verdure hier soir. Ce concert à englober les chansons de son album sorti en 2014 « Vanity Plus Mind », un album exclusivement en anglais ainsi que toutes ses créations et compositions.
22 ans et déjà star montante au niveau internationale, Rilès né le 4 janvier 1996 à Rouen en France d’origine Algérienne, artiste autodidacte, Rilés est auteur-compositeur-interprète, il se fait connaître sur la toile depuis sa chambre où il fait tout tout seul.
Rilès est devenu le premier artiste non-américain à signer directement un contrat avec la grande maison de disque Republic Records et Sony/ATV Music. La nouvelle est annoncée en mars dernier sur ses réseaux sociaux, ce label prestigieux produit des artistes mondialement connus tels que ; Drake, Ariana Grande, The Weeknd, Nicki Minaj ou encore Mika et Stromae.
Maîtrisant le flow, les textes et le rythme, sa musique est un condensé de rap, pop et sonorités orientales, Rilès a très vite séduit le public, très présent sur les réseaux sociaux, c’est d’ailleurs là où il débuta clairement sa carrière en postant chaque dimanche un titre sur Youtube.
Le concert de Rilès est organisé par la société de production de spectacles divers ; KERAL PRODUCTIONS, qui n’en est pas à sa première prestation. En effet le dernier spectacle en date est le « Alger mon humour » avec Nawel Madani qui a eu lieu en Janvier dernier.
Farid Benlagha, le producteur, déclare, « la vente des tickets de Rilès à décoller en un rien de temps, cet artiste est clairement apprécié ici par la jeune génération ». Il ajouta « notre but ultime est d’innover en terme de manifestations culturelles en tout genre afin de satisfaire les envies de tous les Algériens ».
Keral productions promet de revenir très vite à Alger avec des spectacles et des artistes encore plus célèbres sur la scène internationale.
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Un échange d’accusations entre élus de l’opposition et ceux aux commandes del’assemblée populaire de wilaya de Tizi- Ouzou a eu lieu hier matin à l’ouvertured’une session ordinaire de la même institution.
Des élus du RCD ont empêché la lecture du rapport d’une commission pour « non respect de la loi relative à la gestion de l’APW ».
Par : R. N.The post Apw de Tizi-Ouzou: Violentes altercations entre élus appeared first on .
Ce nombre est en «nette progression» depuis 2012 où seulement 9 897 cas d’addiction déclarés ont été enregistrés contre plus de 16.000 cas en 2017, a indiqué Chekkali qui s’exprimait lors d’une journée d’évaluation du CISA (Centre intermédiaire de soins en addictologie) et des centres de désintoxication organisée dans un hôtel de la nouvelle ville Ali Mendjeli à l’occasion de la Journée internationale contre l’abus et le trafic de drogue. Ce responsable a précisé qu’au cours de l’année 2017, plus de 16 000 cas d’addiction ont été relevés chez les 16-35 ans et 5000 autres chez les plus de 35 ans. Il a, par ailleurs, détaillé que sur cette même période, il a été enregistré 6 667 cas d’addiction au chanvre indien, 6 862 aux psychotropes et 6 661 à d’autres drogues pour 20 000 consultations internes à l’échelle nationale, 1 441 cures de désintoxication et de sevrage volontaire et 162 cures de désintoxication ordonnées par la justice. Mettant en avant les efforts consentis par l’Etat pour lutter contre ce fléau et l’ouverture au moins un CISA dans chaque wilaya, le Directeur général de la prévention et de la promotion de la santé a signalé que 42 CISA et deux centres de désintoxication sont opérationnels à travers le territoire national, en attendant la réception «prochaine» de 8 autres CISA et de trois nouveaux centres de désintoxication.
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Au tribunal de Sidi M’hamed, comme à la cour d’Alger, de nombreux noms circulent avec insistance en lien avec les quatre instructions en cours autour de l’empire de l’importateur et promoteur immobilier Kamel Chikhi.
Il s’agit de deux généraux-majors, d’un actionnaire d’un groupe agroalimentaire, d’un concessionnaire automobile ainsi que de deux membres de la famille de l’ex-DGSN. “C’est la guerre des clans qui est ouverte dans le sillage de l’affaire de saisie de la cocaïne à Oran”, commente un membre du barreau d’Alger.
Pour l’instant, l’investigation judiciaire, élargie à ces personnes, n’est pas confirmée officiellement. Kamel Chikhi, principal suspect dans l’affaire de saisie des 701 kg de cocaïne au port d’Oran à la fin du mois de mai dernier, est ciblé, pour rappel, par trois autres instructions judiciaires : corruption, blanchiment d’argent et trafic d’influence. Mardi dernier, le promoteur immobilier a été présenté pour la deuxième fois devant le juge d’instruction afin de lui notifier les chefs d’inculpation retenus contre lui dans le cadre de l’instruction en cours sur ses activités dans le domaine de la promotion immobilière. Le prévenu aurait corrompu de nombreux fonctionnaires de l’urbanisme et des conservations foncières, dans la capitale, pour acquérir des assiettes foncières et obtenir des permis de construire et d’extension de bâtis existants. Plusieurs cadres des services de l’urbanisme et du foncier d’Alger ont été déjà placés, au début de cette semaine, sous mandat de dépôt ou contrôle judiciaire. Lors de la conférence de presse qu’il a animée, lundi en marge des travaux de l’Assemblée nationale, le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Tayeb Louh, n’a pas occulté l’implication de plusieurs fonctionnaires de la justice dans cette affaire aux ramifications multiples. Tout en rappelant le principe de la présomption d’innocence, le ministre a précisé que les personnes interpellées jusqu’à présent sont soupçonnées d’avoir bénéficié de cadeaux, en contrepartie de largesses accordées à Kamel Chikhi, illégalement.
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R.C.
Les travaux d’un atelier de formation au profit du réseau des journalistes pour les droits de l’enfant ont débuté, mardi à Alger, avec pour objectif de renforcer leur rôle dans la diffusion de la culture des droits de l’enfant et leur contribution à la protection de cette frange de la société.Organisée à l’initiative de l’Organe national de protection et de promotion de l’enfance (ONPPE), en collaboration avec bureau de l’Organisation internationale de la réforme pénale (PRI), pour la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (Mena), en coordination avec le ministère de la Communication, cette session est encadrée par des experts nationaux et étrangers dans la perspective de doter les journalistes en moyens et compétences nécessaires en matière de traitement des informations liées à l’enfance.
L’atelier de trois jours porte sur trois axes relatifs aux techniques de formation modernes et sera ponctuée par des conférences sur les techniques de formation sur le terrain. Présidant l’ouverture de l’atelier, la déléguée nationale à la protection de l’enfance, présidente de l’ONPPE, Meriem Cherfi, a affirmé que cette session destinée aux journalistes, troisième du genre s’inscrivait dans le cadre d’une série de sessions de formation organisées par son instance dans le but de faire connaître les droits de l’enfant et vulgariser les programmes et politiques en vigueur.
L’objectif de l’atelier est de former des journalistes spécialisés dans le domaine de l’enfance de manière à les habiliter à traiter avec professionnalisme tous les thèmes y afférents, a rappelé la même responsable, soulignant le «rôle important» des médias dans la sensibilisation à la protection de l’enfant et à la promotion de ses droits.
Pour sa part, le directeur des projets au bureau de la PRI pour la région Mena, Mohamed Chabana, a fait savoir que cette session de formation s’inscrivait dans le cadre de la convention de coopération conclue avec l’ONPPE à Alger en 2017 portant sur l’échange d’expériences et l’accompagnement technique, saluant «l’expérience pionnière de l’Algérie» en matière de protection de l’enfance.
Le responsable a salué également «les réalisations accomplies par l’Algérie en matière de renforcement des droits de l’enfant, à travers l’adoption de plusieurs programmes et la promulgation de lois». Le réseau des journalistes pour les droits de l’enfant a été créé lors de la première session de formation organisée par l’ONPPE en décembre dernier.
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Le ministre des Moudjahidine, Tayeb Zitouni, a annoncé mardi à Alger, que les festivités officielles célébrant le 56e anniversaire de l’indépendance auront lieu à Alger, sous le slogan «serment de fierté et de dignité pour l’édification de l’Algérie». S’exprimant en marge d’une réunion préparatoire aux festivités célébrant cet anniversaire, organisées, chaque année, sous le haut patronage du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, le ministre a indiqué que le programme tracé à l’issue d’une série de réunions avec les représentants de plusieurs secteurs ministériels et institutions officielles, comprend plusieurs activités culturelles, artistiques, historiques et sportives.
Ces riches activités et manifestations, organisées à travers toutes les wilayas du pays ont pour objectif «d’établir un lien entre le passé et le présent et d’informer les jeunes sur les sacrifices des martyrs, tout en restant fidèles au serment qui leur a été prête», a estimé le ministre, soulignant que le programme comprend l’organisation de plusieurs conférences et la projection de films documentaires et historiques, outre des expositions de photographies et de livres retraçant le processus de recouvrement de la souveraineté nationale. Il a indiqué, en outre, que ces activités seront lancées ce mercredi et se poursuivront jusqu’au 7 juillet prochain, en vue de transmettre «un message d’espoir aux jeunes, tout en mettant l’accent sur les réalisations de la période postindépendance».
Concernant les commissions mixtes installées depuis deux ans chargées d’examiner un nombre de dossiers relatifs à la récupération des archives et des crânes des martyrs de la révolution détenus par la France, M. Zitouni a indiqué, par ailleurs, que «les choses avancent doucement mais sûrement», faisant état, en outre, du caractère «sensible et complexe de ce dossier, considéré tabou».
S’agissant de la récupération des crânes de révolutionnaires algériens qui se trouvent actuellement au niveau du Musée de l’homme à Paris où une commission technique a été dépêchée, en coordination avec le ministère des Affaires étrangères et l’ambassade d’Algérie en France, en vue d’identifier les crânes de ces martyrs, le ministre a affirmé que «les choses avancent remarquablement bien». Quant à la collecte des témoignages pour l’écriture de l’histoire révolutionnaire, le ministre a fait état de 22.000 heures d’enregistrements, disponibles au niveau du Conseil scientifique, qui procède à la mise à jour, à la correction et à la gravure sur CD des données collectées en vue de leur exploitation par les enseignants et chercheurs.
De son côté, le wali d’Alger, Abdelkader Zoukh a rappelé que la wilaya s’attelait a la préparation d’une grande parade à laquelle prendra part plus de 10 000 jeunes et 10 000 cavaliers, ainsi que des troupes folkloriques venues de différentes wilayas afin de célébrer cet évènement. Concernant l’opération consistant à rebaptiser plusieurs rues d’Alger des noms de moudjahidine, de martyrs et de personnalités nationales, le wali a dit qu’elle touchait à sa fin.
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Par Abdelkrim Amarni.
Elles sont organisées par l’ambassade d’Espagne en Algérie en collaboration avec l’Ecole nationale d’hôtellerie «Eshra».
Les «Journées culturelles de Casa Mediterráneo», ont débuté, hier, au niveau de l’Ecole supérieure d’hôtellerie et de restauration d’Alger (Eshra) sise à Aïn Benian.
Ces trois journées sont organisées par l’ambassade d’Espagne en Algérie, l’Institut Cervantes et «Casa Mediterráneo» en collaboration avec, le MoMa et l’hôtel El Djazaïr et l’Eshra que pilote Mustapha Haouchine.
L’ouverture de cette manifestation a eu lieu hier, avec une présentation, par le chef José Puentes, de la cuisine d’Alicante, élaborée par une dizaine d’étudiants de différents niveaux de l’Eshra. Cette session qui se veut être «un échange de la culture gastronomique entre Alger et Alicante», a eu le succès attendu. Y ont participé, le ministre conseiller à l’ambassade d’Espagne à Alger, en la personne de Gabriel Sistiaga, le directeur général de l’Institut Cervantes à Alger, Antonio Gil, ainsi que l’attachée culturel auprès de l’ambassade, Ana Flor Alburquerque. En début de soirée, hier, à 18h00 précisément, au niveau de l’Institut Cervantes d’Alger (9, rue Khelifa Boukhalfa, Alger), une conférence de presse était programmée. Elle devait être animée par Gertrud Gomez, intitulée «El Maca», un passage par l’Art espagnol du XXème siècle», suivie d’une rencontre avec des artistes algériens pour présenter la «4ème Rencontre internationale de l’art méditerranéen».
Demain jeudi 28, l’Eshra abritera une autre rencontre destinée à ses étudiants et enseignants, alors que dans la soirée, à 19h00, la salle Maghreb d’Oran abritera un concert de flamenco, «La Gipsy» animé par la danseuse, chanteuse et chorégraphe espagnole Pilar Andujar qui a sillonné les théâtres les plus importants du monde réalisant sept tournées avec chacun de ces deux spectacles féeriques des compagnies Riverdance: Carlos Santana Flamenco Vivo aux Etats-Unis ou Yuriko Yoda au Japon.
Cette artiste, de renommée mondiale, a été invitée avec sa compagnie par les ambassades d’Espagne à Sarajevo et au Vietnam, par l’Institut Cervantes de Turquie ou encore par le Festival international de Ballet en Lettonie. Andujar a également interprété différentes chorégraphies pour la Compagnie nationale du théâtre classique d’Espagne et a participé à de nombreux ateliers au Japon, en Europe ou aux Etats-Unis, notamment au Ballet hispanique de New York.
A Alger, un dîner préparé par le chef espagnol du Centre de tourisme d’Alicante, José Puentes, sera servi jeudi à l’hôtel El Djazaïr. Samedi 30 juin, à 10h30, l’Institut Cervantes abritera une conférence de l’écrivaine espagnole Marie Laura Espido Freire, chroniqueuse espagnole. Elle est, à ce jour, la plus jeune gagnate (25 ans) du prix Planeta avec son roman «Melocotones helados».
Casa Mediterraneo est «une institution publique du gouvernement espagnol dont le siège se trouve à Alicante. Elle est orientée vers la coopération publique et économique, le dialogue interculturel, la connaissance mutuelle et le renforcement des liens entre les sociétés civiles des pays méditerranéens».
L’Ecole supérieure d’hôtellerie et de restauration d’Alger (Eshra), quant à elle, abrite 377 étudiants depuis son inauguration en 2014. Elle délivre des diplômes reconnus par le ministère de l’Enseignement supérieur algérien et par l’Ecole d’hôtellerie de Lausanne, (Suisse) qui est «la meilleure école dans le monde dans ce domaine» selon
M. Penilo, directeur de la seconde école d’hôtellerie, qui ouvrira ses portes à la prochaine rentrée universitaire à Oran.
Dans une brève, mais non moins édifiante, déclaration à L’Expression, le chef cuisinier espagnol d’Alicante, José Puentes, s’est félicité de «la motivation des étudiants algériens quant à la fusion de la cuisine algérienne avec d’autres cuisines du monde tout en relevant les fortes similitudes des cuisines du Maghreb, notamment algérienne, avec celles d’Espagne»
Un repas typiquement espagnol, préparé par des étudiants de l’Eshra, a été servi à l’occasion de ces journées gastronomiques et culturelles méditerranéennes.
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La salle Ibn Khaldoun (16, rue docteur Saâdane – Alger), abritera, samedi 30 juin 2018 à partir de 14h00, une séance de remise de diplômes aux lauréats. Cette cérémonie a été organisée par l’établissement Arts et Culture de la wilaya d’Alger au profit des élèves des conservatoires sous l’égide de l’établissement. Une ambiance festive sera au rendez-vous du grand public, en présence des familles des élèves, d’artistes et d’invités, pour féliciter leurs proches détenteurs des prix décernés.
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L’établissement Arts et Culture de la wilaya d’Alger consacrera un programme artistique et festival spécial pour les vacances d’été. Ce programme donnera à la saison estivale à Alger la capitale, un caractère particulier attirant plein de joie et de splendeur pour permettre aux habitants d’Alger de passer de bonnes vacances et d’agréables moments à travers ces infrastructures culturelles et artistiques qui présenteront les plus belles soirées divertissantes et distractives. Ces soirées vont satisfaire tous les goûts pour faire plaisir au public de la capitale. Avec l’arrivée de la saison estivale, l’établissement Arts et Culture de la wilaya d’Alger présentera un programme «été 2018» qui comprendra plusieurs exhibitions artistiques et culturelles qui se dérouleront durant toutes les nuits d’été avec les rythmes de musiques variées et sublimes.
Le programme des soirées chaâbies pour ce week-end sera comme suit:
Tahtahate el fananine à 22h00
28 juin 2018: Soirée chaâbie avec Salhaoui El Hadi
29 juin 2018: Soirée chaâbie avec Youcef Lazizi.
Dounia Parc-Les Grands Vents à 22h00
29 juin 2018: Soirée variété avec cheb Toufik.
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Par O. HIND.
Une dizaine de DJ locaux ainsi qu’un de renommée internationale vous donnent rendez-vous pour une soirée de musique électronique de folie…
Ils sont amoureux de la musique électronique et de la fête. Fort du succès émérite qui n’est plus à démontrer année après année, les organisateurs du Black-out Festival ont placé haut la barre cette année. Pour la sixième année du Black-out Festival, Third Advertising organise une date unique, en invitant le Monsieur aux centaines de millions de vues, Streaming et disques MC Fioti qui viendra chanter pour la première fois en Algérie. Mais avant de parler de ce qui vous attend le 12 juillet prochain, il est bon de rappeler qu’un coup d’essai durant le Ramadhan a fait le plein au club Espadon. C’était plutôt un vrai coup de maître avec une affluence record. Des tickets vendus en l’espace de 72 heures et plus de 1000 personnes qui ont répondu présent. Aussi, la musique et l’esprit Black-out ont fait incursion aussi durant le mois de Ramadhan avec une capsule Web appelée neblakawti qui a atteint les 500 000 vues. Aussi, chaque année et durant la saison estivale, un grand événement musical a eu lieu dans un endroit nouveau. Cette année les organisateurs ont porté leur dévolu sur une partie du stade du 5-Juillet, (l’Office du complexe olympique Mohamed Boudiaf). Le premier festival dédié à la musique électronique en Algérie prévoit pour cette édition encore plus de monde, soit environ 5000 jeunes, nous a-t-on confié. Et même si pour le moment cela va doucement, mais «difficilement car sous pression» ajoute Zakaria Hadji un des organisateurs, tout sera prêt le jour «J», nous assure-t-il. «Grâce à vous le festival a grandi et cette année nous allons accueillir plus de 10 DJ rien que pour vous» peut- on lire sur la page facebook de l’événement qui suscite d’ores et déjà un grand engouement. Niveau Line Up, entendre par là les artistes figurant au programme, nous pouvons distinguer les noms de Zakfreestyler & Ihan, Yane & DJ Twelve (Holi Festival Of Colours Powder Session), Deejay R-Oone, Starlight, Douga Randall, Deejay Tarik Official, Dj Boss, Dj Al Capone et ce pour la première fois, Deejay Mehdee, DJ M-Five en plus des guests-surprise! En tout, six heures de spectacles à partager avec vous de 18h00 à 00h00, deux coins VIP pour vos envies et vos amis, un espace jeu et détente, un service Catering et Snacking; et bien plus! Pour info, l’accès simple est de 2 000 DA la personne, deux accès VIP, l’un est à 3 000 DA et l’autre à 4 000 DA la personne. La pré-vente débutera très bientôt dans Alger, Oran et Béjaïa. Ça va être du lourd assurément avec tous ces noms de DJ qu’on ne présente plus car bien connus par les fans de la scène noctambule algéroise mais pas que. Pour les aficionados des boîtes et autres clubs branchés de la capitale, cette soirée mémorable est incontestablement pour vous. L’été est propice pour ce genre de moments d’évasion tout en musique pour passer de purs moments de joie et de transe sur du bon son électro.
Un seul mot d’ordre: venir s’amuser tout en convivialité et dans la bonne humeur. Car la fête de la musique ce n’est pas une seule date dans l’année, mais tous les jours. Amen.
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Des femmes enceintes, des enfants et des demandeurs d’asile figurent parmi les milliers de personnes renvoyées en plein désert
Depuis janvier 2018, l’Algérie a expulsé des milliers d’hommes, de femmes et d’enfants vers le Niger et le Mali dans des conditions inhumaines et, dans de nombreux cas, sans tenir compte de leur statut légal en Algérie ou de leurs vulnérabilités spécifiques, a déclaré aujourd’hui Human Rights Watch.
En avril et en mai, Human Rights Watch s’est entretenu avec 30 migrants en provenance de différents pays d’Afrique subsaharienne qui ont déclaré que les autorités algériennes avaient effectué des descentes dans des zones où se trouvaient des migrants, en procédant à des arrestations en pleine rue ou sur des chantiers de construction et à des expulsions massives à la frontière avec le Niger ou le Mali, la plupart du temps sans leur donner de vivres ni d’eau.
Ces migrants ont expliqué avoir été contraints de marcher des dizaines de kilomètres à travers le désert, par des températures élevées, avant de rallier des localités où ils ont pu obtenir une aide ou avoir accès à des moyens de transport privés.
« L’Algérie a le pouvoir de contrôler ses frontières, mais cela ne signifie pas qu’elle peut regrouper les gens en fonction de la couleur de leur peau et les larguer dans le désert, indépendamment de leur statut juridique et en l’absence de garanties de procédure équitables », a déclaré Sarah Leah Whitson, directrice de la division Moyen-Orient et Afrique du Nord à Human Rights Watch.
Tous les migrants interrogés ont affirmé avoir été rassemblés avec des dizaines, parfois des centaines d’autres migrants subsahariens, dans les rues, lors de raids nocturnes dans les quartiers à forte concentration de migrants, ou sur leurs lieux de travail. Dans la plupart des cas, ont-ils précisé, les policiers ou les gendarmes ne demandaient pas à vérifier leurs papiers.
Certains qui ont dit posséder un visa valide, ou un certificat du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) assurant que leur demande de statut de réfugié était à l’examen, ont tenté en vain de convaincre les forces de sécurité qu’ils étaient en situation régulière. « Ils nous ont dit : ‘‘Vous êtes tous illégaux ici ; vous n’avez pas le droit d’être en Algérie’’. »
Selon les personnes interrogées, la police algérienne a passé à tabac des migrants, rejeté leurs demandes de récupérer leur argent et leurs effets, et à plusieurs reprises ont saisi leurs téléphones et autres possessions. Des expulsions sommaires ont également séparé des familles.
Emanuele, une Ivoirienne âgée de 30 ans, a déclaré à Human Rights Watch qu’elle était enceinte de huit mois et vivait avec son fils de deux ans à Oran, où elle était femme de ménage. Le 24 avril, à 4 heures du matin, la police a fait une descente dans son quartier de Coca, et elle a raconté qu’ils y ont regroupé des habitants au faciès, sans leur permettre de récupérer leur argent ou d’autres possessions.
La police, a poursuivi Emanuele, l’a ensuite mise avec son fils dans un bus, aux côtés d’une centaine d’autres personnes – parmi lesquelles une autre femme enceinte et une mère et son nouveau-né –, au départ d’Oran, en route vers un entrepôt à Reggane, dans la province d’Adrar. Ils ont tous passé une journée sur place. Puis, le 26 avril à 5 heures du matin, les autorités les ont contraints à monter à bord de camions, conduits jusqu’à la frontière et leur ont ordonné de se rendre au Mali. Emanuele n’avait que deux petites bouteilles d’eau pour elle et son fils.
Nous avons marché pendant des heures avant d’atteindre In Khalil. C’est à peine croyable : moi enceinte de huit mois, avec un garçon âgé de 2 ans, marchant dans le désert ? Il faisait si chaud que nous pouvions à peine respirer.
Un autre migrant de Guinée, arrêté à Tlemcen le 12 avril et reconduit à la frontière du Mali quatre jours plus tard, a témoigné : « Je n’ai plus rien. J’ai tout perdu. Je suis arrivé à Gao sans un sou en poche, sans téléphone et avec seulement un pantalon et une chemise. Nous avons été traités comme du bétail. »
Ahmed Ouyahia, alors chef de cabinet du président Abdelaziz Bouteflika, avait déclaré le 7 juillet 2017 que les migrants sont une « source de criminalité et de drogue » et que les autorités doivent protéger la population algérienne de ce « chaos ».
Le ministre de l’Intérieur, Noureddine Bedoui, a quant à lui assuré aux agences de presse, le 22 mars 2018, que les « rapatriements » de migrants sont effectués « à la demande de leurs pays d’origine ». Toutefois, aucun des migrants interrogés n’aurait bénéficié d’un programme de retour volontaire assisté, soit par l’intermédiaire de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), soit après avoir pris contact avec leurs consulats ou ambassades respectifs.
Le nombre total de migrants subsahariens expulsés d’Algérie depuis le début des opérations massives, en décembre 2016, est indéterminé. Le 22 mars, M. Bedoui a déclaré au parlement que les autorités algériennes avaient rapatrié environ 27 000 migrants subsahariens au cours des trois dernières années.
L’OIM a déclaré à Human Rights Watch le 27 juin qu’en 2018, elle avait secouru plus de 7000 migrants de diverses nationalités, autres que nigérienne, expulsées à la frontière avec le Niger.
L’agence a également indiqué qu’en 2018, elle avait décompté 22 convois avec à leur bord 9037 citoyens du Niger – 6029 hommes et 3008 femmes – expulsés d’Algérie.
À Gao, au Mali, une organisation non gouvernementale a déclaré avoir aidé plus de 600 migrants subsahariens expulsés d’Algérie depuis le début de l’année. Le 9 juin, elle a indiqué avoir prêté assistance à 125 migrants expulsés d’Algérie cette semaine-là.
Le 22 mai, le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme a appelé le gouvernement algérien à « cesser les expulsions collectives de migrants ».
L’Algérie est partie à la Convention internationale sur la protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille, qui interdit les expulsions collectives de travailleurs migrants et de leurs familles, et exige que chaque expulsion potentielle fasse l’objet d’un examen et d’un jugement spécifiques. La Convention s’applique à tous les travailleurs migrants et à leurs familles, indépendamment de leur statut juridique ou professionnel.
La loi n ° 08-11 du 25 juin 2008 relative aux conditions d’entrée, de séjour et de circulation des étrangers en Algérie donne aux autorités la prérogative d’expulser les étrangers entrés illégalement sur le territoire algérien ou dont les visas ont expiré, mais les contraint à notifier la personne concernée, qui bénéficie d’un délai allant de 48 heures à 15 jours pour quitter le territoire.
La personne a jusqu’à cinq jours pour contester la décision devant un juge des référés au tribunal administratif, laquelle juridiction dispose d’un délai pour 20 jours pour statuer sur la légalité de l’expulsion, qui est suspendue en attendant la décision. Human Rights Watch a constaté que les autorités algériennes n’ont pas respecté cette procédure dans les cas documentés.
En tant qu’État partie à la Convention de 1951 sur les réfugiés et à la Convention de 1987 contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, l’Algérie n’a pas le droit d’expulser un réfugié ou un demandeur d’asile vers un pays où ils risquent des persécutions, ou toute autre personne vers un pays où elle serait probablement torturée ou soumise à des traitements inhumains et dégradants.
Les demandes de toute personne manifestant de telles craintes devraient être examinées dans le cadre de procédures complètes et équitables pendant que la personne se trouve dans le pays d’accueil. Malgré son statut d’État partie à la Convention sur les réfugiés, l’Algérie ne s’est dotée d’aucun cadre juridique reconnaissant le processus de demande d’asile ou le statut des réfugiés.
Le gouvernement algérien devrait mettre fin aux expulsions arbitraires et sommaires des migrants et développer un système de prise en charge équitable et légal des migrants en situation irrégulière. Ce système devrait inclure le droit pour les migrants de faire appel de leurs expulsions et faciliter le rapatriement librement consenti de ceux qui souhaitent retourner dans leur pays d’origine.
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